Irrécupérable (Partie 1) - Libre pour les membres inscrits

Petite neige tombante, c'était en 1980, à Montréal durant quelques années, on a toujours une forte envie de s'identifier à un mouvement politique et religieux. Le Québec était toujours en train de changer d'une façon très étrange depuis les années. L'identitaire avait disparu en civique pour quelques années, les immigrants, les homosexuels et même les mutants ont toujours été très bien accepté et sans faire une grande critique. Beaubier avait perdu ses médailles olympiques et il avait déménagé dans la ville de Québec. Depuis le temps, il avait quelques souvenirs des membres autour de lui. Il avait un jeune membre plus jeune que lui dans une équipe canadienne. Blue, c'était son surnom, il n'était pas un mutant, mais en réalité, un enfant papa qui avait quand même une bonne technologie pour défendre les êtres humains. Une bonne petite soirée, sans grande histoire, sans son costume horrible et en parlant un peu sur le sujet préféré de Beaubier qui était la politique. Les années ont changé depuis, William a eu deux enfants et il s'est marié avec une jeune canadienne anglaise de London en Ontario. Des belles années pour lui, pendant que Beaubier était en train de se morfondre sur une petite gamine atteint du sida. Derrière le visage de William qui récoltait toujours les grands honneurs avec une future famille bien mieux établie que la famille complètement détruite de Beaubier.

Il avait toujours été très jaloux de William, qui semblait toujours gagné en cran dans sa famille et qui se faisait beaucoup plus aimer que la tapette de service. Quand, le gouvernement canadien refusait que Beaubier possède un enfant à cause de quelques bêtises religieuses qui disaient qu'un enfant était obligé de vivre avec un père et une mère pour avoir une bonne éducation. Des absurdités sortant de la gueule des humains, des absurdités que la plupart des gens croit encore. Un respect beaucoup trop important qu'on donne à l'argent et aux valeurs religieuses de notre société. Détruisant ainsi toute l'humanité, comportant la vie et l'espoir. Croyant aux idées puritaines de certains religieux, croyant que le malheur était destiné par une force métaphysique. Destiné à conclure que ce monde est toujours aussi simple, où qu'il avait des gentils et des méchants.

Les humains parasitant la planète comme des cafards envahissent une maison. Détruisant ainsi presque tout, aujourd'hui, tout change. Entre les bons et les mauvais gestes, on se retrouve tourmenté par tout ce qui est entoure de nous. Croyant que les droits humains existent réellement, que le respect des êtres humains est quelques choses d'universel. Habité par des démons intérieurs, démontrant que ce monde est totalement superficiel et construit par des êtres superificiels. Marginalisé parce qu'on réfléchit à place d'écouter ce que les médias nous donnent.

Amusante télévision aujourd'hui, LCN, le matin, on essaie de comprendre l'agissement de Beaubier. Le véritable négociateur essaie de comprendre pourquoi Beaubier a tué 40 personnes. Question totalement absurde, réponse des gens qui appellent aussi absurdes. À la radio de Toronto ou de Québec, on explique le comportement de Beaubier parce que c'est un méchant mutant. À la radio de Montréal, on amène des psychologues pour essayer de comprendre. Il n'a rien à comprendre, mes amis. Vous avez décidé de créer un monde de connards, Beaubier est devenu en premier lieu un connard et ensuite un meurtrier de masse. Ravageant presque la base militaire au complet, tuant environ 200 soldats, dégoutés par leurs envies de s'entraîner le matin.

Détruisant une partie du monde en Afghanistan ou en Somalie, croyant faire des bonnes choses, mais créant beaucoup trop de problèmes. Aujourd'hui, c'est le tour de William pour avoir dit à Beaubier le 4 Janvier 1981 à son anniversaire:

-Essaie donc d'être plus homme que ça...

Oui, un homme caricaturé par des aliénations complètement absurdes. Tournant dans un autre quartier, on se retrouve avec le grand sourire. Trouvant ensuite presque tous les dossiers des anciens héros canadiens qui ont déjà travaillé avec Beaubier, c'était le temps de payer et de cogner. On les a toujours vu en train de gagner contre les vilains. On nous donne l'illusion que les gentils gagnent toujours, mais Beaubier a bien été gentil toute sa vie, sa fille est morte, sa sœur est folle, ses parents ont été tué dans un accident de voiture et il a combattu simplement pour des ignorants et des monstres. William habitait proche d'Ottawa. Une petite maison de classe moyenne sans grande histoire.

Il n'avait pas tué beaucoup de personne aujourd'hui. On était en train de compter les différents victimes une par une. D'aller voir leurs familles bouleversée, avec des caméras et des micros pour leur demander si ceux-ci vont bien. « Oui, Monsieur journaliste, je vais très bien, mon fils s'est fait démembré par un psychopathe quand il travaillait à la base militaire militaire. » Imbéciles.

Sa femme dormait, sa gamine de six mois aussi, sa fille gigotait dans le lit, elle écoutait son ipod, mais William n'était pas là.


William ne dort plus depuis les deux derniers jours. Beaubier avait tué la famille Bouchard au complet et sans vraiment comprendre son geste, il était en train de s'inquiéter. Normal quoi, on dirait qu'il avait déclaré la guerre à ses anciens compagnons sans vraiment comprendre pourquoi. William regarde souvent par la fenêtre. Les feuilles bougent d'une façon stable, seulement une fois. Les feuilles ont bougé beaucoup trop rapidement. Est-ce qu'il était paranoïaque? Peut-être un peu. Mais, il avait peut-être un peu raison d'avoir peur. Défonçant la porte de sa famille.

-SARAH, ON S'EN VA!

Son père l'a prit dans ses bras. Il ne comprenait rien du tout, pourquoi Beaubier faisait cela? Ils ont combattu ensemble pendant des années. Même contre la mafia russe qui était en train de s'installer sur Toronto, ils ont combattu ensemble un gigantesque monstre blond et stéréotypé à mort des méchants soviétiques des années de la guerre froide.

-Vite! On s'en va!

-Arrête la paranoïa, Will...

La femme de Will était presque poussée vers la porte, mais elle savait très bien les inquiétudes de son mari à cause d'un foutu dégénéré qui était en train de tuer plusieurs vies.

-Je vais préparée la voiture...

Ouvrant la porte, avec le bébé de six mois dans ses bras, les grenades sont décrochés. Ne vous en faites pas, les deux sont mortes sur le coup. Ils ont été désintégré d'un coup, deux squelettes très différents, un bébé et une adulte. Ce n'était pas le temps de pleurer, William doit fuir avec sa fille Sarah. Ce connard de Beaubier va le regretter. Il descend rapidement au sous-sol avec sa fille dans ses bras, maladroit et endormi, il tombe au sol. Beaubier, prenant son temps, il descend les escaliers. William regarde sa fille assommée par le choc.

-Pitié... pas ma fille... pas elle! Ce n'est qu'une petite fille...
-Je sais précisément ce qu'elle est... un sac d'atomes et de bio-électricité...

Très rapide, Beaubier défonce le crâne de William. La petite fille terrorisée essaie de reculer.

-Et toi, sais-tu ce que je suis, Sarah?

S'approchant délicatement de la jeune fille et en chuchotant dans son oreille.

-Je suis un super-héros.

Il rentre dans une base militaire vide, imprégnée de plusieurs peintures rouge dans le Nord du Québec. Il retrouve quelques choses de confortables dans les divans et on annonce ensuite la mort de la famille Williams, sauf de la petite Sarah totalement traumatisée.

J'aurais dû m'en douter bien plus tôt. J.-P. n'allait plus si bien. Il avait été distant ces derniers jours; je me suis dis que cela devait être commun auprès des gais.

M'enfin, c'est vrai quoi, je ne connais pas très bien ces gens-là! Et puis en plus... j'aime pas en parler, je trouve ça trop... étrange comme sujet. J'ai constemment évolué dans un monde de gars, et être gai a toujours été pour moi un synomyme de faiblesse... je n'ai rien contre eux, mais j'ai un malaise d'en avoir proches de moi. Gai et force... dans ma tête, ça ne peut pas aller ensemble. J'ai du mal à l'exprimer. Je vois à présent dans ce nouveau monde que les gens sont ouverts envers les gais, alors... j'évite simplement le sujet, point.

Jean-Paul Beaubier est sans contraste un bon partenaire, un bon ami et un excellent X-Men. Ce n'est qu'en arrivant en ce monde que je sus pour son homosexualité. Jamais je ne l'aurais cru dans mon monde originel! Que lui... vouloir être dans un lit auprès d'un autre... rhaaa!!! J'ai de la misère avec cela, mais ô combien oui!

Bon, mon ami tourne mal, il est de mon devoir de lui venir en aide. Je ne crois pas un mot de ce que les médias disent de lui. Ce n'est pas la première fois qu'on met tout ce qui va mal sur le dos des mutants; je vais chercher les réponses moi-même!

Combinaison X-Men!

Je file dans ma chambre. Je retire mes vêtements civils, me retrouvant en camisole et sous-vêtements. J'enfile ma veste anti-balles légère qui se met sous les vêtements. J'enfile ma combinaison en cuir synthétique noire avec le « X » aux contours dorés, avec une manche manquante pour laisser à l'air libre mon bras cybernétique.

J'enfile par la suite ma cuirasse, mes brassards et grèves en acier trempé des XSE. Puis j'installe mes deux magums dans leurs étuis rangés sous mes aisselles, à la manière des détectives de la police. Puis je mets mes deux pistolets au laser à ma ceinture, mon couteau rangé dans son étui au niveau du mollet, puis mon fusil plasma au niveau du dos.

Puis mes lunettes fumées, naturellement!

Je file par la suite au hangar pour faire démarer ma voiture-aéronef de patrouille XSE rénovée ici-même pour l'embarquer dans la soute du jet. Direction: le Québec.

J'attendis l'arrivée de mes partenaires X-Men avant de démarrer le jet...

Laura étais installé depuis déjà une heure a la branche d’un arbre. Regardant la maison ou toute cette histoire avait eu lieu. Regardant l’étendu des dommages, regardant le cahot causé. Du haut de sa branche elle voyait bien la maison, elle voyait aussi les gens y entré et y sortir. Bien assise sur son perchoir elle y voyait tout, elle y sentait tout elle comprenait tout…

Elle y avait vue en autre Bishop et Lucifel, un qui était un x-men l’autre un élève. Mais que faisait-il tout les deux ici? Bon pour Bishop elle le savait, ils étaient tout les deux sur la même mission, mais Lucifel? Que faisait-il ici? Avoir été moins timide en mission elle serait descendu de son perchoir pour aller lui parler. Mais la elle était bien la haut… et cette maison la troublait bien trop pour y entré.

De la ou elle était, elle voyait bien le sang, elle s’imaginait tout ce qui s’était passé dans cette maison. Elle s’imaginait ce que cette pauvre famille avait vécue, après tout elle avait déjà fait sa, tué une famille.

Laura regardait froidement la maison qui lui rappelait tant de souvenir, pourquoi Véga était il arrivé à faire sa, pourquoi avait-il basculé vers le mauvais coté? Lui qui lui avait fait la moral il y a pas un an de sa. Il lui avait qu’il fallait laisser le passé derrière soir pour bien avancé dans la vie. Que faire des crises ne servait à rien, il lui avait dit qu’il fallait toujours affronter ses peurs en face. Et voila que lui, lui ne suivait plus ses propre conseil. Était-ce pour une bonne raison ou non? Laura était la pour sa, découvrir, retrouvé mais surtout aidé! Elle avait déjà vécu ainsi, elle comprenait peut-être mieux que les autre ce qui se passait.

Il fallait bien l’avouer elle et son père, Wolverine, était bien placé pour comprend ce qu’était d’être des pantins, de tué, de tenté d’être quelqu’un… de se cacher!

Restant en hauteur pour mieux observé, la jeune femme repensait a toutes ses expériences de vie. Elle en avait vécu des choses pour son âge, mais tout sa faisait d’elle la Laura Kinney qu’elle était aujourd’hui.

De son perchoir X-23 restait elle-même, elle restait la x-men en mission, elle était la pour une chose en particulier, récupéré Véga! Elle n’allait pas échouer! Se n’était vraiment pas une journée pour douter de ses talents de traqueuse. Elle était une arme née! Elle allait le retrouvé, mais était-elle assez forte pour lui faire retrouvé la raison, ça elle en doutait un peu.

Descendant de son perchoir, la jeune femme s’avançais d’un pas sur vers la maison. Elle devait y entré une fois pour toute pour avoir le cœur net de ce qui s’était passé. La maison sentait belle et bien Véga.

Elle cherchait des trace, mais elle n’était pas la première a être passé par la. Une chose était sur elle n’était certainement pas la dernière. Plusieurs personnes allaient être sur les traces de Végas, et ces personnes n’étaient surement pas tous bonne. Si seulement elle pouvait savoir ou Bishop et Lucifel était maintenant. Elle les avait perdus un peu trop tôt.