Gremlins & co...

Sujet: Gremlins & co... Sam 22 Jan 2011 - 21:51

Kurkaru venait de se décider. Il allait faire quelque chose de capital aujourd'hui ! Ce jour allait marquer l'histoire d'une pierre blanche. D'ailleurs, pourquoi es ce qu'on parlait d'une pierre blanche ? Après tout, les pierres blanches, c'était pas si rare. C'était nettement mois rare que les jolies pierres précieuses, par exemple ? Alors pourquoi parlait on de marquer d'une pierre blanche ? Il faudrait qu'il pose un jour la question. A Plasm tout court, par exemple. Ou a Daredare Win. Toujours était il qu'il qu'il prendrait le temps de peindre une pierre en plein de couleur. C'était . plus joli, et puis, plus original. Comme ça, il pourrait marquer les futurs jours importants de sa vie d'une pierre multicolore ! Ceci réglé, il fallait tout de même qu'il se décide en quoi ce jour allait être important. Hum. Ce n'était pas facile. Qu'es ce qu'il allait bien pouvoir faire. Alors, alors. Ca il l'avait déjà fait, ça aussi... Bon, bon, bon. Il aurait bien sauté d'un avion, mais vu qu'il n'avait pas d'avion, il ne pourrait pas le faire. Sinon, il aurait bien été dans la chambre de monsieur qu'un œil pour faire joujou avec la petite fille, car elle avait des jeux marrants, mais bon, la dernière fois le monsieur il s'était un peu fâché quand il avait montré à la petite comment il fallait faire pour escalader sur les meubles. Et puis, il disait qu'il laisse de la bave partout. Il était bête, c'était pas de la bave, la bave, ça venait de la bouche. Alors que ça bon, ça venait pas de sa bouche. C'était juste... euh. De la sueur. Oui, voila, il avait juste un peu plus de sueur que les autres. Mais c'était pas la peine de lui tirer dessus au rayon laser pour autant ! Encore que c'était assez rigolo, tout compte fait. Mais bon, le monsieur avait pas l'air de s'amuser autant que lui, alors, comme il était plutôt bien élevé, il avait conscience qu'il ne fallait pas abuser. Donc, il fallait qu'il trouve une autre occupation. Peut être qu'il pourrait aller se promener ? Oui, se promener était une excellente idée ! Tout ce qu'il avait à faire, c'était de sortir de passer par dessus le mur d'enceinte (a fond la musique !), et de suivre la route, de trouver un moyen de se rendre dans la ville. Ce n'était pas difficile ! Aussitôt dit, aussitôt fait.

Quelques minutes plus tard, Kurkaru se promenait dans les bois, cherchant un véhicule arrêté ou il aurait pu monter. Il fini par s'approcher de la route, pour trouver son bonheur. Un camionnette. Noire. Jolie couleur. Moins beau que son joli vert, il fallait bien l'avouer. Tiens. Il y avait des gens. Ils avaient l'air gentil. Et très costaud. Des gentils costauds. Peut être que c'étaient des super héros ? Ouais ! Il avait toujours rêvé de rencontrer des supers héros. Mais il n'en avait jamais vu en vrai. Ce serrait trop cool. Il s'approcha, avançait à moitié à quatre pattes, dans un soucis d'approche discrète et super trop cool... Quand bien même les hommes l'avaient apparemment remarqué depuis quelque temps. Bon, après quelques mètres, il se rendit compte que ça faisait trop mal au dos, et se releva. Il fit un grand sourire aux hommes, afin de finir par s'approcher. Sans qu'il s'en rende vraiment compte, les trois hommes l'avaient maintenant complètement encerclés. Sans que Kurkaru s'en inquiète le moins du monde, d'ailleurs il leur faisait toujours des grands signes de la main. Puis il prit la parole avec sa verve coutumière !

"Kikou les gens, vous vous appelez Jean ? Jean Qui rit, kirikiri, ou qui pleure, ...."

La fin de la phrase de Kurkaru fut étouffé par un mouchoir que l'on plaçait devant sa bouche. L'homme qui se tenait derrière lui avait apparemment décidé qu'il était vraiment trop ennuyeux à entendre. A moins qu'il ne fasse partit d'une secte qui interdisait aux nains vert de s'adresser aux fidèles, ou encore qu'il s'agisse d'une personne que le sens de l'humour de Kurkaru iritait au plus haut point. Aucune chance, bien sur que ce soit la dernière solution la bonne. Tout le monde adorait le sens de l'humour de Kurkaru, n'es ce pas ? Quelques instants plus tard, Kurkaru perdait connaissance et s'affalait sur le sol. Voila qu'il se mettait à faire de la narcolepsie. A moins qu'il ne s'agisse d'un effet d'une éventuelle drogue qu'on aurait placé sur le mouchoir. Mais alors, Kurkaru allait se faire enlever par des gens ? Incroyable ! Il avait toujours rêvé que ça lui arrive, comme dans les films. Quel dommage pour lui qu'il soit actuellement en train de dormir...

Sujet: Re: Gremlins & co... Dim 23 Jan 2011 - 17:06

Kurkaru ouvrit les yeux. Puis le referma. Puis les rouvrir. C'était marrant comme jeux. Ouvert, fermé, ouvert, fermé, fermé, ouvert... Tiens, il y avait quelqu'un ? Qu'es ce qui lui était arrivé, au fait ? A oui, il avait rencontré des supers héros et il s'était endormi. Peut être avait il eu un choc en rencontrant enfin un super héros et que du coup il s'était endormi ? C'était peut être ça que les gens appelaient tomber dans les pommes ? Quand il avait demandé à ce qu'on lui explique, il n'avait pas vraiment compris grand chose, sauf que finalement ça n'avait strictement aucun rapport avec la nourriture, du coup ça avait perdu une grande partie de son intérêt à ses yeux. Mais il avait vaguement retenu que ça avait un rapport avec le fait de ne plus être réveillé alors qu'on aurait du toujours l'être. Donc, en toute logique, et Kurkaru était très logique, il était tombé dans les pommes. Dans le cas ou il aurait mal compris l'explication, il jeta un coup d'œil un peu partout histoire de voir si une pomme ne trainerait pas dans le coin. Et bien non. Il était juste dans un endroit sombre, avec des effets marrants qui faisait qu'il sentait du mouvement. Et il était attaché. C'était peut être un genre de jeu amusant ? Ou alors un des profs de l'institut en avait eu marre de lui et l'avait fait enlevé pour plus qu'il revienne. C'était ce que Plasm lui disait qui lui arriverait s'il était pas sage. Mais Kurkaru était pas sage plutôt deux fois qu'une, par conséquent il était plus repassage que pas sage ! Donc on ne pouvait pas l'enlever, ein ? Non, c'était forcément quelqu'un qui lui faisait une blague, ou alors c'était un jeu. Comme au parc d'attraction, la ou les gens souffraient de répulsion ! Du coup, Kurkaru s'était amusé à s'allonger sur le sol, et à se laisser rouleur sur le sol, au fur et à mesure des chaos et tournants qui affectaient le véhicule dans lequel il était enfermé. Quelques temps plus tard, le véhicule pila, ce qui entraina Kurkaru vers l'avant. Ce qui bien sur ce conclu par une percutions entre son crane et la banquette. Quand je dis percutions, je veux pas dire que Kurkaru à commencé à jouer de la batterie, ein (encore que le bruit se révéla assez mélodieux), mais bel et bien qu'il y eu impact.

Quelques instants plus tard, la porte du van s'ouvrait, et deux hommes montaient à l'intérieur. Kurkaru les regarda avec attention (un copain invisible à lui), puis fini par les reconnaitre. C'était les super héros qui étaient la quand il s'était évanouis. Ils l'avaient surement transporté dans un endroit ou on allait le soigner. Après tout, c'était des gentils, c'était sur. Bon, après, ils l'avaient attrapé pas très délicatement, mais ils devaient être pressé. Et puis, le morceau de scotch sur sa bouche, c'était certainement pour des raisons médicales. Il ne fallait pas voir le mal partout, ein. Ce n'était pas un film, après tout. Le fait que pour Kurkaru, l'endroit ne ressemble pas beaucoup à un lieu ou l'on soigne les gens n'est pas une preuve non plus. Ils ont peut être une base super secrète avec des moyens de guérison super avancé et super dissimulés. Ce serrait super ! Il avait toujours voulu y aller ! Quelques instants plus tard, quand sa vision se fut habitué à la pénombre ambiante, il se rendit compte, un peu déçu, qu'il ne s'agissait en fait que d'un simple entrepôt ou un homme attendait, assis sur une chaise. Le monsieur n'avait pas l'air bien. En fait, il avait l'air plutôt maladeuh, complètement maladeuh... Et plusieurs bassines remplies d'eau. C'était bizarre, ça. Peut être que le monsieur avait parfois très soif ?

"Vous l'avez amené. Très bien. Lavez le."

Qu'on le lave ? Ce monsieur malade était encore plus malade que prévu ! C'était un complot des profs de l'institut, Plasm tout cours avait raison ! On voulait le laver à l'insu de son plein gré ! Alors qu'il n'avait rien demandé ! Et qu'il s'était lavé tout à fait volontairement sans qu'on l'aide... bon, si un peu, il n'y avait pas plus tard que ... non, pas hier, pas avant hier... C'était pas la semaine dernière non plus. Bon, pas plus tard qu'il y avait un mois ! Alors c'était pas la peine, ein ! Vraiment ! En plus il y avait même pas de mousse ni même de canard en plastique ! Il n'allait pas se laver sans un canard en plastique ! Bon, étant donné qu'il était incapable de faire autre chose que de se tortiller dans tous les sens, on ne prit pas vraiment en compte son opinion sur le sujet. Quelques instants plus tard, on l'avait plongé dans l'eau de la première bassine, retiré, aspergé de savon en gel, frotté, replongé dans la bassine. L'opération fut répété trois fois, puis Kurkaru fut essuyé sans ménagement par les hommes.

"Bien. Maintenant, détachez le, et apportez le moi. Puis vous pourrez partir, je n'aurais plus besoin de vos services, messieurs. "

Quelques secondes plus tard, Kurkaru était dans les bras de l'homme malade. Et même si celui ci était malade, il avait toujours une force physique qui dépassait celle de Kurkaru. Et Kurkaru, même s'il n'avait pas vraiment apprécié son récurage à fond, n'avait pas vraiment envie d'essayer. Après tout le monsieur voulait peut être juste lui faire un câlin sans avoir de sueur verte sur lui, non ? Il était peut être juste malade et très affectueux ? Ou alors... Avant que l'esprit fantasque de Kurkaru n'ait pu proposé une autre solution, il senti une petite brulure au niveau de l'estomac, mais avait qu'il puisse regardé, la traction sur son bras se relâcha et le monsieur manqua de lui tomber dessus. Kurkaru surpris, sauta en arrière, et regarda le corps sans vie tomber au sol. Un peu surpris, il ne savait pas trop quoi faire... Il cligna les yeux, une fois, deux fois.... puis le monsieur se remit à bouger. Bon, alors, il n'y avait pas à s'en faire. Poussé par une envie soudaine, Kurkaru attrapa un sac assez lourd qui trainait la, puis partit de l'endroit en chancelant. Quelques heures plus tard, il était de retour à l'institut, grâce à l'aide d'un chauffeur particulièrement gentil. Et il avait un peu de mal à comprendre deux ou trois trucs qu'il avait fait....