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| BKT (PV Liz) | |
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Robert Mercer Agent du B.A.M. Beta
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| Sujet: BKT (PV Liz) Dim 20 Fév 2011 - 19:47 | |
| Robert était donc assis derrière le volant de son sport utilitaire. Il était à peine 10h du matin. Liz prenait place à ses côtés, le dossier bleu sur les genoux. Robert ignorait ce que Liz connaissait de lui. Même si elle avait lu son dossier, elle ne pouvait qu’en connaitre une minuscule partie. Le dossier personnel de l’agent Mercer était rempli de secret hautement confidentiel. Les rapports officiels étaient tous lourdement surlignés de noir ce qui les rendait impossible à réellement connaitre. Il se contenta de répondre à sa question :
-Oui, je viens de la CIA…une longue histoire. Dit-il
Une longue histoire où les missions secrètes d’espionnage, d’enquêtes et d’assassinat se sont succédé pour protéger le pays et affaiblir les ennemis. Après quelques secondes il rouvrît la bouche et de sa voix base, il dit :
-Et toi c’est quoi ton histoire? Qui es-tu?
Enfin, il lui avait posé une question sur elle. Le mutant était du type solitaire et il avait de plus en plus de difficulté à tisser des liens réels avec les gens de son entourage. Avec le temps, on avait dit que ses émotions devenaient de plus en plus pâles, presque sans nuance. C’était un effet secondaire de sa mutation et conscient de tout cela, Robert cherchait, malheureusement avec difficulté et maladresse, à compenser le phénomène. C’était pourquoi il avait posé cette question somme toute banale. Surtout qu’il ne connaissait absolument rien d’elle.
Le mutant aux cellules particulières était un gros gourmet. Un véritable glouton et c’était paradoxal, car depuis que son gène X était actif, il n’avait plus aucun besoin de se nourrir. Par contre, il adorait cela et c’est pour ça qu’il ne se fit pas prié pour faire un petit détour au service à l’auto d’une cantine situé près de l’autoroute. Il passa leur commande, elle aurait pu être suffisante pour nourrir un régiment t’en elle était volumineuse, et paya en argent contant. La circulation était complètement bouchée. Pratiquement immobile et c’est pourquoi il mire près de 1h30 à parcourir les 12 km qui séparait le bureau du lieu de la mission. Durant le trajet, Robert avait déjà englouti une bonne partie des provisions. En deux ou trois bouchés, il avait dévoré un hamburger. Seule la miette sur son pantalon prouvait l’existence de celui-ci. Dans un désordre chaotique, il mangeait un beignet et des frites. Les différentes bouchées sucrées salées étaient séparées par de petites gorgées d’un grand café noir.
Une fois sur place, ils constatairent que le bâtiment était comme sur la photo. Il était en brique rouge et malgré ses 7 étages, il avait l’aire minuscule étant donné qu’il était coincé entre deux gigantesques immeubles en verre. Le dossier renfermait même un plan du bâtiment, ce qui permettra aux agents de se déplacer dans les lieux avec une certaine connaissance de ceux-ci. Il ne dure attendre que quelques minutes pour voir apparaitre un premier poisson vêtu d’un long manteau noir. Liz le connaissait peut-être. Ils officialisaient sa venue à BKT par deux clichés capturés avec une caméra numérique munit d'un bon zoom pour compensé la centaine de mètres qui les séparait du hall. Alors que la porte venait à peine de se refermer, le son répétitif d’une arme semi-automatique se fit entendre. Plusieurs balles furent tirées. Quelques fenêtres éclatèrent et permirent de voir une lumière intense. à première vue, une lumière étrange, pratiquement surnaturel, teinté de violet. Un silence permit de croire que la fin était arrivée, mais le son reprit et ne sembla plus s’arrêter…
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| | | Elizabeth Anne Sherman Agent du B.A.M. Beta
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| Sujet: Re: BKT (PV Liz) Lun 21 Fév 2011 - 1:42 | |
| Le travail était officiellement commencé pour nous deux, une mission qui semblait être totalement normale pour commencer, je ne connaissais pas encore Mercer, mais j’ai souvent travaillé avec des différents membres dans le FBI, ils avaient toujours des valeurs et des religions très différentes de mes proches valeurs. Je sais très bien que je suis encore dans la minorité religieuse aux États-Unis, à une victoire, depuis la naissance des États-Unis, du protestantisme antimonarchisme et antibritannique. Je suis chrétienne catholique, simplement à cause de mes origines irlandaises et de la religion catholique qui a touché beaucoup plus le continent durant les guerres de religion. Je frotte encore un peu mes yeux pour me réveiller, je suis encore fatiguée de ma petite matinée. Il me demande aussi quelques détails sur ma vie, alors je m’ouvre un peu.
« J’ai travaillé dans le FBI entre 2006 à 2010 sur des différentes enquêtes ; Mafias russes, mafias irlandaises, tueurs en séries, pédophiles, violeurs et compagnies. J’ai aussi enquêté durant de nombreuses années sur le trafic mutant et sur le terrorisme de la Confrérie. Entre 2004 à 2006, j’ai fais ma formation dans le FBI, entre 1999 à 2004, c’était mon baccalauréat en criminologie à l’Université de Columbia.
J’habitais avant à Brownstown, un petit village voisin de Kansas City. En tout cas, c’est un petit résumé de ma vie. Je vais peut-être pouvoir plus décrire pour mes enquêtes pour plus tard, mais je pense quand même avoir bien travaillée dans plusieurs dossiers importants contre le terrorisme et contre le trafic des mutants. »
Il s’arrête donc à un petit restaurant pour prendre un petit repas, ainsi on va peut-être mieux fournir pour ce genre de missions. Je prends un petit café et un beigne traditionnel. Une longue heure d’attente pour se rendre jusqu’à la construction, mais au moins, j’avais l’ordinateur de base pour le FBI et faire quelques recherches sur les rumeurs proche de cette fameuse compagnie.
En arrivant sur les lieux, la construction était comme sur les précédentes photos, sauf à l’ajout de plusieurs graffitis. Je ne fais pas trop attention au civil avec un long manteau noir, parce que je sais très bien qu’on peut retrouver presque n’importe quoi dans cette ville. La société américaine et surtout la société new yorkaise avait toujours comme grande qualité ; Sa grande diversité culturelle et sociale. C’était peut-être l’une des villes ayant le plus de gens, de la planète. Les coups de feu se font entendre après quelques secondes dans le bâtiment.
Je prends donc la radio pour appeler des renforts.
« On a besoin de renforts au 1125, 5er Avenue, coup de feux entendus… »
Je sors de la voiture en portant ma main sur le fusil, qui est sur ma ceinture. Mercer doit réagir de la même façon pour ce genre de missions, mais il faut toujours s’assurer de la sécurité avant de s’attaquer directement aux dangers. | |
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| Sujet: Re: BKT (PV Liz) Lun 21 Fév 2011 - 3:02 | |
| Les coups de feu retentir et en moins de temps qu’il n’en faille pour retenir son souffle, Liz avait appelé des renforts et sorti de la voiture. Robert n’avait pas bougé de poils pendant ce temps. Il se permit même d’engloutir le reste de son beignet en une énorme bouchée. Le sucre à glacer tomba légèrement sur son chandail de laine. Calmement, voire presque lentement, il sortit de sa voiture et rappela les notions de base à sa compagne qui semblait réagir au quart de tour. D’une voix détendue et encore obstruée par la sucrerie, il dit :
-Surtout, on reste calme.
Mercer en avait vécu bien d’autres et des pires. Ceci avait même l’aire d’une partie de plaisir en comparaison de passé une semaine sans sommeil au fond d’une tranchée humide pendant la 1ere guerre mondial ou d’être torturé dans une caverne au milieu d’un désert irakien. Il ferma sa portière et à mi-couvert il se dirigea vers le côté du bâtiment. Il fit signe à sa coéquipière de le suivre. Il accompagna le signe d’une remarque :
-Il y a des innocents dans ce bâtiment et les renforts vont bien mettre 1h avant d’être ici. Tu as vu cette météo, on doit agir. Allez viens par ici!
La météo était terrible et les routes impraticables. Ceci avait eu comme effet qu’il y avait un taux anormalement élevé d’absence au travail. Une vraie chance pour limiter les victimes d’un tireur fou. Pour l’instant, on ignorait l’identité du suspect, ses pouvoirs, son armement et les raisons de ce massacre. Il s'agissait d'un énorme hasard que le méfait se passe au même moment qu'il y avait des agents du BAM à proximité. Une chance pour les victimes et un malheur pour le malfaiteur.
Adossé aux murs EST, il dégaina finalement son arme. Un CZ 75 chrome avec une poignée noire. Il avait lui-même modifié l’arme pour augmenter la puissance de tire. Une belle arme qui trahissait l’expérience de Robert. Sa main était calme et son visage impassible. On aurait dit une routine pour lui. Le stress était aussi présent chez lui que lorsqu’un individu normal fait son épicerie. Il longea le mur en évitant les fenêtres.
Derrière, il y avait des fenêtres et des portes à chaque étage. Un escalier de secours métalliques et rouillés les reliait toutes. La façade arrière était plus défraichie, voire en mauvais état. Les graffiti se chevauchaient et il y avait même une fenêtre placardée avec un panneau de bois. D’importantes fissures étaient visibles dans la brique. Décidément, si le devant était sommes toute jolie, le derrière était pauvre et délabré.
Après quelques secondes de silence, les coups de feu reprenaient. L’on finit même par entre d’autres armes. S’agissait-il toujours d’un seul type où y avait-il maintenant des échangent? Aucun visuel ne permettait d’en tirer des conclusions définitives, mais lors de l’enquête précédente, quelques armes avaient été trouvées sur place. Elles étaient toutes légales et bien enregistrer si bien qu’il n’y avait eu aucune inculpation sur le sujet. Robert fit un bond et s’agrippa à l’escalier de secours qui se déplia pour atteindre le sol. Un crissement métallique démontra que ces marches étaient mal entretenues, voire dangereuses. Il grimpa sur celles-ci pour rejoindre la première porte; celle de la première étage. À chaque petit pas, il y avait un son aigu qui trahissait leur présence sur le squelette rouillé.
Il vérifia, rapidement que la voie était libre en jeta un bref regard par la fenêtre. Il tenta d’ouvrir la porte, mais celle-ci était verrouillée. Il plaça donc son doigt au niveau de la serrure et avec une légère pression son doigt entra doucement dans la serrure. Son doigt se déformait et prenait doucement la forme d’une clé. Une fois au fond de la serrure, il tourna son poignet et le verrou fit un petit son signalant qu’il était maintenant ouvert. Il ressortit son doigt et celui-ci reprit rapidement sa forme normal. Il ouvrit doucement et avec attention la porte.
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| Sujet: Re: BKT (PV Liz) Lun 21 Fév 2011 - 17:25 | |
| Il était un peu pressé de régler le problème, je connaissais très bien les risques de la mission, surtout des missions improvisées et aléatoires de la sorte. On ne savait rien de la cible… la cible avait des complices autour du bâtiment et on ne savait rien de son danger. Est-ce que c’était un mutant terroriste ou simplement un employé frustré d’être licencié de son travail? Est-ce qu’il agissait en groupe ou individuellement? Est-ce qu’il tenait des otages ou il frappait de façon totalement pour faire un simple petit massacre? Est-ce qu’il avait plusieurs armes lourdes? Je ne savais pas du tout, mais le danger était constant et beaucoup plus risqué qu’un travail de supervision, de surveillance ou de recherche. Je prenais un souffle, je dois quand même suivre mon coéquipier, mais je me sentais très mal de fournir de l’aide pour une mission aussi risquée.
Je n’ai pas vraiment peur de perdre la vie, j’avais peur de la conséquence de ma mort sur mes enfants. Ils vont être obligés de rester avec Wesley et c’est ce que je ne veux pas. J’ai toujours eu l’impression de changer un peu la donne quand je suis à la maison. Il se défoule d’une façon sur moi et non sur mes enfants. Je lance un petit soupire, je fais une petite prière intérieur et je suis silencieusement mon compagnon de travail.
On escalade donc le premier étage avec les escaliers d’urgences, les coups de feu changent de tons à chaque fois qu’on s’avance pour essayer de rentrer dans la construction. Mon 9mm en main, j’essaie d’entendre ce qu’il se passait dans le building. J’avais encore quelques craintes de recevoir une balle dans la tête, simplement en me protégeant contre un mur trop mince. Je n’ai pas fait trop attention comment Mercer ouvrait la porte, j’essayais beaucoup plus d’entendre les coup de feux et essayer de me construire un plan dans ma tête.
Il ouvre donc la porte, je le laisse rentrer en premier et je rentre en deuxième, nous sommes capable d’entendre une voix qui se distingue des autres. Une voix qui s’exclame dans les différents couloirs :
« Minables créatures! Vous êtes une honte pour votre race… »
Je m’avance vers la porte de la salle.
« Vous osez financer ce groupe qui veut nous détruire! Ce sont des simples monstres! Vous méritez de crever comme cette race de démons! »
Cool, c’était un fanatique religieux anti-mutant. C’est très rare depuis quelques temps, j’essaie de rester le plus silencieuse possible, mais les coups de feu recommencent dans ce bordel. Il semble tirer presque partout dans la construction. Je vous dis, j’ai eu une chance de porter mon gilet par balle pour la mission, sinon les deux balles m’auraient perforés l’estomac. J’ai senti les deux coups sur mon chandail pour me faire tomber au sol. Les coups étaient quand même très violents, je reste au sol.
« Putain… »
C’était silencieux, beaucoup trop silencieux, mais je souffrais un peu. Je dois avoir deux belles prunes dans le dos. J’essaie ensuite de me relever le plus silencieusement possible pour éviter que le tireur fou nous entende. | |
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| Sujet: Re: BKT (PV Liz) Mar 22 Fév 2011 - 1:03 | |
| Nous étions à l’intérieur de l’immeuble. La pièce était petite et meublée simplement d’une bibliothèque et de deux chaises en bois. Le maniaque se promenait de pièce en pièce une arme dans chaque main. Dans la main droite, il avait une arme semi-automatique et dans la gauche un pistolet 9mm. Il portait un long manteau noir et de grosses bottes. Ses yeux étaient cachés par de grosses et très sombres lunettes de soleil. Ses cheveux bruns étaient rasés court d’une façon très militaire. Le mec avait surement voulu se donner un style à la Terminator. Ses propos haineux furent cachés par le fait qu’il parlait sur le bout de la langue et que ceci entrecoupait ses mots de petits sifflements…
Les deux agents étaient à couvert lorsque deux projectiles, tirés aléatoirement, passèrent le mur et percutèrent la veste protectrice de Liz. L’impact fut violent et celle-ci chuta. Elle laissa échappé un mot à demi-voix avant de tenter de se relever.
Robert fut surpris par la réaction professionnelle de sa coéquipière qu’il avait cru un peu trop bureaucrate pour agir avec autant d’aplomb. Un silence inquiétant suivit la chute de Liz. En percutant le sol, elle avait fait un bruit considérable qui aurait pu attirer l’attention du tireur. Avec raison, le tireur était au bout du couloir. Il était debout, droit et son ombre imposait. Il fit un pas dans leur direction. Le sol craquait sous ses 100 kg de muscle hypertrophié. Son pas était lent comme si le prédateur pistait une proie. Il avait entendu quelque chose d’anormal. Il pénétrait chaque pièce, tirait au hasard sans réellement explorer les lieux avant de passer une autre porte et de recommencer son manège. Il était de plus en plus près et s’il pouvait s’immobiliser quelques secondes dans le corridor, Robert pourrait le descendre. L’homme entra dans une nouvelle pièce, un cri épouvantable se fit entendre. Une jeune secrétaire sortit apeurer et en pleure d’un placard avant de prendre la fuite dans le couloir. Elle venait à peine de faire deux ou trois pas de course qu’elle s’effondra de toute sa longueur. Son chemisier troué était immaculé de sang rouge. Sa main tomba lourdement à quelques centimètres de la cuisse de Liz. Les yeux vitreux de la victime se plongèrent dans ceux de l’agente. Le fanatique religieux sorti de la pièce que la femme venait de quitter, son pistolet fumait encore. Il fit un pas vers le corps chaud et dégoulinant de sang de la secrétaire blonde. Le sang se rependait sur le sol en trop grande quantité pour que le tapis l’imbibe tout. La scène était troublante, mais Robert se contenta de mettre son index sur ses lèvres pour signaler l’importance de garder le silence. Robert allait tenter de descendre le type avec une balle, mais au moment où il allait se jeté au centre du corridor pour descendre l’individu. Deux types descendirent de l’escalier et appelèrent le meurtrier :
- Alors Rambo, tu en as tué une autre? Dit le premier d’une voix nasale.
Le second poursuivit avec une voix claire qui démontrait qu’il n’avait pas encore 20 ans :
- T’aurais dû voir Rocky… Il a mis deux balles à ce putain de président Damon… Y’avait de la cervelle partout… Ah ha ha.
Ils étaient tous vêtus du même ensemble noir et possédaient tout un armement important. Robert reprit sa place contre le mur pour penser à une nouvelle stratégie face à cette nouvelle situation.
Le plus petit des trois, Sly, reprit avec sa voix prépubère :
- Alors Rocky, c’est comment de buter son patron?
Rocky était l’un des comptables de la boite et il devait être impliqué au max dans les virements de fonds demandé par son patron pour financer les groupes promutants. Une chose que Rocky et son groupe ne pouvaient plus supporter sans agir…
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| Sujet: Re: BKT (PV Liz) Mar 22 Fév 2011 - 4:58 | |
| Il avait de la douleur autour, il avait simplement la douleur, je ressentais encore la douleur des deux balles chaudes qui ont failli me tuer. De plus, ma tête a cogné la tête solidement au sol, j’avais encore beaucoup de difficultés, j’avais beaucoup trop de difficultés. Je dois enlevée mon gilet par balle, c’était nuisible de ressentir la chaleur des balles dans mon dos. Je souffre un peu, mais je reste encore renfermée dans ma cellule de protection. Je ne dois plus souffrir, je ne dois presque rien dire, je dois restée silencieuse. On entendait bien l’ennemi autour de la salle. Il avait frappé aléatoirement, mais je n’étais pas en état de combattre honnêtement, je ne faisais que me relever pour éviter de ressentir la douleur et la mort. J’avais une grande chance d’avoir simplement deux balles dans mon dos.
Je restais encore la plus silencieuse possible, comme je fais toujours dans la vie de tous les jours. Je ne dois rien sentir, je ne dois rien faire d’important, je dois simplement supportée pour éviter de tout recevoir, je dois simplement supportée pour continuer à vivre. Je m’arrête, je me relève et je regarde mon coéquipier qui agit comme un robot pour ses actions. Je ne sais pas encore si celui-ci a fait le bon choix, il n’est même pas venu m’aider. Je vais me questionner plus tard de l’éthique de mon nouveau coéquipier, il a peut-être vécu plusieurs évènements importants et tragiques pour oublier complètement ses sentiments ou peut-être qu’il n’y a rien à foutre de moi. Je ne peux pas blâmée un comportement beaucoup trop individualiste, même moi je le faisais dans mes heures perdus.
Qu’est-ce qu’il fait? J’ai vu une pauvre femme se faire descendre, mais on ne doit jamais descendre le tueur. Les agents du gouvernement ne sont pas fait pour être des justiciers masqués qui combattent jusqu’à la mort contre des psychopathes religieux. On était des gens qui arrêtent les criminels et non qui faisait notre propre justice. On dirait qu’il voulait descendre le criminel, je le regarde la bouche en bas. J’avais envie de brûler sa main, mais j’ai eu un petit saut quand le tueur a commencé à discuter avec ses complices. Ils étaient donc trois et au moins, Mercer n’avait pas tué le fanatique.
Je regarde Mercer quelques secondes avant de lui faire un signe en main. Le premier geste que je lui fais, c’est de rester sur place pendant quelques secondes. Je vais cherchée un bout du miroir cassé au sol, je prends simplement un petit temps pour m’asseoir d’un coté et regarder comment ils sont installés et leurs positions. Je vais leur brûler légèrement leurs mains et leurs pieds, ils ne vont plus être capables de se défendre. Je dis à Mercer :
« Je vais brûlée leurs mains et leurs pieds, ils vont laissés leurs armes et tu les neutralises le plus rapidement possible… Tu ne les tues pas… Tu les arrêtes… »
Je me concentre, j’essaie d’activer mon pouvoir de loin contre les trois criminels identifiés, puis avec une petite surprise de ma propre maîtrise, l’un des premiers tueurs, est touché par mon pouvoir. Puis, je me concentre sur les deux autres qui commencent à crier de douleur. Je fais signe à Mercer d’aller les arrêter, mais j’espère qu’il va quand même garder une certaine sécurité. On ne sait pas combien si ceux-ci sont plus nombreux. Je veux simplement gardée la maîtrise de mon pouvoir, le plus longtemps possible, pour éviter de les cramer au complet. | |
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| Sujet: Re: BKT (PV Liz) Mar 22 Fév 2011 - 23:43 | |
| Robert était surpris de la force physique, mais surtout de la force de caractère dont faisait preuve sa coéquipière. Elle avait reçu deux projectiles et les avait encaissés sans se plaindre. On pouvait pourtant voir la douleur dans ses yeux devenus cristallins sous les balles. Un véritable exploit pour un agent entrainé alors pour une bureaucrate comme elle c’était extraordinaire. Robert comprit qu’elle avait dû en recevoir des coups pour réagir de la sorte, mais il ne s’imaginait pas que cet agresseur était son mari… Pourtant malgré tout le respect qu’elle venait de gagner dans l’estime du robot, il ne bougea pas le petit doigt pour l’aider. Selon lui, elle devait assurer les risques du métier.
L’agent Mercer était un homme juste et il défendrait jusqu’à sa mort les innocents. Pour lui cette valeur n’avait pas de prix. Sa main calme et son esprit clair avaient prix une décision, le fanatique antimutant représentait un trop grand risque à capturer vivant. Le tué permettrait d’éviter d’augmenter le nombre de victimes. La capturé vivant n’était pas une chose facile et Liz sans protection ou une autre victime auraient pu être touché d’ici là. Par contre, le fait qu’il était maintenant trois, compliquait grandement cette décision si bien qu’elle devait être reconsidérée. Il avait lu le plan d’architecture qui était joint au dossier et sans effort il l’avait d’ensemble mémorisé. Alors qu’il se repassait le plan de l’immeuble pour établir une stratégie d’attaque, Liz l’interrompit, un miroir à la main, et lui proposa une solution originale.
Liz était donc elle aussi une mutante. Son pouvoir lui avait permis de neutraliser les trois hommes. Leur main était rouge. Des cloches d’eau apparaissaient sur leur peau. Une fumée et une odeur de viande cuite se dégageaient de leur main. La douleur était si intense que les hommes lâchèrent leurs armes une à une. Le même phénomène devait se passer sur leur pied, car le feutre de leur botte se mit à fondre. Liz était puissante et démontrait un bon contrôle de son pouvoir. Elle facilitait l’arrestation et évitait à Robert de buter les trois types. Ces trois types pourront subir un procès et justice serait faite. Robert en était satisfait, car jamais il ne cherchait à tuer inutilement un criminel. Parfois, c’est inévitable et Robert acceptait ce fait…
Les hommes étaient à genoux et leur cri inondait le couloir. Ils regardaient impuissant leurs armes inutiles qui gisaient maintenant sur le sol. La température dans leurs membres montait encore et le rouge de leurs mains laissait maintenant place à un noir carbonisé. Robert se dirigea à croupis vers les trois criminels. Le mutant avançait doucement et il était précédé par son pistolet. Il gardait sa garde haute, car il savait que le groupe pouvait être plus nombreux. Les cris de douleur augmentaient encore au point de devenir inhumains. Ils s’entendaient dans tout l’immeuble et les complices, s’ils existaient, ne pouvaient absolument pas les rater. Des flammes apparurent finalement sur les mains. Elles étaient jaunes et dansantes presque joyeuse, malheureusement lorsqu’on réalisait qu’elle brulait la chair d’une personne la vision devenait cauchemardesque. Robert finit même par craindre pour les terroristes qui ne représentaient plus du tout une menace. Si ceci continuait, les flammes pouvaient causer leur mort. Ils avaient passé d’agresseur à victime. Robert n’avait pas d’autre choix que de se précipiter vers le feu pour les aider. Alors que le policier n’était qu’à quelques pas d’eux, la grenade que Rocky portait sous son manteau explosa dans un nuage de lumière violette. La nature de celle-ci était inconnue et l’explosion laissait penser qu’il s’agissait d’une grenade aveuglante ou d’une grenade à fragmentation. La lumière violente aveuglait pendant quelques secondes la pyrokinésiste et une fois sa vision revenue elle constata les dégâts.
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| Sujet: Re: BKT (PV Liz) Mer 23 Fév 2011 - 21:58 | |
| Je ne suis pas la meilleure personne pour exploiter mon pouvoir, mais j’étais toujours capable de contrôler bien mon pouvoir selon mes sentiments. Je ne pouvais presque pas réagir, j’essayais simplement de comprendre comment je vais me défendre contre les autres et aussi défendre les innocents contre les criminels. Je voulais simplement me servir de mon pouvoir pour arrêter trois dangereux criminels. Il faut que je me calme, je ferme mes yeux et je me concentre de nouveau. Je ne dois pas perdre le contrôle. Le feu n’est pas mon ennemi, il fait parti de moi… il est à moi. Je vais bientôt perdre le contrôle, je vais bientôt tout démolir et je vais presque tout brûler. Je veux vraiment arrêtée, mais la douleur à mon dos commence encore à amplifier plus mon pouvoir.
Je sais que je suis en train de perdre le contrôle, je dois essayée de me calmer. Je ne peux plus me calmer, j’essaie de me relever, le sol commence à brûler quand je le touche avec ma main. Les murs commencent à brûler, je retourne mes deux mains sur ma tête pour essayer de reprendre le contrôle de mon pouvoir. Le feu n’est pas mon ennemi, il fait parti de moi… il est à moi. Non, il n’est pas à moi, je suis en train de perdre le contrôle. J’essaie d’ouvrir mes yeux pour trouver mon coéquipier et les trois criminels sur place, mais je ne trouve rien. Une lumière éblouissante me saute dans les yeux et je deviens aveugle quelques secondes. Je m’écrase au sol et je lance plusieurs cris de douleurs. Mon dos et mes yeux sont encore plus douloureux depuis que je suis tombée au sol. Une foutue grenade éblouissante ou un truc militaire du genre.
Un peu sonné, j’essaie de me lever mes deux yeux pour regarder le spectacle de ma destruction. J’avais brûlé un peu la construction, mais j’espérais ne pas avoir tué mon coéquipier ou les criminels. Je vais encore m’en vouloir beaucoup. Le feu encore présent contre les murs pour faire marcher les turbines d’eaux aux plafonds. Je ne sais plus quel mensonge rencontrait pour éviter que mon pouvoir me retombe dessus auprès des autorités. Presque personne ne savait que j’étais une mutante.
« ROBERT! ÇA VA? »
Je m’avance dans les couloirs encore plein de fumées à travers les différents couloirs. Puis, j’entends une arme se charger en arrière de moi. J’ai eu simplement le temps de plonger dans une salle à coté pour éviter de recevoir encore une ou plusieurs balle(s). J’essaie de sortir mon arme de ma ceinture, mais le criminel arrive rapidement dans la même salle pour me pointer son arme devant mon visage.
Je vais essayée quelques choses, je sais encore que c’est très risqué, mais je dois réagir pour éviter de crever une balle dans la tête. Je ne voulais pas mourir de cette façon, j’aime mieux me défendre que mourir passivement d’une balle dans la tête. Je ne voyais aucunes blessures sur ses mains, il avait donc encore un tueur de plus dans la construction. J’essaie de lui faire une croche pied pour le faire tomber. Ce qui marche un peu, le criminel tombe au sol en laissant tomber son arme. J’essaie de le frapper, mais il m’en remet une droite directement sur ma gueule. J’arrive quelques centimètres plus loin.
Il me saute dessus avec un couteau de combat. On dirait une scène du film de Speilberg… Il faut sauver le soldat Ryan, quand le nazi commence à approcher son couteau vers le corps du pauvre américain. J’essaie de le retenir comme l’américain faisait dans le film, mais je n’ai vraiment les muscles comme le gros militaire du film.
« Arrêttteeeee! »
Je le sens, je sens presque le couteau rentre dans mon gilet par balle.
« Arrête… putain… j’ai des gosses… »
J’essaie de me débattre le plus violemment possible, je frappe dans le coin le plus fragile de l’homme, mais on dirait que cela le rend de plus en plus agressif.
« Crèv-la mutos! » | |
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| Sujet: Re: BKT (PV Liz) Mer 23 Fév 2011 - 23:24 | |
| La lumière violette avait été intense. Robert en fut paralysé quelques secondes avant de revenir à lui. Le feu avait disparu et ses quelques flammes demeuraient sur les murs. Au sol, les trois terroristes gisaient. Leur main était lourdement brûlée. Leur dextérité avait été remplacée par une douleur intense. Ils étaient allongés sur le sol, tout près de leur arme, mais ils étaient incapables de s’en servir. Leur cri était devenu silencieux, mais des larmes abondantes glissaient le long de leur joue.
Rapidement, Liz s’était assuré que la situation était revenue à la normale, mais sa garde trop basse, elle s’était fait surprendre par un 4e terroriste. Il était obèse et devait faire près de 160kg pour environ 1m75. Son ventre était immense voir gargantuesque. De ce tas de graisse sortaient 4 membres presque rachitiques tellement le coffre était gros. Son crane rasé et poli accentuait l’effet de boule. Sa petite moustache noire et sa peau basanée prouvaient ses origines mexicaines. Il se prénommait Barney. Contrairement à ce que l’on pourrait croire, il se déplaçait avec facilité et agilité, presque avec grâce. Son pas était léger, voire presque dansant.
Une lutte entre les deux protagonistes se déroula rapidement. Ce mastodonte se retrouva par-dessus la policière avec un gros couteau de combat. Les coups de Liz sont sans effets tellement et la brute reste sur son corps. La lame se rapproche dangereusement d’elle lorsqu’enfin le corps de Barney se retire. Sans même comprendre ce qui se passe, le terroriste obèse est projeté au fond de la pièce et frappe violemment le mur. Lorsque Liz ouvre de nouveau les yeux, elle constate la présence de Robert qui est debout, droit, le visage noircit par la fumée de l’incendie. Sans rien dire il constate rapidement que Liz n’est pas blessée et au lieu de gentiment tendre la main pour l’aidé à se relevé, il bondit sur le colosse qui est encore étourdi par son vole plané et le menotte. Le visage aplatit contre le sol et les mains dans le dos, le criminel n’est plus une menace. Les 4 adversaires sont hors combat.
Alors que Robert se dirige lentement vers Liz qui peine à se relever, la secrétaire blonde qui avait été atteinte par Rambo laissa échappé un souffle d’agonie. Robert se précipita donc vers elle et appuya rapidement sur les deux plaies qui laissaient échapper d’importante quantité de liquide rouge. Elle était vivante, mais elle très mal au point. Entre la vie et la mort. C’était qu’une question de temps. Robert enchainait les manœuvres de premiers soins d’une façon automatique et mécanique. Son visage était neutre, voire indifférent, et ses mains calment malgré la tragédie. Chaque geste était posé avec soin et attention pour qu’il soit le plus efficace possible. Les deux mains baignant dans le sang, il demanda à Liz si les renforts arrivaient :
-Alors ces renforts, ils se bougent? Y'a un urgence! Dit –il calmement avec sa voix grave. Seuls les dernier mots étaient un brin plus pront qu'à l'habitude
Robert tentait tout ce qu’il pouvait, mais il ne disposait pas de l’équipement nécessaire pour la sauver si bien qu’il ne pouvait que tenter de ralentir la venue de la mort.
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| | | Elizabeth Anne Sherman Agent du B.A.M. Beta
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| Sujet: Re: BKT (PV Liz) Ven 25 Fév 2011 - 16:11 | |
| Je respire après un bon coup pour éviter de faire une nouvelle crise cardiaque. Je dois vraiment fumée un bon coup, je vais ainsi relaxée de m’avoir fait presque poignarder par un néo-nazi. Je n’étais pas vraiment douée pour les missions d’arrestations ou de physiques avec le défaut de toujours de rester dans une forme physique un peu plus minable que les autres. J’ai toujours été fais pour des enquêtes, des recherches ou encore des autopsies, je ne suis pas fait pour aller sur le terrain. Je le savais très bien, mais Mercer était un cowboy américain, il l’a bien prouvé dans cette mission. On ne va pas avoir de rapports à compléter pour des balles perdues, mais on va avoir beaucoup de rapports à compléter au niveau méthodologique pour dire ce qu’il s’est passé durant la mission. J’espère uniquement que Mercer ne va rien dire pour mon pouvoir, on peut dire que c’est une fuite de gaz. Toutefois, c’est beaucoup trop précis sur les criminels pour développer sur l’idée de la fuite de gaz. Je vais réfléchir pour essayer de faire un rapport correct, peut-être que je vais demandée de l’aide à Hopes pour cacher un peu ma mutation dans les offices du Gouvernement.
Je me relève après un petit temps, je ressens encore le solide coup de poing sur ma bouche que l’évangéliste m’avait donné, mais aussi les prunes sur mon dos à cause des deux balles sur mon gilet par balle. On entend la blonde secrétaire faire un petit cri d’agonie. Quelle chance d’être encore en vie, elle ne pouvait pas réagir longtemps. Son corps était abîmé par plusieurs balles importantes, elle risquait vraiment de mourir ou de terminer sa vie à l’hosto. Je touche ensuite à ma radio pour préciser les renforts demandés.
« Ici, Elizabeth Gibson… j’ai besoin d’ambulances, nous avons plusieurs victimes et c’est très urgent. Je veux une escouade de policiers pour fouiller la construction salle par salle et amenez au cas où, des agents qui peuvent désactivés des bombes. Nous sommes présents, nous avons arrêtés quatre terroriste, nous ne savons pas si d’autres terroristes sont présents…
Bouclez le secteur… »
Quatre policiers patrouilleurs arrivent avec leur 9mm droit vers eux pour bien sûr se protéger. Ils baissent leurs armes quand ils nous voient. Je leur fais d’avancer le plus rapidement possible vers la victime. J’en pointe un.
« À coté, il y a une clinique privée… Toi, tu vas aller chercher les médecins présents pour venir ici et essayer de lui apporter des soins. Toi, tu vas accompagner ton coéquipier. Nous, on reste avec elle jusqu’à votre retour… »
On entend les premières sirènes qui s’avancent vers le lieu. Les sirènes sont toujours très différentes, donc on a signalé les ambulanciers, les pompiers et des différents niveaux de policier des États-Unis. Je vais enfin pouvoir me reposer, fumer une bonne clope et profiter que les policiers fouillent BKT pour commencer mon rapport. Plusieurs policiers arrivent ensuite dans les lieux, après que les deux policiers patrouilleurs quittent pour aller chercher les médecins dans la clinique privée. Les ambulanciers arrivent ensuite. Je décide de partir vers le haut, vers les ordinateurs.
Mieux faire d’une pierre d’un coup. Je parle en même temps à Mercer…
« Tu veux qu’on vérifie les derniers transferts bancaires, on est bien ici pour l’enquête sur l’industrie… ou tu veux te reposer? » | |
| | | Robert Mercer Agent du B.A.M. Beta
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| Sujet: Re: BKT (PV Liz) Ven 25 Fév 2011 - 22:58 | |
| Les secours étaient finalement arrivés. Les lumières et les sirènes des différents corps de sécurité s’entremêlaient au point d’être confuses. Les ambulanciers dévalaient les escaliers aux pas de course et sortaient de nombreux blessés. 6 corps ont malheureusement succombé aux balles avant de voir arrivés les médecins. Les pompiers contrôlèrent les dernières flammes avec des inspecteurs. Les policiers embarquèrent les 4 terroristes et l’équipe SWAT confirma que l’immeuble était vide. Ils trouvèrent quelques chanceux qui avaient évité la catastrophe en se cachant sous le bureau ou dans un placard.
Mercer était impressionné par l’attitude de l’enquêtrice. Elle avait dirigé avec à plomb les secours, malgré le traumatisme qu’elle avait vécu. Cette femme avait été atteinte par 2 balles, elle avait perdu le contrôle de son pouvoir blessant des gens, elle s’était fait tabasser et menacer par une véritable machette… Et elle en rajoutait en voulant reprendre le fil de son enquête. Robert n’avait pas le choix de démontrer autant de courage et il accepta donc de la suivre. Robert n'eut même pas une pensée pour les problèmes que l’agente pourrait avoir suite à l’utilisation de ses pouvoirs. Pour lui, la fin justifiait les moyens et sa manœuvre avait permis de sauver beaucoup de vie. Une bonne action sans aucun doute.
Un médecin accompagné de deux ambulanciers prit la relève pour remplacer l’agent Mercer. Il essuya ses mains dégoulinantes d’hémoglobine contre ses vêtements laissant deux immenses empreintes rouges. Sans plus de soin, il accompagna Liz. Il, monta les escaliers lentement derrière Liz et il plongea sa main gauche dans son manteau et sorti sa pipe. Doucement, il la remplit d’un tabac d’une bonne qualité. Il frotta deux allumettes sur le long du mur et il alluma l’herbe. Une épaisse fumée blanche sortie de la bouche du policier. L’odeur particulaire du tabac se rependit rapidement dans la pièce.
Ils montèrent jusqu’au septième étage. Sans rien dire sans parler de la catastrophe qu’ils venaient de vivre, un peu comme si chacun cherchait à faire le vide. Il dure même libéré le couloir à 3 ou 4 reprises pour qu’une civière puisse évacuer un blessé. Ils se dirigèrent vers le bureau du président. Ils entrouvrirent doucement la porte et constatèrent que la pièce était cauchemardesque. Au centre de la pièce, il y avait encore le corps du président Martin Damon. Il était caché sous un drap blanc qui avait commencé à imbiber le sang de la dépouille. Sa cervelle avait explosé, catapultant des morceaux de chair dans la vitre qui donnait sur la 5e avenue. Dans les murs l’on voyait de nombreux trous laissés par les projectiles. Le tapis beige était taché de sang. Les bibliothèques étaient renversées, la table basse brisée. On trouvait ici et là des douilles. Une plante renversée avait jeté un peu de terre noire sur le tapis. La scène démontrait d’importants signes de lutte et de vandalisme. On trouvait même sur la vitre un message haineux envoyant tous les mutants brulés en enfer. Dans tout ce fouillis, l’ex-sergent trouva l’ordinateur portable qui devait appartenir au président. Le boitier noir était fissuré, mais, à la surprise, l’ordinateur s’ouvrir sans trop de problèmes. Par respect, il tendit l’ordinateur à l’agente qui avait eu l’initiative.
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| | | Elizabeth Anne Sherman Agent du B.A.M. Beta
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| Sujet: Re: BKT (PV Liz) Lun 28 Fév 2011 - 15:14 | |
| La mission était finalement terminée, on n’avait pas terminé la mission au complet, mais au moins, on était un peu plus tranquille que quatre terroristes en furies qui ont décidé de s’attaquer à une industrie parce qu’ils donnent de l’argent à groupe terroriste. Je ne sais pas ce qui est sincèrement le pire, être un groupe financier qui encourage la suprématie des mutants ou un groupe de tarés qui essaie d’exterminer les mutants à cause d’une interprétation différente de la religion christianisme. Je lance un dernier soupire, je sors mes cigarettes quand les policiers mettent fin aux systèmes d’eaux enclenchaient à cause de mon pouvoir, pour éteindre les flammes dans le bâtiment. J’allume ma cigarette avec un petit mouvement de doigt et peu visible.
J’ai l’impression d’être un peu bête, je suis capable de maîtriser un peu mon pouvoir pour profiter au profit mon bien personnel, mais je suis incapable de le servir pour m’améliorer dans mes enquêtes. J’ai brûlé dangereusement trois criminels pour peut-être amputer leurs membres pour le rester de leurs vies. Je ne sais pas… j’ai peut-être été beaucoup plus violente, je viens peut-être de briser leurs vies au complet en brûlant leurs mains. Ils ont bien brisé des vies dans cette construction, à cause de plusieurs principes religieux débiles, qui demandent l’extermination complète d’une race.
Mercer décide de me suivre pour enquêter un peu plus sur les derniers virements financiers et peut-être voir dans le futur, peut-être les fausses entreprises qui sont directement liés à la Confrérie. On va peut-être arrêter aujourd’hui, un groupe qui voulait exterminer les mutants et un autre qui veut encore exterminer une partie de la race humaine. On est donc monté jusqu’à la septième étage, avec les escaliers, je me sentais déjà étouffée après d’avoir monté uniquement trois étages. Vive ma forme physique incroyable!
On se retrouve finalement à la septième, j’enlève mon grand manteau pour le mettre sur un siège, j’enlève ensuite mon gilet par balle pour faire paraître mon simple chandail noir. Je me suis arrêtée devant le miroir de salle principale, bornée avec un décor or, pour vérifier mes blessures au dos. Ce n’était que des petites prunes, mais je vais quand même allée vérifier chez un médecin. Je ne veux pas avoir un gros mal de dos pendant plusieurs semaines, surtout que je travaille depuis un bout, surtout sur le terrain avec le BAM. Je me retourne donc après vers Mercer qui me fait signe que l’ordinateur marche encore, malgré que la salle était complètement démolie. Je décide de m’avancer et par une grande chance, le profil était déjà ouvert. Je pouvais donc déjà naviguée sur les derniers transferts sans chercher le mot de passe. Des noms de compagnies et de bourses arrivent en résultats, mais je m’intéresse surtout aux compagnies les moins connus. C’est souvent le meilleur moyen de reconnaître un peu plus les fausses compagnies qui servent de virement pour les groupes terroristes.
Je note quelques chiffres sur un papier, les chiffres des compagnies qui semblaient peut-être les plus suspectes à mes yeux. Je note aussi sur un pense-bête jaune, que j’ai collé sur la machine, de prendre l’ordinateur comme preuve et la vérifier pour voir tous les liens financiers. Ils pouvaient se passer plusieurs choses si on retrouvait qu’une compagnie avait une affiliation dans les Caraïbes.
« On va laisser les autres agents du BAM, vérifier compagnie par compagnie, je suis en train de te noter les plus suspectes pour vérifier où que les sommes d’argent arrivent habituellement grâce à l’ordinateur du BAM. On va bientôt rentré à la maison…
Voulez-vous vérifier ou me parler quelques choses de plus avant qu’on quitte l’immeuble? » | |
| | | Robert Mercer Agent du B.A.M. Beta
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| Sujet: Re: BKT (PV Liz) Mar 1 Mar 2011 - 0:34 | |
| Robert regarda la femme fumer sa cigarette alors que ses mains pianotaient sur le clavier du portable endommager. Elle prit quelques notes sur un post-it jaune. Robert tournait en rond en fumant d’importantes quantités de tabac. Après chaque inspiration, une fumée blanche et épaisse sortait de sa bouche. Ici et là, il poussait un tas de débris. Il tourna autour du corps sans vie du président. Il s’accroupir près de la carcasse cachée sous un drap blanc. Sans réaction, il fixait le drap immobile. C’était d’une façon détachée qu’il s’imaginait la chair sans vie. La frontière de la vie est si mince. Tout le corps était encore la, mais il était vide, sans âme et Robert avait ce sentiment grandissant qui grugeait son corps. Un peu comme s’il mourrait à petit feu alors que son corps était toujours plus puissant.
Il finit par redresser l’imposante chaise en cuir du président et il prit place derrière le pupitre vandalisé. Il déposa ses deux pieds croisés sur celui-ci et attendait paresseusement la fin des recherches de Liz.
Il reprit son ton de voix bas et calme et il félicita l’enquêtrice d’une façon particulaire :
-Agent Sherman, je voulais vous dire…
Il hésita avant de poursuivre :
Enfin, pour aujourd’hui… et bien je… votre travail…
Mercer se taisait, car il cherchait ses mots comme s’il tentait de décrire ce qu’il ressentait, mais qu’avec le temps il avait oublié ce que ceci était… Il ressentait en fait un important respect pour l’attitude que l’agente avait eu durant la mission, mais il était incapable de lui traduire. Il fermât les yeux et inclina légèrement la tête. Il garda cette position durant plusieurs minutes au point que l’on aurait pu croire qu’il dormait. En fait, le seul signe qui trahissait sa conscience était que chacune de ses respirations était précédée par un important sifflement sortant de l’intérieur de sa pipe et suivit d’une fumée qui caressait ses lèvres avant de s’envoler.
Alors que l’agente finissait avec ses cherches, elle proposa à l’agent Mercer de prendre le relais, mais il décline doucement l’offre d’un signe très lent de la tête. Il aurait surement pu trouver des informations importantes, mais le BAM disposait d’agents cyberpathe entrainés dans le domaine. Ceux-ci étaient des spécialistes et Robert, un surdoué dans le domaine informatique, aurait dû mettre beaucoup plus de temps qu’eux à briser chaque pare-feu et à remonter les historiques. À chacun son domaine. Liz ferma le portable et le glissa sous son bras. Ensemble ils descendirent les 7 étages. Ils donnèrent l’ordinateur à l’un des enquêteurs qui le glissa dans un énorme sac de plastique transparent. Les deux agents, après une journée imprévue et difficile, entrèrent dans le VUS du protagoniste masculin. Il tarda un instant à faire démarrer la voiture. Sans même regarder la femme, il dit à demi-voix :
-Liz… Tu es forte…
Il démarra la voiture et raccompagna l’agente Sherman au QG du BAM.
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| | | Elizabeth Anne Sherman Agent du B.A.M. Beta
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| Sujet: Re: BKT (PV Liz) Jeu 3 Mar 2011 - 12:14 | |
| Je suis une grande fille maintenant, je vais à l’école toute seule sans l’aide de mon père. Je vais allée à l’école sans l’aide de personne, parce que maintenant je suis une grande fille et je suis responsable. Je suis responsable de tout autour de moi, je suis responsable de mon ami et de mon gros chien Dimitry quand on est dehors. À chaque fois, qu’une année passe dans mon corps, j’ai encore plus de responsabilités. Je le savais très bien. C’était des grosses responsabilités dans mon temps, de garder mon chien et préserver la sécurité pour mes amis. Je suis maintenant étudiante dans une petite école secondaire avec mes parents adoptifs. Une autre responsabilité s’ajoute, c’est de contrôler le pouvoir que le démon m’avait donné. J’ai encore plus de responsabilités plus tard, je dois servir pour la collectivité quand je suis rentée dans le FBI. Le patron était charismatique pour essayer de nous sensibiliser le plus vite possible contre les tueurs d’enfants et les violeurs. C’était toujours les criminels les plus dangereux, et ils étaient surtout les cibles préférés de la collectivité pour démontrer que le mal existe parmi les êtres humains. Je marche dans le sang par accident, je déteste cette sensation. La sensation de toucher ce liquide qui se lève sous mon soulier, me dégoute un peu. Je vais être obligée de le dire dans mon dossier que mon pied s’est installé dans une marre de sangs. Je ne faisais pas vraiment attention, mais maintenant, on pouvait justifier de rentrer dans une scène de crime pour trouver les preuves les plus marquantes pour arrêter les virements criminels pour la Confrérie. De toute façon, on ne peut plus accuser personne. Le patron de la compagnie s’est fait descendre par des fondamentalistes religieux et habituellement, les complices criminels, au niveau du financement terroriste, sont très rares sur ce genre de personnes. Ils agissent de façon très discrète et individuelle, en majorité. Je reprends mon gilet par balle pour éviter de le faire traîner sur une scène de crime avant de détourner mon regard vers Mercer, qui me disait quelques commentaires, qui semblaient être positif, je décide de lui répondre avec un simple sourire avant de descendre en bas pour donner l’ordinateur à l’enquêteur. On revient finalement dans la voiture principale, je reprends ma respiration de nouveau, je suis maintenant en sécurité, je ne travaille plus dans un environnement dangereux. J’étais un peu surprise du commentaire de mon coéquipier. Dire que je suis forte, c’est vraiment très gentil et c’était très rare de recevoir ce genre de commentaires. Ce n’était pas aussi le meilleur compliment qu’on puisse me faire, il venait de dire que je suis forte, quand je suis très loin d’être la plus forte. Il ne me connaissait pas encore très bien. Peut-être que je vais évitée d’utiliser le mot cow-boy dans mon rapport… C’est quand même très rare qu’on me refile un petit compliment, après une mission. J’essaie quand même de garder le plus de crédibilités possibles devant le spartiate. Franchement, il ne semblait pas être né à la bonne époque, sans être méchante. Il était un véritable combattant digne des temps romains et pas digne des lois américains et de la Charte Universelle des Droits de l’Homme. « Merci… toi aussi, tu es très fort… » RP Terminé
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