Mathias White alias, Deino (Terminé)

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NOM : White PRENOM : Mathias ALIAS ET SURNOM : Deino AGE :20 ans DATE DE NAISSANCE : 10 Décembre 1990 M ETIER: Commis d'épicerie/Violoniste à ces heures NATIONALITE : Canadien GENRE : Masculin CLAN : Neutre

Pouvoirs :

• Description :
  
  Altération moléculaire sur soi, type: Passif (Mais le résultat lui permet de mieux se défendre physiquement). C'est d'un bien étrange pouvoir qu'à hériter Mathias. Ce dernier lui permets, en touchant des ossements d'anciens d'animaux, d'absorber le code génétique de ces derniers. Loin de s'arrêter là, une fois le code connu, le jeune Canadien peut altérer son propre ADN afin de prendre la forme de ce qu'il à toucher. Ainsi, il devient non seulement un animal, mais obtient aussi les capacités physiques de l'espèce en question, que ce soit au niveau de la force, de la rapidité, des sens, que ces derniers soient améliorés ou réduits par rapport à ceux d'un humain. En tant que tel, ce pouvoir aurait du lui permettre de prendre la forme d'innombrable créature simplement en leur volant leur code génétique, mais le pouvoir de Mathias se trouve à être restreint de maintes façons. Premièrement, la taille et le poids. La forme qu'il prend ne peux pas être deux fois plus petites que lui, ni deux fois plus imposante et ce, en poids ou en taille. Ce qui le limite à une taille variant d'un peu plus d’un mètre à trois mètres, et d'un poids variant entre 60 et 230 livres. Deuxièmement, le type d'animal. Il est incapable d'absorber le code génétique des oiseaux et des poissons. Seuls les mammifères, excepté les humains, et les reptiles lui sont accessibles. Troisièmement, le code génétique doit impérativement être « fossilisé » et c’est pourquoi il ne peu le prélever que sur des ossements. Il ne peut donc pas voler l'ADN d'une créature vivante. Pour couronner le tout, Deino à découvert à ces dépens que rester transformer trop longtemps lui fait peu à peu perdre la raison. L'animal d'on il prend la forme reprend peu à peu le dessus et se dé transformer deviens alors difficile.
  
  Certaines choses restes très utiles à savoirs sur ces transformations. Si Mat perd conscience lorsqu'il est transformé, il est possible qu'il se dé-transforme. Pour cela, il faut que la perde de conscience soit sévère et donc qu'elle dure plus de trois secondes, soit, le temps nécessaire minimum pour se transformer. Si la perte de conscience est légère (moins de trois secondes), Deino restera transformé. Il en es de même avec les états d'inconscience volontaire tel que le sommeil. En ce qui concerne le langage, Mathias est parfaitement capable de comprendre le langage humain (dans la mesure ou sa transformation à une ouïe au minimum équivalente à celle d'un humain), mais, ces cordes vocales s'étant transformer, il ne peut pas répondre avec la langue humaine. Aussi, sa transformation lui permet de comprendre le langage de l'espèce animal en laquelle il a pris forme et il peut tout autant leur répondre. Par contre, il ne le sait pas puisqu'il n'a encore jamais eu l'occasion de discuter avec un confrère Deinonychus...
  
  Mémoire eidétique, type: passif. La mémoire de Mathias est tout simplement phénoménale. Il est capable d'enregistrer une énorme quantité d'information et de s'en rappeler bien longtemps après. Il n'oublie jamais un visage, un son, un lieu, ou encore une série de donné. Par contre, il n'égale pas le niveau des génies de ce monde. Inconsciemment, il n'enregistre pas ce qui parfois lui semble peu important. Ainsi, il lui arrive au même titre que bien d'autre, d'oublié des événements, bien qu'il se rappelle une personne, si il l'a simplement croisé à un coin de rue, il ne seras pas capable de savoir ou il la rencontrer. Sa mémoire est donc sélective et choisit ce qu'elle enregistre ou non. Bien sûr, s'il le souhaite il peu volontairement enregistré certaines choses et c'est la que sa simple mémoire deviens bel et bien un pouvoir mutant. Lorsqu’il décide d’utiliser ce pouvoir pour se remémorer quelques choses, réfléchir une fraction de seconde suffit pour avoir un donné, mais fermer les yeux quelques instants est nécessaires pour « visionner » un souvenir. Les pouvoirs de Mathias sont parfaitement lier. Bien qu'au premier abord les deux n'ont rien à voir ensemble, c'est sa mémoire absolue qui lui permet d'enregistrer les codes génétiques de ce qu'il touche. Malgré tout, même sa mémoire à ces limites. Deino ne peu ce souvenir que de deux codes génétiques à la fois. Il peut, dans le meilleur des cas en saisir un troisième et se transformer immédiatement, mais s'il n'en oubli pas un pour enregistrer le nouveau, il ne pourras plus prendre cette forme une fois qu'il se seras dé-transformé. Lorsqu'il est sous forme animale, Mathias peut utiliser sa mémoire pour enregistrer ce que bon lui semble au même titre que sous sa forme humaine. La seule différence réside aux résultats eux-mêmes puisque étant enregistrés avec les facultés (vue, ouïe, odorat) de sa forme, il ne pourras voir les événements passé que du point de vue de la bête qu'il était au moment de ces dit événements.
  
  

• Niveaux de maitrise:
  Mathias contrôle parfaitement son pouvoir de transformation... Lorsqu'il s'agit de se transformer. Malgré sa grande rapidité à changer de forme ( 3 à 9 secondes dépendamment de la taille), le jeune Québécois ne peux faire de semi transformation. C'est tout, ou rien, impossible de seulement se faire sortir des griffes ou des crocs. Lorsqu’il acquiert une nouvelle forme, son nouveau corps demande parfois un temps d'adaptation, temps durant lequel il doit en prendre le contrôle total. De plus, il lui arrive d'avoir des « appels de la bête ». Parfois, lors de situation précise lié avec l'instinct de l'animal qu'il est devenu, ce dernier cherche à resurgir et à prendre le contrôle, que se soit pour manger, fuir ou attaquer. Deino rentre alors dans un conflit interne, combattant l'esprit de la bête afin de garder le contrôle. Ce genre de situation est rare, mais lorsqu'il reste trop longtemps transformer, cela peu rapidement dégénérer. La bête peut prendre le dessus et plonger le jeune Québécois dans une sorte d'inconscience, de laquelle il ne peut que très durement et douloureusement se sortir. Cette durée dépend si Mathias est habitué ou non à la forme et à la force de cette dernière.
  
  Créature carnivore : 4 heures : « Appels de la bête » de plus en plus fréquent.
  4 heures : Combat constant contre la bête.
  5 heures : Perte de contrôle prolongé et épuisement
  6 heures : Perte de contrôle presque totale.
  7 heures : La bête prend le dessus.
  
  
  Si l’animal à un instinct combatif plus faible (herbivore), une heure est ajoutable à tous les stades de perte de contrôle. De même, si la créature est habituelle pour Mathias (il n’a présentement qu’une forme et elle l’es), ce sont deux heures qui sont ajoutables à tous les stades. Dans le sens contraire, c’est une heure de moins pour une créature non habituelle. Ainsi, la forme de Deinonychus du jeune Canadien prend 6 heures avant de commencer à créer des problèmes et un herbivore non habituel prendras autant de temps qu’un carnivore de base.
  
  Une créature est dite non habituelle quand : Elle à moins de transformation à son actif.
  Stade de « base » : Plus de 10 transformations mais moins d’un an d’utilisation.
  Stade Habituelle : Forme animale utiliser depuis plus d’un an.
  
  Ensuite, ces premières transformations étaient secondées d'une perte vestimentaire. Ces vêtements ne suivaient pas le mouvement. Désormais, la majorité des textiles le suivent, seul les habits trop épais ou les chaussures s'y refuse. De plus, s'il est blessé lors de sa transformation, il y a de très forte chance que les vêtements se retrouvent déchirer une fois de retour sous forme humaine, car il garde ces blessures peu importe sa forme jusqu'à ce qu'elles soient guérite. Les seules exceptions sont si elles atteignent un membre absent sous l'une des formes ex: Si sous forme dinosaure il c'est fait tirer une balle dans la queue, elle disparaîtra sous forme humaine et lorsqu'il se re-transformeras, elle ne seras plus car chaque transformation est comme une remise à zéro à partir d'un code génétique qui lui ne change pas. S'il tente de transgresser les limites de son pouvoir afin d'absorber le code génétique d'une créature trop grand ou d'une race inaccessible, Mathias se torture lui même. Tenter d'absorber de tel donné corromps son propre ADN. Il à alors l'impression que son sang bouillonne, son cœur pompe rapidement, en panique. S'il continue il se grille des cellules au niveau du cerveau et partout ailleurs dans son corps. C'est plutôt problématique car son pouvoir tente au moindre touché d'absorber l'ADN de ce qu'il touche. Il est à considérer que manger du poulet ou toutes autres viandes n'est pas un problème, le corps de ses animaux n'étant pas à un stade "dessécher", le contact avec les os n'enclenche pas son pouvoir. Heureusement pour lui, son état émotionnel n'influence pratiquement pas le contrôle sur ces pouvoirs. Seul son état d'esprit peu aider la bête qui est en lui à prendre le contrôle. S'il est en colère, un prédateur auras plus de facilité à prendre le dessus, tendit que s'il à peur, une proie voudras fuir.
  
  En ce qui concerne sa mémoire eidétique, elle agit par elle-même, enregistrant ou non tout ce qui l'entoure. Il est capable d'enregistrer volontairement quelque chose, mais pas l'inverse. Si son cerveau décide d'enregistrer, il ne peu pas l'en empêcher.
  
  
• Lien entre les Pouvoirs: Les deux pouvoirs de Mathias sont lié à l'absorption. L'un absorbe les données génétiques et l'autre les données mémorielles.
  

Description Physique :

• Apparence : D'une taille d'un mètre 70 pour un poids total de 57 kg, Mathias est légèrement plus petit que la moyenne. En forme, il n'est néanmoins pas particulièrement musclé, pour ne pas dire qu'un peu plus de muscle ne lui ferait pas de mal. Il porte ses cheveux de plusieurs teintes châtain sombre ou claire, mi-long. Généralement en pagaille, il ne se les coiffes que lorsqu’ils les plaque contre son crâne vers l’arrière afin de libérer son champ de vision. Ses prunelles sont d’une couleur noisette grillée avec de légère variation de vert qui ne sont visible qu’avec un bon niveau de lumière environnante. Loin de faire attention à son apparence, il porte souvent une barbe et une moustache âgées de quelques jours. Sa peau garde un teint minimum bronzé même en hiver, Deino passant beaucoup de temps à l'extérieur. Ces pommettes hautes et son nez au bout arrondi terminent la description de son visage.
  
  Il ne s’habille pas à la dernière mode, Mathias porte simplement ce qu’il aime. Généralement, les t-shirts noirs ou rouges et les jeans prime. Une veste sans manche agrémente parfois le tout. Un manteau en cuir noir ou marron s’impose lorsque le ciel semble mauvais, le tout se terminant par une vieille paire de basket. Il lui arrive parfois de porter des gants sans doigts par temps froid, ceux avec doigts nuisant à sa capacité pour jouer du violon.
  
  

• Signes Particuliers : Une fine cicatrice part de son arcade sourcilière droite vers son front.
  
  Le second trait marquant de Mathias est la raison même pour laquelle on l’appelle Deino. Il a gardé en mémoire la première de ses transformations qu’il utilise principalement pour se défendre en cas de besoin:
  
  

  Spoiler:

  
  
  

Caractère :

• Mental :
  
  Mathias est ce qu’on appelle un optimiste. Il cherche toujours une raison pour être un minimum heureux, même dans les pires situations. D’un tempérament bon vivant, il essaie de profiter de la vie, tout simplement. Sa philosophie est qu’en ne pouvoir prévoir demain, surtout dans un monde tel que celui-ci, il vaut mieux profiter de chaque instant. Sa façon de réagir légèrement, même face à des insultes qui le visent directement dans quel cas il préfère jouer avec les mots que s’offusquer, frustes parfois ceux qui l’entourent et il se contente de répondre par un sourire.
  
  Le jeune Québécois possède quelques passions, et le violon en est la principale. Il adore son instrument de musique qui est en fait, le seul objet à lequel il attache une certaine importance. Dès que l’ennui semble vouloir l’accoster, il attrape son violon et se met à jouer par pur plaisir. Bien que parfois il joue dans la rue pour se faire de l’argent, il préfère largement le faire en se disant qu’ainsi il partage sa bonne humeur au lieu de seulement quémander. Fervent écologiste, son pouvoir la pousser à s’intéresser au monde animal. Bien que n’ayant aucun moyen d’agir directement dans le domaine, il se contente de nourrir les quelques chats et chiens du cartier quand ceux-ci se pointe à sa porte. C’est aussi son pouvoir qui la attiré à s’intéresser aux dinosaures, créatures depuis si longtemps disparue de la planète terre. Il ne possède aucun livre, mais tous ceux qu’ils à lu sur le sujet son enregistré dans sa mémoire.
  
  Pour finir, la situation mutante intéresse de près Mathias et avec raison, puisqu’il en est un. Malgré tout, il a décidé de rester neutre dans ce nouveau conflit mondial. Les membres de la confrérie font trop de dégâts à son goût, usant de violence dans ce monde déjà bien tacher de sang.En ce qui concerne le B.A.M., Mat pense que cette organisation est nécessaire. Elle rempli le rôle de la "police" lorsque les choses concernent les mutants et garde une neutralité respectable. Seul quelques rares rumeurs concernant certains types d'armes utilisés l'effraie un peu. Mais comme toute rumeur, il préfère ne pas s'y arrêter. Quant aux X-men, il les considère un peu trop ma tu vu. Deino veut bien croire qu’ils ont sauvé un nombre incalculable de vie, mais il n’en reste pas moins qu’ils usent de violence. On pourrait presque croire que Mathias est un pacifiste, mais ce n’est pas le cas, c’est juste que ce qu’il désire par-dessus tout c’est de vivre sa vie le plus simplement possible. S’amuser chaque jour qui passe, tenter d’apaiser ceux qui souffrent autour de lui et même, dans le meilleur des mondes, trouver l’amour.
  
  Et oui! Même lui n’est pas à l’abri de ce rêve. Par contre, il en est un étranger. Tout ce qu’il connaît réellement de ce domaine est ce qu’il voit chez les autres ou à la télévision. Son adolescence à fait en sorte que Mathias souffre d’un blocage au niveau des émotions fortes, surtout celles de ce type. Quand on ne peux expérimenter par soi-même, on se retrouve forcément un jour ou l’autre face à un problème de taille : Qu’est-ce que l’amour? Que faut-il réellement ressentir pour l’autre? Est-ce que cela doit essentiellement être physique, comme chez les animaux ou existe-t-il vraiment une personne quelques pars fait pour nous? Face à cette situation, Deino fait la seule chose d’on, il se sent capable, il bloque ces sentiments, enfermant toutes ces sensations étranges et inconnues sous une couche de bonne humeur apparente. Dans le fond, il à juste peur. Peur d’aimer et d’être aimée, peur de ce que cela peu entraîner, peur de faire erreur, de souffrir ou de faire souffrir. Pour couronner le tout, les rares fois ou il aurait ressenti ce qu’il croit être un peu d’attirance pour une autre personne, celle-ci était un homme.
  
  

Histoire :

• Talents Particuliers : Sa capacité à jouer du violon est certainement le plus grand talent de Mathias. Il connaît toute ces partitions par cœur et s’amuse dans ces temps libre à en écrire par lui même. Anciennement, il était un très bon élève, sa mémoire lui permettant d’enregistrer la matière pour la recracher sur demande aux professeurs. Pur finir, il parle couramment le Français, l'Anglais et à une base en Mandarin.
  
  
• Possessions : Un petit studio 2 1/2 lui sert de chez soit. Perdue dans un bas quartier de New York, rien n’est notable sur ce logement excepté qu’il s’agit d’un demi sous sol toujours plongée dans la pénombre, les lumières étant et de loin insuffisante pour l’éclairer. Les seuls vrais meubles qui s’y trouve son un divan lit et une table base. Mathias ne sait jamais donner la peine d’embellir l’endroit, afin d’être près à partir à tout moment.
  
  Monétairement parlant, Deino garde toujours quelques centaines de dollars bien caché de façon éparpiller. Certains billets sont sous une tuile de céramique de la salle de bain, d’autres entre les deux dernières assiettes de sa pile de couvert. Ils possèdent aussi deux cachette dans le plafond suspendu, une au salon et l’autre dans la seule garde-robe de l’appartement.
  
  Pour finir, son violon noir est vraiment le seul objet à lequel il attache une réelle importance. Il l’entretient presque tous les jours et le garde à l’abri dans son étui ou se trouve aussi tout ce qu’il faut pour son entretien et ses réparations.
  
  
• Biographie :
  
  Sourire d’enfant.
  
  Mathias White est née au Canada, plus précisément dans la région du Québec, au Lac-Saint-Jean. Son père, d’origine américaine lui à fait hérité de son nom anglais. Ce dernier était soldat dans l’armée canadienne. Il c’est marié au début de la vingtaine avec sa femme, la mère de Mathias qui était alors tout juste majeur. Les deux étaient un peu perfectionnistes mais surtout, croyant et suivaient donc avec soin les anciennes doctrines de l’église. Ce qui est étonnant c’est qu’ils n’ont eu qu’un seul enfant, Mathias. Le fait étant que Jean (le père) voyageait beaucoup pour son travail et que malgré toute sa bonne foi, Maryse refusait d’élever plusieurs enfants qui ne connaîtraient presque pas leur père.
  
  Lentement, le temps passa. Le jeune White entama ces études, passant plus de temps à étudier qu’avec les autres enfants. Il ne faisait pas cela par amour des études, mais bien parce qu’il avait rapidement compris que ce faire des amis ne servait à rien, puisqu’il les perdaient après quelques mois, voir quelques semaines. Son seul compagnon était son violon noir, qu’il avait depuis ces six ans. Bien que de taille pour un adulte, le jeune garçon l’adorait et refusait de l’échanger contre un instrument pour enfant. Cette situation changea drastiquement l’année de ses onze ans. Son père venait d’hériter d’un poste stable au ministère de la défense dans la ville de Québec, permettant à sa famille de quitter son statu de nomade.
  
  Le hasard faisant bien les choses, Mathias étant née en Décembre, il avait donc pus commencer ces études un ans plus tôt et au final, il commença le secondaire la même année que ce changement. Habitué au déménagement, il s’enquit peu des changements que comportait sa nouvelle institution pour se consacrer à ce qui l’intéressait vraiment, se faire des amis. On ne peut pas dire qu’il à échoué. Il c'est vite rapprocher d'un groupe de jeune garçon qui recherchait toujours les ennuis par plaisir. Enfin d'intégrer le groupe, Mathias délaissa de plus en plus les études sur lesquelles il c'était concentré toute ces dernières années, puisque ces dernières étaient les seules à l'accompagner dans tout ces déménagement. Étrangement, ces notes chutèrent très peu, même que plus le temps passait, plus elles devenaient excellentes ce qui était en totale contradiction puisqu'il s'en occupait de moins en moins. Sa mémoire eidétique venait de s'éveiller face à ce nouveau mode de vie, enregistrant ces cours ce qui lui permettait de vivre pleinement sa jeunesse sans craindre pour ces études et donc, pour ces parents. Ces derniers ne prirent conscience de rien, ce contentant d'être les heureux parents d'un fils qui réussissait. Pendant près de deux ans, le jeune Mathias vécus la vie que tous souhaitaient. Une bonne situation familiale, financière, aux études et entre amis. Tout allait pour le mieux, la seule chose qui l’effrayait alors était les histoires sur les mutants qui n’étaient que des monstres. Étant d’une famille un peu trop catholique, il était tout comme ces parents contre ses monstres inhumains qui devenait de plus en plus nombreux. Loin d’être raciste envers les gens de couleurs ou de d’autre nationalité, il était pourtant sur que les mutants étaient seulement des créatures du diables.
  
  Sourire carnassier.
  
  Comme tous le savent, chaque bonne chose à une fin. Pour Mathias, sa courte vie de bonheur devait s’arrêter l’année des ces treize ans, plus précisément le 8 Mai 2003. C’était une sortie scolaire comme toute les autres. Profitant de la proximité des musées, l’école organisait à chaque année des voyages pour les étudiants. Cette fois-ci, le musée de la civilisation accueillait une exposition sur les dinosaures, chose que Mathias, au même titre que tout ces jeunes copains avaient plus qu’envie de voir. La journée se passa à la perfection. Ils entamèrent la visite pas l’exposition permanente sur l’histoire du Québec, chose que Mathias trouvait forte ennuyante puisqu’il avait déjà vue tout cela l’année d’avant et qu’il s’en rappelait fort bien. Puis, l’heure du dîné passé, les jeunes commencèrent la visite de la nouvelle exposition. Après une bonne heure à suivre un guide qui semblait plus réciter un texte de théâtre que parler d’un sujet qui l’attirait, le groupe tomba en visite libre.
  
  Quand il y repense, Mathias se dit qu’il en se tenait pas vraiment avec des vrais amis. Ils étaient plus membre d’un groupe turbulent de jeune garçon qui se plaisait à défier l’autorité, son statue d’intellect le protégeant de celui de voyou. La visite en ayant lassé plus d’un, ils se mirent rapidement à se lancer des défis stupides. Le jeune White ne participait pas trop, comme à son habitude, mais il était beaucoup plus calme que ce à quoi on pouvait s’attendre. Depuis son entré dans les salles de l’exposition, il ressentait une étrange sensation, comme un appel intérieur. Aussi, il ne pouvait s’empêcher de fixer un squelette de Deinonychus, ou plutôt, ce qu’il en restait.
  
  -J’te paris que té pas game de toucher…
  
  Mathias releva la tête. Alexandre, dit Alex le fixait de son air de défis habituel. Retournant la tête en direction du squelette, le jeune intello pris un temps avant de simplement répondre.
  
  -Il doit y avoir un système de sécurité…
  
  Alex sourit encore plus, regarda autour afin de voir les agents de sécurité et d’un vif mouvement, glissa ses doigts contre les vieux os.
  
  -Il est trop pauvre le musée, on’é pas à Ottawa icitte!… T’as peur?
  
  Fronçant les sourcils, insultés par cette remarqua Mathias pris sa décision. Le cœur battant, il vérifia par deux fois ce que faisait les gardes aux alentours et à son tour, toucha les os. Tout comme il retirait sa main sous les rires vainqueurs de ces quelques « copains », un malaise le saisi. Il devint pâle. Le monde se mit à tanguer autour de lui et avant que quiconque comprenne quoi que ce soit, il se laissa tomber sur son séant croyant faire une perte de conscience, ce qui était plus au moins le cas. Il ferma les yeux, tendit qu’une étrange impulsion se mit à parcourir son corps.
  
  Lorsqu’il les rouvrit, il eu d’abord l’impression d’être dans un rêve. Sa vision était étrange, les couleurs lui semblaient plus vives mais surtout, tout lui semblait on ne peu plus précis. Il avait l’impression de voir comme à travers les yeux d’un aigle, tel que les documentaires l’expliquait parfois. Son ouïe aussi était étrange, il entendait légèrement mieux, bien que certains son pourtant connu lui semblait désormais faux. Mais tous ces sens, l’odorat était le plus étrange. C’était comme si il voyait ce qui l’entourait grâce aux odeurs! Mais toutes ces découvertes étranges furent chassé lorsque enfin un semblant de compréhension lui vint à l’esprit. Il n’était pas dans son corps à lui, parce qu’il y avait quelqu’un d’autre, quelqu’un qui n’aimait pas sa présence et qui le lui faisait savoir en le « poussant » de côté afin de garder le contrôle de ce corps. Ce qu’il ne savait pas à ce moment, c’est qu’il c’était transformé et que ce qu’il prenait pour le corps de la chose qui lui servait de voisin mental n’était autre que le sien, que la «bête » du Deinonychus contrôlait à sa place.
  
  Combien de temps exactement c’était déroulé depuis sa reprise de conscience, impossible de savoir mais c’est à ce moment là qu’il remarqua enfin ce qui l’entourait. Laissant de côté ce corps et cette bête inamicale avec qui il le partageait, il remarqua enfin que des gens couraient loin de lui, criant et hurlant. Que le corps dans lequel il se trouvait était en mode défensif et qu’il criait, à la recherche des siens, perdus dans ce monde nouveau. Un gardien de sécurité apparu soudain, arme au poing. Il tremblait tellement que Mathias lui-même le trouva ridicule. Mais lorsqu’il compris que la bête avec qui il se trouvait songeait à en faire son repas, il changea d’avis et implora mentalement le gardien de tirer. Ce qu’il fit. Le Deinonychus plongea vers l’avant, la gueule prête à agripper l’humain afin que ces pattes arrière l’éventrent. Tremblant, le gars de la sécurité recula d’un pas, glissa et tomba. Dans sa détresse, le gardien appuya sur la détente. Le coup de feu partit. La balle qui tout juste une seconde plus tôt aurait tué la bête, frôla le museau de cette dernière de bas en haut pour au final, ne pourfendre sa chair qu'au niveau de son arcane sourcilière droite, ce dont il n'eu même pas connaissance. C’est le bruit de l’arme qui avait terrorisé la bête. Étourdit, sonné par ce bruit sourd digne d’un coup de tonnerre, il tourna le dos à l’homme pour fuir.
  
  Sortant de la salle d’exposition en trombe, le Deinonychus se retrouva à nouveau entouré d’humains qui fuyait, confus, il ne savait que faire. Pendant tout ce temps, Mathias avait plus ou moins compris la situation. La scène venait de se déroulé là où il se trouvait exactement avant sa perte de conscience… Et si? Refusant pour l’instant d’accepté cette situation, il n’en restât pas moins convaincus que si le dinosaure ne s’en sortait pas vivant, lui non plus. Il passa donc à l’attaque. Gagner se combat mental lui était impossible, mais n’abandonnant pas pour autant, il influença la bête en lui indiquant comment fuir. Décidé à survivre et surtout à fuir, la bête, qui se révélait fort brillante suivit les directives de son guide de l’ère moderne. Passant au côté de la foule, il passa le pont de l’entré du musée, tout droit en direction des portes. Indiqué à un dinosaure où se trouve la sortit est une chose, lui expliquée comment utiliser une porte en es une autre. Passant au travers de la vitre de la porte dans un vacarme de verre, la bête se retrouva à nouveau entouré d’humains hurlant mais surtout, de voitures puantes, d’immeubles de bétons, bref, d’un autre univers. S’en était trop pour le dinosaure qui ne savait plus ou donner de la tête. Mathias en profita. Il prit le contrôle du corps tendit que la bête, épuisé se terrait sur elle même.
  
  Conscient de contrôler se corps comme s’il était le sien, de toute les capacités et prouesses dont ils étaient désormais capable, il prit la fuite tendit que les sirènes de police se rapprochait dangereusement. Longeant un moment l’avenue principal, il bifurqua dans une ruelle lorsque que des véhicules noir et blanc entrèrent dans son champ de vision.
  
  Le reste de la journée, Mathias la passa à se terrer. Se faufilant de-ci de là parmi les allé sombre, évitant au mieux tout contact avec les humains normaux à lequel il le savait, il ne faisait plus partit, il termina sa fuite dans un parc. Caché entre deux bosquets de roses, il attendit, effrayé, la venue de la nuit. Que pouvait-il faire maintenant? Perdue, incertain, il pris la direction de sa maison seulement aux petites heures du matin. Il ne se sentait pas bien, la bête s’était calmé et plus le temps passait, plus elle tentait de ressurgir, clamant le corps comme son du. Il ne savait pas que la peur l’ayant paralysé, il avait eu beaucoup de chance de garder le contrôle si longtemps. Une fois entrés sur le terrain arrière de sa famille, le cœur battant, il pris la direction de la porte de la cuisine. La lumière était ouverte, mais personne en vue. Sa vision lui permis de distinguer ses parents au salon, assis en silence. Son cœur se serras. Que devait-il faire? Il n’était plus que l’un de ses monstres! Près à repartir, trop effrayé à l’idée de se présenter ainsi Mathias se haïssait d’être incapable de reprendre sa vrai forme. La bête tentât un nouvel assaut, furieux, il la repoussa brutalement, plus loin que de coutume ce qui lui permis, à sa grande surprise, de se détransformer. Non seulement son combat intérieur lui avait fait pousser quelques cris, mais son retour à la normal, désormais conscient le fit hurler de douleur. Il resta figer un instant perdu. La porte de la cuisine coulissa, permettant à la lumière de l’éclairé, lui, simple humain dans sa robe d’Adam qui se révélait être un mutant.
  
  Sourire perdue.
  
  Son retour à la maison c’était fait sous le regard des forces policières. Sa transformation s’étant déroulé devant le regard effrayé de ses amis et neutre de la caméra les avaient rapidement guidé chez les Whites. Il ne repris pas les cours cette année là. Ils déménagèrent à Ottawa. Cachée dans ce milieu anglophone, la famille tenta de reprendre une vie normale. Son père quitta son emploi avant de partir et une fois à nouveau installé, il devint vendeur de voiture. Il ne désirait plus montrer son visage au monde, trop honteux qu’il l’était. Depuis l’événement fatidique, il ne parla presque plus jamais à son fils, seulement dans de rare cas pour lui dire quoi faire. Quant à la réaction de Maryse, elle était tout autre. Elle couvait désormais son fils plus que jamais, comme s’il souffrait d’un handicap sévère. L’intelligence de Mathias nu fut plus jamais venté par ces parents qui comprenait désormais que cela était un résultat de sa mutation.
  
  Au début, le jeune White tenta de surmonter la situation, chose difficile à faire lorsque l’on se considère comme un monstre. Il parvint tout de même, avec l’aide de son psychologue à s’accepter en tant que tel, après deux longues années de thérapie. Malgré tout, ces parents restaient fermés au sujet, sa mère pleurant presque à chaque fois qu’il en était question et son père devenant aigris voir violent. Désirant tout sauf gâcher ce qui pouvait rester de la vie de ces parents, le mutant se renferma sur lui-même jusqu’au point ou ses rencontres avec son spy ne servent plus à rien, puisqu’il se refusait désormais à parler. Âgé de tout juste 15 ans, il soufrait déjà de dépression. Plus rien ne l’attrayait, ne l’intéressait, la seule idée de se lever lui semblait futile. Perdu dans ce monde qui est le nôtre, il se refusait à vivre normalement afin de purger sa peine pour avoir ainsi détruit sa famille.
  
  Le suicide lui paraissait alors la meilleure des solutions. Sa mutation était un problème sans autre solution et sans lui, sans doute Jean et Maryse se referaient une meilleure vie. Oh, bien sur sa mère le pleurerait, elle serait triste et anéantit un moment, mais tout rentrerait dans l’ordre une fois qu’elle reprendrait goût à la vie sans mutant. Malgré tout, il ne pouvait si résoudre.Cette idée le hantait, mais jamais il n’essaya quoique ce soit. Être un mutant étant hors de son contrôle et puis, il y avait certaine chose qu’il aimait trop pour quitter ce monde. Son vieil ami de toujours, son confident, son violon. Bien que son répertoire n’était plus que musique sinistre et triste, le plaisir qu’il ressentait, agrémenté du sentiment de libération lorsqu’il jouait lui donnait sa raison de vivre. Tel un junkie à sa drogue, Mathias ne vivait que pour sa.
  
  Sourire retrouvé.
  
  C’était un soir de printemps. Il faisait chaud, il ventait peu et il mouillait à seaux. Bref, un vrai jour de printemps québécois. Mathias venait de terminer son court de violon. Sortant sous la pluie, il se dirigea vers la rue. Normalement, il se serait mis au bord, normalement, il aurait fait signe à un taxi, normalement, il serait rentré chez lui. Mais pas ce soir-là. Il alla s’assoire sur un vieux banc. Pour une quelconque raison, il ne se sentait pas le courage de rentrer et de jouer la même mascarade qu’il jouait depuis toutes ces années. Il avait désormais 18 ans, et pourtant, il vivait toujours comme un enfant. Il suivait toutes les directives de ces parents à la lettre, il faisait tout pour les rendre un tant soit peu fier de lui. Peut-être était-ce l’annonce de son père faite la veille? En arrivant à Ottawa il avait repris ces études. Normalement, il rentrait à l’université à l’automne qui suivait. Normalement, il s’y aurait inscrit en musique. Mais son père avait dit non. Son père avait décidé qu’il étudierait pour devenir avocat, afin de se faire pardonné auprès de la société pour être ce qu’il était. C’était stupide. Qui voudrait de lui comme avocat? Excepté les autres mutants… Il venait donc de quitter son dernier cours de violon à vie. Il n’avait plus rien à y apprendre depuis longtemps, aussi, il servait plutôt de professeur aux jeunes mutants qui étaient acceptés. Sa situation en tant que tel était peu connue, mais les directeurs étaient toujours au courant de tout. Aussi il avait été « logique » de le placé à ce poste.
  
  Soupirant, il ferma les yeux. Cette situation devenait insoutenable. Il avait presque repris goût à la vie lorsqu’il avait décidé d’étudier pour devenir un musicien accomplie. Mais la, quelques paroles et tout s’effondrait. Une odeur de cigarette lui fit rouvrir les yeux. Un homme qui semblait proche de la quarantaine lui offrait le produit fumant. Habillé en clochard, il en aurait fait fuir plus d’un, mais Mathias ne regardait plus ce genre de chose depuis que lui-même, qui semblait si banal, était capable de prendre la forme d’un dinosaure. Car il le savait, le code était encré en lui et il n’était pas près de l’oublier.
  
  -Désolé, je ne fume pas…
  
  -Ahh… C’est dommage, ça t’aurait p’têt fait sourire un peu.
  
  -Hum… Si seulement sa le pouvait…
  
  -Ah! Sa, ça dépend que d’toé mon garçon!
  
  Un sourcil levé en signe d’interrogation, Mathias observa un peu mieux l’inconnu. Des rides de sourire sillonnaient sa peau, il était assez crasseux pour que même la nuit et la pluie réunit ne soit pas capable de faire croire son état plus favorable et pourtant, elles ne parvenait pas non plus à camoufler dans la noirceur le petit sourire qui naissait à ces lèvres à chaque bouffé. Comprenant sa question silencieuse, il repris.
  
  -Tu vois, tout dépend de ta façon de penser. Mon truc à moi, c’est l’optimisme mon garçon.
  
  Il leva sa main, plaçant sa cigarette à l’horizontale entre eux d’eux, tout juste sous le niveau des yeux.
  
  -Chaque p’tite chose, aussi insignifiante puisse-t-elle paraître, peu, si tu l’veux vraiment, être une raison pour sourire. Le truc, c’est q’tu doit prendre quelque chose que t’aime vraiment pis vivre pour. Comme sa, chaque fois que sa vas mal allé, ta juste à y penser pi pouf, tu vas être capable de sourire pis surtout, d’être heureux. Cré moé mon garçon, sa marche.
  
  Légèrement perdus, Mathias regarda l’homme remettre sa cigarette dans sa bouche en souriant bêtement. Était-ce sa la clef du bonheur? Juste vivre pour une seule et unique chose qui donnerait à chaque nouveau jour une raison pour sourire? Pendant combien de temps il restât là, à réfléchir sous la pluie, impossible de le dire. Il ne sortit de sa rêverie que lorsque son cellulaire se mit à sonner furieusement. Au bout de la ligne, sa mère, inquiète de son retard. Perdu, il tenta de lui expliquer qu’il parlait avec quelqu’un, mais en tournant la tête, il du se rendre à l’évidence, l’homme n’était plus là. Seul vestige de son passage, un mégot éteint sur le banc. Il cessa de parler, retombant dans ces pensées qui depuis des années le poussaient à chercher la raison de son existence. C’est à nouveau la voix de sa mère, morte d’inquiétude et qui répétait son nom à répétition, à la recherche d’une réponse qui ne venait pas qu’il revint totalement sur terre avec pour une fois, une vraie décision.
  
  -Maman…
  
  Maryse se tu, comme si elle sentait que ce qu’elle allait entendre était très grave.
  
  -… Je t’aime.
  
  Fermant le couvercle de l’appareil, il le regarda un dernier instant avant de lever la main et de la fracasser contre le banc. Il avait choisi. À sa place, plusieurs auraient énoncé la possibilité que l'inconnu l'avait influencé avec un quelconque pouvoir. Mais Mat n'en avait que cure. Pour lui, l'homme n'avait fait que prononcé les bons mots, ceux qui lui donnait désormais la force de quitter cette vie qu'il ne parvenait plus à endurer.
  
  Ce soir-là, Mathias White qui Ottawa, après avoir sortit de son compte en banque tout ce qu’il pouvait. Dans les jours qui suivirent, il quitta la région, puis le pays. Il parlait aussi bien le français que l’anglais, aussi, son but était précis. New York. Là où il espérait enfin vivre sa vie comme il le voulait. Il avait réussi à s’accepter en tant que mutant, mais impossible de vraiment vivre si ceux qui était autour le refusait toujours. Il savait que ce qui l’attendait n’allait pas toujours être jolie, il savait que beaucoup de problème surviendrais, il avait tout de même entendue parler de Mutant town, mais pour la première fois depuis la découverte de ces pouvoirs, il souriait face à ce qui l’attendait.
  
  Il utilisa aussi bien sa forme de dinosaure que le pousse pour voyager, lorsque suivre les routes en étant caché de loin se trouvait à être impossible. Son voyage durant un bon bout de temps.
  
  Sourire nouveau.
  
  Depuis, il vit dans un bas quartier proche de Mutant town, là où plusieurs mutant sans mutation trop apparent ce son installé. Après avoir découvert pas mal tous les coins environnants, il à réussit à s’établir dans un petit studio mal entretenue. Il travaille comme Commis dans une petite épicerie du quartier où il vie. Enfin, commis c’est vite dit puisqu’il est généralement seul lorsqu’il travail, il est donc aussi le caissier et s’occupe de la propreté des lieux. Son employeur ce nomme Li Yujin, mutant dans la cinquantaine qui à fuit la Chine depuis quelques années. En fait, Mathias remplace un des employés qui à en quelque sorte subit un cambriolage de la part de mutant… Génétiquement armé. Le gars s’en serait mal sortit et personne ne voulait reprendre immédiatement l’emploie, excepté Mathias. D’ailleurs, peu de temps après une rumeur c’est mise à circuler comme quoi monsieur Li aurait mis l’épicerie sous la protection de quelques mutant qui offre leurs services. Bien que contre ce genre de chose, il doit avouer que cela le met un peu plus en confiance pour aller travailler le matin. De plus, il s’entend très bien avec son patron. Les premières fois qu'il à travailler pour lui, ce dernier parlait souvent en mandarin avant de traduire et à force d'apprendre des mots, mais surtout, de les retenir, il à sut gagner le respect de son patron et parfois, ont peux les surprendre à échanger en chinois.
  
  Bien installer dans sa nouvelle vie, le jeune canadien c’est fait quelques amis et la vie ce passe calmement. Depuis son arrivé à Mutant town, Mathias ne c’est retrouvé qu’une seule fois en situation vraiment problématique. Il était avec quelques amis dans un appartement. Personne ne faisait rien de mal, tous discutaient tranquillement quand la porte c’est faite défoncé. Descente de police. Ne possédant aucun papier qui lui permettait de vivre légalement aux État-Unis, il était mal barré. Dos à la porte lors de l’arrivée en force des policiers, il levait ses mains en l’air tout comme il cherchait un moyen de s’enfuir. La solution pris la forme d’un de ces compagnons d’infortune. Reconnue pour son tempérament un peu explosif, Wendy hurla, attirant ainsi l’attention des forces de l’ordre et donna un coup de pied sur le sol, ce qui créas une onde de choc qui déstabilisa presque tout les humains, ainsi que quelque mutants. Toujours bien assit sur son sofa, Mathias saisit l’occasion pour se transformer.
  
  Il avait toujours dit à ce qui le lui demandait qu’ils n’avait qu’à l’appeler Deino. Personne n’avait vraiment utilisé ce surnom jusqu’à cet événement, qui révéla enfin la vraie forme des pouvoirs du Québécois.
  
  Fier de contrôler sa transformation qu’il entraînait depuis son départ, il marcha volontairement sur l’arme d’un humain afin que ce dernier ne puisse la saisir et se frayât un chemin, comme bon nombre de ses confrères vers les sorties. Près de la moitié d’entre eux se firent capturés ce soir-là. Depuis, ils ne se voient que par duo ou trio, évitant les rassemblements. Malgré tout, Mat à réussit à garder contact avec la grande majorité de ces connaissances qui tout comme lui possède encore leurs libertés.
  
  

Citation :

Est ce qu'il prend les particularités physiques de ces animaux ? Si oui merci de décrire un peu ^^