Une poussière dans l'oeil (Pv Dylan Cameron)

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L
a nuit était sombre mais douce, il était trois heures du matin et je sortais de mon travail, lieu où habituellement tous les dealers et autres mauvais types se rencontraient. En effet je travaille dans un bar, et on n'y sert pas que de la grenadine, alors oui cela a fait un choc à ma mère d'apprendre que mes études m'avaient seulement permises qu'à compter les verres d'un gars complètement beurré, mais je m'en fichais. C'est vrai que je suis une gentille fille mais il m'arrivait quand même de trainer avec les pires types qu'on pouvait croiser. Du punk, au mec méga balaise jusqu'au plus tatoué, rien ne m'effrayait dans leurs comportements et je ne sais pourquoi mais cette adrénaline coulait nuit et jour dans mes veines. Hélas cette nuit si douce, cette brise si délicate et ce silence macabre ne m'inspiraient pas confiance. Dans la journée, un mec totalement bourré m'avait juré que si je ne lui resservais pas un autre verre -et je ne l'avais pas fais- il me ferait amèrement regretter d'avoir pu être serveuse dans ce "bar pourri", selon ses termes. Évidemment mes collègues ont eu vite fait de le mettre à la porte, même s'ils ont eu la main lourde sur leur acte. Devais-je donc le prendre au sérieux?

I
Il n'y avait pas l'ombre d'un chat, exceptée la mienne très peu visible, qui longeait les voitures et glissait sur les trottoirs à mon rythme de pas pressé. J'étais effrayée à l'idée que ce type veule ma peau, honnêtement j'en avais déjà rencontré plusieurs m'ayant fait des remarques similaires, mais c'est la première fois que je ne me sens pas rassurée. Et pourtant j'avais beau balayer mon entourage des yeux, je ne voyais personne, malgré la présence que je pressentais. Alors paranoïa excessive ou bien tromperie? N'était-ce là que mon intuition féminine qui me disait "regardes derrière toi, quelqu'un t'observe"? Je m'arrêtais soudain, tremblante, après avoir entendu un bruit mais je n'osais me retourner.

- Q... Q-Qui est là?

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Sa veste italiene volant au vent, le jeune Dylan Cameron revenait des bars, certe il n'avait pas l'age réglementaire pour boire, mais il semblait que les patrons avait un autre avis face a un homme qui leurs rapportait de l'argent. Il n'était pas encore ivre alors qu'il marchait derrière une jeune femme, qui semblait assez belle tout de même. La nuit était belle et les rues vident a cette heure-ci. Habiller avec un jolie haut moulant on pouvait facilement distinguer les muscles de Dylan, et sa veste lui donnait un air très chic et BCBG !

"Raton viens voir la !"

Sortant furtivement de la poche de son maitre, le petit rat grimpa sur son épaule en une fraction de seconde. Le raton était pas plus grand qu'une main d'homme et d'un pelage gris argenter. Ils s'étaient rencontré lorsque la deuxieme mère de Dylan lui avait acheter un amis car il n'en avait plus aucun, depuis il ne ce lachait jamais. Totalement apprivoisé le petit rat était dévoué corp et ame a son maitre. Ses petits yeux noire fixere la jeune fille avant de ce mettre a couiner en voyant la jeune femme, comme donnant l'aprobation a son maitre d'aller lui parler. Dylan ne ce fit pas prier. Le jeune blondinet accéléra le pas et après l'avoir suivit quelques minutes, il vint enfin a sa rencontre lorsqu'elle dit tout haut en s'arretant brusquement :

"- Q... Q-Qui est là?"

D'un geste de la main, Dylan fit monter du sable dans l'air. L'air était irespirable pour tout les êtres vivant digne de ce nom. Mais pas pour Dylan, Il fit bien attention de ne pas étouffer la jeune femme. Il prit sa voie la plus grave et ténébreuse avant de murmurer dans la brume :

"Je suis ton cauchemar !! Obeit moi et tu aura la vie sauve !"

Il n'eut pas le temps d'être sérieux beaucoup plus longtemps, il explosa de rire laissant tomber le sable suspendue dans l'air. Avec un grand sourire dévoilant ses magnifiques dents blanche, il s'approcha de la jeune femme.

"Non en réalité Je ne suis que Dylan Cameron ! Certe la rue n'est pas sur mais c'est pas une raison de psycoter !"

Avec un grand sourire charmeur il prit la main de Yasu et l'embrassa tel un gentleman ! C'est vraie que de face elle était belle, typiquement chinoise ses traits était fin et magnifiquement déssiné. Le petit raton ce mit alors a gronder de mécontentement en sentant le chat roder pas loin. Il frissona et d'un bond alla ce réfugier dans la poche de son maitre.

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U
n couinement d'animal, n'était-ce dont que cela qui m'avait mit dans un tel état de terreur? Je ne pouvais pas y croire, pas plus que je ne croyais en l'absence d'un homme dans mon dos. Je restais immobile et tremblais toujours de crainte que ce vieux croulant et gras comme une vache, qui m'avait menacé tout à l'heure me suive. Puis je sentais glisser du sable sur mes pieds, cette sensation désagréable qui m'agrippait rapidement du bas vers le haut, me surprit et me donnait envie de fuir. Mais il était trop tard, j'étais totalement piégée et une voix d'homme très virile me chuchotait à l'oreille qu'il était mon pire cauchemar. Et quel cauchemar! Personne n'était au courant de mon existence mutante, mise à part ma mère. J'hésitais alors à jeter ma poupée au sol pour m'échapper de son emprise. Cette petite chose aux cheveux blonds et aux oreilles de chat était mon adorable et meilleure amie, je la trimballais toujours avec moi afin qu'en ce genre de situation, je puisse m'extirper de mon corps. De ce fait il me restait deux choix si je voulais utiliser mes pouvoirs devant un parfait inconnu : m'enfuir, ou bien rester et regarder droit dans les yeux le type qui voulait m'esclavager.

N
aito tombait d'elle même de ma main, tellement j'étais serrée dans tout ce sable, et le temps que je mis à me décider si oui ou non j'allais m'enfuir de mon corps, le sable se retirait de lui-même. L'homme se mit alors à éclater de rire et l'animal qui avait couiné auparavant revint vers son maitre. Un raton? Dans une rue de New York? Balivernes! Qu'est-ce qui pouvait bien l'avoir effrayé? Je l'ignorais mais ramassais ma poupée tandis que l'homme se présentait sous le nom de Dylan. Il prit alors ma main droite, et vint l'embrasser tel un gentleman. Charmant et très beau garçon! Son attitude changeante me rassura et me fit sourire. Moi naïve? Et vous vous attendiez à quoi? La plus méfiante de toutes les filles je présume, non hélas je suis bien naïve et le pire c'est que j'en suis consciente.

- Encore un coup de ce genre et je te pulvérise. Répondais-je en souriant. Enchantée, moi c'est Yasu.

A
insi donc il était mutant... J'en côtoyais souvent, certains en revanche, ignoraient que j'en étais une puisqu'ils n'étaient pas contre les humains, alors devais-je lui révéler que j'étais également comme lui? Cela était préférable vu la façon dont il m'avait abordé, mais l'heure n'était pas encore à de telles révélations. Je restais souriante malgré qu'il me dise que je faisais une psychose puis je lui répondais :

- Oh bien sûr, il n'y a pas de quoi faire une psychose quand on nous aborde en nous piégeant dans du sable? Peut-on savoir ce qu'il t'a prit?

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D'un charmand sourire, Dylan ce redressa et contempla la fille dans les yeux. Son nom était donc Yasu, encore une preuve de ses origines asiatique ! Lorsqu'elle ce présenta elle le menaca quelques peu. Qu'est ce qu'elle croyait elle ? Qu'une simple humaine pouvait réussir a le tuer ?! C'était chose impossible pour un mutant de sa trempe. Pour Dylan même le Fléau ne pouvait pas l'arreter ! Avec un air de défis il dit :

"Essaye toujours ! Tu n'arrivera jamais a poser une seule de tes douces mains sur moi !"

Il ne souhaitait pas vraiment ce battre avec la jeune fille pourtant sa l'amuserait un peu de ce battre, sa faisait longtemps qu'il ne s'était pas battue et sa lui manquait quelques peu ! Il vit la charmante poupée tomber de la main de la jeune fille, et ne peut s'empecher de rire intériorement. Pourquoi une fille d'une apparence assez agée (jeune tout de même) avait t'elle une poupée. Certe les rues était dangereuse la nuit, mais ce n'est pas une vulgaire poupée qui pourrait en cas de danger sauver quelqu'un. Appart si cette poupée n'était pas qu'un simple morceaux de tissus rembouré de coton. Cette poupé était étrange tout de même! Avec des cheveux blond et des oreilles pointue et légèrement poilu comme un chat. La jeune femme avait l'air un peu vexer par l'approche de Dylan ce qui raviva son sourire.

"Disont que j'aime bien ce type d'approche! Sa me fait rire ! Ne t'inquiete pas je ne t'aurait pas tuer ! Comme tu doit le savoir je ne suis pas très discret et fin comme mec !"

Dylan détourna la tête d'un coup sec. Il venait d'entendre des bruits de pas qui avait l'air presser suivit d'un magnifique cri d'alcoolique.

"Toi !! Je t'ai retrouver Sale P....asse ! Tu va me le payer ! "

Dylan parut surprit un moment puis toujours avec son sourire observa la jeune fille :

"Un amis a toi ?!"

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T
out portait à croire que ce séduisant garçon ne voyait pas la différence entre une simple humaine primitive et une mutante que je suis. Moi je la voyais la différence, si j'avais été une homo sapiens, j'aurais de toute évidence hurlé au meurtre lorsque le sable m'a enveloppé et immobilisé, hélas je ne l'avais pas fais. Lorsqu'il s'aperçut que je l'avais quelques peu menacé, il me demanda d'un air provoquant d'essayer de le toucher. Je n'allais pas m'y risquer même si l'occasion était tentante, hélas, je percevais derrière lui une silhouette aussi sombre que l'apparition de Dylan, je n'en dis rien pour l'instant même si mes mains redevenaient tremblantes à souhait, et finalement je souriais en coin à la provocation.

- Si tu savais ce que je peux faire. Insinuais-je sournoisement.

I
l n'était pas question que je me batte en duel, même s'il était amical, avec un inconnu. Avais-je peur? Non bien sûr, enfin pas de lui en tout cas, le fait est que cette silhouette qui approchait derrière Dylan me faisait penser au gros plein de soupe qui m'avait menacé précédemment, et je n'avais pas envie de perdre mon temps dans cette rue. Je me demandais également si Dylan avait envie de rester ici, alors qu'on pourrait certainement faire plus ample connaissance ailleurs, car il se faisait tard et que selon ses propres mots ainsi que mes pensées, la rue n'était pas sûre. En revanche cela ne semblait pas l'inquiéter, il semblait d'ailleurs très amusé de son approche un peu surprenante, et n'hésitait pas à le dire. Je fus plus que surprise en réalisant qu'il se servait aussi aisément de ses pouvoirs devant un inconnu. Apparemment il n'était pas effrayé de son entourage, qu'il en soit humain ou mutant, anti-mutant ou encore flic, heureusement que j'étais de son coté surtout car si je ne l'avais pas été, il aurait été très certainement mal barré.

- Je vois cela, heureusement que je ne suis pas contre les mutants dis-moi, disais-je en rangeant soigneusement ma poupée dans la poche de mon chemisier, sinon tu aurais eu de gros soucis. Comment s'appelle-t-il? Demandais-je en m'approchant de son raton et le fixant gentiment.

E
n la présence de Dylan, j'avais complètement oublié mon gros soucis qui continuait rapidement mais maladroitement sa route vers nous comme un alcoolique de première classe, ainsi qu'en beuglant entre deux rejets écœurants, des insultes à mon propos. Cela était évident, il me plaisait beaucoup c'est vrai... Comment ça? Le gros vulgaire derrière? Non non pas lui, Dylan bien sûr! Par conséquent il me faisait oublier mes soucis, même s'il était le premier à m'avoir fait peur et je ne lui en voulais absolument pas!

- Un ami à toi?
- Très certainement, vois-tu j'adore me faire insulter de tous les noms par un gros binoclard boutonneux et soul comme un cochon. Répliquais-je ironiquement avant de fondre dans un soupire désespéré.

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L'homme approchait a pas lent et pas vraiment en ligne droite, toujours dans son optique de jeux, Orion entendit la réponse de la jeune fille qui par la même occation lui donnait le droit de jouer un peu avec cet humain misérable. Il tendit la main et un peu de sable en sortit, il le fit comme leviter autour de sa main jouant a faire des spirale a celui-ci. D'un coup le sourire de Dylan changea brusquement, il devint maquiavélique, comme si il avait besoin de faire souffrir et qu'il y prennait un plaisir infinie. Il ferma les yeux et les braqua ensuite sur l'homme qui n'était plus qu'à quelques metre d'eux. Il attendit patiament que l'homme approche. Il tendit la main et le sable fonca sur son adversaire, un petit tas de sable déséquilibra l'homme qui tomba a la renverse. Essayant de ce relever péniblement, les membres encombrer par l'alcool. Dylan tendit alors les deux bras devant lui. Du sable sortit des ses deux manches ce projetant sur son adversaire la maintenant plaquer au sol. Tout son corps était surplomber de sable.

"Réponse A, B ou C ?!" Cria t'il a la jeune femme qui ce tenait a ses cotés !

En réalité il remettait a la jeune fille le sort de l'homme qu'il tenait dans son sarcophage de sable. Une des deux réponses pourrait lui être fatale, broyer par le sable alors que la segonde lui permettrait d'être immobilisé assez de temps pour que les deux jeunes disparaisse de la rue. Biensur il serrait beaucoup trop simple pour qu'elle sois dans l'ordre ! Je vous l'accorde il y a une troisieme possibilité mais celle-ci était encore plus particulièrement cruel ! Permettant a la jeune fille d'user de ses propres défense Dylan lacherait l'homme tout en la protegeant avec son pouvoir elle ne risquait rien mais Dylan était sur qu'elle pourrait le surprendre! Le petit raton remonta alors sur l'épaule de son maitre en observant la jeune fille d'un regard interrogateur. Il savait exactement ce que son maitre pourrait faire en fonction de la réponse, un tel symbiose s'était crée entre eux qu'il pouvait savoir que chaque mouvement de son maitre voulait dire quelques choses de précit.

"Au faite! Il n'a pas de nom ! Alors je l'apelle Raton! Ou encore de tout les noms qu'il me passent par la tête! Je ne voit pas l'utilité de lui donner une étiquette! "

Dylan n'était pas sans savoir que le meurtre était aussi punie pour les mutants, pourtant avec un bon chèque on pouvait réglé n'importe qu'elle histoire. Il était riche et le savais pourtant il n'était pas du style nouveau riche! Malgrer le faite que quelques fois il ce face plaisir comme tout le monde! Sortant de sa reverie et fatiguant tout de même il voyait la jeune fille hésiter entre les trois réponses, elle ne pouvait pas savoir a quoi elle correspondait pourquoi en faisait t'elle tout un plat ?! Seul Dylan serrait le maitre de la situation dans tout les cas! Pour presser un peu la jeune femme, il serra la main droite ordonnant au sable de compresser un peu plus l'homme, un mouvement dans le sable apparut bientot suivit d'un hurlement de douleur de la part de l'homme. Dylan venait de lui briser la cheville gauche.

"SALE MUTANT ! J'ESPERE QUE VOUS BRULEREZ EN ENFER !"

Dylan tourna la tête agacé .

"Bon tu te décide! Pas que je faiblit mais plus vite il serras écarté de notre chemins mieux ce serra! "

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U
ne fois de plus, je ne m'étais pas enfuie, en avais-je eu seulement le temps? Pas vraiment non, cet homme était enfin devant nous et il continuait ses jérémiades : comme quoi j'allais le payer très cher, que je n'étais qu'une pé***bip et tout ce qui s'en suivait. Dylan m'avait totalement ignoré depuis qu'il s'était tourné et avait demandé si ce gros cochon était un ami. J'avais eu beau lui demander quel était le nom de son raton laveur et lui dire que je n'étais pas dans le camp adverse, sans pour autant lui révéler que j'étais une mutante, mais il ne m'écoutait pas. Certes il était relaxant, mais de là à oublier mon existence juste parce qu'un Seize-Neuvième prenait toute la place devant moi, honnêtement j'en étais un peu vexée, mais je ne disais rien pour autant sur son comportement. Je restais immobile et mes mains se calmèrent peu à peu, je pris alors mon air de barmaid stricte et furieuse en collant mes poings fermés sur mes hanches, puis enfin je m'exprimais :

- Hé ben il t'en a fallu du temps pour t'arrêter de beugler! Disais-je en fronçant les sourcils. Pour un verre que je n'ai pas voulu te servir? Oh mon dieu, mais faites quelque chose j'ai peur, et que vas-tu me faire au juste? Disais-je sur un air ironique.

N
on... vraiment, je ne savais pas ce qu'il me prenait, parler ainsi? Je ne l'avais presque jamais fais en dehors du travail, j'étais sûrement plus bouleversée que je ne le croyais, il est vrai qu'entre le sable qui m'avait emprisonné tantôt et Babare qui venait me rendre des comptes, c'était plus que logique. Pourtant, je n'avais pas le moindre petit frisson, ou la moindre goutte de sueur froide dans le dos, en tout cas je parlais de façon non vulgaire mais très moqueuse tout de même. Allait-il franchement me lever la main dessus? Je n'en savais absolument rien, la seule crainte que j'avais en cet instant même était que cet homme soit également mutant, et moi avec mes pouvoirs je ne suis pas si méchante que cela, donc à moins que mon nouvel ami ne se veuille se faire un plaisir de m'en débarrasser, je ne serais pas contre un cent mètre.

A
u même moment, ce fut la surprise, Dylan me posait une question des plus étranges en utilisant son pouvoir sur l'humain, une question dont je ne me permettais pas de répondre puisque j'ignorais sa totale signification. Je glissais alors, silencieusement, mes mains dans mes poches de jean, et je soupirais en regardant froidement le ballon de baudruche encerclé de sable dans cette nuit noire. Dylan n'hésitait pas à le serrer d'avantage, telle une saucisse dans toute cette poussière de sable tandis que je restais absente de moi-même. Où pouvais-je bien être en cet instant de pure torture? Sur un nuage? Sans doute, je m'osais à quelques réflexions internes pendant que mon client tentait de se délivrer par le seul moyen qu'il disposait : l'arrogance. Pourtant je n'avais rien contre les humains, hélas si ils avaient quelque chose contre moi, je n'hésitais pas à foncer et rentrer dans le lard de tout obstacle. Que m'arrivait-il? Je n'en sais rien, j'observais de la même manière le raton qui se posa sur l'épaule de mon accompagnateur, tandis que ce dernier me répondait qu'il n'avait pas de nom. Le choc, d'une seconde à l'autre je reprenais mes esprits et lui répondais sans même avoir ne serait-ce que réfléchis à ce que j'allais dire :

- Tu ne lui as pas donné de nom?! Quelle tristesse, vois-tu même ma poupée en possède un, alors comment peux-tu être insensible à ce point? Ne sais-tu pas qu'un animal perd sa fierté si son maitre ne lui donne pas de nom? N'y as-tu jamais songé?

C
'était à croire qu'il n'avait pas de sentiment pour ce pauvre animal, pourtant ils m'avaient l'air très liés. Je dirais même qu'ils étaient pratiquement à l'égal de Naito et moi-même, quoiqu'il en soit j'étais perturbée d'entendre qu'il n'avait pas de nom. J'en fais tout un fromage, je sais... En fait je tentais surtout d'oublier ce pauvre ivrogne dans tout ce sable : il criait, il avait le hoquet, il gémissait de douleur et il n'hésitait pas à rajouter des insultes. Et moi, je n'avais que faire de ses états d'âme. Encore une chance que je n'arrivais pas encore au point de vouloir lui jeter du sable dans la bouche pour qu'il étouffe, sinon le pauvre serait déjà mort! Je regardais Dylan, il m'avait l'air de bien contrôler ses pouvoirs, d'avoir envie de me protéger ou bien encore de me faire commettre un crime, qu'en savais-je? J'avais posé mon coude sur son épaule pour regarder insouciante, ce pauvre malheureux nous prier d'aller en enfer. Je priais à ses remarques qu'il se taise, mais rien n'y faisait. Je croisais suite à cela le regard agacé de Dylan qui me pressa tout à coup à me décider, parlait-il du fait que je devais lui ordonner de le tuer ou bien de le relâcher? N'était-il pas à même de prendre ses propres décisions? Ou bien voulait-il juste me tester afin de savoir ce que je voulais faire de cet homo sapiens?

- Tu ferais quoi à cet homme? Ce n'est qu'un pauvre humain sans défense, beurré et rageur... Ne vaux-tu pas mieux que cette confrérie à deux yeux qui frappe tout ce qu'elle trouve? Je ne serais pas contre lui faire du mal, mais seulement, on ne se connait pas toi et moi et j'ignore d'ailleurs pourquoi tu utilises tes pouvoirs aussi aisément devant une inconnue comme moi. Mais une chose est sûre, c'est que tu ne feras rien de ce que tu as prévu. Et je vais te montrer pourquoi.

J
e pris mon courage à deux mains afin d'utiliser une illusion sur Dylan, il serait seul à la voir, seul à l'entendre et seul à sentir les effets de ce petit monde difforme. Grâce à mon esprit, je pénétrais une illusion dans le sien tout en lâchant son épaule, et je m’apprêtais à lui montrer ce que le sable pouvait faire sur son propriétaire. Seulement j'attendais, j'attendais qu'il lâche cet imbécile de mauvais client car je ne voulais pas qu'il meure.

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Dylan sentit sur son épaule le contact de la main froide de Yasu. Bizarement son corps ce détendit. Qu'allais t'elle faire?! Le faite qu'elle ne veuille pas répondre a sa magnifique questions l'énervait quelques peu et décida que la réponse A serait la bonne. D'un coup l'homme tomba par terre le sable fonca dans la bouche d'égout la plus proche et l'homme tomba directement sur sa cheville brisé, brisant ainsis le genoux de celui-ci. Il s'éccroula comme une pierre par terre, sa tête heurta le sol et il sombra dans l'inconscience. Dylan souffla puis ce tourna entièrement vers la jeune fille.

"Fait ce que tu veut de lui ! Son sort ne m'interesse plus! Il est trop chétif pour être un défis assez conséquent."

Dylan posa un genoux a terre et prit son petit raton dans ses mains lui caressant le pelage puis le déposa au sol. Le raton avais comprit son role. Il courut a toute vitesse sur le béton faisant des petits cliquetits sur le béton avec ses griffes. Une fois pret de l'homme il ce mit a le renifler a plusieurs endroit et le mordit de toute ses forces. L'homme ce réveilla en sursaut repoussant le rat qui vola jusqu'à rattérir sur un petit tas de sable que Dylan avait déposer durant son vol. Content de lui il ce remit sur ses pattes et grimpa sur la jambe de son maitre pour venir ce frotter a sa machoire.

"Sache que même sans nom il ce porte très bien, il est comme moi ! Libre comme l'air, si un jour il veut ce séparé de moi je ne veut pas qu'il sois handicapé par un nom! Nous somme en symbiose et ce n'est pas un nom qui risque de nous séparé !"

Puis Orion observa une oreille qui dépassait du chemisier de la jeune fille.

"Montre moi ce que ta poupée peu faire !"

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J
'observais par dessus l'épaule de Dylan, en étant étalée sur lui avec mon coude et je sentais qu'il se raidissait tout à coup. Avait-il peur de moi? Je ne pense pas, mais je constatais qu'il eut vite compris mon état d'esprit. Je n'étais pas plus criminelle que peureuse des mutants, et je ne voulais pas que par sa faute, quelqu'un me soupçonne d'avoir monté un complot pour tuer ce bête humain. Qui plus est, les raisons d'un tel meurtre étaient stupides. Sous prétexte que cela soit une réponse donnée et égarée dans un malentendu, ou bien que cela soit parce qu'il m'avait insultait, aurait très fortement déplu aux forces de l'ordre. Le cochonnet retomba vite sur ses pattes, après que Dylan eut renvoyé son sable d'où il provenait. Le pauvre, il s'était blessé dans sa chute! Mais ce n'était pas moi qui allais le relever même si je venais de lui sauver la vie, oh que non, d'ailleurs j'étais même prête à le laisser étendu là, ivre mort et baignant dans sa bave, dans cette rue des plus sinistres. N'étais-je donc pas mieux que Dylan? Qu'importe! Ce dernier soupira et se retourna vers moi, puis il m'ordonna presque de faire ce que je voulais de lui, en prétextant que son sort ne l'intéressait plus. Comme s'il en avait quelque chose à faire! C'est bien les mutants de bas étages ça, toujours à se mêler des affaires qui ne les regarde pas et qui s'enfuient quand les situations ne leur conviennent plus.

- Bah tu vois, finalement t'es pas un meurtrier, c'est bien! Tu iras loin dans la vie. Mais j'ai une question pour toi, gros malin... Qu'est-ce qui t'a fait penser que sa mort me ferait plus plaisir que ses coups de gueule? T'es un grand malade toi! Et puis d'abord, t'es qui pour t'introduire dans ma vie? Tu peux pas t'occuper de tes affaires comme tout le monde? Demandais-je, en colère.

I
l était mignon, mais finalement, il n'y avait rien dans son attitude qui m'intéressait. Peut-être sa boule de poil pouvait-elle lui faire remonter mon estime pour lui, mais j'en doutais fort. J'avais donc infiltré une illusion dans son esprit, une illusion qui renvoyait son propre pouvoir sur lui, mais je n'allais pas le tuer, ni même l'étouffer. En fait je voulais juste qu'il ressente ce que ce pauvre homme et moi-même avions ressenti dans son sarcophage de sable.

A
lors, totalement dans ce monde déformé, entre lui et moi, dans cette même rue et toujours avec son raton en main, j'appelais le sable qui revenait de la plaque d'égout, et je l'envoyais sur Dylan. Je l’entourais totalement sous une masse couche, chaque grain pouvait maintenant bouger à sa convenance et glisser sur la peau de son maitre pour lui faire sentir que cela ne faisait pas que du bien. Cela n'était pas si confortable qu'un nuage paradisiaque, car le sable gratte, irrite la peau et peut couper celle-ci s'il est humidifié, ne serait-ce qu'un petit peu. Puis soudain, alors que j'avais seulement commencé mon illusion, mon compagnon me demanda ce que Naito était capable de faire.

- Je te le montrerais après. Dis-je en souriant, avant de marquer une très longue pause, le temps que le sable fasse son effet à Dylan. Alors... Quel effet cela fait d'avoir son pouvoir retourné contre soi?

{{ Hj : Désolée de mon retard, j'ai eu du mal à tout comprendre. :S

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Sans s'en rendre compte la réalité ce transforma sous ses yeux. Alors qu'il s'était retourné pour observer la jeune femme apres avoir libéré le géneur et renvoyer le sable dans les égouts. Il ne s'appercut pas que son propre sable crée par son propre corps lui jouait un mauvais tour. Sortant de la bouche d'égout, le sable s'agripa a son maitre, bientot malgrer ses rétisence Dylan ce retrouva couvert de sable qui lui compressait un peut la cage thoracique. Il faut avouer qu'un clostrophobe ne pourrait pas survivre dans un tel millieu. Dylan usa encore une fois de ses pouvoirs, du moins il essayait mais n'y parvenait pas. Comme si son pouvoir l'avais completement quitter pour ce retourner contre lui. Il serra les dents alors que le sable le compressait de plus en plus. C'est alors qu'il appercut la jeune fille un sourire au lèvre lui demander ce que sa faisait d'avoir son pouvoir contre lui. Avais t'elle le même que le sien ? En tout cas c'était une mutante et elle était responsable de ce qui lui arrivait.

"Lache moi !"

Dylan ferma les yeux et ce concentra. Il devait avoir peur! Peur de la mort ! Il essayait de faire croire a son corps qu'il allais disparaitre! Il n'avais jamais activer son segond pouvoir de manière volontaire. Il devait y arriver coute que coute! Il hurla pour augmenter sa sensation de détresse. Il n'y parvenait pas. Il crispa les mains, serra la machoire au point de sentir le petit gout du sang lui lecher les papilles. Il ouvrit les yeux d'un coup. D'un coup en une fraction de seconde son corps disparut remplacer par une sable dorée. Dans la réalité, l'homme ne s'était transformer absolument pour rien. Mais dans sa conscience a lui sa vie était en jeux. Quelques seconde plus tard il réaparut a l'endroit même ou il était encore entouré de sable.

"Mais... Libère moi !!!" Hurla t'il a la jeune femme en face de lui.

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L
e peu que j'utilisais mon pouvoir, transformait d'un instant à l'autre, un homme en lavette. J'avais peine pour lui, il était dans tous ses états le pauvre. Je voulais m'arrêter, je voulais qu'il retrouve la liberté mais en même temps, j'espérais qu'il comprenne la peur qu'il m'avait faite, en m'entourant tout à l'heure de son sable. Certes, ce n'était qu'une approche comme une autre entre mutant, certes cela n'était qu'une farce pour me faire décompresser. Mais bon sang, la trouille que j'avais eu! Je souhaitais qu'il ne recommence plus jamais à utiliser tous ces petits grains, pour agresser comme il l'avait fait ce soir. Ce n'était pourtant pas le premier mutant que je rencontrais, mais de tous, il était le premier à réellement voir ce pouvoir que j'avais. Ce pouvoir qui m'usait à la longue : je pouvais faire ce que je voulais, sur qui je voulais et jouer comme il m'entendait de le faire, cependant mon imagination n'atteignait pas des sommets et la lassitude de regarder ces personnes souffrir, comme de réfléchir à ce que je pourrais leur faire, m'usait plus que tout. Je regardais alors l'animal de Dylan se poser les milles questions et grogner sur moi, de peur que je ne tue son maitre, même s'il ne voyait pas l'illusion, son regard me glaçait le sang et me faisait presque fondre en larmes. Ma colère s'envolait alors comme le sable que je faisais lentement partir, sous la culpabilité. Celui-ci ne faisait que longer le corps de son possesseur, mais j'ignore pourquoi il se sentait autant menacé, pourquoi il était autant terrifié de son propre pouvoir. Sûrement craignait-il que je le tue.

- Ne cries pas. Il est inutile de t'affoler.

A
insi donc, il devinait que j'étais la cause de ses tracas, ce qui me rendit la tâche plus facile, mais il devait à présent croire que cette petite illusion était un pouvoir semblable, ce qui de toute évidence n'était pas le cas, c'est pourquoi j'arrêtais tout. Le sable disparut comme par magie, laissant le jeune homme tranquille, et la rue redevenait normale. Je restais malgré ma fatigue face à lui, sans le moindre grain sur nous, et je continuais de le contempler. J'attendais qu'il réagisse, qu'il me dise enfin ce qu'il ressentait, même si je connaissais déjà la réponse. Je voulais seulement qu'il me le dise de vive voix. Pourquoi s'en prenait-il aussi lâchement à des humains, alors que lui-même pourrait périr sous son propre sable?

- Quand vas-tu te décider à me le dire, que tu pétais de trouille!? Ça te fait si peur que ça d'être à la place de tes victimes? Enfin bon... je ne te ferais pas la morale, car moi-même je peux faire ce que je veux. Comme tu vois, je suis une mutante aussi, mais je peux te faire croire tout ce que je veux! Disais-je avant de marquer une pause, afin de souffler de mon effort, mains appuyées sur mes genoux. Même si c'est très éprouvant.

M
es yeux me piquaient, j'avais des fourmis dans les jambes et je sentais que la fatigue m'aurait bientôt. Il fallait donc que j'aille me reposer ailleurs que dans cette rue. Mais je pensais à Dylan, je le voyais toujours un peu affolé ou restant sur ses gardes, comme si j'allais recommencer. Ce n'était pas mes intentions, et même si cela l'était, j'étais trop fatiguée pour recommencer. Je m'approchais alors de lui et le prit par l'épaule, d'un mince sourire joyeux.

- Allez arrêtes de faire ta tronche à pain, je te paye un verre!

Invité

[i]La jeune femme était donc la cause de tout les tracas de Dylan, elle était mutante, et pouvait lui faire croire tout ce qu'elle voulait c'était donc une mutante avec un pouvoir assez impressionant, elle pouvait isoler l'esprit de sa cible dans un monde tout a fait immaginaire, était ce un genre de télépathe ? Dylan serra les dents malgrer l'envie qu'il avait de prendre ses jambes a son coup il ne fit rien lorsqu'il la vit reprendre son souffle en ce pliant en deux. Il s'approcha instantanément d'elle pour la soutenir. Malgrer ce qu'il venait de vivre et la torpeur dans l'aquelle il était Dylan ne pouvait pas ce permettre de laisser la jeune fille dans cet état. Ses muscles le faisait souffrir apres avoir étez contracter tant de temps et surtout son coeur battait la chamade. Mais il remit la jeune femme sur pied.

"C'est vrai mais une fois que je commence a les utilisé, mon pouvoir veut toujours que j'aille plus loin. Il cultive ma haine et me rend fou. De plus ce n'est qu'un humain alcoolique qui n'est qu'un des echecs de la société !"

Elle lui mis la main sur l'épaule comme pour prouver que ses intentions n'était pas méchante mais elle voulais juste lui faire prendre conscience de ce qu'il faisait vivre. Lorsqu'elle lui proposa d'aller prendre un verre Dylan comprit dans quel état elle était et décida de la prendre comme une princesse en quelques seconde il lui attrappa les genoux et la souleva de terre. Ses bras le faisait souffrir mais cette jeune femme était tellement fatiguer par son pouvoir qu'il ce devait de l'aider. Avec un sourire amical il la regarda dans les yeux.

"Ok pour le verre mais alors on va chez moi ! Tu est trop faible pour aller dans un pub. Ne t'inquiete pas je ne suis pas un gros pervers tu ne risque rien !"

Sans attendre son accord il ce mis a marcher dans la rue pour rejoindre une des rues principales pour prendre un taxi. Tant pis pour sa voiture qu'il avais laissez dans un parking qui était légèrement trop loin pour y allez avec une fille dans les bras.

Invité

I
l semblait avoir parfaitement comprit son pouvoir, ses effets et la peur qu'il provoquait. J'étais satisfaite de lui avoir fais comprendre, même s'il avait fallut que j'use de ce dangereux pouvoir, ce que je regrettais un peu car j'aurais pu le tuer. Heureusement que je m'étais arrêtée à temps sinon il n'aurait pas survécu, je le sais car son regard m'avait averti qu'il était à bout, lorsque je le maintenais sous l'illusion. Je venais de lui avouer que c'était très fatiguant d'utiliser ce don et m’affaissais sur mes genoux, lui aussi il devait être dans tous ses états mais il semblait surpasser outre ses peurs pour s'approcher de moi et me relever, n'avait-il plus peur de moi? Ou plutôt n'avait-il pas envie de s'enfuir? J'étais très surprise! Cependant ses paroles me rassuraient, même s'il sous-estimait les humains, je comprenais maintenant qu'il n'était pas bien méchant, mais que ses pouvoirs le contrôlaient et non l'inverse. Pour moi c'était le contraire, j'arrivais à les manipuler comme il se devait.

- Je comprends parfaitement, j'étais comme toi au début, mes pouvoirs m'utilisaient comme marionnette, je ne maitrisais rien.

S
oudainement, Dylan me prenait dans ses bras, il me souleva et me porta telle une princesse, après que je lui ai proposé d'aller boire un verre. Si je m'attendais à ça... mes yeux grandirent sous son geste et mon teint en rougit subitement. Quelle délicate attention! Je n'étais pas encore au bord de l'écroulement et vu ce que je venais de lui faire subir, il n'était pas obligé de faire cela, d'ailleurs qu'est-ce qui le poussait à être si attentionné, malgré son état? Il aurait pu tout simplement m'en vouloir, ou avoir trop peur et s'enfuir, mais il restait au contraire. Je sentais son cœur battre la chamade contre ma main, je la glissais alors sur son épaule et entourais son cou de mon bras, je ne savais plus quoi faire, il me souriait si amicalement et me regardait droit dans les yeux, comment pouvais-je refuser d'être portée? Je ne le pouvais pas, il avait l'air déterminé. Il me proposa alors d'aller chez lui, car selon lui un pub n'était pas très approprié dans notre état, encore une fois je ne pouvais pas refuser car il avait raison. En revanche je me mis à rire lorsqu'il m'avait dit qu'il n'était pas un gros pervers.

- D'accord! On va chez toi! Ne t'en fais pas, je ne te prends pas pour un pervers, et puis après tout ce qu'on vient de vivre toi et moi, je doute fort qu'on ne s'entende pas. Disais-je, pendant qu'il commençait à marcher.

O
ù allions-nous au juste? Dans une rue principale? Je rougissais encore plus, pensant être vue, portée de la sorte par un si beau garçon dans une si grande rue. Dylan s'arrêta au bord de la rue pour attendre un taxi, justement, voilà qu'un véhicule jaune s'arrêtait devant nous. Quelle chance! Hélas il était dommage que j'avais à descendre de ses bras, je ne savais pas ce qu'il m'arrivait mais je me sentais si bien dans son emprise, si bien que j'aurais pu m'y endormir facilement sans me soucier du reste. J'ouvris alors la portière, toujours dans ses bras et j'attendais qu'il me laisse descendre pour m'asseoir correctement dans la voiture.

{{ HJ : Si tu veux on s'arrête là?

» Dylan Cameron
» Passation de Heather Cameron
» Heather Cameron / Lifeguard
» David Cameron alias Slipstream (en cour)