Pour ma première fanfic, je vais tenter de décrire
Chaque moment de la vie de Daken qui me fait sourire
Je parlais de tous ces assassinats, à l'endroit à l'envers
Et enfin pour innover je tâcherais de faire ça tout en vers
"Tout d'abord, J'ai enfin reçu un contrat de la part de mon nouveau contact
J'inspecte donc cette lettre minutieusement et de façon très professionnel
Ma cible est une mutante a la force surhumaine, championne de full-contact
Elle est jolie mais je vais devoir la tuer ce soir, pourtant rien de bien personnel
Cette nuit sera pour moi un tout nouvel entrainement au corps à corps
Vu qu'il s'agit bien là d'une championne de sport de combat rapproché
Qu'elle le veuille ou non, je m'entrainerais, avec ou alors sans son accord
Cette nuit sera pour moi une excellent moyen de pouvoir décompresser
J'étais impatient à l'idée d'affronter un adversaire qui semblait puissant
Mais j'appréhendais aussi ce petit affrontement qui aura une issue néfaste
Non pas de peur mais plutôt d'excitation, j'ai envie que ce soit divertissant
Et que cette demoiselle montre sa puissance ! Ou bien alors le contraste
J'entre dans sa maison, elle se trouve là détendu, calme elle fait de la relaxation
Moi je vais plutôt lui relaxé, le coeur en l'apaisant, l'empêchant finalement de battre
J'essaie de dévié les yeux qu'elle se sente pas observé, mais dure et la tentation
Je lève mon arme vers elle et lui dit de rester calme si elle voulait pas que je l'abatte
Je voulais pas lui faire du mal, pas avec ce gun mais elle semble l'avoir prit mal
Elle me saute dessus et me porte un coup au niveau de la ceinture abdominale
Sur le coup j'ai lâché mon flingue et je me suis encastré dans ce putain de mur
C'est aussi à ce moment là que j'ai comprit que finallement sa serait vraiment dur
Non pas parce qu'elle est forte mais juste parce qu'elle est belle au naturelle
Cependant, j'ai vite comprit que durant ce combat,elle n'avait pas ses sentiments elle
Elle me voyait juste comme un détraqué sanguinaire muni d'une fureur mortelle
Qui aurait cru qu'un jour, j'émette temps de regret à affronter une cible pareille ?
J'encaissais dans un premier temps,sans rien dire, tentant en vainde la persuader
Mais ce n'est que plus tard que j'ai comprit, que de mon discours elle s'en foutait
Elle voulait me voir mort, c'était ce qui lui importait pour le moment présent
Alors que moi, je restais là naivement au sol faisant le mort en gisant
Elle s'est approché, m'a mit le pied sous la gorge et s'est finallement exclamer
"Tu n'es qu'un enfoiré de manipulateur psychopathe, je vais t'apprendre à rentrer
Comme ça ! Sans invitation non mais tu t'es cru où sale assassin de pacotille ?"
A ces mots, j'ai eu un coup d'orgueil et je me suis vengé de façon pas très gentille
Je l'ai d'abord fait tomber en lui faisant un croc en jambe avec pression sur le talon
Puis j'ai enfin comprit son point faible, et non je ne parle décidément pas de son tendon
J'oubliais qu'au sol elle était sans défense, isolé comme une personne camé après sa dose
Ce que j'ai fait ensuite est un pure acte de barbarie qu'aucun n'aurait fait, ou qu'aucun n'ose.
Je les d'abord asséné de droite dans le visage comme une phalange spartiate
Je continuais encore encore jusqu'a la voir KO et je me levais promptement, impartial
Je la regardais se vidé de son sang, dût à mes coups de poing dans sa fucking face
Je vous jure que ça tête c'était pas beau à voir, elle aurait pu jouer dans Scarface
Je l'ai vu gisante, et j'ai enfin reprit le contrôle de moi même, un peu tard certes j'avoue.
Le résultat était pas beau à voir, je l'avais finalement un peu trop maltraité malgré tout
Je l'ai vu agonisante et souffrir le martyr, des blessures que je lui ai infligé dans ma rage
Je l'ai achevé pour ne plus la voir souffrir, et puis finalement j'ai réussit à tourner la page
Voila comment s'est déroulé l'une de mes premières mission à New York City
Je ne suis pas fier de cet événement, ni d'aucun des événements que je cite
J'adore tuer d'habitude mais de cet événement je ne suis absolument pas fier
Mais bon c'est les risques du métier après tout, quand on vit pour croiser le fer