Une rencontre mouvementée [PV: Daken]

Quel journée, deux heures pour trouver un vendeur de disponible aux caisses, tous ça pour un T-shirt et un jean, comme lors de mon dernier contract, le mec en fasse de moi possèder une mitrailette qu'il a voulu testé sur moi, cela a laisser des traces. Et quoi de plus discret qu'un t-shirt criblé de balles ? Non mais sérieusement ya des gens qui n'ont aucun respect pour rien. Et voila pourquoi par une belle journée d'été, je devais me casser le cul dans ce putain de centre commercial ! Ah oui, j'oubliais le meilleur pour la fin. Le vendeur qui vous regarde d'un air niais en disant "bonne journée". Elle aurait pu être meilleure si t'avais bougé ton cul !

Bref, j'avais bien les nerfs je dois avouer et au moment où j'allais sortir, une sirène se faisait entendre. C'était les flics, je reconnaitrais cette siréne parmi mille autres. Bon vu que cela semble être une raffle, je m'habille, mettant un sweat à capuche et recouvrant mon visage d'un keffieh noir et blanc assortit à mon sweat. Ainsi, on ne pouvait voir seulement ses yeux. Je sortais mes mains des poches et je marchais d'un pas pressé vers la sortie. Je les voyais arrivé aussi, ils étaient bien organisés, ils avaient dut préparé cette raffle un bon moment auparavent non ?

Vu le monde qu'il y avait, c'était obligé que des mutants fugitifs viennent faire un petit tour, incognito dans la foule. C'est l'occasion réver pour la police qui va tenter de faire un grand nombres d'arrestations. Seulement, leur stratégie a un problème: Comment reconnaitre les humains des mutants ? Et bah c'est pour ça que les flics regardent le visage de chacun des passants pour voir s'ils fuient le regard ou s'ils tentent de fuir la confrontation. Bref, des signes qui vous trahissent quand vous êtes un mutant nerveux. Moi personnellement, je m'en foutais complétement, leur petites billes en fer ne me fera pas grand chose. J'ai déjà survécut à bien pire après tout

Je marchais tranquillement, regardant en face de moi sans jamais me retourner même quand je me sentais regarder. S'ils me voyaient avec un keffieh sur le visage, s'en était fini de la discrétion. Je vis une fille qui regardait bien bas, elle était jeune à première vue. Elle semblait terrorisé, mais ça les flics ils s'en foutent. Ils voyent en elle une simple suspecte potentiel et se foute totalement du traumatisme que cela peut lui provoquer, les menotes, les interrogatoires, les heures de garde à vue, les insultes des codétenues, les batailles pour la bouffe, les nuits blanches de peur d'être attaqué pendant son sommeil. Non, honnêtement, c'est vraiment de la merde ce qu'ils font. Deux flics s'approchent de la demoiselle et commencent directement par faire

"Vous ! Vous êtes en état d'arrestation !"

L'un l'a saisit au bras et lui tord le bras de façon violente. C'est quoi ce mec ? Il se sent poussé des couilles parce qu'il domine une fille par une simple clé aussi basique ? C'est n'importe quoi ! En temps normal je serais passé l'air de rien sans même prêter attention à la demoiselle mais là ils allaient trop loin. Je passais derrière eux et passaient mes bras autour de leur gorge pour sortir mes griffes et leurs faires un trou du bas de la machoire jusqu'au cerveau. Je regardais la fille et lui tendit la main

"Viens, on doit partir d'ici avant qu'ils reviennent ..."

Ouf elle suit sans trop faire d'histoire. On a enfin trouvé une petite allée déserte, c'est pas si mal ce calme après tout. Il n'y a pas de sortie "officiellement" dans cette zone, mais grâce au fourreau d'adamantium je peux aisément trouer un mur, ce qui fera une issue de secours en amélioré. En plus, cette fille ne semble pas s'opposait à une sortie par la porte de derrière, c'est surement une mutante ou alors elle est choqué par la brutalité des flics. C'est souvent comme ça, quand on a un uniforme on se sent plus pisser ! On se croit tout puissant ! Mais bon maintenant que les mutants sont sortit au grand jour, plus rien ne leur assure leur omnipotence.

D'un coup, je sens un flic derrière moi. Je me retourne, prés à le décalquer mais la fille que je tenais me pousse et je tombe. Par réflexe je me rattrape avec mes mains, puis j'entends une détonation. Je ne sens rien, même pas la douleur que je ressens lorsqu'une balle me traverse. Non, à la place, la fille tombe à la renverse, sa poitrine est sanglante et je me précipite sur elle. Elle savait pas pour ma régénération sans doute, j'aurai pu l'encaisser une balle pareille ! Mais elle non.

J'enlève mon sweat à capuche et je déchire mon t-shirt pour bander sa blessure et éviter l'hémorragie, il n'y a pas de caméra ici tant mieux. La balle est profonde et faudra que je la lui retire. En effet, les hôpitaux sont méfiants et évite de soigner les mutants. Je vois le flic recharger son arme, c'est un six coup. Autant de coup de griffe dans son estomac ! Une fois lui avoir serré son pansement, je me relève et sort les griffes pour courir en ligne droite vers lui. Il m'a tiré dessus 3 fois, deux balles dans la jambe droite et une dans le plexus. Je continuais ma route pour finalement l'étriper puis lui couper la tête !

Je revenais prêt de la fille qui s'était mise en danger pour moi ! Non ! Elle ne devait pas mourir, pas ici en tout cas ! Je la charge sur mon dos et je commence à courir, je l'emmène chez moi elle sera à l'abri au moins ! Je fais un trou dans le mur grâce à l'adamantium. Je cours jusqu'à ma harley davidson et je l'installe dans mon dos en disant

"Tiens le coup, tu va t'en sortir allez ! "

"180 sur l'autoroute pour aller chercher les fusils, dans la voiture il faisait chaud, je grillais les feux et les fusibles !" Sinik-Représaille
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Et merde, je mettais le contact et je commençais à partir quand je vis les flics, ils nous laissaient passé ? C'est quoi cet emmerde ? Bon je n'allais pas avoir à les tuer c'est déjà ça. Par contre j'entendais l'un d'eux se félicitait de la capture d'un mutant. Donc c'était pas une raffle ? Bon c'est cool alors ! Ah merde j'oubliais la môme dans mon dos. Je passe à fond dans les rues de New york, slalomant grillant les feux et faisant rougir le moteur à 230 kilomètre heures. Je l'entendais dire

-Je suis désolé... je crois que je vais pas tenir mais vous, vous n'êtes pas blesser ??" dit-elle en contenant sa souffrance.

"Non dit pas de connerie, tu va t'en sortir Bordel ! Et ne t'en fais pas pour moi, c'est pas leur balle de merde qui vont me faire du mal ..."

On y est ! Chez moi ! Je gare la moto en dérapage et je monte Alice sur le palier de ma maison. J'ouvre la porte d'une main, tenant alice de l'autre main et je l'allonge sur la table du salon. J'ouvre la trousse à pharmacie et je trouve des compresses et des médicaments anti douleurs. Je lui desserre tout ce qui pourrait l'empéché de respirer normalement. Je retire son t-shirt pour la laisser uniquement en sous vêtement sur la partie haute, je lui ai quand même laissé sa jupe. Je regarde la zone, c'est pas une zone léthale mais c'est dangereux de laisser la balle rouillait dans son corps. J'attrape une pince plate de mon atelier et je dépose un torchon propre dans la bouche d'Alice

"Mord ça de toutes tes forces"

C'était pour plusieurs raison : pour ne pas qu'elle crie, pour qu'elle concentre ses pensées sur le torchon et surtout qu'elle puisse évacué sa douleur en mordant le torchon. Mon instructeur m'avait apprit à retirer les balles et c'est ce que je fis a une vitesse rapide pour que la douleur ne s'éternise pas non plus. Ensuite, je mettais en pratique ce qu'il m'a apprit, Compression de l’hémorragie, élévation des membres touchés, points de compressions. Je sors ensuite des bandages que je gardais au cas où et je lui faisait une attelle de fortune. Je lui caressais doucement la tête

"C'est bon, tu es hors de danger ne t'en fais pas, repose toi ..."

Je l'aidais à passer de la table jusqu'au canapé et je m'asseyais sur le fauteil prés d'elle et j'attendais qu'elle se réveille, j'étais encore perdu dans mes pensées et je n'étalerais pas ce que je pensais en ce moment, je le résumerais en une question : pourquoi l'avoir aidé ...

Elle me remerciait et fermer les yeux, elle s'était déjà endormit. Quel marmotte, bon au moins j'allais pouvoir être tranquille un petit moment, je me prépare à grailler pendant ce temps là. Sa creuse l'appétit de devoir sans arrêt sauvé les gens ! Mais qu'est ce que je dis ? C'est une des rares fois que j'ai sauvé quelqu'un ... bon c'est peut être ça l'effet que ça fait de sauver une fille, comme il disait le mec en métal au restaurant... A ce moment précis, je me demandais si c'était une prise de conscience ou juste un délire à la con ? Non mais Vous m'avez vu en tenue uniforme moulante ? L'uniforme ça me fait gerber ...

Je m'assois sur le fauteuil et je regarde la télé. Encore des conneries sur les mutants, les mutants qui sont tous des grands terroristes si on écoute ce que disent les médias. C'est vraiment des mouches à merdes ces journalistes ! Ils raconterais n'importe quoi pour faire de l'audimat Sans compter que je ne passe pas à la télé et que je suis un acteur majeur dans la régulation de la démographie New Yorkaise.

Ah ! Elle ouvre les yeux. Je gardais mon visage masqué pour ne pas qu'elle me reconnaisse si on venait à se croiser dans la rue ou autre. Elle commence à se reveiller et on pourrait croire que l'anesthésie ne fait plus effet car elle s'est réveillé en sursaut ... elle me regarde étonné, elle doit croire que c'est un rêve, ça fait beaucoup à encaisser d'un coup: Une balle dans la poitrine, sauvé par un mystérieux inconnu, balle extraite et finallement endormit dans un lieu inconnu. En plus si elle savait que j'étais un tueurs à gages ...elle n'aurait pas dormit de la nuit.

"Vous vous appelez comment ?? Et puis pourquoi m'avoir aidé ?"

"Pour commencer on dit "Bonjour" dés qu'on se léve jeune fille ..."

Je paraissais peut être un peu brut comme ça dés le matin mais à vrai dire, je n'avais qu'une envie c'est qu'elle s'en aille maintenant ... elle n'est pas en sécurité ici et je ne crois pas qu'elle soit le bienvenue ici. Elle risque plus en restant ici que dehors. Je me levais machinalement retirant ma main de la sienne et allant chercher ces effets personnels

"Mon nom, tu as plutôt intéret à ne pas le connaitre, pour ta sécurité personnel. Pour ce qui est de t'avoir aidé, j'ai juste évité qu'une innoncente de plus aille en taule ... vu ta tête je doute que tu sois une meurtrière ... Maintenant tu devrais t'en aller, tu n'es pas en sécurité ici ..."

Je jettais sur le rebord du canapé ces effets personnels, elle avait plutôt intéret à ne pas s'attarder ici ...

"Tu sais ma puce, je n'ai pas envie que tu grandisse, plus les années passe plus on accumule les vices, tu sais malheureusement les "grands" ont besoin d'artifice: de bénéfice, de gloire et même d'édifice"
Manau-La poupée
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"Mais pourquoi vous réagissez comme ça ? Je m'en fou de ma sécurité ok ? De toute façon ma famille m'a abandonné ! Alors que je meurs maintenant ou dans 50 ans ça ne changera rien ! Je n'aurais plus de famille quand même." dit-elle en sanglotant.Désolé je me suis emportée... c'est juste que ma tante me haïs et seulement parce que je suis une mutante..."

J'aurais du m'en douter, une fille de 18 ans qui se croit invincible et qui s'en d'être en sécurité ou non, quand on voit qu'elle s'est faite maitrisé par deux flics sans qu'ils n'aient eu à utiliser leurs armes ... je doute fortement de ses capacités à se défendre seule, bien que je ne doute pas de sa volonté, il en faut pour osé se dresser entre un flingueur et sa cible. Je soupire, l'excuse de la famille qui rejete les mutants, c'est le cas dans 75% des foyers ... voila pourquoi je n'hésite pas à tuer les humains. Oui, la mort n'est rien comparé à la douleur de l'humiliation, de la solitude. Quand les gens dans les rues vous dévisage en se raillant de Vous, qu'ils vous interdisent l'accès à leur commerce parce que Vous êtes un mutant. Sur ce point là, je ne pouvais que compatir mais j'étais déterminé à rester sur mes positions. Je m'assois à côté d'elle et passe mon bras autour de son épaule pour lui dire de se calmer tout d'abord. J'emploie maintenant le tutoiement car je veux qu'elle se sente en sécurité pour qu'elle soit plus améne à m'écouter.

"Je sais pas ce que tu as vécu dans ta vie, surement des malheurs innombrables, comme la mienne certainement. Chaque personne sur terre possède son fardeau mais aussi sa spécialité. La question sera plutôt de savoir ce que tu veux faire ... mettre ton pouvoir au service des autres en étant vaguement remercié, ou bien préféres tu les voir tous morts ... ou alors le juste milieux ..."

En disant la première solution, je ressentais comme quelque chose de bizarre à l'intérieur de moi, une émotion étrange ... C'était bien la première personne à qui je sauvais la vie, du moins hors contrat ... Oui c'était un acte gratuit je dois avouer et je sais que ça ne me laisse pas indifférent, c'est peut être de ça que parlait l'homme métallique ... je ne sais pas vraiment à vrai dire, ce sentiment là est nouveau chez moi. La nouvelle adulte fini par prendre la parole en disant simplement

"Vous pouvez peut être me rendre service qui sait..."

Je soupire et retire mon bras de ses épaules, comme elle parlait tête baisser et que je n'aime pas parlé à une chevelure baissé, je m'accroupit prés d'elle pour que ma tête soit au niveau de ses genoux, les yeux relevé pour la regarder dans les yeux. Je ne sais pas si elle fuit mon regard ou si elle a honte de ce qu'elle va me demander mais je pose délicatement ma main sur son menton pour lui faire lever la tête et ainsi pouvoir me redresser toujours accroupi cependant

"Ecoute, tu n'as pas hésité à te mettre devant la balle alors que l'on ne se connaissait même pas, tu as essayé de me rendre service et je pense que cela aurait été mieux que ce soit moi qui me la prenne. Donc voila, ta demande je l'accepte d'avance, demande moi ce que tu veux pour que l'on soit quitte, mais par contre après, promet moi que tu t'en iras, tu pourras revenir me voir si tu veux mais une fois par mois seulement, tu ne dois pas attirer l'attention. On fait comme ça ?"

Je lui souriais aimablement, j'espérais qu'elle aurait suffisament de jugeotte pour accepter mon offre car à vrai dire, je ne voulais pas non plus la bousculer. Si elle était vraiment obstiné à rester, je n'aurais d'autre choix que de la mettre dehors, et pour de bon. C'est vraiment pour sa sécurité cette fois que je dis ça ...

Elle voulait que je tue quelqu'un la belle affaire, je m'en tirais bien sur ce coup. C'était ma spécialité après tout. Je l'écartelerais vite fait et hop on sera quitte. Oh j'ai même beaucoup plus sure comme méthode pour être sure de ne pas attirer les fédéreaux ! Avec un réveil et une grenade, je lui fait un réveil d'enfer à cette bouffonne. Vous savez, le genre réveil en cathédrale mais avec la tête calciné. J'ai déjà essayé personnellement et ça fait pas du bien je peux vous le dire ... et puis c'est douloureux, sa mord les flammes ... et en plus ça ronge le corps. Encore le corps d'un clodo Ok pourquoi pas, c'est toujours drôle de lancer un cocktail molotov sur un clodo qui demande une piéce. Mais le meilleure c'est lui mettre une droite pour le sonner et l'imbibé d'essence, en temps normal les gens supplient en proposant des biens qu'ils ont : argent, bijoux etc... mais le clodo il a RIEN ! c'est d'autant plus drôle ! Oula je m'égare dans mes théories machiavélique ...

Bref, j'assimilais les informations et je me levais, pour m'étirer et noté ça sur un calpin en message codé en cas de perquisition improviste. Elle avait vu mon visage, je ne sais pas si je devrais la laisser en vie après tout, elle pourrait balancer des infos me concernant et je ne donne pas cher de ma peau auprés des fédéraux de mes couilles ! Mais je sais qu'elle dira rien, elle pense encore qu'elle me doit quelque chose et c'est pas pour me déplaire, ça me laisse un compromis. Et puis si en plus je lui explose sa tante, elle a tout interet à ce que ce ne soit pas découvert et encore moins par un télépathe comme Xavier ... il est fort ce con ! Il a même réussit à me faire capter que c'était pas mon père l'assassin de ma mère. A vrai dire j'avais toujours trouver cette théorie un peu conne mais bon... on fait avec.

"Ma tante s'appelle Amanda Sherman, elle habite à Lancaster en Californie. Je vous note l'adresse si vous voulez. Oh et puis ne vous inquiétez pas je vous promet de partir après... Je ne voudrais pas vous déranger plus longtemps."

"Non inutile de m'en dire plus, la traque c'est le côté passionnant du métier donc inutile de m'en dire plus. Par contre pour ce qui est de partir, j'aimerais bien que tu le fasse dés maintenant, je désirerais être seul pour le moment... mais tu es bien entendu la bienvenue ici ... mais vient TOUJOURS seule, dans le cas contraire je serais forcé de réduire au silence ton invité... allez va !"

Je l'aidais à se relever et je l'escortais jusqu'à l'entrée. Je la prennais dans mes bras et je la serrais tendrement, en signe d'adieu, ou d'a plus tard... Je tatonais dans mes poches et je ressortais de ma poche un desert eagle, une belle arme. Je les trafiquais moi même, 7 balles, 270 mm de long, 160mm de hauteur pour un poids de 995 g, le canon quant à lui faisait bien 120 mm. M'enfin bref, une vrai arme de collection. Je tend l'arme par le cannon à Alice et je dis finallement

"Au fait, j'ai prit la liberté pendant que tu dormais de regarder tes papiers... Alice donc, tiens prend cet arme... et surtout n'hésite pas pour l'utiliser..."

Daken soupirait, vraiment elle l'exaspérait, elle était vraiment trop sensible... elle croit surement encore que le monde dehors c'est le pays des bisounours ! L'institut ne la protége pas réellement, elle aura toujours un endroit où elle sera vulnérable. Aussi bien sur le plan physique que morale. Et généralement, les ennuies ont tendance à s'arrêter quand on pointe un flingue sur quelqu'un. Et oui, j'ai presque honte à dire ça mais le flingue m'a évité pas mal d'emmerde. Ils sont beaucoup à avoir de grande gueule mais aussi beaucoup trop à fuir à la vue d'un desert eagle j'attrape affectueusement alice par l'épaule et je la tourne de sorte à ce qu'elle soit en face de moi et me regarde droit dans les yeux. Je lui dis tout simplement

"Ecoute Alice, tu ne sais pas quel danger t'attends, je ne serais pas toujours là pour te sauver la mise, et le fait de te savoir seule dehors avec tous les tarés qui trainent ça m'enchante pas des masses ... Je ne te demande pas de tirer, juste de l'avoir et de pointé pour dissuadé les plus cons de venir te chercher des emmerdes... je fais ça pour ton bien, et puis au pire, tu te fera pas emmerder si t'as une arme sur toi ... allez s'il te plait, même si c'est contraire à tes principes je souhaiterais que tu le prennes vraiment ..."

Je la regardais bien dans les yeux, je voulais qu'elle se sent en sécurité et l'arme à feu et le seul moyen de ne pas se faire emmerder de nos jours. D'ailleurs je latterais quiconque essaiera de te faire du mal, mais sa Alice tu ne le sauras pas. Je garderais un oeil sur toi malgré tout, j'ai même prit soin de dissimulé un petite quelque chose en plus pour être sûr de ta sécurité à l'institut. Mais ça tu le découvriras plus tard, ou peut être jamais qui sait ? Je lâche les épaules d'Alice et finallement ajoute

"Dans la crosse, il y a un message pour mon père. Tu ne pourras pas y accéder avec tes mains ni même avec n'importe quel outil, il faut de l'adamantium pour ouvrir cette crosse. Mon père se nomme Wolverine, remet lui ce message de ma part au passage, comme ça, ça justifiera ton port d'arme dans l'institut si on te demande."

Je regardais l'heure, bientôt neuf heure. Je vais pas tarder à aller bosser. Il vaudrait mieux que je la congédie dés maintenant. Je m'approche d'elle et l'escorte jusqu'à la porte. Je la prie de bien vouloir sortir et je dis finallement à Alice

"Souvient toi, dans la vie, y a les moutons et les loups, celui qui est devant le flingue ou derrière le flingue, tuer ou être tuer, alors n'oublie pas de t'en servir au moment le plus judicieux, prend soin de toi Alice et à une prochaine fois peut être..."

Je refermais ensuite la porte et j'allais m'assoir sur le canapé là où elle se tenait précédemment, je réfléchissais, pourquoi l'avoir sauvé ? Je n'en avais aucune idée, mais si c'était à refaire, je le referais sans hésitation sans doute. Mais après seul le temps nous dira si j'ai bien fait ou si j'ai mal fait. Dans les deux cas c'est bon signe ... pour moi.