Et ils vécurent heureux et... Oh ta geule toi! (PV Daken)

Voila, un film à l'eau de rose, enfin je venais pas pour le film. Un mec m'avait bousculé et m'avait insulté, comme tout le monde nous regardait je n'ai rien fait. Mais je l'ai suivit jusqu'au cinéma et je l'ai planté discrétement. Sans rire, y a des gens qui sont irrespectueux et qui assurent pas leurs arrières. Bon, une foi le film fini, je vais boire un coup au bar, une sorte d'habitacle ou personne ne voit ce que l'autre commande ou fait . Un homme d'une quarantaine d'année se tient là, un brun moustachu qui a une tête à se nommer "mario ou luigi" tellement son air italien est flagrant. Pff, encore un italien de merde qui va me servir trois heures après. Evidemment comme je l'ai deviné, il met du temps pour répondre. Finallement il dit

"Bonjour que puis je pour Vous ?"

"Je voudrais un coca s'il vous plait !"

"Nous n'avons plus de coca, mais on a du pepsi si Vous voulez !"

J'étais énervé et il commençait vraiment à m'énerver sous ses faux airs de pizzayolo ! Je pose mon sac par terre et je sors un calibre, un desert eagle avec un silencieux. Une belle arme, je dois avouer, je l'ai volé à un homme dans le métro qui s'en pavanait devant ses potes. Cela évitera qu'il s'en serve pour faire des meurtres. Après tout, moi et la concurence .. pas de cadeau. Bon bref je m'égare là. A cause de cette putain de journée je sors mon desert eagle et je lui pointe le gun sur la tête

"J'EN AI RIEN A FOUTRE SORS MOI CE PUTAIN DE COCA !"

Le mec flippe à mort et finallement, OH il trouve du coca derrière le comptoir, un coca qu'il allait garder pour lui cet enfoiré ! Quel esprit du marketting ! Ce mec là, il a de la chance que j'ai suffisament de sang froid pour ne pas le démonté sur place à coup de griffe ou de flingue. J'en ai marre d'avoir des imprévus dans cette journée, je voulais juste un putain de coca ! C'est compliqué à comprendre ça ? Je récupére le sac où il a mit le coca et au moment où je vais pour sortir, il me dit

"Euh, j'ai rajouté un sandwitch avec votre coca Monsieur ..."

Je me retourne, je pointe mon desert eagle sur sa tête et je fini par dire

"Je voulais juste un coca !"

Et BAM une bastos dans la tête. Grâce au silencieux, il n'y a pas eu de bruit. En ressortant, normalement c'est au client prochain d'y aller mais je lui dis que finallement y a plus rien et que le mec a fermer boutique. Il me regarde bizarrement mais il dit rien et s'en va sans faire d'histoire. Brave bête ! Sa m'aurait fait chié de tuer quelqu'un d'autre aujourd'hui. Et maintenant alors que je sors de ce putain de cinéma, une fille qui fait du stop tend son bras pour héler un taxi et me met une droite par inadvertance. Comme j'étais pressé, je courrais presque et le coup me fit tomber. Je lançais un regard noir à la fille en face de moi

"MAIS T'AS DEUX DE QI OU QUOI ? REGARDE OU TU MET TON POING QUAND TU HELES QUELQU'UN PUTAIN DE NOM DE DIEU !"

Je me relevais et la regarder méchament, vu ma carrure ça aurait pu être plus impressionant mais là j'avais littéralement cracher toute ma haine sur le coup.

-Vous êtes gonflé de dire que c'est de ma faute. C'est vous qui vous êtes jeté sur moi! Vous ne regardiez même pas où vous aliez! Et puis vous n'aviez pas besoin d'être aussi grossier! Et en plus vous venez de me faire rater mon taxi ! Bien le merci, grâce à vous j'en suis quitte pour une demi-heure de marche! Bonsoir chez vous!

on au moins, voyons le bon côté des choses, je l'ai bien emmerdé en lui faisant raté son taxi. Ce même taxi qui a été la cause de la droite que je venais de me prendre .. cette fois j'en avais réellement marre. Un mec me gueule dessus et se fou de ma gueule, je l'ai assassiné.Un italien de merde qui n'ai pas foutu de prendre une commande normalement, je l'ai assassiné. Et maintenant cette gadji qui croit qu'elle peut se barrer comme ça, comme une fleur sans qu'elle en paye le prix fort ? Non mais elle s'est prise pour qui elle.

Dans un language poli, je dirais que je vais interpeller cette péripathéticienne et l'amené dans une rue assez étroite de cette accumulation démographique qui porte le nom de "New York" et je la rosserais pour finallement être son deuxiéme père, le premier lui aura donné la vie, moi je lui donnerais la mort. Traduction pour ceux qui n'ont rien comprit, je vais engueulé cette pute et je vais la trainé dans une ruelle étroite de New York pour la décalquer et lui arraché les boyaux alors qu'elle est encore consciente.

Quel manque de poésie n'est ce pas ? Mais bon, la poésie ici a perdu tout son art. Je m'approche d'elle dans son angle mort (pour ne pas être repéré) et la saisit par l'épaule pour l'obliger à faire volteface. Puis je lui asséne une droite violente dans la tempe pour la faire tomber au sol. Maintenant on est quitte, bon on va évité le scénario catastrophe et on va tenter de s'en sortir version gentlemen civilisé

"Bon écoute bien grogniasse, soit tu me présentes immédiatement tes excuses soit je te pends à tes tripes sur le prochain réverbére et si tu penses que je bluff, viens je t'attends !"

J'aime pas me battre avec les filles, mais celle la mérite une bonne leçon. Je dis ça aussi parce que je suis énervé mais je m'en fou, elle va me servir de défouloir dans le pire des cas, dans le meilleur des cas, elle s'en sortira avec un cocard ...

Un croche-patte ? Très ingénieux je dois reconnaitre, mais voila, maintenant ma haine a atteind son paroxysme. Je me reléve d'un bond et me met à courir derrière cette fille. Je suis vraiment énervé et le fait qu'il n'y ai personne à cet heure là m'enchantait, j'allais pouvoir lui tailler le ventre et lui arracher la langue à cette gadji ! On va voir combien de temps elle va résister à la torture. J'en salivais d'avance, mes griffes ne demandaient qu'à sortir. C'était vraiment un coup d'adrénaline impressionant pour une si petite chose. J'aimais ça !

Je la coursais et enfin, je la vis s'arrêter et se glisser dans un petit espace que je pensais trop petit. Au fur et à mesure que je m'approchais, je découvrais que cet espace ne pouvait même pas faire rentrer une anorexique. C'était impossible qu'elle ait pu se mettre dans un endroit aussi petit, surtout qu'elle était pas assez maigre pour réussir une telle prouesse. Je finis par dire d'un ton tout à fait calme

"Je vois, une mutante, tu as de la chance, je ne tue aucun mutant hors contrat ..."

Je sortais le fourreau d'adamantium de ma troisiéme griffe et je tranchais le kiosque de façon horizontal pour faire en sorte qu'il soit découpé en deux en un coup. L'adamantium tranche tout, c'est impressionant ce que je peux faire avec ces fourreaux. Je la regarde, et je lui insuffle des phéromones apaisant pour qu'elle se sente en sécurité et pour qu'elle ne s'en aille pas en courrant comme les autres fois. Je tendais la main pour l'aidé à sortir de son trou à rat et je fini par dire

"Ton pouvoir me semble particuliérement plaisant. C'est rare, et utile ... tu vis chez Charles ?"

Je rangeais mes griffes pour lui montrer que je ne voulais pas me battre. A partir du moment où c'est une mutante, je ne tue pas. Je crois en la fraternité entre mutant donc je ne tuerais pas ma soeur mutante, pas aujourd'hui en tout cas. Après suivant le contrat, j'avise ! Bref, fini de faire le sentimental. Je fini par dire

"Excuse moi d'avoir aussi mal réagit tout à l'heure, je suis à cran ces derniers jours ..."

- Non mais je rêve! Y a pas cinq minutes, tu voulais me mettre en pièce parce que tu voulais que je te présente des excuses et maintenant c'est toi qui m'en fait!?! Mais quel genre de cinglé es-tu?

Décidément cette petite elle me plait de plus en plus, elle se dégonfle pas et possède un fort caractére, j'aime beaucoup ! Cependant il y a une chose que je n'aime pas chez elle, elle ne répond pas au question qu'on lui pose ! Après tout, il s'agit bien d'une jeune fille qui s'est trouvé au mauvais endroit au mauvais moment. Bon après tout je peux bien répondre à sa question et elle répondra à la mienne.

"Cinglé ? Tu te permet de me mettre une droite par inadvertance, de ne pas t'excuser et de me narguer en t'en allant ? Et tu croyais vraiment que j'allais laisser une sale humaine me ridiculisé de la sorte ? Maintenant tu es une mutante, tu as un sursis on va dire ..."

Ma main se posait sur le bout de kiosque à journeau présent qui lui faisait un repose bras très artisanale. Systéme D ! Bon maintenant que j'ai répondu à tes question ma belle tu va répondre au mienne. J'aime pas paraitre un peu nazi sur les bords mais là je risque fortement de la torturé si elle ose encore sauté mes question comme elle vient de le faire. Elle a montré son courage en me tenant tête une première fois, mais une seconde fois je pense que ça sera plus de la folie qu'autre chose ! Et elle le sait j'en suis sur !

"Maintenant que j'ai répondu à ta question ... tu vis chez Charles Xavier oui ou non ? ..."

On pouvait sentir une légére excitation dans la voix, oui, mon padre Wolverine était toujours à l'institut il me semble, je pourrais récupéré de ses nouvelles si c'est le cas ou bien utiliser cette demoiselle pour le persuadé de venir me voir un de ces quatres, j'ai tellement de chose à lui dire depuis la dernière fois. Les circonstances n'étaient pas vraiment les même il faut dire ... a chaque fois qu'on se voit c'est en plein milieu d'une baston et on a pas vraiment l'occasion de parler ... c'est dommage je trouve.

"Alors ? Tu es chez Xavier ou tu es seule ..."

"Il y a un temps pour tout, un temps pour tout niqué, un temps pour se calmer, un temps pour se faire pardonner" Sinik
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- Vous ne vous figurez tout de même pas que je vais vous dire où je vis alors que tout ce que je connais de vous, ce sont vos tendances meurtrières?J'ai encore assez de jugeotte pour sauver ma peau. Je ne connais pas ce Chalres Xavier dont vous me rabachez les oreilles! Je vis à la cité universitaire. Vous êtes renseigné, maintenant laissez-moi tranquille et passez votre chemin!

J'estime avoir passé le cap, avoir été assez gentil avec elle, ne pas l'avoir causé de dommage irreversible ni même fait couler son sang. J'en avais marre, marre d'entendre cette bouche s'ouvrir pour cracher des éléments contradictoires. Elle dit qu'elle ne me dira jamais où elle habite mais elle me dit qu'elle vit dans une cité Universitaire, sans compter que les sorties sont interdites le soir dans les cités universitaires, En plus elle me prend pour un con ... mes pulsions revenaient et c'était jamais bon signe.

"Tu dis que tu ne me diras jamais où tu habites puis dans la phrase d'après tu me dis que t'es chez les universitaires ... je crois franchement que tu te fou de ma gueule ... et n'essaie pas de jouer au plus maline avec moi ..."

Je l'attrape à la gorge et la plaque contre le mur, aucun témoin tant mieux ! Je sors les griffes et les plaque contre son ventre prêt à l'enfoncer au plus profond dans sa chair. Je la regarde dans les yeux, un regard enflammé témoignant de toutes ma fureur, je suis pire que rageux là ... beaucoup plus dangereux que lorsque je suis haineux... et je fini par dire

"Tu as trois secondes pour avouer que tu es chez Xavier ... tu ne te cacherais pas autant sinon ! Trois secondes avant que je t'enfonce ces griffes dans ton ventre et que je te fasse un avortement sans anestesie !"

J'étais enragé là, je la jette contre ce qui reste du kiosque, j'ai essayé la manière douce maintenant je fais la manière forte. Elle m'énerve celle là ! Elle a pas interet à ce que l'on se croise dans d'autre circonstance ! Allez crache ce putain de morceau qu'on en finisse. J'ai autre chose à foutre de ma journée même si on dirait pas ! Je sors mon desert eagle et la vise. Un regard sadique dans mes yeux

"Ou peut être devrais je commencer par te plomber les genoux un par un ! puis les coudes et enfin la tête ..."

[HJ: Fin du RP]

"La loi du plus fort n'est pas toujours la meilleure, nous l'avons démontré tout à l'heure..." (J. de la Fontaine)