Booker Banks alias Ghettofabu [Terminé]

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NOM : Banks PRENOM : Booker ALIAS ET SURNOM : officieusement : Ghettofabu AGE : 31 ans DATE DE NAISSANCE : 12 Février 1980 M ETIER: Actuel co-propriétaire du « Dédale ». NATIONALITE : Américain GENRE : Homme CLAN : Neutre

Pouvoirs :

• Description :
  
  Gestion des efforts et des moments statiques
  
  Sur Terre, chaque solide (le pouvoir se limite aux solides, et à ceux composés par des matériaux terrestres classiques, id est non organiques, non biotechnologiques, pas d'artefact ni de matériaux venant d'ailleurs que de la Terre dans la dimension dans laquelle nous évoluons tous communément, non marveliens qui plus est : ni l'adamantium ni le vibradium ni aucune autre matière) est soumis à un ensemble de contraintes imposées par d'autres solides. Par exemple, le sol empêche aux hommes de tomber. Ces premiers solides subissent donc des forces appliqués par ces autres solides. Naturellement, un solide isolé possède six degré de liberté : 3 de translation (haut-bas, avant-arrière, gauche-droite) et 3 de rotation (sur soi même, sur le côté, vers l'avant ou vers l'arrière). Si on considère à présent un deuxième solide en contact avec le premier, il va exercer sur notre solide de départ diverses contraintes spatiales, l'empêchant par exemple de tourner, et le solide de départ en retour va exercer des efforts sur le deuxième solide. Les efforts sont à l'origine du mouvement (lorsqu'on pousse la porte elle s'ouvre, pas avant), et deux mouvements antagonistes peuvent conduire à la rupture (en cassant une branche sur son genoux, on appuie à la fois vers le bas avec ses bras et vers le haut avec son genoux; où encore pour casser un crayon, on induit deux rotations de sens opposés au dit crayon). Le pouvoir de Booker est donc le suivant : il peut gérer, moduler ces contraintes jusqu'à les rendre vaines, et alors notre solide de départ pourra tourner ou glisser, déplaçant éventuellement le deuxième solide - lequel tournera et se déplacera en même temps que le premier si ce premier solide lui induit un mouvement - (si par exemple le premier solide s'éloigne du second, alors il ne lui induit pas de mouvement, mais si en tournant le premier emporte le second, alors ce dernier sera animé d'une translation), à l'inverse, il peut aussi les rendre telles que la moindre pression supérieure (une charge d'épaule par exemple) conduira à la rupture du solide considéré. Concrètement, en étudiant l'architecture d'un bâtiment, il pourrait en modulant les bons efforts et moments modifier, manipuler, remodeler entièrement la structure globale du dit bâtiment et en faire un vrai labyrinthe entièrement mobile (un solide est en équilibre ou statique lorsque tout sous-solide du dit solide est en équilibre, grâce à son pouvoir, Booker peut décoller un pan de mur, entier ou non, puis « l'articuler », l'animer en gérant les efforts qui s'appliquent sur lui ; Remarque : il ne contrôle cependant pas les efforts internes au solide comme le poids par exemple). Pour se faire, il est très important de synchroniser les étapes de manière à ce que la gravité ne fasse pas effondrer l'ensemble, et ainsi étudier les plans en détail. Dans le même ordre d'idée, le corps humain possède 360 articulations, Booker lui n'en connait qu'une centaine (les mobiles : aux niveaux des doigts, poignets, coudes ….), son pouvoir lui permet d'augmenter les efforts et surtout les moments au niveau de ces articulations (uniquement ! Il ne peut pas déformer le squelette humain comme il le ferait avec la structure d'un bâtiment) pour les immobiliser totalement, de plus il peut viser plusieurs cibles à la fois. Concernant les limites de son pouvoir, il n'est pas gêné par le fait de ne pas voir sa cible, il suffit qu'il sache qu'elle est là, il n'est pas non plus limité par la masse, procédant s'il le faut briques par briques (un solide est en équilibre ou statique lorsque tout sous-solide du dit solide est en équilibre). Il est par contre limité par la distance (pour un bâtiment, il faut qu'il soit à l'intérieur de celui-ci, pour une personne, il faut qu'elle soit à moins de 50 mètres), par le temps (comme en automobile, pour un bâtiment, il ne peut pas manipuler de façon continue pendant : une pause d'une demi-heure est nécessaire toutes les deux heures la manipulation effectué en valable jusqu'à ce qu'un horloger intervienne, cependant sur les hommes, il ne peut guère les immobiliser entièrement plus d'un quart d'heure) par le volume (il peut remplir les espaces, mais pas condenser la matière, et il ne peut manipuler ce qui est plus petit qu'un grain de sable) et par la physique (en modifiant la structure entière d'un immeuble, il doit à tout moment considérer le poids, sur lequel il n'a aucun pouvoir, si l'ensemble n'est pas équilibré alors la physique reprendra le dessus et l'ensemble s'effondrera). Potentiellement, son pouvoir peut être poussé jusqu'à faire en sorte qu'un bâtiment puisse s'écraser sous son propre poids, ou qu'un humain puisse être entièrement immobilisé en rendant factice toutes les articulations assurant la mobilité.
  Pour ceux qui n'ont toujours rien compris, tout bâtiment apparaît aux yeux de Booker comme une horloge. Une horloge avec des rouages qui tournent parfaitement (les portes, les fenêtres, les ascenseurs....) et des rouages qui ne bougent pas (les murs, la tuyauterie...). Booker est alors l'horloger, celui qui huile les rouages immobiles et qui grippe les rouages mobiles. De plus, il peut éventuellement se prendre lui même pour cible. Cependant, si tout mouvement a pour origine une volonté (ci la volonté est symbolisée par le pouvoir de Booker qui permet d'éliminer toute contrainte sur le solide) la volonté seule ne suffit pas à induire le mouvement. C'est pourquoi dans certains cas où le solide considéré n'est pas soumis à assez de force, Booker ne peut le déplacer sans avoir besoin de recourir à une force supplémentaire telle qu'une pression de la main, ou une pression induite par un solide manipulable plus simplement. C'est le cas notamment des objets isolés (il ne peut pas déplacer une pierre seule, isolée, posée sur le sol) ou de ceux des objets soumis à peu d'efforts (typiquement les objets uniquement articulés autour d'un axe).
  
  Face à un autre horloger, leurs pouvoirs peuvent soit s'amplifier l'un l'autre, soit se compenser (s'il sont tous deux de la même puissance) soit ne pas se perturber (si chacun s'occupe d'un secteur par exemple). Si un télékinésiste déplace les murs lorsque Booker à supprimer les contraintes, il ne peut inverser le mouvement uniquement en réintroduisant les contraintes et/ou en comptant sur l'effet de surprise. Face à un mutant aux capacités physiques décuplées, Booker ne pourra que rendre ces dernières au mieux « normales », il ne pourra l'immobiliser totalement.
  
  Notion d'impulsion ou Dirac
  
  En plus de gérer les efforts déjà existant, Booker est capable de générer de façon ponctuelle de nouveaux efforts. Par définition un Dirac est un effort instantané et infini, mais dans la pratique, Booker ne peut générer que des efforts extrêmement violent, pouvant éclater toute matière non marvelienne. Pour se faire, Booker a besoin d'énormément de concentration, à distance, il doit être à moins de 25 mètres d'une cible parfaitement statique, donc inutilisable sur une cible agitant ne serait-ce qu'un bras et de visualiser la cible à l'intérieur d'un quadrilatère formé par ses deux mains tendues devant lui, le déclenchement étant un cri, au contact, il suffit qu'il appuie sur le solide pour pouvoir générer le Dirac. Il n'est pas capable de moduler l'impulsion : il fournit toujours la même « décharge » et doit attendre 10 minutes avant de pouvoir créer une nouvelle impulsion. La puissance de la décharge est inversement proportionnel à la zone visé (donc en grande partie à sa distance par rapport à la cible). Dans l'éventualité où une personne ou un quelconque autre objet s'interposait entre Booker et la zone visée au moment où il déclenche l'impulsion, celle-ci n'aurait plus aucune effet, ni sur la cible, ni sur ce qui s'est interposé.
  
  
• Niveaux de  maitrise:
  
  Actuellement, Booker ne peut manipuler que 48 articulations simultanément, que ce soit 48 sur une même personne, ou 36 sur l'une, 12 sur une autre … toutes les combinaisons sont permises, seul le nombre d'articulations bloquées importe. Il est capable de maintenir cette manipulation partielle pendant 25 minutes (lorsqu'il ne manipule qu'une articulation, il peut la maintenir sous son emprise pendant 90 minutes, en conclusion, le temps de manipulation dépend de façon non linéaire du nombre : une centaine équivaut à 15 minutes, une cinquantaine à 25 minutes et une seule à 90 minutes). D'autre part, il n'est pas encore assez puissant pour qu'un bâtiment puisse s'écrouler sous son propre poids, son niveau actuel débouche à 95 % de l'effort maximal que le solide puisse supporter. Concernant son second pouvoir, il n'en contrôle pas la puissance. Ayant ses pouvoirs depuis plus de la moitié de sa vie, il les maitrise et les déclenche uniquement sur commande, bien qu'il n'ait pas encore atteint sa puissance maximale. Il doit cependant être très concentré et donc la colère complique singulièrement l'usage de ses pouvoirs .
  De plus, le fait qu'il soit mis inconscient (par une décharge ou simplement en dormant) ou même juste déconcentré pendant son travail lui fait uniquement perdre le contrôle des objets qu'il manipule, rend son pouvoir caduc. Mais étant donné qu'il exerce une évolution constante sur ces objets, toujours contraints et soumis par la gravité, le bâtiment sur lequel il exerce son pouvoir resterait debout.
  
  
  
• Lien entre les Pouvoirs:
  
  La gestion d'impulsion ou de Dirac était le premier pouvoir de Booker, il ne pouvait à l'origine l'employer uniquement par contact de la main, en poussant contre le solide, l'évolution de son pouvoir avec l'âge à voulu que son pouvoir ne dépende pas d'une impulsion musculaire (en appuyant sur un mur par exemple) ainsi en criant, il génère évidemment des ondes sonores qui se déplacent donc à la vitesse du son et frappe le solide. En augmentant les efforts engendré par ces impulsions, il peut désormais générer des Dirac à distance. Son pouvoir a aussi évolué presque immédiatement dans le sens où désormais, il peut gérer les efforts induit par d'autres solides.
  

Description Physique :

• Apparence :
  
  Booker mesure 1m88 pour 93 kilos et il prend très à coeur son apparence, travaillant son physique d'athlète lourd pour ainsi dire. Il est noir de peau. Il a une démarche relativement souple, la tête haute, altière. Il parle avec beaucoup d'intonations et d'une voix grave. Il a un menton carré et entretien avec beaucoup de soin son bouc. Il a un nez un peu épaté, de larges, des yeux net de jais et de légères faucettes. Il a des sourcils aussi bruns que ses cheveux et son bouc. Son rire est aussi franc que l'est son attitude. La journée, s'il doit se présenter devant un quelconque homme d'affaire, il revêt le costume cravate de rigueur, la nuit, il préfère revêtir une veste en cuir ouverte sur un t-shirt, un jean ou un pantalon en toile grise, beige ou marron sur ses chaussures de basket noires. Lorsqu'il n'a pas besoin de s'habiller pour un rendez-vous d'affaire (le dimanche par exemple), il est soit vêtu d'une paire de basket, d'un bas de jogging et d'un débardeur pour aller courir et s'entrainer, soit d'une paire de basket, d'un pantalon classe et d'une chemise manches ¾ soir d'un jean (voire d'un bermuda si la saison le permet) et d'un t-shirt (voire d'un débardeur). Son style vestimentaire reste cependant classe ou urban, parfois les deux.
  
  
• Signes Particuliers  :
  
  Booker possède deux tatouages : sur son épaule gauche, une tête de loup stylisée, symbole de son possède dans le gang « la Meute d'Harlem », et sur son épaule droite, un labyrinthe sans sortie qu'il s'était fait tatoué lorsqu'il ne maitrisé pas encore ses pouvoirs parfaitement : parfois il se retrouvait enfermé entre quatre murs sans porte de sortie.
  
  

Caractère :

• Mental :
  
  Booker est une personne avec un franc parlé qui ne s'embarrasse pas de savoir si ce qu'il dit peut être vexant. La famille est la valeur qui passe avant toutes les autres pour lui, malgré cela, il n'a pas reparlé à son père depuis près de 15 ans. Faussement naïf en affaire, il est froid envers ceux qui tentent d'abuser de lui. Gentleman, il n'a pas vraiment l'habitude de se mettre en avant, cependant, lorsque les projecteurs s'éteignent, il devient très expansif en privé . Il est très terre à terre et perfectionniste. Son point de vue sur les mutants à changer du tout au tout le jour où son pouvoir est apparu. Quelque peu xénophobe au départ, il se moquait des mutants qu'il croisait lorsqu'il était avec son gang, allant parfois jusqu'à les passer à tabac pour ne pas assumer sa réelle peur bleue. Lorsqu'il est devenu lui même un mutant, il accusa le coup et chercha longtemps une solution à ce qu'il considéré comme un problème avant finalement d'assumer sa différence et même de se sentir gâté par la nature et un sentiment de supériorité vis à vis des humains est né en lui. Concernant le B.A.M, selon lui, c'est une entreprise gouvernementale reconnaissant l'existence des mutants et les acceptant dans la société au même titre que les humains, ainsi mutants et non mutants sont égaux. Cependant il considèrent cette police avec la même déférence que la NYPD, qu'il juge incompétente dans son quartier de jeunesse (Harlem). Il n'est pas du tout en accord avec l'idéologie de Magnéto, car il considère que ses pouvoirs sont autant une bénédiction qu'une malédiction, et que vouloir éradiquer l'espèce humaine serait se priver de tout un marché. Il est en total accord avec l'idéologie du docteur Xavier bien qu'il ne soit pas assez naïf pour croire qu'un jour les homo sapiens et les homo superior marcheront ensemble main dans la main. Concernant les méthodes des X-men, elles ne lui posent pas particulièrement de problème tant qu'elles sont efficaces. Il trouve que les voies non conventionnelles empruntées par les X-men offrent des résultats mais condamne certains d'entre eux à être recherché pour actes criminels, en ce point, il ne se trouve pas très différent d'eux, lui aussi à un lourd passé et un casier après son passage dans un gang. Il trouve dans l'idéologie du B.A.M une notion de responsabilité et de reconnaissance qu'il trouve indispensable, mais selon lui, le Bureaux n'en est qu'à ses premier balbutiements. Il adopte cependant, en publique, un point de vue détaché. En tant que riche propriétaire mutant (surtout riche et mutant) il pourrait avoir une place au Club des Damnés, club dont il a appris l'existence au court d'une soirée un peu trop arrosé pour quelqu'un d'un peu trop influent membre du club, mais n'en a jamais formulé le souhait et ne le fera sans doute jamais (de toute manière il ignore complétement les us et coutumes du Club, notamment qu'on ne fait pas de demande pour y entrer et qu'il est difficile de refuser lorsque le club nous le demande), le monde actuel lui convient parfaitement, pas la peine selon lui de rêver à un autre monde en compagnie des riches de ce monde. Qui plus est, il n'est pas spécialement influent (peut-être un peu dans le monde de la musique, ou encore grâce aux ragots dont il a été témoin dans sa boite).
  
  

Histoire :

• Talents Particuliers  :
  
  Sans avoir appris d'arts martiaux ni le maniement des armes, Booker sait très bien se battre et tiré au pistolet, il a appris sur le tas, enfant instruit de la rue. Son père aussi hypocrite qu'il puisse être, l'a forcé à passer son bac, s'opposant à la volonté de son gang. C'est le seul choix de son père que Booker approuve aujourd'hui, grâce à lui il a put passer son diplôme d'ingénieur dans le génie civil. Il a aussi un talent certain pour le basket qui lui a permis de décrocher une bourse d'étude.
  
  
• Possessions :
  
  Le Dédale :
  Immense boite de nuit dans le quartier branché de Tribeca. La particularité de cette boite c'est que d'une semaine sur l'autre, elle a changé de forme, une jour ronde avec une piste de danse plate, le lendemain carré avec des estrades etc... Seul les employés ne changent pas : deux imposants videurs afro-américains devant une grande porte noire (autre élément constant de la boite), trois barmans, deux au rez de chaussée, un à l'étage, six serveuses sexy (à bon entendeur), ainsi que deux jumelles s'occupant de l'entrée et des vestiaire. C'est la faculté de Booker qui permet ce renouveau constant, secret de la longévité de la boite (que lui et Zax Fried ont acquis en Mai 2007). Concrètement, la boite n'est qu'un ensemble de dalles que Booker organise et avec lesquelles il façonne de Dimanche à Mardi la boite du reste de la semaine, comme avec des Légo.
  On ne peut pas vraiment décrire l'architecture étant donnée qu'elle varie d'une semaine sur l'autre, mais la boite est dans des tons noirs, gris, argent et marrons, au mobilier très moderne. Cependant, on peut dire que le Dédale possède trois étages dont seulement deux sont accessibles à la clientèle. Dans la partie extrêmement changeante du premier, on retrouve la piste de danse qui représente plus de 70% de la surface au sol ainsi qu’un grand bar changeant de position d'un jour sur l'autre, parfois au milieu, parfois dans un recoin, un coin tables fait de temps à autre son apparition dans les coins de la pièce, parfois on a aussi le privilège d'une scène pour les groupes mais le plus généralement l'ambiance reste mise par un DJ, sur une estrade ou ailleurs. Au deuxième (une mezzanine de forme et de taille changeante), on a le coin V.I.P : un bar plus petit, de nombreuses tables ouvert sur la piste de danse à l’étage d’en dessous. Le dernier étage est une partie privée, à laquelle Booker ne change rien. In y retrouve en pièce centrale un salon avec un bar, des fauteuils et un canapé face a une télé, juste à côté se trouvent deux chambre, une salle de bain et pour finir on a une cabine un peu spéciale. Toute en verre, meublée d'une table basse elle aussi en verre, des fauteuils en cuir noir et un bar dans un coin, c'est la cabine depuis laquelle Zax et Booker peuvent observer les deux étages de la boite de nuit et c’est aussi dans cette pièce que la plus part des affaires sont réglées. Deux autres videurs surveillent l'accès à la mezzanine et s'occupent éventuellement de gérer les affrontements.
  Au dédale, on passe tout type de musique, toujours branchée, allant du R'n'B au Rock en passant par la pop …. selon le bon vouloir du DJ. Parfois même des groupes célèbres viennent dans cette boîte pour jouer leurs meilleurs morceaux, lorsque Zax arrive à en dénicher.
  Il est par conséquent un mutant connu. Au début, la connaissance de ses pouvoirs repoussait beaucoup de clients, et sa propre réputation nuisait à celle de la boîte. Mais peu à peu, par le jeu du bouche à oreille, et par l'action de Zax, cette boite est sortie de l'ombre et aujourd'hui, il n'est pas rare qu'elle accueille plusieurs centaines de fêtards.
  
  Niveau automobile, Booker conduit une Camaro grise. Il possède aussi un fusil à pompe acheté au Texas, et le permis qui va avec, caché sous la banquette dans sa voiture ainsi q'un Glock17 qu'il garde toujours avec lui, par mesure de sécurité.
  
  
• Biographie :
  
  
  10 Mai 1986
  Wall Street Journal
  
  […]Parlons à présent d'Harlem. La pauvreté y bat des records en même temps que le taux de criminalité. C'est dans une ambiance plus que tendu, ravagée par la guerre des gangs que des familles vivent à 7 ou 8 sur un salaire.[...]
  
  C'était le cas de ma famille. Je suis né le 12 Février 1980 et je m'appelle Booker Banks. Je suis le cadet d'une famille de quatre enfants : Marvin mon ainé d'un an, Grant, mon petit frère plus jeune de deux ans et Rayhelle la benjamine de notre famille, âgé à cette époque de 2 ans. Mon père Ramell Banks, était charpentier et suait sang et eau pour faire vivre notre famille tandis que ma mère Fawn Banks s'occupait de ses enfants du mieux qu'elle pouvait, m'accompagnant moi et Marvin à l'école primaire du quartier. La vie n'était pas toujours très gaie, je n'avais pas encore vu un vêtement neuf, mes parents m'offraient les fringues qu'avait portées Marvin et que porteront Grant et Rayhelle.
  
  
  2 Avril 1993
  New York Post
  
  [...]Dans la rubrique Faits Divers, nous allons aujourd'hui aborder le phénomène mutant. Simple farce ou fait d'actualité ? Le New York Post s'est penché sur cette question. La réponse s'est offerte à nous comme une évidence : le phénomène mutant existe bel et bien, et est en pleine expansion.[...] Dernier fait notable en date : hier au collège d'Harlem, un jeune enfant à littéralement détruit toute la façade du bâtiment d'une simple pression de la main, poisson d'Avril ou fait d'actualité ? Décidément, le phénomène mutant reste bien obscur[...]
  
  Cet enfant, c'était moi. Ce jour là, ce n'était pas la première chose qui avait explosé à mon contact. Tout d'abord en m'appuyant au lavabo pour cracher la dentifrice emplissant ma bouche, je m'était retrouvé par terre, le lavabo à moitié arracher et l'eau pissant un débit incroyable par une nouvelle fissure dans la tuyauterie. Je ne m'étais pas inquiété de cet incident, il n'était pas rare d'avoir une fuite d'eau dans notre 30 m² vétuste d'Harlem. Mais durant la récrée de 10h, au collège je m'étais appuyé contre un mur, essayant de prendre une pause cool et me faire remarquer de la jolie Gwendolyn, quand soudain le mur lui aussi vola en éclat. Incompréhension totale de la part de tout le monde, y compris du proviseur qui ne pouvait clairement faire retomber la faute sur moi, qui aurait soupçonné qu'un jeune garçon tel que moi ait la "force" nécessaire pour faire voler un mur en éclat. Le proviseur, un certain Monsieur Gilligan, ne croyait pas au phénomène mutant quoiqu'en disent les journaux, pour lui il s'agissait d'un attentat à la bombe perpétré par un gang de quartier, bien qu'aucun explosif ne fut retrouvé, j'étais totalement hors de cause, heureusement pour mon avenir d'ailleurs. Sur le coup, je pris peur comme tout le monde et me mis à courir en hurlant comme les autres, avant de me rendre compte qu'eux me fuyaient moi. Je m'arrêta net, seul dans la cours de récrée et des larmes chaudes s'échappèrent de mes yeux. La suite fut très difficile pour moi, tous avaient peur de moi, j'essayais de me recouvrir les mains, mais il semblait que mon pouvoir ne venait pas de là lorsqu'un portail vola en éclat. Dès lors toute chaleur humaine me fut proscrite, ma propre mère avait peur qu'en me touchant elle déclenche accidentellement mon pouvoir, bien que cela fut improbable. Personne ne savait d'où me venait ce pouvoir, et ma mère m'emmena voir plusieurs médecins, lesquels lui apprirent que ce n'était pas une maladie d'être mutant, qu'il n'y avait donc aucun remède. Ma mère a beaucoup pleuré ce jour là, accusant le coup, ne voulant pas croire ces médecins qu'elle appelait des charlatans. Ce n'est que quelques semaines plus tard lorsque mon père aboya à ma mère l'ordre d'arrêter de dépenser notre maigre pécule alors que la « sentence » était déjà tombé, qu'il n'y avait rien à faire pour me sauver. Ce furent ces mots, mon père n'avait plus la même estime pour moi. Son regard était empli de haine, seule ma petite soeur n'était pas effrayée par ce que j'étais devenu. Elle fut pour les années à venir ma seule source de réconfort.
  
  
  9 Décembre 1993
  New York Times
  
  [...]Alors que la guerre des gangs fait toujours rage à Harlem, […]. En effet, les gangs recrutent maintenant leurs membres dès l'enfance, l'officier McCarty à déclarer à la découverte du corps de l'enfant de 14 ans :[...]. Nous sommes allé voir la famille du jeune Marvin Banks vivant à Harlem et nous fument reçus très simplement par la mère de famille. Voilà ce qu'elle nous dit, l'âme déchirée : « […] A présent je dois faire mon deuil et surveiller mon cadet, Booker, lui aussi enrôlé par ces maudits brigands […] »[...]
  
  J'enterrais mon frère le lendemain. Cela faisait deux semaines que la Meute d'Harlem nous était tombé dessus, au terrain de basket, nous proposant des chaussures neuves en échange de nos services. Et nous voilà devenus passeurs de drogues. Ce jour-là, mon frère devait livrer de la Cocaïne à ce que le gang appelait un gros poisson. Malheureusement, rien ne s'était passé comme prévu, une fusillade avait éclater et mon frère fut tué de 35 impacts de 9 mm partout sur le corps. Mon père sombra peu à peu dans l'alcoolisme, calmant ses nerfs sur ma mère, moi et ma jeune soeur. Seul Grant y échappait pour une raison qui m'échappait à moi. Je pensais déjà à arrêter mes études, quitter cette école où je n'avais aucun ami, où j'étais rejeté de tous, pour me consacrer entièrement au gang, qui m'offrait des récompenses matérielles (bien minces certes mais suffisantes pour un enfant de 13 ans), mais surtout de la reconnaissance -quelle naïveté- et d'être accepté tel que j'étais, malgré mes pouvoirs contre-nature. Cependant durant 5 ans, je travaillais, obligé par mon père qui me faisait plus peur que le gang, je passais de la drogue et je subissais les mauvais traitements orchestrés par mon père. J'apprenais peu à peu à maitriser mes pouvoirs. Un fois mes 18 ans et mon HSC (High School Diploma, l'équivalent du bac) en poche, je quittai le cocon familial, brisant le coeur à ma mère et ma jeune soeur sans même adresser un mot à mon père. J'établis mon campement dans une usine désaffectée qui servait de planque à notre marchandise. Pour gagner ma vie, je m'engageait plus activement dans le gang où je montais en grade et je m'inscrivais à des combats clandestins où je me faisais un peu d'argent de poche et beaucoup d'ennemis, mon talent pour les immobiliser m'offrant l'avantage sur l'adversaire mais aussi ses insultes. Bientôt je devins le bras droit du nouveau chef de gang, un certain Ferric Brown, qui devint pour moi un ami très proche auquel je me confiais. Je rêvais à l'époque de quitter l'enfer du ghetto pour être présenté dans les journaux people comme la star montante du basket. Il en avait beaucoup rit, et j'avais hérité du surnom de Ghettofabu (nom d'un magasine people). Durant les trois années qui suivirent, le gang se développa, changeant le centre de ses activités, s'organisant autour de Ferric. Il commençait à devenir une institution à part entière, de nouveaux membres y trouvaient leur place, et notamment deux d'entre eux qui en changeront l'histoire : Jackson Doyle et Zax Fried, le premier était un afro-américain trop pédant et fière, et l'autre un blanbec qui au premier abord m'avait semblé louche. Je n'arrivais à m'entendre avec aucun des deux. Le premier en raison de sa personnalité et le second parce qu'il était blanc. Mais j'appris de Ferric qu'il était lui aussi un mutant, le deuxième du gang, et cette ressemblance nous rapprocha, j'avais enfin trouvé une personne qui pouvait me comprendre.
  
  
  3 Mars 2001
  New York Times
  
  […] Attentat à la bombe à côté du cimetière, la police étouffe l'affaire en prétextant la guerre des gangs[...]
  
  Lors de ma 21e année, ma mère décéda sous les coups de mon père. Lequel était venu, tout hypocrite qu'il était, à son enterrement. Il était pluvieux, comme il se devait pour un enterrement, Ferric et Zax étaient avec moi dans cette épreuve. Je ne voulais pas me laisser aller devant eux et ravalais difficilement mes larmes. Je prenais ma soeur dans mes bras, je ne l'avais pas revu depuis bientôt 3 ans, n'était jamais retourné à la maison dans l'espoir que cela me permettrait de ne jamais revoir le visage de mon père. Elle avait aujourd'hui 17 ans et était devenu une très jolie demoiselle dont le chagrin et la haine dévorait le visage. Ferric me mit une main sur l'épaule et me dit qu'il allait attendre dans la voiture. J'embrassais les cheveux de ma soeur quand une explosion retentit derrière nous. La voiture de Ferric explosa avec lui à l'intérieur. La logique aurait voulu que je devienne le chef du gang, mais Jackson s'autoproclama chef de gang. Cet acte lui value uniquement de l'antipathie de ma part. Et il devint le principal suspect sur ma liste et celle de Zax concernant l'assassinat de Ferric. Nous allâmes ensemble, avec 4 autres ex-loups fidèles à Ferric, le trouver un jour, lui et ses chiens. Ils ne nous laissèrent même pas approcher à moins de cinq pas de lui, nous tenant en joug avec divers calibres. J'avais d'ors et déjà contraints les percuteurs, je savais leurs armes inutiles. Ils ne s'avouèrent pas plus coopératifs pour autant.[...] Cinq minutes plus tard, Zax et moi nous étions débarrasser des signes de résistances, le corps de nos ennemis jonché le sol et leur sang collait sous nos semelles, mais Jackson avait fuit avec près de la moitié de ses sbires. Je m'attendais à recevoir une visite de la police dans les jours suivants pour me demander des comptes sur cette histoire, me demander mon alibi ou encore si j'avais une idée de pourquoi mon gang avait été presque entièrement massacré ce jour-là. Il n'en fut rien, la police classa le dossier sans même enquêter, l'étiquetant sous la formule "règlement de compte entre gangs", décidément la police et le gouvernement ne faisaient vraiment rien en faveur des pauvres habitants de Harlem tels que moi et ma soeur...
  
  
  3 Septembre 2002
  New York Daily News
  
  […]Le gouvernement a lancé aujourd'hui un nouveau projet de bourses aidant les jeunes enfants défavorisés à poursuivre leurs études dans le supérieur[...].
  
  Et justement, comme pour me faire mentir, le gouvernement lança le projet de bourses d'études pour jeunes issus de quartiers difficiles. Ce projet était fait pour des gens comme moi. Je ne me fit pas prier et fit ma demande de bourse. Je la reçu, probablement boosté par mon talent certain pour le basket, et put reprendre mes études pour devenir ingénieur dans le génie civil. Mon passage dans l'école était bien plus enrichissant qu'au lycée. Tout d'abord, je n'avais plus mon père pour me surveiller et me forcer à travailler, bien que je travaillais malgré tout d'arrache-pied, mais seulement pour moi, pour vivre mon rêve de sortir du ghetto. Mais aussi parce que j'avais désormais un certain contrôle sur mes pouvoirs, et les dissimuler aux yeux des autres me permettait d'être accepté d'eux, de me faire quelques relations avec des personnes (notamment quelques filles) avec qui j'ai gardé contact jusqu'à aujourd'hui.
  
  
  5 Août 2006
  New York Post
  
  […]Les nouveaux Mesrine ont encore frappés et cette fois leur cible fut la Banque de New York, dans laquelle près de 490,000$ ont été dérobés. Comme à l'accoutumé, aucune empreinte, aucune image utilisable n'ont put clairement les identifiés[...]
  
  En parallèle, Zax et moi gagnions notre vie en cambriolant. Activité pas très orthodoxe, mais qui nous offrit une qualité de vie jamais atteinte jusque là. Cela fut ma routine durant 5 années, jusqu'à l'obtention de mon diplôme. Durant ces cinq années, Zax et moi rêvions d'ouvrir notre propre boite de nuit. Ce rêve devient réalité l'année suivante : le 9 Mai 2007, nous l'appelâmes le Dédale. Zax et moi avions racheté grâce à l'argent de nos délits l'ancienne boite l'« Empire Palace », ouverte 6 mois plus tôt par un latino, aujourd'hui sur la paille, qui devait avoir la quarantaine. Le concept était aussi simple que sympa : le changement, une boite en constante mutation. C'est ce concept qui faisait de notre boite une boite unique en son genre, et qui lui a permis de largement dépasser l'espérance de vie d'une boite de nuit dans une grande ville comme New York (de 6 mois). Toutes les semaines, il fallait que la boite se renouvelle, nous avions dessiné une 15aine de plans (notre collection compte aujourd'hui une petite centaine de plans) et du Dimanche au Mardi je m'efforçais de transformer la boite tandis que Zax lui tentait de démarcher des clients. Les début furent difficiles, mais peu à peu, le Dédale sortit de l'ombre pour être ce qu'il est aujourd'hui : l'une des boites incontournables de la Grosse Pomme. Mais une vie rangée ne suffit pas à de vieux loups comme Zax et moi, deux hommes accrocs à l'adrénaline. Ainsi nous continuons nos braquages. Pas fous cependant, étant donné que mes pouvoirs sont connus, il nous fallait redoubler de méfiance. Notre plan d'action était simple : tout d'abord je m'occupais du bloc électrique, coupant ainsi toute l'alimentation de la banque (et s'il s'avérait nécessaire, je m'occupais aussi d'un groupe électrogène), puis lorsque je devais faire appel à mon pouvoir pour déplacer une paroi, je remettais tout à sa place ensuite. Jusqu'à présent, cette méthode offre de francs succès, et la boite quant à elle nous offre généralement un alibi qui fait que Zax et moi n'avons encore jamais été identifiés comme étant les responsable de ces rafles, une seule fois je fut interrogé, on me demanda ce que je faisais ce soir là, je répliquais en répondant qu'il s'agissait de la soirée spéciale célibataire à laquelle j'assistais, (merci aux employés d'avoir confirmé mes dires). Cet alibi les convaincu et la police ne donna suite à cette piste qui aurait pourtant porté ses fruits. Le Dédale connu même un tel succès que bientôt, la fréquentation dépassa la capacité d'accueil. Zax et moi-même furent donc contraint de vendre les locaux à un autre pour en racheter de plus grands, ceux de l'ex Velvet.
  
  

Avatar : Idris Elba
Personnage Marvel ? : Non
Double/Triple Compte? : Oui
Si oui, Qui ? : Giovanni Zaccagnino
Age : + de 18 ans
Comment avez vous connu le Forum ? : Bouche à oreille

vu par Fatale

Re bienvenue

N'oublie pas de nous signaler quand tu auras fini ta fiche. Bon courage pour la rédaction.

Cordialement

Fatale

De plus cette fiche est passée en attente, histoire le temps que tu nous confirme ton activité rp avec ton premier compte.

Giovanni est désactivé et ma fiche est finie. Booker en attente de modération

Heureuse rencontre, bienvenue en ces lieux de douceur et de paix. Nous allons très gentiment prendre ensemble le temps de parler de ta fiche. C'est comme les vaccins, tu verras, ça ne pique même pas.

Un petit code couleur anecdotique, pour te guider dans cette modération pleine de bon sens :
C'est vert, tout va bien, c'est une simple remarque.
C'est orange, il faut préciser, justifier, développer un peu.
C'est rouge, il faut supprimer, modifier, ou ajouter impérativement.

***

Le début : Rien à signaler.

Description des pouvoirs :
Gestion des efforts et des moments → Alors, là j'ai un doute. L'aspect ''blocage'' est ok. Par contre, je n'ai pas tout à fait compris si ce pouvoir permettait d'induire des mouvements ex nihilo (dans lequel cas, ça ressemblerait à de la télékinésie incapable de s'affranchir de la gravité, en fait). Par exemple, dans le cas d'une porte entrebâillée, peut-il la faire pivoter sans la toucher ? J'ai conjecturé que non, mais c'est mieux si tout est bien clair. De quelle précision est-il capable (pourrait-il influer sur de petits objets d'horlogerie, justement) ?

Dirac → Voui, ça fait boum, c'est ok.

Niveau de maîtrise :
J'allais poser des questions mais elles sont résolues dans le paragraphe lien.

Lien entre les 2 pouvoirs : « Ayant ses pouvoirs depuis plus de la moitié de sa vie, il les maitrise et les déclenche uniquement sur commande, bien qu'il n'ait pas encore atteint sa puissance maximale. Il doit cependant être très concentré et donc la colère complique singulièrement l'usage de ses pouvoirs » → Dans la maîtrise, ce morceau, donc.

Talents Particuliers : Le basket ?

Possessions : Je suppose que ça a déjà été vu avec l'administration pour la boîte. Le reste OK.

Biographie :
« La vie n'était pas toujours très gay »
Comme Ivan, avec un I. >< Et même un -e, d'ailleurs.

Pour ce qui est de la biographie commune avec Zax, je suppose ça a été vu aussi.

Pas d'autres reproches, c'est cohérent.

***

Très belle fiche, propre, agréable à lire, avec une forme originale pour la biographie, digne de ma première modération. Dès que ces quelques détails auront été réglés, tu auras ma bénédiction.

Voili Voilou j'ai apporté les quelques compléments. Et encore désolé pour la faute d'orthographe grossière ^^ je devais être sacrément fatigué ^^.

Premier avis positif cow-boy ! Plus qu'un.

Client Numéro 4, Alors commence par me lancer 1D6, sur 1 tu es mort, 2 Aie Crash serveur faut tout recommencer, 3 Zut j'ai effacé par accident, 4 Bonheur on a récupéré le titre de ta fiche, 5 Bon je reviens demain, 6 On modère…. 6 Félicitation, Gogogo…

Rouge : A modifier, ajouter, retirer… important
jaune : Question, avis, conseils, remarque : détails moins importants mais qui feraient plaisirs


NOM : OK

PRENOM : OK

ALIAS ET SURNOM : Fabu?

AGE : OK

DATE DE NAISSANCE : OK

M ETIER :OK

NATIONALITE : OK

GENRE : OK

CLAN : OK

Pouvoirs :

Description :

Peut il le faire uniquement avec les Solides connus, ou pourra t'il le faire aussi avec un solide venant par exemple d'une autre réalité, d'une autre dimension, ou de l'espace, ou encore un solide modifié comme un artefact? Qu'en est il des Solides organiques, ou de Biotechnologie?

Niveaux de maitrise:

Peut il avoir des accidents? Est-ce qu'il pourrait perdre le contrôle si il est bousculé pendant l'utilisation de son pouvoir? Que ce passerait il si il manipule quelque genre l'infrastructure d'une petite bâtisse de 20 articulations et qu'à ce moment la il prend une décharge électrique d'un ennemi? Pourrait il utiliser son pouvoir de manière inconsciente, comme pendant un cauchemar?

Lien entre les Pouvoirs: OK

Description Physique :

Apparence : OK

Signes Particuliers : OK

Caractère :

Mental :

Comment connait il le Hellfire Club, connait il juste de nom ou connait il l'existence d'un cercle intérieur, si oui comment? Sait il qu'on ne peut pas souhaiter rentrer dans ce Club, mais que c'est celui-ci qui invite et qu'il est mal vu de refuser?

Histoire :

Talents Particuliers : OK

Possessions : OK


Biographie :

Il n'a pas eut de problèmes avec l'école, après tout ce sont des accidents visibles et les enfants pourraient témoigner de ta responsabilité? Pas de suite Police? Des frais? Un renvoi pur et dur? Cela n'aurait pas posé de soucis pour ta bourse futur? Pas un dossier avec ton nom?
Avec les cambriolages, jamais soupçonné? Jamais arrêté?

Bon bah quelle déception, une belle fiche qui demande pas beaucoup de corrections, en faite juste des questions, des détails. Bravo, agréable à lire, corrige moi le peu demandé et tu as mon OK.

Et Voilà, corrigé

Donc voila pour moi tu as ton second Avis Positif, félicitation pour cette belle fiche et ce pouvoir intéressant.

Maintenant il te faut juste attendre Fatale ou Kurk pour finir la validation.

Félicitation, Client Numéro 4, vous êtes mon premier avis Positif, cela se fête, allons trouver des veuves et de l'Absinthe