Une rencontre innatendue... [Pv Céles]

New York City, La belle ville qui ne dort jamais. Une ville qui porte bien son nom. En effet, la jeune fille était arrivé dans la ville pour se détendre et réfléchir un peu. Car La journée de la veille avait été riche en bouleversement: Rencontrer l'homme-bestiale comme elle l'appelait ne sachant pas son nom exacte, l'arrivé à l'institut de Charles Xavier, et la rencontre avec d'autres mutants. Elle qui avait été dans la solitude la plus complète depuis des années, ce qui lui semblait même une éternité, voilà qu'elle était entouré de nombreuse personne. Mais une solitude ne se chasse pas aussi facilement et la veille, elle voulu la récupérer un petit moment, enfin façon de parler. Elle choisie d'aller à New York, grande ville non loin de l'institut, qu'elle connaissait bien de surcroit.

Dés son arrivé, elle fut toujours aussi surprise par l'immensité de la ville et de ses gratte-ciels surplombant toute la ville de leur magnificence, la foule s'amoncelait à chaque coin de rue, telle une fourmilière en plein activité, voyant tout se monde, elle ne put s’empêcher de penser à une chose:

~Parmi toutes ces personnes, certains doivent être des mutants essayant de vivre leur vie normalement et se cachant de eux et des autres.~

Ses pensées l'attristait, ce monde était indéniablement rude et difficile. Mais pour la jeune fille, une lueur d'espoir existait, la vision de Charles Xavier, du Professeur et seul être capable de comprendre et aider les mutants. Son adoration secrète pour l'homme grandissait de jours en jours, et encore plus depuis qu'elle était à l'institut. L'homme était d'une gentillesse rare, dont non seulement des mutants mais aussi des humains devaient prendre exemple. Mais bon que pouvait faire une fille comme elle dans ce vaste monde. Seule une promesse se formait en elle: Celle de défendre de tout son cœur de toute son âme les idéaux du Professeur. Continuant ainsi dans ses pensées, elle arriva au Bar qu'elle allait avec ses parents quand ils étaient de passage ou en escale pour la France ou la Californie, elle s’attabla à une table qu'ils prenaient souvent, en extérieur et vu sur les passants. Un jeune serveur s'avança vers elle, il prit la parole, mais elle ne pu que constater que cet homme possédait un charme qui l'a fit rougir.

- Un martini blanc s'il vous plait!

Elle prononça ces mots avec un accent français qu'elle ne voulait pas. Sa vie entre la Californie et la France, lui faisait parfois perdre la notion des mots et de l'accent. Chose bien sur qui faisait craquer les hommes. Quoi de plus exotique qu'une langue parlait avec un accent d'ailleurs, après tout? Mais cela l'exaspérait souvent, les hommes l'abordant automatiquement.

L'homme revint finalement avec un verre de Martini, un éclatant sourire aux lèvres, cela gêna de plus belle Mylie. Mais avant de repartir le serveur se détourna et lui demanda finalement:

-Vous êtes étrangère?

S'empourprant de plus belle, elle reprit son appoint pour répondre dans un accent plus courant et habituel pour le lieu.

-Je suis de Californie mais, j'ai vécut un temps en France

L'homme sourit de plus belle, mais cette fois ci charmeur, il passait " à l'attaque" pendant son service. Ce qui surpris la jeune fille. Mais l'homme ne se démonta pas et lui dit dans un français approximatif, et lui tendant un bout de papier:

"Voulez-vous couchez avec moi, ce soir?"

La phrase aurait pu être amusante et marrante pour la jeune fille, si l'homme ne pensait pas sérieusement ce qu'il disait. Car sur le bout de papier, y était inscrit son numéro et son adresse. Elle le regarde d'abord incrédule, puis ses yeux devint noir jais, son visage exprima un rictus mauvais, elle lui proposa de s'approcher sous le sourire de l'homme, et lui chuchota à l'oreille:

-Si tu ne veux pas être castrer, ou que je t'humilie devant tout le monde. Ne m'adresse plus la parole.

Sa voix avait été Froide comme la mort et lourde de sens. Décidément qu'elle n'aimait pas les hommes se comportant ainsi. Cela lui rappela le peu de relation qu'elle avait eu avec les hommes et des histoires qui finissaient toujours mal...Pour elle bien sûr. Ses idées se tournèrent vers ses parents:

~Qu'auraient pu t-ils penser? Père serait surement intervenu. Et que peuvent-il devenir? ... Sache les de ton esprit, ils t'ont abandonné eux!~

Les gens auraient pu la prendre pour une fille étrange sur le coup car échappant de sa bouche les mots fusèrent:

- Ahhhhhh! façon les Hommes tous des goujats

Elle se fit plus petite sous le regard d'un des clients du BAR. Puis continua à siroter son Martini blanc, le savourant. Mylie aimait les bonnes choses. Tout en sirotant, elle observait les passants, souriant à certain, s'attendrissant devant des enfants et plongeait dans ses pensées

A peine avait elle eut finie sa phrase sur les hommes, que trois hommes pas bien commode lui passèrent devant pour entrer dans le Bar. Elle préféra vite les oublier, même si sa curiosité était grande. Elle sirota son martini blanc, épiant les passant. Quand tout fut bouleverser, elle mouvement sur le côté attira son attention, une femme en robe noir s'approchait d'elle, mais à peine eut elle tournée la tête. Qu'une désagréable sensation se fit sentir, qui n'était autre que le métal froid du revolver. Mais même si elle admettait avoir un sentiment de crainte, elle n'avait pas peur. Peut être était-ce dû à ses long entrainements d'art martiaux qui les incitaient à garder leur sang froid en tout temps, ou encore l’irréalité de la situation. En effet, dans des prises d'otages on ne s'attend jamais à ce qu'on soit prit dans une telle panique, il n'y avait ce genre que dans les films le plus souvent. Mylie paraissait froide et lointaine à ce moment, mais quand elle ressenti une main se plaquait contre son ventre, elle changea e comportement. Ses yeux devinrent noir, la colère s'empara d'elle et elle devint tendu, tous ses muscles prêt à une action:

~ Comment ose t-elle me toucher ainsi? ~

Et au comble du bonheur, voilà qu'elle la menaça. Ceci exaspéré Mylie, elle voulait lui répondre que si "elle y passait, elle aussi", mais elle se retint comme elle se retint d'utiliser ses talents de combat. Les yeux terrorisés des clients, la peine ressenti pour elle sur les visages de certains, et la colère sur d'autres glaça ses efforts. Si elle agissait qui pouvait savoir ce qui arrivait pour tous ces malheureux une balle perdue était vite arrivé. C'était une chose inadmissible pour la jeune fille, cela détruirait bon nombre de familles en plus d'une vie qui ne l'aurait en aucun cas méritait. Tout son corps se détendit aussi molle que possible pour faciliter la tâche de son bourreau. Voilà qu'elle menaça cette fois ci les trois hommes, ainsi ils étaient venu pour cette femme. Mais qui pouvait elle être? Une question fugace dans l'esprit éveille de la jeune fille. Elle n'avait pas vraiment peur pour elle mais pour les autres personnes des lieux et même ces trois hommes, au diable les paroles qu'elle avait pu avoir avant, personne ne méritait la mort. Ce sentiment de tristesse l'a fit parler:

- Reculez, messieurs, ne vous inquiétez pas pour moi. Je vais m'en sortir!

Ses paroles avaient été dite sur un ton maternelle et responsable avec une touche de tristesse et de peur à l'encontre des trois hommes. Elle espérait qu'il ne fasse rien d'irréfléchi. La femme qui la retenait, reprit la parole à son attention: " Ne te fie pas aux apparences"...."suis mes mouvements". Une sombre pensée l'envahit, car elle se demanda si au final, les trois hommes n'était pas des hommes du gouvernement comme si ils semblaient être. Mais cette idée disparut assez vite, la femme la retenait et les hommes ne voulaient pas de grabuge. Elle se contenta de chuchoter sur un ton froid et sur d'elle, à cette femme:

-Difficile de ne pas se fier aux apparences, toi qui me tient en otage. Je te suis si tu ne fais rien à leur encontre.

Étrangement et à la surprise possible de la femme, ces derniers mots avaient été proclamé comme une Menace. Le sort des autres êtres lui importait plus que sa vie. Elle suivit alors son bourreau non sans que les hommes les pointes de leur revolver. Au simple interrogation des hommes et à la tristesse et peur des clients, elle leur lança un sourire qui se voulait chaleureux. Elle en rayonnait presque.