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 Sociabilisons-nous un peu [pv Mylie Mentis]

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Gabriel Enkeli
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Gabriel Enkeli


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MessageSujet: Sociabilisons-nous un peu [pv Mylie Mentis]   Sociabilisons-nous un peu [pv Mylie Mentis] Icon_minitimeJeu 25 Aoû 2011 - 15:16

Quand on est seul dans une grande ville que l’on ne connait pas, dans un pays qui n’est pas le sien (et dans lequel on est arrivé sous une fausse identité), s’intégrer n’est pas chose aisée. Pourtant, et Gabriel en était bien conscient, cette intégration est nécessaire. Il faut se fondre dans la masse, surtout lorsqu’on a une activité telle celle de Gabriel. Et pour se fondre dans la masse, pour s’intégrer parfaitement, il faut commencer par rencontrer des personnes, de tout type, de tout horizon. Ces personnes pourront par la suite devenir des alliés, des complices, des partenaires… Des amis ?!

Non… Cela faisait longtemps que Gabriel n’avait pas eu d’amis. De véritables amis, ceux auquels on peut faire confiance. Mais il s’était résigné, il savait qu’il avait choisi une voie dans laquelle on ne fait pas confiance à beaucoup de personne. Cela ne le rendait pas spécialement mélancolique, mais il se rappelait parfois que les derniers amis qu’il avait eus étaient morts. En partie par sa faute (du moins c’était ce dont il était persuadé). Mais le temps n’était pas à la culpabilité. Gabriel devait s’intégrer à New-York. Et pour ce faire, il décida de commencer par un endroit très fréquenté de la Grosse Pomme, où il ferait surement des rencontres (après que ces rencontres soient bonnes ou mauvaises, cela ne dépendait plus de lui…)

Il se retrouva donc en plein cœur de Central Park, assis sur un banc, en train de lire, au milieu des passants de tout genre : De simples promeneurs, des personnes retraités qui prenaient leur temps, des hommes et femmes d’affaires pressés (« Que viennent-ils faire à Central Park s’ils sont si pressés ? » ), des gens qui promenaient leur(s) chien(s), des couples qui se baladaient en amoureux, des sportifs. Gabriel aimait observer ces foules si hétéroclites, mais aujourd’hui, il n’était pas d’humeur à laisser son esprit vagabonder en d’inutiles contemplations. Il se remis donc à sa lecture, en espérant que quelqu’un vienne s’asseoir sur son banc et qu’il puisse ainsi entamer une conversation (il n’avait pas vraiment envie de se fatiguer à aller vers les autres). Il ouvrit donc son ouvrage à la page où il l’avait laissé.

« L’art d’aimer » d’Ovide, comptait parmi les ouvrages préférés de Gabriel. Sans doute était-ce parce que cette œuvre qui enseigne aux romains de l’Empire à séduire (et qui est, il faut bien le dire d’une grande misogynie) correspondait assez au mode de pensée de Gabriel. Ce dernier trouvait ce manuel divertissant, et il aimait s’imaginer ce que ces stratégies de séduction pouvaient donner si on les appliquait dans la vraie vie (il n’avouera d’ailleurs jamais qu’il en a testé plusieurs). Gabriel relisait Ovide une énième fois, dans sa version française, qu’il avait achetée des années auparavant : bien qu’étant parfaitement bilingue, il préférait avoir à utiliser sa langue maternelle plutôt que celle de Shakespeare. Il constatait au fil de sa lecture que le plaisir qu’il ressentait ne s’estomper pas avec le temps et il trouvait toujours autant de délectation à lire ces pages. Et pendant qu’il lisait, il se laissa emporter et finit par oublier tout ce qui l’entourait, pour se concentrer uniquement sur l’ouvrage qu’il avait entre les mains…
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Mylie Mentis
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MessageSujet: Re: Sociabilisons-nous un peu [pv Mylie Mentis]   Sociabilisons-nous un peu [pv Mylie Mentis] Icon_minitimeJeu 25 Aoû 2011 - 16:00

Après cette soirée forte en rebondissement avec la rencontre de sa compagne de chambre, Mylie se réveilla au matin sans apercevoir sa coloc. était elle parti en vadrouille? De toute façon, elle était bien libre de faire ce qu'elle voulait, même si elle s'était fait une promesse, elle avouait ne pas savoir où commencer. C'est avec l'esprit confus qu'elle décida de partir aussitôt à New York City, mais cette fois ci pour faire un peu de sport, pour se changer les idées. Elle enfila, alors, une tenu de sport composé d'un jogging et d'un haut couvrant simplement sa poitrine et laissant à l'air son ventre, des plus attirants. Elle mit ses écouteurs aux oreilles, direction Central Park

Son père l’emmenait souvent ici, un parc si grand dans la ville-monde, cela paraissait si étrange et en même temps une certaine beauté en ressortait, tous ses gens qui vaquaient à différentes occupations, toute cette vie et ce mouvement. Rien qu'à cette vue, elle se demandait comment des personnes pouvait tenter à détruire ce spectacle magnifique. Bon elle était venu ici, pour courir un peu, elle parti alors, souffla et expirant. Cela faisait si longtemps , qu'elle n'avait pas couru, pour le plaisir de courir et non pour fuir quelqu'un. Faire du sport en se sentant bien et ayant retrouvé un Foyer. Bon les débuts n'étaient pas des plus fort, mais elle y était, c'est ce qui importait le plus. Elle se mit à courir pendant un long moment au son des musiques de son Ipod, suivant son humeur, elle changeait pour se donner plus de courage en rythme avec la musique. Puis après, environs deux heures, elle s'arrêta essoufflé, et le corps brillant par l'effort, accentuant encore plus son corps "parfait", et ses courbures appelant à la faute!

Pour ne pas avoir de crampes ou autres problèmes, la jeune fille alla faire des étirements sur une barrière, proche de plusieurs bancs. Dans ces exercices, elle remarqua un homme lisant un livre. Enfin lire un livre était faible comme mot, il était accaparé par celui-là. Discrètement pour ne pas importuné l'homme, elle tenta de lire le titre de ce livre. Mais il est chose difficile que de faire ses exercices tout en regardant une chose, le tout discrètement. elle manqua à plusieurs reprise de perdre l'équilibre et tomber. Mais bon elle ne voulait pas que l'homme la remarque de là à ce qu'il pense qu'elle le drague lui. Son énervement pour les hommes était de plus en plus fort au fur à mesure que les années passaient...

-« L’art d’aimer »...


Enfin, elle réussit ce qu'elle avait entreprit, mais elle n'avait pu s'empêcher de souffler le titre, elle espérait que l'homme n'avait rien entendu et s'empourpra. Puis quand elle se calma, elle repensa au titre, car ce derniers lui rappelait quelques choses. Cherchant dans les méandres de son esprit, le souvenir apparut comme une claque.

~ Mais bien sûr, le livre que lisait Mickaël...~

A l’époque où elle pouvait encore coutoyer son ami, elle se souvint qu'il lisait ce livre. Mais aussi de ses disputes avec lui à ce sujet, il savait son caractère par rapport au comportement des hommes envers les femmes et en tant qu'ami il s'amusait à la charrier avec ça. Ce qui ne manquait jamais de l'énerver et de la pousser à l’engueuler. Au plus grand fou rire de Mickaël. Avec du recul , elle regrettait ces bons moments, sa relation avec cet ami était si forte... Elle parut triste, à ces souvenirs. Puis la colère revint, oui ce livre, ou ce torchon parler de stratégie de séductions ou comme elle l'appelait comment couvrir un homme de ridicule. Par le passé un homme avait même essayé une technique sur elle, il avait regretter amèrement. Mais là , la colère revint, c'était surement stupide, on pouvait bien lire ce qu'on voulait, mais ce fut plus fort qu'elle et elle interpella l'homme. Chose évidement qu'elle ne se serait pas permit à la normale.

-Monsieur, j'espère bien que vous ne croyiez pas à ce ramassis de bêtises, je dis ça pour vous...

Elle ne connaissait pas cet homme ni d’Ève ni d'Adam, mais quand la colère parle, elle avait ses mains sur les hanches prononçant ainsi, ses courbures, mais son visage qui exprimait une grande colère se dissipa un peu, pour rougir à nouveau. Elle se rendait compte de ce qu'elle venait de faire, mais elle ne voulait pas montrer une quelconque faiblesse, donc se concentra pour ne pas rougir totalement. Au pire cela passerait pour de l'effort fournit lors de sa course...
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Gabriel Enkeli
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MessageSujet: Re: Sociabilisons-nous un peu [pv Mylie Mentis]   Sociabilisons-nous un peu [pv Mylie Mentis] Icon_minitimeVen 26 Aoû 2011 - 10:04

Etre tiré de sa lecture n’est jamais une chose de très agréable, alors lorsque l’on est interrompu dans la lecture de son livre préféré, cela devient vite très frustrant. C’était pourtant ce qui venait de se produire. On l’avait dérangé. Sous l’impulsion de la colère, Gabriel manqua de peu lancer à son interlocuteur (qu’il n’avait même pas pris le temps d’identifier) une phrase du genre :

« Mais t’es qui pour, et d’un, venir me parler, et de deux, pour oser m’interrompre ? »

Mais il se retint, surtout lorsqu’il se rendit compte, au son de sa voix, que son interlocuteur était une interlocutrice, ce qui, pour Gabriel, changeait considérablement la donne. Il se ravisa donc, et prit le temps d’observer la jolie jeune femme qui se tenait à quelques mètres de lui, dans une position que d’aucun qualifierait de « particulière ». La jeune femme devait, en effet, être en train de faire des étirements et, au moment où elle lui avait parlé, elle avait une jambe posée sur une barrière, à l’horizontale, formant un angle presque droit avec son autre jambe. Après s’être rapidement arrêté sur cette posture, Gabriel continua son analyse : c’était une très jolie personne, plus jeune que lui (d’une dizaine d’année à peu près, même s’il était difficile de lui donner un âge précis), une de celle que Gabriel aime avoir à son tableau de chasse (il sourit brièvement à cette pensée). La fatigue que la jeune femme semblait éprouver (elle avait dû courir) lui donnait une délicieuse expression sur son visage, ce qui la rendait encore plus désirable pour Gabriel. Ce dernier, s’il avait éprouvé tantôt de la colère, n’en avait plus le moindre ressenti, et désormais cette remarque que la jeune sportive lui avait lancé quelques instants plus tôt, l’amusait.

*Voilà un bon moyen de se divertir*
Pensa-t-il.

Il réfléchit alors rapidement à une réponse, qu’il pourrait fournir à la jeune femme, qui le dévisageait toujours d’un regard intense dans lequel on pouvait discerner comme de la rancœur. Cela déstabilisa un peu Gabriel, qui ne connaissait absolument pas cette personne (*Chose à laquelle je dois immédiatement remédier* songea-t-il). Elle semblait lui en vouloir, ou tout du moins en vouloir à son livre. Gabriel décida alors de tirer les choses au clair :

-Vous savez, parmi toutes les bêtises de ce livre que j’ai essayées, peu se sont révélées inefficaces. Après, de la à avoir une pleine confiance en Ovide, je ne suis pas si sur. Par cette œuvre il critiquait beaucoup sa propre société… Quoiqu’il en soit, je suis ravi de voir que vous vous inquiétez pour moi. Je suis d’ailleurs ravi de rencontrer une francophone ici. Une si jolie francophone, qui fait en plus preuve d’une grande culture, vraiment, je ne pouvais rêver mieux…

Il lui laissa le temps d’assimiler ce qu’il avait dit. Et constata que ses paroles, qu’il avait prononcées en français ne furent pas vaines. Son interlocutrice semblait à la fois outrée par ses propos sur les méthodes décrites dans le livres, et gênée (ou charmée, Gabriel n’arrivait pas à distinguer clairement ce que le visage de la jeune femme cherchait à exprimer). Il s’était attendu à une telle réaction, laquelle était courante quand il abordait de tels membres de la gent féminine. Il décida donc qu’il valait mieux se présenter. Il se leva donc, referma (un peu à contrecœur) son livre, et s’avança vers la jeune femme. Quand il fut arrivé à sa hauteur, la grande taille de Gabriel lui permit de mieux observer la coureuse, qui avait définitivement arrêtée ses exercices (* Désolé pour les courbatures de demain* se dit mentalement Gabriel). De près, elle lui paraissait encore plus désirable. Gabriel resta un moment le regard perdu dans les grands yeux, d’un vert foncé, qui le fixaient. Puis il se ressaisit et, prenant un air légèrement solennel, dit :

-Je me nomme Gabriel Enkeli, et je suis, croyez-le, assurément enchanté de faire votre connaissance.

Tout en disant cela, il s’inclina légèrement, saisit délicatement la main de la jeune fille, et, l’approchant de son visage, l’effleura en douceur avec ses lèvres, en prenant bien soin de ne pas la toucher. Puis il relâcha tout aussi subtilement la main, se redressa et attendit la réaction. Il savait que le baisemain était une manœuvre risqué, qui en avait déjà outré plus d’une, mais il avait le sentiment que ce ne serait pas le cas cette fois ci.
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MessageSujet: Re: Sociabilisons-nous un peu [pv Mylie Mentis]   Sociabilisons-nous un peu [pv Mylie Mentis] Icon_minitimeSam 27 Aoû 2011 - 10:28

Il mit un temps long à répondre, ce qui semblait rendre perplexe la sportive. Car que pouvait il bien penser? Il la regardait ainsi. Son regard posé sur elle ne semblait pas en colère, au moins une écharde de moins dans le pied. Son impulsivité lui fera des tords un de ces jours elle en était certaine. Et quand il ouvrit la bouche, ce n'était pas de la façon qu'elle escomptait. Ainsi il avait osé poussé le vice, jusqu'à essayer ces bêtises, en sommes il n'était qu'un dragueur de plus dans ce monde. Mais elle ne voulait pas l'envoyer balader avant d'en avoir le cœur net, même si ses belles paroles commençaient à en dire long. Elle doucha discrètement ses efforts:

-Je ne nie pas la critique que peut faire Ovide, mais son interprétation machiste est des plus mal placé. Surtout à notre époque. Je vous remercie de tous ces compliments, mais il en est besoin, sachez le cela n'aura pas de résultats. Nous pouvons parler simplement.

Elle avait appréciait les compliments ça oui, il n'était pas rustre au moins et avait de bonnes manières, si rare à notre époque. Peut être qu'une conversation réfléchie et construite aurait lieu ici. Après le sport, une bonne discutions intéressante était toujours bien. Et voilà qu'en plus, il était français. Ça douce France lui manquait tellement, elle se souvint des voyages qu'elle avait pu faire dans toute la France, des villes comme Paris et son romantisme, Nice et Cannes pour son soleil et bien d'autres encore.Elle espérait vivement y retourner, seule si besoin. Même si s'était des souvenirs avec son père, un sourire de joie s'afficha sur son visage.

- Comment va mon "tendre Paris"?

Mais à peine avait-elle prononcé ses paroles, que l'homme se leva et se dirigea vers elle, pour ensuite se posté devant elle. Sans un mot juste à la regarder dans les yeux, cela la gênée de plus en plus, la Mylie "guerrière" et impulsive n'était plus là. Que tenait-il à faire ça, que voulait il? Une chose est sure s'il tentait de l'embrassait ou une action de ce genre, ce n'est pas ses lèvres qu'il rencontrerait mais son poing. Elle espérait tout de même qu'il ne s'y risque pas. Mais que ne fût elle sa surprise, quand il s'inclina pour lui prendre la main et faire un baisemain d'antan.

Mylie n'était pas une de ses filles superficielles, une pimbêches ou encore filles sans cervelle comme elle aimait les appeler. Ça non, mais elle était tout de même une femme, une femme à fort caractère soit mais une tout de même. Et l'effet du baisemain eu son effet. Elle qui avait toujours été fascinée par l'histoire, voilà qui lui sembla, une fraction de seconde, y entrer. Elle s'amusa à penser que finalement, elle n'avait pas totalement eu tord... A la place de son poing s'était sa main que l'homme avait eut, sur ses lèvres. Elle s'empourpra tout de même à l'initiative de l'homme oui de Gabriel comme il le lui avait dit. Un si beau nom, Comme Gabriel l'ange, un nom à n'en rien douter magnifique donné à des hommes spéciaux et "pure". Mais elle ne s'y tromper pas, cet homme était un Gentleman dragueur. Bon il valait mieux ce genre d'homme qu'un rustre, la sifflant ou comme le serveur qui lui avait écrit de but en blanc "voulez-vous coucher avec moi ce soir", et que pouvait elle savoir encore. Elle préféra garder contenance, devant cet homme, car un moment d'égarement et il en profiter surement. Il se rendrait vite compte alors, que se ne serait pas une mince à faire.

-Mylie Mentis, de même enchantée.

Elle lui sourit gentiment, et pour jouer le jeu de Gabriel, s'inclina légèrement. Une rencontre peu probable mais intéressante, elle ne s'attendait vraiment pas à faire une telle rencontre ici. Surtout elle le corps brillant de sueur. Bon s'est vrai que certains hommes cela les attirait encore plus, surtout quand la peau était bronzée par le soleil de Californie et les courbures attirantes comme le miel pour les abeilles. Dans ses pensées, elle ne voulait tout de même pas laisser une ouverture, ainsi, elle sourit d'un air de défi:

- Enchanté tant que vous ne tentez pas une de ces stratégies de séduction sur moi!


Elle lui pointa le livre du doigt, lui faisant comprendre ce qu'elle voulait ainsi dire. Bon au fond, elle craignait le faire fuir, ce qu'elle ne voulait pas. Un homme si "gentil" était rare ici, peut être pouvait elle créait une amitié avec cet homme tout était possible. Même s'il tenterait surement de la draguer à chaque moment, il fallait juste qu'elle reste sur ses gardes comme une amie.
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