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| Le secret de la BNY [PV Robert Mercer] | |
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Thomas Blake Agent du B.A.M. Alpha
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| Sujet: Le secret de la BNY [PV Robert Mercer] Dim 1 Jan 2012 - 13:47 | |
| La nuit était tombée sur New-york depuis plusieurs heures déjà. Les rues se vidaient peu à peu ne laissant plus que les passants de nuits, légèrement éclairés par les lumières de cette grande ville. Sur Boadway, dans les petites ruelles adjacentes au grand building de la BNY Mellon, un petit groupe d'homme s'activent. Ils sont cinq, tous vêtus de la même manière à savoir des survêtements noirs à capuches, des baskets noires et des cagoules, noires elles-aussi. Il est très difficile de les distinguer car la luminosité de ses ruelles est très faible et leurs accoutrements ne les rends pas très visibles. Mais tout cela est normal, ce sont des gangsters, et leurs présence à cette heure de la nuit et prêt d'une grande banque de New-York ne laisse rien présager de bon. Ce sont donc des gangsters, des malfrats, des braqueurs ; les dénominations sont nombreuses pour ce genre d'individus. Pourtant, ils ne sont pas de simples bandits tentant le casse du siècle, ce sont des mutants, organisés et entraînés. Le petit groupe est mené par un homme, mutant lui aussi. Son nom est Ghost, on l'appel ainsi parce qu’il possède des facultés le rendant invisible et intangible. Ghost n'est pas qu'un simple bandit mutant, c'est un terroriste, une personnalité dans le milieux des malfaiteurs, un bandit de premier plans. Il n'a jamais été inquiété car de simples policiers ne peuvent poursuivre un tel homme. Il n'a jamais eu de casier judiciaire non plus, car personne ne l'a jamais attrapé. C'est une anguille, une ombre, un fantôme. Ses acolytes, qui l'accompagnent actuellement, sont des mercenaires recrutés à Mutant Town. Ce sont au départ des voyous qui ont réussis à faire quelque chose de leur don pour servir de grandes organisations mafieuse et criminelles. Contrairement à Ghost, leur vies ne valent rien, bien qu'ils soient indispensables pour certaines opérations criminelles. Ils font le sale boulot et sont souvent méprisés, mais leurs éducation réduite, la haine que les humains leurs vouent à cause de leur mutation, leur milieu sociale misérable et leur environnement font qu'ils sont les premiers à accepter des contrat aussi dangereux que mal payés. C'est souvent dans la misère que ce développe le crime et la criminalité, alors que ce sont les populations qui risque d'en souffrir le plus. Tel est la dure loi de note société. Les cinq hommes sont face au mur, ils se prennent tous la main, le mutant du milieu n'est pas Ghost, bien qu'il puisse rendre tangible ce qu'il touche, le trop grand nombre de personne à rendre tangibles ajouter à la densité du mur, risque de l'épuiser mentalement. Le mutant se trouvant au centre est ce que l'on appel un téléporteur, mais il ne peut se téléporter que de proche en proche de quelques mètres à chaque fois si bien qu'un bon sprinter peut le devancer à la course. Mais ce qui est sur, c'est que le sprinter ne peut pas faire traverser les murs à cinq personnes en même temps. C'est effectivement ce qui se produisit, les cinq hommes se trouvant maintenant à l'intérieur, ils se dirigèrent vers la salle des coffres où les clients pouvaient entreposer ce qu'ils avaient de plus précieux. Arrivé devant l'épaisse porte blindée circulaire, protégeant les biens de riches New-Yorkais, la même scène se produisit, la téléportation des cinq individus à l'intérieur. Cependant, alors que jusque là il ne s'était rien fait entendre, pas un bruit, pas un murmure, même pas un éternuement de nos cinq malfrats ; une puissante sirène vint mettre fin à ce pesant silence, faisant sursauter les bandits, tous les bandits, sauf Ghost, qui resta impassible et commença à rechercher un coffre en particulier. - Continuer de faire ce qu'il vous a été demandé de faire. - Ghost, il ne devait pas y avoir de système de détection de perturbation électromagnétique !- Il y en a toujours eu... - Quoi ? Hey, attends ! Tu le savais ? Tu le savais depuis le début et t'as rien dit ?- J'ai dis : Faites votre boulot. Ghost était extrêmement calme, posé, il savait mieux que quiconque ce qu'il avait à faire. Cela perturbait énormément ses collègues qui étaient beaucoup plus paniqués. Cependant, tous s'exécutèrent, ils déposèrent leurs sacs au sol, y sortirent leurs armes, soit un pistolet qu'ils placèrent dans leurs poches et une kalachnikov qu'ils portaient en bandoulière. il commencèrent à vider les coffres. Pour cela, l'un des mutant était capable de transformer ses mains en gros cailloux, il était plus grand que les autre et sa carrure était légèrement plus forte. Il commença à enfoncer les portes des coffres en frappant avec une force incroyable dessus. Son nom, ou plutôt son surnom était Boss. Au même moment, un autre mutants, possédant quatre bras, remplissait les sacs. Le téléporteur sortit alors de la chambre forte en emmenant avec lui un dénommé Squiz, être difforme, ressemblant à un reptile et possédant une queue, ce dernier sauta alors au plafond et se dirigea vers l'entrée pour observer depuis les vitres qui se trouvaient en hauteur, les forces de police qui se mettaient en place. - Le B.A.M. Débarque !Aussitôt, le téléporteur se précipita à l’intérieur de la salle du coffre pour en informer ses camarades, laissant Squiz faire le guêt, à l'exterieur de la salle du coffre. C'est sur que semer des policiers de NYPD est souvent facile pour un mutant, mais les agents du B.A.M., étant eux même mutants, ce ne sera pas très aisé de s’enfuir, surtout que le bâtiment doit être cerné. Ghost cherchait toujours un coffre, parmi les milliers présent, mais lorsque le téléporteur cria ce qu'il avait vu, ou plutôt ce que Squiz avait vu, Ghost trouva immédiatement. - Ouvre celle-là. - Mais, Ghost, la cavalerie débarque-là, faut qu'on s'arrache.- Oui, mais ouvre moi ce coffre. - Je... Tu n'as pas entendu ?- Écoute le gros, ouvre moi ce coffre, y'a quelque chose de très important et de capital pour des personnes dont tu ignoreras jusqu'à ta mort l'existence. La thune, je m'en fous, c'est ça qu'il me faut, et si je ne leur ramène pas, ils ne vont pas du tout apprécier. Alors je ne le répéterai pas une fois de plus : ouvre ce coffre. Boss se rapprocha du coffre numéro 856, il donna un grand coup de poing dessus pour faire exploser le métal, à se moment, une violente décharge électrique électrocuta Boss, le propulsant à travers la salle des coffres. Malgré la décharge, le coffre avait tout de même été ouvert, Ghost s’empara de son contenu et, tout en se rendant intangible, il sortit de la salle des coffres puis sortit du bâtiment avant de s'enfuir sous forme invisible. Il était partit seul, laissant ses camarades à l’intérieur. Boss se releva douloureusement, la douleur passait petit à petit, mais le départ de leurs chef les laissa tous sans voix, il ne savaient plus quoi faire et ils se retrouvaient piégés à l'intérieur. - On se casse, vite !- Ici le B.A.M., le bâtiment est encerclé, vous ne pouvez pas vous enfuir, rendez-vous sans résistance !---------------------------------------------- C'était une journée comme les autres pour l'agent Blake, métro, boulot, dodo comme on dit. Pas d'intervention, pas d'arrestation, rien, il ne s'était rien passé. Pourtant, alors qu'il s’apprêtait à s'en aller chez lui, sur les coups de minuit, il entendit une alerte et un appel au troupes d'interventions du B.A.M. pour un casse de la BNY Mellon par des mutants. La Banque of New-York possédait des systèmes de détection d'intrusion de mutants dans leur chambre forte et c'est ce système qui avait déclenché l'alerte, alerte qui fut vérifiée et reléguée au bureau des affaires mutantes. Blake monta dans les véhicules, se saisissant de son matériel d'intervention et se préparant à aller capturer les audacieux mutants qui voulaient se payer une belle retraite. Une fois sur place, il devait faire équipe avec l'agent Mercer, qui était bien plus expérimenté que lui et qui devait diriger l'escouade d'intervention. [HJ : Je te laisse le loisir de décrire le matériel d'intervention et notre escouade, tu peux bien entendu jouer les gangsters. Si tu as des questions, n'hésite pas.] | |
| | | Robert Mercer Agent du B.A.M. Beta
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| Sujet: Re: Le secret de la BNY [PV Robert Mercer] Mar 3 Jan 2012 - 15:37 | |
| La semaine avait été épouvantable pour moi. En début de semaine, il y avait eu les évènements au bar « The Old Blues Bottleneck » et depuis ce moment je peinais à reprendre une vie normale. Enfin, il y avait des décennies où j’avais perdu la normalité dans ma vie, mais c’était encore pire aujourd’hui. Il y avait quelque chose de changer en moi. J’avais cru qu’au bout de quelques jours que tout serait rentré dans l’ordre, mais ce changement demeurait. Je ne comprenais pas encore ce qui c’était passé là-bas. Dans ce bar, j’avais voulu changer. J’avais voulu redevenir un homme, mais je n’y étais pas parvenu. J’étais une machine et ma chute vers le monde froid des machines semblait s’accentuer. Ma tête s’était remit à faire tic tac mécanique et mon cœur semblait plus mort que jamais.
Après quelques tests médicaux pour s’assurer de mon état physique et mental, le BAM m’avait permis de réintégrer les rangs. Mon corps était une perfection et les tests physiques avaient donc été passés avec succès presque désorientant. Les tests mentaux auraient certainement posé plus de problème si je n’avais pas été aussi habile à les déjouer. Ces tests ne sont pas adaptés pour mon type de personnalité. Les humains et leur pourriture d’émotion ne peuvent pas être objectif. Moi, j’étais d’une rationalité parfaite. Pire encore, on aurait pu croire que mon humanité était définitivement morte au moment où j’étais sorti de se brasier…
L’alarme avait été rapidement transmise au BAM et la cavalerie avait débarqué en un temps retard à la BNY. Dans le fourgon, je faisais un bref débriefing sur l’état de la situation. Je suis calme, très calme. Ce n’est pas le genre de situation qui énerve un homme qui a passé près du trois quart de sa vie comme espion dans les rangs ennemis. Je me permets même d’allumer une pipe bien bourrée de tabac. Je crache une épaisse fumée qui se repend dans le van. Les informations que je transmets à mon équipe m’ont été transmises par la réceptionniste du bureau il y a peine quelques secondes. Le bureau avait même intercepté les caméra de surveillance et il pouvait donc voire en temps réel les actions des braqueurs. Les informations étaient donc récentes, mais parfois incomplètes. Apparemment, les braqueurs étaient cinq et les caméras nous avaient permis de rapidement constater que ces brigands étaient des mutants. C’était d’ailleurs pour cela que l’alarme avait été transmise au BAM.
Mon équipe était composée de trois autres agents. Il y avait l’agent Blake qui était maintenant avec le BAM depuis quelques mois. Par la suite, il y avait l’agent Wong, un très puissant télépathe asiatique et aveugle, et l’agent Freeman, un mec pouvant atteindre la vitesse du son à la course; un véritable exploit pour le nain mutant qu’il était. Durant le trajet, alors que chacun enfilait son habit d’intervention et confirmait que leurs armes étaient prêtes pour le combat, je leur rappel de ne pas oublier d’utiliser leur oreillette pour favoriser la communication. Ces oreillettes étaient directement reliées avec le bureau et ceux-ci pouvaient donc nous transmettre les dernières informations sans délais. Le véhicule prit sa position dans le barrage qui encerclait la banque et je donna le signale de passé à l’action à mes hommes avant d’ouvrir la porte. Je n’étais pas du genre à me perdre dans les détails. Je rappelais à l’agent Blake qu’il devait utiliser l’un de ses gardes personnels comme guide pour diriger l’agent Wong lors de l’intervention. Son handicap visuel était de taille, mais son pouvoir était essentiel pour le succès de nos interventions que nous devions composé avec. Je savais ces agents compétents et ce genre d’intervention est souvent trop aléatoire pour établir un plan rigide. Ils devaient comprendre qu’il s’agissait d’une véritable danse avec ces vilains mutants. La porte ouverte, je sorti le premier du véhicule, ma pipe bien serrer entre mes dents et je me mit à l’abris sur le côté droit de la porte principale.
Pendant ce temps, les autres briguant paniquaient avec le départ de leur chef. Le Boss était encore secoué par le choc électrique de la caisse. Le lézard était bien placé prêt d’une fenêtre pour voir que le BAM érigeait une barrière très hermétique autour de la banque. Le téléporteur se contentait de faire le messager entre la fenêtre et l’intérieur du coffre. Dans le coffre Mark, l’homme au quatre bras, vérifiait si le Boss était blessé par l’électrocution. Une fois remit sur pied, le colosse frustrer d’avoir été trahis par leur chef saisit sont arme et fit feu. Les balles ricochât dans le coffre et passa très près de blessé son acolyte. C’est ce geste complètement idiot et impulsif qui encouragea Mark à supplier le téléporteur de les sortir de là. Il obéit au ordre sans posé de question et apporta l’équipe de vilain sur le rebord de la fenêtre. Le Quatuors, lourdement charger part leur butin, était donc réunit et ensemble ils tentèrent de s’organiser un plan pour se sortir de ce pétrins. Au même moment où les bandits se regroupaient, le terroriste invisible Ghost s’éloignait son coffre dans la main. Lentement et avec confiance, il traversait un à un les murs de la banque. Il aurait très bien pu traverser les lignes ennemis sans problème si ses pensés n’avait pas été détecté par l’agent Wong qui signala rapidement aux membres de mon équipe se qui se passait. Encore une fois, il avait démontré dès les premières secondes son utilité en situation de mission.
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| | | Thomas Blake Agent du B.A.M. Alpha
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| Sujet: Re: Le secret de la BNY [PV Robert Mercer] Ven 27 Jan 2012 - 16:58 | |
| Le cliquetis des casques, des armes et des équipements résonnaient dans le vanne qui filait à toute vitesse vers les lieux du braquage. Thomas Blake était silencieux, calme et concentré. Il n'avait pas peur, il ne stressait pas non plus ou du moins, c'était de la bonne adrénaline, celle qui vous maintient attentif et éveillé. Il chargea son fusil d'assaut, rabaissant la visière de son casque et ajustant son oreillette. L'agent Mercer relayait les informations primordiales du bureau en informant notamment Tom qu'il devait aider l'agent Wong grâce à ses doubles. Il se saisit alors d'un bouclier anti-émeutes à l'arrière du vanne au moment de sortir. Il créa un double à son effigie, portant le même équipement que lui. Ce double apparu dans une légère explosion brumeuse caractéristique du pouvoir de l'agent Blake. Ses yeux s'ouvrirent brusquement, réveillés dans le profond sommeil qu'il semblait avoir fait. Tom le fit grandir pour atteindre une carrure imposante et lui lança alors le lourd boulier pour qu'il puisse couvrir l'agent Wong de manière optimale tout en la guidant d'un pas sur.
- Je suis le double de l'agent Blake, rester derrière moi en toute circonstance.
Le double parla avec la même voix que le vrai Tom. L'agent Wong posa une main sur son épaule pour se faire guider alors que la troupe d'intervention composée en plus d'un mutant du nom de Freeman au déplacement très nerveux et rapide se dirigea vers la porte principale de la banque pour se mettre à couvert des mutants qui s’organisaient à l’intérieur. Il y avait la police départementale new-yorkaise qui avait établit, en accords avec le B.A.M, un périmètre de sécurité et des déviations routières. Tout était prêt en cette nuit étonnamment claire et éclairée sur Broadway avenue. Les passants noctambules ou fêtards se rassemblaient autour du périmètre de sécurité car il est rare qu'il n'y ait personne même à minuit dans les avenues New-yorkaises. Le double et l'agent Wong se placèrent derrière un pilonne alors que Thomas se postait du côté droit de la porte principale, prêt à l'action, son fusil en joue sur son épaule, les yeux rivé dans la lunette. À l’intérieur, les malfrats commençaient à s'organiser, reprenant leurs esprits après l'abandon de Ghost et la légère panique qui avait pris place dans leurs esprits encore trop inexpérimentés pour un tel affrontement face à la meilleur police qu'il pouvait y avoir dans ce genre de cas. Les hauts parleurs des voitures de police se mirent alors en marche pour balancer le protocole habituel. Autant dire que ce genre d'artefacts ne fonctionne jamais dans ce genre de situation, mais soit, le protocole reste le protocole et l'agent Blake s'y soumet. Ce n'est en effet pas à un militaire de sa trempe que l'on va apprendre à respecter les règles strictes qui régissent ce genre d'organisations gouvernementales ou militaires.
- Ici la police, nous vous sommons de vous rendre en jetant vos armes ! - Je sens qu'on a un fugitif, il... Il est plutôt rapide... Il... Il traverse les murs du côté est ! - J'y vais !
Freeman sprinta à une vitesse incroyable contournant le bâtiment pour tenter de stopper le fugitif. Normalement, du côté Est se trouvait quelques voitures de polices qui pourraient lui porter un soutiens non-négligeable. Il fallait aussi compter sur l'agent Wong qui tenait le mystérieux Ghost à la trace et qui pouvait aussi communiquer ses pensées à Freeman par télépathies ou par oreillette. Soudain, des rafales de kalachnikov fusèrent de l'intérieur vers les agents du BAM. Les balles claquèrent sur les pilonnes, détruisant les vitres de l'entrée et percutant le bouclier du double de Blake. Heureusement pour l'agent Wong, ce genre de bouclier peut encaisser de nombreuses balles de fusil d'assaut et d'arme de poing. Quoiqu'il en soit, le BAM tenait sa réponse à leur sommation et il se devait d'intervenir au plus vite. Dans l'oreillette des agents, un ordre d'intervention fut émit directement par le bureaux. Les choses sérieuses allaient maintenant débuter. | |
| | | Robert Mercer Agent du B.A.M. Beta
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| Sujet: Re: Le secret de la BNY [PV Robert Mercer] Dim 29 Jan 2012 - 20:40 | |
| J’étais donc à droite de la porte, Blake à gauche et non loin de nous l’un des gardes du corps de Blake protégeait efficacement l’agent Wong. Sur le murs Est, l’agent Freeman était appuyer par deux autos patrouilles et 4 agents de la police local. À l’intérieur, les voleurs s’organisaient. Ils devaient gagner du temps permettant d’établir un plan pour fuir de cette banque. Sans trop réfléchir, le Boss ouvrit le feu et ceci eu l’effet escompté. En bas, la plus part des patrouilleurs se mirent à l’appris. Je profite de la confusion pour enfoncer la porte. C’est souvent lorsque la tension augmente que l’on sépare les vrais agents des simples policiers. Malgré que les balles volaient vers nous, j’accomplis ma tâche efficacement. La porte était très solide, si bien que j’eu besoin de trois bons coups de pied pour entrer. Sans ma super force, j’aurais jamais réussit; mon corps mécanique est trop souvent une malédiction, mais je dois bien avouer qu’il m’offre des avantages… La pipe serrée entre mes dents, j’entre dans la banque et je me mets à couvert. Le RC de la banque semble être sécuritaire.
À l’Est la situation semble être sous contrôle. Ghost atteint le mur extérieur et son pouvoir lui donne un net avantage pour la fuite. Wong sondant les esprits des criminels savait que Ghost était maintenant sortie de la banque. Pourtant Freeman, un agent compétent, ne réagissait pas. Impatient, Wong envoya un message radio à son coéquipier :
-Freeman! Il est là devant toi! Es-tu aveugle? -Foutu aveugle, il n’y a rien ici!
Ni Wong et ni Freeman pouvaient s’attendre à ce que le voleur soit invisible. De nombreuses tensions existaient entre ces deux agents et rapidement elles auraient pu dégénérer si je ne les avais pas rappelé à l’ordre. En mission comme dans la vie, j'étais du genre très autoritaire. une qualité essentiel pour tous ceux qui on déjà menez des équipes derrières les lignes ennemis.
-Messieurs, À l’ordre! Nous sommes…
Ma voix base et forte fut interrompu par une puissant explosion venant du côté Est.
-Agent Freeman, au rapport! -… -Freeman! Au rapport! C’est un ordre!
Mes messages radio restaient sans réponse. Malgré l’urgence de la situation, mon rythme cardiaque était lent. Mes messages étaient directifs, mais il n’y avait aucune panique dans ma voie. J’étais calme, au point que nous aurions pu croire à un vulgaire entraînement. Dans ma tête, je calcul tout pour être sure qu'à chaque moment nous adoptions la meilleure stratégie. Ma tête fait tic tac comme un métronome. Je pris une bouffer de ma pipe et je repris ma radio.
-Wong! Qu’est ce qui se passe à l’Est? -…
Malgré mon calme, je comprend l'urgence de la situation et je suis un brin impatient. Chaque seconde sont si critique lors d'une mission.
-Wong? -Mercer, je ne détecte rien…
Je lançai un long regard à Blake qui voulait tout dire. Il devait envoyer un autre de ses doubles nous faire un bilan de la situation. Qu’est ce qui avait exploser? Est-ce qu’il y avait des blessés? Pendant ce temps, nous devions atteindre l’étage et neutraliser les quatre voleurs barricadés. Nous devions avancer prudemment, car ces brigands ne se laisseront pas prendre facilement…
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| | | Thomas Blake Agent du B.A.M. Alpha
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| Sujet: Re: Le secret de la BNY [PV Robert Mercer] Mer 22 Fév 2012 - 20:06 | |
| Assis confortablement dans son canapé, Jason n'arrive pas à s'endormir. Il est pourtant tard et ses parents sont couché à l'étage en dessous, mais lui, collégien de quatorze ans, ne peut pas dormir. C'est sans doute la faute des jeux vidéos qui l'ont un peu trop excités ce soir, à moins que ce ne soit les deux canettes de coca cola, qu'il a bu qui l'empêche de se reposer. Quoi qu'il en soit, il reste là, sur le canapé en cuir de sa chambre et décide d'allumer la télévision. Il change frénétiquement de chaîne bien que seul son pouce a une attitude dynamique puisque l'ensemble du corps du jeune américain en sur poids reste immobile. Lorsque les changements répétés de chaînes télévisées se stoppent, le jeune homme se met à battre trois fois des paupière devant le visage ferme et sérieux d'un présentateur télévisé annonçant les nouvelle lors d'un flash d'information : « Nous vous avions informé d'un récent incident à la Banque of New York au début de ce journal. Nous sommes désormais en mesure de vous fournir de plus ample détails. Un groupe d'individus se serait introduit dans la salle des coffre de la BNY, mais auraient manifestement déclenché par erreur un système d'alarme. Différents corps de police furent détaché, mais la présence des troupes d'interventions du B.A.M, le récent Bureaux des Affaires Mutantes, nous laisse présager que la nature des criminels est mutante. Nous retrouvons immédiatement notre envoyé spécial sur place, Katherine Hoggs. Katherine, où en ait la situation à l'heure actuelle ? » Une femme apparu à l'écran. Derrière elle se trouvait la BNY et on distinguait clairement les différents agents de police se trouvant ici pour sécuriser la zone ainsi que les véhicules du B.A.M. Une foule de plus en plus dense s’amassait autour de la banque, retenue par les policiers. « Eh bien William, comme vous venez de le préciser, les troupes d'intervention du BAM son arrivés il y a peu, en même temps que nous, alors que la police locale venait de sécuriser les lieux en installant un périmètre autour du bâtiment. Nous n'avons pas d'informations concernant la nature des faits, mais ce que je peux vous dire, c'est qu'il s'agirait bien de quelques individus mutants, environ cinq suivants les témoins, qui seraient rentrer dans la bâtiment sûrement pour se diriger dans la salle des coffres. Depuis quelques minutes, les négociation se sont arrêtées et les policier ont essuyés des tirs des malfaiteurs forçant le BAM à intervenir au plus vite. Je vais tenter de me rapprocher de la façade Est où il semble y avoir de l'agitation... »
Le cameraman, sous les ordres gestuels de la reporter, zooma sur cette petite rue adjacente au boulevard et qui donnait sur la façade Est de la banque. On voyait un agent du BAM, plutôt petit, s'élancer à toute vitesse dans cette ruelle mais qui, une fois sur place, semblait chercher quelqu'un ou quelque chose. Il se retournait sans cesse, demandant aux quelques agents de la police départementale des renseignements. La caméra continuait de se rapprocher quand l'explosion survint. Faisant trébucher de surprise et de peur le cameraman. « Il y a eu une explosion ici, des voitures sont en flammes, c'est la panique totale de notre côté mais également du côté de la police qui sembla impuissante... » Le petit Jason restait bouche-bée devant les images qu'il observait. Au font de cette rue, les deux voitures de police étaient calcinées, libérant de leurs entrailles d’épaisses flammes qui lapaient l'air nocturne. Plus loin, devant la banque, les agents Blake et Wong, sous les ordres de l'agent Mercer étrangement calme, étaient tout aussi surpris. Du moins, c'est ce que les expressions faciales de Blake et de Wong laissaient entrevoir. L’absence de réponse de Freeman que ce soit aux appels radio ou télépathique ne laissaient rien présager de bon. Il fallait à tout prix aller vérifier ce qui se tramait du côté Est sans risquer inutilement la vie d'un autre agent bien que sauver l'agent Freeman n'était en aucun cas une mission inutile. Sous le regard de Mercer, Thomas créa deux autres doubles, armés d'un fusil mitrailleur eux aussi. Cela demandait à l'agent du BAM une relativement grande concentration de gérer les trois doubles ainsi que ses propres mouvements, mais l'entraînement qu'il avait suffisait. Les deux doubles se mirent immédiatement à courir du côté Est alors que Thomas se mit à couvert à l'intérieur de la banque. En effet, les mutants malfaiteurs continuaient de tirer depuis le fond du bâtiment, en direction des troupes d'intervention. - Je reste derrière et je vous couvre, j'ai besoin de trop de concentration pour gérer les doubles et aller déloger les mutants. Je vous informe de ce qu'il se passe à l'Est. Thomas commença le tir de couverture pour permettre à son premier double d'avancer tout en protégeant l'agent Wong. Les mutants étaient tous sortis de la salle des coffres et se cachaient des balles derrière les pilier de marbre. Les deux autres doubles venaient maintenant de faire le tour du bâtiment et se retrouvaient devant les voitures calcinées. L'agent Blake pouvait observer à travers eux la scène. Il vit l'agent Freeman allongé sur le sol, inconscient. Des corps de policiers encore en flamme étaient près des voitures. L'un des doubles, sous les ordres de Blake, tira le corps de Freeman pour le mettre à l’abri derrière le périmètre de sécurité. - On dirait une explosion au C4. Wong, tu détecte le fuyard ?- Non, il s'est volatilisé, mais je ressens encore des signes vitaux de Freeman.La suite des opérations dépendront des ordres. Poursuivre le fuyard ou se concentrer sur les malfaiteurs présents dans la banque. Pour cette dernière option, Blake disposait d'assez de marge pour créer une diversion en ouvrant une brèche du côté Est et permettre une approche au corps à corps des troupes du BAM. Thomas rendit le regard que Mercer lui avait lancé un peu plus tôt à ce dernier. De toute manière il ne restait plus beaucoup de munitions aux deux camps, que ce soit le BAM ou même les voleurs de trésor. Mais pour Blake, il était claire que la poursuite du fuyard était condamné à être infructueuse et que la capture de ses acolytes pouvait permettre à l'investigation de remonter jusqu'à lui. | |
| | | Robert Mercer Agent du B.A.M. Beta
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| Sujet: Re: Le secret de la BNY [PV Robert Mercer] Mer 7 Mar 2012 - 4:16 | |
| Plus aucun coup de feu ne s’étaient fait entre depuis l’explosion. Dans son salon, comme le reste des témoins, le gamin grassouillet était silencieux et nerveux. Une puissante explosion de C4 avait complètement détruit le mur Est. Le passage était tout ouvert pour permettre la fuite à Ghost. L’état de santé de l’agent Freeman était très critique. Ses signes vitaux étaient critiques et il était évident pour moi que la vie de mes hommes était la priorité absolue. Je pris ma radio et d’une voix lente et affirmée j’ordonne que l’on sorte Freeman de là. L’un des doubles de l’Agent Blake est certainement le mieux placé pour déplacer ce nain. Un ambulancier pourra ensuite lui faire les premiers soins à fin de le stabiliser. Sachant l’agent Freeman entre bonnes mains, la mission peut reprendre son cours.
Je sais très bien que le leader invisible est déjà loin, mais si nous capturons ses complices, nous aurons suffisamment d’information pour remonté sa trace et l’attraper au détour. Je suis une personne méthodique et patiente et un jour ce voleur fera un faux pas et je serais là pour le capturer. Je suis un prédateur et j’attends ma prochaine proie. La patience et un plan bien planifié sont mes meilleures des armes.
Ghost rigole. Il est de ces types intelligents qui ne peuvent s’empêcher de se croire supérieur aux autres. La facilité avec laquelle il a berné tout le monde ce soir le conforte dans ce sentiment. Loin derrière lui, ses acolytes sont complètement paniqué et prisonniers de la banque. Complètement ignorant de la situation, ils étaient convaincus que l’explosion avait été provoquée par le BAM.
-Hey merde, ils nous lancent des roquettes ces mecs… dit l’un des voleurs mutants -On est mort les gars… Je vous le dis on est mort… pleurniche le gros colosse.
J’échange un regard avec mes agents. Il y a déjà un bon moment que l’on s’entraine et avance le temps, nous avons appris à nous connaitre. Ma stratégie est simple au point que d’un simple signe de la main, ils ont tout compris… Je veux profiter de l’explosion du mur Est pour attaquer les voleurs sur deux fronts simultanément. Pris entre deux assaillants, les voleurs devraient se rendre sans trop résister. Cette mesure intimidatrice permettra d’éviter qu’une fusillade éclate. Dans le pire des cas, nos positions nous donneront un net avantage pour rapidement neutraliser la menace.
Doucement, je monte l’escalier et mon pistolet est bien serré dans le creux de ma main. Chacun de mes pas est lent et je prends le soin de bien analyser mon environnement avant d’enchainer un second pas. Les marches sont étroites, mais elle me donne une vision assez nette des alentours. Je suis succédé par un double de Blake qui sert de guide à l’agent Wong. Arrivé près d’une des portes, j’entends du bruit. Les voleurs selon toute évidence sont derrière cette porte. L’agent Wong n’a besoin que de quelques secondes pour scanner leur esprit et nous confirmer qu’ils sont là. Apparemment selon Wong, ils sont très agités, car ils sont convaincus que nous tenterons des tués. Il n’y a rien de pire dans ce genre de situation, car ils croient qu’ils doivent nous tués avant que nous tentions quoi que se soit. Je n’ai toujours pas eu de nouvelles du double de Blake qui tente de les atteindre par l’autre mur… J’espère qu’il n’est pas bloqué derrière une porte verrouillée… Dans ce genre de situation, la surprise n’est définitivement pas la meilleure des approches. Ils sont des barils de poudre et une seule étincelle suffirait à les faire exploser. Dans leur tête, ils sont déjà morts alors qu’ont-ils à perdre?
D’une voix grave et autoritaire, j’affirme notre position :
-Ici le BAM, rendez-vous! Vous êtes cerné. Nous ne voulons vous faire aucun mal. Déposez vos armes.
Les quatre voleurs s’activent, piétinent et hésitent. Ils ont peur. Ici et là on attend un petit cri nerveux.
-Je vais compter jusqu’à trois et je vais entrer… 1… 2… 3…
J’entre, mon arme près à faire feu, mais la salle est vide. Il n’y a qu’un étrange nuage de fumée, signe distinctif d’une téléportation. Logiquement, les malfrats ne doivent pas être très loin. Selon mon expérience et mon raisonnement, ils se sont téléportés dans le coffre fort. Un endroit idéal pour se barricader le temps de préparer un bon plan… En plus, dans ce genre de chambre forte, une mince couche de plomb blogue la totalité des pouvoirs télépathiques comme ceux de l’agent Wong. Il s’agit d’un repli stratégique efficace et digne d’un bon militaire… Reste à savoir s’il a été fait en connaissance de cause ou par hasard.
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| | | Thomas Blake Agent du B.A.M. Alpha
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| Sujet: Re: Le secret de la BNY [PV Robert Mercer] Jeu 8 Mar 2012 - 22:45 | |
| Une épaisse fumée, faites de débris microscopiques et de poussières se dégageait du tas de béton formant les restes du mur. L'explosion à l'explosif avait laissé un troue béant dans les briques et le ciment de la façade Est de la Banque de New York. Après avoir déplacé le corps de Freeman, inconscient, hors de portée des fumée poussiéreuses et des possibles autres explosions - et confiant les maigres reste de vie de cet agent du BAM aux ambulancier et autres pompier déjà sur place - les deux doubles se rapprochèrent alors de cette nouvelle entrée, de ce troue sombre et encombré de gravas. Le visage de ces deux hommes était vide d'expressions, fermé et froid. Malgré ce fait, personne ne pouvait s’imaginer qu'ils n'étaient pas humains, pas véritablement réels. Même le plus perspicace des observateurs conclurait plutôt à deux jumeaux qu'à des produits d'un pouvoir mutant. Cependant, quelques signes ne trompent pas, ces hommes là ne sont pas humains, ils ne font pas des erreurs humaines, ils ne ressentent aucune émotions et leurs coordinations sont parfaites. Ils sont en harmonie l'un avec l'autre comme s'ils n'étaient qu'un. Leurs mouvements aussi sont en parfaite concordance, sans aucune hésitation palpable, précis. Ils avancent prudemment, leurs appuis sont stables sur des gravas qui ne le sont pas. Leurs fusils d'assaut en joue sur leurs épaules, le regard fixé dans la visé, ils pénètrent dans l'épaisse poussière qui ne les incommode pas. À l'intérieur, rien, une salle vide ressemblant à des toilettes communes. Aucune trace de Ghost, aucune traces des autres malfaiteurs : rien que l'explosion, comme une diversion bien maîtrisée, mais pas seulement... Freeman n'a vu personne lorsqu'il se dirigeait à l'Est. Pourtant, la localisation de l'agent Wong était parfaite. Ghost, car c'est bel et bien de lui qu'il s'agit, a su parfaitement tirer profit de ses capacités surhumaines pour filer entre les doigts d'un agent du BAM et de quelques policiers départementaux qui veillait à sécuriser le périmètre. Quoiqu'il en soit, il fallait renforcer la sécurité pour éviter que les malfaiteurs ne fassent de même. Alors que l'un des doubles, dirigé par l'agent Blake, fouillait les couloirs de ce côté de la Banque, l'autre rebroussa chemin et se dirigea vers un chef de section. D'une voix monotone mais ferme, il lui demanda :
- Vous êtes le chef de cette section ? - Qu'est-ce que ça peut te foutre ? Ahah, ouais, c'est moi le chef de cette section. - Je suis Thomas Blake, agent du B.A.M. Postez-vous à cet endroit et vérifier que personne n'entre ou ne sorte. - Attend mon poussin, tu me donnes un ordre là non ? - Il est dans mes habilitations, en tant qu'agent du B.A.M, de donner des ordres aux sections de la police départementale dans le cadre d'une intervention avec des individus mutants impliqués comme victimes ou comme potentiels criminels. - C'est bien, ta bien appris ta leçon, maintenant, tu vois, je suis posté là, alors t'as plus qu'à aller faire ton job de mutos, okay ?
Insolemment le chef de section plutôt grand et imposant lui tourna le dos, riant vulgairement, avec ses trois collègues, de sa rhétorique et de ses jeux d'esprit qui tenaient plus d'un quinquagénaire adepte du canapé et de la bière que d'un réelle intellectuel. Mais il est des pouvoirs que l'on ne maîtrise pas parfaitement et lorsqu'il s'agit de capacités qui demandent de la concentration car contrôlées par l'esprit, il arrive que les émotions prennent le dessus. Or, l'envie légitime qui traversa l'esprit de Thomas, du vrai Thomas, à se moment se vit réalisée par son double qui saisit le bras du policier le tordant de manière à le soumettre. Les collègues du policier ne bougèrent pas, mais devant les gémissement de douleur, la tête écrasée sur le capot de leur voiture de police, le chef de section implorait que cela cesse. Ces souhaits furent exhaussés et le double explosa en un brouillard de brume, laissant le chef de section seul, face à ses collègues, la mine crispée de douleur. Ce n'est pas que le double fut prit de pitié, mais simplement que Thomas préféra les faire disparaître pour ne pas que cela empire. Il se tourna maintenant vers la réalité, celle dans laquelle son véritable corps était.
L'agent Mercer allait rentrer dans la banque. Les tirs avaient cessé, mais les vitres étaient bien entendu trouées de part et d'autres, suite aux rafales des malfrats. Un décompte plus tard et le voilà rentré, arme de poing devant lui prêt à l'utiliser. Le double qui protégeait l'agent Wong n'a pas explosé lui, Tom avait tout fait pour le garder, chose capitale pour la sécurité de Wong. L'homme se leva ensuite de sa couverture, suivant son escouade. Il fermait la marche, toujours son fusil sur l'épaule. À l'intérieur, personne, ils avaient tous fuient, mais où ?
- Je ne les détectent plus, ils ont du s'enfuir loin, se... téléporter à moins qu'ils ne bloquent mon lien psychique.
Tom regarda l'agent Mercer, il semblait déjà avoir compris où les malfrats avaient été se cacher : le coffre fort. Impressionnante déduction. Les téléportations de masse et de longues distances ne sont réservées qu'à de rares mutants puissants comme le très recherché Azazel. Mais pour que le lien télépathique soit rompu, il ne restait pas beaucoup d'endroit où l'on pouvait se réfugier. Le coffre fort donc, l'agent Blake le fit comprendre à Wong par le biais de son double qui lui chuchota l'information que Mercer avait déduit en quelques secondes. Grâce à son pouvoir ou son expérience, peu importait à Blake. Le coffre était creusé dans un renfoncement par rapport au mur du fond de la grande salle. Impossible donc de faire exploser les murs sur les côtés. Mis à part l'épais béton armé renforcé de différents acier, la porte semblait épaisse. Argentée et brillante, elle était faite totalement de métal. D'après les plans des lieux qui avaient été étudiés avant la mission : toute la salle du coffre était entourée de métal ainsi que de différentes couches qui permettaient, entre autre, de bloquer les liens psychiques. On ne pouvait pas vraiment imaginé qu'une téléportation soit possible à travers une tels épaisseur.
- Trop épais pour des explosifs, on ferait sauter tout le bâtiment. - Ils sont enfermés dedans, la téléportation est trop risqué à travers les épaisseurs de béton et d'acier. Faut quand même demander qu'ils bouclent le périmètre. - On peut demander au mecs de la banque de nous déverrouiller la porte, mais vu son épaisseur, elle risque de ne pas s'ouvrir rapidement.
Pendant qu'ils parlaient, Blake, son double et Wong se placèrent en lieu sûr, à côté de l'entrée du coffre, à couvert. Ils attendaient tous la décisions de Mercer, chef de cette escouade et de cette intervention. | |
| | | Robert Mercer Agent du B.A.M. Beta
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| Sujet: Re: Le secret de la BNY [PV Robert Mercer] Sam 10 Mar 2012 - 19:03 | |
| Les quatre brigands sont enfermés dans le coffre. À l’extérieur, il y avait mon équipe. Le double protége l’agent Wong. Blake n’est pas très loin d’eux. La tension dans la pièce est grande. Il faut dire qu’il y a eu d’importants échanges de feu. Le stress a gagné la plus part des témoins, mais je reste complètement détaché de cette émotion. Tout le monde semble alerte sauf moi. Mon rythme cardiaque est lent. Je me rapproche du murs et je m’appuis sur celui-ci. Je range mon arme de service dans son étui. Je retire ma pipe d’entre mes dents et je vide le tabac brûlé sur le sol. Chacun de mes gestes sont scruté à la loupe par mon équipe. Lentement, je bourre de tabac bien frais ma pipe. Ma radio sonne et je répond
-Mercer.
-Qu’elle est la situation? Dit l’un des responsables bien cachés derrière une voiture de police complètement troué.
-On attend… Restez sur vos positions.
Je sors une grosse allumette en bois que je gratte sur le mur. La flamme danse avant d’embrasser ma pipe. Le tabac s’allume comme un brassier et j’en crache un impressionnant nuage de fumée blanche. La radio se remit a crié après quelques secondes de silence.
-On attend? Mais…
-On attend! Dis-je d’une voix grave et autoritaire.
Les policiers, en bas, sont complètement perdus par mes ordres. Je regarde mon équipe et je leur conseil de s’installer confortablement. Ma stratégie est pourtant bien préparée. Elle a été montée rapidement, mais elle est la bonne. Je ne suis jamais très bavard, mais je sais que je dois expliquer mon plan à mon équipe.
-Ce coffre est une véritable merveille de sécurité. Le modèle est un 4400SB. Son volume est de 18m³ et il est considéré d’un niveau de sécurité 4. En plus des multicouches de blindage, il est complètement étanche.
Il faut dire que depuis déjà un moment mon cerveau est un véritable ordinateur. Je mémorise tout instantanément. J’ai déjà passé à travers de près de la moitié des archives du BAM. J’ai lu des tonnes de fiches de criminels, des rapports de missions, des plans, etc. Bref, toutes informations pertinentes que je peux trouver. La connaissance est le fils pour produire des bonnes stratégies. Ensuite, il ne s’agit que de tisser sa toile et attendre patiemment que ses victimes tombe dedans. La rationalité est la plus importante des forces et la seul qui déplace réellement des montagnes.
-Nous avons quatre brigands complètement paniqués prisonniers d’un coffre étanche. Leur rythme cardiaque doit dépasser les 150 pulsations par minutes et leur souffle doit être court et rapide. Dans moins de 10 minutes, ils auront de la difficulté à respirer aillant complètement gaspiller leur oxygène. Lorsqu’ils seront complètement à bout, ils se retéléporteront ici et ils seront si faibles que nous les cueillerons sans aucune résistance. Patience messieurs…
Dans le coffre la scènes est exactement comme l’a décris Mercer. Les quatre brigands tournent en rond. L’espace clos les stressent encore d’avantage et de longues gouttes de sueurs glissent le long de leur visage avant de faire un plongeons vertigineux et de s’écraser au sol. Chacun temtent de trouvé un plan, mais sans résultats. il faut avouer que ces mecs sont long d'être des brillants criminels. Chacun lance des idées ans réellement écouté les autres. Ils crient, se contredient, se provoquent, s'insultent...
Au fond de la pièce, contre le mur, bien placer pour agir lorsque ce sera le moment, je suis là. Les bouffés de tabac se succède comme si j’étais un train. Ma fumée est régulière et imposante, mais elle ne dégage aucun signe de nervosité. Comme prévu au bout d’une dizaine de minutes, les quatre brigands se téléportent devant nous. Ils sont complètement à bout de force. Des râlements graves sortent de leur bouche trop grande alors qu’ils tentent de se réoxygéner. Se sentant prit devant des agents du BAM lourdement armé, ils jettent à nos pieds leurs armes. L’effort semblent presque surhumain même pour le colosse tellement ils sont à bout. Aucun coup de feu et le filet se referme sur mes victimes comme prévu. Une stratégie parfaitement adapté à la situation. D’un pas assuré je me dirige vers les voleurs. Je dégaine mon arme près de leur visage et je murmure quelques mots à leur oreille. Il s’agit de menaces et je suis prit au sérieux à voir comment leur visage se tort de peur.
Je savais depuis un moment que ces mecs étaient que des pions, mais l’attaque sur l’agent Freeman avait démontré l’importance de rapidement mettre la main sur le maître d’œuvre de ce vol. N’allez pas croire que j’étais sensible face aux évènements que Freeman avait vécus. Il y a bien longtemps que je suis glaciale à tout ce que la vie pourraient m’offrir. C’est plutôt un calcul rationnel sur l’indice de dangerosité que représente ce mec. Ce type doit rapidement être enlevé de la circulation.
-Wong… Blake… ils sont à vous. Je veux tout savoir, qu’ils crachent tous ce qu’ils savent. | |
| | | Thomas Blake Agent du B.A.M. Alpha
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| Sujet: Re: Le secret de la BNY [PV Robert Mercer] Lun 12 Mar 2012 - 21:34 | |
| Mercer était doué d'un esprit de calcule impressionnant. Il l'avait déjà démontré lors de ses déductions pour le moins impressionnantes, mais cela se vérifiait maintenant de très belle manière et en parole. Il ne semblait, ni anxieux, ni stressé, ni quoi que ce soit d'autres pouvant le perturber. Froid et distant, il avait tout le recul nécessaire d'un bon agent. Trop peut-être... Son plan était pourtant simple une fois explicité, mais en ce qui concernait Thomas Blake, il n'avait aucune idée de comment procéder pour sortir les malfrats de ce troue dans lequel ils s'étaient enfermés. Tout reposait sur une chose simple, le manque d'oxygène, vital pour l'organisme. Cependant, et c'est là ou c'est très fort de la part de l'agent Mercer, c'est que le commun des militaires, le soldat n'ayant pas vraiment fait d'études, se trouvera vite ennuyé lorsqu’il s'agira de déterminer si oui ou non, l'oxygène restant dans le coffre était suffisant pour faire tenir les malfrats pendant encore longtemps. Or, Mercer en déduis tout de suite qu'aux bout d'une dizaines de minutes, ils commenceraient à manquer de ce précieux élément qu'est l'air. Thomas était impressionné, même s'il ne le laissa paraître. Il se relâcha un peu, écoutant attentivement les maigres bruits qui commençaient à traverser l 'épais blindage : disputent, bruits sourds, bavardages inquiet. Tout indiquait que les malfrats ne savaient que faire, qu'ils étaient bel et bien pris au piège condamné. - Qu'est-ce qu'on fait bordel, qu'est-ce qu'on fait !- Putain ferme-là, je cherche une solution !- On a plus d'air, on... on va crever non d'un chien !- J'ai dis FERME-LÀ !- Faut... Faut que je sorte là, j'en... J'en peux plus... Thomas regarda sa montre, c'était l'heure d'après le super calculateur Mercer. Il se saisit de son arme, vérifia sa position et créa deux doubles armés sur le mur est et ouest afin d'encercler les malfrats dès leurs téléportation. Les deux doubles, copies identiques de l'agent Blake, mirent leurs pistolets en joue, prêt à faire feu. Ils avaient tous des menottes et les fameux collier neuralisateur du B.A.M. pour neutraliser les pouvoirs des malfrats le plus vite possible. Au bout d'une dizaines de minutes, une sort d'explosion survint, c'était le bruit caractéristiques de certaines téléportation. Les malfrats étaient tous aux pieds des agents, jetant leurs armes et se rendant alors que leurs visage étaient tirés par le manque d'oxygène. Les doubles et Thomas fixèrent alors les colliers ainsi que les menottes alors que Mercer chuchota quelques mots à l'oreille d'un criminel. Le visage de ce dernier se crispa dans un déglutissement montrant bien que Mercer avait aussi le don de se faire comprendre. En fait, l'arme qu'il colla sur le front de l'individu aida sans doutes à le convaincre que l'agent et chef de cette escouade. Leur faire cracher le morceau, c'était bien évidemment le plus important. Blake fit disparaître les doubles et chuchota à l'oreille de Wong de scanner leurs esprits pour en déceler la vérité du mensonge. Elle n'était pas capable comme certains télépathe de lire directement dans les pensées et dans les esprits. Elle pouvait plus facilement repérer la trace psychique d'un être et trouver où il se cache, son emplacement, sa vitesse lors de ses déplacements. Wong acquiesça, il se saisit alors du mutant déjà terrorisé par les chuchotements de Mercer, par le col. - Qui c'est ton chef qui s'est fait la malle?!- j'en sais ri... Arg ! C'est... c'est Ghost, son nom c'est Ghost, j'en sais pas plus.Blake observa Wong qui fit un oui de la tête, m'indiquant qu'en effet, il n'en savait pas plus. - Pour qui il bosse ce « Ghost » ?!- Il... il bosse pour des gens...- QUI ?!- Une secte, un groupuscule, une organisation très puissante je sais rien. Il disait qu'on ne pouvait même pas imaginer leurs existences, si c'est.. Arg.. . Vrai, demander au gros là !
Wong fit un non de la tête, Blake saisit alors plus fermement le mutant, le collant contre un mur et faisant apparaître des doubles à ses côtés le menaçant de leurs armes. Il ne restait plus beaucoup de temps avant que le restes des autorités n'arrivent et ne mettent fin à cet interrogatoire plutôt musclé. - QUI ?!- Pitié, j'en sais pas plus, ces types emploies des mutants pour faire le sale boulot, mais pitié, j'en sais pas plus. Le mouvement verticale de la tête de l'agent Wong fit disparaître les doubles. Mais il restait encore une question à poser. - Où on peut le trouver ce Ghost ?- …- Où on peut le TROUVER ?!- Il a parlé d'une cave, dans un immeuble à l'angle de la... heu... Arg... Non pitié, je sais, à l'angle de la St Rowland et de la St Raymond avenue, dans le Bronx.Il disait vrai d'après la télépathe, Blake le relâcha alors, laissant les autres agents du B.A.M. embarquer les malfrats. Il se dirigea par la suite vers Mercer. - J'ai ce qu'il nous faut.La mission était terminé, mais Ghost courait toujours. C'était lui le plus dangereux dans l'affaire. On ne savait ni ce qu'il voulait dérobé, ni pourquoi, ni pour qui. On avait une piste, une adresse au Bronx. Il faudra certainement préparer le terrain avant de faire une intervention las bas. Thomas Blake regagna l’extérieur de la banque pressé de rentrer chez lui après ces rudes émotions. Toutefois, il décida d'abord d'aller voir Freman, voir comment il se portait, avant de retourner pour le débriefing, près du véhicules par lequel il était arrivé. - HJ:
Tu souhaites conclure le RP où bien continuer. En tout cas, le RP peut très bien être terminé pour moi.
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| | | Robert Mercer Agent du B.A.M. Beta
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| Sujet: Re: Le secret de la BNY [PV Robert Mercer] Sam 17 Mar 2012 - 20:37 | |
| L’agent Blake et l’agent Wong sont les mieux placé pour obtenir les informations qui étaient détenus par les brigands. Wong peut calmement scanner leur cerveau alors que Blake le mitraille de questions. Je me suis éloigné de eux, mais je garde un œil sur la scène. Un bon chef d’équipe retire ce qu’il y a de mieux de son équipe, mais je sais aussi que je dois garder le contrôle de leurs gestes. Je m’installe dans le cadre de la porte et je fume. Le tabac est bien aromatisé et il est délicieux. Son arome a complètement remplis la pièce et un nuage se forme au desus de ma tête. En bas, la situation se calme lentement. Les policiers sortent lentement de leur cachette. La nervosité descend lentement et chacun constate l’état de la situation. Il y a des centaines de trous laisser par les assaut des brigands. Certain viennent même à notre rencontre dans la salle du coffre. Je me fais par contre un devoir de gagner un peu de temps. Mes agents obtiennent déjà quelques informations, mais nous devons tout savoir. Il faut avouez que je suis largement plus motivé par la fin que les moyen. C’est une déformation quand on est un agent secret pendant des décennies. On fini par oublier la loi… Je me bats pour la justice et ceci dépasse largement les lois. Dans la porte, j’intercepte un groupe de 4 agents venu nous aider pour faire les arrestations. Je leur ordonne d’aller chercher des infirmiers. Ils s’exécutent sans même me demander le moindre détail. Mon charisme est clair. Je dégage une espèce d’aura naturelle très autoritaire. Le temps que les agents reviennent, on a obtenu une bonnes piste pour retrouver le cerveau de cette opération. Je les laisse passé. Derrière eux, deux infirmiers les suivent. Rapidement, les voleurs bénéfie de soin alors que leur respiration commencent seulement à reprendre un rythme plus habituel. Ils sont ensuite embarqués dans un panier à salade blindé. Je les félicite pour la qualité de leur intervention. Je ne mentionne rien sur l'incident avec l'agent Freeman, ce n'est pas de circonstance. Je leur donne une heure de repos avant de faire le débriefing dans notre véhicule. On en profitera pour rédiger le rapport et nous pourrons ensuite nous remettre sur la trace de ce Ghost. Certain pourrait croire que j’agis par bonté ou par remerciement en donnant ce repos, mais il n’en est rien. Ces qualificatifs sont tellement loin de la machine que je suis devenu. La vraie raison est que je veux profiter de ce temps pour regrouper toutes les informations officielles et officieuses que les principaux organismes du gouvernement possèdent sur ce fameux terroriste. En groupe, on pourra ensuite le capturer… Ma tète fait tic tac. Ce son résonne et remplace l’absence des battements de mon cœur. Je n’ai plus aucune émotion et le fait de voir le visage soulager de mes collègues me rappel simplement que je ne suis plus un homme, mais uniquement DeadSmile! -RP TERMINÉ- HJ: - Spoiler:
Je voudrais poster un annonce pour que ce RP soit déplacé dans la sectionb "RP Terminé", mais je ne retrouve plus où nous devons le signaler. Merci de m'informer sur le sujet en MP.
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