Entraînement le soir (Fluidia)

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Il devait être prêt de minuit et je n'arrivais pas à dormir donc j'étais venu me fatiguer ici . J'avais enfiler vite une tenue de sport bleu ciel, et mes baskets blanches . Peut de temps après j'étais arrivée au gymnase, tout était calme, on pouvait entendre la pluie -qui tombait depuis trois jours sans relâche- qui tombait sur les fenêtres . Je pris mon sabre, son manche était un morceau de bois avec de la peau de crocodile, c'était mon professeur qui me l'avait donné, je m'en rappel je venais de remporter le championna de Virginie catégorie Benjamin -au la main- et il s'était approché de moi et me l'avait donné, il m'avait dit que ce sabre était dans sa famille de puis des générations, et que je devais y faire attention comme à la prunelle de mes yeux . Je fermais les yeux puis je commencé à faire les gestes de base puis je commencé à faire des gestes plus compliqué, je me remémorais ce que m'avais apprit maître Yong . Je ralentis ma respiration, et fit le vide en moi puis je commençais les exercices de vitesse au sabre .

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Je me réveillai en sursaut. Pourquoi ? Pourquoi fallait-il que je rêve de mon frère une fois de plus ? Pourquoi je ne parvenai pas à oublier ces années que j'avais passées avec lui, alors que lui, ne s'était jamais plus soucié de nous, après son départ... Du moins, c'était ce que je croyais. Pourquoi fallait-il qu'il hante mon esprit, encore et toujours, même 3 ans après son départ ? Oui c'est vrai, je me demande pourquoi et vous aussi, certainement ! Mais c'était mon frère jumeau, mon meilleur ami, mon confident, ma moitié, quoi ! Comment pourrais-je l'oublier un jour ? Enfin, peut-être que quelqu'un d'autre viendra prendre sa place dans mon coeur...Mais cette personne n'est pas encore arrivée...
Sachant que je ne pourrais plus dormir, je me dis que je ferai peut-être bien de faire quelque chose d'utile, quelque chose qui ne demandait aucune concentration, car j'avais déjà trop travaillé mon pouvoir aujourd'hui et j'avais le cerveau en compote. Une seule solution : un petit cours de sport privé et improvisé. Je me levai en enfilai un pantalon blanc de sport, un T-shirt noir et une petite veste de sport (que je ne porterais probablement pas longtemps !), et je me rendis à la salle de sport.
Malheureusement, quand j'entrai, je vit que la salle était déjà occupée, et je voulus retourner dans ma chambre, mais au lieu de cela, je restai plantée là, impressionnée par la vitesse de la fille qui s'excerçait au sabre. Houla ! Elle était vraiment douée... A mon avis, elle devait avoir au moins le niveau national ! Ne voulant pas la déranger, je restai sur le seuil de la salle, à regarder les figures que la fille excécutait devant moi, sans savoir que j'étais là...

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J'arrêté les exercices de vitesse, je tournai le dos à la fille qui ce tenait sur le seuil de la salle . Je déposais le sabre par terre avec respect, et j'allais boire au robinet, je reviens cinq minutes plus tard . Je n'avais toujours pas vu la jeune fille, la pluie avait redoublée de violence et le vent s'était levé, une énorme branche passa devant l'une des fenêtres, mais je ne la remarquée pas . Je m'étirais et bailla, je me retournais et sursauta en voyant Fluidia, je devint invisible une dizaine de minutes . Puis je redevins visible à ses yeux et lui sourit génée de ne pas l'avoir remarquée avant . Je lui tendit ma main :
_Bonsoir, comment tu t'appelle ?

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Alors que j'étais en train de regarder l'entrainement d'Iris, mais je vis qu'elle s'arrêta. Je n'en connaissais pas la raison... Peut-être m'avait-elle vue ? J'espérais vraiment que ce n'était pas à cause de moi... Je m'en serais tellement voulue ! Mais quand elle partit boire au robinet, je compris que ce n'était pas ma faute... Un poids de culpabilité me quitta. Pendant son absence, je me mis à réfléchir. Quand elle avait déposé son sabre, j'avais remarqué qu'elle l'avait fait avec beaucoup de respect, comme si le sabre avait une vie... A moins que ce soit un cadeau auquel elle tiendrait beaucoup... Ou encore que ce soit quelque chose à laquelle serait attachée un symbole, un souvenir particulier... Qu'est ce que ce respect pourrait-il bien signifier ?
Plongée dans mon questionnement intérieur, je ne remarquai pas qu'elle était revenue et qu'elle s'étirait. Moi qui voulais ne pas faire trop marcher mon cerveau, c'était râté ! Fichu esprit critique... Pourquoi fallait-il que je veule tout savoir ? Sans oublier le pourquoi du comment ! Pourquoi c'était sur moi que c'était tombé ? Saleté de trait de caractère. Et voilà...Encore une fois, me voilà plongée dans mes pensées, mais j'en sortit très vite ! Signe que je réfléchissais trop, ce fichu mal de tête reprennait, une fois de plus...
J'entendis une sorte de sursautement, et je me retournai pour voir si Iris m'avait vue ou pas. Mais quel fut mon étonnement en m'apercevant qu'elle n'était plus là ! Je foullai dans ma mémoire pour me confirmer que je l'avais bien vue, et non pas que c'était une illusion... Je n'étais pas folle, après tout ! Je posai mon regard sur le sabre. Aha ! Il était encore là ! Donc je n'avais pas rêvé ! Et je n'étais pas folle non plus ! Je cherchai encore un peu dans la salle, mais je crus comprendre très vite... J'étais dans une école de mutant, elle aurait donc pu faire toute sorte de choses pour disparaître...
Quelques temps plus tard, elle réapparu. Invisibilité... Très pratique ! Elle me sourit, un sourire un peu gêné... Heureusement, je n'avais pas vu le mien... Le mien devait aussi être désolé...

- Je m'appelle Enora, Enora Lively... Désolée de t'avoir dérangée !

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Le vent augmenta de puissance, le tonnerre gronda et il eu un éclair, puis deux autres arrivèrent celà me fit revenir en arrière j'étais avec papa et maman dans un chalet en montagne, il y avait une tempête pareille à celle là sauf qu'il y avait de la neige, j'avais le nez collé à la fenêtre et papa m'avait dit pour plaisanter que si je continuer mon nez resterait à la fenêtre, je l'avais cru biensur et je lui avait dit qu'il me décolerais, biensur mon nez ne c'était pas collé à la fenêtre, un coup de tonnerre plus puissant que les autres me fit revenir à la réalité :
_Nan t'inquète tu ne m'as pas dérangé du tout ! Sale temps non ! ? lui dis je tout en lui souriant avec plus d'assurance, Qu'es que tu fait là pendant la nuit ?
Le tonnerre gronda encore une fois, et il eu plusieurs éclairs, la pluie redoubla encore de puissance et le vent aussi . J'aimée la pluie, le vent, la tempête se qui me fit agrandir mon sourire :
_Tu es d'ici, ou d'un autre pays ? Moi je suis de Virginie, Washinghton pour être plus préçise ! As tu des frères ou soeurs ?
Ce qui pouvait paraître allucinant le vent augmenta encore une fois de puissance, et là pluie avec, le tonnerre gronda pendant cinq minutes, puis il eu un gigantesque éclair qui illumina le ciel .

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Je me demandais bien quelle était ma tête en ce moment... Je me sentait gênée, mais à un tel point... Iris me rassura très vite en me disant que je ne l'avais pas dérangée. Un soulagement ! Je n'aimais pas être celle qui dérange, et encore moins celle qui espionne... Fallait pas croire que c'était parce que mon frère était devenu un confrériste, que je le voulais aussi...
Jusque là, je n'avais pas prêté attention au vent, mais quand il eut plus de puissance, je ne pu que le remarquer. Ensuite, il y un un éclair et d'autres arrivèrent par la suite. Pfff... Je n'aimais pas ce temps... En fait, je détestait le froid et le temps humide... Et encore moins la pluie !

- Ca me rassure ! Oui, en effet, en plus, je n'aime pas beaucoup ni la pluie, ni les orages !

- En fait, je n'arrive plus à dormir... Et toi ?

Je finis par ne plus faire attention au temps dehors... Parler de ce que je faisais ici ne fit que ramener la douleur due à l'absence de mon frère à la surface. Il me manquait, c'était certain. Mais pourquoi avait-il fallut qu'il suive Magnéto... Il n'aurait pas pu venir ici, à l'institut ? Tout aurait été plus facile ! Nous ne serions pas ennemis et nous aurions pu nous retrouver, sans oublier le fait qu'il aurait pu revenir l'été à la maison ! Mais s'il ne l'avait pas fait (revenir l'été à la maison), c'était peut-être parce qu'il n'en avait pas envie...Peut-être qu'il n'avait plus envie de nous voir ?

- Je viens de la Floride... C'est pour ça que je n'aime pas la pluie, à vrai dire... Je suis habituée au soleil !

- J'ai un frère, mon jumeau... Et toi, tu en as ?

Je prononcai cette dernière phrase un peu plus bas, sur un ton plus triste que je ne l'aurai voulu. Je savais que parler de Matteo était difficile pour moi. Je savais aussi qu'il était une de mes faiblesses, car je ne pourrai supporter qu'on lui fasse du mal, malgré son absence de 3 ans...

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Ce qui pouvait paraître incroyable mais un arbre passa à la verticale passa devant une fenêtre, ce qui me fit encore une fois revenir en arrière dans mes souvenirs, j'étais chez mon oncle Noël, je devais avoir 6 ans quand celà mais arrivé, oncle Noël et moi nous nous baladions dans la forêt quand j'ai faillit être écrasé par un arbre, mais Noël qui avait un pouvoir comme moi avec mon invisibilité et mais ondes de choc, lui, c'est muscules étaient bien plus dévellopés que les autre, il arrêta le tronc à une main, un éclair éclaira le ciel et me fit revenir à la réalité des choses:
_Ah ! Moi je n'arrive pas à dormir, donc je suis venu ici pour pouvoir un peu m'épuiser . Et comme tu as du le voir je m'épuisée !
Le tonnerre gronda plus fort et plus longtemps que les dernières fois, et il eu plusieurs éclairs, la pluie redoubla encore une fois de puissance :
_Non je n'ai ni frère ni soeurs à mon plus grand regret mais franchement je suis contente de ne pas en avoir car je serrais bien triste que quelqu'un d'autre et le même malheur que moi dans ma famille . Mais pourquoi avais tu l'air triste quand tu à prononcé t'as dernière phrase ?
Je la regardais avec mes yeux violets et pupilles verticales blanches, avec plien d'intêrer et de gentillesse dans le regard .

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J'étais une fois de plus en train de penser à Matt'. Le mentionner me faisait souvent remonter des souvenirs. Certains jours qu'on avait passés ensemble me revenaient en tête. Je me souviens du jour où il m'a montré ses pouvoirs d'hydrokynésie. Je l'enviais. Comment oublier ce moment ? Sans oublier ses entraînements auxquels j'assistais. Je n'en loupais pas un seul. Les seules choses qui parvenaient à me faire sortir de ma tête étaient le bruit du tonnère et les paroles prononcées par Iris.
J'étais tellement plongée dans mes souvenirs que je ne vis pas l'arbre passer à la verticale devant une des fenêtres de la salle de gym. Je souris quand Iris m'annonca qu'elle avait "atteind" le but qu'elle avait en venant ici...

- Au moins, tu arriveras à dormir encore un peu d'ici demain matin !

Le tonnere se rapprochait... Je le savais parce que on l'entendait de plus en plus. Au moins, l'orage s'éloignerait bientôt de l'institut... Ce qui ne serait probablement pas le cas de la pluie, qui elle, redoubla encore une fois de puissance. Comment était-ce possible ? Il pleuvait déjà assez à mon goût...Non, il pleuvait trop à mon goût !
Quand Iris m'interrogea sur mon frère, enfin, indirectement, je ressentis une boule se former dans ma gorge. Néanmoins, je décidai de lui dire la vérité... J'espérais seulement qu'elle ne me jugerais sur ce qu'était devenu mon frère...

- C'est compliqué... Mon frère est aussi un mutant, mais il a développé ses pouvoirs avant moi. Au début, c'était notre secret, mais un jour où Matteo était de mauvaise humeur, notre voisin l'a insulté, et il l'a attaqué. Notre voisin a failli se noyer...enfin, ce n'est pas ça le problème, mais suite à cet accident, tout le monde a été au courant de ses pouvoirs et c'est à ce moment que Magnéto est arrivé. Je ne sais pas comment il a fait, mais il a séduit Matteo, et mon frère est parti avec lui... Depuis, je ne l'ai plus vu ! La seule chose que je sais, c'est qu'il est entré dans la confrérie. Ce qui me rend le plus triste dans tout ça, c'est que nous sommes devenus, sans le savoir, ennemis...

Sans que je puisse le contrôler, une larme, unique, coula sur ma joue. J'avais dit cela, en regardant par la fenêtre, les yeux dans le vide. Malgré tout, cela m'avait fait du bien de vider mon sac. Mais le manque de sa présence était toujours présent, et j'ignorait si j'arriverais un jour à le combler...

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_Mouais Mais je ne suis pas très fatiguée .
Une sirène des sapeurs pompiers passa au loin, mais je n'y fit pas très attention . Le tonnerre gronda, puis une autre sirène d'urgence résonna encore une fois au loin et cette fois çi je reviens dans mes souvenirs encore . C'était le soir, j'avais 7 ans et maman venait déteindre la lumière après m'avoir lue une histoire parlant d'un certain Dracula, quelques minutes passèrent dans le silence puis je reniflais et je sentis une odeur de cramée, pas grave si c'est pas à la maison, puis j'entendis les sirènes des sapeurs qui arrivaient, ils se garèrent devant la maison et foncèrent jusqu'à la maison d'en face, un éclair et un coup de tonnerre me firent revenir à la réalité :
_Cette fois il est sur nous !pensais je
Plusieurs éclairs zebrraires le ciel nuagueux, oragueux, et pluvieux :
_Je ... je voulais pas que tu pleure en te posant cette question ! dis je en voyant sa larme, Escuse moi ! Je suis vraiment désolé ! Au faite tu était venu pour faire du sport puisque tu es ici, çà te dirais que l'on s'entraîne toutes les deux ensembles, ou tu préfères t'entrainer toute seule ? lui dis je timidement .
Le vent s'arrêta d'un coup, la pluie avec, le tonnerre le calme resta pendant quelques minutes puis repris avec beaucoup plus de force qu'avant !

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Je souris intérieurement. N'avait-elle pas dit qu'elle était venue ici pour s'épuiser, et qu'elle s'était épuisée ? A moins qu'elle aie beaucoup de réserves d'énergie, ce qui ne m'étonnerait pas trop, vu le niveau qu'elle avait. Elle devait être très sportive.

- En tout cas, tu es vachement douée !

Quand j'entendis la sirène annonçant la venue des sapeurs pompiers, je me demandai quelle maison du coin avait été touchée par l'orage. Je savais aussi que l'orage était sur l'institut. Mais pourquoi se lamenter sur le mauvais temps ? Je savais que beaucoup de malheurs arrivaient à beaucoup de personnes et qu'on ne pouvait pas essayer de les éviter, ces malheurs. Alors, on pouvait toujours les ignorer. C'était ce que je faisais.

- C'est pas grave... J'ai encore un peu de mal à parler de lui, mais ça va passer, comme d'habitude !

Un peu de mal... A l'extérieur, oui, mais à l'intérieur, c'était autre chose. A chaque fois que je pensais à lui, je ressentais un pincement au coeur, mais quand je parlais de lui, une boule se formait dans ma gorge, et j'avais du mal à retenir mes larmes. Alors, quand je n'essayais pas, une seule larme coulait, prenant toujours racine à mon oeil droit. J'ignorais pourquoi, et je savais que je n'étais pas prête d'avoir une explication...

- Ce serait génial, mais je m'en voudrais de te priver de sommeil !

Ce serait génial de pouvoir s'entraîner avec quelqu'un ! Surtout que je trouvais Iris vraiment très gentille et surtout très sympathique !

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Je lui souris timidement car je n'étais pas habituée à ce que l'on me dis çà :
_Merci ! lui dis je gênée
Je me dirigeais vers le centre du gymnase et prit mes affaires en laissant mon sabre au centre, je les mit dans un coin, et revins au milieu, pour prendre mon sabre . Je le pris avec douceur, et l'apporta dans le coin où j'avais mise mais affaires . J'avais fais tout celà en silence, et je me retournais vers la jeune fille en souriant avec un peu plus d'assurance que la dernière fois :
_Ok ! Qu'es que tu veux faire ? Endurance ? Art martiale ? De la musculation ? Quoi ? Je suis prête à n'importe qu'elle sport !
Le vent c'était arrêté, l'orage était passé, mais la pluie continuée à marteller les fenêtre du gymnase :
_Tu es nouvelle ici ? En tout cas mois oui je suis arrivé il ya quelques jours avec ma grand-mère .
Cela me fit revenir au jour de mon arrivée à l'institutJe serrais une dernière fois grand-mère dans mes bras :
_Je t'appelle pendant le week-end ma chérie ! Allez vas y ! dit grand-mère avant de faire démarrer la lamborgini .
Je resté là à regarder la voiture s'en aller . Puis une petite pluie commençà à tomber et je rentrai dans le hall d'entrée . Le hall était désert, je serrai la bandoulière de mon sac de voyage, et regarda le hall, pourquoi grand-mère m'avait elle envoyé ici ? qu'es ce ? Je n'entendais aucun bruit, sauf la pluie qui tomber et le vent soufflait dans les branches des arbres ; ce lieu avait l'air d'être abandonné depuis peu car il n'y avait pas de poussière ni de toiles d'araignée, ou bien personne n'était là car les habitants devait être sortit . Je soupirais. Mais je revins vite à la réalité et je lui sourit de toutes mes dents en montrant sans le faire exprès je lui montrais mes canines qui ressemblaient à celles des vampires .

HRP : Bon, Iris, tes 5 derniers posts ne font pas 5 lignes pleines. Fais un effort s'il te plaît. Prends exemple sur Fluidia

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Ce que je dis à propos du fait qu'Iris était vraiment douée était sincère. Enfin, ce n'était pas ce que je regardais chaque jour à la télé, mais j'étais vraiment impressionnée !

- Je t'en prie !

Je vis Iris se ranger toutes ses affaires, sauf son sabre. Puis, elle revint s'occuper plus tard, uniquement, de son arme. Ce geste me renvoya à la question que je me posais en l'ayant vue déposer son sabre après son entrainement : Pourquoi avait-elle tant de respect pour un objet ? Enfin, ce n'était pas de si tôt que j'allais lui poser la question. D'ailleurs, si je l'aurait fait, elle aurait certainement été choquée car pour elle, cela devait couler de source. Je fermai donc, pour une fois, ma grande gueule et je me contentai de me taire en la regardant faire son petit "ménage" ! Quand elle eut fini, elle revint vers moi, avec autant d'assurance qu'auparavant. Houla, elle changeait très vite d'humeur !

- A vrai dire, j'avais envie de faire de la gymnastique, tout simplement... J'en ai pratiqué avant de venir ici, et ça me manque, parfois ! Mais si tu veux faire autre chose, on peut faire autre chose !

Petit mensonge... Juste un peu ! Mais je savais que cela passerait car j'avais un don inné pour le mensonge, et jamais personne n'avait su distinguer si je mentais ou non. En fait, la raison pour laquelle j'adore la gymnastique est que Matteo était carrément nul dans cette discipline sportive. Je me rappelle encore les cours de gym à l'école, où on devait faire des poiriers et ce genre de chose, mais Matt' n'y arrivait pas parce qu'il avait le dos aussi raide qu'une plance de bois ! Je souris. Enfin, en réfléchissant, ce n'était pas un mensonge, car je l'avais beaucoup pratiquée, la gymnastique, en essayant de rendre mon frère plus souple...

- Ca fait un peu plus d'un an que je suis ici...

Invité

Plusieurs sirènes d'urgence passèrent au loin :
_D'accord va pour la gymnastique, sa va me relaxée après les exercices de sabre que je viens de faire ! Au faite qu'elle sont tes pouvoirs ?
Le vent revint en force, les lumières s'étégnir d'un coup et je replongée dans mes souvenirs . J'étais avec deux amies, elles s'appellaient Marion et Maéva, elles étaient mais seules amies avec Robyn, Nathanaël et Sabrina . Ils étaient les seuls à ne pas avoir peur de moi, contrairement aux autres, qui me disais des méchancetés, qui forçait mon cadenas de casier, me piqué mes affaires, et disaient que je trichais ou que je regardais sur la feuille de mon voisin ou voisine en contrôle . Mes amis avaient le choix d'être rejetés des autres et de me soutenir . Donc j'étais avec elles en train de faire du shopping au centre commerciale, quand tous les lumières s'éteignir d'un coup, comme maintenant, puis il eu le silence ... Puis des pas sur ma droite je me retournée rien, j'étais devenu invisible sans le savoir, et mes amies étaient aussi invisible grâce à moi puis la lumière revint et la devant nous une trentaine d'hommes étaient là armés de mitraillettes et de lances-roquettes, ils étaient tous habillés en noir, un des hommes passa son regard malsain sur les personnes qui étaient avec nous . Je fis un signe à Marion et Maéva de reculer en silence jusqu'à la sortie de secours du magasins, et de me laisser seule avec les clients et les hommes en noirs . Je me concentrer donc pour la première fois, j'allais épargner des personnes . Je fermais les yeux . Je me concentrer donc à mon maximum, je respirais un bon coup . Les hommes ramassaient les bijoux et objets précieux, l'argents, des personnes . Je frappais mes mains, et une gigantesque onde sorti de mes mains . Je revins subitement à la réalité quand la lumière revint :
_Tu en fait beaucoup de la gymnastique ?

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