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 Lorsque des portes s'ouvrent d'autres se ferment [ Libre ]

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MessageSujet: Re: Lorsque des portes s'ouvrent d'autres se ferment [ Libre ]   Lorsque des portes s'ouvrent d'autres se ferment [ Libre ] - Page 3 Icon_minitimeLun 17 Jan 2011 - 18:19

Kaleigh s'échappa de l'étreinte qu'éxerçait délicatement Colossus. Elle entraina ce dernier vers un Motel qui était on ne peut plus passe-partout. Une très bonne planque, il n'y a pas à y redire quoi que ce soit.

Tandis qu'elle le tire par le bras, il retrouve sa forme humaine, ayant prit le temps, très soigneusement auparavant, de vérifier qu'il n'y avait personne qui pouvait les voir.

Mais avec un tel temps de chien, et à cette heure avancée de la nuit, il n'y avait absolument aucun risque. Il ne restait qu'à convaincre l'employé sur lequels ils allaient tomber qu'il n'avait vu personne entrer ce soir.

Ce qui fut aisé, l'aide de Benjamin Franklin y est sûrement pour beaucoup. Puis bon, qu'est-ce qu'aurait à redire l'espèce de concierge qui trainait là?

Rien de plus anormal qu'un couple prenant une chambre d'hotel en plein milieu de la nuit, non? Même leurs tenues pouvaient s'expliquer...

Enfin bref, après un petit ravitaillement, Stream et Colossus se dirigèrent vers la chambre 6. Puis la 9, car ce n'était pas la bonne!

- Nous y voila, dit alors Peter, qui était resté muet jusque-là.

Ils entrèrent dans la chambre, et quelle ne fut pas leur surprise quand ils découvrirent que cette pièce n'avait rien à voir avec le reste du bâtiment. Non, c'était pire, largement pire.

Les 100 dollars laissés par Kaleigh n'étaient là vraiment que pour acheter le silence du taulier, car il aurait été hors de question de payer pour une chambre comme celle qu'ils avaient sous les yeux.

Mais il y avait une salle d'eau, des draps propes, et une vieille télévision. On ne va pas se montrer trop précieux quand même.

Peter laissa passer Kaleigh devant, regarda dans le couloir que personne ne les épiait, et s'engouffra dans la chambre à son tour.

De la moquette orange de partout. Saud là où le mur est rongé par l'humidité... Un vieux fauteuil, dans lequel Peter prend le risque de s'installer, et depuis lequel il zyeutte l'ensemble de la pièce. La poussière ne semblait pas avoir été faite depuis... la mort d'Elvis Presley en 1977.

Le calendrier des pompiers de New-York datant de 1982 confirmait l'estimation de Piotr. Une vieille lampe de chevet sur une petite commode était juste à coté de lui. Il y déposa les canettes puis il alla fermer les volets avant de revenir s'installer et d'allumer la petite lampe.

Trempé, il dégoulinait sur le sol, et respirait lentement, mais de manière assez forte.

Il regarda Stream, qui portait toujours les chips.

- Je suis vraiment désolé pour cette fin de soirée... Puis les yeux de Peter se levèrent vers le plafond. Vision d'horreur? Un peu... Toiles d'araignées, fissures, et même un très vieux chewing-gum...

- Un jour, nous n'aurons plus rien à craindre de qui que ce soit...
Et appuyant ses coudes sur ses genoux, Peter haussa un sourcil quand son regard tomba sur la télévision.
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MessageSujet: Re: Lorsque des portes s'ouvrent d'autres se ferment [ Libre ]   Lorsque des portes s'ouvrent d'autres se ferment [ Libre ] - Page 3 Icon_minitimeLun 17 Jan 2011 - 19:04

Ce n’était effectivement pas la chambre 6 car un couple s’y trouvait déjà occupé et m’avait l’air même de s’éclater… j’avais eut l’air bête de rentrer comme ça mais la porte étant ouverte je n’ai pas vraiment réfléchis. Après avoir vu cette scène qui me fera sans doute faire d’horribles cauchemars, nous nous sommes rendu vers la chambre 9 qui était finalement la bonne. Heureusement, car je n’aurais pas supporté une autre scène d‘action entre deux vieux homo sapiens. Une fois la porte de la chambre numéro 9 ouverte, Peter m’a laissé entrer la première et s’est assuré que personne ne nous ait vu.

La chambre est minable, je déteste la couleur orange et il y a même d’horribles toiles d’araignée. Encore heureux que j’adore ces petites bêtes là. Les paquets de chips dans les bras, je m’approche de la commode et souffle par-dessus. La poussière s’envole et me pique les yeux. Ah ben… super la chambre je vais m’étouffer dans mon sommeil avec tant de poussière. Je garde un paquet de chips et lance les autres à coté de la télévision d‘un grand geste de la main comme si je lançais un frisbee. Il a eut raison de fermer les volets, manquerait plus que l’autre malade nous retrouve et fracasse cette vitre aussi ou tout simplement que quelqu‘un nous remarque. Je saute alors sur le lit en m’allongeant sur le ventre, les jambes en l’air, je fixe Peter et répond à ce qu’il vient de me dire.


- «  Ne t’en fais pas, c’est pas si mal. On a même de la compagnie » en levant la main vers les araignées «  Le lit est ni trop mou, ni trop dur… Maintenant, je dis pas qu‘en t‘installant tu ne le mettes hors service »

Je me mets à éclater de rire en lui adressant un clin d’œil. Je remarque alors qu’il regarde vers ce qui semble être une télévision en piteux état. Je rejette le paquet de chips sur le lit et m’approche de la télévision. Je tiens mes distances avec cette vieille chose et approche mon index du bouton d’allumage. 3,2,1 Hop! Je presse le bouton et… voilà… la télévision nous lâche et explose en provoquant juste un petit bruit comme le bruit d’un vieux pot d’échappement… ou enfait non, comme dans les aristochats, le vieux Edgard qui conduit une sorte d'horrible mobilette et bien le même horrible bruit... du genre, c’était mon heure, fallait que ca tombe sur vous.

- «  Empêche moi de mettre mes doigts sur autre chose que je pourrais casser »

Je fais un geste de la main pour dissiper l’odeur de bruler et m’en vais vers la salle de bain. Là, aussi je me méfie… quelque fois que quelque chose tomberait du plafond on sait jamais. Je passe ma main à l’intérieur de la toute petite pièce et touche quelque chose qui me semble être un interrupteur et oh! Oui, c’est bien l’interrupteur… les murs de la salle de bain sont recouverts de carrelages verts, quelle bonne idée comme ça cela évite qu’on puisse voir si s’est sale ou pas. Merveilleux… Je passe ma main dans le rideaux de douche, qui se retrouve dans ma main. Il s’est arraché alors que je ne l’ai à peine effleurer, faut pas déconner… mais à part ça, le reste semble convenable et il y a même des serviettes propres, quoi que j’aurais bien peur de m’en servir. Je jette alors le rideau de douche dans la baignoire et sifflote. Je fais marche arrière et éteins la lumière pour courir me jeter sur le lit, la tête enfuit dans l’oreiller.

- «  Tu peux te doucher à tes risques et périls. Je reprendrai non seulement les 100 dollars que je lui ai filé mais je lui en reprendrai même peut être 100 autres s‘il a ça dans sa caisse »

La tête toujours dans l’oreiller je me débats pour enlever ma veste que je lance dans un coin de la pièce mais qui retombe sur le sol et fait de même avec mon sweat qui lui malheureusement retombe sur la commode toute poussiéreuse. J’essaie maintenant d’enlever mes chaussures avec mes pieds, pas si simple mais j’y arrive après quelques secondes d’acharnement. Je fais un demi tour sur moi-même pour me retrouver sur le dos. J’attrape alors un oreiller et le lance de toute mes forces sur la tête de Peter.

De plus, chaque voiture qui passe dans la rue éclaire la chambre avec ses phares, mais quel endroit magnifique, ça donne envie de revenir. J’espère que les chips que je mange là ne sont pas passées de date sinon je gerbe la tout de suite sur le lit. Manquerait plus que le train ou le tgv passe non loin de là et fasse trembler les murs comme dans les films. Ahahah, très drôle. Non mais malgré tous les points négatifs il y a quand même du bon… genre heu… On est au sec. C’est pas si mal.
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Warren Worthington
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Warren Worthington


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MessageSujet: Re: Lorsque des portes s'ouvrent d'autres se ferment [ Libre ]   Lorsque des portes s'ouvrent d'autres se ferment [ Libre ] - Page 3 Icon_minitimeLun 17 Jan 2011 - 20:42

[HJ: y-a-t-il une petite chance pour qu'on vous retrouve?^^ Et je change de couleur vu que Lucas a quasiment la même que la mienne. ]

La pluie commençait à tomber, le jeune homme mécontent de cette nouvelle ébroua ses ailes, faisant voler l'eau partout, y compris sur le pauvre Lucas auprès duquel il s'excusa d'un signe de tête... Ce qui ne l'empêcha guère de recommencer quelques minutes plus tard, harassé par les sources du ciel qui semblaient décider à se déverser toutes entières sur eux. Les informations prises en compte, le blond hocha la tête, regardant dans la direction indiquée par Lucas, il commençait à douter de les retrouver facilement ces deux là...


-Vous avez leur description physique?

Demanda Warren d'un ton moins vif que tout à l'heure, prenant conscience qu'au point où ils en étaient, tout faire dans la précipitation ne servirait à rien. Ses paroles contrastaient fortement avec celles de Mr Bishop qui était relativement vulgaire. Angel ne comprenait pas tout par ailleurs, plus habitué à évoluer dans un milieu très élevé, ce qui ne signifiait pas pour autant que le jeune homme le méprise, juste qu'il devait décoder les phrases de son partenaire qui jurait comme un charretier. "Soviétique de mes deux?" est-ce que cela signifiait que l'homme ou la femme était d'origine russe? Probablement, bien... Ce serait plus repérable ça. Le mutant réfléchissait tout en ébouriffant son plumage une nouvelle fois afin d'éviter de l'alourdir avec la pluie ou d'attraper un rhume. Il regretta de ne pas avoir pris son manteau, m'enfin bon... Ils n'allaient pas rester là pendant 2 heures, parions donc que tout irait bien côté grippe. Le principal pour le moment c'était d'agir avec ordre, méthode et discrétion puisque la rapidité n'avait pas pu faire son office, malheureusement Lucas semblait aussi brutal que dans ses mots; mieux valait le réfréner même si Angel n'était pas certain que sa propre idée soit meilleure... Mais autant proposer, on verrait bien.

-Je pense qu'on devrait agir avec plus de diplomatie, ils sont dangereux et ont déjà fait des morts...

Il désigna comme preuve l'endroit totalement ravagé qui s'étendait sur un certain diamètre assez impressionnant à vrai dire.

-Vous êtes sûr qu'ils sont de la confrérie? Quant à l'idée pour les attraper, il vaudrait mieux demander dans le coin... Même si avec cette pluie les gens ne sont sûrement pas sortis. Y a-t-il des caméras de surveillance? Dans le poste de police peut-être? Au pire, appelons les médias et disons-leur que nous n'avons pas retrouvé les deux malfrats et que pour l'instant il n'y a aucune piste. Faire passer leur tête, même si on l'a dans le journal serait malheureux, ils se sentiraient en danger et pourraient encore tuer... Je propose de mener l'enquête discrètement. C'est plus long mais plus efficace.

Le jeune homme regarda ensuite la main de son partenaire former un poing et attendre quelque chose. Le "ça roule" ou la tape dans le dos façon "mon pote" n'était pas du tout le style de Warren, du coup il resta un peu bêtement à se demander ce que souhaitait Lucas avant de saisir en se rappelant que les jeunes faisaient parfois ça entre amis. Gêné il présenta sa main et fit à peu près la même chose que Lucas, il essayait de s'adapter mais ces familiarités étaient difficiles pour lui... Même avec Kurt qu'il connaissait depuis des années et appréciait plus que n'importe qui. Enfin en tout cas on voyait bien qu'il ne méprisait pas Mr Bishop, c'était juste une question d'éducation.

-Allons-y, et vous avez raison, soyons solidaires.

Reprit le mutant ailé pour résumer la situation d'une façon un peu plus "classe" que Lucas avant de revenir à leur sujet principal: la traque aux méchants de la Confrérie.

-Vous avez des preuves qu'ils appartiennent à la confrérie? Autant en réunir le plus possible pour les mener devant la justice ensuite... Si on les attrape bien sûr; il faut faire ça bien pour éviter que le gouvernement ne mette tous les mutants dans le même sac encore une fois... Et sinon, vous aviez prévenu quelqu'un d'autre que moi par hasard?

Demanda-t-il calmement en finissant par aller s'abriter sous un toit non loin, ah enfin... Il était au sec! Enfin presque... Ses plumes étaient complètement détrempées elles et le mutant soupira en pensant qu'il venait justement de sortir de la douche juste avant, vraiment ce n'était pas pratique... Ce disant il sortit son téléphone portable très perfectionné et commença à prendre des photos du lieu et des vidéos au cas où si la police les empêchait de continuer leur enquête ensuite sous prétexte que les deux mutants étaient sous leur juridiction ou que la pluie efface d'éventuelles traces voir un autre événement imprévu.
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MessageSujet: Re: Lorsque des portes s'ouvrent d'autres se ferment [ Libre ]   Lorsque des portes s'ouvrent d'autres se ferment [ Libre ] - Page 3 Icon_minitimeJeu 20 Jan 2011 - 6:11

Non... ces deux confréristes m'avaient filé entre les doigts. Combien de temps étais-je resté coincé dans les tas de ferrailles? Je n'avais jamais lâché aucun fugitif de toute ma vie, et voilà qu'aujourd'hui, tout ce que je savais faire, tout ce que j'avais... comme si c'était devenu vague et sans importance. J'avais failli. Je comprenais maintenant, au moment où Warren cogna mollement son poing sur le mien.

Mon regard traîna dans le vide, l'espace d'un instant, tandis je lui répondais:

- Oui, je... un homme, deux mètres trente, 28 ans, cent vingt kilos, blanc, origine russe, cheveux noirs, peu vêtu, ayant le pouvoir de recouvrir son corps d'une couche de métal, nom de code: Colossus, celui dont on nous avait parlé dans les réunions, c'est un des acolytes de la Conférie. L'autre, une fille, 22 ans, 45 kilos, un mètre soixante, latina, cheveux noirs, ayant le pouvoir de générer des ondes de choc...

-Je pense qu'on devrait agir avec plus de diplomatie, ils sont dangereux et ont déjà fait des morts... Vous êtes sûr qu'ils sont de la confrérie? Quant à l'idée pour les attraper, il vaudrait mieux demander dans le coin... Même si avec cette pluie les gens ne sont sûrement pas sortis. Y a-t-il des caméras de surveillance? Dans le poste de police peut-être? Au pire, appelons les médias et disons-leur que nous n'avons pas retrouvé les deux malfrats et que pour l'instant il n'y a aucune piste. Faire passer leur tête, même si on l'a dans le journal serait malheureux, ils se sentiraient en danger et pourraient encore tuer... Je propose de mener l'enquête discrètement. C'est plus long mais plus efficace.

Il cogna.

-Allons-y, et vous avez raison, soyons solidaires. -Vous avez des preuves qu'ils appartiennent à la confrérie? Autant en réunir le plus possible pour les mener devant la justice ensuite... Si on les attrape bien sûr; il faut faire ça bien pour éviter que le gouvernement ne mette tous les mutants dans le même sac encore une fois... Et sinon, vous aviez prévenu quelqu'un d'autre que moi par hasard?

- Je...

Je m'effondrai sur un banc public sur le trottoir juste à côté de moi, la tête entre les mains, regardant vers le sol. Je prêtais toujours orreille attentive néanmoins.

- Pour Colossus, ils ont déjà une pile de dossiers sur lui, sa tête est mise à prix pour 200 000 tomates, on a juste à lui mettre le grappin dessus, ils savent qu'il est de la Confrérie, il a déjà été condamné, il s'est échappé du Cube, qu'ils ont dit aux infos... pour la fille, suffira de prouver avec les témoins qu'elle a bel et bien participé au massacre au Silent Club, et à l'heure qu'il est, les enquêteurs ont dû relever toutes les empreintes nécéssaires. Et c'est fort probable qu'ils les aient eu par caméra surveillance quelque part dans la boîte. Y avait vraiment beaucoup de témoins. Ça ne sera pas difficile de les accuser.

Je relevai la tête et regardai mon partenaire.

- Les relations média, ça ne devrait pas être un problème pour toi, partenaire, tu sembles être quelqu'un de populaire. Je... je suis arrivé quelques minutes après qu'ils se soient enfuis du Silent. J'ai demandé ce qui s'est passé à une des victimes, et je les ai traqués jusqu'à leur voiture, où je les ai pris par surprise et contraint de chauffer jusqu'au poste de police. La voiture est tombé en panne et à ce moment, la fille a fait explosé mon arme et l'autre a balancé la voiture sur les intercepteurs de police.

Je regardai mes mains... une faite de métal, l'autre tenant mon arme... puis regardai Warren à nouveau, d'un regard empli de regets.

- Warren, je... je les tenais. Tu comprends? C'était dans la poche, j'étais à trois cent mètres du poste, trois cent mètres de plus et ça y était, ils étaient sous les verrous pour de bon... et voilà, parti, ils sont peut-être en train d'égorger un tas d'innocents à l'instant même où on se parle... à cause de mon échec...

Je ne savais trop que penser... il fallait les retrouver. Je me relevai tout doucement.

- Pardon, Warren, j'devrais pas t'embêter avec mes états d'âmes, c'est mon problème...

C'en était trop, je fermai les yeux, plissai les paupières, serrai les dents et me mis à grogner... Puis relâchai sous forme d'un rayon destructeur immense, l'énergie que j'avais emmagasiné.

- RAAAAHHH!!!!!

BLAST!!!


Le rayon lumineux immense était dirigé vers le ciel, histoire d'attirer les policiers. Je poussai un grand soupir et me laissai retomber sur le banc par après. Tout en soupirant et rengeant mon arme,

- Désolé, c'était pour attirer les policiers. On leur fait notre témoignage et on repart en chasse, ils vont s'occuper de faire le message aux médias. Avec les dossiers qu'ils ont et le dossier du Silent ce soir, on a assez de preuve pour les accuser. Restera qu'à aller les coffrer...
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MessageSujet: Re: Lorsque des portes s'ouvrent d'autres se ferment [ Libre ]   Lorsque des portes s'ouvrent d'autres se ferment [ Libre ] - Page 3 Icon_minitime

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