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 Front de Libération des Amis Mutants (FLAM) (PV Slang)

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Robert Mercer
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MessageSujet: Front de Libération des Amis Mutants (FLAM) (PV Slang)   Front de Libération des Amis Mutants (FLAM) (PV Slang) Icon_minitimeJeu 28 Avr 2011 - 2:32

Il était bientôt 17h. À l’intérieur du bâtiment il y avait au moins une dizaine de types armés. Surement plus même. Le siège durait depuis déjà quelques heures et les policiers anti terroristes de NY étaient déployés stratégiquement. Un hélico tournait en rond au dessus du bâtiment de 5 étages. Le négociateur en chef, un certain Matt Favre, avait conclu un marché et il libérerait les otages si on leur fournissait un bus pour s’enfuir… C’était pourtant un négociateur d’expérience et il aurait bien fait de plus se méfier de ces preneurs d’otage. En fait, lorsque plus d’une dizaine de types armés sont assez fous pour prendre d’assaut un hôpital et menacer des milliers de malades chroniques, il faut immédiatement comprendre qu’on parle à des types irrationnels. Personne ne devient riche à volé un hôpitaux ou puissant en volant les quelques caisses de médicament disponibles. La raison devait être tout autre. Pourtant la police s'était enlisée dans ce piège et suivait aveuglément les négociations. L’hôpital général juif de NY comptait près de 300 patients présent dans le bâtiment central. Il fallait en plus ajouter les chercheurs et les employés et on avait environs près de 3000 otages potentiels. Bien sure, des centaines de victimes avaient fuient au début de l'assaut et c'est pour cela qu'on ignorait combien étaient encore prisonnier. Le bâtiment datait de la fin du 19e siècle et était dans un état impeccable. La pierre grise était somptueuse et une vigne grimpait par-ci par-là. Devant la façade, il y avait d’imposants chênes plusieurs fois centenaires. Les portes d’entrée étaient solidement gardées par des mecs.

L’autobus fut livré avant le délai de 17h. Les policiers le stationnaire devant la porte principale et se reculèrent. Rapidement, des médecins, visiblement sous le choc et la menace, sortir avec des civières. Chacun entassait les patients dans le véhicule. La logique était simple, les terroristes allaient apporter une garantit avec eux une garantit comme quoi il ne se ferait pas suivre. Dans l’autobus, il y avait donc 8 ou 9 lits en plus des 8 ou 9 médecins qui les avaient placés là. Finalement, un premier terroriste sortit. Un véritable mastodonte de près de 2m30 et pesant au moins 200kg. Tout son corps était immense, mais ses mains étaient particulièrement surdimensionnées. Elles fessaient bien une trentaine de centimètres de large par une quarantaine de centimètres de long. Des véritables raquettes de tennis. Il s’avançait vers les escaliers d’un pas lent, mais ponctué visiblement de rage. Ses cheveux étaient longs et noirs, il portait une couette et pourtant celle-ci caressait aisément ses fesses. Comme chacun des terroristes, il avait enfilé une blouse de médecins, mais sa sur dimension lui donnait un air presque ridicule de Hulk. Il avait même dû en arracher les manches pour sortir ses énormes mains. Il sortit une feuille de sa poche de pantalon et commença à lire péniblement :

-Nous, le Fro… Fronnnnt de Libé..Béération des Amm..mis Mutants (FLAM), allons libébébé. Libéré les mumu Mutants de la me…naces hu…ma… Maiin…Es.

Il prit son souffle et reprit sa pénible lecture en fronçant parfois ses sourcils démontrant d’importants problèmes de lecture.

-Iiicii, à l’hosssspitalE de NY… Des exxx… pé..ri..ence sont fait pour saccc..saccccriii… saccccriiifiiier les amiiis mumu…Mutants. C’est pour ce..là qu’au.. jour..d’hui vvvouusss de…vee..néé les sujjjjets… de vos ex…pé…ri..encEEs.

Visiblement soulagé et fier de son exposé il rangea doucement son papier dans sa poche arrière. Il fit un pas de plus et prit un grand élan avec ses bras. Ses mains claquaient ensemble avec une violence extraordinaire. Une explosion équivalente à 3 ou 4 kg de dynamite fut produit et des débris volèrent en éclat. L’autobus fut projeté dans les aires et atterrit sur le côté. Les voitures de police qui étaient le plus près de lui connurent le même sort. Sur le sol, on voyait ici et là des policiers étourdis ou blessés. Certain même gravement. Les vitres avaient volé en éclats et ne nombreux témoins avait été blessé par les projectiles. Il était trop tôt pour déterminé les victimes exactes, mais il était évident qu’aucun des passagers de l’autobus ne pouvait s’en être sortit indemne. Le colosse semblait avoir évité les effets de l’explosion excepté qu’il avait maintenant une petite mèche de cheveux qui lui glissait devant les yeux. Il retourna dans le bâtiment alors que les agents de la paix étaient encore sous le choc. Les policiers réalisaient enfin trop tard que ce n’était pas de simple terroriste radical, mais qu’ils étaient tous des mutants puissants dévoués à leur cause.

Le négociateur Favre n’avait plus vraiment le choix : la menace était trop imposante pour la police de NY, le BAM devait prendre l’affaire en main. Le FLAM avait prouvé tout son sérieux et sa dangerosité. Les autorités voulaient à tout prit évité de nouvelles victimes, de plus que ces agresseurs menaçaient encore des milliers de vies. Il prit donc son cellulaire et appela directement le bureau du BAM pour qu’ils accourent en renfort.
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Lucas Slang
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MessageSujet: Re: Front de Libération des Amis Mutants (FLAM) (PV Slang)   Front de Libération des Amis Mutants (FLAM) (PV Slang) Icon_minitimeSam 30 Avr 2011 - 13:22

17h30 tout le quartier général est en alerte. Situation de crise au sommet, l'ensemble du personnel est convoqué en salle de réunion. Lucas qui pensait pouvoir quitter tranquillement son bureau à 18h00, prend conscience que ce n'est pas encore pour aujourd'hui. Après un briefing rapidement sur la situation et visionnage des images prises le général passe ses ordres.

"Nous devons agir vite et bien. Il ne faut absolument pas que le nombre de victime augmente,. Les forces de l'ordre compte sur nous pour juguler cette attaque."

Lucas n'avait pas perdu une miette de ce qu'il se passait.*Punaise quelle grosse brut.* Il lui était apparut clairement que l'individu était un mutant quoi qu'il était difficilement dissimulable même pour des personnes n'ayant pas ses capacités.*Pitoyable le discourt, punaise encore un mutant illettré, on va encore passer pour des monstres assoiffés de sang sans aucune culture.* Cette vision que les mutants pouvaient être des sous hommes l'irritait toujours au plus au point. Lucas n'avait cependant pas prévu ce qui allait suivre.

"Mercer, vous partirez en repérage avec Slang pour évaluer la situation. Il nous faut un topos rapide de ce qu'il se passe sur place. Vous êtes les plus qualifié pour cela. S'il vous est possible de la maîtriser faite le, mais ne prenez pas de risques inconsidérés sur place. Limitez surtout les victimes. Nous préparons d'ores et déjà le renfort d'équipe par des Mandroides. Vous partez dans quinze minutes."

Lucas fit presque une sursaut quand il entendit son nom. Il détestait qu'on l'appelle uniquement par son nom. Il avait fini par s'y habituer à ces bruts de militaire, mais il ne pouvait pas nier que cela l'agacer royalement. Lui a qui on avait montré dans le passé plus de respect par grâce à ton titre d'avocat était logé à la même enseigne que les agents. Ce qui des fois avait un net tendance à l'agacé, il avait vite compris qu'il devait rentrer dans le moule. *Punaise, pourquoi moi... Bah oui tu sais bien c'est pas pour tes beaux yeux.* Lucas n'aimait pas être en première ligne de front. Ce n'était clairement pas sa spécialité de prédilection. Non lui préférait jouer les grattes papiers, mais depuis qu'il avait rejoint le BAM, il était confronté de temps en temps à ce genre d'action sur le terrain. Si le BAM l'avait recruté c'était pour ses dons de mutant. Il avait un sacré avantage sur ses congénères en général ce qui faisait de lui un allié de poids sur le terrain. *Cela ne servirait à rien de discuter obéit bien sagement.* Lucas se rendit donc dans les vestiaires et enfila un gilet de protection, puis il prit son arme de service. Il était rodé depuis quelques temps aux exercices, mais il n'avait jamais cru devoir être confronté si vite à ce genre de dérapage. Il rejoignit donc le véhicule qui lui avait été attribué à lui et à son coéquipier.

"Bonjour, nous faisons équipe pour ce jour. Je crois qu'il n'y a pas trop de temps à perdre. Allons y."

Sans demander son reste Lucas monta dans la voiture banalisé, qui partit sur des chapeaux de roue en direction de l'hôpital. Lucas n'avait pas souvent l'occasion de côtoyer ses collègues de terrain, effectivement en général il était la plus part du temps employer pour ses qualité d'avocat et on ne lui demandait que rarement d'aller sur le front. Son rôle bien souvent était de monter les dossiers d'accusation pour l'état.
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Robert Mercer
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MessageSujet: Re: Front de Libération des Amis Mutants (FLAM) (PV Slang)   Front de Libération des Amis Mutants (FLAM) (PV Slang) Icon_minitimeLun 2 Mai 2011 - 15:48

Il était 17h30 et Robert enfilait déjà son imperméable pour allez se chercher de quoi se mettre sous la dent. Son ventre criait famine depuis plus d’une heure et les 2 sacs de croustilles achetées dans la machine automatique n’avaient rien changé. Alors qu’il descendait lentement les marches, un agent l’informa qu’il y avait une réunion d’urgence. Il jeta un coup d’œil au petit kiosque à hotdog de l’autre côté de la rue et raisonnablement il remonta les marches. Les gens presser, tendu et stresser le dépassait essaiment. Chacun stipulait et élaborait leur propre théorie expliquant l’alarme. Son pas était lent comme à son habitude, et ce, malgré tout le stress.

L’agent Mercer fut l’un des derniers arrivés et il prit position au fond de la sale. Les informations furent distribuées à la hâte. Le projecteur présenta les premières images de l’attaque. Les discours avaient été d’une très faible qualité, mais Robert attira son attention sur le nom du groupe : Le Front de Libération des Amis Mutants. Un nom enfantin et ridicule. Rapidement, Robert se remémorait les dossiers sur les organismes terroristes.

*Front de libération des Amis mutants (FLAM): organisation terroriste ….*

Il n’avait conservé aucune info sur ce groupe et c’est pourquoi il conclue qu’il devait s’agit soit d’un groupe marginal et petit ou d’un prête-nom. Robert a la vue des images pouvait déjà remarque plusieurs autres terroriste dans les fenêtres et leur organisation semblait trop imposante pour être l’œuvre de jeunes anarchistes mutants. La théories du prête nom ou qu'une autre organisation manipulait celle-ci était donc à retenir.

L’hôpital était un lieu très particulier pour tenter une attaque terroriste. Les buts visés étaient inévitables de créer un profond sentiment d’insécurité. C’était d’ailleurs peut-être pour cela que le groupe avait attendu l’arrivée des médias et des policiers pour démontrer leur capacité destructrice. Ce type de bâtiment est très difficile à protéger compte tenu de ses dimensions et de ces nombreuses pièces, portes et fenêtres. Il serait assez facile de s’y introduire selon Robert.

Le Général forma l’équipe d’exploration : Mercer et Slang. Il avait lu le dossier de cet agent et il se remémora ce dont il se souvenait:

* Nom : Slang
Prénom : Lucas
Fonction : agent du BAM – Avocat de formation
Mutation : Capacité à affecter le génome X*


Rapidement il comprenait la logique du Général de vouloir rapidement désarmer les mutants terroristes avec cet agent. L’expérience en infiltration de Mercer était cruciale, mais le succès de la mission reposait sur son coéquipier et sa capacité à mettre hors combat les agresseurs.

Une fois la réunion ajournée, Robert passa par le vestiaire pour récupérer une arme un gilet de protection. Il s’habilla en toute hâte et quitta le vestiaire rapidement. Pourtant, il arriva quelque peu après son coéquipier devant le véhicule de service. Dans la main gauche, il avait trois gros hotdogs généreusement garnis. Sa bouche pleine et la tache sur sa veste pare-balle laisser croire qu’un des hotdogs avaient déjà été engloutit. Amicalement et la bouche pleine il tenta de se présenté :

-L’agent Robert Mercer…

Et il tendit sa main préalablement essuyée sur son pantalon. Croyant nécessaire qu’il mange pour conserver sa forme lors de l’opération, Robert lui offrit un hotdog :

-Slang, vous voulez un hotdog? Vous aurez besoin de ses 400 calories et 42g de glucide pour rester efficace

Robert détenait un esprit terriblement mathématique et les informations qu’il apprenait prenaient la place que ses émotions laissaient. Robert prit le volant et il fit un départ canon malgré que sa main gauche fût complètement inutilisable. Robert en plus de devenir insensible il devenait involontairement très difficile de lui d’interagir avec les autres. Leur base de référence devenait si différente que les échanges étaient difficiles :

-Alors Slang, comme ça vous êtes avocat et vous pourrez donc nous protégé s’il nous attaque en justice!

Les tentatives de Robert de faire de l’humour pour démarrer une conversation était souvent trop cynique pour ne pas blesser les interlocuteurs. Son visage extrêmement neutre et sans émotion ajoutait un ton trop sérieux et rendait ses propos encore plus sanglant. Le trafic était dense et les manœuvres de conduit étaient dangereuses et terrifiantes. La vitesse était importante et les raccourcis fréquent. Pratiquement tous les codes de la route furent violés durant le trajet. Robert gardait pourtant un air beaucoup trop détendu comme s’il conduisait dans un stationnement le dimanche matin. L’unité fut le premier rendue malgré leur départ un peu plus tardif.


Dernière édition par Robert Mercer le Dim 8 Mai 2011 - 0:59, édité 1 fois
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Lucas Slang
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MessageSujet: Re: Front de Libération des Amis Mutants (FLAM) (PV Slang)   Front de Libération des Amis Mutants (FLAM) (PV Slang) Icon_minitimeMer 4 Mai 2011 - 21:03

Lucas avait bien sûr serré la main que lui avait tendu son coéquipier, même si cette main grasse n'était pas du tout pour lui plaire.*Beurk, des vrais rustres.* Lucas n'était pas un homme précieux, cependant des années à côtoyer le gratin de la société forcément cela avait fini par déteindre sur l'avocat qui avait du mal à se faire totalement à son nouvel environnement. Il n'était ici comme la plupart des forces de police ou de l'armée. Il lui arrivait d'avoir l'impression d'être dans la quatrième dimension parfois tellement il se sentait décalé. Quoi qu'il en soit Lucas savait prendre sur lui pour ses petits riens. Surtout grâce à son métier d'avocat il avait au fil du temps appris à ne pas laisser transparaître ses sentiments. C'était très important dans ce métier de rester neutre quelques soient les faits reprochés à un client. Ici il mettait en pratique ce concept. Lucas avait bien évidemment refusé très poliment le hotdog qu'on venait de lui proposait. Il avait prétexté qu'il avait déjà prit un repas trop copieux. Si l'avocat avait fait beaucoup de concession pour s'intégrer il ne fallait quand même pas pousser le bouchon trop loin. Lucas avait été habitué à un certain standing, s'il avait fait une croix sur les petits fours et le champagne, il n'était quand même pas au point d'engloutir n'importe quoi.*Monsieur Slang ou bien maître se serait trop demander? Un simple monsieur je prendrais.* Il savait que c'était la façon dont on s'appelait ici. Ce qui ne l'empêchait pas de trouver cela trop familier à son gout. *Je vais pas révolutionner le système. Va falloir t il faire mon pauvre vieux.*
Lucas n'avait pas spécialement envie d'être confronté à la réalité du terrain. Il allait voir si toutes ces semaines d'entrainement allaient lui servir. Visiblement son partenaire avait l'air plutôt cool et sur de lui puisque ce dernier essaya de faire un trait d'humour.

"Effectivement cela peut toujours servir, mais je pense que c'est plutôt eux qui auront besoin d'un bon avocat quand on aura mis la main dessus."

Lucas ne fit pas réellement attention à la route, la vitesse excessive n'était pas pour lui déplaire.

"Avez-vous un plan d'action?"

Après tout c'était son partenaire l'homme de terrain. Lucas voulait savoir si ce dernier avait déjà une stratégie. En tout cas l'équipe de choc arriva enfin sur place. Lucas descendit du véhicule. Il constata déjà l'étendu des dégâts, c'était post apocalyptique. Lucas se dirigea donc vers les officiers en service retranché derrière leur véhicule.

"Bonjour, j'aimerais voir le négociateur Favre."


l'agent en faction lui indiqua un homme un peu plus loin, visiblement l'air tendu. D'un pas décider et sur de lui Lucas se dirigea vers ce dernier. Il avait besoin de connaitre la situation exacte pour pouvoir évaluer la situation.

"Bonjour, nous sommes les agents du BAM. Savez vous combien de mutants sont retranchés au sein du bâtiment? Si vous avez des informations sur eux nous sommes preneur, avant d'aller nous jeter dans la fosse au lion."

Cette perspective n'était pas spécialement pour l'enchanter. Il savait qu'il était le seul pour l'instant à pouvoir neutraliser leur génome et du coup leur pouvoir.
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MessageSujet: Re: Front de Libération des Amis Mutants (FLAM) (PV Slang)   Front de Libération des Amis Mutants (FLAM) (PV Slang) Icon_minitimeVen 6 Mai 2011 - 1:09

Alors que la voiture filait à bon train, les agents discutaient de leur première hypothèse sur le sujet :

-À moins qu’il ne soit un armé, il ne devrait pas être trop compliqué d’entrer dans le bâtiment. C’est le type de forteresse le plus difficile à protéger, les portes et les fenêtres sont trop nombreuses pour être tous contrôlé…

C’était une conclusion logique basée sur une solide expérience. Après un court silence, il osa lui dévoiler une théorie moins évidente et plus intuitive :

-Personnellement, je n’y crois pas à cette organisation, le FLAM… c’est trop… illogique.

La logique était un moteur de raisonnement pour l’ancien agent de la CIA. Son cerveau mécanique était dénué de tan d’émotion que réflexion émotionnel lui était impossible. Calmement, alors que les manœuvres de conduite défilaient à un rythme prodigieux, sa voix lente établit quelques faits :

-Le FLAM n’est même pas répertorié dans nos fichiers… Une organisation naissante cherchera à s’enrichir ou à faire un acte plus petite pour se former. Un attentat de cette grandeur simplement pour un message diffusée dans les médias est certainement l’œuvre d’un commanditaire beaucoup plus puissant.

De peur que sa théorie soit rapidement rejetée, il précisa qu’il était trop tôt pour être sur de rien.

Une fois arrivé à destination, Lucas trouva facilement le négociateur Favre et s’informa de la situation. Le négociateur lui présenta les faits avec sa voix était usé par le tabac. Le timbre était nerveux et on sentait déjà une importante fatigue. :

-Le siège dure depuis plus de 3h. C’est l’un des terroristes, une voix féminine et déterminée, qui a fait l’appel comme quoi il venait de prendre le contrôle de l’hôpital. Au début on croyait à une plaisanterie, mais une fois sur place… Vous avez vu les images…

Il s’alluma une autre cigarette alors que celle qu’il fumait brulait encore et reprit son bilan :

-On a sorti quelques blessés des décombres, mais le plus gros reste à faire; on manque d'ambulance... On a identifié 11 terroristes, mais ils ont revêtu des habits du personnel et on ignore combien d’autres sont cachés. Vous avez vu le gros qui a renversé le bus, et bien je viens de recevoir son dossier. Il s’appellerait Bill Bushman, un criminel notoire qui a passé la majorité de sa vie en prison pour des petits délits… Ceci fait moins de 7 jours qu’il avait repris une liberté surveillée. Ce mec s’est tout dans les muscles rien dans la tête, imaginez suite a un vole de banque, on la chopper dans une épicerie où il tentait de volé un pack de bière… Le commerce était à moins de 300m du lieu du crime… L'appel a été placé par une femme, mais nous recevons régulièrement des appel des terroristes masculins qui nous demande l'impossible. Ils ont demandé un milliard de dollar, quelques minutes plus tard c'était pour qu'on leur livre des centaines de pizza au chocolat et des marinades ou encore des jeux vidéo... Aucun appel de la part de la femme... Depuis que nous avons fait l’appel chez vous, nous tentons de répondre à leur exigence, mais elles ne sont pas réalistes… dit-il péniblement.

Pendant de l’agent Slang parlait avec Favre, Mercer parcourait les lieux et tentait d'établir une stratégie. L’entrée principale était solidement gardée et plusieurs agents armés étaient facilement repérables. Par contre rapidement, un œil expérimenté remarquait que de nombreuses fenêtres et portes semblaient complètement libres. Les arbres volumineux, les véhicules, les débris et les angles morts permettraient de gagner un point d’entré sans même se faire remarquer. L’entrée sur le site était sommairement réglée, mais un plan du bâtiment principal permettrait d’approfondir sa stratégie. Robert alla rejoindre son coéquipier et Matt Favre. Les autorités sur place avaient peut-être le plan et il pourrait le consulter avant de mener l’offensive. Robert remarqua aisément les plans sous le bras du négociateur et lui extirpa brusquement sans même chercher à lui demander la permission. Mercer voyait bien que le négociateur était fatigué et dépassé par les évènements et que son jugement semblait être rendu lent. Le plan était beaucoup plus utile dans ses mains que dans ceux du négociateur. La Machine s'était montré encore une fois très antipathique et sans compassion devant un homme bien intentionné qui avait malheureusement échoué. Favre eu l'impression qu'on lui enleva un poids lorsque le plan lui glissa du bras et il se senti soulagé.

Alors que le bilan de la situation tirait à sa fin, un agent de police vient porter un cellulaire et le tendit à Favre. Exténué, il préféra donner l’appareil à Slang et il s'alluma une nouvelle cigarette avant de se retiré du groupe.
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Lucas Slang
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MessageSujet: Re: Front de Libération des Amis Mutants (FLAM) (PV Slang)   Front de Libération des Amis Mutants (FLAM) (PV Slang) Icon_minitimeDim 8 Mai 2011 - 14:32

Lucas jouait son rôle d'agent le mieux possible. Il n'était pas spécialement habitué à ce genre de situation, c'était son épreuve du feu en quelques sortes. Il n'avait pour l'instant traité que des dossiers mineurs, ce qui au fond l'avait plutôt arrangé. C'était quelques choses de se préparer à être sur le terrain, c'était une autre réalité d'y être. Quoi qu'il en soit il collecta les informations que venait de lui donner le négociateur. * Ok complètement dépassé le pauvre type.* Lucas admettait que la situation était délicate.

"Fort bien, merci des renseignements."*Tu parles, il sait quasiment rien. Super on va se jeter dans la gueule du loup sans info concrète. Quelle bande d'incapable. Je comprends pour l'état a eu besoin d'une nouvelle structure.*

Pendant que Lucas pestait intérieurement tout en gardant son air neutre, il esquissa un petit sourire quand il vit son collègue prendre la carte sans rien demandé. *Lui au moins il ne fait pas de chichi.* Lucas ne s'attendait pas à ce qui allait suivre qu'on lui refile clairement le bébé en lui donnant le téléphone.*Et heuu je ne suis pas négociateur et merde.... bon et bah va falloir la jouer fine. Punaise, dans quel bordel je suis.*Lucas ne dit rien, il prit donc le téléphone qu'on lui avait tendu.

"Allo!"

Il laissa son interlocuteur parler, faisant seulement quels sons en signe d'accord

"Oui, non c'est avec moi que vous allez désormais négocier. Oui je vous écoute."

On lui avait donné le BABA, d'abord écouter pour essayer d'en apprendre un maximum. Puis aller dans le sens souhaité, ou du moins le faire croire.

"Oui, ok, j'en prends bonne note. Ok...il nous faut un peu de temps. Une heure... c'est trop peu...ok, je verrais ce que je peux faire."

Puis il raccrocha.

"Bon ces malades voudraient un hélicoptère d'ici heure sur le toit et ils voudraient qu'on leur apporte des fraises. Pas de femme au téléphone, c'est une voix assez grave que j'ai eu. J'ai essayé de gagner un peu de temps. Leurs demandes sont totalement incongrues."*Encore des dingues.*

Lucas espérait que pendant ce temps son coéquipier trouve un plan d'action. Lucas se doutait qu'il fallait agir vite et bien ou s'il était possible de les ramener sur le chemin de la raison. Il avait peu de temps avant que ce groupe de fanatique ne rappelle. Il devait les avoir pas surprise.

"Alors, on rentre par ou? un plan? je vais leur faire parvenir leurs fraises histoire de les faire patienté. Histoire qu'on leur montre que nous sommes de bonne volonté."

Lucas n'était pas négociateur, il ne savait pas trop comment agir, il savait qu'il ne devait pas céder aux exigences des malfrats cependant si quelques barquettes de fraises pouvaient leur faire gagner un peu de temps c'était toujours cela de pris. Lucas s'éloigna un instant le temps de passer sa commande, puis il revient. Il attendait maintenant les instructions de l'homme de terrain. Il jeta un rapide coup d'oeil sur le plan. Il voyait plusieurs portes qui servaient d’accès. Ce bâtiment n'était clairement pas le meilleur endroit pour se retrancher.

"C'est loin d'être une forteresse intouchable, curieux."

Cette histoire le laisser perplexe, il était possible que Robert soit sur la bonne piste.

"Et si c'était pour faire diversion? Nous leurrer pour une action plus importante ailleurs."

Pour Lucas s'était un stratagème pour noyer peut être le poisson. Il fallait cependant intervenir pour les otages présents dans le bâtiment.
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MessageSujet: Re: Front de Libération des Amis Mutants (FLAM) (PV Slang)   Front de Libération des Amis Mutants (FLAM) (PV Slang) Icon_minitimeLun 9 Mai 2011 - 23:26

La jeune femme flottait tranquillement largement au dessus de New-York. Tamara se rapprochait lentement de la prise d'otage qui avait lieu dans un hopital. Elle flottait, sifflotant, comme si la vie était belle. Ce n'était pas le cas. Cela faisais beaucoup trop longtemps qu'elle même et sa race était prise dans un cercle infernal de mauvais traitement et de dénigrement. Elle, et le groupe avec lequel elle travaillais, allait faire changer cela radicalement. Plus de gouvernement pour s'ingérer dans les affaires du peuple mutant, plus de haine à cause d'un simple gène différent, seulement un monde de liberté et d'extase. Voilà ce pourquoi ils travaillaient tous et aujourd'hui, ils lancent la première de leurs attaques sauvages. Ils se sont fait nommés par des idiots, c'est vrai, mais c'était nécessaire. Personne ne devait connaître leurs réelles identités avant que tout soit bien en place.

La jeune femme pouvait maintenant voir le périmètre de sécurité et tout ce qui venait avec. Un petit rure fusa entre ses lèvres. Ce gouvernement était si fière de ses forces de l'ordre mais aujourd'hui, ils n'allaient pas faire belle figure. Ils auraient dut mieux observer le ciel. Malgré tout, ils ne l'auraient peut-être pas vu étant donné la distance dont elle pouvait se garder pour ne pas prendre de risque. Elle se posa sur un bâtiment assez éloigné, elle ne voyait au final que peu de parties du bâtiment vus l'angle, mais le défilé de voiture de police lui, était en pleine vue. Un sourire se figea dans le visage de Tamara alors que l'action terroriste, la véritable, eus lieux.

On aurait put croire à l'éruption de trois volcans simultanément. Trois bombes, cachées dans les égouts, venaient d'exploser. 7 voitures de polices, en tout, étaient balancés dans un sans ou dans l'autre. Des hommes morts, ça devais se compter en dizaines et, pour le plus grand plaisir de la mutante, ne comptais que des membres des forces de l'ordre. Évidemment, plus de bombes auraient fait plus de dégât mais ils ne voulaient pas prendre trop de risque d'être découvert. Au final, le quart de la ligne du périmètre avaient été réduit en poussière. Les mutants engagés par le FLM à l'intérieur du bâtiment devaient être effrayés et croire à une attaque. La panique allais s'emparer du tout et bientôt, quelques mutants allaient descendre des portes de l'hôpital et s'attaquer à tout ce qui bouge et augmenter encore le chaos ambiant.

Le bout de papier que tenait l'homme un peu stupide n'avaient pas été lut parfaitement mais le message était assez clair quand même. Le FLM, et non le FLAM mais ça, ils l'apprendraient assez tôt, allait frapper fort, très fort, pour les idéaux qu'il défend. Et les jours qui allaient venir seraient de plus en plus sombres. Bientôt, le gouvernent n'aurais pas d'autres choix d'entrer en négociation et ce, selon leurs termes et quand ils croiront que les choses allaient revenir à la normale. Le FLM mettrait fin une fois pour toute à la mascarade de la politique humaine et l'avenir mutant allait devenir la réalité. Tamara, elle avait beaucoup de travail d'ici là. Sans attendre que la véritable partie de plaisir commence pour les agents de la lois, elle quitta les lieux de la même façon qu'elle était venue sans jamais avoir été observée.

HJ: Vous êtes libres de choisir votre proximité avec les bombes, les dégats que vont causes les mutants, s'ils s'adonnent à une tuerie ou non. Ceci dit, l'explosion doit et a causer d'important dégât matériel et humain. Aucun suivis de l'animation ne sera nécessaire sans demande mais la possibilité n'est toujours pas totalement exclue.
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Robert Mercer
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MessageSujet: Re: Front de Libération des Amis Mutants (FLAM) (PV Slang)   Front de Libération des Amis Mutants (FLAM) (PV Slang) Icon_minitimeMar 10 Mai 2011 - 17:58

Tamara avait évité l’hélicoptère et avait fait d’importants dégâts. Les trois bombes avaient fait basculer sept voitures. Les agents de la paix avaient été catapultés dans les airs. Les blessés étaient nombreux et alors que les décombres retombaient le bilan des victimes avait été encore augmenté. Les quelques ambulanciers sur place étaient déjà débordés, mais ces explosions transformaient la scène en véritable apocalypse. Non loin des agents Slang et Mercer, le négociateur Matt Favre avait été complètement soufflé par l’explosion. Sa chair avait été cuite et quelques lambeaux avaient été déchirés pour atteindre les gens autour de lui. Favre n’était pas le seul à avoir péri dans l’éruption. Une dizaine de policiers avait été tuée. Certains par le feu ardent de l’explosion et d’autres par les nombreux débris expulsés dans tous les sens.

Robert était un agent intuitif et ses réactions extraordinaires s’étaient construites au fil de ces nombreuses années de mission. Dès les premiers signes d’attaque, il avait réagi. Certain aurait pu croire à un simple réflexe mécanique, mais le geste avait été réfléchit en un instant et Mercer accordait une valeur particulaire à la vie de Lucas. Il savait qu’il était la clé de la réussite de cette mission. Un plongeon bien exécuté lui permit de bousculer son coéquipier Slang. Son corps mécanique avait été un véritable bouclier qui protégea l’agent Slang de toute blessure. Le cuir de l’agent avait laissé place à une véritable armure. Un clou d’une dizaine de centimètres se logea à travers son omoplate. Le projectile aurait certainement pu décapiter Lucas si la Machine n’était pas intervenue. Alors que la poussière tardait à retomber, Robert se releva. Sa main droite puissante et sereine empoigna le morceau de fer et l’extirpa. Son visage resta froid et sans expression malgré toute la douleur de la blessure. Une large coulisse de sang d,un rouge argenté coula de la plait et pourtant la blessure se referma rapidement. La main droite tenait le clou imprégné de sang et en le laissant tombé il dit simplement :

-Debout Slang, la situation passe d’orange à rouge…

Au loin, le plan brulé du bâtiment était soufflé par le vent. Une poignée de papier était restée dans la main gauche. Il l’avait survolé et il en gardait un souvenir passablement précis. Il en avait mémorisé plusieurs lignes en un simple coup d’œil, tel était le genre de prouesse que sa mémoire mécanique pouvait faire. Il jeta un coup d’œil autour de lui.

*Regarde ces bêtes… Ils se sont laissé inonder par leur émotion et ils sont maintenant complètement désorganisés. Un troupeau de zèbres peut repousser l’attaque des dangereux lions, mais pour cela il faut rester calme et organisé. Ils ne comprennent rien et se laissent emporter par leur peur…Ils ne sont pas raisonnable et leur coeur les détruira*

Robert enjamba une carcasse agonisante sans même y jeter un regard. Il était évident qu’il allait y rester et que des dizaines d’autres allaient connaitre le même sort. Il devait agir rapidement pour faire tomber les terroristes, mais pour cela il savait qu’il ne pourrait pas apporter son aide aux victimes actuelles. D’un point de vue extérieur, les gestes de l’ancien agent de la CIA étaient carrément inhumains et Robert fessait le même bilan critique sur sa vie. Chacune de ses actions était maintenant tellement rationnelle que chaque action était longuement réfléchie pour servir ces objectifs. Pour réussir sa mission il avait besoin de Lucas et s’est pourquoi qu’il dit calmement avec sa voix grave et confiante :

-Slang… on y va!

Le son des sirènes, les cris et les autres bruits l’obligèrent à répéter en haussant le ton. Certains auraient pu voir de la colère, mais il était pourtant calme et voulait simplement que son ordre soit entendu :

-SLANG, ON Y VA… MAINTENANT!
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MessageSujet: Re: Front de Libération des Amis Mutants (FLAM) (PV Slang)   Front de Libération des Amis Mutants (FLAM) (PV Slang) Icon_minitimeDim 15 Mai 2011 - 18:31

Lucas n'avait pas été préparé à ce qui allait suivre. On lui avait parlé d'affronter des ennemis, surtout des méchants mutants, mais pas qu'il serait au coeur d'un attentat terroriste et qu'il le verrait de ses yeux. Pour une première fois sur le terrain, le jeune avocat n'allait pas être déçu.
Sans la présence de Robert, Lucas ne serait plus. Il aurait sans nul doute connu la même fin tragique que ce pauvre agent Favre. Lucas ne réalisa pas se qui se passait. Quand son coéquipier se jeta sur lui, Lucas eut un instant un moment de surprise. Son visage se crispa* Qu'est qu'il fout...* Le court de sa pensée fut vite interrompu. D'abord le poids de robert sur sa personne le fit basculer au sol.
"Aie."

Fut le son qu'il prononça quand son corps heurta le bitume. Puis l'instant suivant une explosion, par réflexe un peu stupide Lucas ferma les yeux et se boucha les oreilles comme si cela pouvait le protéger. *Qu'est ce qui se passe.* Il lui fallut quelques minutes pour comprendre qu'il venait d'être victime d'une attaque. Quand l'agent du BAM se releva, il lui fallut quelques secondes pour comprendre ce qui était arrivé. Lucas dut admettre rapidement qu'il s'en sortait indemne comparait à la vision apocalyptique qu'il pouvait apercevoir. *Mais c'est quoi ce bordel.* Il réalisa qu'il n'avait rien sauf cette légère douleur au niveau du genou gauche, mais qu'il avait risqué gros. Il avait clairement échappé au pire grâce à la présence de son collègue qui lui avait sauvé la vie. *Et bah j'ai failli me retrouver carbonisé. Pour une première mission cela démarre fort. Je crois que je vais demander rapidement une augmentation si je risque ma vie à chaque sortie. Si Warren apprend cela, lui qui avait déjà quelques inquiétudes.* Il fut absorbé par ses pensées l'espace d'un instant avant de réaliser qu'il en avait oublié l'essentiel.

"Merci."

Fut le seul mot que l'avocat trouva à dire se sentant un peu embarrasser, n'ayant clairement rien vu venir, ni même ne sachant pas comment montrer sa gratitude. *Et bah c'est une manie qu'on te sauve la vie.*
Il remarqua rapidement que son partenaire était blessé, visiblement ce dernier n'en faisait pas cas.* Et toi tu te plains d'avoir mal à ton genoux. c'est un surhomme ce type.*

"ça va aller ?"

Lucas commençait à comprendre pourquoi on les avait mis ensemble. Ce n'était clairement pas le choix du hasard, mais bien le fait qu'il soit complémentaire.
Lucas n'était pas homme à s'émouvoir pour autrui, il était déjà fort heureux d'être vivant c'était là sa seule préoccupation. Il savait que de toute façon il ne pourrait pas se rendre utile, alors pourquoi s'infliger des images traumatisantes. S'il n'avait pas l'esprit d'analyse de Robert, il savait qu'il y avait maintenant un trou dans le cordon de sécurité et que cette attaque avait déstabilisé les forces de l'ordre. Quand son coéquipier lui hurla qu'il fallait il aller, l'avocat fit signe d'un hochement de tête pour signifier son approbation.*Pas la peine d'hurler j'ai entendu. Enfin je suis pas fou de laisser un bon garde du corps.* Sans rien ajouter il se commença à courir en direction du bâtiment. De toute façon vu la cacophonie cela ne servait à rien de discuter. Lucas se dirigea rapidement vers l'entrée du bâtiment. Il s'adossa au mur, sortit son arme de service et fit signe qu'il allait pénétré à trois dans le bâtiment. Il pouvait sentir son coeur battre la chamade.*Punaise je vais faire un arrêt cardiaque si cela continu. Mais pourquoi je suis pas resté tranquille derrière un bureau. Calme toi.* il fit signe à robert que c'était bon.

"1, 2, 3"

Puis il courut à l'intérieur du bâtiment. Il pénétra dans le hall d'accueil et il se précipita pour se mettre à couvert derrière le guichet d'accueil.
Cette intrusion ne passa pas inaperçu puisque qu'un mutant dissimulé dans l'ombre les attendait bien sagement, telle une araignée guettant sa proie. Si ce dernier se croyait dissimulé dans les ténèbres, il était clairement exposé au regard de Lucas qui percevait les contours de son aura. Sans demander son reste l'avocat passa à l'action, aussitôt son regard d'un bleu si profond se focalisa sur le mutant. Ses yeux devinrent violet émettant ainsi la radiation en direction de l'embusqué qui aussitôt fut démasqué. La surprise pouvait clairement se lire sur son visage, ne comprenant pas pourquoi il n'était plus dissimulé au regard des forces de l'ordre.

"Mercer à toi de jouer."

Il était plus difficile à Lucas d'utiliser ses dons de cette façon. Celui lui demander beaucoup de concentration, cependant il avait opté pour cette solution pour ne pas supprimer les pouvoirs de son coéquipier. Qui devait maintenant agir
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MessageSujet: Re: Front de Libération des Amis Mutants (FLAM) (PV Slang)   Front de Libération des Amis Mutants (FLAM) (PV Slang) Icon_minitimeMar 17 Mai 2011 - 2:28

L’assaut avait été donné par Lucas au compte de 3. Cet agent n’avait que peu d’expérience et il était gonflé à bloc. Il fonça tête baissée pour pénétrer dans l’immeuble. Robert l’observa agi d’une façon bien courageuse :

*Non? Mais qu’est qu’il fait… c’est un idiot. Il perd son sang froid et il fonce tête baissée. Il ne réfléchit pas… Un homme irrationnel est un homme mort… Celui-là, je ne lui donne pas 5min s’il continue ainsi… la mort est une leçon que même un idiot peut comprendre… *

Il suivit l’avocat qui courrait en ligne droite vers le hall d’entrée. On aurait pu croire à un boulet de canon tiré au milieu d’un champ de bataille. Robert calme le suivait et analysait pour lui les éléments à surveiller. Sur un champ de bataille, il y a des dizaines de choses à regarder et c’est le genre de chose que seul un soldat expérimenté peut comprendre. Dans une guerre, il est impératif de déterminer les menaces, des éléments inoffensifs.

*L'analyse cartésienne du terrain:

À 12h45, trois policiers se relèvent et visiblement blessé par une voiture soufflée : Menace à 0%

À 12h10, il y a deux infirmiers dans la fenêtre… C’est peut-être des terroristes déguisés, mais ils ne semblent pas armés : Menace à 20%

À 12h00, il n’y a pas de garde, mais la porte du hall qui avait servi d’entrée pour Bill Bushman… L’obstruction devant la porte rend l’analyse partielle : Menace à 50% - Pondération à 85%, car c’est la destination de l'agent Slang.

À 12h55, il y a deux terroristes lourdement armés qui se bousculent pour regarder les policiers blessés qui tardent à se relever : Menace à 95% - Danger imminent*


Il ouvre le feu alors qu’il est en plein mouvement et tire quelques projectiles qui visiblement touchent les deux truands de la fenêtre. L'un chute même de la fenêtre pour s'écraser sur un buisson. Lucas ne s’est peut-être même pas aperçu de l’action de Mercer t’en il est concentré à courir pour entré.

Par chance, une roue avait enfoncé un parti de la porte du Hall si bien qu’il était facile d'y pénétrer. L’agent Slang pénètre le premier quelques longues secondes avant son coéquipier qui avait ralenti pour faire feu. Rapidement, partiellement caché derrière le guichet, il a repéré l’un des terroristes dissimulés dans l’ombre. L’araignée se dirigeait lentement vers sa proie. Robert se trouvait donc derrière le prédateur qui tardait à comprendre pourquoi son pouvoir s’interrompait lentement.


Robert pouvait aisément le descendre avec son arme de service, mais les trois hommes étaient très près l’un de l’autre et un des projectiles pourrait très bien faire une victime innocente. Mercer s’approcha du terroriste et métamorphosa son bras droit. Ses doigts pointus et tranchants pénétrèrent en une fraction de seconde la chair fraiche. Il sectionna d’un coup la colonne vertébrale au niveau de la première vertèbre dorsale. Le coup tranchant, porté par une main détendue, était puissant et précis. Visuellement, le coup paraissait presque anodin étant donné qu’à peine quelques gouttes de sang s’écoulèrent de la blessure, mais la moelle épinière avait été complètement sectionnée. Le visage de la victime était fixé par la douleur instantanée de l'attaque et par la suite son visage devient complètement vide, complètement perdu. Le corps sans énergie tomba lourdement contre le sol.

* L’autopsie cartésienne de l'effet émotionnel de cette blessure :

La douleur, semblable à une décharge électrique, quitte rapidement le cerveau saturé d’information et elle fait place à l’incompréhension. Ce sentiment dure quelques secondes, le temps de constater qu’on a perdu le contrôle de chacun de ses membres et que nous sommes pourtant complètement conscients. Ensuite, c’est la terreur qui occupe chacune des pensée au moment où l’on comprend que l’on est quadriplégique et que l’on sera emprisonné dans cette prison de chair pour le reste de nos jours. La douleur ne dure qu’une fraction de seconde, mais le désespoir resta toujours dans cet esprit prisonnier… Incapable de bouger, il prendra peut-être le temps de penser?*


Robert était un type cruel et calculateur. La perte de ses émotions avait fait de lui un type impitoyable. Par méprit pour les émotions humaines, il les retournait souvent contre les autres. L’agent Mercer enjamba le tas de chair qui pleurait sur son sort. Chacun de ses cris se perdait dans tout ce tintamarre sonore de sirène et de bruit. Le visage de Robert était calme et complètement détaché du sombre destin qu’il venait de donner à ce criminel. Il ne regardait pas l’homme qui gisait sur le sol, mais il plongeait plutôt son regarda froid dans les yeux de l’agent Slang et d’une voix base et autoritaire, il dit :

-Slang, dans une corrida, il y a le taureau qui fonce tête baissée et le matador qui réfléchi… les taureaux ne gagnent jamais, alors soit un matador!

Robert utilisait souvent des métaphores imagées pour appuyer ses idées, car son cerveau allait souvent trop vite pour expliquer tous les mots et idées qui lui passaient en tête. Tout ceci était souvent jugé amusant, mais les images restaient fortes de par leur propos et son charisme les rendaient très puissantes.

Dans la pièce juxtaposée aux agents, des coups de feu et des rires se firent entendre. La Machine et Reapal tentèrent d’ouvrir la porte, mais elle était verrouillée. Des cris obligèrent les agents à redoubler d’ardeur. Mercer prit un élan et enfonça la porte de chêne avec son épaule puissante. Le son fut rocambolesque et Robert se trouva allonger sur les derniers débris de la porte qui gisait contre le sol. Dans la pièce, il y avait trois terroristes mutants complètement nus leurs armes fumantes à la main. Leur érection volumineuse démontrait tout le plaisir qu’ils prenaient à terrasser une vieille octogénaire complètement traumatisée. Le plafond était complètement troué par les balles et la femme semblait avoir reçu de nombreux coups violents.
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MessageSujet: Re: Front de Libération des Amis Mutants (FLAM) (PV Slang)   Front de Libération des Amis Mutants (FLAM) (PV Slang) Icon_minitimeLun 23 Mai 2011 - 21:26

Lucas effectivement n'avait pas vu ce qui s'était passé autour de lui avant de pénétrer dans le bâtiment. Lucas exerçait toute sa concentration sur le mutant afin que ce dernier soit privé totalement de ses pouvoirs. Il ne s'attendait pas vraiment à ce qui allait suivre, son coéquipier était un monstre de sang froid. L'avocat avait pensé bien naïvement que ce dernier allait le menotter ou le neutraliser d'une façon subtile, mais pas qu'il allait clairement l'immobiliser pour toujours.* Punaise c'est qui ce mec. Comment je vais justifier cela légalement. * Lucas ne pouvait s’empêcher de voir l'aspect juridique. Puis son collègue vient lui faire une petite remontrance sur son action. Lucas ne dit rien. Il resta de marbre même s'il n'en pensait pas moins. *Là c'est l'hôpital qui se fout de la charité. Il vient de massacrer ce pauvre type par pur plaisir. enfin... passons.*

"Je ferais plus attention à l'avenir, à vous l'honneur d'ouvrir la voix Monsieur Mercer. Je vous en pris"

Lucas avait repris son ton protocolaire, histoire de marquer la distance nécessaire entre lui et son coépquipier*Les flics de seconde zone qu'est-ce que cela peut m'énerver.* Même si Lucas savait pertinemment que Robert ne l'avait pas fait pour le froisser, l'ego sur dimensionné de Lucas avait du mal à supporter une remarque même si cette dernière était pleine de bon sens.* J'ai quand même le souvenir d'avoir vu des matadors se faire encorné par le taureau.*Lucas ne dit plus un mot et il décida d'emboîter le pas bien gentiment à l'officier. Il ne voulait pas polémiquer, surtout qu'il était dans la gueule du loup. Il se devait d'être professionnel, il aurait le temps de critiquer ultérieurement les méthodes de son collègue. Pour l'instant c'était la mission avant tout.
Ils se retrouvèrent devant une porte close, la méthode employer par son coéquipier était assez radicale.

"Heuu c'est peut-être pas..."

Lucas n'eut pas le temps de finir sa phrase que Robert avait déjà défoncé la porte et que ce dernier ce retrouvait au sol en face de trois mutants.*Et après c'est à moi qu'on dit de la jouer plus fine je vous jure. Un éléphant dans une boutique de porcelaine n'aurait pas fait mieux.*Lucas ne voulait pas se précipiter cependant il fallait agir vite et bien. La situation était clairement des plus délicate. Il ne voulait pas que les mutant puissent utiliser leurs dons, ce coup-ci il n'avait pas le choix que de neutraliser les pouvoirs. Aussitôt le corps de Lucas s'illumina en émettant la radiation X. Se faisant les mutants présents avaient été l'espace d'un instant surpris par l'intrusion si brusque de Robert. Lucas utilisa son arme sur la cible la plus prochain en plein dans l'épaule qui tenait l'arme obligeant ce dernier sous l'impact de la balle à lâcher son arme. Sans se faire prier ses deux coéquipiers répliquèrent, Lucas eut juste le temps de se mettre à couvert dos au mur à l'extérieur. Il savait qu'il venait de supprimer les pouvoirs à tous les mutants présents même ceux de Robert. Il avait au moins eu le mérite d'attirer l'attention des mutants sur lui qui en avait presque oublié l'intrusion de Robert. Lucas entendaient les balles sifflet.*C'est chaud...*
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MessageSujet: Re: Front de Libération des Amis Mutants (FLAM) (PV Slang)   Front de Libération des Amis Mutants (FLAM) (PV Slang) Icon_minitimeVen 27 Mai 2011 - 0:57

J’avais neutralisé un premier terroriste. Ma technique aurait pu sembler inhumaine. Je suis inhumain. Une machine. C’était ce que je devais faire. Ce mec était connu du BAM. Gabarit plutôt faible et élancé. Même couleur de peau. Son crâne rasé et ses deux énormes yeux tatoués derrière celui-ci étaient évidents. Même pouvoir. Certitude qu’il s’agissait de lui a plus de 95%. C’est suffisant pour agir.

Steve Richmond #7BH12876 – 13e position sur la liste des criminels les plus recherchés par l’agence. Il était le suspect principal dans plus de 6 meurtres. 2004– Reese Richmond, son ex-femme, 2006-Juliette Lévis, 2006-Sonia Lévis, 2007-Mary Varone, 2009-Jane Braddock, 2009-Lucy Wo. Et c’est ceux qu’on est certain. Plus rien depuis ces derniers délies. Invisible apparaissant ici et là aux quatre coins du pays. Avec sa mutation, il s’était toujours échappé. Coincé un mec invisible, c’est difficile. Coffrez un mec qui en plus peut passer à travers les murs, c’est impossible. Je ne pouvais pas le laisser partir. Aussitôt que Slang l’aurait relâché de son emprise, il l’aurait prit la fuite ou pire tendu une seconde embuscade. Trop risquer qu’il recommence. C’est suffisant pour agir. Je l’ai neutralisé. La raison est pire que la mort. Je suis pire que la mort. Je suis la raison.

J’aime tout contrôler. Tout calculé, mais sur le champ de bataille, il y a trop de paramètres à déterminé. Le contrôle est impossible. Il faut être plus rapide que le temps. Tic tac tic tac la bombe. Tic tac tic tac fait mon cerveau. Mon cœur ne bat plus. Le temps s’écoule et j’enfonce la porte.

Slang réagit rapidement. Il neutralise les pouvoirs de chacun. Je suis sur le sol. Tic tac tic tac fait mon cerveau. Mon cœur de bat plus. Tic tac… fait mon cerveau… mon cœur ne bat plus… tic... tac …fait mon cerveau. Mon cœur fait boom. Étrangement mon corps semble redevenir mou. Mon cœur fait boom. Le picotement d’électricité de mon corps semble disparaitre. Mon cœur fait boom. Mon épaule me fait souffrir. Il y a des lunes où je n’ai pas eu cette sensation. Mon cœur fait boom boom boom. Il s’accélère. Mon rythme cardiaque bat vite. 120 pulsions par minute. Je suis stressé devant ces trois dangereux terroristes. La machine est redevenue humaine. J’ai perdu mon calme légendaire. C’est même pire que cela. Je ne suis pas seulement stressé, j’ai peur. J’avais oublié ce sentiment. C’est un sentiment terrible. C’est comme du plomb dans une aile. On ne peut pas voler ainsi. Je suis figé sur le sol. J’ai l’impression de revivent les tranché. Toutes ces odeurs me reviennent. Ce souvenir de recevoir la cervelle de ce cher Tony au visage. L’enfer. Ne pas dormir pendant des années, car lorsque l’on ferme les yeux ont ne voit que ça. Un cauchemar. La guerre. Je suis mort là-bas. Et aujourd’hui, je renais au milieu de cet enfer. Je rampe péniblement. La douleur est intense et l’inflammation envahit chacune de mes articulations. J’ai l’impression d’être un vieillard. Je n’avais pas prévu que je serais privé de mes pouvoirs. Mon corps à 121 ans et il les fait. Il vieillit, se plisse et ma masse musculaire fond comme de la neige au soleil. Je sens la mort grimpée dans mes pieds. Un peu de courage sale vieux débris. Ta vie ne vaut pas plus que celle de cette vieille femme alors bouge toi. Je rampe sur le sol. Je ne suis plus une machine. Je ne suis même plus un homme. Je suis un insecte. Une larve. Je suis partiellement à couvert et je sors mon pistolet. Ma main tremble. Je n’arrive plus à savoir si c’est ma peur ou le parkinson qui produit le mouvement. Je ne peux pas viser t’en l’arme bouge. Je fais feu. Le recul est immense. Je ne sais même pas si j’ai touché quelques choses. Je sens mes os s’entrechoquer.

Ma vision est floue, je ne vois plus rien. D’abord un picotement et ensuite une brûlure. C’est infernal, mais je la reconnais. J’appuie dessus sans même regarder. C’est douloureux, mais c’est nécessaire. Rien ne va plus. Ma chaire est redevenu molle et une balle s'y est facilement logée. Le sang coule et sort entre chacun de mes doigts. Je ne m’en serais même pas rendu compte une minute avant et là me voilà en train de suffoquer. Je sens le sang remonté da ma gorge. J’ai été touché au niveau du foie. La bile doit se rependre lentement dans mon organisme. C’est même plus un organisme, c’est un sac de poussière. Je ne suis… iiihhh putain... Je ne suis plus une machine. Je ne suis même plus un homme. Je ne suis plus un insecte. Je suis une poussière. La bile permet de digérer les graisses. C’est essentiel pour se nourrir, mais je la sens se propager sur mes organes. C’est pour cela qu’on meurt d’une blessure au foie. Le problème ne s’est pas l’hémorragie, mais la bile. Elle digère mes organes. Elle fait son travail.Tu dois faire le tien, vieux débris. Il te reste encore ton instinct. Au fond de tout se corps démolit, elle est là. Je la sens. Je fais feu avec mon bras tremblotant comme une feuille... bang Bang BANg BANG… clic clic clic. Mon magasin est vide. Je laisse tomber l’arme. Je me laisse tomber. Le bilan est bien? Je l'espère. J'espère avoir eu assez d'instinct, car je ne tirerai plus rien de ma carcasse défraîchit. Le sang est dans ma bouche. J’ai fait mon boulot et l’avantage lorsque l’on est de la poussière et que l’on est léger. Je crache une lampée de fluide rouge contre le sol. J’ai l’impression d’avoir perdu le poids d’une vie de souffrances. Tu as commencé poussière et tu finiras poussière. Je vois au loin Steve Richmond, paralysé au sol et j'ai pitié de lui. J'ai été monstrueux. Je vois mon reflet flou dans un miroir brisé au dessus de Richmond. Avec ma chemise imbibée de sang, j’ai l’aire d’une tomate séchée au soleil. Plutôt drôle.


-Hey Slang, t’as vu, je suis une tomate séchée…

Et mon rire est fort. Mes poumons crachent du sang, mais le son est clair. Presque psychédélique. Je n’ai pas rit depuis près de 100 ans. Que c’est magique de rire! Tout est blanc maintenant. Stephany? ton époux est là, où sont les enfants? Je m’ennuie tellement d’eux.
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MessageSujet: Re: Front de Libération des Amis Mutants (FLAM) (PV Slang)   Front de Libération des Amis Mutants (FLAM) (PV Slang) Icon_minitimeSam 28 Mai 2011 - 12:16

C'était le bazar le plus complet pour l'avocat. Il n'avait absolument pas prévu les futurs conséquences de l'action de son pouvoir. Il avait agi par instinct voulant empêcher les trois mutants d'utiliser les avantages liés à leur mutation. Il n'avait clairement pas anticipé les conséquences sur son collègue et pourtant c'était une catastrophe. Ce dernier avait connu un vieillissement spectaculaire et surtout si soudain. L'effet de surprise qu'avait espéré Lucas s'était retourné contre lui. Robert était une force de la nature, est la force du désespoir ou le destin qui en avait décidé autrement. Quoi qu'il en soit le coup tiré par ses soins avait fait mouche. L'un des terroristes était mort, une balle en plein coeur. Lucas profita de cette pseudo accalmie pour pointer le bout de son nez, sans plus réfléchir et pour sauver son coéquipier il tira sur le dernier homme qui venait de faire feu sur Robert. Il fit mouche en pleine tête. L'homme s'effondra au sol. Lucas avisa rapidement de la situation, il n'en restait plus qu'un aussitôt il inversa son pouvoir et le concentra dans ses yeux pour inhiber les pouvoirs du blessé* Bon va falloir la jouer plus serré les prochaines fois.* Il le maintenait en joue de son arme.

"Je vous conseille de ne pas faire le moindre faut mouvement, si vous ne voulez pas connaitre le triste sort de vos deux camarades. A genoux la main sur la tête."

Son ton s'était fait autoritaire. Le mutant s'excuta sans rechigner, en jetant un coup d'oeil aux cadavres qui étaient étendus au sol. Se faisant Lucas s'approcha de son collègue qui était dans un piteux état.

"Tiens le coup, d'ici quelques secondes tu aursa évacuer les effets de la radiation."

Si la situation n'avait pas été aussi critique le trait d'humour que venait de faire Robert l'aurait sans doute fait sourire. Surtout que ce dernier n'avait pour l'instant montré qu'un homme assez froid et très robotisé d'une certaine façon, voir presque dénué de tout sentiment.*Pas de panique, pas panique. Garde l'esprit calme. Bon sang. Pourquoi suis-je dans une telle galère?*Lucas essayait de garder son esprit le plus limpide possible. Il n'avait jamais été confronté de sa vie à une telle situation. Il venait seulement de comprendre à quel point son pouvoir pouvait être néfaste chez les mutants. Combien de temps s'était écoulé entre le début et la fin de l'action? A vu de nez Lucas se disait qu'il avait émis son pouvoir environ trois minutes au maximum. Tout s'était passé très vite. Il savait qu'il faudrait à Robert environ trente secondes, voir moins peut être pour retrouver toutes ses facultés. Il fallait contenir l'hémorragie pendant ce temps éviter qu'il se vide de son sang. Avec sa main libre Lucas fit un point de compression. Il essayait de contenir au mieux le flot de sang qui s'écoulait de la plaie. Il savait qu'un homme pouvait se vider de son sang très rapidement. Ce qui était surprenant c'était le changement physique de son coéquipier qui ressemblait à un très vieux grand-père, usé par le temps. Qu'est-ce que les secondes peuvent vous paraître longue dans les moments critiques.

"Tu vas t'en sortir."*Heureusement pour moi qu'il n'est pas tombé en poussière. Punaise pourquoi je ne me suis pas rappelé qu'il était aussi âgé.*

Lucas essayait de se réconforté lui-même. *Cela ne devrait pas être permis de vivre si vieux. Il a du en voir d'autre* Les apparences sont trompeuses. Lucas n'était qu'un simple homme avec ses qualités, mais aussi ses défauts. Il avait tout simplement pensé neutraliser tous les pouvoirs sans pour autant nuire à Robert. Il fallait que Lucas apprennent à être plus modéré dans le feu de l'action. En même temps passer de bureaucrate à homme de terrain c'était un sacré défit.
C'était bien la première fois qu'il trouvait que son pouvoir agissait trop longtemps après l'arrêt de la radiation. * Je vais m'en rappeler de cette première mission, j'ai l'impression de toute faire de travers.* Il voyait sa main se recouvrir du sang de Robert. L'avocat essayait de maintenir le plus de pression possible. Lucas se demandait si dans l'avenir il ne serait pas souhaitable qu'il soit accompagné uniquement de policiers humains plutôt que de mutants. Après tout il pouvait se montrer aussi nocive pour ses collègues et ce n'était pas vraiment souhaitable. Le temps s'écoulait si lentement à son gout, il espérait que le pouvoir de régénération qu'avait démontré Robert serait suffisamment efficace pour remettre l'homme sur pied. Les trente secondes venaient de passer largement, Lucas attendait anxieux de voir comment le pouvoir de son coéquipier allait agir.
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Robert Mercer
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MessageSujet: Re: Front de Libération des Amis Mutants (FLAM) (PV Slang)   Front de Libération des Amis Mutants (FLAM) (PV Slang) Icon_minitimeMer 1 Juin 2011 - 1:31

Je suis mort. À ce moment, mon corps était parfaitement immobile, allongé au sol. Mon esprit était perdu au milieu du vide absolu. Pour la première fois de ma vie, j’ai connu la mort. Paradoxe. J'avais vecu ce meme sentiment lorsque j'ai ete traumatise a la premiere guerre mondiale. Après plus d’une centaine d’années à fouler ce sol, j’ai connu le sort que tous les êtres humains connaissent. La vie et la mort sont liées. L’espérance de vie moyenne aux USA est de 78,4 ans. Sur une échelle de temps assez long, cette espérance est réduite à zéro. Le temps était suspendu et un immense silence régnait. Il n’y avait pas de fameuse lumière. Un noir absolu. Je n’ai peut-être pas menez la vie qui fallait pour le paradis. Je ressens par contre une paix extrême. Un sentiment de légèreté m’habite et je suis bien. La mort est bien. Soudain ce monde s’effondre. Des taches de lumière apparaissent ici et là. Le bruit refait surface. Tout se précipite et se détruit. Un véritable chaos s’installe et mes yeux s’ouvrent. La vie est un chaos, la mort est bien. Devant moi, il y a Lucas qui semble inquiet. J’ai l’impression d’avoir été mort durant des jours et pourtant la poussière n’est pas encore retombée. L’hémorragie de ma plait semble s’être arrêté. Je ressens une importante fatigue. Je suis certain d’être mort. Mon cœur ne battait plus. Ma tête ne fessait plus tic tac. Mon corps sans vit a finalement été reconstruit par mes nanorobots. Je me demande si je mourrais définitivement un jour ou s’ils me ramèneront toujours à la vie. Calmement je repousse Slang pour avoir plus d'aire. Dû coup je constate le sort qu'on connu les trois terroristes nus.

-Slang, tu as fait ton devoir... C'est l'essentiel et c'est pourquoi nous sommes ici. Tu t'es servi de ta tête. Tu deviendra un grand matador, jeune Lucas...

Je connais le fait qu'une solution parfaite n'existe pas. Les dommages colateralux sont inevitable. Il faut etre pret a les assumer et ne pas perdre l'objectif de vu. La fin justifie les moyens, c'est evident pour moi. Tout semble lentement revenir à la normale. Le tic tac revient dans ma tête, mais mon cœur reste éteint. Mon corps se déplisse doucement. Je sens en moi toute l’énergie électrique déployée par ma mutation. Je suis redevenu le robot dénué de sentiment. Le même type que j’étais ce matin. J’ai par contre encore cette sensation en moi. Lucas m’a fait revive. Il m’a rendu une vie que j’avais oubliée et je lui en suis reconnaissant. De ce sentiment de vie humaine, il n’en reste que quelques traces et elles ne dureront surement pas plus de quelques jours. J’ai une mémoire extraordinaire. Un disque dure, mais toutes ces informations sont froides et sans saveur. L’espace d’un instant tout un pend de mes souvenir m’avait été rendu. Je devrai redemander à Slang de me redonner ma vie une prochaine fois. Pour l’heure, la réalité me frappe. L’hôpital est devenu un enfer. Les groupes d’intervention doivent se regrouper autour du bâtiment. À vue de nez, nous sommes encore les seuls agents dans l’immeuble.

Je sens enfin mon bras redevenir ferme. Ma main vient à peine de cesser de trembler et ceci doit bien faire une minute ou deux que j’ai ressuscité. Je ne peux pas me relever, mais encore une minute ou deux et mes jambes me porteront à nouveau. Je sens encore la bile qui dévore ma graisse et la douleur est semblable à une brulure produite par une flamme vive. Mon organisme la rejettera rapidement selon moi. Je recharge mon arme d’une façon mécanique ce qui démontre que ma mentalité militaire revient de plus en plus dominante. Mon visage redevient d’un calme de glace. Je reconnais le mec qui est à genou nue près de ses camarades. Je l’entends brailler toutes les larmes de son corps. Une poule mouillée. Il n’était pas prêt au sacrifice. Il s’appelle Francis De Montfort et il n’a pas ses 17 ans. Le BAM l’avait arrêté, alors que j’arrivais à peine dans l’organisation, car il vendait du Marteau dans les rues de NY. Son âge avait influencé le juge qui l’avait condamné à une liberté surveillée. Je n’oublie jamais un nom. Mémoire mécanique oblige. Il n’est pas dangereux et je comprends de moins s’en moins ce qui regroupe chaque terroriste. Jusqu’à maintenant, je connais trois terroristes. Il y a Bill Bushman, le voleur de banque illettré, Steve Richmond, un tueur sadique, et maintenant Francis De Montfort, un petit dealer de quartier. Je pourrais peut-être les reconnaitre… on dirait que le FLAM est un simple regroupement de petits voyous. Des larbins, c’est sûr. Ils se sont peut-être fait offrir une bonne somme d’argent. Aucun lien criminel connu ne relit ces malfrats. Je connais mes dossiers. Le temps avance et la vie des otages est de plus en plus compromis. Je tente de me relever et je réussis péniblement. Au sol, il y a une importante flaque de sang. J’en ai laissé bien plus que ce que j’aurais dû. Je prends mes menottes et j’attache les mains du gamin dans son dos. Lorsque j’ai terminé, je le pousse sur le ventre et son visage n’est plus qu’à quelques centimètres du visage froid de son compatriote. Ses yeux imbibés d’eau se perdre dans le regard morbide du mort. La peur est un puissant traumatisme qui évite souvent que les gens recommencent quelques choses. Aujourd’hui, il aura appris au moins la fragilité de la vie. Nous devons nous enfoncer encore plus loin dans le bâtiment pour secourir les derniers otages. J’enjambe le corps immobile de Steve. Ma tête est redevenue froide et j’en oublis le sentiment de pitié que j’ai ressenti lorsque j’ai croisé son regard quelques secondes avant de mourir. Longeant le couloir, je fais signe discrètement à Lucas d’y aller. Il peut être confiant, je le couvre. J’espère simplement que ma synchronisation est revenue pleinement fonctionnelle.

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MessageSujet: Re: Front de Libération des Amis Mutants (FLAM) (PV Slang)   Front de Libération des Amis Mutants (FLAM) (PV Slang) Icon_minitimeDim 5 Juin 2011 - 9:25

Mon regard violet était fixé sur le jeune bandit, Lucas ne remarqua pas de suite le changement. En effet Robert petit à petit reprit vie. Ce fut un véritable soulagement pour Lucas de voir que son coéquipier était si résistant, mais surtout qu'il n'avait pas péri par sa faute.* Punaise quelle frayeur.*Si la situation n'avait pas été si tendu Lucas en aurait presque ri. L'avocat enleva ses mains qui avaient essayé de colmater la plaie, le trou avait disparu. Les paroles de Robert se voulaient rassurante n'avait cependant pas vraiment convaincu Lucas.*Tu parles, j'ai juste failli te tuer, bon passons. On n'est pas tiré d'affaire. J'irais voir le psy du BAM je crois qu'après cette mission si je survis j'en aurais grand besoin.*Si les mots n'avaient pas convaincu totalement Lucas, ils avaient au moins su le rassurer sur le fait Robert avait retrouvé ses facultés mentales et son potentiel. *Jeune Lucas, j'ai l'impression que c'est une réplique sortie de la guerre des étoiles.*Lucas se demandait s'il avait effectivement bien agit ou pas, mais il n'était pas en capacité d'avoir le recul nécessaire pour l'instant. Il était encore dans le feu de l'action.

"Avant de parler d'avenir, sortons nous cette mélasse."

Lucas espérait qu'il s'en sortirait indemne et qu'il n'allait pas perdre la vie sur sa première mission. Il trouvait la situation assez tendu dans son ensemble. *Si Warren savait dans quel foutu pétrin je me suis mis il me tuerait.* Il essayait de se rassurer en trouvant une image mentale rassurante et qui le stimulerait assez pour garder espoir. C'était tout naturellement que l'ange était venu à son esprit. Rapidement Robert reprit son rôle très au sérieux et il immobilisa le voyou au sol. Aussitôt Lucas cessa son pouvoir sur ce dernier, espérant qu'il n'avait pas un don pour s'échapper. Il ramassa les armes des terroristes pour être sûr qu'elles ne tomberaient plus dans des mains mal attentionnées et se faisant il constata que ses mains étaient pleines de sang. Machinalement il les essuya sur un des draps présents dans la chambre.*Beuk c'est poisseux.*
Il était grandement temps de reprendre le court de la mission. *On devrait faire venir l'armada lourde.* Se faisant Lucas reprit la direction du couloir accompagné par Robert. D'un pas lent Lucas longea les murs, essayant de faire le moindre bruit possible. Son coeur battaient toujours autant la chamade. Soudain il entendit clairement du bruit qui venait de derrière. Il sentit soudain comme une vibration provenant du sol comme si un troupeau d'éléphant était en train de charger. Il ne fallut que quelques secondes pour que le mur vol en éclat. Un mutant ressemblant à énorme taureau venait de passer à travers le mur, emportant sur son passage le beau ténébreux. Lucas se retrouva écrasé contre le mur d'en face, à moitié sonné par le choc. Son visage se déforma par la douleur. Il n'avait pas eu le temps de réagir ni même d'anticiper cette attaque. Il sentait tout son corps compressé par la masse du mutant. Il avait l'impression que d'ici quelques secondes il allait être réduit en bouilli.
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MessageSujet: Re: Front de Libération des Amis Mutants (FLAM) (PV Slang)   Front de Libération des Amis Mutants (FLAM) (PV Slang) Icon_minitimeJeu 9 Juin 2011 - 2:51

Il y a eu un léger tremblement et soudain le mur d’effondra. Un homme taureau fonça sur mon coéquipier. C’était un véritable monstre. Sa tête de bovin lourde et immense était posée sur un corps gras et puissant d’homme. Ses pieds étaient de gros sabot et ses mains n’avaient que trois doigts. Son corps était intégralement recouvert d’une épaisse toison de poils rugueux roux. Son corps culminait à plus de 2m20 pour un poids de près de 200 kg. J’aurais pu le reconnaitre entre un million, Pierce ‘’Taurus’’ Packman. Une légende dans le monde de la lutte spectacle. Depuis son expulsion du circuit professionnel, il acceptait des boulots plus ou moins légaux comme garde du corps pour n’importe qui le payait. Il était aujourd’hui le symbole d’une déchéance sportive qui peinait à survive normalement, mais il restait d’une force inimaginable. C’était un indice de plus qui permettait de constaté que ce groupe de criminel était composé de petite frappe près à tout pour quelques billets.

Taurus écrasait Slang. Je pouvais deviner que ses os devaient se broyer sous la force du terroriste. Je n’avais pas vraiment le choix. Ouvrir le feu aurait sans doute été un risque immense de blesser mon coéquipier. De plus, je doutais que ce calibre puisse causer plus qu’une blessure superficielle. J’ai suivis mon instinct. Ma tête fait toujours tic tac. Je charge le monstre comme un rhinocéros l’aurait fait. En moins de trois pas, mon corps d’acier se recouvre d’énormes piques d’une dizaine de centimètres. Au moment de l’impact, j’avais atteint une vitesse de près de 80 km/h. Le choc est immense et bruyant. La bête est propulsée sur les murs du fond, libérant l’agent Slang. Mes piquants sont trempés de sang. Le minotaure se relève et il semble légèrement sonnez. Faut dire que mon corps mécanique est une véritable machine. Mon corps ne bat plus. Mon corps est une véritable armure vide.

Je n’ai pas encore reprit mon équilibre que le monstre fonce vers moi et Slang. J’ignore si Slang était dans un état suffisant pour utiliser son pouvoir. Je ne peux pas attendre de voir s’il est en état. Sa masse est beaucoup plus grande et sa force physique aussi. Je ne peux pas me lancé tête baissé dans une charge en face à face. Les lois de la physique sont contre moi. On ne peut pas changer ces lois. C’est immuable et ces lois régissent l’ordre de l’univers. Qui suis-je pour tenté de bouleversé cette ordre. Je fonce vers Pierce et mes piquants se rétractent. Je dois changer ma stratégie. Je suis bon et ma tête fait tic tac. C’est un bon signe. J’ai confiance. Mon avant bras droit devient une large lame noire d’un mètre. Je cours vers lui et lui vers moi. Au moment du choc, je la joue en finesse. Je me jette sur le ventre évite la lourde masse poilue. Qui passe par dessus moi. J’esquive les sabots. Avec ma lame, je lui sectionne les tendons de son pied gauche. Une blessure sérieuse, mais assez courant dans le monde du sport. J’utilise toujours les moyens suffisants pour arriver à mes fins. La fin justifie les moyens. Le pas suivant, c’est une véritable avalanche. L’énorme mutant s’écroule, car son pied ne peut plus supporter son poids. La poussière n'est même pas retombé que j'entend une petite sonnerie. Il y a un tel raffut ici que j'en suis pas sure. Il s'agit surement du téléphone du négociateur Favre que possède Slang. Les terroriste veulent peut-être négocier. Chose certaine, j'espère qu'ils seront un peu plus sérieux qu'à leur habitude... Avec un peu de chance c'est peut-être même la femme qui a placé l'appel initiale.

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MessageSujet: Re: Front de Libération des Amis Mutants (FLAM) (PV Slang)   Front de Libération des Amis Mutants (FLAM) (PV Slang) Icon_minitimeSam 18 Juin 2011 - 11:01

Le jeune homme brun avait l'impression qu'il allait finir en purée pour mutant. Ce fut un véritable soulagement quand la pression exercée sur lui cessa. Lucas tomba au sol, il était complètement sonné. Il avait l'impression que son corps entier était passé sous un rouleur compresseur. Il se sentait totalement endolori. Il mit plusieurs longues minutes avant de refaire réellement surface. Il avait mal partout. C'était un véritable miracle si ses os n'avaient pas été broyé. Quoi qu'il avait sacrément mal au niveau des cotes quand il respirait. * Je dois avoir une ou deux cotes de fêlé à mon avis. Saloperie de terroriste.*Lucas pestait contre ses ennemis. Il commençait à saturer du feu de l'action. Pendant ce temps-là son partenaire avait neutralisé la bête. Lucas jeta un regard noir sur le fameux taureau qui ne bougeait plus et qui émettait un râle de douleur. Sortie de nulle part une sonnerie se manifesta. Lucas mit un certain temps avant de comprendre que le son revenait de lui.* Mais qu'est-ce que c'est que ... Ah oui le téléphone du négociateur. C'est vrai, on m'a aussi refilé ce bébé.* Quand il réalisa enfin que c'était lui, Lucas décrocha.

"Oui, Allo."

A l'autre bout, c'était une voix masculine peut rassurée visiblement. Lucas l'écouta.

"ok... ok... pas d'entour-loupe...."


Puis il raccrocha. L'avocat avait la tête comme une pastèque, mais il avait gardé son calme et son flegme légendaire. Puis il regarda son coéquipier.

"Ils veulent négocier en directe, ils veulent que se retrouve dans la salle de soin du cinquième étage. Ils devraient tous s'y regrouper. C'est peut être notre chance de les stopper et de les ramener sur la voix de la raison."*Enfin si c'est possible.*
Lucas essaya de se relever, il esquissa une grimace qui déforma son visage. *Oh P....*
Avec bien du mal il y parvient. D'un pas lent, il se dirigea vers les escaliers pour rejoindre le point de rendez-vous. Chacun de ses pas étaient douloureux. L'avocat serrait les dents, mais il espérait qu'une chose que tout cela cesse définitivement. Avant de se jeter dans la gueule du loup.

"Voilà ce que je propose, je rentre, j'essaye de négocier avec eux, si cela tourne mal j'annule leur pouvoir et toi tu restes le plus loin possible tout me couvre."


C'était de toute façon la seule solution qui lui venait à l'esprit. Il jeta un petit coup d'oeil avant de rentrer, il y avait quatre mutant visible plus un qu'il distinguait qui était invisible.

"Bon ils sont plus que cinq dont le gros malabar du début et celui qui a ravagé les extérieurs tout à l'heure. Je crois qu'on a la bande au complet ce coup-ci."

Lucas pénétra donc d'un pas le plus assuré possible, essayant de paraître le plus fringuant possible même si son corps entier lui disait qu'il souffrait le martyr.

"Bonjour, messieurs."

Quand il eut pénétré il eut quelques grognements. Visiblement sa présence en ces lieux ne faisait pas l'unanimité.

"Que puis-je pour vous?"

Demanda l'avocat d'un ton le plus assuré. Il alla se mettre le plus au fond de la pièce histoire que ses dons affectent les mutants présents, mais pas son partenaire si ce dernier restait suffisamment hors de porté.

"Toi, avoir massacré mes potes...
"Calme toi ! J'ai pas spécialement envie de finir entre quatre planches."
"Je propose qu'on s'en débarrasse"
"mais la ferme..."

Lucas les écoutait se disputait, on aurait dis une bande de gamin qui n'arrivait pas se partager la dernière friandise.

"Bon Messieurs trêve de plaisanterie, vous m'avez demandé de venir je suis venu, qu'avez vous à me dire."
"On souhaiterait sortir de cette impasse en..."
"Hors de questions de négocier."

hurla le mutant qui avait pulvérisé les forces de police. S'entend le roussi Lucas décida de calmer le jeu à sa façon. Il utilisa son pouvoir, son corps irradiant. Puis soudain, il sentit une voix à l'intérieur de lui.

"Robert un télépathe."

Ce fut ses dernières paroles, Lucas était dans l'incapacité de bouger.
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MessageSujet: Re: Front de Libération des Amis Mutants (FLAM) (PV Slang)   Front de Libération des Amis Mutants (FLAM) (PV Slang) Icon_minitimeMer 22 Juin 2011 - 1:38

Je trouve Slang bien plus fort qu’il ne le parait. Il pourrait même devenir un bon agent de terrain avec l’entrainement suffisant. Il a la tête qu’il faut. Ma tête fait tic tac et mon cœur ne bat plus. Avec une telle tête, il pourra tout accomplir. C’est d’ailleurs cette tête qu’il va utiliser pour négocier la reddition des derniers terroristes. Il a établi une bonne stratégie et on risquera un minimum de catastrophe. Faut dire qu’on a dû amputer une bonne partie de leur équipe. Par la fenêtre, on voit les services de secours qui tente d’évacuer les victimes qu’ils peuvent. La situation est catastrophique là-bas. Les blesser son nombreux et les unités de soin manque de personnel. Je me tiens en retrait lorsque les discutions commencent. On voit facilement que le groupe n’est pas mobilisé et que chacun cherche a imposé sa pensée. C’est souvent le cas lorsque l’on regroupe n’importe qui pour quelques dollars. J’ai fait parti assez longtemps de l’armé pour comprend la nécessité d’agir collectivement. Sur un champ de bataille, un individu est mort, mais s’il reste dans le bataillon, il aura peut-être une chance de s’en sortir.

Soudain, je constate que Slang semble avoir été pris au piège au détour. Il m’a prévenu qu’il y avait un télépathe dans la pièce. Faut dire qu’un télépathe n’est jamais désiré comme ennemi. Un mec qui peut lire dans ta tête ne pourra jamais être surpris. Il gagnera s’est sure. Le vainqueur pense toujours plus que le perdant, c’est la différence. Heureusement, au fil des années, ma tête est devenue un véritable ordinateur et la différence mécanique entre mon cerveau et celui d’un être humain normal est suffisante pour repousser la majorité des tentatives d’intrusion. Seuls les plus puissants réussiront à se tailler une brèche, mais ceci prendra un temps assez important pour réussir. Alors je ne m’inquiète pas trop. Je devrais avoir le temps de libérer mon coéquipier et il neutralisera les pouvoirs de chacun. Je devrais trouver un moyen à ce moment-là d’éviter de redevenir le débris poussiéreux d’il y a quelques minutes.

Je pousse la porte et je braque deux pistolets sur le groupe de terroriste. Je suis calme. Presque trop compte tenu de tout ce que l’on vient de vivre. Mon rythme cardiaque est lent. Boum… boum. Je ne suis même pas stressé. L’adrénaline ne semble plus faire partie de mon corps. Je n’ose pas imaginer ce que je devrais vif pour avoir peur de nouveau… D’un ton autoritaire j’affirme ma position dominante :


-Je vous ordonne de vous rendre immédiatement. J’ai la juridiction de protéger les victimes que vous retenez et je n’hésiterais pas à vous tué si nécessaire.

Deux idiots, au fond de la salle, rient de mes propos, car ils se croient invulnérables. Je continue sans m’en soucier.

-Vous devez libérer l’agent Slang immédiatement.

Sinon quoi répondit brusquement l’énorme Bill Bushman avant de se remettra à rire.

-Sinon, je neutraliserai les menaces. Je ne laisserai personne blessée l’agent Slang ou n’importe qui d’autre.

En fait, j'en avait pas grand chose a sauvé les quelques malades encore détenues par les terroriste. Faut dire que je trouve que la plus part des singes que je protège mérite leurs maladies. Pourquoi perdre du temps a soigné un singe en fasse terminal d'un cancers du poumon alors qu'il fume encore 20 cigarettes par jours. Slang non plus ne m'importe pas et je le sacrifierait si la mission le nécessite. La fin justifie les moyens. On n'en est pas là par contre et il sera indispensable pour neutralisé les dernières menace. Il m,est actuellement plus utile vivant que mort alors je le veux vivant et près de moi. J'ai une mission et ces terroriste pourraient être encore plus dangereux s'ils nous déchapent.

Soudain, Bill s’avance vers moi et aussitôt j’ouvre le feu. Une seule balle. La cartouche s’envole doucement dans les airs avant de retomber au sol. Le tir était précis et le monstre s’effondre au sol en agrippant son califourchon qui s’imbibe rapidement de sang. Je l’ai atteint à la vessie et froidement j’explique que la blessure est douloureuse et que s’il ne la soigne pas rapidement il mourra empoisonné par sa pisse. Je répète qu’ils doivent libérer Slang sinon, ils seront considérés comme des menaces.


-Vous me défiez? Je n’hésiterai pas. Je neutraliserai ce télépathe.

J’ouvre le feu sur un autre terroriste. Même cible. Une balle précise dans la vessie. Les terroristes restants s’énervent et ouvre le feu sur moi. Ils ont de gros calibres et chacune des munitions me percute avec puissance. Je peine à rester debout autant de puissance de feu. Slang est toujours immobile, il doit être encore contrôlé par le mutant. À découvert ainsi il risque fort de recevoir un projectile ou un ricochet. C’est finalement le mutant invisible qui est atteint et Slang semble libéré.

Soudain, le mutant Bushman se concentre et se lève malgré la douleur extrême d’avoir été atteint par ma balle. D’un souffle, il lance ses mains et lorsqu’elles se percutent, la pièce explose. Bushman est idiot et se fou de détruire ses coéquipiers. En fait, il veut tout détruire. Les fenêtres extérieures explosent et le toit menaça de s’écrouler sur nous. Mon corps est littéralement soufflé par l’explosion. Je suis dés'avantagé par mon positionnement géographique si bien que je traverse l’une des fenêtres. Par chance, mes doigts pointus m’ont permis d’agripper le rebord de celle-ci. J’ai évité une chute de plusieurs étages. Les autres mutants ont aussi du être souffler. J’en vois d’ailleurs un allonger contre le sol plusieurs mètres plus bas. La chute a dût être mortel, car il ne bouche pas et il ne cri pas. Je ne pleurerai pas pour lui. En fait, je ne pleure plus pour personne. Je ne suis plus un humain, mais une machine. Je peine a me remonter. Mon corps est très abimé, car il a reçu d’importants dommages physiques. Je dois, par contre, tout tenter pour constater comment mon coéquipier a souffert de cette explosion. Je tarde à me hisser compte tenu de mes forces. Je pends par la fenêtre et mes doigts pointus comme des clous sont profondément enfoncés dans les restes du cadre de la fenêtre. Je dois me résoudre à reprendre quelques forces avant de remonter à l’intérieur.
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MessageSujet: Re: Front de Libération des Amis Mutants (FLAM) (PV Slang)   Front de Libération des Amis Mutants (FLAM) (PV Slang) Icon_minitimeVen 24 Juin 2011 - 18:02

Paralysé, une voix à l'intérieur de sa tête lui ordonnait de ne pas bouger. Le télépathe étant hors de porté de son pouvoir, Lucas n'avait pas pu le priver de ses dons. Comme un petit chien obéissant, il ne parvenait pas à faire le moindre mouvement. Il lui était aussi impossible d'avoir une pensée cohérente. Lucas était un simple spectateur, ne pouvant rien faire devant l'action qui se déroulait devant ses yeux. Il était incapable de réellement raisonné, il sentait qu'en lui il y avait un combat intérieur. Quand soudain tout s'arrêta, Lucas venait de récupérer ses facultés. Robert avait enfin touché la bonne cible. Lucas n'eut qu'une fraction de seconde pour réagir. Il se jeta à couvert derrière une table qu'il bascula. Soudain il souffle balaya tout sur son passage. La table, Lucas et tout ce qui se trouvait dans la pièce. Lucas fut projeté contre le mur du fond violemment. Il se sentait broyer de partout. Il était conscient que la table avait amoindri la violence de la déflagration, sans cependant le protéger complètement. La quasi totalité des autres mutants dans la pièce étaient soit morts soit dans un état pitoyable. Avant que Bushman ne puisse recommencer, Lucas braqua son regard violassé sur ce dernier le privant de ses dons. Bushman claqua en effet ses mains sans aucun effet, il se retourna constatant que Lucas était toujours en vie. Ce dernier était très en colère, cela se voyait sur son visage déformé.

C'était une question de survie entre les deux mutants. Lucas peina à sortir son arme. Il avait mal partout comme si son corps avait été réduit en morceau.
Son corps entier le faisait souffrir. Il tira droit devant sans pour autant pouvoir ajuster son tire, il toucha cependant sans vraiment le vouloir Bushman dans le genoux. Lucas aurait souhaité une bonne balle dans la tête. Le jeune agent venait de vider son chargeur, n'ayant atteins sa cible qu'une seule fois.
Lucas sentait ses forces l'abandonner de plus en plus. Il faisait une hémorragie interne. Son regard était entrain de se troubler, il lui était de plus en plus difficile de distinguer sa cible. Il sentait aussi que son pouvoir faiblissait. Il donnait ses dernières forces.
Si une balle avait effectivement stoppé sa cible, ce dernier n'était pas totalement maitriser. La folie l'avait gagner et le tueur avait décidé d'en finir une bonne fois pour toute avec l'avocat. Traînant la pâte, le terroriste avançait bien décidé d'en découdre une bonne fois pour toute l'agent à terre.
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Robert Mercer
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Robert Mercer


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MessageSujet: Re: Front de Libération des Amis Mutants (FLAM) (PV Slang)   Front de Libération des Amis Mutants (FLAM) (PV Slang) Icon_minitimeMar 28 Juin 2011 - 23:30

La scène était maintenant aussi apocalyptique dans cette salle détruire que lorsque l’explosion a eu lieu dans le stationnement. Les morts étaient nombreux et par change j’étais encore vivant. Enfin presque. Ma tête continue de faire tictac et c’est les dernières preuves qui me reste que je suis en vie. Je pends à la fenêtre comme un drap oublier. Mon corps est mutilé et je sens un important courant électrique parcourir mon corps. C’est les nanorobots qui tentent de reprendre le contrôle de mon corps. Je me sens assez fort pour tenter de me hisser. Lorsque je tente de grimper, une série de balle percute le mur. Des tirs imprécis et des balles traversent la fenêtre dans laquelle je me tiens. Quelques secondes plus tôt, j’aurais pu me tenir là et le choc de l’impact aurait pu me faire basculer dans le vide. Une chute vertigineuse mortelle… Enfin si je peux mourir. Je laisse un peu la poussière retomber être sure qu’une nouvelle rafale n’arrive par et je me glisse à l’intérieur. Je sens bien que mon corps manque d’énergie électrique pour pouvoir déployer son plein potentiel. Je me sens faible. Je me sens presque humain. Enfin, je sais que je suis de plus en plus loin de ses singes, mais je garde ce gout étrange dans ma bouche depuis que Slang a utilisé son pouvoir sur moi. Je le ressens en moi. J’ai l’impression d’être un primatologue… Un primatologue désabusé qui n’espère plus voir les singes agir en homme…

Une fois à l’intérieur, je constate le massacre. Le sol est bondé des cadavres terroristes. Ici et là, un tente péniblement de bouger, mais ceux-ci sont submergés par la douleur et leurs blessures. Au milieu de la pièce, il y a le monstre. J’ai été négligent avec lui. Normalement, la douleur d’un tir dans la vessie suffit à neutraliser même les plus endurcies. J’aurais dû le neutraliser. Je ne suis pas un tendre d’habitude. C’est peut-être les effets secondaires d’avoir été soumis au pouvoir de Slang. J’avais oublié comment c’était d’être tendre et je le regrette amèrement. La situation a dégénéré alors que si je l’avais tué immédiatement tout ceci aurait été différent. Bill Bushman a été blessé à la jambe. Non loin de lui, on apercevait l’agent Slang affaibli. Il était dans un état bien pire que moi. Il faut dire qu’il n’a pas de nanorobots pour le ressuscité des morts. Il avance vers lui. Il est lent. Il est blessé. Avoir mon arme, je pourrais le neutraliser, mais je l’ai perdu lors de l’explosion. Ses poignets sont si gros que mes menottes feraient difficilement le tour d’un doigt. Je prends une patte brisée d’une chaise qui traine par là et je crucifie sa main droite dans le plancher. La douleur doit être si vive qu’il ne pourra pas le libérer. Il se met à chialer. Il a tué un tas de mecs aujourd’hui et il pleure comme s’il était un bébé maintenant. J'hais ces singes.

Slang a l’aire vraiment mal au poing. Je me précipite sur lui et je fais un premier diagnostic. C'est vrai qu’à l’armé on nous apprend les bases de la médecine et encore plus. Je vérifie si Slang est encore conscient et avec chance s’il est lucide. Les symptômes sont évidents lorsque je le palpe. Il s’agit d’une hémorragie interne et il y a de nombreuses fractures. Je ramasse un bout de vitre et je fais une incision. Le sang coule abondamment par la blessure, mais c’est toujours mieux que s’il s’accumule dans son abdomen. J’appuie pour arrêter l’hémorragie. Je n’ai pas l’équipement nécessaire pour le soigner. Ma radio a été détruite par un projectile. Je cris pour avoir de l’aide et je peux qu’espérer d’avoir le soutien médical le plus rapidement possible pour sauvé l'agent Slang. Je constate que le bilan de la mission est terrible, mais que les menaces sont neutralisé. S’il meurt, il aura fait son devoir et j’aurai fait le mien. J’espère par contre pouvoir compter de nouveau sur cet agent, car il pourrait devenir un élément important de l’agence. Je suis presque qu’émotif comme quoi les nanorobots n’ont pas encore détruit le reste de mon cœur. Ceci doit être le résidu du pouvoir de Slang sur moi. Ma tête fait déjà Tic Tac et il étouffe les battements de mon coeur...
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Lucas Slang
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MessageSujet: Re: Front de Libération des Amis Mutants (FLAM) (PV Slang)   Front de Libération des Amis Mutants (FLAM) (PV Slang) Icon_minitimeMer 29 Juin 2011 - 18:29

Lucas sentit ses dernières forces le quitter. Son pouvoir se stoppa, sa vison était devenue complètement trouble. Sans l'intervention de Robert, Lucas se serait fait massacrer. L'avocat ne vit pas vraiment ce qui se passait. Il était maintenant trop faible, il n'était plus en capacité pour penser clairement. C'était étrange, il avait certes de plus en plus froid, mais en même temps il n'avait plus mal nulle part. Son corps meurtrit quelques instants plus tôt ne le faisait plus souffrir. Lucas commençait à s'abandonner quand il sentit la présence de son coéquipier. Il ouvrit difficile les yeux.

"Je crois qu'on a gagné..."

Il esquissa un léger sourire, avant de refermer les yeux. Ce fut ses dernières paroles, avant de sombrer dans un état léthargique. Il était maintenant à demi conscient, il sentait sa pensée s'éloigner de plus en plus. C'était comme si le monde qui l'entourait ne le préoccupait plus. Il se laissait glisser petit à petit. Il sentit une douleur cependant dans l'abdomen quand Robert lui entailla la chair pour que le sang s'évacue. Lucas esquissa une grimace, mais il n'eut même plus la force d'ouvrir son regard si profond. Fort heureusement pour le jeune homme, le dernier coup d'éclat Bill avait obligé le BAM à une réplique plus forte. Enfin les renforts étaient là. Ils avaient envoyé la cavalerie lourde. Quand les agents débarquèrent dans la salle, ils s'aperçurent du carnage dans la pièce.

"Agent à terre."

Rapidement, toute une équipe médicale, prit en charge, le pauvre corps inerte de Lucas sur un brancard. Quand quelques autres s'affèrent au tour de Robert.
Un supérieur du BAM arriva sur le lieu. Rapidement il avisa sur la situation.

"Vous avez fait votre possible. En tout cas bien joué vous avez réussi à les neutraliser à vous deux. Ne vous inquiétez pas trop on va essayer de le remettre sur pied."

Puis l'homme prit un air grave.

"Agent Mercer, je sais que l'heure est grave pour votre coéquipier, mais nous devons être réactif. Nous devons comprendre et analyser au plus vite ce qui s'est passé aujourd'hui ici. Nous transportons dès maintenant les mutants que vous avez neutralisé et qui sont interrogeables. Je vous demanderais que continuer ce que vous avez entrepris ici. Rejoignez le quartier général. Nous devons nous montrer intraitable et interroger les suspects le plus rapidement possible. Vous ne pouvez malheureusement plus rien pour l'agent Slang."

Il n'y avait pas de place au sentiment dans ce genre de travail. L'affaire cachait surement quelques choses de plus important. Il fallait aller jusqu'au bout. Pendant ce temps, Lucas était évacué inconscient. Le jeune homme était entre la vie et la mort. Ses blessures étaient en effet des plus sérieuses. La dernière confrontation avait été des plus rudes pour le jeune homme. Robert avait fait son possible pour le sauver, le sort de Lucas n'était plus entre ses mains. C'était maintenant au destin ou bien à la médecine de décider de l'avenir du jeune brun.

[hrj: Voila, j'espère que ce dernier post de fin te va. En tout cas je me suis bien éclater dans ce Rp merci]


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