Une nuit de réflexion sur un banc [U-man ou Mimic]

Susan était perdu dans ses pensées, occupée à sirotée un coca assise sur un banc, en début de nuit, seule.
Ses longs cheveux blonds tombaient en cascade sur ses épaules. Ses yeux bleus dans le vague. Elle était pourtant heureuse, maintenant qu'elle parvenait à faire de puissants champs de force.
Elle était parvenu à faire pleins de choses avec ses pouvoirs qu'elle n'était pas capable de faire avant. Etre invisible pendant longtemps était moins éprouvant, et faire un champs de force ne lui prenait plus autant d'effort. Seul hic à son bonheur, ses vagues de force étaient encore peu gerrables, pas très précises. Elle n'arrivat pas à doser son champs de force dans ces cas là.

Susan soupira bruyamment. Pendant combien de temps allait-elle encore devoir contrôler tout ces petits désagréments avec ses pouvoirs ?
Elle avait finit son coca. Elle jeta un oeil perdu à l'intérieur du verre en carton de chez McDonald. Elle le jeta dans une poubelle en fer, non loin de là.
Elle passa une main main sur les plis de sa chemise blanche et tendit ses jambes fermées dans son jean. Elle pencha la tête vers la gauche et examina les graviers qui formaient le chemin qui arpentait le parc. Ses lèvres pulpeuses se pincèrent. Elle n'avait pas entendu la personne se glisser derrire elle. Et un gravier ricochant sur les autres l'en avertit.

Elle se leva brusquement, se retourna vivement et un champs de force se matérialisa devant elle. Les poings serrées, les jambes pliées, le regard bleu d'acier. La personne se trouvait un peu plus loin, dans l'ombre d'un arbre.

- Je n'ai pas d'argent !

L'humour brusque était certe inutile, mais elle l'avait dit d'un ton ferme.

Raphaël venait tout juste d’arriver à New-York. Il c’était dit qu’il devait visiter c’est principaux attraits. Il était plutôt tard, mais le décalage l’aidait au niveau de la fatigue. Bon, le décalage n’était pas vraiment énorme, mais il y en avait, quand même, un suffisant pour l’empêcher de s’endormir tôt.

Il c’était, donc, rendu à Central Park. Il marchait tranquillement suivant les allés en portant, plus ou moins, attention à ce qui l’entourait. Toutes sortes de choses lui passaient en tête. Il pensait notamment à l’événement qui c’était produit, il y un petit moment déjà, sur le massacre des mutants ici. Les mutants s’était fait de nombreux ennemies humains ce jour là, mais si seulement ils avaient sut ce qui c’était vraiment passé…

Raf marchait tête baissé. Il ne portait plus attention à ce qu’il l’entourait. Une voix s’éleva dans la nuit, alors qu’il se croyait seul. Ça ne faisait même pas 1 semaine qu’il était à New-York et il avait déjà affaire à des brigands dans la nuit.

Citation :

« Je n'ai pas d'argent ! »

Raf comprit, après avoir bien entendu la phrase, qu’il n’était vraiment en danger. Surtout que la voix venait d’une jeune fille seule. Par contre, la fille était sur ses gardes, mais Rafaël n’avait pas de mauvaises intentions. Il n’avait pas l’habitude d’être prit pour un brigand.

« Et vous en voulez? » dit-il sur un ton sarcastique, mais aimable.

U-man leva les mains devant lui pour montrer qu’il n’était pas armé et qu’il ne lui voulait aucun mal.

« Il ne faut avoir peur, je ne veux pas votre argent. Je…je ne faisais que marcher, dans Central Park. »

Tout en parlant, il s’approchait lentement de la demoiselle sans faire de mouvement brusque pour ne pas lui faire peur inutilement

« Vous ne devez pas être du coin puisque, selon ce que j’ai entendu dire de New-York, il est dangereux pour une jeune fille, comme vous, de se promène seul dans les endroits peu fréquenté. »

Raf se trouvait, maintenant, devant la jeune fille. Il ne l’avait pas bien vu d’où il se trouvait, mais de proche, il pouvait remarquer l’extraordinaire beauté de Suzie.

« Wow…Je …je veux dire je m’appelle Rafaël, Rafaël Verchère! Et vous? », balbutia-t-il, tout en lui offrant une poigné de main.

Hrp : Désolée du retard

Susan sourit au fait que ce n'était pas un brigand qui s'approchait mais en vérité un charmant jeune homme. Elle abaissa doucement osn champs de force te serra la main douce du jeuen homme.

- Enchantée Raf !

Un peu de familiarité dans ce monde de brute ne ferait pas de mal.
Les yeux de Rafaël scrutèrent Susan avec un petit sourire. Elle n'y prêta pas attention et se contenta d'écouter ce qu'il avait à dire.
Elle lui sourit, secoua ses cheveux blonds comme elle savait si bien le faire et répondit.

- Je m'appelle Susan Storm. Mais tu peux m'appeller Suzie.

Elle examina alors le fort beau jeune homme qui se tenait devant elle. Elle aimait assez sa façon de lever les mains pour dire qu'il n'avait pas d'arme, son ton sympathique presque un peu trop.
Elle se sentait un peu au dessus de lui et, en toute vantardise, lui leva un sourcil aguicheur. Elle avait envie de le taquiner, puisqu'il n'était pas méchant...
Elle se ravisa en réalisant qu'il n'était peu être pas du tout ce qu'elle pensait qu'il soit. (Que diantre! C'est horrible à écrire!)
Et s'i n'était pas un mutant ? Et s'il ne jouait qu'un jeu ?
Susan se rappela alors qu'on lui avait parlé d'une attaque de mutants un soir à Central Park.

Ce n'est pas grave, Raf était mignon et n'avait pas l'air très méchant, au pire, elle l'enverrait dans les arbres d'un coup de champs de force.

- Qu'importe les dangers de Central Park !
Je suis une grande fille...


Elle lui adressa un petit clin d'oeil en attendant sa réponse.

Raf sourit à la dernière phrase de Suzie et s’empressa de répondre :

« Je n’en doute pas du tout, mais une main secourable peut toujours être utile. Et comme on dit, mieux vaut prévenir que guérir. »

Raf ne pouvait s’empêcher de sourire. Il se disait en lui-même :

* C’est impossible! Je suis à New-York depuis même pas une semaine, c’est la nuit, on est à Central Park… et si je m’attendais à y rencontrer un ange *

« Vous habitez depuis longtemps à New-York? »

* Mais qu’est-ce que je raconte? Je suis, vraiment, l’homme le plus idiot du monde! Il faut bien que je sois un génie pour sortir une phrase comme ça. Ca va être quoi ensuite? T’habite encore chez t’es parents? *

Raf se trouvait nul de ne trouver rien d’autre à dire à la jeune femme. Il devait, rapidement, trouver quelque chose d’autre à dire pour se rattraper.

« Moi, je viens tout juste d’arriver à New-York! Et je… »

Rafaël fut soudainement arrêter par un bruit. Le bruit venait d’un peu plus loin derrière Rafaël et Suzie.

« Qu’est-ce que c’est que ce vacarme? » dit Raf à voix basse.

Tout en parlant, Rafael avait prit la main de Suzie et l’avait entraîné un peu plus à l’écart. Il voulait trouver une façon de voir ce qui se passait sans être vu.

Plus loin, se trouvait 2 hommes avec une bouteille d’alcool à la main et qui semblait complètement ivre. L’un des 2 hommes semblait raconter une histoire à l’autre.

- « J’étais juste là et je la regardais droit dans les yeux. Et là je lui ai dit tu vas mourir *BIP* de mutante et là j’ai sorti mon revolver et j’ai crié Priority Species. Et Bang Bang BANG! » dit le conteur
- « Et tu l’as tué? » répliqua l’autre.
- « Nah, elle s’est volatilisé juste avant. MAIS, je l’aurais eu si elle n’avait pas été un de ces monstres. »

Raf et Suzie écoutait la conversation. Rafael était complètement outré. Toutefois, il ne le démontrait pas. Il n’avait toujours pas remarqué que Suzie était une mutante et ne savait pas ce qu’elle pensait du phénomène mutant.

Il se retourna et regarda Suzie pour y voir une quelconque réaction…

Susan n'eut même pas le temps de répondre de rire à la question de Raf. Que déjà il changeait de sujet.

- Moi, euh je...

A nouveau il l'interrompit, elle devint rouge lorsqu'il lui saisit doucement la main et l'entraîna au loin, pour examiner d'où venait le bruit sans être vu.

Les deux Hommes parlaient de mutants, et sans doute l'un deux avait distingué Susan ou une autre mutante. Susan considéra les deux hommes avec un regard triste, pourquoi les hommes n'aimaient-ils pas les mutants ? Pourquoi agressaient-ils tout ceux qui les croisaient ?

Susan était restée silencieuse. Elle sentit une haine féroce montée en elle, ainsi qu'un flot de larmes incontrôlable. Lorsque Raf se tourna vers elle à la recherche d'un réaction, Susan avait une petit mine et un regard embué de larmes. Etait-ce elle qu'on avait essayé d'abattre ? Elle ne savait plus, ne s'en souvenait plus...

Elle n'avait toujours pas lâché la main de Raf...

Rafaël sentait la pression que Suzie faisait sur sa main. Il avait réussit à lire l’émotion dans le visage de cette dernière. Ce n’était pas difficile, elle était presqu’aux larmes. Pourtant, sa réaction ne lui disait toujours pas si elle était mutante triste ou si elle était seulement une humaine apeurée.

U-man ne pouvait pas rester comme ça à entendre parler c’est 2 hommes sans rien faire. Surtout qu’il semblait faire mention de l’événement ou plutôt le massacre de Central Park. U-man se retourna vers Suzie et prit le ton le plus réconfortant possible.

« N’est pas peur. Tu vas voir quelque chose de surprenant, mais ne t’en fait pas c’est rien de méchant. Je vais aller voir ces hommes et revenir bientôt. »

Il lâcha la main de Suzanne et prit c’est 2 épaules.

« Reste ici, il ne t’arrivera rien. »

U-man posa sa main sur sa montre et enclencha un petit mécanisme. Un petit bruit d’aire se fit entendre et le visage de U-man commença à se faire flou. Son visage était, maintenant, complètement imperceptible et des mots (le mot : U-Man) était apparu un peu partout sur ces vêtement.

U-man se retourna et sortie de sa cachette. Les 2 hommes se retournèrent en sursaut. U-man lança :

« Bonjour messieurs! »

Il restait là, à proximité des 2 hommes sans bouger, arborant fièrement une posture droite faisant penser à celle des super-héro de bande dessiné.

« Une belle nuit ne trouvez-vous pas? Le seul hic c’est que si vous restez ici elle sera beaucoup moins plaisante pour vous. Alors vous partez tout de suite, ou sa pourrait devenir déplaisant. »

U-man n’avait pas l’habitude de menacé les gens comme ca. Il ne voulait pas vraiment se battre. Ce n’était pas dans son habitude de chercher le combat auprès des gens soul et sans décence. Il avait tout de même fait exprès pour que sa phrase démontre le goût du combat alors que lui n’aurait fait qu’appeler les policiers. S’il avait à se battre et bien tant mieux, il mourrait d’envi de donner une leçon à ces anti-mutants.

HRP : Si tu veux, tu peux faire bouger les PNJs que j’ai fait apparaître.

[Hrp : Désolée du retard mon petit U-man]

« N’est pas peur. Tu vas voir quelque chose de surprenant, mais ne t’en fait pas c’est rien de méchant. Je vais aller voir ces hommes et revenir bientôt. »

Susan tressaillit. Bien qu'elle était capable d'écraser à l'aide d'un champs de force les deux personnes en présence, quelque chose la terrifait à l'intérieur d'elel et l'attitude étrange de Raf n'arrangeait rien.
Son ton se voulait rassurant, mais lorsqu'il actionna sa montre et que son visage devint flou, Susan retint un cri d'étonnement.
Elle le vit alors s'approcher des deux hommes.

Un discussion s'engagea. Bientôt un des deux hommes se mit à regarder aux alentours en prononcant des jurons. L'autre, apparemment plus sobre, toisait du regard Raf, debout droit et obstinément figé dans un air de défi.

- Où est-ce qu'elle est l'autre monstre ?

Hurla celui qui semblait avoir un petit coup dans le nez.


Partit devant, décidé, Raf n'avait pas vu Suzie ôter ses habits en toutes hâte et devenir invisible, le suivant, touchant presque son dos...

U-man ne comprenait pas ce que l’homme voulait dire par : « Où est-ce qu'elle est l'autre monstre ? » Il ne savait pas non plus que Suzie se tenait juste derrière lui. En fait, il ne contrôlait pas grand chose et il le savait. Toute fois, il était loin de se douter qu’il contrôlait encore moins de chose qu’il ne le pensait.

« Je vous ai dit de partir! Qu’est-ce vous ne comprenez pas la dedans? »

U-man tentait d’avoir l’air le plus menaçant possible. Habituellement, les gens étaient un peu intimidés, lorsqu’il voyait un homme qui avait le visage flou. En plus que les 2 hommes était soul, sa n’aide jamais beaucoup lorsqu’il est temps de retrouver son calme et de faire face a l’inconnu. Mais aucun des 2 hommes ne craignait L’homme sans visage et même qu’ils commencèrent à rire de bon cœur.

Leur attitude changea soudainement. Ils reprirent tout 2 une posture plus droite et du même coup leur esprit.

U-man fut prit de surprise lorsqu’il vit que l’attitude des 2 hommes changea rapidement.

« Je ne répéterai pas! » dit Raf sur le ton le plus assuré et dure possible.

U-man fit un pas devant pour continuer dans son élan de menace qui avait pour but de faire peur aux 2 hommes pour qu’ils prennent leurs jambes à leur coup. Mais encore une fois ils ne bougèrent pas.

U-man ne comprenait plus rien et surtout commençait à sentir que son petit stratagème ne menait a rien et qu’il se cachait bien plus derrière tout sa que ce qu’il en paraissait.

Sortant de nulle part plusieurs hommes armés de bâtons, de couteaux et d’armes diverses et apparurent autour de Raf et des 2 soulons.

* J’aurais du flairer le piège. Je viens de me faire avoir comme un débutant…Ouai…Il faut dire que je suis plutôt débutant dans les pièges dans les parcs. Donc, je me le pardonne. Mais là, j’ai d’autres chats à fouetter *

C’était clair maintenant qu’il n’y avait eu aucun soulon et que ces deux hommes jouaient plutôt les appas.

« Je fais les présentations : vous êtes les mutants et nous sommes Priority Species… Enchanté » lança un des hommes.

U-man quand à lui avait gardé son calme. Il avait fait très peu attention à la remarque de l’homme. Ce qu’il avait fait, en contre parti, c’était d’analyser la situation dans c’est moindre détails comme il savait si bien le faire.

« L’espèce prioritaire? Et bien moi je suis l’espèce dominante! » Lança U-man avant de courir vers l’un des hommes armé d’un bâton. Durant sa course, U-man ne souhaitait qu’une chose c’est que Suzie soit hors de danger.

Le dialogue entre Ralf et les autres, Susan ne le comprit pas très bien.

[EN COURS]