Que dois-je faire maintenant? (PV avec Jean/Phenix)

Jean entendit la question qu'il se posait, question assez pertinante: jusqu'à quel point les emotions jouaient un rôle sur les pouvoirs? Jean serait tentée que ça pouvait aller très loin, les émotions dominaient souvent. C'est comme pour un être humain normal: lorsqu'il est en colère il ne se contrôle pas forcément et peu facilement avoir des gestes violentes ou des paroles vexantes qu'il ne pense pas forcément. C'est sensiblement la même chose pour les mutants sauf qu'eux ont des pouvoirs et qu'ils perdent le contrôle. Ainsi Jean peut faire trembler une pièce, ou peut même faire pire si elle ne se contrôle pas...Elle répondit donc à son futur nouvel élève:

"Et bien elles restent très importantes. Les humains aussi sont sujets à leurs émotions, de la même manière que les mutants sauf qu'ils n'ont pas de pouvoirs..."

Puis il lui raconta que voir le monde peu à peu se détruire lui faisait mal. C'était aussi ce qu'elle se disait. Les gens changeaient entre chaque génération et pas toujours en bien. Certes le nombres de crime avait augmenté mais on pouvait aussi remarquer un irrespect incroyable de la par des jeunes, aucune culture, de la violence...On pourrait même presque penser que les gens revenaient à un état primaire par leur manque de respect, d'humanité. Les mutants étaient haïs, et le racisme ne cessait de croitre...Jean détestait le monde qui naissait petit à petit dans les moeurs.

"Tu as raison, rien ne s'arrange et alors que tout devrait aller mieux compte tenu des avancées dasn les sciences, le temps, les mentalités...Tout ne fait qu'empirer...Et pour le pouvoir de ton père, figure toi qu'à l'Institut nous avons justement une mutante dotée du même pouvoir...Elle s'appelle Ororo Monroe, mais son nom mutant est Tornade...Tu pourras sans doute la voir à l'Institut"

Ensuite elle déclara:

"Tu verras, la vie à l'Intitut est géniale et les autres élèves sont supers..."

Ainsi, il avait raison. Les sentiments jouaient un rôle sur les pouvoirs, tout comme les humains sur leurs actes, qui pouvait entrainer une adrénaline et tout le monde sait que, avec l'adrénaline, on peu déplacer des montagnes. Mais le jeune homme eu quelque crainte... que ce passerait si jamais son acte lui remontait à la tête? Cela pourrait affecter sur son pouvoir et tuer quelqu'un. Quelque chose bouillait en lui et ne demandait que ça à sortire du corps de cette homme, le dragon en était un exemple. Les yeux du jeune homme redevinrent voilé de vert car la voix se refit entendre. Il se demandait bien où elle pouvait arriver...

*Encore cette voix... d'où vien d'elle? Je pourrai peut-être trouver quelque chose dans cette école. Il y à peut-être un autre mutant qui à subit les mêmes choses que moi...*

Il sourie à Jean. Elle était très apaisante. Elle lui montrait qu'il était surment pas dangereux, du moins, Walter l'espérait. Il igniorait que devant elle se tenait une femme contenant un énorme pouvoir instable. Mais pour lui, il avait devant lui une simple jolie jeune femme qui lui voulait que du bien, rien de plus. Il espérait qu'ils pourraient devenir amis. Oui, il rencontrerait des gens dans l'école mais il voulait tout de même devenir un ami. Alors, cette femme approuva ses dirent... le monde changeaient.

*Au moins, il n'avait pus de chasse au sorciers pensa t-il.*

-Mais une question,... dans les années 1500, les gens ont tuer plus d'un million d'être humain parce qu'il croyait qu'ils étaient des sorciers... étaient-ils en faitent des mutants?

Jean ressentit la crainte qu'il avait de perdre un jour le contrôle. C'était étrange: elle revoyait ses propres émotions à travers le jeune homme, elle se voyait en lui. Crantif de perdre le contrôle un jour, c'était ce qu'elle était. Elle avait sans cesse peur de voir ses pouvoirs lui échapper, de se sentir à nouveau enfermée dans son propre corps tandis que sa seconde personnalité montrait l'étendue de son pouvoir en transformant les êtres qu'elle voyait en un nuage de fumée. C'était très dur de vivre dans cette hantise... Elle ne dit pourtant rien de plus: pas la peine de le faire de nouveau fuir! Elle savait, pour avoir déjà vécu avec un télépathe combien il été désagréable de savoir que quelqu'un en face de nous peut connaitre chacune de nos pensées. Elle essayait de faire abstraction c'est vrai, mais ce n'était pas facile...Puis il lui posa une question:

"C'est possible...En tous cas certains, ou même peut-être beaucoup pouvaient l'être. Après tout à ce jour l'existance des sorciers n'a jamais été prouvée contrairement à l'existance des mutants. Peut-être ces sorciers étaient en fait des mutants. Il y en a eu à toutes les époques, cependant beaucoup comprenait qu'il devait se cacher, ou alors en payer le prix."

Elle ne savait pas bien ce qu'étaient réellement ces sorcières: ce qu'elle savait par contre c'était que comme tous scientifiques elle avait des idées très fermées. Les mutants existraient: elle ne était elle-même une preuve. Despreuves scientifiques qu'elle vait étudiées et démontrées le prouvaient en plus de sa simple présence sur terre. Mais à ce jour elle n'avait pas encore la preuve de l'existance de véritable sorcières, perchées sur leurs balais et armées de leur baguette et leur chat noir. Elle ne savait pas bien mais un doute restait:

"Je pense toutefois que ces prétendues sorcières étaient pour certaines, des êtres humains normaux, guère aimés de la société et dont on voulait se débarasser..."

Elle lui sourit, oui, depuis la nuit des temps la vie était dure et cela durait depuis toujours, depuis la naissance de la terre. Ce n'était pas au 21°siècle que les choses allaient changer malgré l'idée de l'évolution des mentalités.

"C'est la nature humaine qui veut ça: elle a peur, toujours...Et en particulier de ce qu'elle ne comprend pas."

Walter semblait par moment ailleurs, et elle voyait sur son visage qu'il essayait de comprendre quelque chose. Il était surpris et Jean en savait pourquoi. Elle fronça les sourcils tandis que Walter lui répondait qu'il était assez d'accord selon l'idée que les Humains ne comprenaient pas les mutants, mais qu'il y avait pourtant des exceptions. Heureusement d'ailleurs parce que sinon il y avait de fortes chances pour qu'un combat ait déjà commencé. Un gros combat opposant les humains et les mutants. Si aucun humain n'était tombé amoureux d'un mutant au point d'oubler ses préjugés, ou si aucune humaine n'avait donné naissance à un mutant qu'elle aimait et pour qui elle était prête à tout ce serait terrible. Pour l'instant il restait encore certains parents qui aimaient leur enfant malgré malgré son gène mutant. Ce n'était malheureusement pas le cas de tous...

"Tu as eu de la chance: je ne compte pas le nombre d'élèves de l'Institut rejetés par leurs parents. Heureusement que certains humains sont là..."

Puis il lui proposa quelque chose, ou plutôt lui dit qu'il pouvait lui proposer quelque chose. Elle regarda sa montre. C'est vrai qu'il était tard mais elle n'était pas vraiment préssée. Et le jeune homme avait attisé sa curiosité avec ce qu'il comptait lui proposer! Il partit se chercher un gilet et à son retour elle demanda:

"Je t'écoute, je ne suis pas vraiment préssée, et je suis très curieuse"

Elle lui sourit, très amusée, et impatiente de savoir ce qu'il avait à proposer.

La jeune femme rougit en comprenant qu'elle n'avait pas bien compris ce qu'il lui disait. C'est à dire qu'elle était toujours très emballée par les discussions et elle avait parfois l'habitude de ne pas pouvoir s'arrêter suivant le sujet, ou suivant la personne. En fait Jean était une grande bavarde, tant qu'on ne parlait pas d'elle...Walter lui proposa de s'asseoir ainsi qu'à boire. C'est vrai que Jean avait un peu soif, mais elle ne voulait pas déranger:

"C'est vrai que j'ai un peu soif...Je prendrai de l'eau.Tu veux un coup de pouce?"

Si elle pouvait l'aider à servir ce serait avec plaisir. C'était l'avantage de la télékinésie c'est qu'elle n'avait même pas à lever le petit doigt! Il la servit tout de même avant de continuer la discussion. Jean sourit, elle espérait toutefois qu'il avait bien envie de continuer à parler et qu'ilne le faisait pas pour lui faire plaisir! Elle rit à la référence d'Harry Potter, elle aviat lu les livres, comme beaucoup:

"Les humains connaissent l'existance des mutants, mais à mon avis une telle alliance n'est pas possible: dans Harry Potter les gentils sorciers et les humains se battaient pour une même cause. Dans notre cas c'est différent, les humains veulent détruire tous les mutants, pas seulement les méchants ou les gentils..."

Walter était déçus. Alors, il n'y avait aucun être humain haut placé qui saurait les soutenires? Pas la moindre de petite personne qui saurait dire que les mutants ne sont pas tous une nuisance. Car c'est vrai... si vraiment les mutants étaient la pour détruire les gens qui ne sont pas comme eux, cela aurait été fait depuis très longtemps. Ensembles, les mutants pourraient dominer le monde, à ce que pensait Walter...

-Mais, ils ne réfléchissent donc pas... si vraiment nous étions tous mauvais, cela ferait longtemps qu'un génocide aurait été fait pour se débaraser des mortels, que les mutants serait Roi et Maître de la terre. C'est comme moi par exemple. Si je serais capable de bien contrôler mon pouvoir, que je serais capable de l'étendre, je transformerais la Terre en une gigantesque forêts mais je ne veux pas, c'est pas normal... et toi, avec tes pouvoirs, tu serais surment capable de faire plier en deux une armées j'en suis certain.

Une faible lumière brillait dans ses yeux. Il était fiert de sa théorie. Il était vrai ce qu'il dissait. Mais de nouveau... la voix se fit entendre mais cette fois, il pus la comprendre....

*... tue les...*

*Tue les?... qui est donc cette voix...*

Jean sentit Walter déçu, et elle se reprit aussitôt: en fait elle avait un peu poussé le bouchon un peu loin: il y avait en effet un mutant au sein de l'état américain ainsi que des hauts placés pour soutenir le genre mutant, mais malheureusement pas assez:

"Il y a tout de même un mutant dans l'état américain humains qui nous représente, le ministre des affaires mutantes, et puis certains humains sont sont un peu pour les mutants, mais trsè peu, pas assez pour préserver une paix durable...Et certains mutants n'aident pas non plus"

Les Confréristes n'arrangeaient pas vraiment la situation pour tout dire. Leur point de vue était à peu près compréhensif, ils voulaient sauver les mutants...mais pas seulement: en voulant asservir les humains ils étaient en train d'aggrandir les problèmes relationnels entre humains et mutants. De la même manière, les X Men tentaient d'éviter une guerre. Les humains ne les aidaient pourtant pas zt été plus dans l'idée de combattre tous les mutants sans réfléchir à qui leur veut du mal ou pas. Pour Jean les responsables étaient leshumains parce qu'ils avaient été les premiers à montrer les gens différents, et les mutants du doigt, effrayant ainsi ses semlables. Mais son point de vue restait discutable et elle le savait.

"Je suis d'accord avec toi Walter, cependant il faut aussi comprendre que les humains ne peuvent pas savoir qui sont ceux qui leur veulent du mal et ceux qui leur veulent du bien. Et si ils baissaient la garde je ne suis aps sure qu tous les mutants veulent encore continuer à vivre avec les humains. Ca fait des siècles que les mutants souffrent et s'ils n'étaient pas divisés en plusieurs clans..."

Elle espérait avoir pu aider Walter à comprendre. Ce qu'elle avait voulu dire c'est que les mutants avaient développés un racisme eux aussi. La peur s'était, pour certains, changée en haine et une idée de supériorité. Quand au pouvoir e Jean, elle ne voulait même pas savoir de quoi elle était capable: elle en avait déjà eu un aperçut et elle ne voulait plus voir ça. Walter paraissait fier de lui ce qui fit sourire Jean.

Walter ne semblait pas vraiment ravi de la réponse de Jean ce qui s'expliquer assez bien tout de même. C'est vrai que cette situation était un peu absurde. Toutefois, Jean se disait que de toutes les façons de nos jours la vie était ainsi, emplie de guerre...Il fit remarquer que si les humains venaient à ataquer il ferait de même. Ils ne les laisserait pas faire. Cela paraissait normal à Jean, même si elle se disait que dans un monde idéalisé, ou un monde qui aurait pu être le leur sans les idées humaines, bien souvent destructrices et impitoyables, cette solution de devrait jamais avoir lieu!

"Je pense que lorsqu'un des groupes, qu'il soit mutant ou humains se décide à faire la guerrre pour de vrai les morts seront nombreuses...mais des deux côtés."

Elle avait précisé pour de vrai parce que pour l'instant les deux clans n'avaient pas d'affrontements vraiment bruteaux. Ils se battaient avec des moyens un peu détournés comme si aucun des deux ne voulait s'affronter directement, préférant les morts un peu secrètes, les usurpations d'identité, etc...Et pour Jean, même si les mutants avaient l'avantage au premier abord de par leurs pouvoirs, il n'était pas dit que les humains n'aient aucune chance: les pouvoirs des mutants étaient reproduisables en tant que machines chez les humains, et chez les humains c'était remplaçable, pas chez les mutants. Si un mutant au pouvoir très utile perdait la vie, le pouvoir était aussi perdu (sauf s'il y avait un autre mutant ayant le même). Par contre les humains avaient plusieurs exemplaires de chaque armes avec eux...Et autre point pour eux: ils étaient unis. Chose que les mutants n'étaient pas.

"Je pense que les humains ont peur, qu'ils ont peur de se faire dépasser peut-être, peur parce qu'ils ne comprennent pas, peur pour un nombre incalculable de choses...Mais ce n'est que mon avis bien sur. Beaucoup te diront que c'est de la pure méchanceté, ou une envie incroyable de tuer sans cesse."

Le jeune homme fixait un pot sur sa table. Il écoutait chaque parole de la jeune femme tout de même mais, il voulait voir si il serait capable de peut-être y faire pousser une fleur qui n'existait pas ou qui ne poussait que dans des endroits différent ou par des méthodes d'association comme pour les roses de différente couleur. Il leva la main et une petite pousse surgie du pot et une magnifique fleur, un Lis Oriental. (). Il la prit et la regarda. La mort... Oui Jean avait raison. Les humains avaient peur et c'était les causes de leur actes. Il regarda cette fleur qui venait de jaillire du pot. Elle représentait une des beautées de cette planète...

-Je suis d'avis avec toi Jean... mais pourquoi tout faire cela? Et faire pire, comme détruire la Terre elle même... ce sont des êtres vivants comme sa qui sont détruit. Je peux entendre les plantes gémirent de douleur. Je peux les sentirents perdre leur vie... Tu sais Jean, oui il existe encore bine des forêts. Mais, selon toi, combien maintenant son aussi vivant que nous? Très peu... toute ces magnifiques choses naissent maintenant sans vie. Elles sont la simplement pour permettre à la Terre de garder une partie de sa beauté, mais à quel prix... Il faut leur montré au Humain se qu'ils sont en train de faire à cette terre qui nous habrite, qui nous permets de vivre...

Jean se demandait si Walter écoutait ce qu'elle disait: il regardait la table, ou plus précisément un pot de flaur. Elle se demandait ce qu'il voulait faire..à moins bien sur que ce qu'elle racontait ne l'interessait vraiment pas. D'un côté s'aurait été normal, après tout tout le monde n'était pas censé s'interessait aux même choses qu'elle. Elle allait lui faire remarquer qu'ils pouvaient changer de sujet quand une fleur qu'elle n'avait jusqu'alors jamais vu poussa à l'intérieur du pot qu'il fixait...Elle écarquilla les yeux:

"Elle est superbe...Qu'est-ce que c'est, je n'ai encore jamais vu de telles fleurs"

Elle avait demandait cela en caressant doucement les pétales rouges de la fleur qu'il tenait maintenant dans ses mains. Puis il lui répondit, prouvant qq'il avait écouté ce qu'elle disait. Sa visoin des choses étaient différente de la sienne mais elle en arrivait au même point. Celle de Jean la ramenait à surtout réfléchir en fonction des êtres humains, de leur santé, de leurs états d'âmes, de leurs pensées...Celle de Walter était plus basée sur la végétation. Mais dans le fond elle en arrivait au même point...Jea ns'était toujours plus sentie concernée par les hommes, par hommes elle entendait aussi les mutants qui étaient pour elle des êtres humains comme les autres. La psychologie l'avait otujours passionnée...

"Je vois à peu près ce que tu veux dire...En fait je n'avais jamais trop réfléchit comme ça mais je pense que tu as raison. Avec l'avancée technologique, les armes et tout ce qui va avec, ce qui nous permet de vivre disparait lui aussi en mourant..."

C'était triste quand même...

Le jeune homme sentait cette fleur vivre. Elle possédait plus de vie que bien des arbres dehors. Il comprit que sont pouvoir ne permettait pas simplement de créé la vie, il lui permettait aussi de la donné à ses créations mais, il ne put retenir cette fleur et elle fit l'étape de son évolution à l'inverse. Il se sentait épuiser. Jean lui avait demander qu'elle était cette fleur. Il se rappela de l'avoir déjà vue dans un jardin botanique. Il se demanda alors si lui aussi pourrait s'ouvrire un de ses jardins sauve que lui, il n'aurait pas à dépenser de l'argent pour les plantes...

-C'est un Lis Oriental... c'est une fleur que j'ai vue un jour lors d'une visite dans un jardin botanique. C'est fou ce qui peut y avoir de magnifique plantes... mais crois tu que je pourais en ouvrire un moi même? C,est vrai, pour moi, sa couterais rien pour acheter les plantes.

Il sourie. C'étais maintenant un rêve qu'il voulait faire. Il le crérait sans ce cacher qu'il est mutant. Il voulait ainsi montré la beauté de la nature, celle qui était en train de disparaitre. Walter ne voulait pus penser à ce que l'homme fesait, car, de plus en plus, il haïssait les humains. Ils détruisaient tous sans s'en rendre compte...

-Alors... dans cette école... es-qu'il y à un jardin?

La fleur semblait s'éteidre doucement tandis que Walter lui donnait son nom: c'était un Lis Oriental qu'il avait aperçu un jour. Ainsi son pouvoir lui permettait de faire naitre des fleurs qu'il avait déjà vu, mais qu'en était-il des fleurs qu'il n'avait vu qu'en photo ou pas du tout? Peut-être pouvait-il créer sa propre variété de plante qui sait? Mais bon, Walter se posait toutefois assez de question sans que Jean en rajoute, ce ne serait pas sympa de faire ça, d'autant plus qu'elle pourrait enlever le suspens si un jour, Walter faisait naître une nouvelle variété de plante! Il lui demanda alors si elle pensait qu'il pourrait se créer son propre jardin botanique. C'est vrai que ce serait le rêve pour lui: il serait en compagnie des plantes qu'il chérissait tant, un vrai bonheur. Et c'est vrai qu'avec Walter pour les soigner les plantes iraient surement souvent meiux, elles seraient bien avec quelqu'un qui les respecte!

"Je pense que tu devrais pouvoir faire ça...Evidement les temps sont un peu durs pour les mutants alors, la discression serait peut-être pas de trop mais je pense que c'est une excellente idée que tu n'auras aucune difficultés à réaliser!"

Elle avait rajouté la partie sur al discression lorsqu'elle avait entendu le rêve de Walter: cacher qu'il était mutant pourrait sans doute être plus judicieux par les temps qui courraient. Mêmes'il y avait une possibilité qu'après ses études à l'Institut la situation ait changé, il valait pour l'instant au moins se faire discret. Etre fier de ce qu'on est c'est bien, mais il aut aussi apprendre à être assez discret pour ne pas le crier sur tous les toits à ses risques et périls! Elle sourit ensuite en l'entendant parler d'un jardin à l'école:

"Tu verras, il y a un magnifique jardin avec toutes sortes de fleurs, de plantes, d'arbres...C'est un parc gigantesque"

Être en compagnie de Jean était bénéfique pour Walter. Elle lui remontait le morale et lui permettait de créé de nouveaux rêves. Il y avait de l'espoir et vue que sa mère avait raison. Il ne sert à rien de désespérer tant qu'il y à de l'espoir... et le jeune homme en voyait. Une école parfaite pour lui, un nouvel avenir... il ne manquait plus qu'une nouvelle copine... mais pour sa, il avait en masse de temps. La vie est assez longue pour vivre bien des choses. Plus rien n'arrêterait maintenant le jeune homme. Plus le temps avanceait et plus il vue le soleil se lever. Mais, il n'était pas fatiguer. Il voulait partire d'ici au plus vite pour voir cette école. Il irait avant tout donner un trois mois de loyer et ainsi, briser son bail qui le retenait dans cet appartement.

Il comprit parfaitement où voulait en venir Jean sur la discretion... Il ne voulait surtout pas être pointer du doigt et se faire appele ''Le Monstre''. Sa c'était produit pour son père. Et pour le jardin de l'école, Jean lui dit qu'il y en avait un magnifique. Il sourit et il dit.

-Et bien... j'en jugerai moi même...

Et il lui fit un clin d'oeil. C'est alors que son cellulaire sonna. C'était l'heure de ce préparer pour l'école et il dit.

-Euh... dois-je aller à l'école tout de même? Ou je peux annoncer mon départ et commencer mes bagages?

C'est vrai qu'au sujet du jardin il devait sans doute faire partie des plus à même de juger la diversité des plantes et leur état. Et pourtant pour Jean le parc de l'Institut était vraiment un lieu reposant et agréable où elle pourrait passer ses journées. Bien souvent elle se mettait sur la terrasse pour ire un bouquin ou travailler avec devant elle toute la vue que pouvait lui offrir l'endoit...Le cellulaie du jeune homme sonna alors: sans doute l'heure pour lui d'aller à l'école...Il lui demanda s'il devait y aller ou plutôt faire ses valises et la suivre à l'Institut. Jean leva les mains en signe d'ignorance et pour montrer que ce n'était aps vraiment à elle de dire quelque chose là-dessus:

"Alors là c'est toi qui voit mon grand: tu fais ce que tu préfères ou que tu juges le mieux pour toi. Tu viens vraiment quand tu veux à l'Insitut: il n'y a pas de rentrées attitrées...En tous cas si ça t'interresse tu peux toujours venir en cours à l'Institut, il y en a là-bas aussi et les professeurs sont très compétants"

Pour Jean l'important était qu'il fasse ce que lui voulait. Elle n'allait pas lui imposer son jour d'entrée en plus que la décision de lui faire quitter son école! C'est vraiment ce qu'il veut qu'il doit faire. Comprenant qu'ils allaient devoir se lever elle usa de sa télékinésie pour mettre le verre de Walter ainsi que le sien qu'elle tenait dans ses mains pour les déposer doucement dans l'évier, sans vraiment regarder, gardant les yeux sur Walter. C'était à lui de décider ce qu'il voulait

Walter attendait impassiament la réponse de cette jeune femme. Il ignorait se qu'il devait faire... de plus, es-ce que c'était gratuit ou il devrait payer pour entré dans l'école de Xavier? Pour cela, il ferait appel à ses parents. Il savait qu'ils seraient ravis de savoir qu'une école, comme l'Institut, pouvait exister pour les mutants. Il vit les verres voler vers l'évier et Jean se lever pour répondre que c'était à lui de prendre les décisions. Il sourit et il dit.

-Alors mon choix ne sera pas difficile... laisse moi cinq minutes, je vais préparer mes affaires. Après je règle mon loyer, j'appel l'école pour donner mon départ et je vais appeler mes parents pour les prévenir... au fais... ont doit surment payer quelque chose pour entré à l'école non?

C'est vrai... il fallait tout de même de l'argent pour faire vivre une école à moins que...

-... a moins qu'il y à des personnes à l'école qui sont capable de reproduire l'électricité, la nourriture et tout ce qui faut pour l'école et ainsi, rien couté pour vivre... dans mon cas, je pourrai surment reproduire fruit et légume. Qu'il soit d'ici ou d'ailleur.

L'étrange vois se fit de nouveau entendre...

*... tu peux faire plus...*

*Encore elle... je vias devoir travailler dessus...*

Sa réponse sembla réjouir le jeune homme qui lui dit que le choix n'était pas des plus difficiles à faire. Jean sourit à son tour tandis qu'il lui disait avoir deux trois choses à faire comme de préparer ses affaires, de prévenir l'école, et puis appeller ses parents. C'était agréable de le voir tellement emballé par l'idée de venir à l'Institut. C'est vrai qu'un institut fait exprès pour les mutants n'étaient sans doute pas une chose à laquelle les jeunes s'attendaient. Une question vint alors à l'esprit du jeune homme et il la lui posa faisant sourire Jean. C'est vrai que dans son cas l'argent ne devait l'embeter. Pas au sens que dépenser ne devait pas être un problème: suivant le revenu des parents ça devait l'être. Toutefois le fait de devoir en parler à ses parents ne l'était pas si le père lui-même était un mutant:

"Non ne t'inquiète pas, tu n'as rien à débourser"

Et d'un côté c'était assez compréhensible: les jeunes mutants dont les parents n'avaient que peu d'argent où qui fuyaient chez eux ne pouvaient bien souvent pas payer quoi que ce soit. Walter proposa toutefois une solution selon laquelle certains élèves devaient pouvoir produire de quoi survenir aux besoins de l'école. Le regard de Jean se fit énigmatique tandis qu'elle répondait:

"Et bien Mr Walter, vous saurez sans doute cela un jour...pour l'instant sachez, qu'à mmoins ce que vous ne le vouliez, on ne vous demandera rien d'autre que de respecter quelque règles pour le bien être de tous."

les règles étaient innébvitables dans n'importe quelle école pour que tous les membres puissent vivre en communauté. De la même manière qu'il fallait les respecter pour éviter de se faire taper sur les doigts^^

Walter avait écouté tout ce qu'elle avazit dit. C'était déjà bien de savoir qu'il n'était, ou ne selblait pas être, un élève perturbateur qui n'écoutait rien à rien. Il n'y en avait pas à l'Institut, ou très peu. Jean n'avait jamais eu de problèmes avec ses élèves alors pour elle aucun soucis. Elle était heureuse que Walter ne soit pas comme ça! Il avait déposé ses affaires dans n coin et était revenu pouir donner son point de vue sur les règles. Point de vue qu'à nouveau Jean ne put qu'approuver. Il avait raison: les règles étaient primordiales, d'autant plus dans un lieu où vivaient plusieurs personnes. Ilm fallait respecter autrui comme on se respecte soi. Le respect était une chose essentiel à connaître. Le respect de tous, et pas uniquement de sa personne et de celles ayant les mêmes idées. Il lui demanda alors s'il existait une quelconque association en opposition avec les X Men. Jean sourit un peu: il avait mit le doigt dessus. Allant même jusqu'à user du bon mot.

"Oui, il existe effectivement une Confrérie de Mauvais Mutants qui ne partagent pas les idées de l'Institut: ils pensent qu'une guerre couve entre humains et mutants et que de toutes les façons les mutants sont supérieurs. Tu vois, leur chef a eut affarie aux humains dans des camps de concentration lorsqu'il était enfant. Selon moi les hommes ont frappé les premiers. Je ne dis pas être d'accord avec leurs idées, et leurs manières d'agir. Cependant il ne faut pas les condamner pour ça même si certains n'ont sans doute pas des comportements que j'approuve"

Ce qu'elle avait voulu expliquer c'est que rien n'était ou tout noir ou tout blanc. Et selon elle, même si les confréristes étaient un peu du genre à aller un peu trop loin et à avoir des idées trop extrémistes et sans doute fausses il fallait comprendre qu'ils n'avaient, pour la plupart pas eu de chance avec les humains et que c'était une forme de vengeance. Ce n'était pas le cas pour tous, à son idée en tous cas, mais pour certains.

Walter était surprit que sa question était aussi la réponse. Ainsi, il existait une confrérie qui cherchait à se débarasser de tout les humains pour ainsi, permette à une Ère de mutant. Quoi que c'était pas super comme idée, Walter n'était pas à cent pour cent contre cette idée. Il était vrai que si les humains n'existerait plus, les mutants pouraient enfin vivre en tranquilité et en sainte paix... mais les génocides ne sont pas un bon moyens et Hitler en était l'exemple parfait... et mais peut être....

-J'ai une autre question... pour le Génocide que Hitler à fait, es-ce que les personnes étaient des mutants? C'est vrai, ont dit que c'était parce qu'il détestait les Juifs... mais qui sait, peut-être qu'il cachait autre chose à traver non?...

Ce jeune mutant était débordant de question et il savait que certaine serait sans réponse... tel que les Dieux... qui sait, peut-être que les Dieux ou sorciers était des gens démontrant un pouvoir au delà de la pensé humaine. Dans les mythologies, quel soit grecs, égyptiennes ou encore chinoise, les histoires parlaient toujours de démons, sorciers ou Dieux...

-C,est comme pour toute les mythologies sous toute forme, les Dieux, chamans ou même les prêtes étaient peut-être des mutants possédant un pouvoir aussi infinie que les nôtres...

Walter parut un instant surpris: c'est vrai qu'il était même allé jusqu'à prononcer le bon mot pour désigner les confréristes! Il semblait avoir de nombreuses questions à poser, et Jean adorait ça. Elle aimait la curiosité, les gens curieux de tout qui ne demandait rien d'autre qu'à apprendre, comprendre ce qui les entourait! Il lui parla donc d'Hitler, il voulait savoir si ces juifs qui ont fait les frais de sa folie furieuse, de son mal-être et de son racisme étaient bien des juifs, ou des mutants que l'on aurait camouflés. Jean lui sourit. C'était un peu la même question que pour les sorcière sauf qu'on avait aucune preuve de magie. En fait on ne pouvait pas savoir, même si rééllement, quand on pensait aux mutants et ce qui se passait aujourd'hui on pourrait y penser. Après tout la gestapo aurait très bien pu arrêter des gens parce qu'ils ne les aimaient pas, parce qu'ils leur fallait un cotat de morts...ou parce qu'ils étaient des mutants. C'était tout à fait plosible quand on voyait ce qu'il se passait aujourd'hui! Peut-être qu'en découvrant Magnéto Hitler s'était-il inquiété et avait tué tous les mutants qu'il pouvait disant que c'était des juifs? D'ailleurs, aucun des génocides, que ce soit celui dont parle l'historie, ou celui que l'on est en droit de supposer n'est justifié. Pourquoi vouloir tuer tout un peuple? Dans le cas d'Hitler c'était son mal-être et sa folie.

"Vois-tu...Cela doit être les mystères de l'Histoire. Néanmoins, compte tenu des événement d'aujourd'hui, de ce qui se passe de nos jours avec les mutants, on est en droit de se poser la question."

Peut-être Hitler avait-il peur ou vivait-il mal le fait de ne pas avoir de pouvoir pour montrer son rôle de furher? Après tout s'il voualit faire comme les romains il pouvait vouloir faire croire au peuple qu'i lavait des pouvoirs et ne vivait que mal le fait d'être un humain? On pouvait tout supposé. Comme pour la question qui suivait, bien qu'elle soit sans doute encore plus dure. Les Dieux étaient-ils des croyances sans réelles fondations à part l'esprit des peuples antiques, ou d'aujourd'hui, ou étaient-ils des mutants montrant leur suprémacie avec leurs pouvoirs?

"Cela aussi est une possibilité. Néanmoins je pense que c'est encore les mystères de l'Histoire. Je pense que c'est ce qui la rend si passionnante"

Jean aimait l'historie, c'était quelque chose qui la rendait heureuse, elle aimait pouvoir parler de personnages illustres, de moments historiques marquants...Elle aimait ça, ça la passionnait, même si la science gardait son rtône de premier, l'histoire la suivait de très près

Walter adorait discuter avec cette jeune femme mais il avait des choses à faires. Il devait partire régler certaines affaires avant de de décoller une nouvelle vie. Il se prépara à partire quand... ont frappa à la porte. Le jeune homme ne s'attendait pas à recevoire de la visite d'une quelconque personne... et c'est la qui flancha de nouveau vers la dépression... il croyait fermement que cette fois, c'était bien la police. Sans que personne s'en apperçoive, le dragon vert se dirrigea vers le ventre du mutant, se préparent pour toute éventuallité. Il se dirrigea vers la porte, avec énormement de stress. Il dit alors...

-Qui... qui est la?

-Monsieur Zaccarie, ici le F.B.I... nous enquêtons sur un meutre et un témoin nous à confirmer que vous étiez la dernière personne avec qui cet homme à parler... pouvons nous entré?

-Euh... oui... oui... un instant...

Walter se tourna vers Jean, lui demandant par l'esprit quoi faire...

*Je fais quoi Jean?*

Il ouvrit alors la porte lentement, attendant les instructions de Jean...

Walter continua à se préparer sous le regard patient de Jean qui attendait sans se stresser, tranquillement, quite à aider s'il le lui demandait même si préparer la valise de quelqu'un relevait un peu du personnel. Enfin c'était la manière de penser qu'avait Jean en ce moment précis, et rien ne disait que ce serait celle de Walter...Quoi qu'il en soit on frappa à la porte et Jean put sentir le moral d"e Walter descendre. En un clin d'oeil, elle savait qui était derrière la porte. Elle savait aussi que le savoir ne ferait pas du bien à Walter qui fut averti quelques secondes plus tard lorsqu'il demanda qui était à la porte. Le visage de Walter sembla perdre de la couleur, et son language, face au FBI se faisait hésitant. D'une pensée il lui demanda quoi faire. Jean voyait bien qu'il n'était pas au mieux mais répondit toutefois, par la pensée toujours de manière à éviter que le FBI n'entende leur conversation et qu'ils se fassent des idées

*Tu vas ouvrir la porte, calmement, sans te brusquer et tout va bien se passer, tu verra*

Dire ça ne devait pas être bien rassurant pour le jeune homme, toutefois elle aviat décidé qu'en cas de problèmes elle prendrait les devant et aiderait son élève qui n'était pas responsable de ce qui s'était passé. Elle avait différents moyens pour le faire, que ce soit avec ou sans pouvoir, alors elle aiderait Walter. D'un regard rassurant et d'un geste du menton elle l'invita à ouvrir la porte d'entrée.