En casino avec 100$ pour ressortir avec 10 000 fois sa mise

Invité

Spoiler:

Las Vegas, une ville de 600 000 habitants se collant dans à peine 340 km², avec plusieurs millions individus passagers, lesquels n'étaient présent que dans l'unique but de se faire dépouiller. Un lieu avant tout connu pour ses casinos mais aussi sa prostitution, ses orgies nocturnes et son trafique de stupéfiant.
Parmi la foule d'individus qui formait cette cacophonie habituelle, on trouvait une femme toute vêtue de similicuir, sur sa moto noire, laquelle cachait dans son dos une arme à cellule énergétique. Elle avançait, quelques dollars en poche, cherchant finalement dans lequel de ces bâtiments lumineux elle pourrait trouver la bonne fortune. L'un, nommé le mirage, attira son attention. Elle laissa ses clés au portier puis entra, ses lunettes de soleil posées sur son nez. Cachant tristement ses yeux,laissant malgré tout dépasser la large tache noire de son visage.
L'air chaud de l'entrée avait cet on ne sait quoi d'accueillant, comme un message subjectif qui demandait simplement "venez nous enrichir, venez jouer". Des lumières de partout, aucune fenêtre, aucune horloge, juste le bruit des machines à sou qui sonnait de toute part pour quelques malheureux qui venait de regagner un dixième de leur mise. Ah Las Vegas et toute sa magie... A peine Domino eut-elle échanger son biller en jeton qu'elle se saisit d'une boite blanche, laquelle contenait sept comprimés à l'allure assez normale, en réalité drogue et apaisement de son esprit. Elle en pris un, regarda sa montre et puis, se sachant stressée pour une bonne heure de stress intense, elle s'en alla jouer au blackjack.
Les règles de ce jeu sont simple, les joueurs de la table jouent contre le croupier. Ce dernier, un homme noir à l'allure peu charismatique, portait sur le côté un sabot contenant 416 cartes, avait pour rôle de les distribuer dans un ordre précis. Au départ, il distribuait une carte face visible à chacun des joueurs, ainsi qu'à lui même. Par la suite, s'en suivait une nouvelle donne, face visible à tous les joueurs, plus d'une face cachée pour lui même. Le but est de se rapprocher un maximum de 21 sans dépasser. Les cartes de 2 à 10 portent leur valeur, les cartes Valet, Dame et Roi valent 10, la carte d'AS vaut 1 ou 11 suivant ce qui arrange le joueur. Une fois ces cartes distribuées, chaque joueur doit annoncer, (de gauche à droite pour le croupier), ce qu'il désire réaliser. En général, deux actions se proposent à lui : Prendre une carte ou passer. Le joueur peut alors réclamer autant de carte qu'il ne le désire, jusqu'à dépasser ou non sa mise. Communément, dans le premier cas, le joueur doit dire "Carte !" et dans le second "Je reste". Ainsi, il sert tous les joueurs jusqu'à ce qu'il n'y ait plus pour eux. S'en suit après son tour. Il tire les cartes de la banque suivant une règle définie "La banque tire à 16, reste à 17". Ainsi, il se distribue des cartes jusqu'à ce qu'il atteigne une valeur comprise entre 17 et 21. Comme les joueurs, s'il dépasse, on dit qu'il saute, et perd. Les joueurs n'ayant alors pas non plus sauté gagne leur mise. En cas d'égalité, il retouche leur mise mais ne gagne rien, en cas de perte, il perde leur mise. Dans le cas où le croupier obtient un as, les joueurs peuvent prendre une assurance. Ils paient alors la moitié de leur mise. Trois schéma sont alors possible : Le croupier fait blackjack, le joueur ne perd ni ne gagne rien; Le croupier ne fait pas blackjack et le joueur gagne, il touche alors la moitié de sa mise (soit un bénéfice net de 1,5); le croupier ne fait pas blackjack et le joueur perd, il perd sa mise et l'assurance (perte net de 2). On appelle blackjack le fait d'atteindre 21 en deux cartes. Dans le cas où deux cartes identiques ne tombent au sol, les joueurs peuvent "séparer" leur cartes. Devant donner la même mise à l'autre jeu, mais les jouant séparément.
Sous ses règles fort simple, tout un système de comptage existait alors et, au regard que portait l'individu qui se tenait à se droite, il n'y avait aucun doute que cette personne comptait. Mais qu'importait. L'effet du comprimé commençait à faire effet et, tremblant légèrement, assise à la table, Domino commença à jouer une première mise en déposant la totalité de ce qu'elle possédait. La donne des cartes fût la suivante :

8-?

9-10_8-3_As-7

On la regarda et elle regarda ses carte, le neuf et le 10.. Prendre ? Non, pure folie, elle risquait de perdre... Et pourtant, de ses lèvres sortir le mot "

Carte

"... Nerveuse, elle regarda celle qui arriva... Un deux. Malgré les probabilités, elle venait d'obtenir 21. Une chance, la chance. Les joueurs qui étaient à côté la regardèrent et jouère. Le troisième, avec son dix-huit qui se cru presque aussi doué qu'elle tenta à son tour. Il sauta. La banque tira une carte, un 2, puis une seconde, un 10. A vingt-et-un, elle doubla sa mise. S'enchainèrent alors toute une partie où peu à peu, des gens arrivèrent pour constater sa chance interminable.
Un des directeurs, chef de la sécurité, changea à sept reprise les jeu de cartes. Sans résultat, elle ne comptait pas, elle avait juste la chance avec elle.
Alors qu'elle se trouvait à plus de 100 000$ sur elle, Elle misa un quart. Les cartes glissèrent pour donner :

As-?

7-7_8-4_As-10

On la regarda puis lui suggéra une assurance. Elle refusa puis demanda de séparer les cartes. Un sept tomba alors, elle sépara encore. Et puis, un quatrième. Souriante, elle refit son geste. Dans la foule qui s'était alors amassé autour, on entendit un "mais elle est folle, tenir à quatre sept contre un as !". Amusée, elle regarda les cartes tombées... Toute les mêmes pour ses jeux, un trois suivit d'un as. 4 vingt-et-un qui dans, un "oh !" collectif se mesurèrent à la carte du croupier. Il la retourna : un 9. Elle dominait, en était heureuse et toucha donc 100 000 nouveaux dollars. Se levant, elle se décida d'aller alors sur une table de poker, avec quelques acclamations populaire. Le comprimé faisait ainsi encore effet et son cœur battait vite. D'ici moins d'un quart d'heure, tout cela finit.
Ainsi, sur une table vide, elle se positionna, regardant avec un grand sourire le croupier, lunettes noires toujours au nez. D'ici peu, des joueurs arriveraient...

Jullian profita que la nuit fut sans lune pour rallier Las Vegas en volant depuis Los Angeles. Le fait que ses parents le déshérite comme ça du jour au lendemain le mettait le dans une position inconfortable. Il avait l’habitude d’un certain niveau de vie, et l’embargo de ressources de ses parents risquait de l’en priver. Certes l’Institut pouvait lui fournir une bourse, mais ce maigre revenue ne lui permettrait pas de vivre avec le même standing, alors il allait pallier ça à sa façon. Direction ces temples du pêché, de la dépravation et du vice qu’étaient les casinos. Il atterrit dans un coin sombre et se dirigea vers le premier hôtel casino le plus proche. Le « Mirage », un nom approprié pour ceux qui espéraient faire fortune dans cet établissement. Il alla à l’accueil s’enregistrer et prendre une chambre pour une nuit. Une chambre toute simple, lit double télé clim, c’était tout. Il y déposa son sac qu‘il avait porté tout le trajet et se changea avec un costume. Il changea 100$ en jetons et se dirigea vers les machines à sous. Il fit quelques parties normales, puis après avoir cramé un dollar ainsi, il commença à manipuler les roues de la machine pour faire apparaitre les symboles qu’il voulait. Au bout de quelques tentatives, il connaissait les symboles sur les roues par cœur et savait quand les bloquer pour faire apparaitre le symbole voulu. Alors il se décida à bloquer les trois roues sur les symboles du super Jackpot. La machine clignota, sonna, et laissa tomber le bon qui lui donnait droit à 30 000 $. Les gens le regardaient, jaloux de sa chance qui n’en était pas. Le personnel du casino le félicita et ils lui offrirent une hôtesse. Il savait que son but était de faire en sorte qu’il reparte avec le moins d’argent possible. Elle lui proposa de retourner jouer, et il accepta d’aller à la roulette. Sur le chemin, il joua à la roue de la fortune pour 50 dollars. Il pouvait gagner un repas, un voyage, une voiture ou rien. L’agent fit tourner la roue, et à toute allure et dans un mélange de couleur, les différentes possibilités passaient sous la flèche. La roue ralentit, et à la fin, accompagna la roue avec sa télékinésie pour l’aider à aller jusqu’à la case repas. C’était de la triche et criminel, mais cela ne l’arrêta pas. Il venait de gagner un repas pour deux dans le restaurant huppé de l’hôtel. L’hôtesse le guida jusqu’à la roulette. Il joua d’abord très peu pour se familiariser avec le contrôle de la bille. Pas possible de contrôler la bille pour qu’elle aille sur le numéro qu’il voulait. Cependant sur la fin du mouvement, il pouvait bloquer la bille sur un numéro ou une couleur en particulier. Alors il se décida à miser 10 000 sur une couleur et 5000 sur un numéro de la même couleur. Ainsi, il était sur de doubler les 10000$ à chaque tour en trichant un peu, et au bout d’un moment il finirait bien par avoir le numéro qu’il voulait. Ainsi à chaque tour, son pécule augmentait de 5000$. Il se laissait perdre de temps en temps pour le principe. Puis se qui devait arriver arriva. Il avait misé sur le rouge et le 25, et il parvint à mettre la bille dans la case du 25. Soit 5000 fois 36 et 10000 fois 2, soit 200000 $ plus les 100000$ qu’il avait déjà en gagnant 5000 à chaque fois. L’hôtesse était bien embêté. Elle avait beau eu lui faire boire du champagne, lui faire acheter un nouveau smoking, le casino était loin de rentrer dans ses frais.

Vous savez quoi, pour vous faire plaisir, je vais jouer 20 000 $ sur un numéro.

Le regard de l’hôtesse disait carrément « pour me faire plaisir mise tout d’un coup, offre moi directement 20 000 ou épouse moi ça m’arrangera ». Il misa sur le zéro, et laissa le hasard faire son travail. Comment aurait il pu savoir que la chance serait son alliée ce soir ? 20000 multiplié par 36, ça faisait 720 000 $ !!!! C’était énorme !!! Certes il était venu pour remplir son compte en banque, mais là, ça faisait beaucoup, il vivrait très largement pour plusieurs années. Il fit créditer les 750 000 sur son compte et décida d’aller jouer au poker avec le reste de l’argent soit un peu plus de 250 000 dollars. Il n’était pas obligé de tout jouer, et au pire, rendre un peu de cet argent au casino ne le dérangeait pas. L’hôtesse avait l’air mécontente, Jullian avait trop de chance et la mettait dans une position délicate vu qu‘elle devait le pigeonner. Elle l’emmena à la table de poker. Il s’assit et salua le croupier et une jeune femme à la peau pâle qui attendait à la table.

Bonjour mademoiselle. On a une sacrée veine tout les deux n’est-ce pas ? J’ai entendu les gens derrière vous dire que vous avez fait sautez la banque du black jack, félicitation !

» Cette fois c'est pour moi
» Pour une fois que je veux pas d'embrouille [PV: Colossus]