Que dois-je faire maintenant? (PV avec Jean/Phenix)

Le jeune homme se demandait si il devait essayer d'utiliser ses pouvoirs pour se sortire du guets pieds en se sauvant ou en usant de son pouvoir, du moins si il y arriverait, ou si, il devait faire comme si de rien était. Plus les secondes déffilait et plus le jeune homme s'enclinait vers la dépresse. Il entendit alors la réponse de Jean... ainsi, il devait faire comme si de rien était. Il ferma les yeux... et se fût, encore une fois, un tout autre Walter. Il sentait une étrange énergie le pousser à se déffendre. Il ouvrit la porte et afficha un sourire qui affichait une sureté presque innébranlable. Il invita le F.B.I. à entré dans sa maison. Lorsqu'ils fixèrent Jean, sans lui laisser la chance de dire quoi se soit, il dit.

-Je vous présente une de mes cousines éloigner. Elle est venu me rendre visite... alors, que puis-je faire pour vous aidez monsieurs du F.B.I. !?!?

Il y avait en tout deux agents, un jeune qui était blond et un qui semblait d'âge mure. L'aîné sortie de sa poche une image et la présenta devant Walter...

-Voila... cet homme fût retrouver, assassiner, hier, décapiter... il s'emblerait que les blessures qu'il comporte, serait relier à des lianes de rose... pouvez vous expliquer sa?

-Vous voulez que je disse quoi? Que c'est les ptit martiens qui sont à l'orrigine de sa?

-Ne jouer pas au fin fino avec nous... nous avons un témoin, qui affirme vous avoir vue, faire surgire du sol des lianes et que vous avez torturer cette personne...

-Et ce témon, que vous à t-il dit de plus?

-Rien...

*Jean... si jamais ta une idée...*

Lorsque Walter rouvrit les yeux, Jean eut l'impression d'être en face d'une autre personne, tellement différente du Walter précédent qui paressait tellement appeuré. Le jeune homme ouvrit donc la porte avec un sourire sur, un sourire peut-être étrange compte tenu de la situation quand on y réfléchissait mais toutefois c'était sans doute un atout pour éviter les soupçons du FBI qui semblaient déjà assez importants. En effet: s'ils disaient avoir un témoin et être venu frapper à la porte pour cette raison c'est qu'ils avaient déjà une idée bien précise...Les homes des foces de l'ordre et alors qu'elle comptait se présenter, Walter la devança pour dire qu'elle était sa cousine éloignée et qu'elle venait lui rendre visite. Jean hocha la tête, et salua par la même occasion les hommes du FBI. Autant restée polie, cousine ou non! En tous cas Walter avait eu une bonne idée de dire qu'elle était sa cousine, Jean serait sans doute plutôt restée dans du basique: salutations de base et une amie de Walter, ou quelque chose dans le genre. Mais l'idée qu'avait eu le jeune homme était peuit-être bien meilleure, sauf s'il n'avait pas de cousines eloignées, ou qu'il en avait et que la police cherche à les joindre...Enfin bref, le policier d'âge mur présenta une image à Walter, expliquant un peu la situation que Jean connaissait déjà. Mais à la place de Walter, elle n'aurait pourtant pas rit de la situation. Bien qu'elle se doutait qu'il tentait de faire le détaché et celui qui ne savait pas elle savait qu'il ne devrait pas faire ça. Ca fait justement trop détaché...L'agent ne parut pas apprécié et répéta qu'il avait un témoin qui avait vu Walter, ou qui avait dit l'avoir vu. Lorsque Walter lui demanda un peu d'aide apr la pensée, elle prit les devants.

"Mais ce... ce type...il aurait été... tué quand?..."

Demanda-t-elle avec une fausse hésitation qui pourrait tout à fait montrer, de un qu'elle ignorait tout à fait de quoi parlait l'agent, qu'elle ne savait pas du tout ce qui avait bien pu se passer, et de deux qu'elle était un peu choquée par ce qui avait été dit...En tous cas elle pourrait sans doute rebondir dessus disant au'elle avait passé sa journée de la veille avec Walter, puisqu'après tout ils étaient cousins et qu'elle ne le voyait que rarement...Bien sur elle avait omi l'ccent italien, mais était-ce grave? De toutes les façons il valait mieux qu'elle s'abstienne.

L'agent du F.B.I. n'était pas de splus contents. Il avait omni de spécifier qu'il avait en plus d'un témoin, une vidéo de surveillance qui démontrait le jeune homme, déchirer son gilet pour voir son corps se recouvrire d'un étrange tatouage et de faire surgire du sol, des lianes de roses et de tuer le pauvre homme. L'agent du F.B.I. avait spécifier au jeune de ne pas penser, de se créé un mur dans la tête au cas où que ce mutant possède un pouvoir de télépathe. Mais, le jeune homme était sans expérience et pensa immédiatement.

*Pauvre con... tu est ensercler et nous avons des preuves sur ta cupabilité.*

En effet, dehors, il y avait plusieurs voiture du F.B.I. qui attendait le signe pour capturer le jeuen homme. L'agent qui était plus expérimenter, se tourna vers Jean Grey et lui dit.

-Le jeune homme fût tuer avant hier, dans la soirée... pourquoi donc? Voyez vous pas que ce ne sont pas de vaut affaire jeune femme? Nous sommes ici pour vôtre cousin pas pour vous...

Walter n'aima pas le ton que l'agent usa contre son amie. Elle ne fesait que chercher à l'aider. Alors, il lui répondit avec une voix qui avait de plus en plus d'assurance et d'arrogance...

-Je connais en effet ce mec... mais je n'ai rien contre lui... dissons que c'est plutôt le contraire... mais j'igniorais qu'il fût tuer... j'espère que vous trouverez l'assassin. Tout ce que je peux vous dire c'est que, avant hier, j'étais avec ma cousine. Elle part demain matin pour l'Ontario... comme vous pourrez voir dans mon dossier, car vous avez surment tout les informations sur nous, j'ai de la famille en Ontario...

L'agent eu alors un sourire de colère car, il avait raison. C'était minime, mais le jeune homme avait de la famille en Ontario... du moins, c'étais ce que ses parents lui avait dit...

*J'en ai marre d'eux Jean... on fait quoi? Est-tu capable d'obtenir des informations d'eux?*

L'agent du FBI était en colère, et jean le comprenait plus ou moins. Elle non plus n'apprécierait sans doute pas que l'on se moque d'elle impunément. Or c'est ce que faisait Walter. En un sens il se montrait un peu comme n'étant pas le coupable, mais ce pouvait tout simplement être pris pour le fait qu'il était le coupable et qu'il n'en avait pas grand chose à faire...Tout dépendait de la manière dont le prendrait l'agent qui, apparement le prenait fort mal...L'agent lui répondit, de mauvaise grâce et de manière guère polie que l'homme avait été tué deux jours auparavent, et que ce n'était pas ses affaires...Enfin bref, un agent tout à fait adorable que Jean n'appréciait que très moyennement. D'ailleurs Walter non plus ne semblait pas apprécier puisqu'il répondit avec arrogance et assurance qu'il était avec elle et qu'elle arrivait d'Ontario. A en voir la tête de l'agent il saviat que Walter avait de la famille de là-bas, ça ne devait pas vraiment lui faire plaisir de savoir que Walter ne se moquait pas de lui sur ce point, en tous cas...

Sur la demande du jeune homme, Jean fouilla l'esprit des deux agents et blanchit légèrement en se rendant compte de la situation. Elle n'avait pas jugé utile de le faire précédement étant donné qu'elle ne pensait pas quils avaient des preuves contre Walter. Elle pensait qu'ils pourraient se rendre à l'Institut sans encombres une fois qu'ils auraient assuré à l'agent, ou aux agents, qu'ils avaient profité de la venue de la prétendue cousine pour passer du temps ensemble. Toutefois le FBI avait une vidéo montrant le pouvoir de Walter, le montrant en train de tuer ce type. Elle ne pouvait pas vraiment s'amuser à rebondir là dessus. Elle pouvait bien sur, mais ça restait un risque: s'ils continuaient sur leur lancée ça pourrait durer longtemps jusqu'à épuiser les agents qui les arrêteraient de toutes façons. Peut-être pas tant parce qu'ils avaient une vidéo, mais peut-être simplement parce qu'ils étaient des mutants. Enfin parce que Walter était un mutant étant donné qu'ils ne pensaient pas qu'elle en était une. D'une pensée elle répondit à Walter:

*Ils ont une vidéo de toi en train de te défendre contre le type*

Elle avait usé du terme défendre puisqu'après tout Walter n'avait rien fait de mal. Il n'avait tué personne de manière gratuite. Ce n'était que de la légitime défese et partant de là il devrait, en théorie, avoir droit à une remise de peine, et à une peine moins lourde, voire même à rien du tout. Toutefois les choses étaient toujours plus dures et difficiles lorsque l'on est des mutants...Elle se concentra de nouveau pour voir qu'il y avait des voitures partout autour d'eux prêtes à attrapper le jeune homme. Jean pouvait faire beaucoup de choses comme de changer leurs souvenirs ou de foncer dans le tas, mais elle préférait d'abord voir si Walter le voulait ou pas. D'une pensée elle le mis au courant de la situation et lui demanda s'il était prêt à fuir vers l'Institut. Jean ne voualit faire aucun blessé, ou aucun blessé grave. De plus, même si elle savait qu'ils étaient deux mutants, elle savait aussi qu'il devait y avoir une quinzaine de policiers dehors, armés jusqu'aux dents...

Walter igniorait tout de la situation qui était dehors... enfait, c'était à croire si vraiment Walter était concient de ce qui se passait... car il ne l'était qu'à demi. Sans que Jean puisse le voire, l'esprit de Walter était diviser en deux et c'était sa seconde partie qui avait prit la relève. Cette partie était trop sure de lui et pouvait mener à la perte le jeune homme. Mais, il tenait bon devant l'agent mais il perdait patience. Le jeune mutant voulait partire de cet endroit pour s'établire dans l'école. Il se sentait d'humeur masacrante, plus l'agent lui fesait gaspiller son temps...

-Bon écouter... à moins que vous aillez des preuves, vous me faite perdre mon temps. Alors, la porte est la si jamais vous avez fini...

Et ce fût la que Jean lui dit que le F.B.I. possédait une vidéo, montrant le jeune homme, massacré l'ex de son ex. Il comprit alors qu'il ne pourrait rien faire contre lui... Il ne pouvait pas s'échapper ainsi... et c'est la que les yeux du jeune homme se couvrit d'une brume verdâtre et une voix résona dans l'esprit de Jean...

*Jeune femme... veiller utiliser vôtre pouvoir pour nous sortire d'ici... je m'occupe de ces deux clowns...*

Le corps de Walter se recouvra d'un tatouage de liane. Les agents se préparait à tirrer quand deux lianes virent s'enrouler autour des agents et les attachas contre le mur. Walter ne semblait pus concient et fixait la jeune femme et dit...

-Quesque vous attendez?

Avant d'entendre ce que Jean lui disait par télépathie, Walter avait tout d'abord demandé, toujours très correctement, à ce que les agents aient des preuves de manières à cesser de lui faire perdre son temps. Ce n'est que lorsqu'il parut reçevoir le message qu'il eut les yeux recouverts d'une teinte verte. Jean secoua la tête, bon sang que lui prenait-il encore! Elle ne voulait pas qu'il y ait de casse et lorsqu'elle entendit une voix lui demandant de son pouvoir, elle se raidit. D'où pouvait-elle venir, elle la sentait venir de Walter et pourtant elle resemblait tellement peu au jeune homme avec qui elle parlait depuis qulques temps... Les deux hommes se retrouvèrent attachés contre le mur par des lianes. Etrangement Jean ene sentait plus Walter, qui pourtant semblait bien vivant face à elle! Il luidemanda, toujours d'un ton qu'ellene connaissait pas ce qu'elle attendait. Elle ne voulait pas se servir de ses pouvoirs pour faire du mal aux agents. Elle ne voulait pas encore une fois donner l'occasion à ces humains de malheur d'accuser les mutants de maux et d'autres...Mais elle n'avait pas le choix aussi elle n'attaqua pas. Elle se contenta d'assomer les deux agents avec une faible attaque psychique qui ne leur ferait aucun mal: ils se relèveraient juste avec un petit mal de tête...Elle sortit, suiviesans aucun doute par Walter. Elle usa à nouveau de sa télépathie pour savoir où se trouvaient précisément les agents: ils se trouvaient sur le parking où était sa voiture. Elle soupira puis dit:

"On va rejoindre la voiture, mais par pitié ne fais rien que les mutants pourraient regretter un jour"

Non, il ne fallait pas que Walter les attaque: grâce au pouvoir télékinétique de Jean ils avaient un bouclier défensif et n'avaient alors pas besoin de faire du mal à qui que ce soit. Elle appuya sur le bouton de la télécommande des clés de la voiture et commença à avancer vers celle-ci. Les agents avaient vite compris à qui ils avaient affaire et pourtant leurs balles ne touchaient ni Jean ni Walter, protégés par un bouclier télékinésique. Elle ouvrit la portière, entra dans la voiture, priant pour que le jeune homme n'attaque personne...

L'être qui prenait le corps de Walter était inconnue de tout mais Walter le sentait. Il voyait tout ce qui arrivait et aurait voulu ne rien faire mais, quelque chose l'en empêchait. Il vit les deux policiers se fairent attacher sur le mur et assomer par la télépathie de Jean. Ils se dirrigèrent tout les deux vers la voiture de Jean. Elle lui demanda alors de ne rien faire contre les hommes, mais, que pouvait-il fait a la place d'être spectacteur? Alors, le faux Walter répondit.

-Je n'ai pas d'ordre à recevoire d'une femme tel que vous... vous n'êtes pas différente de lui...

Walter eu un haut le coeur... pourquoi celui qui le possédait dissait-il cela à Jean? Il aurait bien des choses à faire, des recherches à entreprendre et aussi, il aurait besoin de Jean pour cela. Il pensait fort à s'excuser mais en vain... Alors qu'il pénétrèrent la voiture, le faux Walter leva la main et des lianes sortirent du sol, serpentan pour se dirriger vers les policiers. Alors Walter cria par la pensé....

*JEAN...*

Et il reprit le contrôle de son corps, perdant ses yeux coloré et son tatouage débordant et il perdit connaissance. Il ne sut où il se dirrigeait mais il espérait que cela n'agraverait pas la situation chez les humains...

(^^ hihihi un peu d'action... j'espère que sa te dérrange pas?)

C'était tellement étrange: d'un côté il y avait un Walter des plus courtois et agréables et de l'autre un jeune assez, peut-être pas violent compte tenu du fait qu'à la limite on peut penser à de la légitime défense (mais alors à la limite), mais en tous cas à un jeune homme impulsif qui n'héistait pas à user de ses pouvoirs contre les autres. En usant de sa télépathie, Jean pouvait d'ailleurs voir deux profils, deux personnalités se déssiner: d'un côté le Walter Zaccarie avec qui elle avait jusqu'alors parlait, et quelqu'un d'autre qu'elle ne pourrait qualifier et reconnaître. Walter lui dit ne pas avoir à lui obéir et qu'elle était comme LUI. Mais qui était ce LUI? Etrangement Jean se voyait dans ce jeune: lui aussi semblait souffrir d'une seconde personnalité, lui aussi semblait perdre le contrôle...C'était étrange les choses quand même. Quoi qu'il en soit elle avait autre chose à faire que de réfléchir à ça, en tous cas pour le moment, il y avait plus urgent. Comme par exemple essayer d'éviter que Walter ne recommence à attaquer les humains. D'ailleurs il le fit, tandis que dans sa tête, Jean pouvait entendre sa voix l'appeller. C'est vrai que ça ressemblait à son cas à elle: elle non plus n'était qu'un spectateur de ses propres actes lorsque le Phénix prenait le dessus. Et il lui semblait que c'était la même chose pour Walter...Des lianes sortirent du sol pour attaquer les forces de l'ordres mais avant que Jean n'ait pu faire un geste, Walter perdit connaissance après avoir eu les yeux qui perdirent leur couleur verte.

Elle ne pouvait pas faire grand chose sous les coups de feu des policiers. Sa voiture allait charger si elle supprimait le bouclier. Aussi elle décida d'avancer avant tote chose, après s'être assuré que ce n'était pas grave en prenant le poul du jeune homme. Elle s'assura une dernière fois que les lianes n'attaquaient plus avant de démarrer sous les chapeaux de roue jusqu'à atteindre un parc apparement, assez loin de l'appartement où elle imaginait déjà les policiers s'affoler et appeller du renfort. Ils n'avaient pas beaucoup de temps mais d'un autre côté elle se devait de voir avec précision comment allait Walter...Elle se tourna vers lui, toujours inconscient:

"Walter...Tu es toujours là?"

Idiot comme phrase non? Mais bon, l'essentiel c'était de voir le jeune mutant se réveiller. Elle regarda autour de la voiture, l'oeil à l'affut de toutes voitures suspecte de les arrêter ou de les attaquer...

Elle le sentait perdu...Elle le sentait comme possédé d'une autre personnalité qui voulait sa part de pouvoir sur le corps dez Walter...Elle ne connaissait que trop bien ce sentiment puisqu'elle-même avait vécu la même chose. Il était simplement étrange de se dire que ce qu'elle avait ressenti était ressenti aussi par le jeune homme face à elle et elle ne pouvait se sentir plus mal. Elle ne savaitp as quoi faire, et savait ce qu'il pouvait ressentir! Elle regardait Walter avec inquiétude quand soudain il ouvrit les yeux, reprenant connaissance, hurlant de douleur, se jetant dans ses bras. Elle le serra contre elle, le temps qu'il se remette, tandis qu'il lui demandait ce qui n'allait as avec lui. En voilà une excellente question! Elle pouvait lui répondre: sans doute la même chose que pour elle: son pouvoir, une deuxième personnalité ou peu importe comment on l'appellait, voulait récupérer du pouvoir sure le corps de Walter Zaccarie. Les tremblements du jeune homme la rendaient malade: elle n'arrivait que trop bien à imaginer ce qu'il pouvait ressentir et ce ne pouvait que lui faire du mal...Pourtant elle ne put répondre que déjà la police, que ce soit FBI ou CIA qui débarquait. Ils devaient partir, sans doute devenait-il dangereux de rester, d'autant que les humains ne lui feraient aucun cadeau...Elle démarra rapidement, elle ne voulait pas déclencher de nouvelles batailles en usant de ses pouvoirs, elle le ferait peut-être plus tard s'il y avait un réel besoin...

A l'intérieur de lui même, c'était comme un combat pour Walter. Cette chose tentait le tout pour prendre le dessus sur lui, mais, Walter ne lui donna pas cette chance. Il devait ce battre, au prix de sa force. Cet être était puissant mais, Walte arriva à le contrôler et à ne pas lui laisser le dessus. Mais pour combien de temps? Nul l'ignorait. Lorsqu'il se regarda dans la classe, son visage était différent. Lorsque Jean put croiser son regard, elle put remarquer que c'était Walter qui changeait de visage, mais pour le jeune mutant, c'était le contraire. Une conversation s'engagea alors...

-LAISSE MOI SORTIE DE TA TÊTE ET RETOURNE SI...

-NON... Tu à causer assez de mal. Ne sort plus de la... pourquoi me fais tu cela... qui es-tu?

-Justement... non, j'en ai pas assez fait... laisse moi m'amuser encore... et tu ne saura jamais mon nom...

-Je te laisserai plus prendre les commandes. Je... je ne veux plus...

Et il ferma les yeux, transpira et se calma. Il ouvrit ses yeux et fixa Jean. Elle s'emblait ne pas s'en préoccuper... comme si elle savait quelque chose ou si elle connaissait cela. Il ne préféra rien dire... La C.I.A continua donc leur course. Walter savait qu'il ne devait pas le faire mais... Ses yeux se couvrire d'un voile vert et ses lianes parcourèrent son corps en entier, de la tête au pieds. Il leva la main vers un arbres et ce lui si mouva et tomba derrière eux et grandissa très vite, ce qui bloqua lès agents. Walter souffla beaucoup, pour finalement s'évanouir d'épuissement.

Elle snetait une bataille intérieure dans le corps et l'esprit du jeune homme, la même que la sienne peu de temps avant, et aujourd'hui encore elle pouvait sentir qu'elle se battait. Moins certes, mais encore et toujours. Elle nota que Walter gardait le dessus, mais que la bataille était rude. Elle n'avait pas pu le garder le dessu. Elle se gifla mentalement et reprit le dessus. Ce n'était pas le moment de s'interoger sur ce qu'elle aurait du faire, ou sur ses bétises passées, dûes à bien des choses. Walter avait besoin d'elle. Elle ne savait pas quoi faire, mais elle devait faire quelque chose! Elle se tourna vers lui, pour voir un visage changeant. Plus aussi doux qu'avant, loin de là. Plus dur, plus mauvais aussi. Une nouvelle conversatoin s'engagea entre Walter...et Walter si on pouvait dire. Elle ne saurait dire si elle était dans la tête du jeune homme ou si elle était "réelle", par la bouche. Mais elle l'entendait. Elle entendait Walter, le gentil, dire au second de ne plus rien faire qu'il avait déjà fait assez de mal comme ça, tandis que l'autre lui répondait que non. C'était un spectacle des plus étranges, mais pas si inconnu que ça!

Pourtant Walter se calma, il inspira, puis ferma les yeux reprenant le dessus sur son corps. Elle ne savait pas quoi faire: regarder la route ou Walter? Elle hésitait et jetait des coups d'oeil frénétiques à Walter et à la route. Les yeux du jeune homme reprirent leur couleur verte tandis qu'il faisait tomber un arbre juste derrière eux de manière à bloquer les policiers et autres membres de l'ordre et les empêcher de les suivre. Elle soupira de soulagement et ralenti l'allure, lui permettant ainsi de pouvoir regarder un peu plus Walter qui était tombé dans les pommes. Après quelques kilomètres, elle s'arreta. Elle jugea qu'ils étaient pour l'instant suffisement à l'abri des humains. Elle descendit de la voiture et claqua doucement la portière pour s'avancer vers le côté de Walter. Elle ouvrit la portière, l'empêchant de tomber grâce à télékinésie. Elle l'allongea sur le sol. Certes la voiture devait être plus confortable mais au moins là il était étendu. De plus, l'herbe sur laquelle il était rendait le sol bien moins dur. Elle posa ses mains sur ses tempes, et à la manière du professeur Xavier, la même cose qu'il avait fait pour elle, elle l'apaisa. Elle ne voulait pas lui affliger des boucliers mentaux comme Xavier l'avait fait pour elle. Ce ne devait pas être le choix de Jean, mais celui de Walter...Lorsqu'il se réveilla peu de temps après, elle sourit, heureuse.

"Ca va?"

Il rouvrit alors les yeux, arrachant un sourire soulagé et heurex à Jean qui n'aimait que peu voir les gens aller mal. Surtout ses élèves ,encore et toujours. Etait-ce de sa faute? Ils étaient ses enfants en quelques sortes après tout, et elle les adorait. Comment pouvait-il en être autrement d'ailleurs? Une pensée, une voix celle de Walter, mais en plus froide se fit entendre. Elle comprit qu'elle lisait ses pensées, sans doute n'avait-elle pas complètement fermé son esprit, trop soulage de voir Walter aller mieux. Pourtant, alors qu'elle allait le faire elle entendit la voix parler d'elle. Que voulait-elle dire? Ou plutôt comme savait-elle ce qu'elle disait? Elle décida de s'interoger plus tard sur la question. Bien qu'inquiète et emplie de nouvelles inquiétudes et de mauvais souvenirs qu'elle aurait voulu oublier elle fit un sourire un peu forcé qui restait tout de même sincère et rassurant à Walter. Il lui avait dit ne pas vraiment savoir s'il allait mieux, et elle comprenait tout à fait. Elle-même ne savait pas vraiment où elle en était même après tout ce temps.

"Ca va passer tu verras..."

Voyant Walter tenter de se relever avec quelques difficultés, Jean lui offrit son aide de manière à ce quil se lève facilement. Elle n'était pas complètement idiote non plus: elle avait comprit que tout comme elle, il ne tenait pas à rester ici pendant des heures, c'était parfaitement normal vu le danger, mais d'un autre côté, ne devrait-il pas se reposer un peu? Elle le regarda uin instant pour s'assurer qu'il aille bien, ou en tous cas aussi bien qu'il puisse être dans la situation dans laquelle ils étaient. Il regardait autour d'eux pour s'assurer d'être en sécurité. Oui, pour l'instant ils l'étaient, mais sans doute pas pour longtemps. Si lui et Jean avait des pouvoirs surnaturels et surprenants, les humains avaient des machines qui pousseraient l'arbre de la route rapidement et ne leur laisseraient que peu de répis...Elle entendit alors ses pensées et se revit à sa place. Lui aussi doutait du fait que sa présence à l'institut soit une bonne chose compte tenu du tort déjà fait et des autorités à ses trousses. Jean se vit à sa place, dans la même situation, pas si longtemps auparavent. Elle le regarda dasn le yeux, se revoyant à sa place et ressortit les même qu'elle s'était répétés maintes fois. C'était incroyable, mais en les disant à Walter ils lui paraissanet tellement plus vrais:

"Walter, l'école de protègera, te formera aussi tu pourras te contrôler et puis de toutes façons, les autorités seront toujours à la recherche de mutant, que ce soit toi ou un autre alors bon..."

Il émit alors ses doutes au sujet de sa seconde personnalité et Jean se sentit fondre: c'était tellement elle, tellement comme elle. Les même questions, les mêmes interrogations...Ca lui faisait tout drôle d'entendre ce qu'elle pensait sortir de la bouche d'un inconnu. Enfin inconnu, pas complètement mais un peu quand même. De la même manière que ça la faisait fondre. Surtout lorsqu'elle sentit les pensées du jeune homme revenir sur les évènements précédents. C'est vrai que ce ne devait pas être facile à porter, mieux encore ça ne l'était pas. Elle le savait mieux que quiconque et pourtant elle ne saviatp s quoi lui répondre. Elle ne connaissait que trop bien cette situation...Et pourtant elle se devait de l'a&ider, de le sortir de cette torpeur. Elle prit d'autant plus sa décision de lui parler lorsqu'elle entendit ses pensées. Elle s'avança un peu plus vers lui et le força à lever les yeux vers elle d'une pression de ses doigts sur le menton. Une fois sure d'avoir toute son attention, elle ouvrit la bouche pour parler avec calme et sang froid:

"Ecoute, je sais que c'est dur, je connais ça aussi mais il faut que tu te dises que tu pourras te contrôler...Tu verras..."




hj: désolée, j'ai pas beaucoup de temps

Walter était toujours perdu, elle le savait. D'ailleurs la phrase la plus vraie serait qu'il ne s'est pas encore retrouvé. Cette phrase bizarre était celle qui représentait le plus la vérité puisque la jeune femme n'avait pas encore vu le jeune homme perdre son air perdu, elle ne l'avait pas encore sentit, depuis leur sortie chamboulée de l'immeuble, se retrouver, se comprendre. C'était, elle ne savait pas si c'était normal, mais en tous cas elle devait admettre qu'elle avait été longtemps dans la même situation. Même encore maintenant elle l'était, perdue. C'était quelque chose qui apparemment était normal. Elle ne pouvait pas vraiment dire si c'était normal. Et puis de toutes les façons qu'est-ce que la normalité? Après les gens se permettent de juger d'autres personnes sur une certaine normalité, des normes qui au fond n'auraient pas lieu d'être. De toutes les façons, voilà près d'un an, voire même plus que le Phénix s'était affirmé, ou fait son apparition et pourtant elle ne se sentait pas mieux. Elle avait toujours peur, elle ne se comprenait toujours pas. Bien sur elle affichait un air serein, un air sur d'elle pour bien des raisons. La première? Ses élèves. C'était pour eux qu'elle devait se montrer forte. Si elle restait avec eux, il était normal qu’elle affiche un air sur d'elle pour ne pas les effrayer, ne pas leur montrer un professeur, une infirmière qui n'était pas en paix avec elle-même qui pouvait perdre le contrôle. Etre face à quelqu'un de plus en forme disons apaisait les esprits. Et puis pour elle aussi en se disant qu’elle allait bien elle parvenait presque à s’en convaincre…Des sirènes retentirent, de même que les moteurs des voitures des forces de l’ordre qui les entouraient désormais. Comment avaient-ils fait pour ne pas les entendre ? Ca semblait impossible : entre les moteurs, les sirènes et les signatures psychiques, ils n’avaient aucunes excuses ! Et pourtant….Aussi la police le FBI, la CIA, et le reste ne pouvaient-ils pas s’acharner sur d’autres personnes que des mutants qui n’avaient rien fait ? C’était trop facile de faire ça. Il y avait à New-York des voleurs, des tueurs, des violeurs et pourtant c’était sur deux mutants innocents que l’on s’attaquait ! Elle soupira. Seule elle ne savait pas comment elle aurait réagit, mais les yeux de Walter, emplis d’une certaine peur la poussèrent à faire quelque chose. Elle le prit par le bras et le tira vers la voiture, se mettant elle-même au volant. Il y avait des moments où il ne fallait pas embêter Jean. Les policiers devaient la fixer comme si elle était folle et pourtant, le temps de faire tourner le moteur et de foncer que les voitures devant leurs yeux partirent valdinguer plus loin. Jean fit tout de même attention, avant de foncer, à les faire tomber sans blesser personne, ce n’était pas le but principal. Ils foncèrent donc loin de ces humains qui avouons le, n'avait rien de bien intelligent, ou même humain simplement. Ils avaient tout de chasseurs, animaux chassant leur proie...

Walter était assis à côté d'elle, mais ne disait rien. Elle pensa alors qu'il s'était définitivement calmé. Il espérait qu'il se soit calmé. Pour son bien. Elle connaissait ça, le fait d'être dans son corps, mais de ne pas le contrôler, de regarder comme un spectateur. Un spectateur de sa propre vie, de ses propres actes. Elle avait déjà vécu ça, et priait pour que ça ne lui arrive jamais plus. Elle sentait qu'il la regardait. D'un regard étrange qu'elle n'avait pas encore sentit ainsi venant de sa part. Et elle entendit à nouveau cette voix, cette voix si dure, et si froide. Elle frémit rien qu'en l'entendant, comprenant que rien n'était encore fini. Quand cela s'arrêterait-il? Elle aimerait tellement que le jeune Walter puisse enfin redevenir celui qu'elle avait rencontré quelques heures auparavent et qu'il reprenne le contrôle de son corps. Mais ce n'était pas aussi simple et ça, elle le savait mieux que quiconque...Elle sentit pourtant que les paroles ne lui étaient pas destinées. Qu'il s'adressait à quelqu'un d'autre...
-Un jour... nous aurons le contrôle et alors, nous dirigerons le monde...
Cette phrase résonnait dans son esprit comme une lituanie. Une phrase qui sembla donner du courage. Mais pas à elle. A quelqu'un d'autre en elle.Quelqu'un que même sans réfléchir elle pouvait nommer....

Et Walter s'en dormit...Mais pas la bête en elle. Sa tête devint douloureuse. Vivement leur arrivée à l'Institut! Elle se posa une main sur le front, grimaça et perdant un peu le contrôle de la voiture. Elle ota alors sa main de son front pour réveiller Walter, se souvenant que c'était endormi que l'on était le plus vuln"rable fzce à une seconde personnalité...A nouveau, elle était bien placée pour le savoir.

"Ne dors pas Walter, réveilles toi, s'il te plait"

Elle n'avait qu'une main pour le réveiller et le temps qu'elle était en train d'essayer de faire ouvrir les yeux au passager, elle ne tenait plus tellement le volant. Elle était distraite...Sa tête la faisait souffrir...Combien de temps cela allait-il encore durer? Ces crises n'étaient pas fréquente mais elle ne duraient pas trop non plus...Quelques minutes...

Cette phrase résonnait dans son esprit comme amplifiée par un micro, par un echo. Et sa tête qui restait douloureuse. Quoi que ça se calmait....un peu. Ou alors c'était juste qu'à faire de souffrir de migraine, elle s'y habituait? De toujours elle avait eu mal à la tête. Depuis qu'elle était enfant et que ses pouvoirs ont commencé à se dévelloper. Sans doute les conséquences de deux pouvoirs psychiques? Le jeune homme ouvrit les yeux, pour le plus grand bonheur de Jean et il la fixa. Lui demandant soudain pourquoi IL (elle l'identifia comme sa seconde personnalité, son pouvoir...Comme elle) lui avait dit ça, à savoir qu'un jour ils controleraient le monde. Jean ne s'était pas vraiment posée la question. Elle n'en avait pas eu besoin pour comprendre que l'on s'adressait plus au Phénix qu'à elle. Etrange...Une conversation entre secondes personnalités^^. C'est vrai que c'était une étrange coincidence quand même que eux, deux mutants souffrant de leurs pouvoirs et de leurs deux personnalités distinctes se rencontrent...Comme s'ils étaient liés. Parce que c'est vrai qu'ils se ressemblaient. Elle lui sourit un peu, un peu tristement peut-être et lui raconta son histoire, un peu réticente. Elle n'aimait pas parler d'elle, d'autant de ses pouvoirs. Elle n'aimait pas se confier.

"J'ai moi aussi une seconde personnalité. Un peu comme toi en fait, incontrôlable. C'est un peu...Je ne sais pas comment te dire. Si tu veux c'est mon esprit qui l'a créée pour me protéger de mes pouvoirs en quelques sortes. Elle s'est libérée de barrière psychique il y a quelques temps, et après un gros carnage, j'ai rééssayer de la contrôler. Elle se fait appeller Phénix, et elle n'est pas vraiment quelqu'un de très gentil...Parfois j'ai des petits problèmes de contrôle...Mais ça va à peu près dirons nous"

Cette converstion la laissait un peu pensive.