quelque part...dans une campagne près de New-York(p.v Holly)

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Ça faisait déjà plus d'un an que Samaël n'avait pas mis les pieds dans la confrérie. Pourtant, il était toujours un de leur membre. La principale raison pour laquelle il n'y retournait pas, c'était simplement parcequ'il n'aimait pas la vue de sa chambre. Il y avait également que Dents de Sabre était le chef et qu'avec lui la confrérie avançait sur-place. Magnéto l'avait probablement mis en charge de la confrérie, car il savait que celle-ci n'avancerait pas et ça dégoûtait énormément Samaël.

Samaël avait décidé de sortir de la ville de New-York en corbillard. Samaël aimait le style qu'il avait en se promenant en corbillard surtout qu'il avait réellement un cercueil dans son corbillard. Puis un peu plus loin sur son chemin, Samaël tomba sur une petite ville. Il était 11h du soir et on ne voyait presque plus de lumière dans les maisons. Tout était noir les arbres n'avaient pas encore commencés à bourgeonner ce qui donnait une ambiance de ville fantôme. Au loin, Samaël vit une petite montagne. Il imaginait à qu'elle point la vue devait être magnifique vue d'en haut. C'est alors qu'il alla sur la montagne, il la gravit par un chemin qui était en petites "garnottes". Samaël stationna sa voiture à trois pieds du bord de la falaise. Puis il sortit de sa voiture sans même arrêter le moteur. Il alla s'accoter sur le devant de sa voiture et il observa la ville sous cet angle. Samaël aimait mieux l'image qu'il s'était imaginé de la ville, mais la vue était tout de même belle, mais pas comme il l'avait espéré.

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Elle était montée dans sa voiture flambant neuve et avait touché son volant pour la première fois... Ce « cadeau » qu'elle s'était faite à elle-même devenait nécessaire : La mutante ne supportait plus le métro ainsi que tous les pauvres gens qui s'y terraient, et voulait prouver à sa soeur qu'elle pouvait être indépendante, et assurer leur sécurité tout en comblant leurs besoins. C'est donc après être allée vérifier que son permis était encore valide, qu'elle s'empressa d'aller chez le constructeur le plus proche. Elle s'arrêta chez Smart et se retrouva alors en possession d'une Smart forfour - Berline - 1.5. Elle espérait simplement que Wednesday l'apprécirait, car c'était le seul modèle qui réunissait l'espace qu'elle désirait... Pour la couleur, rien de très original : Holly opta pour le gris brut, à la fois passe-partout et classe.

C'est donc heureuse qu'elle serpenta les rues de New-York, un map dans la boîte à gants qu'elle ne prit pas pour l'instant la peine de sortir. Plus elle conduisait et plus la ville disparaîssait, jusqu'au moment où elle se retrouva en pleine campagne, et surtout où les ennuis commencèrent : Par où venait-elle, déjà ? Et mince : Là voilà perdue en plein milieu de nulle part, ne pouvant contacter personne. Elle vit au loin, tout en haut d'une falaise, un jeune homme blond... Bon, il fallait agir sinon elle ne pourrait rentrer chez elle : Elle se risqua alors à partir à sa rencontre, prenant le plan avec elle.

McCracken sorti de la Smart et s'approcha timidement, lorsque le jeune homme se retourna elle baissa un peu la tête en guise de bonjour et lui tendit le map, le doigt posé sur le centre-ville de New-York... Faites qu'il comprenne rapidement ce qu'elle voulait de lui...

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Samaël continuait de regarder la ville fantôme lorsqu'il vit une voiture rouler dans celle-ci. Samaël n'y prêta guère attention jusqu'à ce qu'elle s'approche un peu trop de Samaël. Car le jeune homme décela la présence d'un/une mutante à l'intérieur. Quelques instants plus-tard, la voiture se gara non loin de lui. Il entendit clairement le bruit d'une porte de voiture s'ouvrir, le petit clignoti (lorsqu'une porte de voiture est ouverte), ensuite, la porte ce refermer et il entendit des pas, dans le gravier, se diriger vers lui.

Samaël tourna le regard pour voir de qui il s'agissait. Il vit une femme, assez squelettique, belle et avec un anneau dans la lèvre. L'anneau donnait un style que Samaël aimait bien. Mais il se demandait ce qu'une mutante faisait dans ce trou perdu à cette heure-ci. Celle-ci s'approcha timidement de Samaël avec une carte de New-York. Celle-ci baissa la tête en guise de Salut et pointa le centre-ville de New-York sur la carte.

Samaël ne savait pas exactement ce que ça voulait dire. Alors, il regarda la jeune fille et lui dit:

"Oui, ça s'est le centre-ville de New-York...?"

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Ah, être muette... Quel inconvénient ! Se faire comprendre était une chose extrêmement difficile pour Holly qui ne parlait pas le moins du monde. Cette chose si simple dont étaient capable tant de personnes lui était tout simplement interdite... Plus que personne elle aurait voulu pouvoir ouvrir la bouche, faire fonctionner ses cordes vocales et ainsi pouvoir dire clairement tout ce qui lui viendrait à l'esprit.

Qu'à cela ne tienne, elle devait tout de même rentrer, cela après avoir retrouvé son chemin... Donc elle prit sa carte et pointa New-York à Samaël... Qui ne sembla pas vraiment comprendre ce qu'elle voulait.

"Oui, ça s'est le centre-ville de New-York...?"

Elle laissa échapper un léger soupir... Elle était fatiguée et n'avait pas le courage d'aller chercher un papier ainsi qu'un stylo pour écrire plus précisément à l'homme ce qu'elle voulait.

C'est donc un peu énervée qu'elle pointa à nouveau New-York sur la carte, et même un endroit près de la Confrérie avant de tourner son doigt vers l'horizon comme pour lui demander "C'est par où ?". Hours attendait donc son improbable réponse, s'en voulant de ne pas être restée dans les alentours au lieu de s'éloigner.

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Lorsque Holly lui repointa New-York sur la carte, à un endroit près de la confrérie. Elle était un peu plus énervée que la fois précédente, elle pointa ensuite l'horizon. Puis Samaël comprit ce qu'elle voulait savoir. Elle voulait simplement savoir par où était le centre-ville de New-York. Par contre il se demandait pourquoi elle ne lui avait simplement pas demandée?

Puisque la femme était une mutante, Samaël ne voyait pas pourquoi il ne lui donnerait pas l'informations qu'elle voulait. Mais Le seul problème, si on peut appeler cela un problème, c'était que l'illusionniste hésitait entre deux façons de lui donner l'information. Devrait-il simplement la lui dire? Non, il allait utiliser son pouvoir pour lui montrer le chemin.

Samaël baissa la carte et regarda la jeune femme dans les yeux, elle avait un regard vide, presque qu'aussi vide que celui de Samaël. Puis Holly se mit à voir le visage de Samaël s'étirer et se tordre et pendant ce temps elle entendait un petit cillement dans ses oreilles et puis tout cela s'arrêta d'un coup.

Doucement Holly s'envola, par contre elle vit clairement que son corps restait au sol, comme si elle exerçait une projection astral. Puis Holly passa pardessus le vide de la falaise et se mit à la descendre à une vitesse plus que mortelle, elle entendait clairement le son du vent, puis la chute s'arrêta à un pied d'un sol rocheux, la vision resta immobile durant deux ou trois secondes, puis elle reprit son chemin, elle alla sur la route dans la voie de gauche, qui est au États-Unis, la voix inverse. Puis se mit à avancer sur la rue du nom de "Union" elle avança et ralentit à une intersection pour laisser le temps de voir le nom de la rue "Jackson" Puis elle tourna à droite sur cette rue. Elle continua un peut plus longtemps sur cette rue, pi elle passa pardessus un viaduc, en dessous de celui-ci, il y avait une autoroute, puis rendue au milieu du viaduc, la vision descendit du pont pour aller directement sur l'autoroute, elle continua à avancer sur des miles et on vit la sortie 74 qui annonçait en gros "New-York" Puis Samaël arrêta son illusion là. Tout s'envola en fumé et elle se retrouva à nouveau en-face de Samaël qui avait encore son regard vide et sans émotion.

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Hj : Eden = Holly.

__Le visage de Samaël n'était plus normal... Que lui arrivait-il ?! Les sons n'étaient plus les mêmes, sa perception de la réalité non plus... Que se passait-il ?

Secouée. Elle se retrouvait littéralement secouée. Elle perdait le nord, comme elle ne l'avait jamais perdu. Au début son corps semblait rester au sol, alors que des impression de vol la prirent... Elle paniqua bien évidemment... Qui ne l'aurait pas fait à sa place? Elle avait perdu le contrôle de son esprit, il semblait voguer au dessus la ville, par dessus les himmeubles et les parcs, déviant Wallstreet et d'autres quartiers d'affaires. Un chemin, puis deux, trois, et enfin une multitude de chemins innombrables... Tous les États-Unis s'offraient bientôt à elle sur un map plus que réel qu'elle parcourait par la seule force de quelque chose inconnu... Le panneau où il était clairement indiqué NEW-YORK apparu.

Tout s'envola en fumées alors qu'elle venait à peine de comprendre que cette expérience n'était que l'explication imagée de comment se rendre jusqu'à la capitale. Une fois l'illusion définitivement arrêtée elle vit à nouveau un visage, celui du jeune homme qu'elle avait interpelé... Tous les deux s'observaient, avec ce même regard vide...

Brutalement en pensant qu'il devait être Mutant, sa face lui revint ... Elle l'avait déjà vu quelque part, elle en était certaine... Ah! Oui, à présent cela lui revenait... Elle l'avait déjà croisé, dans les couloirs de la Confrérie... Alors qu'elle allait sortir avec Jared pour se rendre à son travail...

Ses yeux s'écarquillèrent subitement et elle chercha quelque chose dans son sac... Une feuille ainsi qu'un crayon... Elle écrivit alors dessus :

« Merci. Vous faites aussi parti de la Confrérie... Voulez-vous m'y accompagner ? »

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Alors que la jeune femme parcourait le chemin imaginaire, Samaël observait son comportement agitée et se calmer au fur et à mesure que le chemin avançait. Il observait son visage, cherchant le moindre défaut, mais en vint, son visage était parfait, pas la moindre trace de ride, d'imperfection ou de bouton. C'était le plus beau visage que notre chère Samaël n'avait jamais vu. Pendant un temps, lorsque l'illusion c'était terminée, Samaël avait l'impression de projeter le même regard vide que la jeune femme lui envoyait. Ce qui surprenait le plus Samaël c'était qu'elle n'avait pas eu peur de lui, car bien souvent des gens, même des mutants se seraient sauvés, ils n'aurait pas osés prendre le chemin indiqué, mais pas cette jeune femme. Elle restait calme et mystérieuse. Puis ses yeux s'écartèrent, elle alla chercher quelque chose dans son sac. Ainsi, elle sortitde son sac un papier et un crayon. Samaël se demandait ce qu'elle allait écrire dessus. Dans un sens, il souhaitait que cette femme lui donne son numéros de téléphone, mais elle lui demanda de la raccmpagner dans à la confrérie. Samaël ne se souvenait pas de l'avoir vu dans la confrérie, car la seule fois où il aurait pu la croiser, il était lui-même absorbé dans l'une de ses illusions ne croisant pas cette personne qu'il aurait peut-être voulu rencontrer plus-tôt. Samaël lui sourit, c'était très rare de le voir sourire, car bien souvent il n'avait pas le temps. Soit la personne se sauvait ou qu'elle lui enlevait le goût de sourire en criant, mais Eden était différente, elle n'avait pas pu crier puisqu'elle était muette. Même si Samaël percevait le silence d'Eden, comme « ystérieux et rendait cette rencontre magique. Il était encore loin de se douter qu'elle était muette. Alors,vint le moment où Samaël se décida de briser le silence. Il se décida de parler avec sa voix, car trop souvent, il masquait sa voix par sécurité, mais cette fois-ci, c'était une voix normale, assezgrave mais qui ne sortait aucunement de l'ordinaire, c'était sa voix.

«Je ne dirai pas non, j'en serais même honoré, mais dites moi, qu'elle voiture.. on prend?»

Samaël était venu dans sa voiture, une vieille pièce de 1951. Il adorait le look que cette voiture lançait. Il se sentait fier dans cette voiture.

quelque part...dans une campagne près de New-York(p.v Holly) 11b10

Puis de toute façon, il savait que Eden allait dire qu'elle prendrait sa voiture, car elle n'allait surement pas la laisser là, dans ce trou perdu. Puis un déclic se fit dans la tête de Samaël, pourquoi venait-il d'accepter l'offre? Evidement, il était trop imbésil et il venait de penser comme un con. Même si cette « conne » était belle, ce n'était pas une raison pour ce mettre a en baver. Au pire s'il voulait réellement se la faire, il pourrait se l'imaginer, dans tous ses détails ou encore se cacher dans sa chambre et aller la violer sans jamais qu'elle sache qui était l'auteur, mais il venait de dire qu'il allait la rammener à la confrérie et c'était ce qu'il allait faire, car il n'avait qu'une parolle. Mais après ce soire-là, il ne risquerait jamais de la rencontrer. Juste parcequ'il était un imbésil.

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