Peut-être que vous saurez m'aidez... [PV Kate]

Finalement Walter semblait sortir un peu des vapes pour tenter de parler à Kate d'une boîte de pillule quelque part sur sa comode. Kate se dit qu'il devait être malade ou un truc du genre donc, elle le laisse étendue par terre dans l'entrée de sa chambre et se dirigea vers le lit fleurit pour regarder sur l'étagère en question. Elle trouva effectivement une petite boîte contenant des cachets à l'aspects naturels comme on en trouve dans les boutique de produits naturels. Elle s'empara aussi tôt de l'objet et revena aux pieds de Walter qui s'était accoté sur un mur à ce moment, tant bien que mal pensa Kate. Elle se pencha près de lui, ouvrit le contenant et mit un cachet dans les mains de Walter.

«Attend, je vais te ramener un verre d'eau, ça ira mieux pour avaler...»

Elle se leva aussitôt pour se diriger dans leur salle de bain où il y avait généralement des verres en styromousse. Elle en prit un, le remplissa d'eau très vite et revena vers Walter. Elle lui tendit le verre et le regarda prendre son cachet. Puis se dernier s'excusa auprès d'elle, probablement à cause de l'histoire du Béhémoth. Kate lui souria et lui dit:

«Ce n'est rien, c'est pas grave du tout...»

Elle le regarda et il semblait se remettre. Kate se disait qu'elle devrait partir, cela devait faire un bon bout qu'elle était avec Walter maintenant! Elle attendit qu'il termine son verre d'eau avant d'ajouter:

«Bon! Je pense que tu dois te reposer maintenant! Aller je t'aide à te lever et t'emmènes dans ton lit! Après je filerais pour te laisser te reposer.»

Elle se releva et laissa Walter se relever seul, en l'aidant de temps en temps pour voir s'il allait bien. Puis, une fois debout, tous deux se dirigèrent vers le lit de Walter et celui-ci s'étendit dans ses draps.

«Ça va maintenant? Je vais te laisser te reposer... on se reverra bientôt surment! Ravie d'avoir fais ta connaissance Walter!»

Elle se dirigea vers la porte et avant de quitté la pièce, se retourna et ajouta:

«Ho et... j'aimerais bien pratiquer mon italier avec toi si ça ne te dérange pas, j'ai peur de devenir rouiller avec le temps à force de ne plus le parler! Si ça ne te déranges pas biensûr...»