Rien de mieux qu'une bonne douche chaude, une petite sieste, dans un lit douillet cette fois et non assise dans banc d'autobus puant la cigarette et de la bonne musique québecquoise pour se remettre d'aplomb. Après sa rencontre avec l'homme qui lui avait gentiment indiqué le chemin des chambres et des cuisines, la jeune fille qui l'accompagnait les avait quitté puis Rowan avait un léger sourire en coin avait ait de même. Elle avait facilement trouvé les dortoirs pour les filles et lorsqu'elle eut trouvé sa chambre avait defait ses bagages, sans toutefois tout rangé. Elle avait prit les piles de vêtements et les avait déposé sans ménagement sur son lit. Elle s'était ensuite mise en route pour trouver les salles de bains. Facile! Une douche douche rapide avant d'entreprendre de découvrir son nouveau "chez-soi". Elle s'était promené pendant près d'une demi-heure avant de tomber sur la cours extérieur de l'Institut. Une petite merveille, elle devait bien se l'avouer. Elle avait apercu le terrain de basket et le grand parc. Toutefois ses pas l'avait instinctivement guidée autre part. Elle marchait d'un pas lent et gracieux tout comme sa mère le lui avait montré mais son regard, ne manquait autour détail de ce qui l'entourait.
- Anyway, chuis content que tu reviennes, t'arrives en même temps que l'automne....
Elle chantait, les mains dans ses poches et la tête en l'air. Sa promenade durait depuis près d'une heure et demi, puis elle atteint le bois qui bordait le bâtiment. Si quelqu'un avait été dans le coin, il aurait pu voir un sourire, nostalgique, mais un sourire étirer ses lèvres rouges.
*Au moins un racoins où je pourrais me sentir un peu comme au Québec...*
Elle prit la décision d'explorer ce bois. Elle s'y enfonca de plus en plus jusqu'à avoir l'impression d'être coupé du monde extérieur. Les yeux maintenant fermés, elle attrapa son Ipod dans sa poche de jeans et l'étteint. Malgré sa passion pour la musique, elle désirait profiter de ce moment de tranquilité. N'entedre que ce que la forêt avait à lui dire et laisser libre cours à ses sens. Sentir l'herbe fraîche sous le bout de ses doigts, respirer l'air pur et ressentir chaque vibration de chaque arbres, plantes et animal habitant ce bois. Doucement, elle s'assis en indien sur le sol humide, puis s'allongea sur le dos. Ouvrant son don au vibration s de la nature, elle se détendait, se sentait bien. On aurait pu comparer ce bien-être à un son critallin, si pur, si clair qu' on ne pouvait faire autrement que de le laisser entrer en soi...