Le vol est puni par la loi (banque)[le Fléau]

Maiwenn s'étira. Encore une journée mal commencée. Bon d'accord il y avait du soleil. D'accord elle ne s'était pas encore fait renvoyée de son job miteux depuis une semaine, un reccord pour elle. Peut être qu'elle s'améliorait comme serveuse... Mais en tout cas ça n'améliorait son humeur. Elle déambulait sur l'Avenue, se moquant du feu rouge pour les piètons, se moquant de se faire ecraser et se moquant de la voix la plus connue de New York aujours'hui, celle de la fille de l'homme qui avait mis sa propre carrière en l'air. Maiwenn caressa avec affection le souvenir de sa vengeance : elle avait fait exploser le yatch de l'homme en question avec ses pouvoirs soniques. Elle jeta un léger coup d'oeil autour d'elle et vit une banque. Pour être plus précise, LA Banque. Celle où tous -ou presque- les bourgeois de la ville entreposait leur richessse. MAiwenn savait que mesmériser les gardes avec sa voix et leur faire croire qu'elle devait récupèrer un diamant qui n'était pas le sien serait un jeu d'enfant. Elle aurait même réussit à faire sauter les caméras. Mais depuis peu le batîment était blindé. Et si elle devait y rentrer pour voler ce devrais être discret. Et faire sauter les fondations d'un machin de cette taille et tout sauf discret.
Soudain le courant de gens allant dans la même direction qu'elle reflua. Bousculée, elle tint bon. Elle voulait savoir ce qui les poussait à fuir. Un mutant pensa-t-elle. Lentement un sourire apparu sur se lèvres.

Invité

Ça faisait près d'un semaine que le Fléau avait repéré sa cible : une banque de riche, donc forcément très riche !

Il avait fait quelques tours et avait même envoyé un de ses confréristes les plus présentable faire un tours la dedans. Bien entendue ce petit illusionniste de m**** avait semé un peu le boxon. Il avait même réussit à ce que les garde se tirent les un sur les autres. Ça avait rendu tout le monde un peu nerveux, mais il n'avait rien trouvé d'autre comme excuse pour justifier ça que "prise de la boisson pendant le service". Ces humains étaient vraiment stupide et méprisable ! Franchement !

Enfin, il avait put récupérer les plans des lieux, et l'illusionniste avant eu le plaisir de récupérer un bon paquet de fric. Le Fléau allait s'emparer d'autant de fric qu'il le pourrait, donnerait la moitié à la confrérie, et pourrait vivre confortablement pendant un certain temps. Enfin ce n'était pas son objectif principal : il devait trouvé de l'argent pour se payer des mercenaires : c'était le seul moyen qu'il avait trouvé pour que Xavier et les autres télépathes de l'institut se tiennent tranquilles jusqu'à ce qu'il arrive !

Bon, revenons à la préoccupation principal. Le bâtiment qui servait pour la banque était vieillot, même si son système de sécurité était excellent. De plus, elle jouissait de la proximité avec 2 commissariat, ce qui évitait en théorie toutes tentative par la force. C'était tant mieux, car les coffres se trouvait assez exposé, au centre de la banque, entrée. Au rez de chaussé se trouvait les bureaux des employés et et les clients qui attendait. A l'étage se trouvait les patrons qui détenait une des trois clé nécessaire, du moins le pensait il, pour ouvrir l'accès ou coffre "spéciaux". C'était ceux la que le fléau visait. une des autres clés se trouvait dans une autres banque, et la troisième était détenue par la branche fondatrice de la banque, et coulait des jours heureux quelques part aux canaris. Le Fléau allait faire une rafles sur le coffre spécial ! Il y avait la davantage de richesse, et surtout des truc plus petit valant plus cher. C'était une des spécialité de la banque, avait t on appris. le directeur était un peu parano, et beaucoup anti mutant , aussi avait il fait installé à l'entrée officielle un détecteur de mutant. Mais ce n'était pas un problème pour le Fléau : de deux chose l'une, 1) il n'était pas mutant, 2) il allait passé par ailleurs.

Il s'approcha du mur. La partie explosé sur la rue n'avait pas fenêtre à moins de trois mètres du sol. Le Fléau arma son poing, sans que personne lui prête attention. Il devait trouvé qu'ils avaient suffisamment de soucis dans leurs petite vie, sans en plus tenir compte d'un fou géant qui portait un cache poussière et un chapeau étrange. Il changèrent rapidement d'avis quand le mur s'effondra dans un bruit de tonnerre. Ils se mirent tous à fuir dans toutes les directions. Le Fléau les ignora pour pénétré dans la banque. Les garde n'avait pas régit qu'il frappait déjà le sol, se creusant un chemin vers le niveau inférieur.

Maiwenn eut un violent sursaut en voyant la montagne qui était là cause de tout ce chambardement. Ce type de plus de deux mètre venait de détruire le mur qu'elle comtemplait en imaginant avec envie l'intérieur. Les gardes, interloqués, n'eurent aucunes réaction. Elle n'hésitait qu'un court instant. Faisant semblant d'éternuer elle murmura : AsschaEt toutes les caméra de la banque explosèrent ainsi que toutes les pellicules et autres instrument servant à enresgistrer. Pas question de se faire prendre. Elle jeta un coup d'oail rapide pour jauger la situation. Cela faisait 5 seconde que la montagne avait explosé le mur. Elle était prête. D'un geste nerveux elle ramena une mèche derrière son oreille droite et s'avança tout sourire dans le trou.

- Bonjour. Laissez-moi passez et oubliez l'entrée de cette homme et la mienne. Puis allez suprimmer de manière définitive les bandes vidéos de maintenant à il y a un quart d'heure. La police va venir. Dites lui que l'explosion de ce mur était prévue. C'est compris ?

Hébétés, les six hommes la regardèrent puis hochèrent la tête comme les doux agneaux qu'ils étaient devenus à cause d'elle. Puis ils s'éxécutérent et Maiwenn bondit sur la piste de la montagne. Si il allait par là, l'argent devait y être aussi. Elle devait avoir dix minutes maximum pour trouver ce qu'elle voulait et sortir. Si elle ne voulait pas ce faire prendre, bien sur. Elle eut un coup d'oeil amusé sur les victimes de sa voix hypnotisante. Simples humains. Facilement manipulable. Elle continua sa course folle vers les coffres les plus interressant.

Invité

Quel bande de minable ! Il n'y avait pas l'ombre d'un alarme pour alerter le personnel ! c'était géniale les équipement silencieux pour prévenir la police, mais comment voulez vous prévenir le personnel d'une attaque dans ce cas ? Bon,d'accord, il avait atomisé un mur et détruit une dalle de béton, ce qui devait faire quand même un sacré vacarme. Mais ils seraient bien capable de croire qu'il s'agissait des travaux qui avait lieu dans la rue . Enfin...

'OOOOOOOOOOUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUU"

A tiens, non, il y avait bien une alarme. Tant mieux, ce serait plus marrant ! il y aurait surement quelques garde à faire valdingué. Restait à espéré qu'il ne pense pas à rameuté des troupes un peu plus capable, du genre X men... Enfin, il y avait peut de chance, il avait tellement à faire ces temps ci ! MAWAWAWA ! Il allait se constituer un joli petit pécule vite fait bien fait... Et avec ça, il n'aurait aucun mal à se débarrassé de ses ennemis ! Il était évident que Xavier passait en tête de sa liste. Mais Blondinet et l'autre monstre bizarroïde avait aussi le droit à une mention spéciale.

Le Fléau était assez étonné, il n'entendait pas de bruit de poursuite. C'était étrange, logiquement ils auraient du suivre le chemin le plus simple, c'est à dire de la rue vers lui. Il y avait un truc qui clochait. Soudain un léger bruit se fit entendre derrière lui. Quelqu'un le suivait, mais ne tentait rien. Donc, ce n'était pas normal. Le Fléau se retourna d'un mouvement brusque pour voir débarqué une jeune fille, qui n'avait pas vraiment sa place ici... mais qui avait sa place dans le sous sol d'un banque, en train de suivre un monstre qui ravageait tout sur son passage ? Le Fléau immobile au milieu du chemin suffit à l'immobiliser.

"Qu'es ce que tu fais la, gamine... Tu ne tiens pas à ta vie et tu cherche une manière simple de l'écourter ?"

Elle n'avait pas vraiment la tête d'une fliquette... Mais les apparences sont parfois trompeuse. Et puis elle pouvait être quelque chose de bien plus dangereux...

Maiwenn allait continuer sa course vers les coffres lorsque l'espéce de montagne s'arrêta. De toute évidence, l'homme était étonné que ce ne soit pas une escouade de gendarmes armés jusqu'aux dents. La phrase qu'il dit en la voyant illustra bien sa pensée :

"Qu'es ce que tu fais la, gamine... Tu ne tiens pas à ta vie et tu cherche une manière simple de l'écourter ?"

Elle éclata de rire. Sans vraiment savoir pourquoi. Un rire nerveux explosant enfin qu'elle retenait depuis longtemps. Puis pour ne pas mettre la montagne en colère elle dit :

- Je ne suis pas le genre de gamine auquel tu dois penser. Je uis une mutante et quelqu'un un minimum normal serait déjà en train de me remercier d'avoir fais sauter les caméras du batîment et "convaincu les gardes d'arrêter la police avant qu'elle n'entre. Mais je suppose que tu ne te considères pas comme quelqu'un de normal et que tu te fiches de la police comme un homme d'un moustique. Et si tu te demandes pourquoi je suis là, réfléchi un peu : qu'eqt-ce que je pourrais bien faire dans une banque de riches après avoir neutralisé son système et ses gardes ? hum ? Je te le demande. Et si tu pouvais accélérer le mouvement j'ai à peine huit minutes devant moi.

Invité

Le Fléau allait réduire l'impudente en bouillit, par simple mesure de précaution, c'était juste qu'il ne voulait pas d'une gamine collé à ses basques ! Il allait agir sans perdre d'avantage de temps, car dans son cas, le temps c'était de l'argent, et armait déjà son coup... Quand soudain la gamine se mit à débiter un discours qui n'aurait pas démérité face à celui d'un orateur habitué ! C'était qui cette fille ? Et cette impression de déjà vu ! Un peu la même que de voir en vrai une actrice qu'on à vu qu'a travers un écran de télévision.

Maiwenn a écrit:: - Je ne suis pas le genre de gamine auquel tu dois penser. Je suis une mutante et quelqu'un un minimum normal serait déjà en train de me remercier d'avoir fais sauter les caméras du bâtiment et "convaincu les gardes d'arrêter la police avant qu'elle n'entre. Mais je suppose que tu ne te considères pas comme quelqu'un de normal et que tu te fiches de la police comme un homme d'un moustique. Et si tu te demandes pourquoi je suis là, réfléchi un peu : qu'est-ce que je pourrais bien faire dans une banque de riches après avoir neutralisé son système et ses gardes ? hum ? Je te le demande. Et si tu pouvais accélérer le mouvement j'ai à peine huit minutes devant moi.

QUOI ? C'était ça ! Normal que la gamine ai rigolé, c'était à hurler de rire ! Une petite profiteuse ! Dans une banque de haute sécurité ! En plus cette gamine avait un pouvoir quelconque. Surement mutant, vu que ça ce rependait comme la peste ces temps ci ! Un pouvoir suffisamment puissant pour obliger les gens à faire ce qu'elle voulait ? Une illusionniste surement ou alors... il connaissait quelqu'un qui était capable d'obtenir le même résultat en utilisant sa voix. Bon, après tout , elle pourrait être un brin utile, et puis elle avait le mérite de le faire rire ! Il l'attrapa par la taille et la plaça sur son épaule gauche. Heureusement que les plafond était haut, car sinon Maiwenn aurait eu un certain nombre de problèmes.

"Le véhicule de madame est avancé ! J'espère qu'il est assez rapide pour vous ! HAHA ! En tout cas tu es marrante ! Et sans scrupules, j'aime ça !"

Après avoir parcourue une bonne partie du trajet au petit trop, une idée germa dans le cerveau du Fléau : il s'agissait peut être d'une nouvelle apprentie à la confrérie que quelqu'un avait trouvé malin ou amusant d'envoyer espionner le Fléau. il fallaity s'en assurer !

"T'es pas à la confrérie, au moins ? Y a pas un rigolo qui t'as envoyer pour essayer de me gruger ? "

Le Fléau s'immobilisa. Si la réponse lui plaisait, ils n'étaient plus très loin de la salle des coffres, et il pourraient mener l'assaut dans les délais les plus brefs. Si la réponse ne lui convenait pas... En bien ma foi, la salle était encore suffisamment loin pour qu'il ai la possibilité d'assommer discrètement la jeune femme...

De toute évidence le Fléau ne semblait pas vexé par sa répartie. Elle eut le souffle coupé lorsqu'il l'empoigna pour la mettre sur son épaule.

"Le véhicule de madame est avancé ! J'espère qu'il est assez rapide pour vous ! HAHA ! En tout cas tu es marrante ! Et sans scrupules, j'aime ça !"

Elle sourit. Si il était assez rapide ? Trés suffisament. Ce coup ci elle allait enfin gagner du bénéfice à être mutante. Puis le Fléau sembla réfléchir à un truc tout en avançant :

"T'es pas à la confrérie, au moins ? Y a pas un rigolo qui t'as envoyer pour essayer de me gruger ? "

- Non je ne suis pas confrériste. J'ai failli le devenir mais des amis m'en on dissuadé. Et non je ne suis pas non plus X-men. Je suis neutre.

Elle ne cita pas Béatrice. La jeune fille avait suffisament d'ennuis comme ça pour qu'un mutant s'intéresse à elle.

Invité

Alors elle n'était ni dans un camps, ni d'en l'autre ? Le Fléau était au courant qu'un certain nombre de mutant préférait ne pas assumer de choix et ne s'engageait ni dans un camp, ni dans l'autre. La plupart était des opportunistes stupides qui pensait qu'il pourrait rejoindre les rangs des "vainqueur", au moment propice, et ainsi bénéficié de tous les avantage sans en avoir subit les inconvénients. Pour le Fléau, il était évident que ce genre de stratégie était pour les faibles et les perdants, pas pour quelqu'un d'un tant soit peu intelligent et puissant. Il se demandait ce qui avait bien put dissuader la jeune femme de venir à la confrérie ? Ces soit disant amis devait avoir des préjugés stupides ! Les mutants ( et tous les êtres doué de pouvoirs, d'ailleurs) devait régner sur le monde ! C'était tout bêtement la loi du plus fort, et la loi de l'espèce ! Les faibles dominent et prospèrent, les faibles sont assujetti et disparaissent ! Il fallait qu'il en sache un peu plus...

"A ouais ? Ils t'ont donné quoi comme bonnes raisons ? Si tu veut faire partit des gagnants, t'aurais tout intérêt à nous rejoindre ! Enfin,, c'est pas vraiment le problème, on en rediscutera plus tard."

Le Fléau avait en effet un truc en tête bien plus important que la conversion d'une membre potentiel aux idéaux, même grandiose, de la confrérie. Il lui fallait piller cette banque. Mais avant, il fallait qu'il se mettent d'accord avec son..."équipière" sur le partage des éventuelles richesse glanées. Il était toujours gênant d'avoir des querelles à ce propos. Le moyen le plus simple de partage était celui qu'il allait proposé... Du moins, vu que cette jeune fille n'était pas vraiment sa partenaire officielle :

"Bon alors, pour le partage voila ce qu'on va faire : tout ce que tu ramasse et que tu sort du bâtiment, c'est à toi ! Ça te va ? Il y a 2 truc qu'il me faut absolument, le reste, je te le laisse !"

Il n'allait quand même pas lui dire qu'il y avait 5 kilogrammes d'adamantium secondaire et 500 grammes de vibranium. Avec ça, il pourrait être tranquille. Il n'allait surement pas tout monnayer, mais en donner une partie à la confrérie. Comme ça, il ne toucherais pas aux jolis petites liasses de billets vert qu'il allait sortir d'ici au plus vite ! Il attendit la réponse de la jeune fille un cours instant... Bientôt, il aurait son argent, et il pourrait réaliser ses projets... bientôt...

"A ouais ? Ils t'ont donné quoi comme bonnes raisons ? Si tu veut faire partit des gagnants, t'aurais tout intérêt à nous rejoindre ! Enfin,, c'est pas vraiment le problème, on en rediscutera plus tard."

"Bon alors, pour le partage voila ce qu'on va faire : tout ce que tu ramasse et que tu sort du bâtiment, c'est à toi ! Ça te va ? Il y a 2 truc qu'il me faut absolument, le reste, je te le laisse !"

Maiwenn resta de marbre à la question première du Fléau. Elle n'avait pas envie d'être dans le camp des gagnants. Tout du moins ce n'était pas son occupation prémière. Elle ne savait pas ce qu'elle voulait au plus profond d'elle même mais se connaissait assez pour savoir qu'elle voulait rester seule un temps. Il lui demanda ensuite si le partage des richesse "tu prends ce que tu veux mais j'ai deux trois trucs réservés" lui allait. Si ça lui allait ? Largement. Depuis le soir où elle avait vu Dent de Sabre elle n'avait pas chercher à reprendre du travail. Ce vide se ressentait sur son portefeuille et sur son estomac.

- Ca m'ira très bien. Merci. Comment est-ce qu'on te nomme ?

Elle avait posé loa question anodine histoire de meubler le silence. Elle ignorait le nom de son interlocuteur et ça la génait.

Invité

La jeune fille n'avait pas l'air convaincue par l'offre du Fléau. Elle avait surement une raison personnelle d'agir ainsi. Car dans le cas contraire, elle avait intérêt à pouvoir courir très vite. Il ne supportait vraiment pas les gens qui se contentait de regarder et de ne prendre partit que lorsque ça pouvait se révéler un brin intéressant... Pour eux. Franchement une telle attitude, c'était à vomir. Mais le sous sol d'une des banques les plus sécurisées de la région n'était surement pas le lieu idéal pour un débat d'idée. D'autant que les débats n'était pas le fort du Fléau. il préférait nettement les clore, en assommants son vis à vis. Ça manquait peut être de subtilité, mais ça avait le mérite d'être efficace. Bon, il avait assez tergiversé ! Dès que la gamine lui aurait donné son accord, il foncerais dans le tas ! Il allait enfin pouvoir cogner ! Mais ces adversaires allait être de pitoyable être humains, tellement faiblard. Ça retirait presque tout l'intérêt d'un cambriolage. Mais enfin, il ne faut pas bouder le plaisir d'un travail facile ! Il aurait ainsi ce qu'il voulait, la confrérie aussi, et tout le monde serait content. Même la gamine aurait une bonne raison de se réjouir ! Elle voulait savoir qui il était ? Il était un peu trop tôt à son gout pour qu'il donne son vrai nom.

"Je suis le Fléau... tu peut aussi m'appeler le Juggernaut."

Le Fléau se retourna ensuite vers les coffres, qui se trouvaient encore à quelques mètres... Il n'allait quand même pas suivre le chemin normal, non ? C'était bon pour les idiots ! Qui songerait à passer par la porte, de nos jours ? Le Fléau prit son élan, et fonça. Le mur ne lui résista pas un seconde. Bien qu'il soit épais, et qu'il aurait normalement nécessité un charge très importante d'explosif, il ne lui résista pas. Le Fléau s'étonnait encore chaque jour du pouvoir de Cyttorak. Après moins d'une minute d'effort, il se trouvait dans la salle des coffres...

"Bienvenue... Aujourd'hui, porte ouverte et service à volonté ! Dépéchez vous ! C'est un offre limité ! Wahamawa !"

Le Fléau était content de sa petit blague... Et il ne se souciait pas le moins du monde des éventuelles efforts de la police pour les déloger ! Il était invulnérables, il fallait quand même qu'il en retire quelques petites satisfactions personnelles, et qu'il puisse s'amuser un peu ! Sinon ça ne valait pas la peine d'être l'avatar d'une entité surpuissante ! Ses réflexions faites, il se mit à arraché les portes de coffres individuel les mieux protégés. Il fallait qu'il trouve en priorité ce qu'il était venu chercher... Le reste pouvait attendre !!! Alors ce n'était pas ce stupide coffret à bijoux, ni ces liasses de billets de banque, ni ces toiles de maitre, ni...

Ainsi donc il s'appelait le Fléau. Maiwenn ne creusa pas la question et se contenta d'aquiescer. Sans doute sa carrure faisait partit de sa mutation. Puis il fit une remarque sur les portes ouverte de la banques. Il rit et Maiwenn aussi. Sa faisait longtemps qu'elle n'avait pas rit, même si son rire avait été plutôt flaiblard ça faisait du bien. Les portes arrahcées par le Fléau ne la bloquait pas. Elle prit aussi tôt ce qui l'interressait. De l'argent en liquide. Pas voyant. Il faudrait qu'elle soit prudente ces prochains mois. Payer cash évoque souvent de soupçons. Lorsqu'elle eut finit elle se redressa et regarda le Fléau en quête de ses objet spécifique.

- Et dans quel quand tu es ? Tu as eut un ristus méprisait en sachant que j'étais neutre, ca signifie que tu ne l'es pas. Et je ne te vois pas X-men. Mais n'as tu pas crains que les confrériste m'ait envoyé pour te doubler ? Si c'est ça être dans le même camp...

L'ironie est toujours ce qui sort le premier avec Maiwenn.

Invité

Le Fléau finit par trouver la bonne porte. Oula, il y en avait des trucs. Peut être qu'il faisait une bêtise en se limitant à sa petite liste de commission. Ba, de toutes façon, il n'aurait aucun mal à organise un autre cambriolage, si c'était utile. Les défense de ces établissement bancaire était tellement ridicule. Seul, et sans la moindre aide ( la gamine n'avait rien fait de significatif, et de toutes façon, il était le Fléau, alors il était invincible !) Il fit un petit tas de ce qu'il prenait, puis sortit 5 grands sac de sa poche. Il les remplis de billets de banque, prit un peu d'or, quelques bijoux, puis commença à charger tout ça de façon à pouvoir courir sans abimer les sac, mais tout en conservant au moins un bras libre, histoire de pouvoir facilement ... Comment dire... Se libérer rapidement une voie d'accès vers la sortie ! Ouais, c'était ça ! Mawawawaw ! Il entendit la gamine lui poser une question. Une vraie pipelette, celle la ! Même quand elle était en train de faire quelques chose d'important et requérant une grande concentration, comme rassembler des liasses de billets, elle parlait :

"Je suis chez les confréristes, mais pas vraiment pas conviction. Ou alors, pas la même conviction que les autres. Car vois tu, je ne suis pas un mutant, au sens propre du terme. J'ai reçu le pouvoir d'une entité, une créature plus puissante qu'un dieu ! Et je dois me venger de mon frère... ET pour cela, j'ai besoin de l'aide de Magnéto, donc de l'aide la confrérie. Je respecte une grande partie des types qui sont la bas.. Mais il y a de sacrée fripouille aussi. Et puis Magnéto aime bien tout savoir, alors que moi j'aimerais qu'il ne sache que ce que je veux bien. Ça permet de faire quelques extra...et d'accélérer un peu les choses !"

Le Fléau était content de sa petite explication. Maintenant il pouvait arrêter de réfléchir, il était tranquille, au moins pendant un petit moment, le temps qu'il faudrait à cette gamine pour emmagasiner tout ce qu'il avait dit. Il prit son temps pour charger, les policiers devaient se douter qu'ils avaient affaire à un mutant surpuissant, ils attendraient d'avoir des renforts. Restait à espéré que ces renforts ne prennent pas la forme des x men. Et puis même si c'était le cas, il n'avait pas de soucis à se faire ! Il n'y avait que deux personnes qui étaient capable de lui faire du mal, parmi les x mens, et elle avait bien trop peur de lui !!! Il était invincible, indestructible ! Il était le tout puissant Fléau, l'avatar de Cyttorak, que le monde entier redoutait ! MAWAWAWAWAWA !!!

"Je suis chez les confréristes, mais pas vraiment pas conviction. Ou alors, pas la même conviction que les autres. Car vois tu, je ne suis pas un mutant, au sens propre du terme. J'ai reçu le pouvoir d'une entité, une créature plus puissante qu'un dieu ! Et je dois me venger de mon frère... ET pour cela, j'ai besoin de l'aide de Magnéto, donc de l'aide la confrérie. Je respecte une grande partie des types qui sont la bas.. Mais il y a de sacrée fripouille aussi. Et puis Magnéto aime bien tout savoir, alors que moi j'aimerais qu'il ne sache que ce que je veux bien. Ça permet de faire quelques extra...et d'accélérer un peu les choses !"

- Je vois...

Maiwenn en avait suffisament pour survivre deux ans et acheter du Dior à tire linrigot. Aussi elle se redressa et ragarda le Fleau. Vétu de rouge, gigantesque, et d'après ses dires immortels, on pouvait comprendre que MAgnéto l'ai voulu dans ses rangs. Une terrreur pour ses ennemi une présence assurant la quasi-victoire pour ses alliés... Oui il ne valait mieux pas être parmi ceux qu'il voulait supprimmer définitivement.

Maiwenn calcula. Il lui restait trois minute. Pas beaucoup quand on y pensait. Elle regarda le Fléau. Lui aussi avait fini mais il continua de prendre du rab. Discrète, elle ne lui demanda pas cce qu'il y avait dans les sacs. Elle n'avait pas de tendances trop suicidaire à sa connaissance.

- C'est bon tu n'as plus rien à prendre ? Moi là je suis un peu pressée de sortir...

Invité

Manifestement ça avait suffit pour clouer un peu le bec à cette jeune impudente. Pour un temps, mais ce n'était pas grave, il avait de la répartie ! Bon, alors, il avait prit le petit cadeau pour Magnéto, si celui ci pointait son nez, plus pas mal d'extra, ce qui lui permettrait de financer quelques projets, et de monter une petite attaque en règles sur le foyer de son cher demi frère ! Celui ci payerait ainsi pour tout ce qu'il lui avait fait subir !!! Il avait tout un petite programme qui défilait dans sa tête depuis un long moment. Un programme qui visait à optimisé la durée de la souffrance de son cher frère ! Mais avant ça, il retsait un petit détail à régler. Partir de la banque sans avoir toutes les forces de polices de l'état au derrière ne serait pas simple. De fait, il ne pouvait pas ressortir par ou il était entrée. Il fallait donc trouver une autre sortie. Seulement il n'en existait pas... du moins pour le moment. La solution était donc extrêmement simple : il suffisait de se créer son propre chemin ! Le Fléau vérifia une dernière fois que tout ses sacs étaient solidement attachée, et qu'ils ne l'entravait pas. La jeune femme semblait manifester une certaines forme d'impatience... Le Fléau lui répondit sur un ton amusé :

"Tu peux partir devant si tu veux... Moi je vais essayer un autre chemin. A toi de voir celui que tu préfère... Et si tu es capable de survivre à une erreur de jugement ! "

Sur ce, le Fléau se mit à frapper sur le sol, usant de sa force titanesque pour fendre le sol. Il savait d'après le plan que les égouts ne passaient pas très loin de la salle des coffres. Même si normalement personne ne pouvait les atteindre, vu les capteurs et les protections. Mais le Fléau ne faisait pas vraiment partie des gens normaux.. pas du tout, même. En moins d'une minutes il avait dégagée un jolie petite passage vers la sortie. Il avait aussi placé de gros gravas devant la porte et devant le trou qu'il avait pratiqué pour venir. Que la police viennent, maintenant. Il se laissa glissé dans le trous. Poua... Sale odeur..

"Alors tu viens ? T'inquiète pas pour tes vêtements, avec ce que tu as voler, tu aura de quoi en acheter des centaines ! MAWAWAWA ! Et c'est quand même mieux comme sortie, nan ?"

Le Fléau se remit en route, sans cherché à attendre Maiwenn. Elle était bien assez grande pour se débrouillée seule. Si elle avait un peu de bon sens, elle le suivrait. Sinon. Et bien elle pouvait toujours s'amuser à errer pendant un temps dans les égouts. Mais quelques chose disait à Cain que ça n'allait pas lui plaire.. Restait à éviter les quelques policiers qu'on avait surement envoyé la. Si ceux ci avait deux sous de bon sens, ça se passerait surement dans l'autre sens... Personne,e pas même un flic n'a envie de finir comme simple tache sur un mur des égouts...

Sujet: Re: Le vol est puni par la loi (banque)[le Fléau] Lun 1 Sep 2008 - 17:29

Goguenard des réparties antécédantes, le Juggernaut bomba le torse. Ce qui au passage donna nettement moins envie à Maiwenn de lui chercher des crosses pour se venger. Il l'informa qu'elle pouvait partir mais qu'il ne lui conseillait pas le même chemin que pour l'allé. Il ajouta qu'il ouvrirait sa propre vois.

Le terme ouvrir fut juste. Il fendit en deux le slo dallé d'un coup de poing phénoménal. Les sourcils haussé d'étonnement, Maiwenn eut un pas de recul. Une odeur putride sortait de la fente. La Syrène mit deux secondes à comprednre ce qu'il y avait en dessous.

Les yeux exorbités, elle retint péniblement un hoquet de dégout. L'odeur répugnante donnait envie de s'assomer contre un mur pour ne plus être conscient. Reculant encore elle respira une grande bouffée d'air encore pur.

Bon sang mais que y avait-il dans ses égouts ? Les gens assouvissaient leurs besoins directement là-bas ou quoi ? Choquée et suffoquante, elle se ravança néanmoins.

Maiwenn était loin d'être bête. Le FLéau avait parement de l'expérience dans le métier, il avait dit qu'il ne valait mieux pas sortir par le chemin de l'allé. C'était sans doute pour une bonne raison.

Rendue furisue par un pique de la montagne rouge sur sa crainte pour ses vêtements, elle bondit dans la fente à sa suite, oubliant temporairement qu'elle avait le vertige. Oubli que son coeur reçut de plein fouet. Pantelante de terreur, elle s'efforçait de maîtriser ses nerfs pour ne pas hurler...

... et faire sauter les égouts, soit les fondation de la mairie et de d'autres batiments importants. Calmée elle fut de nouveau frappée par l'odeur. En apnée, elle s'empressa de suivre la FLéau qui semblait conaître l'endroit. Jamais elle ne s'était sentit si vulnérable que dans cet égout.

Invité

Poua ! L'odeur était vraiment atroce. Se souvenant qu'il n'était pas tenu de respirer, le Fléau s'abstint. Respiré était pour lui un réflexe, comme manger et boire, mais il pouvait facilement s'en passer. Dans des conditions comme celle ci, c'était un véritable soulagement. Dans d'autre circonstance, comme lorsqu'on se retrouvai écrasé sous un temple... N'es ce pas, Charles ! Il avait vraiment envie de l'avoir sous la main celui la. Il le torturerait, jusqu'à ce qu'il en perde la raison, jusqu'à ce qu'il soit obliger d'utiliser ce pouvoir qui l'avait blessé tant de fois, pour fuir son corps dévasté par la souffrance, et qu'il soit contraint de se trouver une nouvelle enveloppe, ou qu'il meure ! Ce moment approchait... Il approchait à grand pas, même. Avec ce qu'il avait collecté dans la banque, il allait pouvoir s'offrir les service d'un professionnel. Ce serait amusant de voir les x men compté comme toujours sur leurs télépathe pour l'arrêter...et de découvrir que ceux ci avait...un petit problème ! MAWAWAWAWAWAW ! Mais avant toutes choses, il fallait sortir de cet endroit mal odorant. Il jeta un petit regard vers la jeune fille. Ba, ça valait le coup, rien que pour voir la tête qu'elle faisait ! Le Fléau se mit en route, à marchant d'un bon pas. il n'avait pas vraiment envie de se faire rattraper pa la police. Ce serait trop long de s'en débarrassé ensuite. Le boyau dans lequel ils se trouvaient était asse petit, et le Fléau passait à peine. Heureusement, ils allaient bientôt atteindre un autre couloir, beaucoup plus large. Quelques minutes plus tard, le Fléau atteignit le nouveau boyau, quand un cri retentit derrière lui :

"Au nom de la loi, rendez vous !"

Le Fléau se retourna et fonça sur l'origine du bruit. Quelques instants plus tard, trois valeureux membres de la force de police New-yorkaise gisait sur le sol. Les pauvres... Et même temps, quel idées de le menacer avec de misérables petites armes de poings. Il ne leur avait pas laisser la moindre chance. Après une petite demi heure de marche dans la pénombre malodorante des égouts, le Fléau s'arrêtât devant une petite échelle qui menait à une plaque d'entretien. Il se retourna, faisant face à Maiwenn, et lui dit :

"C'est ici qu'on se sépare, vu qu'être dans le camp des gagnants ne t'intéresse pas. Si t'as l'occasion, viens écouter le patron ! Et ne te fais pas repéré à l'odeur ! MAwawawa ! et si on te pose des question, rappel toi, l'argent n'a pas d'odeur ! Mawawawawa !"

Sur ces deux fine plaisanteries, le Fléau reprit sa marche vers l'entrée de la confrérie. Il t avait un moyen d'y accédé par ls égouts, même si d'habitude la seul personne qui passait par la, c'était Toad. Ce serait amusant de faire peur à ce petit insolent, en débarquant alors qu'il préparait un mauvais coup ! Mawawa ! Sans plus se préoccupé de MAiwenn, il allongea le pas, impatient de rejoindre la tranquillité de la confrérie !

Sujet: Re: Le vol est puni par la loi (banque)[le Fléau] Jeu 4 Sep 2008 - 10:30

[HRP] Je n'ai plus rien à répondre (si ce n'est que la Syrène à une demangeaison qui lui souffle de faire écrouler le boyau dans lequel le Fléau ce trouve) alors tu peux clore le sujet ! A la prochaine "Grosse montagne rouge et pleine de muscle" ^^

» Puni-cagibi!
» [PV. Neptune] Rencontre fortuite (banque)