Quelqu'un à qui parler? [Kitty]

Katherine Pryde marchait dans les couloir elle aussi. Ou plutot passait d'etage en etage en passant a travers les murs, les plafond et les plancher. S'etais sa seule source d'amusement dans cette ecole qui lui rapelait tant de joix, mais tant de chagrin aussi. L'ennuit etait sa plus grande feblesse, nons parce que Kitty etait seule, mais parce qu'elle etait si loins de chez elle.
Kitty avait vecue depuis ses 13 ans dans cette institue, elle etait membre a pard entiere de l'ecole. Mais quelque chose en elle lui manquait, les premiere neige.. l'odeur de sa mere le matin lorsqu'elle venait la reveiller. Les ricanement de ses amies.. Tout sa etait bien loins a present. Et voila qu'elle allait avoir 17 ans. Elle venait de passer 4 ans de sa vie ici, a reflechire et a contempler les autres mutants, qui eux avait vraiment besoin d'aide pour leur pouvoir. Kitty elle ne faisait que passer a travers la metiere. A travers tout en fait. Elle etait le passe Muraille. Elle n'avait eu que besoin de controler son pouvoir pour ne pas se retrouver 3 etages plus bas. Comme elle le faisait avant. Voila qu'elle avait grandit, mais toujours pas aux yeux des autres.

Kitty se croyais seule dans les couloir et pour l'une des rares fois, elle avait envie de prendre le chemin le plus lons. Donc tout juste apres avoir traverser le mur du couloir. Kitty ce mit a marcher simplement.. en regardnt de tout les coter.

Skinner était en train de tout redramatiser quand soudain il vit une fille, plus jeune que lui pour sûr, travers le mur près de lui et commencer à marcher dans la direction opposée. Elle ne l'avait même pas vue! Là, s'en était trop! Il était invisible, oui, mais fallait quand même pas exagéré. Rodney passa au travers du sol, malgré qu'il était sur un étage, et avança pour dépasser la jeune fille aux cheveux bruns. Il sortit soudainement du sol, juste devant la fille, qui s'arrêta.

"Bonjour mademoiselle. Peut-être n'avez-vous pas remarqué, mais vous êtes passé à côté de moi quand vous avez traversé le mur. Je crois, en toute honnêtetée, que vous n'avez pas fait exprès et je tiens donc à me présenter. Je suis Rodney Skinner, un nouvel élève à l'institut malgré mon âge. Mais je vous en prie, appellez moi Skinner. Ainsi, nous partageons un même don, celui de passer au travers de la matière."

Tout à coup, Skinner remarqua qu'il avait oublié de couvrir sa tête de la fameuse poudre blanche, ce qu'il fit sur le moment. Il rajouta aussi ses lunettes teintées qui cachait ses yeux invisibles.

"Désolé si je vous ai fait peur, je n'ai pas encore l'habitude ici."

Premierement etoner de ne toujours voir personne dans l'institue, Kitty faisait plus attention aux objet et aux portes qu'au personne qu'elle aurait put eventuellement rencontrer. Il fallait dire qu'elle n'etait pas des plus joyeuse ses dernier temps. Si d'habitude la jeune femme avait un large sourire aux levres et un aire de s'ammuser quoi qu'il arrive, aujourd'hui et ses dernier temps elle etait dominer par l'ennuit et la solitude. Comme si tout ce qu'elle desirait avoir n'etait qu'elle. La preuve avait ete le fait qu'elle evitait les salle si souvement remplit. Tel le salon, elle evitait aussi de sortir, de peur de prendre un coup de soleil peux-etre? Kitty avait toujours eu la peau pale. Mais la, elle devenais de pire en pire. La joix eternelle semblais avoir ete remplacer. Neanmoins, en entendant une voix, et en voiyand des vetement sortir du plancher. Kitty fut quelque peu epeurer. S'etait pas tout les jours qu'on ne voyais rien mais qu'on entendait tout. S'est une voix d'homme, une voix qu'elle n'avait jamais entendue encore. Alors en prenant son calme, et en voyant que l'inconue se maitait une poudre blanche sur le visage, kitty sourie un peu.

- Vous etez invisible? Et vous passer a travers les chose!

Dit Kitty visiblement heureuse de voir quelqu'un, peux-etre que rencontrer une personne a la fois etait bien pour la jeune femme.

- Rodney Skinner a appeller Skinner, je suis Katherine Pryde. Mais mes amis m'appelle Kitty mais je suis connue par les autres eleves sous le nom Passe Muraille!

Skinner était content de ne pas avoir fait trop peur à cette charmante jeune fille. Comme il l'avait deviné, ce n'était pas volontairement qu'elle l'avait ignoré.

"Vous êtes invisible? Et vous passer à travers les chose!"

Perspicace la jeune fille! Au moins elle ne le prenait pas pour un fantôme, c'était toujours ça!

"Rodney Skinner à appeller Skinner, je suis Katherine Pryde. Mais mes amis m'appellent Kitty mais je suis connue par les autres élèves sous le nom Passe Muraille!"

"J'espère donc avoir le plaisir de pouvoir vous appelez Kitty. Mais, dites moi, que faites-vous toute seule, à vous promenez dans l'institut? Une jeune fille comme vous devrait avoir plein d'amis à qui parler ou même s'amuser."

Rodney était du genre à ne jamais se mêler de ses affaires. Il avait été élevé comme ça, sauf que maintenant c'était pour aider, pas pour trouver des informations qui pourraient lui permettre de voler une des plus grandes banques du pays. Kitty semblait un peu triste et démoralisée et Skinner se devait de lui rendre son sourire.

"Quelque chose vous donnerait envie? Allez, entre ami, on peut bien s'aider et s'amuser!"

- Pardons?
Demanda Kitty en premier lieux. Elle ignorait quoi dire ou répondre. Sa solitude était due a plusieurs chose. Elle n’avait pas réponse a tout, malheureusement! Elle n’avait rien a dire, elle n’avait rien a faire. Kitty se mit donc a regarder ses pied, étonnamment ils semblaient intéressant aujourd’hui. Kitty sourie en apercevant qu’elle portait deux chaussette différente, une verte et une rouge. Kitty avait la parlote facile d’habitude mais la maintenant elle ne semblait pas vouloir parler de tout ce qui pouvait la déranger. Elle en avait trop long a dire! Petit a petit, Kitty se mit a regarder le plancher, contant tout ce qui pouvait être compter. Elle semblait vouloir éviter la question. Mais elle n’en fit pas trop non plus.

- Hum.. vous entez nouveau non? Vous venez d’ou?

S’était le meilleur moyen qu’elle avait trouver pour changer de sujet, tout en gardant ce qui lui faisait le plus mal proche. Être chez elle, voilà ce qui lui faisait mal, le mal du pays!