Le travail ou la connaissance ? [Magdalenna]

[HRP]Je regrette c'est tout petit mais j'ai pas l'habitude de commencer des RP... [/HRP]

Drimor était seul cette fois. Non pas que la compagnie de sa seule ami fut refusée mais il avait envie de se promener seul, quitte à retomber inconscient mais bon peu importe. Deux fois en si peu de temps était impossible. Il marchait donc, inspirant l'air frais et pollué de cette immense ville, au gré de ses envies lorsqu'il s'arrêta devant un café, pas très fréquenté en cette heure de la journée mais il se décida à y pénétrer, pour y tester le goût de leur café. Il poussa la porte, et une onctueuse odeur se dégagea de l'intérieur, cet endroit était charmant qui plus est. Il prit place à une table également dans un des coins de la pièce. Il avait ainsi une vue sur à peu près tout le monde. On vint lui demander ce qu'il désirait, il commanda un cappucino avec des copeaux de chocolat. Dans une grande tasse si possible. Mais avant d'attendre il partit aux toilettes, même avec les évènement plus tôt il n'y avait pas encore été. A sa sortir, il lança un regard dehors juste pour regarder dehors, heurta un serveur et pour éviter d'être trempé fit un saut sur le côté. Or il y avait une table, et sans doute s'il y avait quelqu'un il serait mal. La tasse se brisa au contact du sol, dans un bruit qui éveilla l'intérêt de chacun, et entraîna les excuses du serveur. Drimor les accepta naturellement, mais il n'e rendit cependant pas, se contentant d'aider à ramasser les bouts de verre. Lorsqu'il se releva, il croisa les yeux de la femme qui était assise à la table qu'il avait bousculé. Il baissa la tête en signe d'humilité et se fit prier :

"Je vous prie de m'excuser madame. La maladresse surpasse l'attention. Cela est honteux n'est-ce pas ? Mais ainsi est faîte la faiblesse de l'être humain. Mais le souhait de vous importuner ne m'est pas cher, aussi vais-je vous laisser boire votre café tranquillement."

Il n'était pas rare que Magdalenna doive se rendre en ville pour régler nombre de détail pour l'institut, cela était aussi le seul moment où elle se retrouvait seule a part sa chambre, comme une petite pause qu'on lui accordait... Certes elle n'était pas maltraitée bien au contraire. C'est pour cela qu'elle appréciait ce petit café, un torrefacteur digne de son nom laissant les effluves ambrées et amer de la torrefaction du café... L'endroit en lui même ne representait pas ses lieux arrogants faisant payer le tripple de son prix juste pour ce dire en vue... Non un calme y résidait, et la décoration restait simple mais élégante...
Comme elle avait changé... de la jeune fille du monde, les épreuves avaient effacer bien des choses... Non son éducation restait bien entendue, mais ses goûts même si elle aimait les belles choses avaient évoluer avec le temps ...

Assisse a sa table elle ne vit pas la tasse attérir dans les airs pour ne sombrer qu'en morceaux au sol. Dans un léger sursaut, elle observa la scène, sans avoir le temps d'agir car le jeune homme qui avait aider a cet accident déjà ider a réparer sa bétise, elle eu un sourire. L'humilité qu'il fit preuve fut apprécier de Magdalenna et dans un sourire elle répondit comme il lui parla Levant une simple main où la manche de son chemisier a jabot fit un léger froissement dans la soie... Un geste gracieux mais qui déjà permettait de savoir a sa tenue irréprochable que la jeune femme avait connu bien des vies ...

" ERRARE HUMANUM EST , VIDEO MELIORA PROBOQUE DETERIORA SEQUOR . Ce n'est donc a moi de vous pardonnez jeune homme Car nul ne peut être parfait. Quand a m'importuner, je ne puis l'accepter car il est rare de voir une jeune personne s'exprimer aussi bien dans l'art oratoire! "
Elle reposa sa main sur le dossier qu'elle avait, contenant sur la pochette une étiquette " Jade Solis" Nom qui hantait depuis quelques jours l'âme de la belle, se sentant fautive de la fuite de la jeune femme, les rumeurs començaient a circuler sur sa fugue ... Magdalenna avait vu Hank s'attacher a cette enfant et avait donc considérer que ceux ci s'entendant bien, la jeune fille trouverait sa place et n'avait pas cru bon de trop l'aborder a part pour lui dire qu'elle était là au besoin...
Magdalenna avait pour elle échouer et elle ne pouvait ce le pardonner, si la jeune fille ne reapparaissait pas bientôt, il était sure que son coeur en patira et Hank comment réagirait il ...

Les bonnes manières de cette dame le laissaient pantelant. On n'en trouvait pas de telle dans la Confrérie. Bien que la seule fille qu'il eut réellement rencontrée fut son centre du monde. La grâce avec laquelle elle avait mouvé son bras l'avait stupéfié. Cette femme échappait à tous ce qu'il avait déjà connu. Une telle ligne de conduite devait certainement signifier qu'elle fréquentait un milieu où les normes sociales sont importantes. Une telle personne devait avoir accédé à un haut rang au sein de la société pour avoir un tel chic. Fort heureusement pour lui, son erreur fut comprise et excusée, car personne n'était parfait. Heureusement que cette dame avait traduite la phrase latine, car il n'avait comprit que la première partie. Elle le rassura cependant car elle lui affirma qu'il ne l'importunait pas, uniquement grâce à ses facultés oratoires, bien qu'il ne fut pas sûr si elle était sérieuse ou non. Car il s'exprimait d'une certaine façon c'était sûr, mais de la à dire qu'il y avait de l'art dans ses mots, il n'en était pas certain et ne saurait le prouver. Il parlait presque selon son instinct, bien qu'il ajoutait une pointe de recherche dans la forme à donner à ses phrases mais, si cette femme dotée de chic, d'élégance, et assurément d'intelligence l'assurait ainsi, il n'avait d'autre choix que de la croire. Il répondit alors à cette charmante dame :

"Mes remerciements vous sont attribués madame. Je suis flatté que mon art oratoire, ainsi est le nom que vous avez donné à ma prise de parole, vous plaise. L'effort de me démarquer des autres avec leur jargon ridicule m'entraîne à faire des phrases dont la grammaire parfois est faussée. Mais laissez-moi vous dire, si vous permettez, que votre talent dépasse de loin le mien, vous connaissez le latin, pas moi. Sans que ma présence soit forcée, ni qu'elle soit imposée, cela poserait-il un quelconque que je m'installe à cette table ? Je ne voudrais pas que mes volontés outrepassent mes droits car votre travail vous attend certainement plus qu'il n'en faut pour vous laisser le temps de m'en consacrer."

Quels efforts pour parler ! C'était fou à quel point cette femme avait le don de le faire peser chacun de ses mots avant de dire une phrase. Comme si le seul mot de travers suffirait à lui accorder toutes les moqueries existantes en ce monde, comme si le poids du monde reposait sur le choix de ses mots. Quoiqu'il en soit, il était bien curieux de savoir sur quoi elle travaillait.

Oui Magdalenna avait appartenue a ses hautes sphères de la société, celle où finalement l'apparence compte plus qu'autre choses.... Mais au fil du temps la jeune femme avait changer de monde, bien qu'elle continua a garder certes son éducation, et a frequenter de peu cette sphère illusoire du luxe pour faire appel suivant les besoins a ses connaissances.. Comme des dons ou encore quelques juges peu scupuleux contre un service échanger ou une petite enveloppe sous table pour effacer certains dossiers génant de ses élèves.... C'était finalement le seul avantage qu'elle en retiré... Car elle n'était plus le papillon qui virevolter de lumière en lumière au bal, aux repas, et autres fêtes où son père se faisait un malin plaisir de la parer afin qu'elle ne soit que l'objet e convoitise, désormais elle était l'unique héritière, et avait su mettre en gérance tous ses biens... Et loin de tout cela avec quelques visites parfois, elle s'était retiré a l'institut, ce lieux où elle avait trouver son hâvre de paix, peut être était ce finalement cette différence des hautes sphères qu'elle brillait d'un éclat moins ternes que certains...
Celle non pas d'une noblesse par titre, mais d'un coeur qui ne cherchait qu'a protéger ceux qui lui été cher...

Elle ne put répondre qu'au jeune homme par un sourire, car celui ci semblait certe pantois, mais aussi littéraire, bien qu'y avait quelques fautes, mais l'erreur était humaine et même es plus grand n'en faisait il pas, d'un geste l'invitant a s'asseoir d'une main blanche et aussi légère qu'un papillon dans les airs sa voix s'éleva dans les airs comme des notes chantantes.

" L'effort reste récompenser , car nous ne devenons maitre de notre art qu'en l'apprivoisant jour après jour, effort après effort. Quant à la connaissance du latin, ceci n'est qu'une matière qu'il peut être remédier , seule la volonté est maitre de l'art... Chacun peut apprendre a l'autre a qui sait échanger et écouter! Et je ne puis point voir de problème au fait qu'une personne bien élevée puisse partager un instant cette table! Quant a mon travail il peut attendre, nous ne devons être esclave d'un travail mais savoir apprécier chaque instant de la vie .... "

Il n'y avait pas d'effort pour la jeune femme, l'apprentissage dans le monde illusoire où chaque requin vous attend au tournant rendait a Magdalenna l'esprit vif sur la rétorique, et le comportement a percevoir façe a son interlocuteur... De plus n'avait elle pas étudier, elle n'était pas qu'une simple poupée contrairement a ce que certains aurait penser... Une fois qu'il fut assis elle fit un sourire rammenant les dossiers en un seul pour les mettre sur le coin de la table, faisant d'un signe gracieux un geste au serveur afin qu'il prenne la commande de Drimor.

" J' en oubliais les bonnes Mannières... Je suis Magdalenna... Magdalenna d'Arcadia"

Les autres gestes emplis de grâce ainsi que cette voix douce et mélodieuse n'en finissaient pas de convaincre Drimor de la bonté dont elle faisait preuve. Elle devait certes faire partie des hauts rangs de la sociétés, mais elle devait également exercer une profession qualifiante et très honorable. Quant à son sourire, il s'accordait parfaitement avec le reste des mouvements qu'elle réalisait. Drimor avait certes lu des documents sur les personnes manipulatrices dont le premier moyen était le paraître, mais celle-là semblait emplie de sincérité exemplaire. Certes s'il la connaissait mieux il la prendrait comme modèle comme ligne de conduite, mais alors il ne se contenterait que de suivre bêtement une autre figure, sans apporter de touche personnelle. Il ne serait alors que comme la majeure partie des autres personnes, se contentant des les suivre sans même réfléchir une fois à leur attitude, à leur façon d'agir ou à leurs propre pensées qui devraient être personnelles et non conditionnées par le reste du monde, les médias, hommes politiques, etc. Ecoutant intégralement les mots de cette dame, il s'installa après avoir reçu l'autorisation. A la suite de quoi elle lui donna son nom. Il fut contraint de répondre :

"Je dois avouer, l'oubli - ou peut-être la mal politesse ? je ne l'espère pas - m'a également frappé pour ne pas vous avoir donné le mien. Je suis nommé Drimor Naharalt. Cependant je ne suis pas totalement d'accord avec la maîtrise de notre art. Il ne s'améliore pas avec l'entraînement, ce serait plutôt notre talent. Bien que les deux soient possibles si le sens que l'on attribue à art varie en fonction de la conception que l'on a. Mais parfois même la volonté est impuissante face à l'obstacle. Et également la volonté est contrainte de succomber à l'instinct, croyez-moi. Quant à votre vision du travail, je soutiens votre conception. Le travail ne devrait être obligatoire que lorsqu'il permet notre subsistance. Sinon il ne sert que les intérêts d'une minorité, ne trouvez-vous pas ? Ah l'oublie me frappe encore, merci de me qualifier de personne bien élevée. Mais vous l'êtes bien plus que moi cependant."

Le garçon arriva avec la commande qu'il apportait à son ancienne table mais qui fut renversée par sa mégarde. Il remercia également le serveur et s'excusa une nouvelle fois de sa maladresse, ce en quoi le serveur répondit que ça arrivait parfois et qu'il ne fallait pas s'en inquiéter, tant qu'il n'eut pas été brulé.

Rencontre d'un instant, espace éphèmère où regard se croisent, comment savoir la vérité du masque de celui d'en face, comment savoir si l'apparence n'est que paraître ou un art noble de son âme sans aucune malveillance... De nos jours peut être est il parfois difficile de faire la différence entre être et paraître. Pourquoi choisit on telle ou telle personnes pour être son modèle, alors que celui ci peut d'un coup d'un seul briser l'image de ce qu'on pensait de lui.
Se connaître soit même est déjà un chemin bien solitaire et long dans son apprentissage, alors être dévoilé a l'autre n'est il pas un chemin impossible...
Magdalenna était certes malgrès les sphères illusoires honnêtes, du moins elle essayait d'être vertueuse comme ses principes lui disait, et la rétorique du jeune homme était certe agréable mais intriguante pour qu'a son âge sans paraître plus âgé il semblait être perspicace.

" Je suis enchantée monsieur Drimor Naharalt. Mais le déssacord n'est il pas ce qui rend l'échange plus encourageant, et si nous ne pouvons maitriser l'art avec l'entrainement mais le talent que pourrions nous faire car cela ne signifie t il pas que nous sommes inégaux face a l'apprentissage de l'élocution et donc de l'échange en société! Bien que la conception varie face a chacun, ne doit on contraite a toujours repousser nos limites. Et si le travail se doit d'assurer la subsistance de chacun, ne doit il pas aussi pour l'équilibre de chacun être un plaisir de la vie ... Que devons nous préférer lorsque le choix est possible un travail peu payer mais où nous évoluons avec ravissement ou un travail dont les honoraires nous offrent plus que de raison mais nous torture a chaque réveil ... Sur bien des points je suis en accord avec votre personne,bien que si l'on observe le regard autour de nous, bien des arguments pourraient aller en défaveur, mais n'est ce point la la magie de la philosophie!!! Bien que je remercie de votre compliment, ceci n'est il tout simplement pas pour nos deux personnes que la logique même du respect d'autrui."

Ainsi avait elle répondu, après que le garçon s'excusant encore en rammenant l'ancienne commande, s'en alla afin de remplir son devoir rassuré peut être dans un sens de n'avoir pas eu un esclandre comme il pouvait exister dans certain café où les clients se permettaient tout ...

Cette femme, Magdalenna d'Arcadia, commençait à discuter de philosophie, voilà qui était intéressant. Non pas que Drimor fut philosophe, à dix-sept ans il est très peu probable de l'être. Ou plutôt, ce titre qui est donné par la société à ceux qui prennent la peine d'écrire un livre sur tel ou tel principe, ceux-là même qui sont qualifiés d'intellectuels alors que chacun de nous en possède une quand bien même ils font usage de la raison. Certes ensuite la décision peut être mal mise au jugement du pour et du contre, cependant si on entreprend de le faire soi-même, alors il est légitime de porter le nom de philosophe. Car les philosophes eux-même ont des idées qui s'opposent, se réfutent, et il n'y a pas de vérité unique pour l'instant, sinon quoi ce n'est pas de la philosophie mais de la science. Des idées en accord ou au contraire en désaccord faisaient irruption dans l'esprit de Drimor à l'écoute de cette dame visiblement importante pour parler brillamment et avec intelligence. D'autres étaient complémentaires. Il goûta alors le café qu'on venait de lui servir, une gorgée, puis deux. Il n'était vraiment pas mauvais, mais il manquait de sucre. Ce n'était pas bien grave, c'était tout de même supportable. Quoiqu'il en soit il n'oserait demander du sucre, il avait déjà fait l'erreur de renverser le contenu de la tasse qui s'était brisée. Puis il répondit à Magdalenna :

"L'encouragement n'est pas la finalité du désaccord, mais la finalité du désaccord est de tomber d'accord. L'encouragement n'est pas une fin du désaccord, il devient plutôt un intérêt, celui de trouver la vérité universelle. Quant à l'apprentissage de l'élocution, effectivement il n'est pas égal. Il est des gens dont les facultés oratoires intègrent plus vite l'esprit et ils savent l'user selon leur souhait. Tandis que pour d'autres le mal se fait sentir. Mais il est clair que sans entraînement quotidien le talent s'amoindrit, pour s'oublier. C'est également pourquoi il faut repousser ses limites comme vous dîtes, bien que parfois elles ne soient plus franchissables. Et certes le travail doit aussi apporter l'épanouissement personnel. Il faut que la personne travaille pour survivre certes mais également que celle-ci puisse évoluer. Sinon quoi ça revient à être un animal de labeur. Ce que le système économique actuel entretient dans les usines. Mais effectivement c'est tout le travail de la philosophie que de réfuter pour l'atteinte de la vérité. Cependant je ne parlerais pas de magie pour la philosophie, dit-il avec un sourire, car tout le monde peut philosopher attendu qu'il le décide, or la magie est impraticable par certaines personnes."

Il continua de boire son café, lentement à cause de l'amertume de celui-ci. Il attendait calmement la réponse de cette charmante dame, de toute façon il n'était pas pressés, et la philosophie n'est pas une activité qui n'oblige de réfléchir vite, mais de penser bien.

Le café restait si calme, l'ambiance feutrée pouvant faire penser a ces salons de thé un peu colonial où fut une époque la voix douce et feutrée était de mise plutôt que un brouahaha incertain dont faisait preuve la vulgarité de certains établissement... Et c'est dans les bruissements de pas léger et certains du personnel qu'évoluer la conversation tel un jeu d'échec, où les pièces étaient désormais remplaçer par des mots d'argumentations, sachant que nul ne pourrait faire échec et mat, car en philosphie la seule règle qui conduisait était de toujours se remettre en question.. De toujours faire l'iruption de son propre argument par une contre thèse qui annulait tout effet...
Et malgrès un jeune âge contrairement a magdalenna qui entrait dans la fleur de l'âge il fallait l'avouer même si elle ne les faisait pas nécessairement, celui ci réagissait avec un esprit vif, et intellectuel. Sachant jouer avec les mots telle un jongleur rattrape et renvoye dans les airs ses balles.. Ce ping pong de joutes verbales devenait interessante par ce simple fait.

"Certe votre joute indique la sagesse du savoir, mais l'accord si tous nous le possédions aucune guerre ne serait de mise, hors rien qu'entre gens d'un même peuple, d'une même culture ou religion, s'avère se contrer dans un élan guerrier pour faire valoir sa force... Comment peut donc arriver a la finalité d'un accord puisque l'homme dans sa diversité restera toujours en déssacord .. Car ce désaccord ne vient il pas de l'ignorance, de la perception mais encore de son éducation... Finalement face a cela ne sommes nous pas encore des bêtes, certes doués de la paroles, mais nos insctincts ne restent pas pas encore incontrôlable face a l'ambition du pouvoir et de bien des motifs parfois bien bas ... Alors face a tout cela qui peut dire détenir la vérité et de quelle vérité parlons nous ... Qui peut parler de vérité en foi, lorsque personnes n'est revenue dire il n'y a rien après la mort où il a quelques choses après la mort ...Même ceux qui approuve ou réfutent ses thèses ne peut s'appuyer que sur son propre jugement, son propre avis et expériences ... Quant à la magie est elle réelle où irrélle ... Qui peut dire que la magie n'est qu'illution où bien réelle ... "
Ainsi avait répondu Magdalenna un sourire au lèvres, car même face a son argumentation, elle aurait été capable d'aller se contre argumenter, comme lorsqu'un jour une personne lui avait dit pourquoi choisir cet institut plutôt que la confrérie ou toute autres sectes... Car oui a la définition de secte dans un dictionnaire la confrérie ou même l'institut pouvait nomner comme telle ... Et elle avait simplement répondu, l'institut est celui qui rejoins le plus mes idées, mes opinions...