Un p'tit rital [Terminé]

Invité

Age + Date de Naissance : 22 ans + 15 août 1986

Sexe : Masculin

Clan : Neutre, veux entrer chez les X-men. Mon adhésion ou non se fera en RP.

Pouvoir : Le pouvoir de Fabio est on ne peut plus simple : il est capable de muer tout ou partie de son corps en sable et ainsi lui donner la forme qu’il désire..
A l'inverse, il peut se dissoudre en grains de sable et se reconstituer par la suite, ce qui est plutôt utile en cas d’explosion.
Il peut aussi se solidifier et se voir ainsi doter d'une force surhumaine
Toutefois si son pouvoir le rend quasi-invulnérable aux attaques physiques il est aussi susceptible de se transformer en verre sous l'effet d'une forte chaleur ou de l'exposition à un produit chimique spécifique tandis que l'eau le rend boueux et lui fait donc perdre sa cohésion.

Spoiler:

Description physique : Fabio est de taille moyenne ; il mesure entre 1m75 et 1m80. Il semble fier, hautain en apparence, mais il n’en n’est rien.
C’est un homme plutôt beau, cheveux foncés qu’il coiffe, ou plutôt décoiffe, avec du gel, yeux vert clair qui contrastent bien avec ses cheveux, barbe de trois jours. Il est mince mais possède une musculature enviable et qu’il entretient tous les jours… Il pense que le physique est assez important dans les relations avec les autres, car les gens ont tendance à juger les personnes selon leur apparence physique, ce qu’il trouve bête, mais il ne peut rien y faire.
Pour son style vestimentaire, l’italien porte à peu près tout malgré une préférence pour le jean. Il ne se sépare jamais de son iPod dans lequel sont enregistrées toutes ses chansons préférées… Il possède aussi une photo de lui et de sa famille qu'il garde précieusement, seul vestige de sa vie avant son kidnapping.

Signe particulier : Il a un tatouage représentant un lion sur son homoplate droite.

Spoiler:

Description psychologique : Fabio est un solitaire, qui adore s’isoler pour méditer. Il est sans cesse en quête de paix et cherche sa voie spirituelle. Croyant mais pas pratiquant, il est conscient des dangers de ce monde, Fabio est aussi quelqu’un de froid, aux premiers abords en tout cas et de susceptible sur certains points. Il a tendance à provoquer les autres afin de mieux les connaître selon leurs réactions. Il aime aussi diriger et est très indépendant. Il est persévérant voire obstiner et ne s’arrête jamais quand il a une idée en tête, sauf si celle-ci est vraiment irréalisable.
Sinon, notre rital est un touche à tout en matière de musique, il écoute aussi bien du Tryo que du Korn, mais son groupe préféré reste incontestablement Sum 41. Il joue de la guitare et aussi du piano. Il avait formé un groupe, il y a quelques temps, où il tenait la place de chanteur/guitariste, mais ce dernier fut dissous après la mort des deux autres membres...

[/color]Histoire du personnage :

Chapitre I : Erreur de calcul.

Code:: New-York City, 13 mai 2005

L‘homme assis du côté passager passa sa main dans ses cheveux, faisant tomber des grains de sable. Un second homme, celui au volant de la camionnette s’adressa à lui :

Conducteur – Tu perds des morceaux de toi… Hého Fab’!

Le dénommé « Fab » se tourna lentement vers le conducteur, il semblait enfin sortie de ses rêveries

Fabio – Hum?

- J’étais en train de dire que tu perdais des morceaux de toi.

Il lui montra les grains de sable sur son T-shirt. Fabio sourit, se redressa sur son siège et reprit la parole :

- C'est pas grave, je les récupèrerait sur la plage d’Hawaï!

Les deux hommes se mirent à rire puis une voix, plus aiguë, vint de l’arrière de la camionnette :

- Oui enfin si on n’y arrive!

Les deux hommes se regardèrent puis Fabio poussa un soupir avant de se tourner vers la femme derrière lui :

- Qu’est ce qu’il y à cette fois Emma?

- Ce qu’il y a? Et bien je vais te le dire moi ce qu’il y a : nous sommes sur le point de faire un braquage mais toi et Harry vous êtes super décontractés, et surtout pas concentrés!

Harry – C’est pas la première fois, on commence à…

Emma - C’est peu être pas notre premier braquage, mais c’est la première fois qu’on s’en prend à une banque de cette importance…

- Et si notre coup fonctionne, ce qui va arriver, ce sera aussi la dernière, après ça : à nous la belle vie sous les cocotiers!

- Les filles en maillots de bain...

- Et pourquoi pas les concert de rock sous le soleil? Au aura assez d'argent pour monter notre groupe!

- Oui, oui… On pourrait quand même répéter le plan encore une fois?

Nouveau soupir de Fabio. L’italien lança un regard en biai à Harry qui était en train d’allumer une cigarette. Il joua deux trois notes sur sa guitare, visiblement contrarié, et se tourna.

- Ok, d’accord on va revoir ça ensemble, pour la millième fois!

Il défit sa ceinture et passa à l’arrière de la camionnette. Il prit des papiers qui traînait là et les étala sous le nez d’Emma :

- Ce sont les plans de banque. Là c’est l’entrée principale. On rentre tous les trois en même temps. Vous, vous allez faire la queue comme si de rien n’était tandis que moi je repère le garde. Une fois que je l’ai neutralisé vous sortez le matos et on vide la caisse, rien de plus simple. Ensuite on file avant que les flics débarquent, on va à l’aéroport et direction le soleil et les cocktails!

- Bon les gonzesses, on est arrivé préparez vous.

La camionnette s’arrêta en face de la banque. Fabio prit des lunettes de soleil, une fausse moustache ainsi qu’un bonnet, tandis que les autres se préparaient aussi. Ils entrèrent tous les trois dans la banque, Harry et Emma se dirigèrent vers la caisse où il y avait le plus de monde tandis que l’italien faisait une inspection des lieux. Ils étaient déjà venus ici des dizaines de fois, il ne prit donc pas beaucoup de temps avant de trouver le gardien. Une fois celui-ci repéré, le visage de Fabio s’illumina d’un sourire. Il tandis ses deux mains vers lui, mais il ne portait pas d’armes, puis il murmura, juste pour lui :

- Bonne nuit shérif!

A cet instant du sable sembla sortir des manches du jeune homme pour se diriger vers le policier qui fut projeté avec violence contre le mur. Alors que la foule commençait à paniquer et à se diriger vers la sortie des coups de feu se firent entendre : ses deux complices étaient entrés en action.

Cela faisant dix minutes qu’ils étaient entrés dans la banque. Tout se passait magnifiquement bien, leurs sacs se remplissant rapidement, jusqu’à ce qu’une explosion vint troubler le calme ambiant.
En effet, l’entrée principale de la banque avait disparut pour laisser place à un gros trou et plein de fumée. Une personne s’avança à travers cette fumée, sourire aux lèvres il regarda les alentours avant de dire en riant :

- Tiens, je crois qu’on arrive en plein braquage. C’est pas de chance ça…

Il se tourna vers le trio en train de remplir les sacs, puis continua en souriant :

- … Surtout pour vous!

A cet instant une dizaine d’hommes, lourdement armée firent leur irruption dans la banque et prirent pour cibles un peu tout le monde, avant de se tourner presque tous vers les trois jeunes gens, interrompus ans leur travail. Harry fut le premier à reprendre ses esprits en s’adressant aux autres braqueurs :

- Ecouté, on peut très bien partager, il y a trop d’argent pour nous de toutes façon…

- Partager… C’est une idée. Malheureusement il n’y aura jamais assez d’argent pour NOUS!

Les hommes armés se mirent à rires et chargèrent leurs armes, prêt à tirer. C’est ce moment que Fabio choisit pour intervenir : il tendit ses deux bras vers ses opposants et refit le même coup qu’il avait fait au gardien, quelques instants plus tôt. Du sable balaya donc 5 hommes tandis que les autres se mirent à tirer. Harry se mit devant ses deux camarades et un bouclier d’énergie apparut devant les trois compères, stoppant net les balles. Ce fut ensuite au tour d’Emma d’entrer en action, ce qu’elle fit rapidement. Des objets se mirent à léviter autours d’elle avant d’aller frapper plusieurs ennemis qui s’effondrèrent sous le choc. L’homme qui avait pénétré la banque en premier eut un nouveau rire :

- Des mutants?! Comme c’est marrant…

Il posa ses deux mains au sol et ajouta, avec un sourire sadique :

- Moi aussi j’en suis un!

Il y eut alors une nouvelle explosion qui sépara les trois amis. Fabio avait juste eut le temps de prendre Emma dans ses bras afin de la protéger. Harry fut propulsé à l’opposé des deux autres, au pied d’un des hommes à mitraillette. Il n’eut pas le temps de réagir que l’homme avait pointé son arme sur lui et avait fait feu.

- NOOON, Harry!

Il regarda autour de lui : les hommes restant se dirigeait vers eux. D’un revers de main il en balaya trois, grâce au sable, puis il saisit Emma par le bras :

- On doit partir d’ici, ils sont trop nombreux!

- Mais et pour Harry? On ne peut pas l’abban…

- C’est trop tard pour lui, il faut fuir!

Des larmes apparurent sur le visage de la jeune fille. L’italien commença à la tirer mais il se rendit rapidement compte qu’ils étaient cernés. Des hommes ouvrèrent le feu. Il prit immédiatement Emma dans ses bras avant de se mettre sur la trajectoire des balles, durcissant son corps pour les stopper. Les coups s’arrêtèrent, il regarda Emma qui se tenait à lui. Elle voulue articuler quelque chose mais aucun son ne sortit, elle glissait doucement jusqu’à se retrouver allonger par terre. Fabio s’accroupie à côté d’elle et vit plusieurs balles logé dans son corps : il avait échouer, il ne s’était pas assez durcit les balles l’avait traversé. Il prit les mains de la jeune fille et attendit qu’elle meure avant de se lever. Il se tourna lentement vers les assassins et commença à parler, mais plus pour lui-même que pour eux :

- Ca ne devait pas se passer comme ça… On devait prendre l’argent et partir, c’était aussi simple, ça n’aurait pas dû se passer comme ça…

- On dirait bien que vous avez fait une erreur de calcul.

- Une erreur de calcul… erreur de calcul…

Il avait gardé la tête baissée jusqu’à maintenant. Il la releva brusquement, on put ainsi voir les larmes coulant sur ses joues, mais aussi son regard plein de haine qu’il jetait au « roi de l’explosion ».

- Erreur de calcul? On n’est pas les seuls dans ce cas alors…

Il fit un pas en avant. Comme il s’y attendait, toutes les armes se dirigèrent sur lui. Il fit un autre pas et les balles volèrent, le touchèrent mais il continua d’avancer. Il pouvait deviner la peur des gangsters, même de « dynamite ». Il balaya deux autres hommes et se mit à courir. Il y eut une nouvelle explosion qui le projeta à leurs côtés. Il y avait de la poussière et de la fumée partout, il était très difficile de distinguer quoi que ce soit. Tout à coup quelqu’un rouvrit le feu et toucha sa cible : l’homme aux explosion s’effondra à terre, criblé de balles. Des sirènes retentirent, Fabio regarda le bordel occasionné, il lança un dernier regard à ses amis et partit, abandonnant leurs cadavres. Il venait de perdre tout ce qui lui était le plus cher au monde, il venait de perdre ses seuls amis… sa seule famille.

Invité

Chapitre II : Retour aux origines.

Code:: Base de recherches militaire, Kansas, 12 décembre 2007

Alerte ! Alerte ! Alerte !

Cela faisait à peu près une heure que l’alarme de la base se répétait en boucle, pourtant depuis une dizaine de minutes plus aucun soldat ne bougeait, plus personne ne se dirigeait vers le quartier 15r, départ des troubles. Dans ce fameux quartier 15r des soldats étaient allongés un peu partout, et du sable les recouvrait à moitié. L’alarme s’éteignit soudainement, un jeune homme, jean noir, veste en cuir par-dessus un T-shirt venait de l’éteindre avec un soupir de soulagement.

- C’est pas trop tôt… Maintenant ça va être à ton tour d’être mis hors service.

Il sortit de la salle et si dirigea vers le quartier des scientifiques. Sa démarche était calme et il semblait sûr de lui, décidé à aller jusqu’au bout. Il tourna à droite lorsqu’il se retrouva sous le feu des militaires. Un petit groupe de trois soldats était en train de vider leurs chargeurs sur le faiseur de troubles. L’homme à la veste en cuir n’eut aucune expression lorsqu’il dirigea ses mains vers les soldats, ni joie, ni colère, ni regret… Ils furent tous projetés par du sable contre le mur derrière eux. Le jeune homme continua sa route. Le reste du trajet se passa tranquillement, ne rencontrant plus aucune opposition, il arriva sans dommage à destination. Il s’arrêta devant une porte où un vieil écriteau indiquait :

Code:: Recherches importantes, ne pas déranger. Salle insonorisée.

Il tourna le verrou mais la porte était fermée. C’est alors que sa main prit l’apparence d’une masse d’arme et frappa la porte à plusieurs reprises, jusqu’à ce que celle-ci tombe au sol. A peine était-il entré que quelqu’un lui tira dessus. La balle le traversa sans faire de dommage. Il observa alors celui qui venait de tenter de le tuer : c’était bien l’homme qu’il cherchait. Ce dernier jeta l’arme au sol et demanda, d’une voix où l’on sentait la terreur :

- Qui… qu-qui êtes vous?

- Je suis vexé professeur, vous ne me reconnaissez même pas?

L’homme ne répondit pas, il paraissait terrifié et curieux à la fois. L’homme à la veste en cuir eu une expression de dédains. Sa main prit l’apparence d’un marteau de sable et il frappa le professeur… qui évita le coup de justesse avant d’aller se réfugier dans un coin de la pièce. Le marteau se logea dans le mur, créant un trou.

- Ca y est, je me souviens de vous. Vous êtes l’expérience matriculée XR 81…

- JE NE SUIS PAS UN NUMERO! MON NOM EST FABIO!

Le professeur semblait reprendre peu à peu sa contenance, il semblait avoir un regain de courage :

- Peu importe qui vous étiez avant, ce qui compte c’est ce que j’ai fait de vous! Une de mes plus belles réussites, le Colonel Stryker était fier de moi…

Non, ce n’était pas du courage mais l’orgueil qui poussait cet homme à s’exprimer ainsi, oubliant le danger que représentait son ancien cobaye.

- Vous m’avez traité comme un animal… Non pire qu’un animal! Vous n’aviez pas le droit de…

- Tu étais un orphelin, je t’ai recueillit, c’est un don que je t’ai donné là, tu devrais plutôt me remercier!

Le calme qui habitait Fabio il y a quelques instants s’était complètement volatilisé, la colère débordait de lui, il n’avait qu’une seule envie : faire taire ce monstre pour toujours!

- TA GUEULE! Vous remerciez? Et pourquoi le devrais-je? Je n’ai jamais demandé à devenir un mutant, vous-même vous les détestez non? Alors pourquoi avoir fait ça…

- Tout cela ne te regarde pas mon gar…

Le professeur se baissa juste à temps pour éviter un nouveau coup de Fabio. Il tenta de fuir mais l’italien le fit trébucher, projetant du sable vers ses jambes. Il s’approcha de lui, la main droite tendue vers la tête du scientifique.

- Ce n’est pas à vous de décider ce qui me regarde ou non. Je pose les questions et vous, vous y répondez. Une objection?

L’homme à terre fit « non » de la tête. Il tenta de se relever mais Fabio le poussa pour qu’il reste à terre.

- Je vous demandais donc pourquoi vous m’avez fait ça?

L’homme déglutit avec difficulté avant de commencer son explication :

- Tout d’abord il faut savoir que tu n’as pas été le seul, ils ont été des centaines, non des milliers dans ton cas… Mais tous n’ont pas survécu, et encore moins se sont enfuit… Tu es vraiment un cas particuliers tu sais?

- Continue ton histoire, c’est tout. Garde tes remarques pour toi.

- B-bien sûr! Je disais donc que nous avons fait pleins d’expériences dans ton genre, mais au départ nous avions un tout autre but que celui de transformer les gens en mutant. Nous cherchions un remède contre les mutants, afin de les rendre humains, d’éliminer leurs pouvoirs. Malheureusement nos recherches n’ont aboutit à rien et tous nos cobayes sont morts.

Fabio eut un haut le cœur. Cet homme parlait d’une manière si naturelle de tous ses morts, comme s’il s’agissait uniquement de dommages collatéraux. Il trouvait ça… répugnant.

- Devant nos échec, nous avons eu l’idée de faire le chemin inverse : transformé les humains en mutants, pour mieux comprendre comment se débarrasser de cette maladie, et puis : quoi de mieux que des mutants pour combattre des mutants? Nous faisions d’une pierre deux coups : nous avancions dans nos recherches pour trouver un remède contre les mutants, et en même temps nous levions notre propre armée de mutants ingénieux non?

- Vous avez sacrifié toutes ses vies pour… simplement pour lever une armée?

Fabio avait du mal à croire ce qu’il entendait, pourtant il n’était pas au bout e ses surprises :

- Ce n’est pas la seule raison… A vrai dire le fils du Colonel est un mutant lui aussi, je pense qu’il cherche donc un remède pour le sauver.

- Le sauver… ? Mais être un mutant n’est pas une maladie, beaucoup d’entre eux s’acceptent tels qu’ils sont et…

- Et bientôt ils seront plus nombreux que nous et ils prendront le pouvoir!

Devant l’air incrédule de Fabio il ajouta :

- De toute façon ce sont des choses qui te dépasse tu ne peux pas les comprendre.

Le professeur se releva, sourire aux lèvres et ajouta :

- Quoiqu’il en soit c’est gentil d’être revenu tout seul, je vais pouvoir reprendre mes recherches sur toi.

Il s’éloigna de la porte et alors que le mutant s’avançait vers lui, un filet lui tomba dessus. Un militaire était à l’encadrement de la porte et le tenait en joug. Le professeur ne parut cependant pas aussi content que son collègue de l’armée :

- Un filet? Mais je vous avait dit de prendre un lance flamme ou de l’eau!

- Je vois pas ce que ça change… Je l’a cap.. Argh!

L’homme se prit un poing un pleine tête et s’évanoui aussitôt. Fabio se tourna vers le professeur et avança lentement vers lui, il était tellement en colère qu’il pensait que cela devait brûler le professeur. Il s’arrêta à un peu près un mètre et demanda de la voix la plus calme qu’il put :

- Où sont les dossiers?

- Quels dossiers? De quoi parles-tu?

- LES DOSSIERS! CEUX OU SONT ECRIT CE QUE J’ETAIS AVANT D’ARRIVER ICI!

- Ils sont dans le quartier 18c là où sont ranger tous les papiers… Par pitié ne me faites pas de mal…

L’homme était en train de pleurnicher. Il était accroupit devant Fabio en train de supplier pour sa vie. L’italien retrouva subitement son calme habituel. Il se contenta de répondre par la phrase suivante :

- Combien de tes… cobayes t’ont suppliés? Combien d’entre eux as-tu épargnés?

Le regard plein de larmes du scientifique se figea. Il regarda Fabio qui avait la main droite tendu vers lui, du sable avançant doucement vers sa victime, puis le sable s’enroula autour du visage du professeur, entrant par la bouche et les narines, jusqu’à ce que celui-ci ne meure d’asphyxie…

Une heure plus tard un homme à la veste de cuir marchait dans le désert. Il y avait derrière lui un grand incendie, les militaires survivants se démenaient pour l’éteindre et sortir ceux qui étaient encore à l’intérieur. L’homme à la veste de cuir tenait dans sa main une enveloppe sur laquelle était écrit :

Code:: Dossier de Fabio Di Marco

Chapitre III : Un nouveau départ.

Code:: Entrée de l’Institut Xavier, 23 août 2008

Cela faisait un peu moins d’un an depuis les évènements de la base. A peu près trois ans depuis ceux tragiques de la banque… Fabio en avait marre de vivre avec tout ça sur la conscience, il en avait marre de vivre seul. Il avait entendu parlé d’un Institut un peu spécial qui accueillerait les gens comme lui : l’Institut Xavier.

Il était à présent face à ce bâtiment, à l’entrée du parc, attendant devant la grille. Il était trempée jusqu’à l’os, son iPod, était éteint et bien au sec dans sa poche. Il tenait dans sa main droite son sac dans lequel se trouvait toutes ses affaires : quelques habits et son dossier, dossier qui disait qu’il avait vécu quatorze ans en Italie avant que les militaire ne l’emmène, dossiers qui disait qu’il avait eu une famille avant de se faire enlever, dossier qui contenait une photo de lui et de sa famille… Il avait vécu de dur moment, et la lecture de « sa vie antérieure » n’avait en rien amélioré sa vie actuelle, bien au contraire. Cependant il avait décidé de ne plus se laisser dicter sa conduite par sa colère, il avait décidé d’apprendre à maîtriser ses pouvoirs afin de s’en servir pour une cause juste. C’est pour cette raison qu’il attendait là, sous la pluie, hésitant à sonner, hésitant à faire le premier pas vers une nouvelle vie…

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EDIT ==> Talents : Fabio touche un peu à la guitare, et même si ce n'est pas un pro il se débrouille pas trop mal. Il parle aussi parfaitement italien, reste des quatorzes années passées là-bas... Même s'il n'en à plus le moindre souvenir.

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Personne sur l'avatar : Matt Dallas

Age dans la vrai vie : 17 ans

Expérience RP : 2-3 ans, je sais pas exactement

Double compte : Non

Votre personnage est-il issue des comics : Non, mais je me suis inspiré de l'homme sable pour le pouvoir.

cherry

[Kate]

Je certifie avoir lu et j'accepte le règlement. Je m'engage a écrire toujours au minimum 5 lignes complètes dans chacun de mes messages en Role Play.

Je...je...je craqueeeeeeeeee
Hum...
bienvenue^^

Superbe fiche... un peu longue mais en même temps agréable à lire! Je suis en pleine modification de rang donc ne panique pas si tu vois que ton rang est encore attitré à ''Membre n'ayant aucune fiche validé'' c'est normal ^^ en attendant je te donne ta petite couleur violette! Very Happy

VALIDÉ!

» Ptit montage pour wiccan
» S.H.O.P.I.N.G [TERMINE]