besoin de livre [ Fléau -Jester-Mimic]

Nyop, avouez que c’était un peu abusé de devoir se réveiller a huit heures du matin pour un samedi matin ! Tristan lui-même trouvait sa désagréable, il avait bien besoin de se détendre de temps en temps. Encore allongé dans son lit, les yeux a demis clos et les mains sur son torse, il songeait. Se lever, se lever, debout avec ce temps de chien, il pleut.. Que peut on faire quand il tombe des cordes ? Absolument rien, s’ennuyer a attendre que le temps passe, que quelque chose se produise dans l’institut des mutants. Dans ça cas la il peut très bien rester plus longtemps a glander, on peut bien s’offrir des petits plaisirs une fois semaine, quelque un vas pas me faire une leçon de moral juste parce que j ai traîné au lit. Ça serait la meilleur, voir un dirigeant débarquer dans sa chambre avec une batte de basball a la main en hurlant: debout Tristan, arrête de dormir, samedi ou non tu vas te bouger les fesses ! Il y avait peu de chance pour que cela lui arriverait, a moins que. . Et puis au pire il dirait qu’il ne savait pas, une excuse qui sortait tout le temps au lycée lorsqu’il faisait des conneries ou traînait dans des zones interdit. Malheureusement ce matin, il devait vraiment se lever de bonne heure !

C’était important et urgent pour lui, la cause ? Je vous le donne en mille, c’était sincèrement pas ce qu’il aimait le plus faire: allez en ville pour repérer deux bouquins qu’il avait commander. L’importance de ces livres étaient qu’il en avait besoin pour des recherches personnel sur les mutants, les pouvoirs et leur origine. Suite a un long soupire, l’enfant des ténèbres se découvrit nerveusement de ses douces couettes, il se mit debout en direction de son miroir. La tête de cul terreux qu’il avait, il était vraiment a faire peur. Les cheveux en batailles, les yeux toujours a demi clos et pour couronner le tout il avait les cernes sous les yeux ! Hum, mal dormit le jeune troy ? Non, mais la nuit lui avait parut trop courte, s’endormir a une heure du matin pour se réveiller a huit heure, pas le top quoi. L’esprit dans le cirage, gare a ceux qui auraient l’audace de venir l’emmerder de sitôt. En clair il était de mauvaise humeur, rien de nouveau. Pourtant il faisait quand même l effort de s’habiller correctement pour sortir, il avait mis un très beau t shirt noir moulant et un pantalon marron simpliste avec deux poches sur le coté. Il voulait pas s’amuser a jouer les coiffeurs de service, donc pour aujourd’hui un coup de peigne vite fait dans les cheveux suffisait emplement. Ranger la chambre maintenant ou en revenant de ville ?

Quand il rentrerait bien sur, si Tristan se mettait des le matin a faire ça, il pesterait un câble et puis il n’avait pas beaucoup de bazar ! Pourtant ce n’est pas trop te demander de faire le ménage de chambre une fois par semaine, si ?! Laissez tombé, encore une chose qu’il n aimait pas faire. Une fois sortir de son dortoir, il vit amèrement qu’il n’y avait pas un chat dans les couloirs, personnes de chez personnes. Ou étaient ils ? Pas difficile a deviner qu’ils dormaient encore. Le jeune troy ne pensait plus tellement a son lit, ce qui le motivait d avantage. Heureusement que l’institut des mutants n’était pas grand, il trouvait de suite la sortie. Dehors, encore ce temps de flotte, en général il trouvait ça très agréable de marcher sous la pluie mais pas quand on avait des livres a prendre. Arrêtes de râler et prends ton courage a deux mains pour allez en ville. C est pas le bout du monde, a quelques minutes de la. Heureusement pour lui, en ville il n y avait pas tellement de monde de lever, ce qui veut dire moins de queue pour attendre. Le coté pratique de se lever très tôt, la ou il arrivait, les magazins étaient déjà ouvert. Youpi, plus vite il aurait ses livres, plus vite il sera de retour a l’institut des mutants. Pour pas se cassez la figure, il marcha lentement sur les longs trottoirs humides en levant que quelques fois la tête vers le sommet des immeubles. Gris, gris et regris ! Beurk que c’était moche cette couleur sans vie, sans saveur et triste, même pas un peu de verdure dans cette fichu ville. Il ne comprenait pas comment on pouvait vivre dans ces endroits pareils. Certes il y avait presque tous les centres d’informations ou de besoin pour les hommes.. Mais question plaisir familial genre promenade et pique nique, ben c’était pas le bonne endroit. Remarque qu’on pouvait toujours se contentait de petits restaurants dans les ruelles du coins. Des maisons, des bâtiments et des immeubles, trop fort pensait Tristan qui commençait a être dégoûté des odeurs de pollutions. Par mal chance il n’arriva pas tout de suite dans sa boutique, il croisa un passant étrange qui lui parla d’une drôle de manière.

Le jeune troy n’était pas vraiment dans les nuages, du moins il avait conscience qu’il se trouvait en ville pour chercher un livre sur les mutants et leur évolution. Cependant il paraissait avoir les yeux dans le vide, a moi avis il n’y avait que le par terre qui l’intéresser. Une habitude qu’il faisait a chaque fois qu’il allait en ville, il ne regardait jamais ou il allait. La plupart du temps, cette mauvaise manie qui lui causait des sérieux soucis: soit il heurtait une personne ou bien il se pommait dans la ville, ce qui ne l’arrangeait peu lorsqu’il avait une urgence a faire. Enfin pas si pénible que cela , vu que ça lui arrive de temps en temps de demander mains fortes a quelques victimes pour retrouver son chemin. Remarque qu’on ne pouvait pas dire que le paysage était très dévêtissent pour le jeune homme, toujours la même chose. il n’appréciait guerre d’avoir toujours les yeux rivés sur un ensemble gris bourré de lumière artitifficiel qui ne servent a peu grand-chose, juste a décorer. De temps en temps et pour empêcher d’être Hypnotisé par cette couleur unique, il essayait de lever les yeux vers le ciel. Ah si seulement il pouvait dire : comme ça faisait plaisir de revoir un peu de bleu et blanc avec une petite tache jeune qui n’était que notre bonne étoile chérie, dites donc ça chose drôlement de cet affreux gris.

Malheureusement il n’avait pas cette chance de dire cela, car pour le moment le ciel était… devinez un peu, gris foncé ! Ah l’horreur, la poise, encore cette fichu pluie. Ses goûtes qui vous collent aux vêtements , vous mouilles jusqu’à la peau, la moelle, beurk songeait le jeune homme en s‘amusant comme un gamin a marcher dans les petites flaques d‘eau. Quelques temps plus tard, alors que son esprit était complètement dans les vaps, il entendit une grosse voie non loin de lui. Au début, il pensait que c’était une personne qui criyait a quelque un a l’autre bout de la rue. Pour pas gêner ou heurter la personne, il se décalait légèrement vers l’avant. Cependant il sentit qu’il y avait bien une présence qui l’observait depuis tout a l’heure, il poussait un profond soupire avait de se décider a lever les yeux sur la personne. La il semblait surpris de voir un homme de taille très grande et aussi musclés, ah cool un géant.. Euh je fais quoi maintenant, ah oui je réponds .. Il a dit quoi déjà le petit, enfin le géant ? Ah oui, si j’étais pas de l’institut des mutants.. Le jeune troy fronçait le sourcil, pourquoi lui avait il demandé cela ? Peut être que c’est un ancien élèves, peut être un conferiste voir un chasseur de mutant. Et puis il ne s’était pas présenté lui, si ? Avant de demander l’identité de l’autre, il faut peut être se présenter non ? Tristan n’était pas bête du tout, il était toujours méfiant en vers les inconnues. Si cet homme voulait vraiment des réponses, il n’aura qu’a en faire de même avec le jeune homme. Sournois comme pas deux, l’enfant des ténèbres ne pu se retenir de lui répliquer sous un ton ironique.

« La moindre des choses ça serait plutôt que vous vous presantez d’abord ? »

Un vent, cela s’appelle un vent mes amis. L’enfant des ténèbres avait cette fâcheuse tendance de faire lorsqu’il en avait le plaisir, de la méchanceté ? Pas vraiment, disons qu’il détestait qu’on venait subitement vers lui en lui posant ce genre de questions. Ce garçon était d’une nature très passible, rare était les f ois ou il provoquait les gens. Il souriait de l’intérieur en pensant qu’il avait été trop fort avec lui, après tout peut etre qu’il s’était perdu.. Tristan mais a quoi tu joues ? Arrêtes un peu de faire le gentil garçon a céder a tout ce qu’on te dit, t es mal partie. Oublies pas que tu as éventuellement un tueur de mutant ou pire, un conferiste ! Que faire ? Rester muet comme une carpe ou continuer la conversation sous le risque qu’il découvre tout ? Le jeune mutant était dépossédé de ses moyens, désenrienté mais il fallait quand même qui ponds quelques choses s’il veut pas se créer des ennuies. Une situation qu’il lui paru impossible a résoudre, enfin ce n’était pas la première fois que ça lui arrivait. En effet l’esprit tordu de ce garçon en faisait qu’a sa tête, si bien qu’une fois il avait du parler pendant une heure a une femme qui croyait que c’était lui qui lui avait piquer son sac. Finalement, il opta a jouer par la ruse, on sait jamais ! Donc quelques temps plus tard, il ouvrit la bouche sur le même ton que tout a l’heure.

« pour vous répondre a votre question, je ne suis pas de cet institut … vous fêtes sûrement erreur. »

Ahaha, très drôle celui la ! Imaginez vous une seule minute, voir devant vous débarquer un géant de trois maîtres de haut, que faites vous ? Un large sourire avec une grosse poigner de main, telle que des vieux compères en commencent a entamer la cosette du style: SALUT, comment ça vas ? Il fait beau aujourd’hui.. Même si comme on peut constater, le temps était pas beau du tout, rare serait les fois ou l’enfant des ténèbres se comporterait de cette facon. On le savait parfaitement que son caractère était de ne pas se laisser avoir par les autres, surtout lorsqu’on vous saute dessus en vous assomant de question infiniment.

Faire ce genre de trucs le matin, au pauvre Tristan, qu’avait il méritait pour cela ? Juste une sortie en ville pour se procurer un fichu bouquin ! C’est vrai qu’on pousse un peu trop, qu’on a tendance a dramatiser son cas. Cependant on peut pas nié qu’il n’en pense pas moins, ce grand garçon perdait déjà patience en désirent de finir cette conversation. Le jeune homme adorait prendre tout son temps le matin, et détestait se prendre la tete avec des histoires de brins. Pourtant il ne fallait pas être dotée d’empathie pour sentir l’antipathie du mutant, oui ça ce voyait bien que ce type n’était sûrement pas un humain. Un mutant peu gentillet en salissant l’image de xavier, ne pouvait qu’appartenir a la légendaire et maudite conferie. A cool de se chopper un mauvais mutant dans les pattes dès le matin, mon dieux comment cette histoire allait se finir ? Les ennuies commencent déjà, qu’ Est-ce que j’ai fait de quitter l’école ?! Et puis moi me battre contre ce monstre ?

Avec les pouvoirs que j’ai, ce tas de muscles n’aura pas de mal a de me mettre la pater. Deux pouvoirs défensif contre un pouvoir d attaque, c est peine perdu donc j ai pas intérêt de l’agacer. Comment faire, alors que Fléau l’attaquer presque des mots, en demandant comme un fou de lui rendre un service chez xavier. Bien sur, aucun problème ! Tristan peu aussi lui dire ou il vivait, même l’invité prendre le café. c’est ironique, faux bien rire de temps en temps. Enfin l’enfant des ténèbres ne le voyait pas comme ça, non du tout. Il restait immobile face au mutant, son regard froid, sans expression se figeait dans celui de son interlocuteur. Il était loin d’être bête et Tristan non plus, du moins pour le moment il essayait de jouer les gros malins avec le jeune troy. Ce dernier ne se laissait pas berner , il savait bien que c’était un piège, c’était évident, pourtant pourquoi il restait la ? Il pourrait très bien dire sal Mutos et de se tirer comme ferait la plupart des humains, qu’Est-ce qui le retenait ? Le jeux, la tentation de le tester, dans la folie de l’enfant des ténèbres, il espérait de l’entraîner dans son amusement enfantin. Apparemment les deux mutants voulaient que chacun rentre dans leur jeux, a savoir qui sera le plus futé des deux. Concours, ah mais oui ! Bien sur ! Et si je rentrais dans son jeux. C’est pourquoi, il fit un mince sourire d’approbation, et c’est partie que le jeux commence.

« Lourdeux, tu m as pas reconnu ? Je suis de la conferiste ! Qu’Est-ce que tu veux que fabrique chez les larbins de charle. »

Le menteur, OUUUUUU le menteur pro qu’il était ! C est pas bien de mentir, mais il en était tellement fière qu’il allongeait son sourire. Faux avouer que se faire passer pour un sal mutant, était la chose la plus suicidaire qu’ il aurait fait. Maintenant, c’était a lui de se renseigner sur la conferie, pour le plaisir de pêcher quelque chose de bien chez Fléau. C’était amusant non ? Surtout quand le mutant lui proposa une récompense, la l’enfant des ténèbres faisait le gros intéresser de service. Une récompense, je m en fiche mais le message qu’il a pour xavier, ça je suis curieux de savoir ce qu’il lui veut. Il espérait quand même que le gas d en face n’est pas le pouvoir de jean Grey, lire dans les pensées de Tristan était pas une bonne idée pour lui-même. La c est sur qu’il aurait tout de suite un rendez vous au boulevard des allongées. Troy était spétique mais continuer encore son ménage.

« Vraiment ? Je peux m y rendre, bon que veux tu ? tu me donnes quoi ? »

L’enfant des ténèbres manquait pas de cran pour défier ce gros tas de muscles, le fameux frère de Charles réputait dans l’institut sous le nom de fléau. Selon quelques bruits qui couraient dans l’établissement, des x men ou des anciens élèves qui faisaient encore du racontage de vie. Est-ce qu’il parait ce mutant n’est l’un des moins sympathique des mauvais mutants, de plus qu’il était du genre a foncer dans tous ce qu’il bouge sans pensée. La ils n’avaient pas tord, cette boite de conserve ne sait même pas qui est dans son camp ou non, euh oui bon la c est poussé vu que le blond ne connaissait pas tous les noms.

Les yeux dans le vagues, il restait passible, sans vois a attendre sa réaction. Il admettait qu’il risquait d’avoir la tête coupé, pour une fois qu’il avait peur dans ses gestes. A espérait que le fléau se prendrait facilement au piége, mais combien de temps allait il réfléchir pour ce genre de question ? Plus le temps était long plus l’angoisse du jeune troy montait en lui, oh que ça sentait le combat en plein nez ! Sa puait même ! C est sans doute pour cela qu’il se préparait pour un éventuel combat… enfin, c'était pas terrible de combattre avec ses mains et ses pieds, il faisait trop pitié a coté de la force colossale du mutant, voila qu’il n’était pas tiré d’affaire. Se faire passer pour un confériste, c est une chose carrément déjanter mais bon pourquoi pas ? L’enfant des ténèbres remarquait que tous les gens dans la rue n’arrêtaient pas de parler a voie basse en les fixant du coin de l’œil, telle que des monstres qui allaient les tuer. Une attitude fort déplaisant pour le jeune mutant, chez lui sa s’appelait de l’hypocrisie pur et dur.

Ce défaut lui plaisait absolument pas; il inscrivait ce genre de personne dans sa liste noire. C est vrai que la présence du frère de xavier était assez flagrante, son aura aussi était si particulière, une présence lourde et peux sympathique. Tristan, lui semblait fragile, mystérieux et distant, mais on ne voyait pas qu’il était un mutant. Un point possessif de ses petits pouvoirs, ben faut l avouer . Soudain une drôle de voie vient traverser son esprit, un son cru et fort à vous en percer les oreilles. Quand le fléau ouvre la bouche, tout le monde l’entend, même une petite grand-mère qui passait par la. Pour revenir a ce qu’il avait dit, c’était a prendre avec deux pincettes. D’un coté, un agréable soulagement montait en lui, il s’était évité le combat du siècle. Pourtant ce mensonge et la confiance du mauvais mutant le mettaient mal alaise, par crainte qu’il decrouvrit le poteau rose. Malheureusement les choses se gatter pour l’enfant des ténèbres , en effet il ne pu répondre avant que le fléau le pris part le bras pour le mettre sur ses épaules. La première fois que cela lui arrivait, lui qui avait pour habitude de prendre sa jeune sœur sur le dos pendant les promenades.. C’était pas trop haut, mais bien assez pour le moment. Il se contentait se s’agripper a lui pour pas glisser, ne pensant a sa sécurité. Dix minutes plus tard il repensait a ce qu’ avait dit le fléau sur la petite missions, trouver deux élèves ? Alors qu’il est lui-même dans le lot, oh oh ! Ça chauffait par ici, t as interet de trouver une belle escuse pour se tirer de la au plus vite. Par mal chance il fut encore coupé dans son éland par son transporteur, tiens il voulait faire connaissance et cossette avec lui telle qu’un bon ami. Hum, pourquoi pas de le détendre avant l’action. Une chose dite, une chose faite et avec un petit sourire en cadeau.

« euh.. On m a recrutait ici. Et j ai les sens décuplés et je suis agile et vous ? »

C’était un peu bête de sa part de lui avoir retourner la question, cependant ça faisait toujours bien de s’intéreser aux autres non ? Bref, maintenant il fallait a tout prix ce trouver une excuse pour filer de la au plus vite, tout en gardant sa fausse identité et.. Mais oui !l’enfant des ténèbres avait toujours son livre a reprendre, c est de cette pensée qu’il se jeta a terre grâce a sa souplesse. Face au fléau, il le regardait dans les yeux en lancant son excuse, la seule de potable.

« désolée mais je dois chercher un livre en ville, je l avais oublier….. »

"HIIIIIIII !!"

Une femme venait de crier dans la rue, en lachant presque son parapluie, exposant sa longue chevelure à cette eau qui tombait du ciel alors qu'elle reculait, les yeux exorbités. Elle semblait terrifiée de ce qu'elle venait de vivre et de voir : Imaginez vous être une femme, ou même un homme. Vous êtes la mère, le père d'un petit enfant, votre fierté, votre bonheur. Un jour de pluie semblant plus gris qu'à l'accoutumée, dressant une toile déprimante sur la ville, voilà que vous surprenez une horrifiante silhouette s'emparant doucement de votre enfant que vous avez soigneusement installé, à l'abris de cette pluie, dans sa petite pousette. Imaginez sa détresse ! Surtout que le visage de l'individu en question est fendu d'un sourire malsain et loin d'être rassurant.

Jester le bouffon, celui-ci dissimulé dans un long imperméable d'un sombre pourpre portait dans ses bras le petit bébé qui commençait déjà à pleurer. Le col avait été relevé pour masquer son visage souriant d'une ombre inquiétante, seul ses dents jaunâtres et ses traits malicieux pouvait être perçus. Il portait également le genre de chapeau que portaient ces mafieux italiens d'autrefois, dissimulant ainsi la couleur de ses cheuveux aux yeux de tous, seul quelques mèches s'en échapaient au niveau de sa nuque et ses tempes. La silhouette de Jester, aussi, se trouvait être anormalement plus importante, que pouvait-il bien cacher dans son long manteau...?

"Madame ! Je vous l'emprunte." Dit alors Jester plus souriant que jamais, apportant sa main en direction du visage de la jeune femme tout en s'abaissant et arriver à sa hauteur pour lui pincer le nez comme le ferait un adulte pour un enfant "Hi-hi-hi"

Soudain, d'un geste ample Jester poussa violemment la pauvre femme, l'envoyant s'étaller sur le bitume de la route. Oh mon dieu ! c'était déjà le bordel en ville : des klaxons retentirent, des crissements de pneus firent échos dans la rue et puis c'est le choc ! BAM ! Une voiture venait d'esquiver la jeune femme pour venir se sacrifier contre un autre véhicule, créant un brouhaha du tonerre quand leur carrosserie furent défoncée, la ppremière carcasse vrillant sur le côté jusqu'à se crasher dans une vitrine voisine, alarme assourdisssante torturant les tympans de chacun !

"Mesdames et messieurs ! Il est venu le temps de fuir et de crier ! Vite ! Courrez prévenir la police, c'est une prise d'otage ! HA-hahahaha !"

De sa main libre, Jester s'empara d'un fusil d'assaut dissimulé dans la longueur de sa veste et à en traduir par ces quelques bosses entravant la courbe de l'imperméable, il devait encore réserver quelques surprise. Il se mit à tirer en l'air une rafale sacadée de balles dont les douilles vides tombaient machinalement sur le sol, crosse de l'arme prenant appuis sur l'intérieur de son coude.

C'était la panique, tout le monde prenait la fuite ! Les voitures redémarèrent au quart de tour, accéléraient jusqu'à s'entrechoquer les unes aux autres dans leur précipitation ! Les rares gens présents (oui, il pleut) s'éparpillèrent en criant "au mon dieu !" ; "au secours !" ; "Wah putain !", se piétinèrent, s'entre dépassèrent comme voulant à tout prix être premier indemne et laisser les autres en arrière pour s'éviter d'être une cible.

Jester marcha alors en direction de la pharmacie du coin, dans l'intention de s'y baser, remarquant alors l'arrivée du Fléau et d'un jeune homme sacrément petit à côté de son interlocuteur. Il ne les connaissait pas, non, continuant à marcher, mais la dégaine du plus imposant des deux eut juste don de faire ricaner Jester alors qu'il haussa un sourcil intérogatif quand il le détailla.

Une sensation étrange parcourait le corps de Tristan, au moment ou il posait les pieds a terre. C’était bizarre d’être de nouveau regardé de haut, il avait l’impression d’être un larbin, un petit nain face au mutant. Normalement, c'est lui qui regardait les autres de haut, enfin maintenant il savait ce que ca faisait. L'idée d'être inferieur a quelqu'un ne lui plaisait guère, surement parce qu'il savait qu'il saurait impuissant si problème il y a. Rien qu’ a voir la taille de ses mains, ça faisait peur de s’imaginer qu’il pouvait facilement nous réduire en cendre. Bien pour cela, que l’enfant des ténèbres faisait tout son possible pour être a sa botte, s‘épargner a tout prix le combat .

Il était pas si mauvais en théâtre, du moins pour le moment le fléau ne se doutait de rien. Les deux mutants parlaient ensemble comme s’ils étaient des vieux amis qui se retrouvaient, Tristan n’avait plus peur de lui et de ses réactions. Il était a l aise pour discuter de tout et de rien, genre les pouvoirs de l’inconnue et comment il était venu a la conferiste. C’était un débrouillard dans son genre, il faut pas le nier. En parlant de pouvoirs, quels sont ceux du frère de Charles ? Simple a trouver, vu comment il avait réussit a soulever aussi facilement Tristan , il ne pouvait qu’avoir la faculté de la force accrus. Après il en avait sûrement d’autres, a savoir lesquels vu que le mutant n’a pas voulu en dire plus. Le blond comprenait son habitude, il laissait tombé cette histoire. Malheureusement tout son beau travail fut réduit a néant par une simple frase: tu vas me ramener chez le professeur xavier et me montrer une ou deux personne que tu connais. Bon d’accord, la phrase est mal tournée, mais l’idée est bien la. Super, dans la merde le jeune Troy , revenir avec un conferiste chez les mutants sa ferait louche ! Surtout qu’il est avec eux, dans ce cas la, cain aurait pas de mal a découvrir le poteau rose. Il avait quand même réussit a trouver une excuse quasi parfaite, aller récupérer un livre.

Euh question, Est-ce que les mauvais mutants sachent lire ? Est-ce qu’ils aiment ça ? Et mince, le coup de la mission secret aurait été mieux sur ce coup, j’ai plus qu’a prier qu’il soit encore con comme deux valises. Quand je pense que normalement je suis venu pour un simple bouquin, me voila a me demander comment je vais faire pour me débarrasser de lui. Il me parait sympathiques lorsqu’on est dans le même camps que lui, mais je ne vais pas non plus devenir son meilleur ami. Et les choses ne s’arrangeaient guère pour lui, car au même moment qu’il avait parlé, il entendait un grand bruit non loin de la. Les gens commençaient a s’agacer contre quelque chose, le fléau qui petait fort ? Rassurez vous, c est pas ça du tout cela ! Apparemment il y avait un fou en ville qui prenait plaisir a semer la pagaille, des le matin ? Et ben c’était vraiment pas son jour de chance, allait il se battre contre un tueur ou bien arriver a trouver une sortie de secours ? Sa reste a voir, en tout les cas Tristan fut bien surpris quand le fléau allait vers cet homme, des copains ? Encore un coup fourré de la part de la conferie, ça en avait tout l’air. L’enfant des ténèbres avait deux choix en vu; soit il en profitait pour se tirer de la ou bien de continuer a faire le gland a ces cotées. Curieux de nature, Tristan voulait savoir beaucoup plus sur ses deux cas, il décidait de le suivre tranquillement. Contrairement au mauvait mutant, l’enfant des ténèbres passait facilement dans la foulle, un bon point pour les gens de petite taille. La cain s’arrêta non près de lui, mais a quelques pas de la. D’accord c’était pas un ami, vu a la facon dont le fléau lui parlait. Une manière de provocateur comme il avait fait pour Tristan, ce dernier restait muet a la situation. Il préférait d’observé ce drôle de personnage de la tête au pied, il avait sur lui un grand menteau noir et on voyait a peine quelques meches vertes.. Son visage était drôlement amocher, comme si on l avait recousus mille et une fois, telle que le faisait le fameux docteur frankTIen. Un aspect et un rire qui n'inspirait pas la confiance de tristan, qui restait immibile a coté du fléau.

Jester cessa de rire aussitôt que le géant prit la parole. Son sourire était toujours bien présent mais semblait manquer de tonus, s'amoindrissant légèrement. Il se tourna en direction de ces nouveaux arrivant et la première chose qui le frappa était le fait qu'ils ne tentèrent pas d'empêcher le carnage à venir... Des alliés ? Des terroristes tout comme lui ? Ou s'agit-il plutôt d'une manière de le prendre par surprise ? Après tout il avait prit un enfant à sa mère, qu'il n'y ai aucune réaction de la part de ses deux interlocuteurs était surprenant, autant que tout ceci était amusant bien évidemment.

"Gringalet... ?" Il fit une pause dans sa réponse, l'une de ses paupière tiqua nerveusement comme s'il avait été embêté par cette étiquette de gringalet tandis qu'il perdait peu à peu son sourire comme décroissant vers une mimique plus sérieuse. "Nan..." prononça-t-il froidement entre ses dents.

Les yeux jaunes complètement déchirés de Jester parcouru le casque du colosse en armure, le balayant du regard. Il détailla ensuite le petit blondinet à ses côtés et revint à fixer le Fléau dans les yeux... Quel contraste entre ces deux personnes. Soudain ! Sans prévenir Jester se mit à rire aux éclats comme un dément ! Sourire ravivé et bouche grande ouverte, se courbant en arrière.

"HAHAHAHahaaha !!!"

Le genre de rire n'étant la que pour se foutre de leur poire, la situation était tellement drôle ! Un grand gaillard en compagnie d'un jeune homme efféminé, il y avait de quoi titiller son imagination ! Le bébé qu'il portait à bras en pleura d'avantage et lorsque Jester se calma enfin, celui-ci se teint à nouveau droit, rangeant son arme en bandoulière et se saisissant de son chapeau pour saluer courtoisement l'étrange duo devant lui, déversant sa chevelure verte vers l'avant.

"Mademoiselle, monsieur. Je suis Jester, Jester Field, pour vous desservir ! Hihihi"

Demoiselle désignant Tristan bien sûr et le bouffon se redressa, reposa convenablement son chapeau sur sa tête et reprit son arme qu'il garda mollement orienté vers la route, lanière pendouillant misérablement au-dessus du sol.

"A qui ai-je l'honneur ? J'en juge par votre humour -Jester s'adressant au Fléau- que vous n'auriez aucun mal à surpasser mes exploits ? Je demande à voir !"

Pure manipulation... Joyeusement, Jester voulait pousser le Fléau à lui montrer ce qu'il savait faire, ça en remettrait une couche à tout ce remue ménage en rue pour sûr.

C’était la folie dans les rues, tout le monde courait dans tous les sens ! Le respect du code s’était évaporer en espace de dix minutes, les voitures étaient obligées de klaxonner pour que les poussent de la route . Pire que la foire ! AFFREUX, pourtant, Immobile, droit comme un I et sans un bruit , l’enfant des ténèbres regardait d'un regard écoeuré cette scène. il essayait au mieux de rester paisible, mais c'était pas facile de voir tous ces gens hurlaient et courir dans tous les sens ! on pourrait comparer cela a un ensemble des fourmis grouillant dans une fourmilière, ça ne pouvaient que lui donner des maux de tête ! Quand on pense que Tristan avait fait un effort pour se lever tôt, de facon a ne pas subir New York peuplé de monde; chose loupée ! Il était découragé face a cette foule en délire, sans parler de sa rencontre ! Il se demandait ce qu’il avait fait pour mériter de croiser ces deux personnes, après tout la ville était assez grande non ? Comme souvent, la chance ne tournait jamais dans sa faveur, ben quoi ? Allait pas dire qu’il était ravis que le fléau lui est tombé, bien sur que non. Le frère de Charles ne lui inspirait peut confiance, et encore moins lorsqu’il lui demandait une mission peu sympathique. En parlant de cela, tu sais que tu peux t enfuir de cette situation avant qu’il t arrive encore des pepins ? Tu peux la, le mutant est bien trop occupé avec l autre fou pour te voir. Mais pour le moment je suis bien la, j’observe avec amusement les deux mutants ! Je joue au muet et j’en rigole, parce que je remarque qu’eux ne font pas attention a moi !

Ce qui m’évite de répondre a des questions pièges, car je sais qu’il y a rien de pire que ça pour découvrir le poteau rose. Alors que le jeune troy faisait son propre ménage, ses trempant étaient sur le point d’exploser au rire sacratiques des deux mutants. L’un avant un rire de bouffon et l’autre un rire fort et sourd, un mauvais mélange me direz vous. Pourtant ces deux personne avaient l’air de bien s’entendre, ce fameux jester ressemblait drôlement a un bouffon venant tout droit d’un asile de fou. Un individu qui faisait vraiment peur, recouvert d’une poudre blanche, son visage affichait un des sourires le plus diabolique. Un bouffon ça rigole et jester n’échappait pas a la règle, et on pouvait dire qu au niveau des blague, il en avait plus d‘une dans son sac. Un humour déplaisant pour l’enfant des ténèbres, raleur lui ?

Mais non, avouez simplement que c’était un peu poussé de la part de jester de prendre Tristan pour une fille. Ok il avait les cheveux longs, cependant les filles ne s’habillaient sûrement pas de cette façon. Cependant, il avouait que cette réflexion lui était bien familière, en particulier avec un certain professeur de maths.. C'était pas sa tesse de thé de se faire traiter comme telle, enfin a force il ne faisait plus attention. il se trouvait bien comme ca, et jamais il n allait changer pour les autres. Répliquer au bouffon par une autre remarque ? une pas si mauvaise idée, et il en avait bien des reproche a lui faire. quoi que personne n est parfait, mais dans le cas de jester c'était très tentant ! mais allait il vraiment le faire ? surtout pas, il n allait pas commencer a répliquer sur ce genre de connerie, sûrement pas ! sinon il allait tout foiré ! c'est pas le moment vieux ! il se tut et attendit gentiment qu’ils se décident a dévoiler leur véritable raison. Quelques temps plus tard l’enfant des ténèbres constatait que les deux étaient sur le point de faire un concours de massacres d’homme, pas très joyeux ni appétissant. lui se battre ? participer a ce massacre avec le peu de pouvoir ? jamais de la vie, plutôt mourir ! De plus que Tristan avait une philosophie un peu hippie; du style qui croyer beaucoup en un monde sans conflits... Tu peux rever la ! C est pourquoi il en profitait pour se défiler en jugant qu'il avait plus rien a faire ici, il le fit juste apres qu'il avait lacher un morcaux de papier ! sur celui ci ou pouvait voir la magnifique ecriture du jeune homme, mais lisez un peu ceci:

" Vous pensez vraiment que j allais vous livrer les x men ? C'était un plaisir de vous rancontrer conferiste, au plaisir ... j'espere que vous pensez de même pour moi, hein ? "
partit

Spoiler:

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Sourire édenté plus fort que sa raison, Jester regardait le jeune homme désigné par le Fléau gribouiller sur un petit papier quelques mots au lieu de répondre à la question du colosse. Un muet ? Qu'est-ce que ça doit être difficile d'avoir cet handicap, Jester s'imaginait incapable de provoquer le monde de ses sarcasmes et de ses joutes verbales... Quoique par texto sur écran géant serait tout bonnement magnifique !
Et il le vit se défiler comme-ci de rien n'était, les quittant sans même un signe d'au revoir. Quelle impolitesse, il n'y a plus de jeunesse.

"Ohoh On dirait que votre ami n'a pas le sens de l'humour."

Jester ne prit pas au sérieux cette fuite de la part de Tristan, souriant toujours, les sourcils froncés de malice. Son regard se porta en direction du bout de papier qu'il avait laché, n'ayant pas prit la peine de le donner.

"Si je le recroise, je m'occuperai de lui rendre le sourire hin-hin-hin"

Il reporta alors toute son attention pour le géant de muscles devant lui. Un concours ? Non, Jester voulait simplement que le Fléau saccage tout sur son passage, le boufofn n'aurait plus grand chose à faire et économiserait des munitions ! Il se réjouirait simplement de voir tout le boulot fait à sa place en son nom. Mais s'il insiste vraiment, pourquoi pas, tout ceci pouvait être encore plus amusant tout compte fait !

Mister J. laissa déjà échaper de son corps cette phéromône si particulière et si... hilarante. Inodore, incolore, indolore, tous rierait bientôt aux éclats et même l'état euphorique du Fléau empirerait s'il continuait ainsi à respirer sans se douter de rien ! Ca ne le tuerait pas, bien sûr, pas lui, l'invinssible Fléau, mais de ce détail, Jester ne s'en soucia pas. Il ne souhaitais pas sa mort pour autant, car à long terme son pouvoir est fatal, disons qu'en ce moment ce n'était pas l'objet de ses préoccupations.

"Et bien très cher Fléau, celui qui entassera le plus de morts dans cette rue sera le vainceur de notre petit jeu ! Un flic compte pour deux, un X-men pour 5 ! HAa-Hahahaha !"

Il se dirigea tout en riant vers cette pharmacie derrière lui, le bébé toujours à bras, où bizarrement des gens s'étaient cloitré derrière la vitrine côté intérieur du magasin pour regarder ce qu'il se passait dans la rue...

"J'ai déjà commencé. Mon score est de ..." Jester compta méticuleusement les personnes visibles depuis la vitre "... Au moins sept Hihihi !"

Et il entra dans la pharmacie, son M16 braqué sur les innocents gerba bruyamment sur les malheureux une pluie de projectiles qui déchirèrent en lambeau leur petit corps insoucients !

RAtatatAaa !!

"Vous allez rire ! Ils étaient huit ! HaHa !" s'écria un Jester enjoué par le défis.

« Mais, malheureusement, ton compte reste de 7! » fit une voie de veille dame porté à l’intention de Jester.

Couché au sol, une veille dame qui avait été frappé par les rafales de Jester recommença à bouger. Elle avait pourtant été atteinte de plusieurs projectiles, tout comme les autres et pourtant les autres restaient bien aplati au sol eux.

La vielle dame se releva difficilement. Elle secoua un peu ses vêtements comme si elle n’avait été que poussée par terre.

« Vous savez jeune homme, ce que vous faite là est très impoli. »

La vielle dame se pencha et ramassa sa bourse. Elle regarda ensuite Jester d’un air étrange, comme si ce qu’il venait de faire était aussi anodin qu’un enfant qui casse un vase de façon non intentionnel.

La veille dame se mit à sourire. Elle se mit même à rire de bon cœur. Encore le pouvoir de Jester? Pas cette fois-ci! La vielle dame se métamorphosa en un homme plutôt grand à l’allure ambitieuse.

« J’aurais cru que la partie serait injuste, face à ton compétiteur. Tu as peut-être des chances finalement. » dit Mimic.

Il s’avança vers l’homme aux allures de clown. On pouvait remarquer sur ces mains 2 bandes de métal orange, signe qu’il possédait les pouvoir du colosse orange. Une fois droit devant l’homme trop souriant pour la situation, Mimic le scruta du regard.

« Ton pouvoir me fait rire! » dit Mimic ironiquement

Il attrapa le clown d’une poigne très puissante. Et le jeta littéralement à l’extérieur de la bâtisse. Une vitre se brisa au passage, espace par laquelle passa Mimic pour sortir à son tour.

Une fois à l’extérieur, il regarda tout au tour de lui pour constater le chaos qu’il y avait dans la rue. Il jeta ensuite son regard sur le Fléau. Tout en souriant à sa façon, il lança :

« Heureux de te voir! »

Jester sembla "bugger" légèrement, un sourcil relevé, toisant cette vielle femme d'un air dubitatif, son sourire dimuniant, mais toujours bien présent. Etrange, jamais personne ne s'était relevé après une rafale de balles dans l'estomac. Il y avait du sang éclaté sur la vitrine, certains innocents s'étaient étalés sur le comptoir, les deux pharmaciens disparut dérrière celui-ci, d'autres encore avait percuter les rayons dans leur chute, produit pharmaceutiques déversés sur le sol, imergé dans une flac de sang sans cesse croissante... Mais pas elle ? Cette dame était assez paranoïaque pour se trimballer un gilet pare-balles constament sur ses épaules ? Nan...

Il se mit à ricanner lorsqu'elle lui dit tout bêtement que ce qu'il avait fait été impolis tandis qu'elle dépoussièrait énergiquement ses vêtements. C'était... drôle ! Mais bien vite Jester cessa de sourire lorsque la vielle femme commença à arborer une toute autre forme : celle d'un jeune homme s'avançant vers lui de manière trop assurée, confiant. Voilà qui complique les choses.

Il avoua être septique vis-à-vis de leur petit défis. Pourquoi donc ? Biensûr qu'il avait toutes ses chances contre le Fléau. Lui avait ses poings, Jester avait ses armes. Ils ne visaient pas à abattre des mutants titanesques, mais de la simple vermine humaine. David ou Goliath s'amusant en coeur à pietiner des fourmis revenait au même... quoiqu'il avait des pieds plus grands, lui...

Et puis c'est le drame, Jester s'en doutait. Le copieur l'attrapa par le col d'une main ferme dont il ne put se défaire. Jester quant à lui ne put qu'afficher un énooorme sourire amusé, sachant pertinament qu'il allait en baver. Et ça aussi, c'était drôle ! Il le dévisagea, articulant à travers son sourire : "Oups. Hhhi-hi-hi-hi."

A peine eut-il le temps de finir de rire que Mimic l'envoya balader dans la vitre toute proche, se faisant littérallement défenestrer, explosant de son dos les carreaux en centaine de petits fragments coupant. Le corps du bouffon percuta violemment une voiture, brisant même le pare-brise de l'une des portières tant le choc fut puissant. Jester glissa mollement par terre, assis, sans force, ses bras tombant lourdement sur le sol, un filet de sang sécoulant du coin de sa lèvre. Il avait les yeux grands ouvert, vitreux, sans vie comme l'expression qu'avait une maccabre poupée, inerte et souriait même dans sa mort... Jester avait été mit hors jeu ?

Mimic n’était plus habitué a tant de force. C’était un peu après avoir sortie qu’il remarqua qu’il avait projeté le « petit comique» un peu plus fort qu’il ne l’avait voulu. Il aurait bien voulu copier le talent qu’à le Fléau de modéré son pouvoir, mais avait-il déjà modéré son pouvoir.

Citation :

"Mimic ! Tu me dois toujours une tournée ! Je vois que tu ne t'ai pas rouillé ! J'espère que tu ne l’as pas tapé trop fort, on était en train de faire une petite compétition ! "

« Je n’oublis jamais mes dettes Bigboy! Et en ce qui concerne le clown et bien j’ai peur de l’avoir amoché un peu…peut-être même beaucoup. En tout cas, il semble qu’il dégage encore sons gaz hilarant. »

Mimic se retourna vers le patin sans vie. Il regardait le clown de loin. Cet homme avait définitivement eu un manque au niveau de ses parents ou quelque chose du genre pour être devenu un psychopathe meurtrier qui rigole lorsqu’on le menace. Mimic n’approchais pas trop du clown se disant qu’un homme dans son genre avait surement quelque Joker dans sa manche.

Mimic prit un grand respire et arrêta sont souffle. Grace a ses pouvoir de Cyttorak copié, il avait acquis du Juggernaut la capacité de ne pas avoir besoin de respirer. Il se disait bien que s’il ne respirait pas, il serait un peu moins affecté par cette chose qu’émanait le mutant.

Citation :

"Tu veux participer ? Les règles sont pas compliquées... Et je ne pense pas qu'il dira non ! MAWAWAW"

Mimic expira pour parler et n’inspira pas à la fin de ca phrase. Il avait quand même certaines connaissances qui lui rappelaient qu’on avait besoin d’air pour parler :

« Je ne crois pas qu’il soit en mesure de dire quoi que ce soit! Il semble mort! Mais tes muscle devrait être ne mesure de le convaincre de revenir du monde des morts! » dit Mimic d’une traite.

Bien sûr, il ne croyait pas qu’en tabassant le clown, Juggernaut le ramènerait à la vie, mais il n’osait pas trop s’approcher du corps de cette énergumène. Qui sait? Peut-être que cette petite remarque irréaliste amènerait le Colosse a approché du lutin.