-''On se rend compte qu'on est toujours tout seul au monde''-
Le temps n'est pas une priorité.
La majorité de la société vit selon le rythme du temps.Totalement dépendants de ces aignuilles qui ne font que tourner. Certains en deviennent même malade tellement le temps leur rattrappent.Comment cette chose peut bien torturer les gens ? Il est pourtant invisible, mais touche tout le monde. Certains le tolère en suivant la cadence, tandis que d'autres ne cesse de lui courrir après sans jamais le rattrapper. Cette chose, c'est les Hommes qui l'a créer et il est devenue son esclave. Heureusement, quelques uns ne sont pas à son service. Au contraire, le temps est sans importance.
Le soleil est a son plus haut niveau, mais une personne ne semble pas s'en préoccupper. Toujours dans son lit, Sinner continue de rêvasser ignorant les rayons lumineux qui traversait sa chambre. Cependant, lorsque la fatigue est complètement disparue, rester étendue ne rapporte rien. N'étant pas un être paresseux, Sinner se décida de mettre les pieds au sol.Tranquillement, il prit le temps de faire sa toilette choisissant toujours des vêtements qui correspond à son style; chemise blanche,débardeur et pantalon noir et une cravate rouge. À peine terminé, il sortie à la hâte de sa chambre pour aller cogner à une porte; celle d'Eden. Depuis leur réconciliation, Sinner est devenue attentionné diminuant ainsi sa colère face à sa consoeur. Il a apprit à gérer ce sentiment qui pouvait facilement détruire tout sur son passage. Ce qui était fort réjouissant, c'est qu'Eden semblait apprécier ce nouvel attitude.La peur n'était plus sur son visage. Elle savait que Sinner se contrôlait pour ne pas recréer ce froid entre eux.
Il cogna une seconde fois.
Elle songea même à quitter ces deux emplois; chose dont Sinner était fort heureux. Sachant qu'elle passait énormément de temps derrière ces comptoirs ennuyant, il ne pouvait concevoir de la voir si faible après une journée de travail.Ces yeux étaient pochés, son sourire était très rare et elle avait plus de mal pour s'occupper de Wednesday.Heureusement pour elle, Sinner prit les devants. C'est ainsi que sa relation avec la petite Wed est devenue très forte. Chaque jouer, il prenait le temps de lui parler et même faire quelques activités avec elle.Ces derniers temps, elle employé un surnom très spécial qui ne plaisait pas à Sinner au départ. Quand il comprit que c'était sa façon de l'apprécier, il ne disait rien.
Après un moment d'attente, Sinner fut surpris de voir qu'elle ne répondait pas à la porte. Sinner était étonné. Habituellement, elle se lève très tôt et va même le réveiller quand sa patience avait atteint des limites.En ce moment, il est 11h45 am et elle ne répondait pas à sa porte.Alors, Sinner décida de faire le tour de la Confrérie passant par les pièces préférés d'Eden.
Rien. Elle ne se retrouvait pas dans aucune d'elle.Sinner devenait de plus en plus surpris.Il revint à la porte de la chambre d'Eden quand il croisa Wednesday. Aussitôt, il lui demanda où se trouvait sa soeur...Wednesday ne lui répondit pas avec le plus grand des détails; elle ignorait où Eden se trouvait.
Dans le corridor, Sinner ne bougeait plus. Ce n'était pas normal qu'elle parte sans prévenir, surtout pour Wednesday.
Sa curiosité était de plus en plus forte. Dans un premier temps, il n'osait pas le faire, mais puisque sa patience ne pouvait plus le tolérer, il ferma les yeux pour ce concentrer: il chercha Eden par l'odeur de son sang.
Elle n'était pas dans la Confrérie...Elle était en ville aux côtés de plusieurs inconnues, mais l'un d'eux réveilla les sens de Sinner.
Sa colère prit aussitôt le dessus.
Alors, c'était comme ça...
Peu de temps s'écoula entre sa découverte et sa sortie de la Confrérie.Enfilant son long manteau noir, Sinner se mit en route vers la ville. Son capuchon sur la tête, il cachait cette colère qui avait prit le contrôle de son regard. Une lueur rouge brillait dans ces pupilles.
Sortant du métro, il continuait de sentir l'odeur de McCraken.Elle devenait plus forte lorsqu'il passa devant une immense bâtisse. Regardant cette architechture, il découvrit qu'il s'agissait de l'établissement du journal de New York. Alors, il s'était trouver un emploi dans le monde du journalisme...C'était encore plus déprimant.
Entrer dans ce building n'était pas son intention. Il poursuivit sa route tentant de ce calmer...
Elle lui cachait des choses. Alors, elle devait lui mentir...
Sans attendre, Sinner alla dans un endroit qui l'apaisait énormément; la librairie. Il passa un long moment dans les sections de la poésie et la littérature française. Lire ces poètes et auteurs parvenaient à calmer ces mauvaises pensées en appréciant chaque vers, chaque paragraphe de ces génies de l'écriture.Il sortie de cette boutique avec plusieurs bouquins et même quelques documents papiers.
A peine revenue sur le trottoir,sous son capuchon noir, ses yeux se mirent à observer ce building qu'il détestait tant...
Pourquoi elle ne lui a pas dit ? Pourquoi lui cachait-elle cela ?
Il ne pu poursuivre dans ces idées, puisqu'il perdit pied d'un coup laissant ces livres et ces papiers ce répandre au sol; quelqu'un l'avait heurté.
« Excusez-moi ! Je pensais à autre chose...je ne vous ai pas vu...excusez-moi encore ! » Sur le moment, Sinner bouillonnait. Voyant ces acquisitions sur le trottoir étaient la goutte qui fit déborder le vase.Ces mains blanches se mirent aussitôt à ramasserle plus de feuille possible. Il entendait la responsable s'excuser de différente manière. Cela ne diminuait pas la colère de Sinner qui continuait de saisir tous ces papiers avant qu'un mortel pile dessus:
'' La prochaine fois, pensez à regarder où vous mettez les pieds...''Dans son champs de vision, il vit des mains récupérer également les feuilles perdues.En levant la tête, il apperçue la jeune maladroite. Une belle blondinette aux yeux bleus-verts habillé comme toutes ces petites demoiselles aux tenues griffés.Toutefois, son aide était fort apprécier, car le vent n'aidait pas Sinner dans la récupération de ses papiers:
''Ce sont des documents que je viens de me procurer...''