Rencontre dans le parc (Amanda Connor)[Finit!]

Boner venait d'arriver à New York et cherchait un coin de détente. Tout en marchant, il réfléchissait aux étapes futures de son voyage. Boner ne savait pas s'il resterait un moment. Il a vu tous ces gens et s'est dit qu'il pourrait se joindre à eux. Il arriva dans un parc, avec un grand bâtiment tout près. Après de plus amples recherches, Boner arriva à une conclusion.

-Ça doit être une école ou un truc du genre...

Dans le parc, il y avait quelques personnes et Boner commença à regarder partout tellement il y avait de choses à voir. Pour lui, une grande ville, c'était Montréal et New York était encore plus. Soudainement, il bouscula quelqu'un et ce quelqu'un tomba par terre. Boner se pencha pour l'aider à se relever.

Il fut surpris par le ton de la fille. Certes il avait oublié de lui présenter ses excuses mais il ne voyait pas pourquoi elle lui adressait la parole comme ça. Il se demanda également comment il pourrait lui demander pardon. Il porta son regard sur la fille pour mieux l'examiner. Elle était jolie, mais pas son genre mais tout de même.

-Qu'est-ce que je fais? pensa-t-il, je peux pas partir sans rien dire. Il faut que je trouve quelque chose à lui dire. Faudrait que je lui réponde avant tout.

-En effet, je viens d'arriver en ville et je me promène pour découvrir le coin. Sinon, pour me racheter de ma maladresse, on peut aller manger un morceau, qu'est que vous mademoiselle?

Boner se disait intérieurement qu'il en mettait trop mais il préférait partir du bon pied avec quelqu'un plutôt que de laisser une personne nouvellement rencontrée sur une dispute.

Boner savait qu'il était dans un parc mais plus exactement, non. Il décida de lui répondre franchement et ainsi éviter de tourner autour du pot. Il lui était souvent arrivé d'en baver lorsqu'il avait voulu s'expliquer au début de son voyage et avait appris à être direct avec les gens. De plus, il ne savait pas si cette fille était totalement honnête avec lui.

-Ben, je suis dans un parc mais je n'en sais pas plus. Est-ce que votre question à un lien avec l'espèce d'école là-bas?

Boner pensa à ce qu'il ferait par la suite, du genre entrer dans le bâtiment. Mais était-ce légal ou bien n'importe qui pouvait y entrer. Tant de questions dans une si petite tête. Par moments, il aurait voulu changer la grosseur de son crâne plutôt que de manipuler le calcium. Il ramena son regard sur elle, attendant qu'elle lui réponde à son tour.

Amanda sut d'avance qu'elle avait bien fait de poser cette question. L'homme n'avait aucune idée de ce qu'était l'Institut. Retenant un rire amer elle essaya de lui expliquer ce qu'était cet endroit :

- Ici tu es à l'Institut Charles Xavier. Un centre pour jeune surdoués dans tous les domaines possible et imaginable; Si on ne t'en à pas parler c'est que tu ne devais pas en être un. Par surdoué j'entends spécial.

Elle n'avait pas dit le mots mutants de peur que cet homme soit un scinetifique comme Crydee. Parano Amanda ? Oui. Mais elle avait des raisons.

- C'est une première de rentrer ici sans savoir pourquoi on y es.

Elle n'avait plus envie de rester face à nninconnu (ou presque) car ce n'était pas prudent pour elle. Et si c'était un des hommmes de Crydee ? Elle avait envie de s'éloigner mais la politesse l'en empéchait.

-L'institut Charles Xavier. C'est une sorte d'école?

Boner était de plus en plus perdu parce que cette fille lui disait des choses mais ne semblait pas tout dire. Mieux valait jouer la carte de l'honnêteté pour ne pas être suspect ou quoi que ce soit aux yeux de son interlocutrice. Peut être jouait-elle cette carte, par pure politesse, mais tous vivent dans un monde civilisé, enfin c'est ce que l'on dit.

-Je crois ne pas m'être présenté, je m'appelle Boner mais ce n'est pas mon vrai nom. Je préfère le garder secret. Alors, a qui me suis-je adresser tout ce temps-là?

Si elle semblait encore rétiscente, alors Boner ne voyait plus pourquoi il resterait dans ce parc mais on ne savait pas ce qui arriverait par la suite. Peut-être aller se promener dans la ville.

- Oui c'est une école; pour surdoués dans des domaines insolites. Je m'appelle Graphic. Enfin, disons que c'est ainsi qu'on me nome lorsque je ne veux pas donner ma vrai identité.

Elle gratifia Boner d'un regard provquant comme pour dire "je ne sais pas qui tu es, tu ne sais pas qui je suis. Et miantenant ?" c'était gamin mais elle n'avair rien de mieux a faire. Il pouvait avoir une bonne raison mais dans tous les cas, elle l'ignorait.

S'excusant d'un regard souriant elle se demandait si c'était un mutants ou pas. S'il l'était faire ses petits jeux ne servait à rien. Mais elle l'ignorait, là était le probléme. N'ayant aucun moyenx de la savoir elle faisait mariner le converstion ce qui devait être frustrant pour Boner.

Spoiler:

Boner commençait à en avoir de ce tournage en rond. Il avait de plus en plus l'impression qu'elle ne lui disait pas tout. Mais Graphic était un surnom vraiment étrange, surtout aussi par le fait qu'elle a dit que c'était lorsqu'elle voulait que l'on ne sache pas sa véritable identité.

-Comment ça, ta véritable identité? J'ai l'impression que tu me prends pour quelqu'un ma petite.

Maintenant Boner était à bout de nerf. Surtout lorsqu'il ne vouvoyait plus un étranger et qu'il commençait à être insultant. Maintenant, il devait savoir quelque chose sur cette Institut Charles Xavier. Et même sur cette Graphic parce qu'elle semblait méfiante à son égard. Mais Boner en avait l'habitude, même si ça l'énervait un brin.

-Écoute, heum... Graphic. J'ai la grosse impression que tu me caches des choses. Je crois que tu me prends pour quelque d'autres.

-Comment ça, ta véritable identité? J'ai l'impression que tu me prends pour quelqu'un ma petite.

Petite ? Furieuse cette fois, Amanda planta ses deux yeux gris glace dans ceux de Boner et articula :

- Petite ? Si je ne dis pas ma "véritable identité" c'est que je ne donne pas mon nom de famille et mon prénom. Je donne un code en d'autres termes. Et je ne te prends pour personne.

-Écoute, heum... Graphic. J'ai la grosse impression que tu me caches des choses. Je crois que tu me prends pour quelque d'autres.

Il avait du réaliser la colére de la jeune fille car il négocia autrement sa phrase. La jeune fille hésita encore puis mis sa main droite dans la poche arrière de son jeans. Geste innocent. Mais en faisant ça elle dissimulait l'apparition du graph' d'un couteau. Elle allait annoncer à l'hommme quelque chose qui aurait rendue un anti-mutant capable de l'attquer. Mieu valait une précaution qu'un joli sourire.

- C'est un institut pour mutant. Tu n'y entre que si tu en es un. Ou alors que sit tu n'as pas quelques animosité envers les mutants. Comme moi.

Voilà, elle avait laché la bombe.

Un institut pour mutants, Boner n'avait pas rêvé cette réplique de Graphic. L'institut Charles Xavier était un centre pour mutants. Il y aurait eu de quoi rendre quelqu'un d'ordinaire complètement dingue ou n'importe quoi d'autre mais pas Boner, car il pouvait comprendre le concept de mutant, ou presque.

-Donc, si j'ai bien compris, tu es une mutante, tu as des pouvoirs incroyables comme ceux que l'on parle aux infos?

Boner pensa à lui montrer ses pouvoirs à lui, mais si elle mentait, elle pourrait le piéger. Mais de la façon dont elle lui a dit cela, elle pouvait être tout à fait honnête. L'idée de montrer ses pouvoirs ne sembla pas si débile que ça.

-Bon. J'ai une idée: tu me montres tes pouvoirs et je te montres les miens d'accord?

Avant même de la laisser répondre, il envoya une salve de projectiles osseux sur l'arbre le plus près. Il se tourna de nouveau vers Graphic pour voir sa réaction.

-Donc, si j'ai bien compris, tu es une mutante, tu as des pouvoirs incroyables comme ceux que l'on parle aux infos?

Aux mots de son interlocuteurs, la jeue Graphic s'était rammasée sur elle même, prête à bondir pour se défendre d'un anti-mutant. Mais Boner l'a pris de cours :

-Bon. J'ai une idée: tu me montres tes pouvoirs et je te montres les miens d'accord?

Pas patient le Boner. Il envoya à partir de sa main cinq projectile dans le tronc de l'arbre juste à coté d'Amanda. La jeune fille faillit l'attaquer, ce croyant menacée puis se reprit et lui montra le couteau.

- Je graph' des objets. Dont celui là.

Elle avait montré l'arme au jeune homme. Espèrnat qu'il serait assez intelligent pour ne plus faire de gestes brusques. Elle avait les nerfs constament à fleur de peau en ce moment. Elle ne voulait pas faire de mal à une mouche mais elle avait un instinct de survie qui prenait les commandes toutes les cinq secondes. Pauvre Boner, il allait la prendre pour une folle. Elle aurait du grapher une fleur plutôt qu'un couteau. Ca l'aurait rendu plus receptif à ses envies de calme.

- Je graph' des objets. Dont celui là.

Boner recula d'un coup sec, plus par instinct que par peur. Il se rapprocha pour observer le couteau. Il ressemblait à un vrai et Boner voulut vérifier quelque chose. Il regarda Graphic et fit un mouvement pour prendre le couteau.

-Je peux?

Elle sembla un peu réticente mais le lui passa quand même. Il regarda l'arme. Elle ressemblait à un vrai couteau. Il regarda son bras et eu une idée.

-Bon regarde ce que je vais faire.

Le couteau dans la main droite, il lui montra son bras gauche. D'un brusque mouvement il frappa son bras avec le couteau. La jeune fille poussa un cri et détourna les yeux.

-Non regarde, je n'ai rien.

Elle se retourna et vit le couteau brisé en morceau et l'armure sur le bras de Boner.

-C'est une armure de calcium que je peux créer pour me protéger des attaques d'autrui. Pratique hein?

Il guetta sa réaction pour voir comment elle réagirait à ces informations nouvelles qu'elle venait d'apprendre.

- C'est dur de choisir au début. Rien ne t'y oblige. C'était juste une question.

Boner fut quelque peu décontenancé par ses questions. Rejoindre l'Institut était tentant, mais il préférait travailler. Il n'avait jamais aimé l'école et avait fait les études nécessaires pour ne pas être affublé de nom tel que ''idiot'' même s'il s'en foutait un peu. Il répondit à sa question.

-Ton offre est tentante mais je préfère jouer le jeu du solitaire. Je n'aimerais pas être cloîtré là-bas, même si je pourrais aller en ville. Je suis libre et préfère le rester.

Il s'empressa de compléter sa réponse pour éviter tout malentendu possible avec Graphic.

-T'es gentille de me l'avoir proposé Graphic, des gens comme toi, il n'y en a pas beaucoup. À la voyure.

Il la laissa sur ces mots. Le jeune homme repartit et, en décidant de faire ça plus cliché, il fit comme dans ces films dans lesquels le gars ou la fille envoyait la main sans se retourner. Il le fit et sourit tout en se disant.

-On ne se reverra peut-être jamais, mais tu m'as appris que je ne suis pas seul, je te remercies...

Il était trop loin pour qu'elle l'entende mais ce n'était pas grave. Il se dirigea donc vers de nouvelles aventures, comme il aimait si bien le dire et il prit la direction des rues de la Grosse Pomme.