Une rencontre prédestinée (pv avec Lorna Dane)

Le ciel était couvert et il neigeait. L’hiver avait été annoncé rude et froid. Personne n’osait sortir pas un temps pareil et de toute façon, la plupart des élèves étaient en cours actuellement. Une couche de neige conséquente commençait à recouvrir le parc et le chemin qui menait à l’Institut : il faudrait frayer un chemin à la pelle le lendemain s’il continuait à neiger ainsi. Mais ce spectacle merveilleux des flocons qui volent au gré des vents était tout bonnement envoutant. Alex ne se lassait pas d’admirer ce ballet de glace et de lumière à la fenêtre de sa chambre. Cela faisait maintenant un peu plus de vingt quatre heures qu’il était arrivé et la nouvelle de son retour s’était rependue comme une trainée de poudre à travers l’école. Mais les gens parlaient plus de lui par « le frère de Cyclope » que par son prénom. Son frangin lui avait toujours fait un peu d’ombrage, mais cela ne dérangeait Alex pas le moins du monde.

Ayant promis au Professeur Xavier d’enseigner dans son école, Alexander avait préféré prendre une petite semaine d’adaptation et de rencontre avec les résidents avant de dispenser ses cours. Mais quand les autres étaient en classe, il arriva qu’il s’ennuie. Il avait déjà fini tous ses livres de poche et n’avait vraiment pas l’envie de se plonger dans la rédaction finale de son doctorat de géophysique. Alex sortit de sa chambre, descendit à la cuisine et s’empara d’une plaque de chocolat qu’il entama goulument. Il ne savait vraiment pas quoi faire et par ce temps, il ne pouvait se rendre en ville. Il sortit finalement faire quelques pas dehors, mais rentra assez rapidement, car l’air était glacial.

Soudain une idée lui traversa l’esprit. Il se rendit dans le hall d’entrée et consulta les horaires de cours. C’était parfait : le gymnase était libre à cette heure-ci. Alexander remonta dans sa chambre, s’empara hâtivement d’un short et de son matériel de grimpe et se dirigea vers la salle de gymnastique. En effet, comme indiqué sur l’horaire, elle était vide et soigneusement bien rangée. Le jeune Summers enfila son short et son baudrier et enleva son t-shirt, laissant ainsi apparaitre son tatouage. Cela faisait longtemps qu’il ne s’était pas dépenser et la grimpe lui manquait. Le mur artificiel se dressait face à lui, haut de vingt mètres. Une corde et un système d’assurage automatique était déjà en place, prêts à accueillir ceux qui voulaient grimper seul. Alex attacha l’une des extrémités de la corde à son baudrier et enfila l’autre bout dans le système d’assurage qui lui éviterait une chute mortelle s’il tombait. Les derniers préparatifs effectués, Alexander se lança à l’assaut du mur, attrapant une prise, puis un autre et se hissant ainsi lentement mais sûrement. Arrivé à mi parcours, Alex entendit un bruit infime, à peine perceptible, mais n’y prêta pas attention et continua son ascension.

Le mur était difficile. Alex n’était parvenu qu’aux trois-quarts après dix minutes de montée. Il faut dire qu’il avait choisi la voie la plus compliquée et la plus ardue. Ses doigts commençaient à devenir moites et humides. Il se cala solidement sur ses jambes pour avoir la possibilité de lâcher les mains. Dans cette position, complètement plaqué contre la paroi, il pouvait se reposer. Son dos nu suait à grosses gouttes et ses bras commençaient à souffrir. Alex enduit ses mains de magnésie, poudre blanchâtre qui absorbe l’humidité, pour mieux tenir aux prises. Etant plus ou moins reposé, il reprit son ascension. Mais c’était sans compter un élément perturbateur.

Havok entendit au creux de son oreille une voix féminine. Il ne s’attendait absolument pas à ça, car il n’avait entendu personne entrer dans le gymnase et de plus comment cette inconnue pouvait se trouver dernière lui alors qu’il se tenait à quinze mètres du sol ? Prit de surprise, Alex perdit l’équilibre et trébucha. Il eut un ultime réflexe et se rattrapa in extrémis à une grosse prise d’une main. Durant sa chute il avait pivoté sur lui-même et se trouvait maintenant face à la jeune femme. Alex faillit lâcher le seul contact qu’il avait encore avec le mur de grimpe quand il croisa ses yeux. D’un vert émeraude presque surnaturel et elle-même était d’une très grande beauté. Havok se sentit stupide dans cette position et de s’être fait prendre au dépourvu.

- Vous me donnez deux minutes s’il vous plaît ?

Pensant qu’ils seraient mieux au sol pour discuter, il se laissa tomber dans le vide. Le système d’assurage ralentit sa chute et Alex posa tranquillement pied à terre. Il défit son matériel, un peu énervé de cet imprévu : il n’avait pas pu finir son ascension. Havok enfila son t-shirt pour ne pas être indécent face à l’inconnue et rangea ses affaires dans son sac de sport. Tous ces préparatifs accompli, il se tourna vers la jeune femme qui flottait toujours dans les airs :

- Je m’appelle Alexander Summers, je suis le frère de Cyclope. La frustration passée, il s’intéressa grandement à cette nouvelle venue. Elle était si belle ! Et vous ? Comment vous nommez-vous ?

Alexander était totalement captivé par la jeune femme. Ainsi donc elle s’appelait Lorna Dane. Ce nom semblait féérique en cet instant. Jamais Havok n’avait ressenti une telle émotion auparavant. Etant d’un esprit scientifique, il tenta de trouver une logique à ce cœur qui s’emballait, à ces tempes qui cognaient et à ces doigts qui devenaient moites. Il avait comme une boule dans le ventre, ne parvenant pas à ouvrir la bouche. Son âme s’était perdue dans l’intensité de ces yeux verts. Lorna était réellement une belle femme malgré ses cheveux eux aussi d’un vert artificiel. Cependant cela ne ressemblait pas à une teinture, comme si cette couleur singulière était aussi le fruit de la mutation. Le gène X peut réserver certaines surprises et le fait que le corps s’y trouve transformer n’est pas surprenant. Hank Mccoy alias le Fauve en était la preuve évidente ou ainsi que Diablo. Mais cette couleur verte n’était pas repoussante, au contraire. Elle ajoutait un coté mystérieux à Lorna qui plaisait bien à Alex.

Ce dernier voulut connaître un peu plus la nouvelle venue. Il n’avait apprit pour l’instant que son nom et une infime partie de son pouvoir : le vol. D’ailleurs, une impression de puissance et d’autorité se dégageait d’elle. Elle ne devait pas être la fille de n’importe qui. Et en effet, sans qu’Alex ne le sache, son père n’était d’autre que Magnéto en personne. Après un bref instant de contemplation, Havok tenta d’ouvrir la bouche pour discuter. Il remarqua qu’il n’y parvenait pas étant totalement tendu. Il poussa un gros soupir et dit enfin d’une voix assurée :

- Et que fais-tu ici ? Tu venais t’entrainer ?

Alex l’avait tutoyé sans s’en rendre compte. Il se sentit un peu bête, n’ayant pas été très poli, car il ne la connaissait absolument pas. Mais aussi étrange que cela puisse paraitre, il se sentait comme sur un petit nuage, simplement heureux. Était-ce ça qu’on appelait l’amour ? C’était un peu stupide. Les deux jeune gens ne s’était jamais vu et ne se savait rien à propos de l’autre. Pourtant, Alex sentit bien en lui, un profond sentiment qui lui donnait des frissons dans le corps. Comme quoi, les coups de foudre existent, même à l’intérieur.

Lorna était là en face d'alexander, il avait l'air comme figer, les deux jeunes s'étaient perduent mutuellement dans les yeux de l'autres... Il est vrai que Lorna à des yeux trés particuliers le vert de ces yeux est loin d'être commun, tous comme ces cheveux en effet. Etant petite ces parents d'adoptions lui fesait des teintures brunes pour cacher ces cheveux, mais à la découverte de ces pouvoirs Lorna compris que sa couleur de cheveux venait de ces pouvoirs. Elle décida donc de laisser sa couleur naturelle qu'elle adore! Bien sûr elle remarqua qu'il regarder ces cheveux mais elle était habituée et en plus il ne l'a dévisager pas comme beaucoup le font, non il avait plus l'air d'apréciée que d'être choquer. Lorna ne savait pas qu'elle étaient les sentiments qu'elle épprouver à cet instant mais elle ne l'es avaient jamais ressenties et il faut avouer que cela l'effrait. La puissante Polaris montrerer t-elle de l'affection autre que maternelle pour quelqu'un ? Tous le monde penserait que cet impossible connaissant le coeur de pierre de la belle mutante aux cheveux emeraude, mais Havok serait-il la clé ? c'est certain ! ELle le regarda et souria a sa question. A cette instant son coeur battit la chamade, la voi de Alexander resonner dans sa tete d'une façon si belle qu'elle se sentie tous de suite apaisé et en sécurité... Et le fais qu'il l'es tutoyer ne l'a déranger en rien! Ce qui est encore trés surprenant venant d'elle qui deteste ce genre de choses mais là elle apréciée ! Elle le regarda.

" Oui, étant donnée qu'a cette heure ci il n'y a pas cours je profite pour faire quelques exércices avec et sans mes pouvoirs."

Elle le regarda encore et encore, elle ne savait pas quoi faire, elle était comme chamboulée, perdue dans les yeux du jeune homme... Lorna ne peut pas savoir ce qu'est AIMER, car elle n'a jamais était amoureuse, des petits flirts d'ado mais rien de sérieux. Et puis dès lors qu'elle est devenue mutante et qu'elle à appris quel monstre elle avait en guise de père elle c'est renfermée sur elle même... Elle regarda autour d'elle, remis ces cheveux d'un coté de sa tête et retourna son regard vers Havok.

" Je ne t'es jamais encore vus à l'institut, sa fais longtemps que tu es là ? "

Oh oui c'est sur que si Lorna l'avait déja croisée elle s'en souviendrait! Mais la jeune femme ne comprend pas pourquoi le professeur ou même Scott ne lui as parler de la venue d'Alexander...
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