Violaine S.Daniels Leaves Sewers [TERMINEE]

Nom : Smith Daniels
Prénoms : Violaine - Skye étant le deuxième que sa grand mère lui dédia.
Alias et Surnoms : Manx, une petite note d'humour que Violaine crut bon de s'attribuer. Comme elle se plait à le souligner, son cas est aussi unique que comparable à la faible natalité de ces rats sans queue.
Age + Date de Naissance : Twenty Four Years Old / 31th October 1984
Genre : Féminin

Clan : Institut Charles Xavier

Pouvoirs :

Agilité :

* Prouesses physiques accrues :

INTRO RAT : Comme chacun le sait le rat est également reputé pour ses prouesses physiques hors normes. Parmis vous qui n'a donc jamais vu cette petite boule de poils s'ébrouer vivement dans son parcours de jeux ? Hum ? Probablement pas la moitié de ceux qui s'arrêteront lire cette fiche, par conséquent je me dois de mettre vos connaissances au goût du jour car le reflexe de beaucoup est de sous-estimer sans connaître cet animal d'apparence fébrile (voir répugnante aux yeux de certains). La vérité à l'inverse de tous les préjugés, présente un animal habile, capable d'escalader facilement sur les murs en brique des habitations et aux arbres. En s'aidant de son dos, il sait également grimper à l'intérieur d'un tuyau vertical sans aspérité d'un diamètre variant entre 2,5 et 10 cm ainsi que passer dans un orifice aussi petit que 1,5 cm de circonférence. Hallucinant non ? Preuve que la bête n'est pas complètement débile mais attendez encore un peu avant de vous prononcez. A côté de cela le rat est aussi un excellent acrobate, nageur et jumper, dans de rares cas certains spécimens sont capable d'effectuer des bonds dépassant la limite des 1m20. Essayez maintenant d'imaginer ces exploits à échelle humaine.

VIOLAINE : A bon entendeur la mesure des obsctacles précédents diffèrent en fonction de la carrure de la mutante, il est certain qu'elle ne rentrera pas dans un conduit de 2,5 cm, 75 cm (à partir du moment où les épaules passent le reste suit automatiquement) ne posera pas la même problématique. De même pour les failles que l'on retrouve parfois dans les murs, à la place d' 1,5 cm il lui en faudra 20 afin de s'y glisser de profil. Violaine est également en mesure de sauter sur quinze mètres de longueur ou trois de hauteur en partant d'une position accroupie (les quadriceps et mollets sont bénéficièrent de cette augmentation musculaire) elle serait en mesure de dépasser ces stades si sa masse corporelle était moindre à l'actuelle (à exclure). Les poches "adhésives" sous ses doigts et ses paumes (que l'on appelle aussi les coussinets plantaires de texture adipeuse : graisseuse) lui permette de longer des surfaces verticales au sol, toute fois Violaine rencontre des difficultés avec des matières tels que le plastique, le béton et l'acier qui n'offrent pas de prises. Sa souplesse et son équilibre sont suffisamentt au point pour qu'en cas de fuite la mutante puisse esquiver n'importe quel obstacle (murets, voitures) ou traverser un gouffre ou tout autre absence de "sol" sur un intermédaire pouvant être aussi fin qu'un cable tendu (attention le vertige n'a rien a voir dans l'histoire).

Paradoxalement ces efforts demande beaucoup d'energie ce que Violaine n'a pas ou très peu, à elle de modérer ses forces afin de pas terminer étendue dans le caniveau la gueule grande ouverte.

Points forts : Agilité surdeveloppée (grimpe sur les murs / arbres - se faufile dans quasiment n'importe quoi - réalise des bonds exceptionnels - équilibre et souplesse amplifiés).
Points faibles : S'épuise rapidement.


- Dégénérescence :

* Rage : En situation difficile souvent percue comme étant : sans issue, une réaction violente se produit dans son corps sous l'effet de flots importants d'amines sympathomimétiques aussi connues sous l'appellation d'adrénaline. Le principe de cette réaction se base sur le fait que ces décharges se propagent dans ses veines à grande vitesse. Quarante secondes, c'est en moyenne le temps dont requiert ces molécules pour excuter un tour complet du circuit organique. Chez la plus part des gens née de ce phénomène une nouvelle énergie, un sentiment d'invincibilité, de perte des réalités, une force insoupçonnée de durée brève. Chez violaine se produit exactement ce principe si ce n'est qu'il s'accompagne de quelques modifications d'ordre génétique :

- La première, la plus visible, sont la pousse et le durcissement des ongles. A leur états 'naturels" , ses ongles son fins, cassants de couleur jaune. Après modification ils adoptent une teinte et consistance approchant les propriétés du granit. Ils sont si durs que le moindre coup porté au corps laisserait par la suite une belle marque de guerre.

- En second lieu vient le tour des dents. D'aspect saines et d'appartenance au genre humain ces dernières se retractent en de longs pics acérés de teinte orange. Inutile de lui mettre un poing dans la machoire se sera problament vos jointures qui en paieront les pots cassés. Outre leur dangereusité évidente se cache pourtant ici le plus gros piège : son liquide salivaire.

- Sa salivation est effectivement ce à quoi il faut se méfier avant toute chose. Habitée directement par les restes de cette adrénaline particulière, elle contient un virus proche de celui de la rage. Lorsque ses opposants aperçoivent cette bave écumant à ses lèvres à gros bouillon c'est qu'elle signale que les amines sympathomimétiques ont enduit sa salive d'un virus paralysant à effet quasi instantané. Une de ces morsures peut passée à partir du moment où elle n'atteint pas le sang de son adversaire, dans le cas où le "poison" entre dans le système d'un individu, celui-ci brûle tout les tissus directement mis en contact avec la bouche (toute la partie de la "pénétration" => peau, muscle, organe (elle dépend essentiellement de la profondeur)) avant que la dose ne se distille dans les veines et le circuit sanguin. Une paralysie partielle est immédiate dans le membre touché ainsi qu'une douleur à rendre fou, avec les minutes le reste du corps se ramolli peu à peu, le résultat final étant une incapacité à tenir debout, le corps est alors aussi mou qu'une poupée de chiffon dont la souffrance s'approche à une immolation intérieure. La durée de cet effet dépend de nombreux facteurs : de la quantité de virus injécté, de la masse corporelle de son agresseur, des pouvoirs de celui-ci, ect ...

- A titre d'indication, un humain de 80 kg mordu plus de cinq secondes reste paralysé dans une fourchette comprise entre six et huit heures. Violaine reprend son état normal au bout de quelques minutes, une grande fatigue, des maux de têtes ainsi que des vomissements succèdent chacunes de ses pertes de contrôle.

Points forts : Liquide salivaire destructeur/paralysant - Durcissement des dents / des ongles.
Points faibles : Pouvoir incontrôlable (se manifeste en cas de forte production d'adrénaline) - Effets temporaires de durée brève - Fatigue - Maux de tête - Vomissements.

Niveau de maitrise du pouvoir :

Agilité : La jeune femme maîtrise à présent son corps, la faiblesse physique qu'elle ressent dans ses membres se fait de moins en moins importante avec les excercices quotidients proposés par l'institut ou non.

Degenerescence : Violaine ne maitrîse absolument pas ce pouvoir. Son apprentissage devra principalement se centrer sur la rigueur et le maniement de ses émotions, notament celles de la colère de l'irritation et de la peur. Son but étant de pouvoir utiliser individuellement chacuns des attributs de cette transformation en temps donné. Pour le moment, elle n'a subit les effets de cette degenerescence que par deux fois.


Lien entre les 2 pouvoirs : Aptitudes réliées aux caractéristes du rat, le deuxième tirant vers une déclinaison de la maladie de la rage dont quelques spécimens en sont les porteurs.

Description physique :

Une généralisation idiote pousse à prétendre que tout ce qui est petit est systématiquement mignon, dans ce cas Violaine n'est autre que l'exception qui confirme la règle. Par définition Violaine est un petit bout femme d'un mètre cinquante deux, ses cheveux sont noir de jais, ils brillent d'un reflet gras permanent. La partie droite de son crâne est quasiment tondue tandis que la gauche tombe en une longue mêche sur un oeil carmin illuminé par une soif de vengeance insatiable. Si l'on s'amusait a passer sa paume dans les restes de cette forêt capillaire il ne serait guère étonnant d'y reccueillir des poux. Une hygiène corporelle de toute évidence négligée qui se poursuit par l'intermédiaire de ses ongles jaunes, ébréchés et ses petites dents de rongeur aussi coupantes que des lames de rasoir. Sous ces épais vêtements râpés se cache une carcasse frêle, sèche dont les os constituent la part principale de ses trente sept kilos. Il est devenu fréquent chez les gens de coeur qui eurent le privilège de l'apercevoir dans la rue de se rende compte combien la citation de Socrate est juste. Cette fameuse morale : Il faut manger pour vivre et non pas vivre pour manger, prend ici tout son sens. Violaine n'est effectivement qu'un petit être d'apparence misérable dont la maigreur fait peine à voir, son tissu musculaire de poupée maladive parait si serré que le moindre de ses tendons, la moindre de ses veines semblent pouvoir fendre sa peau à tout instant.

Signes particuliers :

Que dire ? Il suffit de jeter un coup d'oeil sur la miss pour comprendre qu'elle ne fait partie qu'apparente au commun des mortels. Outre ses piercings et les tatouages qui lui rongent le corps, Violaine possède un teint anormalement maladif, un corps osseu dépourvu de toutes traces de féminité, un squelette si chétif qu'il semble être de sucre. Une impression de vulnérabilité qui se révèle au fond justifiée. Faute à pas de chance - il a y de quoi désigner cette fatalité de la sorte - la jeune héritière des S.Daniels naquit avec une particularité dont elle se serait bien passé, une tare indélébile qui aujourd'hui et demain continura de couler dans ses veines. Comédienne ? Si peu. Qu'une chose soit cependant claire, malgré tout vos jugements, Violaine n'a en aucun cas choisis, ni entreprit le moindre geste qui résulte aujourd'hui à ce que le virus du VIH lui ronge la moelle des os.

Bref récapitulatif :
Piercings : Arcade - Cartilages - Industriel - Langue - Lèvre - Nez - Oreilles -Tétons - Tragus
Tatoos : Un rat noir aux yeux rouges, griffes et crocs sortis à l'arrière de sa nuque - Un symbole chinois (manx) au creux de son poignet gauche.
Autres : Visage inexpressif - Iris carmins - Gauchère - Porteuse du VIH.

Caractère, tempérament :

Passive, elle agace, l'inexistence émotionnelle qu'elle exhale sur son passage n'est jamais apprécié. Violaine n'accorde d'importance qu'à une infime partie de la population, une personne sur un million. Elle parle peu, observe un peu trop. Lorsqu'une personne attire son attention, son corps s'anime enfin, elle devient non pas sociable, mais seulement exaspérante, arrogante et souvent insolente. Elle n'a pas sa langue dans sa poche lorsqu'il faut lyncher ou critiquer quelqu'un ou quelque chose. Ils disent souvent, elle les entends encore qu'elle a - soi-disant - une grande capacité à irriter ses proches et les parasites qui gravitent autour de « Son Monde ». Elle est douce et autant violente, des choses futiles peuvent l'émouvoir. Plaisanter ? Personne ne parvient à discerner son humour et leurs tentatives de plaisanterie - à eux - tombe toujours à l'eau, elle les contemple ces larbins qui se croient drôles avec ses petits yeux inexpressifs et ils décampent. Lorsque l'envie d'être polie lui parvient elle peut être d'une politesse cérémonieuse et raffinée, mais cette politesse rime souvent avec « ironie ». Quant au rapport Humains / Mutants c'est à la lois du plus fort de trancher, il est toute fois évident que dans son optique elle fera partie intégrante des privilégiés. Aprés tout le camp ... c'est si facile d'en changer.

Talents et Compétences particulières :

Quoi que l'on puisse dire, Violaine n'a jamais vraiment croqué la vie pleine dents. Avec un corps qui excluait tout potentiel physique refusant au même titre la pratique de sport que les activités trop épuisantes, l'enfant se découvrit une passion pour le dessin. Elle suivit des cours tout les mercredis après midi avant de se juger en mesure de réaliser ses propres oeuvres sans devoir copier bêtement un model que son professeur d'art plastique lui tendait. Elle se mit à confectionner des croquis de plus en plus sophistiqués, plus hauts en couleurs, le body art ayant prit une grande part dans ses projets d'avenir. Lors de son séjour à l'hôpital Violaine prit également goût aux mots fléchés, aux énigmes. Toute fois le plus grand mystère que rencontra S.Daniels fut son approche du Rubik's cube qu'Udo lui offrit pour son onzième anniversaire. A tout ceci s'ajoute un sens de l'orientation admirable. Même môme il était tout bonnement imposible de la semer, Violaine était par ailleurs incapable de se perdre.

Note à part, les égouts de New York n'ont désormais plus de secrets pour elle, au fond il semble normal qu'on ne chasse pas un roi de sa cité.

Histoire du personnage :

Origines: Née et élevée dans l'Eskilstuna (ville au située au Nord-Ouest de Stockholm) Smith Daniels est un produit garantit cent pour cent suédois. Sa mère autrefois agée de seize ans était déjà une bonne petite junkie en cherche de nouvelles sensations fortes. Violaine fut confiée aux soins de sa grand-mère maternelle, qui les éduqua elle et sa soeur jumelle Arsenic. Leur conception est dite de père inconnu.

INTRO :

L'accouchement s'était compliqué et tout ce qu'on pouvait entendre sur les conséquances qui pousse au recours de la césarienne, n'était dans ce cas présent dus à une inéfficacité de la péridurale. Malgré l'évidence du problème que posait les cordons ombilicals enroulés ensemble (rendant impossible la mise à bas des bébés par le conduit vaginal) cet imbécile de medecin dissimulé derrière ce morceau de toile bleue lui crachait presque en pleine figure qu'elle n'était qu'une pauvre chienne bonne à crever. Ce trou du cul n'avait même pas eu courage de la regarder dans les yeux, non, il lui a fallut cette cloison tendue au centre de son abdomen pour avoir les couilles de lui intimer de pousser, pousser plus fort, toujours plus fort. Comme elle aurait aimer lui balancer qu'elle ne pouvait pas, que ses forces s'étaient évaporées, qu'il ne lui restait que la douleur et les pleurs. Son crâne et son ventre lui faisaient mal, si mal. Elle y sentait le sang tambouriner contre les parois avec une force similaire aux impacts des ondes des basses contre son poitrail, la ramenant à l'époque de son dernier concert. Et tout ca pour rien !

La pièce baignait dans un halo de lumière vive, la jeune femme poussa pour ce qui devait être son énième hurlement depuis le début de l'opération. Le premier bébé venait d'être fraîchement sortie et fut immédiatement pris en charge par les sages femmes qui s'agitèrent comme des abeilles grouillant autour d'un pot miel. A ses côtés une infirmière tamponna d'une compresse la sueur que sa peau surchauffée ne contenait plus.

- Tenez bon mademoiselle, la tête est sortie ainsi que les épaules, ne relâchez pas vos efforts maintenant que le plus gros est passé. Respirez, ce n'est plus qu'une question de seconde. Implora la voix douce et rassurante d'une femme en blouse blanche.

Quelle autre possibilité que celle de la croire sur parole ? L'adolescente hôcha fébrilement la tête en retenant ses larmes, le cauchemar était enfin sur le point de laisser sa place au réveil, il lui tardait tant. Comme pouvait elle desteter avoir mal, pourquoi devait-elle subir pareille torture alors qu'elle n'avait aucune hâte de serrer ces bébés dans ses bras ? Jamais elle n'avait voulu être mêre, du moins pas maintenant, pas à seize ans. Qu'avait-elle à offrir à ces deux rejetons ? Ni bouffe, ni toit, ni amour. Doucement Judith renversa la tête en arrière et la recala dans une position plus confortable dans l'oreiller. Elle repensa à cette soirée organisée chez une amie. "Une fête du tonnerre dont se souviendra tout les beaux gosses du lycée" avait affirmé cette dernière. Ah ca ! Oui c'est sûre, Judith gardera en mémoire les évenements de cette nuit plutôt deux fois qu'une. Elle se souviendra notamment de ce garçon aux cheveux bruns, grand, ténébreux aux magnifiques yeux bleus. Si il y avait une consolation à prendre dans toute cette merde, c'est bien celle d'espérer que ses gamines héritent de cette beauté à couper le souffle. Dire qu'elle ne connaissait pas son prénom, en somme, le seul point concret dans cette histoire reste qu'elle a complètement déconné.

Une nouvelle fois les yeux lui piquèrent face à la lumière, face à la souffrance, face à cette odeur âcre et acide des gants de latex qui vinrent caresser les mèches de cheveux vertes et bleues débordant de son bonnet de chirurgie.

- Et voila la deuxième ... mademoiselle ?

Judith garda difficilement les paupières ouvertes, sa vision eu beau s'être flouttée elle apercut nettement cet un affreux petit alien frippé décocher une talonade entre les mains de la sage femme. Une immondisse ... pensa-t-elle si fort que le nourrisson parut l'entendre et lâcha un cris qui couvrit alors ce qui allait être le dernier mot de la mère pour ses filles : Violaine.

ENFANCE: [ O - 13 ans ]

- Arsenic ! Violaine ! Les gâteaux viennent juste de sortir du four, ils sont encore tout chauds et sentent si bon que si vous ne levez pas vos petites fesses c'est mamie qui va tout mangé ! Chantonna la petite ménagère au cheveux gris dans l'embrassure de la porte de la cuisine.

Fidèles au poste les cookies parfaitements alignés dans le plateau que tenait Ericka à l'aide de mouffles isolantes, libérèrent leur enfluve odorante et aidés par le vent joueur qui circulait dans la pièce se déplaca jusqu'au salon. Avec pareille arme, impossible de résister à l'appel du ventre ! La jeune grand-mère tendit l'oreille un sourire lui ourlant la lèvre supérieure, elle prévoyait intérieurement la scène qui se faisait languir. Toute cette joie qui bientôt allais irradier le petit habitacle transportait son coeur fatigué d'une vague de bonheur, ses deux petites filles étaient des amours. Il lui était aujourd'hui chose facile de cadrer les réactions de ses chéries dans ce genre d'occasion pour l'avoir déjà vécue des dizaines de fois lors de précédents après-midis trop froids pour sortir au parc. A chaque fois se fut presque un jeu pour elle de guêter au moindre son s'échappant de la cloison qui la séparait de leur espace de jeux. Dès lors qu'elle élévait la voix, un silence divin regnait sur cet appartement pour qui cette ambiance religieuse ne s'associait qu'en temps de deuil. Pauvre Judith. Voila bientôt neuf ans qu'elle les avait quitté, sa mère et ses deux petites filles, sans souffrir avait préciser le médecin chargé de son suivi après l'accouchement. Un poids bien trop lourd pour son âge, Ericka n'aura cessé de le lui répéter, ce n'est pas en pleine adolescence qu'une jeune fille doit devenir femme. Non.

Elle avait été bien trop gentille avec sa progéniture son manque d'autorité ne fut un secret pour personne, peut-être à cause de son jeune âge, de l'absence de père, toute fois et à l'encontre de se qu'en prétendait Judith, cette privation fut vécue des deux côtés dans un profond chagrin. Elle s'en voulait tellement de pas s'être montré à la hauteur, la voie de la facilité était si tentante à cette époque. Les dérogations, ce n'est pas ce qui manque sur cette terre, certains fuis leur problèmes en choisissant l'alcool, d'autres la cigarette, les herbes ou les jeux d'argent. Des cas extêmes, eux, y remédient une bonne fois pour toute avec des cachets, parfois avec le canon d'un flingue jouant sa dernière balle à la roulette russe. Pour ce qui la concerne, Ericka s'était plongée corps et âme dans ses études. Leur relation aussi loin que remonte sa mémoire ne fut pas celle d'une mère et d'une fille, mais de deux étrangères forcées de cohabiter dans les mêmes murs. Tout au long Ericka avait fermé les yeux ou du moins avait fais mine de pas voir la délinquante que devenait l'adolescente. La chute avait été longue, sans doute rude au réveil pour Judith qui un beau matin s'apercut que son cycle avait pris deux semaines de retard. A ce moment elle ne savait pas encore qu'un autre intrus germait en elle, la rongerait pour finalement avoir raison de son sort. L'origne de la maladie reste et demeura probablement vague, entre les séances de tatouages dans un salon peu recommandé, ses prises de drogue par injection et les indénombrables aventures sans lendemain, Ericka ne cherchait d'ailleurs pas à en savoir plus.

Arsenic et Violaine ne méritaient pas plus de chagrin dans leur quotidien, pas qu'elles soient malheureuses loin de là, Ericka se faisait un point d'honneur à contenter tout leur désir mais l'inévitable finirait par arriver, il y aura bien un jour où les gamines exigeront des réponses, que se soit sur l'endroit où se trouve leur mère ou sur ces montagnes de médicaments "pas bons" à pendre aux différentes heures de la journée. La femme s'en voyait meurtrie, elle oeuvrait de son mieu pour que la pillule soit plus facile à avaler, d'ailleurs ce n'est pas comme si elle elle avait quelque chose à leur reprocher. Bonnes voir excellentes élèves à l'école, les deux petites exibaient un sérieux admirable dans tout ce qu'elles entreprenaient, que ce soit le dessin pour Violaine ou la musique pour Arsenic. De vrais anges, certes des anges qui font des bétises de temps en temps mais il ne s'agissait que d'accidents sans réelles conséquences. Il fallait l'avouer, elle s'estimait chanceuse de les posséder lorsqu'elle réalisait que certains bambins de leur âge se faufilaient dans une voiture pour y extirper l'auto-radio. Connaissant la mère, elle avait d'abord eu peur que ses petites filles fasse preuve de ce même narcissisme exacerbant et se mette à dos leurs camarades. Au final il n'en fut rien et s'était tant mieu.

Les quelques larmes de peine qui coulaient depuis un instant sur ses joues furent petit à petit masquées par des larmes de joie lorsque les cliquetis de crayons subitement abandonnés sur la table laissèrent place à des petits pas précipités dans le couloir. Surgissant de l'angle du vestibule, deux minuscules torpilles aux longs cheveux noirs se précipitèrent sur leur cible commune.

- Mamie !

La dame leur renvoya un sourire éclatant, il fallait être forte, elle le serait pour ses deux chippies.

ADOLESCENCE: [ 13 - 19 ans ]

Marre, elle en avait MARRE ! D'un violent geste de la main Arsenic arracha le poster de sa soeur sur le mur parallèle à son lit. La rage se lisait dans ses pierres d'onix , elle ne serait pas tranquille tant que tout ce qui reste de ce parrasite hante encore sa chambre. Le papier glaçé roulé en boule puis jeter dans la corbeille sous le bureau fut aussi vite rejoinds par les livres, les peluches et tout ce qui pouvait bien trainer sur les étagères qui ne fut pas à elle. Cette fois c'est terminé, Violaine est morte et enterrée elle ne voulait plus en entendre parler ! Mais il restait une dernière étapes a franchir pour passer le cap du non retour. Comme un automate la jeune fille se dirigea vers l'antre secret de sa soeur, dans un profond carton planqué derrière une pile de pantalon noir Arsenic se saisit à pleine main de ce qui constituait la vie de sa cadette.

Il fallut un moment avant qu'elle ne tende les carnets de dessins de sa jumelle droit devant elle, le pied resolument encré sur la pédale de la poubelle. Comment ces choses avaient-elles pus passer avant Ericka et elle même ? Arsenic, sa propre soeur jumelle quoi, merde ! Une dernière fois elle feuilleta le résulat de toutes ses heures de travail, sa rancoeur ne s'en fit que plus ressentir. Violaine n'était qu'une égoiste, une égoiste complètement frappée du citron qui plus est. Pourquoi ne pouvait-elle pas se contenter d'être une fille comme les autres ? Un minimum de modestie ne lui ferait pas de mal, tout était pour Violaine, les compliments des professeurs, les félicitations d'Ericka, les yeux de ses amies sur ces foutus griboullis. Elle était brillante mais paradoxalement si décalée que les élèves des années inférieures la prenait pour une dégénérée lesbienne, ce dont Violaine ne se défendait même pas pour la simple et bonne raison que les critiques rebondissaient sur elle à longueur de temps sans jamais l'atteindre. Et aujourd'hui elle se rendait compte que sans sa soeur désormais partie, envolée il ne lui restait que le cordon de la douche pour se pendre. Cette constation la blessa au plus profond d'elle même, la douleur fut si vive que son coeur aurait tout aussi bien pus être écorché. Elle ne comprenait pas, elle n'avait jamais rien fais de mal, ce n'est pas comme si elle avait été une mauvaise soeur, elle lui avait toujours témoigné les meilleures attentions du monde. La vérité était que Violaine ne faisait aucun effort, contrairement à elle qui avait besoin d'entourage sa soeur était une solitaire dont la souffrance servait de source nourricière à son "inspiration". Connerie d'art ! Comme elle les déteste elle et ses foutus dessins ! Un peu de reconnaissance, une larme d'amour, ce n'était pas comme si elle lui demandait la lune !

La jeune fille alors agée de 18 ans s'en retourna vers son lit pour s'y jeter à plat ventre, elle qui avait tant besoins de protection c'était de l'indifférence qu'elle recevait en retour de sa bonne volonté. Alors voila comment se terminait le chapitre ? Après une enfance si heureuse qu'on pourrait presque la qualifier de privilégiée, Violaine quittait le navire sans un regard en arrière ? Mais où était passé le happy end ? La situation paraissait tellement irréelle qu'il ne pouvait s'agir que d'un cauchemar. La petite brune s'enroula lentement de ses bras blancs, les soubressauts de ses épaules ainsi que les couinements de souris étouffés dans son oreiller trahissaient son chagrin. Sa fatigue était telle qu'elle n'avait su se contenir plus longtemps. Dans l'obscurité de la pièce la silhouette trésauta encore durant de longues heures avant de doucement s'apaiser, une respiration régulière et un visage d'ange détendu venant remplacer celui d'une innocente torturée.

MATURITE: [ 19 - 23 ans ]

La pencarte pouvait denouveau être d'actualité, étant donné que son assistante avait fichus le camps sans crier garde, Renaud n'éprouvait aucun scrupule à la remplacer dans les jours qui suivirent. En déchirant un long morceau de ruban adhésif entre ses dents il repensa à ces derniers mois passés en la compagnie de cette étrange gamine. Ses mains étalèrent bien à plat l'annonce sur un coin de sa vitrine, Renaud fronca les sourciles en grognant contre la colle, au fond il s'en doutait qu'elle aurait finis par lui péter entre les pattes. Cette foutue mome était si introvertie et si imprévisible qu'il aurait était fou de lui confier quoique se soit qui réclame un minimum de responsabilité, bénit soit-il de ne lui avoir confier l'ouverture de la boutique, ni les clés du pas de porte. Après une admirable contorsion de la nuque et du genoux afin de fixer plus ou moins droit le morceau de papier, le gros mec se recula, un air de satisfaction peint sur son épaisse bouille de bébé ruisselante. Parfait, il pouvait maintenant consulter son planning, Renaud s'affala volontairement dans son siège amovible puis balaya son regard sur la salle d'attente. Tout à coup un frisson lui fit frémir l'échine, il se sentait idiot, le souvenir de cette fille lui laissait comme un arrière gout d'amertume dans la bouche, il revoyait la scène aussi nettement que si elle s'était déroulée la veille.

Elle était là, assise le dos vouté, les yeux rivés sur l'ouverture disponible sur son espace de travail. C'était un mardi, il s'en souvenait puisque Sophie la pierceuse ne travaillait pas et d'habitude c'était elle qui se chargeait de l'accueil des clients. Violaine Smith Daniels ou un vulgaire petit insect qui l'aurait pus écrasé à même le sol d'une seule pichnette sur le nez. C'était pas sa faute, mais à peine ce cafard entré dans son salon il ne put s'empêcher de lui trouver une sale gueule. Elle s'était présentée un matin une serviette en carton plaquée contre sa poitrine, prenant sur lui Renaud lui avait alors demandé quel genre de séances elle souhaitait effectuées, ce à quoi la jeune fille ne répondit pas seul un regard incrédule témoignait d'une presence quelconque dans ce corps squelettique. Elle lui expliqua qu'elle était venue ici pour apprendre le métier de tatoueur puisque c'était ce dont elle rêvait depuis toujours, voyant la moquerie dans le regard du professionnel, elle lui donna acces à son recueil de dessins. Pour Renaud la plaisanterie avait assez duré, le temps c'est de l'argent et cette adolescente n'avait rien a faire dans un lieu pour les vrais mecs. A grands cris il l'empoigna par la peau du dos s'apprêtant à la faire deguerpir à coups de pieds dans les fesses lorsque contre toute attente Violaine se déroba et le mit presque a genoux à l'aide d'une forte entreinte sur ses bijoux. Agonisant, plus fumant qu'une locomotive à vapeur Renaud n'eu d'autre choix que de remettre la question en jeu et jeter un oeil à ses croquis. Il fut tout d'abord secoué par le talent de cette gamine, mais aussitôt une grande part de méfiance l'envahis lorsque à la fin du book il décrouvrit un panel d'oeuvres morbides. L'homme la prit à l'essaie non sans une pointe de dégout, il ferma les yeux en ce qui concerne les multiples traces d'injections sur son avant-bras droit s'imaginant probablement toute sorte de scénarios dont Violaine n'avait cure, ainsi que sur le dit squat qu'occupait son employée. Du moment qu'elle venait bosser et qu'elle respectait l'hygiène de l'activité ca ne l'empêcherait pas de dormir ni de se regarder dans une glace.

Puis plus rien, du jour au lendemain à la manière de son insertion dans le cercle restreint du salon elle ne donna plus signe d'elle. Renaud n'etait pas un pourris dégueulasse dans l'âme mais une infime partie de lui ne s'arrêtait plus de soupirer : bon débarra.

RESTE DE SA VIE: [ 24 ans - De nos jours ]

Dimanche 22 novembre 2009, les trois aiguilles indiquaient désormais 23 heure, 37 minutes et 24 secondes sur le cadran d'un bracelet montre rouillé sortit tout exprès de la poche pelucheuse et moite qu'est son antre. Quelques centimètres plus en hauteur, deux points de granit luisaient dans la semie obscurité obtenue par l'ample capuche rabattue sur son visage. Aussitôt le regard brun de la bête se figea d'un sérieux qui entraina avec lui le plissement de ses fines rides d'ado fétard aux coins des yeux. Il ne fallut qu'un instant - qu'un souffle rauque venant de sa poitrine osseuse, qu'une de ses multiples gouttes de sueur graisseuse trace son chemin le long de son arcade - pour que l'irritation pesant au fond de ses entrailles depuis le petit matin remonte en flèche. Le bout d'un ongle jaune, long et ébréché tapota nerveusement la surface vitrée du mécanisme avant de céder sa place à une oreille attentive qui prit en mesure le tic-tac des rouages. Bien que le pauvre objet ne puisse rien y changer, l'allure pataude de la trotteuse arracha un sifflement haineux de la bouche noire de sa propriétaire. Ainsi était-elle piégée.

** ... pour changer ** Souffla ironiquement une voix taquine dans un coin de son petit crâne tandis que l'individu écartait sa joue et laissa pendre mollement son poignet contre sa cuisse gauche.

Que faire maintenant ? Si elle en croyait les informations fournies et la justesse des paramètres, le dernier tram était passé il y a une poignée de minutes et selon les indications de l'affichage automatique fixé au guichet, il ne fallait pas compter sur le prochain avant un bon quart d'heure. Un timing juste, trop juste pour espérer choper le métro avant qu'elle ne reporte encore une fois sa demande d'intégration dans cet institut pour jeunes surdoués. Ce constat manqua d'arracher un rictus sans joie au petit personnage habituellement aussi blindé émotionnellement qu'une porte de prison. Ausssitôt elle détesta sa poisse, au fond elle se savait épuisée aussi bien d'un point de vue physique que psychique et ne demandait qu'à rentrer chez elle sans encombre. Pourquoi se plaisaient-ils tous à la martyriser ? Pourquoi tout et tous sans exception étaient-ils montés contre elle ? Bien qu'elle ne se lamente pas - elle ne le faisait plus depuis son pied de nez à la société - Violaine en avait assez de tout ce cirque. Le mot était bien plus fort encore que l'insurmontable, il dépassait le désespoir, franchissait les limites du vivable. Elle était perdue, quoi qu'elle fasse, quoi qu'elle dise toujours tout ce qu'elle entreprenait finissait par lui retomber sur la gueule, qu'on lui crache dessus ne ferait pas plus mal.

De toute façon elle aurait dus se douter - dès l'instant où elle écarta la vieille pièce de drap qui lui sert de rideau -que cette journée aurait été pourris de l'os jusqu'à la moelle. Tout du long le temps avait été pluvieux, l'air si mordant qu'il aurait glaçé n'importe quel imprudent estimant que la doudoune n'était qu'un emballage tout aussi ridicule qu'inutile. Dans les rues innondées de Manhattan Violaine reconnut la plus part de ces prétencieux qui maintenant couraient sous la quotidienne ou leur serviette pure cuir. Pourtant personne n'ignorait les intempéries excecrables du pays la basse saison venue, si quelqu'un s'était amusé à lui chercher un adjectif New-York aurait pus tout aussi bien remplacer Las Vegas : La ville Fontaine. Une grande contrariété qui n'aurait même pas toucher S.Daniels si au final elle pouvait se déplacer dans les rues sans revenir plus frisée qu'une brebis, une désagréable odeur de klebs lui accrochant au corps. Saleté d'humidité ! Comme elle pouvait mépriser cette ville et leurs habitants obnubilés par leur nombril ! Et surtout comme elle pouvait mépriser les humains ! La petite chose au dos vouté souffla dans ses mitainnes de cuir en brun et s'en retourna vers les quelques bancs en plastique fixés au mur du fond. Elle y choisit soigneusement celui qui avait le moins de chance de plier ou se fendre sous son poids, car même avec ses trente sept kilos bien comptés aujourd'hui personne n'était plus à l'abris de rien et l'hypothèse de tomber dans l'un de ces foutus pièges n'était pas à exclure. Le monde avait drôlement changé depuis sa mutation il y a bientôt six ans, Violaine n'avait pas été épargné des différents stades 2motionnels. d'abord le dégout de sois même, puis le besoins de se surpasser, devenir l'être unique et les boulets que representaient Ericka, Arsenic comme le reste n'avaient pas leur place dans cette quête. Aussi sans prévenir elle avait tout quitté, famille, logement et études, depuis Violaine ne s'est jamais sentie si vivante, son corps redouble d'une énergie jamais autant apprécié par son corps comme si la manisfestation du gêne X avait éradiqué le VIH.

Les yeux de l'animal tournèrent lentement dans leurs orbites comme indécis, excédés. C'est amusant comme les souvenirs peuvent ressurgirent à l'esprit. A l'instant Violaine se rapelle de sa première "degenerescence" comme elle l'appellait. Elle avait emprunté le métro du centre pour rejoindre le quartier glauque d'un de ses potes de Stockholm. Elle se souvint très bien de l'instant où elle glissa le ticket dans le composteur et mit grande peine à se trouver un espace minimum vitale dans le compartiment remplis des ados boutonneux de fin d'après midi. Au retour même refrain, alors qu'elle pensait avoir user habilement de sa ruse pour esquiver les dessous de bras humides et les haleines de chacal, voila que le plus beau des salauds vint prendre place sur le siège voisin. Un grand mec, profil jeune sans l'être trop, peut-être la trentaine, cheveux bruns coupés courts, barbe de trois jours et un strass incolore à l'oreille droite. Tout de suite Violaine remarqua chez lui son sourire en coin mauvais et ses petits yeux étincellants. Il l'invita d'abord à commencer la conversation avec un ton sifflant de mesquinerie, puis, voyant bien qu'il s'adressait à un bloc de marbre, avait perdu patience et été passé à l'étape suivante : celle de lui presser une main sur la cuisse. Violaine s'était aussi vite levée, s'éloigna pensant mettre ainsi à terme à ces hostilités et s'installa le dos à la vitre, les paumes serraient autour de la barre fixée en dessous de celle-ci. Dix minutes plus tard, alors qu'elle regardait lascivement les boyaux de la ville, deux mains puissantes se refermèrent sur ses seins et un souffle froid deferla à son oreille en un : Tu aimes ca hein ? Petite pute. Tout s'enchaina si vite : Silence ; Colère ; Haine ; Vengeance. Ce fut la première fois que ses pouvoirs prirent possession d'elle de cette manière.





Personne sur l'avatar : Noomi Rapace
Age dans la vraie vie : Sixteen Years Old
Expérience en RP : Cela va bientôt faire un an que je me suis lancée dans cet univers. Mon niveau doit être bon sans cependant atteindre l'excellence.
Où avez-vous entendu parler de notre forum : Par Meilleurs Top Sites RRP
Double comptes : Non
Votre personnage provient-il des Comics ou des Films X-Men : Non

Je certifie avoir lu le règlement et m’engage à en respecter les clauses. Je m'engage à toujours écrire au moins 5 lignes pleines dans chacun de mes messages en Role-Play. [Alix]

Impressionant sur la quantité, tu ne m'en voudras pas de ne pas avoir eu le courage de juger de la qualité, les modos étant la pour ça ^^

Bienvenue

Moi j'ai tout lu et j'aime beaucoup! J'espère que tu seras acceptée même si ton personnage est un hybride homme/animal. :S
Bienvenue au fait!

Ralala une nouvelle qui fait un grande histoire ^^ Je suis sur que vous faites de grande histoire dans l'espoir de nous faire peur ! Mais ça ne fonctionne pas !Car nous sommes les invincibles avatar de la juste et de la probité ! ... Enfin, bref ^^ Bienvenu à toi, je vais m'occuper de ta fiche ^^

Nom : Oki
Prénoms : C'est un prénom composé ??
Alias et Surnoms :Excellent le surnom ^^ Mais l'explication est à placer dans l'histoire ^^
Age + Date de Naissance : Oki
Genre : oki

Clan :Ça roule ^^

Pouvoirs :

Agilité :

* Prouesses physiques accrues :oui, maintenant je suis un vrai expert sur la question du rat ^^ Mais pour le moment je suis plus intéressé sur ce que ton perso peut faire lui ^^ . Donc pour chaque particuliarité que tu nous à donne pour le rat, transforme/ajoute le pour qu'on sache ce qu'il en est de ton perso. Genre tu dis que le rat peut sauter jusqu'à à un mètre 20, soit en gros dix fois sa taille au garrot, ce qui donne quel hauteur pour ton perso ? De même pour toutes les autres spécifications.


- Dégénérescence : Ça fait un peu plusieurs pouvoir en un... Mais c'est tellement bien expliqué que ça me va, si ça convient à mon co modo aussi, bien sur.

Niveau de maitrise du pouvoir :
Agilité : oki
Degenerescence : Elle se transforme sous le coup d'une émotion forte ? Si oui, d'une émotion forte particulière ?


Lien entre les 2 pouvoirs Ca existe vraiment cette rage bizarre ? Sinon, oki.

Description physique : Des poux ! Super, Kurkaru cherchait justement de quoi diner ^^ Sinon, super ^^


Signes particuliers : oki

Caractère, tempérament : Charmant ^^ Elle pense quoi de l'idéologie Xavier ?

Talents et Compétences particulières : Euh... essaye de faire cours, on te demande pas son histoire, juste la ou elle est plus doué que la moyenne, et à quel point.

Histoire du personnage : Sympa Arsenic... On en avait plus eu de comme ça depuis Extasy ><

Trop laïque ? Soit il y a un sens que je ne connais pas à laïque, soit il y a une confusion quelconque.

Tu ne parle pas de l'institut, ni de la découverte de ses pouvoirs, c'est normal ?

Bon, corrige moi ça, et on en reparle ^^

Mon collègue passera un peu plus tard te donner son avis ^^

Bienvenue sur le forum Violaine !

Bon, j'ai lu toute ta fiche et elle est... désarmante de qualité.

MAIS J'AI PAS RIEN A REDIRE MOUAHAHA : "Il faut manger pour vivre et pas vivre pour manger", c'est pas une tirade. C'est un adage, une maxime, une morale mais pas une tirade. Voilà, c'était ma modération :'(

Ben nan, c'est pas chipoter parce qu'une tirade, c'est une longue réplique au théâtre donc là, ça n'a rien à voir


.......... ok, c'est chipoter mais fallait que je trouve quelque chose à redire Bon si tout est bon pour Kurky, tout est bon pour moi

Alors ça m'arrive rarement de faire ça (en fait c'est le première fois), mais je tiens à te souhaiter la bienvenue, et surtout à te remercier pour ces 20 minutes de plaisir qui m'ont été offertes par la lecture de ton BG, aussi bon (excellent?) sur la qualité que la quantité.

Donc bienvenue parmis nous, et j'espère un jour avoir la chance de RP avec toi!

J'avais dis que je faisait rien aujourd'hui >< Mais bon, je vais quand même pas te laisser planter la comme ça alors que j'en ai même pas pour 5 minutes ^^

- Prénom :oki ^^

- Agilité : oki ^^ Juste, elle est plus forte que la normal, ou pas ? Je demande parce que super saut/super force sont souvent reliés ^^

- Degenerescence : oki ^^

- Caractère :Il n'y a aucun problème pour changer de camp en cours de rp, il faudra juste poster dans le post approprié quand tu le fera ^^

- Talents et Compétences : Merci ^^ On va en faire une morlocks ><

- Histoire : oki parfait !


Bon, c'est tout bon, et j'ai répondu à tes question...Links étant ok, fiche validé en ce qui nous concerne ^^ Attends que quelqu'un passe te donner ton rang et ton camp, et tu pourras commencer à rp.

Mes salutations Violaine, j'espère que tu te plairas parmi nous et que nous aurons la chance de se croiser un jour en rp ^^

Merci à toi Lucifel !
Je serais ravie de croiser un jour la route de l'homme aux ailes d'ange

Voilà ton cadeau de bienvenue ^^
Je voulais te faire un microheros comme sur ton avatar mais j'ai trouvé que la tête allait super bien avec ton personnage. Tu me dis si tu veux que je le fasse autrement.