[EVENT] le Bal de l'Institut - Hall d'entrée

*Markus aurait peut-être mieux fait d'écouter son premier instinct et de ne pas venir au bal. La curiosité l'avait emporté et le voilà arrivé ici, sans costume, sans aucune envie de passer une bonne soirée. Il n'avait pas faim, ne savait pas danser, n'avait pas envie d'essayer d'apprendre, il ne pouvait que rester assis et regarder la scène. D'un coup, il se sentit un peu désolé pour Ludmilla qu'il avait invité alors qu'il ne voulait pas venir. Rien ne tenait la route dans son raisonnement, absolument rien. Il voulait partir, il avait l'air minable dans son jean et son T-shirt noir à l'effigie d'un groupe de métal. Tout le monde s'était bien habillé. C'était même pas un problème d'argent : certes, la plupart de ses économies étaient passées dans la poche de Mark Snov, mais il avait toujours un vieux costume dans sa chambre. Il n'avait pas eu envie de le mettre et ne l'avait simplement pas mis. Il était assis sur un banc, encore seul, à l'écart des autres. Il ne voulait pas se mêler à la fête. Il n'avait pas la tête à faire la fête. Il avait la tête ailleurs, à penser à sa vie de super héros... et la présence des autres le gênait beaucoup*

Yohohohoho ! Kurkaru était content ! Et s'il était con, tant mieux ! Ça faisait plusieurs jours qu'il s'amusait tout seul dans son petit coin, a essayer d'apprendre des jeux amusant à ses amis. Le chat avait refusé d'apprendre à jouer à chat, cha ch'est chur. Mais peut que s'il le renommait sheshire, ça irait mieux, poils dans les yeux ! Il avait encore fait un match nul, zéro, zorro, contre l'étrange petit bonhomme vert de la salle de bein, celui qui articule laid, mais ne parle lait pas, poil dans le baba !!! Enfin, il avait réussit à s'amuser quand même. mais aujourd'hui s'était différent : il n'avait pas réussit à trouver un seul de ses coupains bizarres, blatzar ! Ou avaient ils put aller ! Et puis la dame Magda lui avait pris son pantalon, poil au guéridon ! Et elle ne le lui avait pas rendu, lustucru ! Ça ne le dérangeait pas plus que ça, cependant ! D'ailleurs il aimait bien la musique, vielle bique ! Aussi descendit il de son petit réduit à lui, et entreprit d'en faire aussi, pour accompagner les gens, poils aux dents ! Nu comme un ver vert, il se mit en devoir de rassembler ses instruments de musique ! Il prit donc une casserole, quelques pots de peinture, et des boite de conserve vide ! Cependant, alors qu'il rapportait son dernier instrument, essentiel à son projet, la caisse Claire, qu'on voit par temps clair, mais qui était poubelle que lui ! Cependant quelqu'un s'était amusé à cacher ses instruments qui disent la vérité dans un sac, poils de barbaque ! Il entrepris d'ouvrir celui ci proprement par le fond, éparpilla un peu partout les déchets qui se trouvaient avec ses instrument. Intrigué par les nappes posés sur les meubles il tenta de s'en revêtir, mais celle ci était coincé. Il escalada alors le mur et arracha une guirlande qu'il se passa autour du cou à la façon d'un écharpe. Puis commença a jouer, en utilisant deux branches qu'il avait récupéré sur un arbre comme baguette, puis se mit en devoir de jouer ! Après quelques mesures toutes plus désaccordés les une que les autres Kurkaru commença à chanter, une chanson relativement populaire dans l'enceinte de l'école :

C'est qui le petit bonhomme tout vert et tout rigolo ?
C'est qui qui aime le vert, surtout quand c'est des verres d'eau ?
C'est qui qui fait des blagues pourries sans même s'en rendre compte
S'en rendre comte, ou roi, ou duc, ou baron, même pas un vicomte

C'est Kurkaru

C'est qui qui parle à la télé même si elle répond pas
C'est qui qui pose plein de questions mais qui les pose par terre
Mais c'est quoi ce lutin qui raconte n'importe quoi
Qui cherche Saire depuis des ans, pour fêter l'Anniv A Saire
Il aime les gens cools, les gens biens et surtout les gens bons
Et les gens bons ils sont meilleurs avec du fromage
Mais pour faire d'la fromagie, faut bien faire attention
C'est qui qui sans lire un livre sait rester à la page ..."

Le tout d'une voix terrible aigrelette et nasillarde. Les visiteurs et autres gens qui passaient dans le hall avait donc l'inénarrable privilège d'assister à un concert de Kurkaru assit sur un des banc, entourés de déchet divers et variés, au beau milieu d'un tas d'objet servant d'instrument, une poubelle en métal renversé à sa droite, un sac éventré pas loin. A oui, j'oubliais .. Il est tout nu. Ou presque il a une guirlande enroulé autour du cou ! Toujours aussi heureux, Kurkaru faisait des grands geste en vert tout ceux qui passaient à proximité, content de voir qu'il suscitait autant l'attention !

Merci à links pour sa super chanson, et pour m'avoir permis de l'utiliser ici ! N'hésitez pas à aller l'écouter de nouveau dans sa galerie ^^

SECONDE PARTIE

le bal se deroulait tranquillement. les couples se formaient, se déformaient, dansaient, s'isolaient, les gens bougeaient en toute quiétude, allant du hall à la salle à manger, de la piste de danse à un petit recoin du parc.

soudain, sans aucune semonce, le portail explosa avec une force terrifiante. la détonation fut assourdissante, un grondement sans pareil se fit entendre dans tout l'institut, et par delà la fumée dégagée par la deflagration, une gigantesque forme s'avançait ...

... la masse des Confreristes !!

priére de revoir les régles du RP, notamment en situation de combat. pas de Grosbills s'il vous plait.

n'hesitez pas à retourner lire l'intitulé de l'evenement.
selon le lieux où vous êtes, vous serez plus ou moins proche des confreristes (qui vont commencer à poster dans le parc avant de se disperser). n'oubliez pas de signaler votre deplacement, et n'hesitez pas non plus à profiter de la "distance" pour etablir des plans de défense, fuir, et surtout voir toutes les opportunités qui vous sont proposés par les autres joueurs ...

et maintenant ... FIGHT !!

PS : vous pouvez créer des topics à deux pour les combats 1 Vs 1 ou autre, mais restez raisonnables !!

C'était facile...trop facile aux yeux du gamin. Il n'avait fait que casser une fenêtre, et il était déjà dans l'enceinte de l'institut. Ce n'était pas une mauvaise chose, mais le gamin s'attendait à un système de sécurité plus performant, même si celui-ci à été baissé le temps de la petite fête. Enfin, il n'allait pas se pleindre d'être entré dans l'institut, car pour l'instant, il ne devait pas avoir beaucoups de confréristes à l'interrieur. Alexandre marchait donc dans le couloir, ou plutôt il courrait. Sur son passage, il faisait exploser tout ce qui était facile. Ainsi, toutes les lampes sous lesquelles le gamin passait partaient en éclat, ainsi que toutes les fenêtres du couloirs. C'était marrant pour le gamin qui, de son côté, tentait d'éviter les morceaux de verres. Lorsqu'au loin il commença à voir quelques guirlande, Alexandre en conclut qu'il devait s'approcher d'une pièce où la fête était aussi. Il ralentit, pour arriver assez discrètement au cas où le nombres d'élèves y serrait important, malgrès que les plus forts devaient déjà être en train de combattre dans le parc. Cependant, il ne s'attendait pas à arriver au Hall d'entrée, sans doute le seul endroit où le gamin ne voulait pas aller.

"...biens et surtout les gens bons
Et les gens bons ils sont meilleurs avec du fromage
Mais pour faire d'la fromagie, faut bien faire attention
C'est qui qui sans lire un livre sait rester à la page..."

Alexandre fit halte en entendant ces paroles. Quelqu'un semblait chanter, et faux d'ailleurs. Le gamin hésitait à continuer, mais bon il n'allait quand même pas faire demi-tour maintenant. Il s'approcha du bruit, et fut surprit de voir une espèce de créature verdatre à l'autre bout de la pièce, en train de faire de la musique sur des poubelles.

*Institut de dingue!*

Ne voyant personne aux allentours, du moin pour l'instant, Alexandre s'approcha de la petite créature, largement plus petite que lui. Il s'arrêta à une courte distance de celui-ci et fit signe de sa main vers la poubelle servant apparement de tambour. Mais rien ne se passa. Le gamin regarda ses mains sans comprendre. Pourquoi son pouvoir ne marchait pas. Il courrut à nouveau à l'autre bout de la pièce, vers le couloir dont il était arrivé, et tendit sa main vers la seule lumière que le gamin n'avait pas exploser. Son pouvoir marchait. C'est alors qu'il comprit. Si ses pouvoirs ne marchaient pas près du nain, alors ceux des autres non plus. Si il restait près de cette chose, les autres mutants qui voudraient l'attaquer, ne pourraient pas utiliser leurs pouvoirs, les rendant aussi innofencifs que de simples humains. Ainsi Alexandre s'approcha de la petite bête avec un grand sourrire. Il se mit même à faire semblant d'applaudire.

"Hey! T'es super fort toi!"

Il continua à s'approcher, ne sachant pas si le micro-monstre pouvait être agressif et surtout en se retenant de rire. Cependant, il n'avait pas l'air très malin à en voir sa tenue ou tout simplement en le voyant lui, et ce ne pouvait qu'être un avantage pour le gamin. Il arriva à nouveau à une courte distance du truc, et posa une de ses mains sur la poubelle sur laquelle le nain tappait.

"Tu veux jouer avec moi?"

Lisbeth s‘était figée en entendant l’explosion. Puis ça avait été la débandade, des cris, des gens qui courent, des visages paniqués. Elle se maudit d’avoir finalement décidé de revêtir une robe et des talons, mais se félicita d’avoir pris son revolver, finalement la paranoïa avait du bon. Elle fit coulisser la fermeture de son sac, en sorti l’arme dont elle ôta la sécurité, puis préférant ne rien garder qui puisse l’encombrer, elle abandonna son sac. En avançant dans les couloirs elle aperçut dans le parc que la lutte faisait rage, mais ce qui attira son attention c’est les bris de verre. Quelqu’un était entré dans l’Institut, pendant que tout le monde se ruait à l’extérieur pour prêter main morte, ou même pour fuir. Leur adversaire en profitait pour s’infiltrer. Elle contourna les débris et continua d’avancer le long du couloir, son arme baissée, mais tout son corps était tendu, prêt à bondir dans le cas ou un ennemi potentiel l’attaquerait.

Le bruit de ses talons était étouffé par l’épais tapis qui recouvrait le couloir. L’institut était devenu calme, elle ne croisait plus personne, seul les bruits de lutte provenant du parc rompait le silence, quand soudain, un cri, ou plutôt un beuglement proche de l’hystérie déchira le calme. Au moins cela confirma qu’elle avait vu juste, quelqu’un était entré, et apparemment il s’en prenait à Kurkaru. Elle pressa un peu le pas et déboucha dans le hall, la scène qui apparut aurait pu être drôle dans d’autres circonstances. Darwin, dans un costume de super-héros, fonçait sur un gamin à l’air franchement malsain pendant que kurkaru imperturbable continuait à chanter de sa voix nasillarde en frappant sur deux poubelles. Elle haussa un sourcil mais continua d'avancer, ses talons claquaient sèchement sur le sol, mais à quoi bon continuer à être discrète. D'un geste agacé elle balaya une mèche qui chatouillait son visage, si elle essayait de viser maintenant, elle risquait de toucher Kurkaru, elle se décala légèrement, et détailla un peu plus le gamin.

Elle ne le connaissait pas, elle avait consulté les fichiers élèves, et étaient certaine qu’elle ne l’y avait pas vu, c’était donc lui son intrus. Magneto semblait n’avoir aucun problème à envoyer des enfants se battre. Qu’il ne compte pas sur eux pour avoir de la compassion, surtout que celui-ci, avec son visage de morveux l’agaçait déjà, et qu’à la naissance on avait oublié de la doter de l’instinct maternel. Darwin se rapprochait inexorablement, son bras armé n’allait pas tarder à reprendre sa forme initiale, dès qu’il serait suffisamment proche de Kurkaru. D’un geste rapide elle mit en joue le sale gamin, elle ne tirerait pas, pour l’instant, mais la menace qui pesait serait peut être suffisante pour l’empêcher de faire l’idiot. Dans le cas contraire, elle n’aurait aucun remord à lui ficher une balle dans le genou. Après tout, si Magneto le laissait rejoindre ses rangs, c’est que ses pouvoirs devaient être particulièrement puissants, ou destructeur, voir peut être les deux.

Malgré la crainte de ce qu’elle allait trouver en bas, Lénore dévala les escaliers, relevant sa robe grise argentée pour ne pas tomber. On ne lui avait jamais demandé d’être courageuse et elle s’en était amplement contentée, car elle savait d’elle-même qu’elle n’était pas née pour sauver le monde. Pourtant, bien des camarades qu’elle avait écouté au hasard des couloirs semblaient penser le contraire, tout comme si le fait de posséder un gène mutant faisait automatiquement de vous des héros attitrés.
Entre temps, Lénore avait compris qu’une partie des X-Men du moins prenaient cette mission très au sérieux et sortaient souvent pour ne revenir que tard dans la nuit, les mines sombres et les visages fermés la plupart du temps. Quelque chose ne se passait pas comme prévu, mais Lénore avait été à mille lieux d’imaginer que ce mystérieux mal parviendrait à se frayer un chemin jusqu’à l’Institut, qui commençait à devenir pour elle son seul endroit de repère.

Or, quelque chose était venu ce soir pour mettre ce repère en péril, et Lénore voulait savoir ce que c’était. Elle avait cru comprendre qu’il existait d’autres mutants qui ne partageaient pas le même point de vue sur comment gérer une mutation, mais la jeune fille n’avait pas imaginé que cette simple différence d’opinion puisse prendre de telles proportions.

Allait-on lui demander de prendre position à son tour, de se mettre en travers du chemin des envahisseurs et de se battre pour ce domaine qui était devenu, en l’espace de quelques semaines, la seule, son unique maison? Lénore ignorait si elle serait capable d’une telle chose, car elle ne voyait vraiment pas comment elle pourrait se battre. Durant une seconde, elle serra ses mains gantées l’une contre l’autre. Oui, il y avait peut-être un moyen…mais elle en avait peur. Voir ce qu’elle voyait et faire subir cela aux autres la répugnait à tel point que cela la rendait malade. Elle ne pouvait pas…pas comme ça, du moins. Peut-être qu’il y aurait une autre façon de s’arranger…du moins, Lénore l’espérait.

Arrivée dans le hall, Lénore entendit des voix. Il y avait du monde, mais heureusement – pour la plupart du moins – il s’agissait de monde qu’elle avait déjà vu dans les couloirs de l’Institut. Le seul inconnu était un garçon qui ne devait pas avoir plus que treize ou quatorze ans et qui ne donnait pas l’impression d’être l’élément hostile de la scène. Au contraire. Il s’intéressait à cette créature qui se nommait Kurkaru, qui fascinait la plupart des élèves et dont Lénore avait une peur bleue. Elle avait de la peine à s’habituer aux physiques parfois insolites de certains mutants et, qui plus est, ce Kurkaru avait un humour grinçant qui se manifestait souvent au dépends des plus faibles ou des plus timides.

Soudain, il y eut un grand cri, et Lénore reconnu un autre garçon dont elle reconnaissait du moins. Médusée, elle le vit foncer vers Kurkaru et le jeune garçon inconnu, l’air carrément furieux. Au pied de l’escalier, Lénore serra la rambarde de sa main gantée et ne pu s’empêcher d’intervenir face à cette scène aussi surréaliste qu’idiote.
« Mais arrête ! », cria-t-elle beaucoup moins fort et avec bien moins d’assurance de ce qu’elle ne l’aurait souhaité, « il n’a pas l’air dangereux! »
…Etaient-ils tous entrain de devenir fou? Depuis quand se jetait-on se des gamins qui avaient le malheur de pénétrer dans l’Institut de nuit? D’après ce qu’elle voyait, les élèves X-Men ne se comportaient pas comme des héros, loin de là, et lorsqu’une autre fille, visiblement un peu plus âgée qu’elle, braqua un flingue, oui, UN FLINGUE (Lénore se demanda un instant si la mère de cette fille était au courant du genre de jouet avec lesquels elle se passait le temps) sur le gosse, Lénore n’avait pas d’autre choix que de défendre ce pauvre gamin contre ses camarades visiblement devenus complètement maboules.
« Mais ça ne va pas? Laissez-le tranquille ! », repris-t-elle, adoptant le ton qu’elle avait parfois entendu chez Roween, et cette fois, elle constata fièrement que son injonction lui parut nettement plus crédible.

Poussée par ce premier semblant d’autorité, Lénore s’était mis en marche, même si elle savait qu’elle ne serait jamais assez rapide pour protéger le gosse contre ce bérzèrk et costume ridicule et contre le canon d’un flingue braqué sur lui. D’ailleurs, comment allait-elle faire pour protéger cet inconscient? – Ca, elle allait se le demander plus tard, en attendant, il fallait arrêter cette bande de malades.

Ah le courage…non, ce n’était pas du courage. C’était du simple bon sens.

Alors que tout le monde se jettait dans toutes les directions, les jeunes x-men entraient dans le bâtiment qu'était l'institut. Alors que tout le monde s'attardait sur le jeune alexandre Wade, la grande vitre au dessus de la porte éclata avec force. De plus aucun des débris ne toucha le sol, car un puissant vent fit que tout les morceaux de verres se dirige vers le fond de la pièce a une vitesse fulgurante pour se planter dans le mur opposé à la porte.

Cette fenêtre avait éclater à cause de quelques choses, quoi que c'est plus un quelqu'un. Shawn becket, un ancien élève de l'institut l'avait détruit pour entré à l'intérieur, retrouver le petit Wade poru lui donner un coup de main. Il était forme le gamin, mais tout seul il allait surment se faire tuer. L'institut agissait parfois d'une manière encore plus agressive que la confrèrie. volant en mode stationnaire pendant quelques secondes il repéra le jeune Wade et vit qu'il était entourer de pleins de personne y comprit une avec un flingue! Non mais elle était folle! En plus de tout ça il y avait le petit monstre vert que Shawn connaissait seulement de nom... Et son putain de pouvoir aussi!

Shawn devait sortir Wade de se merdier! Il Fit comme si une explosion venait de son corps en fesant qu'une énorme bourrasque de vent puisse frapper tout le monde dans l'espace clot pour lui donner le temps de plonger vers Wade pour le sortir de la, qu'il ne le veuille ou non.

Il plongea donc vers Wade pour l'attraper.

(Vous pouvez dire que vous éviter sans problème en vous cachant derrière quelques chose, le vent c'est assez pour faire tomber quelqu'un qui ne si attend pas mais préparer c'est facile à contrer. Vous pouvez faire se que vous voulez aavec mon perso, lui tirer dessus ou quoi que se soit, mais soyez fair-play s'il vous plait )

Alexandre avait imaginé trouver dans cet institut des tas de choses, mais certainement pas ça. Et ça, c'était l'espèce de nain vert qui n'avait pas arrêté de chanter une chanson, qui d'après le gamin n'avait ni queue ni tête, et le tout sans aucunes notes justes. Même lorsque le gamin avait tappé plusieurs fois sur la poubelle présente devant lui et avait parlé, le nain n'avait rien adresser à Alexandre à part peu être quelques grimaces, plus horribles les unes que les autres. Cela commençait serieusement à agacer le gamin, qui ne put se retenir de donner un violent coup de pied dans la poubelle présente devant lui. Mais avant de pouvoir faire autre chose, un hurlement attira son attention.

"OOOON NE TOUUUUCHE PAAAAAS AAAAAA KURKARU !!"
"Hein!? Mmmmmmf!"

Alexandre recula de quelques pas, les deux mains sur son ventre. Il avait mal. Normal, l'homme sortit nul part venait de donner un coup de poing dans le ventre du gamin. Alors qu'Alexandre relevait les yeux pour voir la personne qui venait de l'attaquer, il se mit soudainement à pouffer de rire. En effet le jeune homme était habillé à la façon des super-héro, ce qui faisait, on peut le dire, bien rire le gamin. Celui-ci fit d'ailleurs quelques pas dans la direction de cet individus, ignorant désormait le la chose verdatre. Il leva sa main dans la direction de l'homme, en le regardant méchament.

"T'aurais jamais dut faire ça!"

Bon, Alexandre pouvait paraitre ridicule ainsi si on ignorait son pouvoir, et encore plus ridicule si on le connaissait étant donné qu'il ne pouvait en aucun cas faire du mal à cet homme. Mais bon, il fallait quand même tenter, au pire il allait recevoir un autre coup de poing ou plus. Enfin maintenant qu'il avait fait ça, même s'il ne paraissait pas vraiment effrayant, il n'allait pas baisser sa main maintenant sinon il risquerait de perdre toute crédibilitée. Et puis, comme l'homme ignorait son pouvoir il pouvait très bien mentir et se rendre plus puissant. Perdu dans ses pensées, il n'avait pas remarquer immédiatement qu'une femme se tenait débout non loin des deux garçons. Ce ne fut que lorsque le micro-monstre se mit à parler dans un langage quelque peu incompréhensible, du moin pour le gamin. Mais ce n'était pas ça son principale problème, mais c'était plutôt le fait d'avoir une arme pointée sur lui qui l'inquiétait. En effet ce n'était pas toujours agréable d'avoir un pistolet braqué sur lui, et surtout lorsque c'était par un ennemi. Aussitôt, car de toute façon il n'avait rien à perdre, Alexandre prit une de ses voix les plus méchantes possibles et son regard froid, avant de s'adresser à la jeune femme.

"Tu bouges, jle tues! Et jpeux te dire qu'il souffrira!"

Bon, peut être que le gamin éxagérait un peu beaucoup mais bon, il était énervé, et lorsqu'il l'était il avait un peu de mal à réfléchir et sortait la première chose qui lui passait par la tête. Puis une autre jeune femme arriva, mais à la grande surprise du gamin, il prit sa défense. Alexandre se mit à rire. Mais ce n'était pas un rire joyeux, et prit un ton moqueur...

"Il n’a pas l’air dangereux! Laissez le tranquille! Ecoutez la ptite dame, sales gamins!

A croire qu'Alexandre faisait esprès de vouloir les provoquer, mais en fait c'était un peu son but. Il commençait même à s'amuser un peu. Mais sa plaisanterie s'arrêta lorsque une grande vitre se brisa et que personne d'autre qu'un pigeon entra dans le hall de l'institut. Le pigeon en question c'était Shawn, un des confréristes et sans doute le chef des X-ecutors. Il avait aussi été, et il l'était encore un peu plus tôt, le confrériste que le gamin admirait le plus, ou dut moin qu'il aimait le plus et auquel il voulait ressembler. Mais depuis qu'il l'avait vut attaquer le Fléau et par la même occasion son propre camps, ce n'était qu'au yeux d'Alexandre qu'un traire, qu'un raté. Après une petite démonstration de ses capacitées, ce qui permit à Alexandre de s'éloigner assez du truc du nom de kurkaru, juste assez pour pouvoir utiliser ses pouvoirs. Le gamin fit ensuite face à Shawn qui fonçait d'ailleurs dans sa direction, sans doute pour l'attrapper. Alexandre tendit ses deux mains vers le 'pigeon' avant de se concentrer. Il voulait paralyser ses ailes pour que celui-ci s'écrase au sol. D'ailleurs son pouvoir semblait marcher car le gamin ressentait un douleur au niveau du ventre.

"Tien tien! Voilà le traitre! Tu es venu les aider c'est ça! Je suis une trop grande menace, j'avais oublié! Du moin, je suis plus puissant qu'un Pigeon!"

Ils allaient vraiment fondre sur ce gamin. A trois contre un, et même ci le môme avait véritablement eu l’intention de faire des dégâts (jusqu’à maintenant, il avait simplement émit le souhait de jouer avec la créature Kurkaru, et rien de plus), il n’avait aucune chance face à la créature à moitié folle, le mutant en costume ridicule et la fille avec le flingue, et c’est pour cette raison que Lénore avait décidé de prendre sa défense et de tenter tout au moins de désamorcer la situation…bien que ça se présentait pas très bien.

A sa grande surprise, ce fut Kurkaru qui lui donna un coup de main en reconnaissant visiblement la fille et en courant dans sa direction, histoire de « l’épouiller ». Bien que Lénore trouvait cela de très mauvais goût, la créature avait au moins réussi à détourner l’attention de la fille au pistolet de sa cible première, car celle-ci devait maintenant se débattre dans l’étreinte de Kurkaru, qui avait également jeté son dévolu sur le flingue.

Lénore savait qu’elle avait maintenant une chance, peut-être sa seule et unique chance d’agir avant qu’il y ait des morts ou des blessés à déplorer, mais alors qu’elle s’avançait vers le gamin pour tenter de mettre fin au combat avant que celui-ci ne puisse commencer, une des grandes baies vitrées vola en éclat, précipitant des milliers d’éclats de verre dans la pièce. Or, si les élèves étaient devenus fous, il se passait un peu la même chose avec les morceaux de verres, qui traversèrent la pièce comme des têtes chercheuses et allèrent se ficher dans le mur d’en face. Si un élève s’était trouvé sur leur trajectoire, il n’aurait pas eu la moindre chance de s’en tirer vivant…

Lorsqu’elle leva la tête pour voir ce qui avait déclenché ce cataclysme, son cœur rata un bêtement lorsqu’elle vit…un ange ! C’était un ange qui venait de pénétrer dans l’institut…car qui d’autre pouvait avoir cette magnifique pair d’ailes dans le dos ? Maintenant, Lénore était certaine que les choses ne pouvaient que s’arranger…et pourtant, ce fut tout le contraire.
La créature que Lénore avait d’abord prise pour un ange provoqua comme une espèce d'implosion dont le souffle renversa tables et fauteuils, balaya les tapis et fit tomber les tableaux du mur. Lénore, qui se tenait au milieu de la pièce sans aucune possibilité de couverture se retrouva happée par le souffle et projetée vers l’arrière, atterrissant lourdement sur le dos à plusieurs mètres de distance.

Le souffle coupé par l’atterrissage brutal, Lénore voyait au-dessus de sa tête les lumières diffuses émanant du plafond qui lançaient des éclairs étranges. Aussi, le crut entendre que la gamin qu’elle avait tenté de protéger était entrain de se payer sa tête. Lénore ferma les yeux pour échapper à ces lumières trop vives qui lui donnaient le tournis. Décidément, ils étaient complètement maboules…tous, sans exception.

Lorsque Lénore tenta de bouger, elle constata que son dos la faisait souffrir, tout comme l’arrière de son crâne. Aussi, elle devait faire face à son erreur lamentable d’avoir pris cette…créature pour un ange descendu tout droit du ciel pour lui redonner foi en ce qu’elle était entrain de laisser tomber et puis, pourquoi pas, pour lui donner un petit coup de main. Dans un sens, l’amère déception lui faisait presque encore plus mal que son dos, mais sans doute y avait-il un temps pour se désoler et un autre pour tenter de déguerpir, loin de la ligne de mire, car Lénore ne voyait pas comment elle pourrait faire pour arrêter ces sauvages. Peut-être que…

Alors que Lénore détestait ce qu’elle faisait, elle attrapa son gant droit de sa main gauche et le retira. Si elle ne pouvait rien faire pour arrêter cette bande de barges, elle pourrait au moins se protéger un peu, et peut-être qu’un contact direct lui permettrait d’obtenir une réponse au pourquoi de cette bagarre qui lui paraissait malheureusement imminente. Son gant inutile serré dans la main, Lénore posa un coude sur le sol et tenta, malgré les protestations de sa colonne vertébrale, de se remettre debout.

Les mains fermement accroché à son revolver Lisbeth n’avait quitter des yeux qu’une seule seconde le gamin. Lorsqu’une blonde se précipita pour s’interposer, elle semblait personnifié l’outrage. A aucun moment, semblait-il, ne soit venu l’idée que peut être ce gamin n’étais pas un ange à protéger. Mais avant qu’elle n’est pu hurler de se pousser de là, elle senti un poids se suspendre autour de sa taille. Perché sur les talons, elle était déséquilibrée, et recula d’un pas pour éviter la chute. Kurkaru et son esprit profondément illogique, devait songer à un nouveau jeu, essayer de le sauver tenait du miracle. Il ne se rendait même pas compte qu’il était en danger, le voilà maintenant qui essayait d’agripper son pistolet. Elle le tint à bout de bras, quand un fracas résonna dans la pièce, déboula un nouveau venu, qui se plaça du côté de l’enfant. La cavalerie arrivait, et elle était toujours handicapée par la présence de Kurkaru.

D’une main, elle délogea un bras de Kurkaru et le tira en arrière pour qu’il se déloge, refusant d’abaisser son autre bras et d’ainsi mettre son arme à la hauteur du plus petit. D’une voix agacée elle essaya de lui faire entendre raison, sans grand espoir.

-Kurkaru arrête, on essaye de t’aider, le garçon, il te veut du mal, il faut que tu te caches.

Les mots employés était simple, et elle espérait sur cela allait suffire à faire entendre raison au lutin de l’Institut. De plus, avec Kurkaru accroché à elle, elle était trop exposée, et son nouveau pouvoir d’oubli était annihilé, elle aurait finalement préféré qu’il reste accroché à l’enfant. Tout allait trop vite autour, et elle craignait que l’arrivée de Shawn ne soit le signe qui annonce l’arrivée de nouveau Confréristes. Envahir l’Institut était sans aucun doute leur plan originel, pour s’en prendre à son cœur, Cerebro, pour saboter leurs équipements, et amputer sévèrement leur résistance.

Elle savait que dans le parc la lutte faisait rage encore, elle espérait qu’il n’y aurait pas de perte. Cet attaque était déloyal, et elle avait beaucoup de mal à le tolérer, elle espérait que bientôt le professeur interviendrait, car lui seul était capable de défendre l’Institut, contre son frère, et son vieil ami. Lisbeth s’était longuement renseigné sur tout ce qui touchait à l’Institut, et à son créateur, et elle savait que cette querelle ne prendrait jamais fin, c’était une guerre ouverte, et Magneto venait d’envoyer son premier escadron.