Ecouter la pluie tomber [PV: Citeo]

Le ciel était gris et couvert de nuages. De grosses gouttes tombaient dehors, rendant le paysage, d'ordinaire si éclatant de lumière, brumeux. Un légers souffle de vent faisait bouger les feuilles des arbres environnants et claquait les gouttes de pluis contre les vitres de l'Institut. Le silence régnait dans l'immense batiment, donnant l'impression d'une maison vide. Dans les ténèbres du couloir du manoir, on pouvait aperçevoir une mince silhouette assise contre une fenêtre. Sarai avait les genoux repliés et la tête posait dessus. Son front s'appuyait contre la vitre froide et ses yeux étaient fixés vers dehors. Son pantalon noir et son léger pull en V vert semblaient assortis avec les couleurs du paysage : sombres.
La jeune fille avait toujours aimé la pluie, sauf quand elle avait été dans la rue. Là, elle l'avait craint. Pourquoi les gens n'aimaient-ils pas la pluie ? Ce n'était que de l'eau, les larmes du ciel pour faire de la poésie.
Un souvenir lui revint à la mémoire. C'était un après-midi comme celui-ci, où les élèments semblaient se déchainer. Sa soeur et elle n'avaient rien trouvée de mieux que de regarder un horrible film d'horreur. Elles n'en n'avaient pas dormis de la nuit. Souriant pour elle-même, l'adolescente laissa une larme salée glissait de ses yeux chocolat. Sa soeur lui manquait et ce, même si quand elles étaient ensembles elles ne pouvaient s'empêcher de se disputer.
Onde quitta le spectacle qui s'offrait à ses yeux dehors pour regarder les alentours de l'Institut. Personne, pas un chat. L'adolescente aux cheveux méchés dirigea à nouveau les yeux vers le paysage pluvieux. Peut-être que quelqu'un viendrait, peut-être pas.

Marchant pour se promener tranquillement dans les couloirs, Citeo se promenais lorsqu'il tomba sur un couloirs ou l'on pouvais voir l'extérieur... Il remarqua une femme... une jeune femme en train d'observer les paysages... n'ayant rien à perdre Citeo se dit qu'il devrait aller lui parler... Tranquillement il marcha et s'arrêta à environ un mètre de distance d'elle observant dehors... Il fixa un peu la pluie et ça lui rappella les moments avant qu'il découvre la vériter... qu'il servait d'habitation pour un démon démoniaque qui voulais reigner sur le monde... Puis il revint à lui et regarda Sarai...

-Salut... Dit moi c'est toujours vide comme sa habituellement lorsqu'il pleut... Je suis nouveaux dans l'établissement... On me surnomme Shadow... Ou Night Shadow comme tu préfère

Il vint mettre son regard sur le paysage

Sarai continuait de regarder dehors, n'écoutant rien d'autre que le bruit du vent. C'était comme une sorte de mélodie. Puis, des bruits se firent entendre, coupant le silence qui régné comme la mort sur un champ de bataille. Le son que faisait les pas d'une personne qui venait vers elle. L'adolescente essuya vite fait les traces de sa larme à l'aide de sa main gauche. Il ne fallait pas que l'on la voit en train de pleurer alors qu'elle n'avait aucune raison de le faire.
Reprenant contenance le plus rapidement possible, Onde suiva du coin de l'oeil le jeune homme qui s'avançait vers elle. Il s'arrêta à environ un mètre de distance, regarda dehors, la regarda.

Citation :

-Salut... Dit moi c'est toujours vide comme sa habituellement lorsqu'il pleut... Je suis nouveaux dans l'établissement... On me surnomme Shadow... Ou Night Shadow comme tu préfère

La jeune fille tourna la tête vers lui. Il était apparement d'origine asiatique avec des yeux verts. Pas très courant cette couleur chez des asiatiques.
Les yeux chocolats de la demoiselle allait de Shadow à dehors pour finalement se fixer à la tempête qui se passait dehors. Elle lui répondit doucement, avec une voix basse, tel un murmure mais, qui paraissait comme une voix normale dans le silence feutré qu'il faisait dans le couloir où se trouvaient les deux jeunes gens.
<< Salut, je crois que oui. Les autres élèves ne doivent pas beaucoup aimer la pluie. >>
Elle tourna la tête pour regarder le garçon.

<< Bienvenu à Anormal City, je suis Onde. >>

Citeo sourit au commentaire de la jeune femme et vint poser son regard dans le sien... Tout d'un coup tout ses soucis furent oublier... c'est comme si il avait l'impressions de partager ses malheurs avec elle d'un coup... Mais tout fut arrêter par une éclaire qui éclata devant eu... Citeo revint à lui d'un seul coup et remit son regard dehors... Une douleure dans l'estomac le prit sur le coup mais il avais l'habitude... surement encore ce satanner Démonus qui voulais sortir mais hors de question...

- Tu sais parfois je me sens tellement inutile dans ce monde que je ne veux que ma mort...

Il remit son regard dans le sien...

-Ici je me fais tabasser et avec les humains je me fais menacer... qui écouter et qui croire...

Il remit son regard par la vitre

-Je ne suis pas normal... et parfois j'aimerais bien être humain d'un jour...

La pluie tombait toujours sur le gazon vert de l'Institut. Pendant un instant, les yeux chocolats dans les yeux émeraudes, l'adolescente eu l'impression de communiquer seulement par le regard. Durant quelques dixièmes de secondes, plus rien n'avait existé à part eux deux. Puis un éclair. Ils détournèrent la tête. Sarai écoutait ce que lui disait Shadow, même si son visage donnait l'impression du contraire. Le regard perdu dans les ténèbres du paysage et l'esprit présent avec le jeun homme.
Un croisé de regard. D'autres paroles. Sarai ne comprenait pas tout ce qu'il disait mais ne voulait pas lui poser de questions dérangeante. Gardant les yeux fixé vers le dehors, la jeune fille reprit la parole, de la même façon que la première fois. Doucement.

<< Quelqu'un a dit que la seule façon de ne pas se sentir inutile était de faire quelque chose. >>
Elle le regarda, puis détourna les yeux.
<< Qui t'as tabasser ? Quelqu'un de l'Institut ? >>
Silence.
<< Nous ne sommes peut-être pas pareils à ceux qui sont dehors mais, nous sommes peut-être le prochain maillon de l'espèce humaine. Et puis, personne n'est jamais normale, parce qu'il n'existe pas et n'existera jamais de normalité. Alors ce n'est pas parce qu'aujourd'hui c'est être mutant qui nous différencie des autres mais qui nous dit que ce ne sera pas être humain qui le sera demain ? >>

Que de philosophie dans ces mots ! N'avait-elle pas elle-même regrettait d'être humaine ? Si. Mais plus maintenant.

<< Pour ce qui est de croire et d'écouter, dis-toi que les choix que tu fais maintenant ne déterminent pas forcément ta vie. Notre destin n'est pas tout traçé, c'est à nous de construire notre futur. >>

Onde avait dit ces dernières paroles avant de retourner dans le silence. Ecouter, c'est ce qu'elle savait faire. Parler, seulement quand il le faut, était sa devise.

Citeo laissa un long silence envahir la place sans rien dire en écoutant ce que disais la mutante à ses côter... C'étais pas faux ce qu'elle vcenait de dire mais si seulement elle savais son secret elle pourrais sûrement comprendre sa peine et la raison de son comportement... La pluie commença à tomber de plus en plus fortmement et il y avait un peu de grêle dans l'air. Citeo qui avais fixer son attention dehors sortit de sa phase lunatique avant de remettre son regard de nouveaux sur les magnifiques yeux de Sarai.

-Tu sais... tu as sûrement raison... Faut me pardonner j'ai jamais été en compagnie de mutant et donc j'ai prit l'habitude des humains...

Il mit sa tête vers le sol en soupirant

-Merci pour tout Onde... c'est la première fois qu'on discute mutant sans me juger... Je suis sûr que si les gens dans cette institu sont comme toi alors je vais vite m'habituer

Il releva la tête et lui fit un sourire

-Je sais que peut-être cette question va te gêner mais... quel est ton pouvoir?

Les élèments se déchainaient de plus en plus dehors et la grêle avait rejoins une pluie accrut et un vent violent. Le regard de l'adolescente se fit plus doux quand Shadow lui répondit. Elle-même était devenu anti-sociale en entrant dans la rue. Heureusement pour elle, les gens de l'Institut ne lui en n'avait pas tenu rigueur à son arrivée, c'était eux, qui en très grande partie, l'avait aidés à reconstruire des repères et à s'accepter. Chose qu'elle imaginée impossible auparavant. Peut-être que ce sera la même chose pour Shadow. Peut-être ? Non. Certain, l'Institut faisait des miracles pour ceux qui le demandaient. Pour la première fois depuis qu'ils se parlaient, la jeune fille regarda l'adolescent à côté d'elle en souriant. Un sourire vrai, qui était sincère.

<< Tu peux aussi m'appeller Sarai si tu veux. Onde est mon surnom et je suis capable de faire des boucliers énergétiques qui me prôtégent mais, qui peuvent agresser les gens. .... Et toi ? Quel est ton pouvoir ? Tu n'est pas obliger de répondre. >>

Sarai savait que certaines personnes n'aimaient pas trop parler de ce qui les rendait diférents.

De plus en plus la tempêrature devenait grâve à l'éxterieur et il commençais à faire frisquet sur les carreaux de l'institu créant ainsi un givre intésement visible... Un courant d'air ce promenait créant une ambiance sombre et froide... La jeune mutante lui indiqua son vrais prénom et celui-ci sourit... Sa confiance envers lui étais si étonnante qu'elle en était dûre à croire...

-Ouais, Je maîtrise l'ombre dans toute ses particules, molécules et secret... du moins jusqu'à la limite de m'es capaciter...

Il regarda la mutante en lui faisant un sourire accrocheur. Puis il fit apparaître une rose en ombre qu'il donna à Sarai

-Je suis Citeo si vraiment tu veux savoir mon prénom... M'es parents m'appellaient comme ça et depuis je m'apelle Shadow... Night Shadow car j'ai honte d'eux... mais pour toi c'est comme tu veut... Rien ne me dérangera pas venant d'une femme aussi sympathique...

Il lui fit un sourire lorsqu'un coup de tonnerre lui fit sursauter

[HRP: Désolée pour le temps d'attente : manque d'inspiration ]

Vivre sans amis, c'est mourir sans témoin.
George Herbert

Il commençait à faire froid à l'intérieur du batiment et le couloir où se trouvaient les deux jeunes gens devenait de plus en plus sombre. Le soir prenait de l'avance sur l'après-midi en même temps que le givre se formait sur les paroies des fenêtres, donnat l'impression d'avoir des vitres opaques. Shadow lui offrit un sourire. Un très beau sourire. Et une rose faite d'ombre. La jeune fille lui sourit en retour et toucha la fleur. ** Elle semble tellement réelle ** L'adolescente écouta sans dire un mot quand le jeune homme reprit la parole. Et elle rougit à sa dernière phrase. La brunette le regardait dans les yeux quand un éclair tombit sur la terre. Les deux adolescents sursautèrent. Les joues toujours en feu, Sarai descendit de son perchoir par peur de tomber par surprise. Ainsi elle se trouvait plus qu'à trente centimètres de Night Shadow. La française réfugiée aux Etats-Unis, observa la colère des cieux qui se déroulait sous ses yeux. Le silence s'installa à nouveau dans le couloir. La rose dans la main, Onde reprit la parole comme les autres fois. Par un chuchotement.

<< Il ne faut pas avoir honte de ses parents parce que c'est eux qui ont honte. Personnellement j'ai presquepitié des miens. Ils ignorent leurs ignorances. >>

En avait-elle trop dis ? Peut-être. Etait-il vexé ? Enervé qu'une fille qu'il connaissait à peine lui dise ce qu'il doit faire ? Possible. Mais les mots étaient sortis seuls, sans que Sarai ai pus faire quelque chose pour les en empêcher.
Avait-elle vraiment pitié de ses parents ? Oui, sans doute. Ils l'avaient rejetés sans essayer de comprendre quoi que ce soit. Elle était restée la même après sa mutation. Certes, elle avait dus faire attention mais, dans l'ensemble elle n'avait pas changée. Juste une capacitée hors du commun mais, cela avait suffit pour sa famille.
Plongait dans ses pensées, la jeune fille ne vit pas la réaction de Shadow.