L'Etoile Sanglante [wolverine]

Une pluie drue tombait sur la ville , limitant la visibilité a une rideau aqueux.
Au volant d'une Buick "Skylard" Jack contemplait l'eau qui ruisselé sur son pare-brise, la radio branché sur une station locale diffuse une musique quelque peu passé. Le quartier est désert à cette heure tardive et avec cette pluie les gens préférait rester cloîtrer chez eux. , le mutant se trouve dans l'un des quartier les plus huppée de la ville avec des maison luxueuse en veux tu en voila.
Jack est la et il attend, il traque.

Six mois se sont écoulé depuis "Le Bal", au début l'exaltation du moment avait laissé place à un désarroi, puis a une peur, de l'avenir, il ne pouvait plus reculé maintenant. Après être sortit de l'institut, il était resté prostré dans une impasse au milieu des rats pendants deux jours, "l'autre" ne c'était pas manifesté. Au soir du deuxième jour un clochard était arrivé dans son impasse, le genre ivrogne en guenille qui empestait. Sans lui demander qui que se soit il s'installa et commençât a boire et a abreuver le mutant d'injures. Le mutant ne répondit rien. Mais le sans-abri remarqua le sang qui recouvrait sa main, il le menaça de prévenir la police pour toucher une récompense et s'acheter encore plus d'alcool.

Jack, sans réfléchir, lui sauta dessus et planta sa main dans la poitrine du malheureux, encore et encore et encore. Il ne s'arrêta que lorsqu'il fut à bout de souffle. Le SDF, lui n'était plus qu'une immense plaie dégoulinante de sang et de bile. Il resta encore une journée auprès du cadavre, sans que cela intéresse quelqu'un.
"Alors voila ce que sont vraiment les hommes, des animaux qui se fiche de leur semblables. et qui ne pense qu'a me tomber dessus, mais la peur va changer de camp".
Jack se réfugiât ensuite dans un entrepôt abandonne sur les docks, il commençât un entraînement spartiate et dure: le matin,entraînement de son pouvoir avec des exercices visant a lui permettre de se contrôler, mais aussi de contrôler la région du corps qu'il veut rendre tranchante. L'après-midi est consacré au renforcement physique, avec des exercices de musculation, des exercices pour améliorer son endurance et ses capacités d'encaissement.

Et enfin la nuit, c'était moment de la traque. Au début c'était difficile incertain, il s'en pris d'abord a des SDF et autre loques de la société qui vivaient dans les bas fond. . Il appris a roder sa technique, trouver la façon de tuer douloureuse et lente, mais aussi de façon rapide.

La police quand a elle, et bien les meurtres des clodos et des junkies ne l'intéressait guère. Il fallut attendre le 10éme meurtre pour que les autorités se décident a ouvrir une enquête, mais Jack était déjà passé à l'étape suivante : s'introduire chez les gens et les tuer et/oui torturer chez eux.

Il n'y avait que devant la mort que les humains, redevenaient vraiment humain, ils demandaient pardon, se questionnent sur le destin et la vie après la mort et surtout qu'il regrettaient le male qu'il avait fait a Jack, ils imploraient avec pitié et clémence. si au début l le mutant éprouvé une certaine empathie pour ses victimes, mais elle disparu rapidement pour laisser place a un comportement froid et sans pitié. Pour bien signifier au monde qui il était, Jack se mit a laisser une signature bien spécifique, il gratifiait ses victimes d'une balafres semblable a la sienne et d'une étoile sur la joue, la même que son père portait en tant que shérif, l'étoile de la justice. Après tout il ne faisait que ce défendre et il remettait le gens dans le droit chemin, c'était celle la justice.

Bien installé dans sa voiture, toujours sous des trombes d'eau, Jack observé la luxueuse qui l'intéressais. C'était celle de Harvey McComing, c'était un riche homme d'affaire, il dirigeait la plus grande entreprise de caméra de surveillance de l'état. Récemment la ville lui avait commandé 10 000 nouvelles caméras, afin de renforcer la surveillance des rues. Les autorités n'avait trouvé que cela pour calmer la foule face au manque de résultat dans l'enquête sur le "Tueur à l'Étoile". Harvey d'ailleurs déclaré " Mes caméra son si perfectionné qu'elles finiront par tiré le portrait hideux de ce tueur à l'étoile."

Lorsqu'il avait entendu cela, il avait réduit son téléviseur (trouvé dans une décharge), en miettes. Une nouvelle fois ces ennemis se moquer de lui. Cette homme serait sa prochaine victime.

L'horloge de la voiture afficha 00h00, le moment pour Jack de se mettre en marche. Les dernières lumières de la maison venaient de s'éteindre. Jack éteignit la radio et sortit de la voiture et se mit à courir a demi baisser en direction de la maison. Il stoppa derrière une poubelle pour observer le portail.

Comme il fallait s'en douter, il était surveiller par une caméra de surveillance, et un puissant lampadaire l'éclairer, l'endroit était entouré de haute barrières, avec une épaisse haie, il aurait put faire un trou dans les barreau et la haie, mais cela risquait de prendre du temps et de laisser une trace un peu trop visible de son passage. Il regarda encore et son sourire naquit sur son visage, l'armoire électrique de la compagnie, il s'y précipita et s'agenouilla prés du l'armoire en plastique, elle servait a la compagnie de couper l'électricité dans la maison sans avoir a y pénétrer, idéal contre les mauvais payeurs et empêcher des gens de squatter la maison si celle-ci est en vente. Il n'eut aucun difficulté a en fracturé serrure, l'intérieure était parcourus de fil, Jack dut avouer qu'il n'y comprenait goutte.

Et puis merde !!

Il coupa tout les fils en se servant de deux de ses doigt comme pince coupante. Arrivé au dernier, il vit la lampe du portail s'éteindre. C'était gagné. Il s'approcha tout de même prudemment, parfois les caméra sont alimenté par une source annexe, mais la elle ne bougeait plus et la petite lumière clignotante indiquant qu'elle marchait n'était plus. Il s'approcha du portail, ce dernier était électrique, mais sans énergie un système de sécurité la fait passer en manuel, il n'eut aucune difficulté a le faire glisser le lourd portail pour lui permettre de passé et ensuite de le refermer.

La pluie avait trempé ses vêtements, mais il s'en fichait, il alla tout la véranda, et examina la porte. Elle ne lui résista pas longtemps, vu qu'il la découpa, la porte s'ouvrit lentement, il resta sur le pas de la porte un instant. Puis rentra et se laissa gagner par l'atmosphère familiale et douce qu'il y régnait, bientôt cela serait remplacé par l'horreur et la souffrance, cela apprendrait a Harvey McConing et autres qu'il était prés a se défendre.

Jack se ballada un peu dans le rez de chaussé, une vrai maison de la parfaite famille américaine. Une belle cuisine bien propre, un salon lambrissé organisé autours d'une cheminé et une salle a manger en chêne, sur une étagére des photos de famille, un femme qui tentais d'empêcher le temps de la vieillir et une fillette qui semblait pleine de vie et enfin Harvey, la quarantaine bien passé, mais qui semblait encore vaillant. Tous cela puait le fric, que Harvey McConing avait gagné en le faisant surveiller lui. C'en était trop, il devait payer, lui et tout ses prôches.

Le mutant gravit doucement les marches, il allait les surprendre lui et les siens et les faire payer de mille façons. Il ouvrit la premiére porte, une chambre celle de la fille, sur les murs on pouvait voir des images de licornes et de fée, cette petites, qui ne devait pas avoir plus de neuf ans, vivait dans un rêves. Un rêves batit sur son dos. Il approcha du lit, il mit soudainement la main sur la bouche de la petite qui se reveilla en sursaut et tenta de hurler, vainement bailloner qu'il était par la main puissante du mutant. Elle se débattit inutilement. Il mit un doigt devant sa bouche.

Chut, je ne te ferais pas de mal. Maintenant je vais enlever ma main si tu fais le moindre bruit, je te tues toi et ta famille

La fillette opina de la tête. Il retira sa main doucement, la fille ne dit rien, il eut un sourire

Brave petite

Il sortit une corde de dessous son manteau et ligota prestement la fillette. Puis la força a se lever, et la força a l'escorter jusqu'a la chambre de ses parents, ils y pénétrérent sans bruit. Ils étaient la, Harvey et sa femme. Sur le côté une petite étagére avec des breloque, il la renversa d'un coup de pied, elle s'étala par terre avec fracas ce qui reveilla le couple avec surprise et panique. Le couple tourna la tête vers le mutant et la fillette qu'il tenait avec le plat de sa main sur la gorge. Le pére fut le premier a parler, plutôt a hurler.

Qui êtes vous !!!! Et que faites vous avec ma fille !!!

Puis se fut la femme qui se mit a hurler.

Stéphanie !!!

Déjà le pére se levait pour venir a la rescousse de sa progéniture. Mais Jack parla se qui le stoppa net.

Silence, ou elle aura une belle étoile sur la joue.

Ce fut comme si une chape de plomb était tombé sur la chambre. Ils avait devant eux le tueur à l'étoile. Jack savoura son petite effet. Puis porta son regard sur Harvey.

C'est pour toi que je suis la Harvey McConing.

Moi mais pourquoi, pitié lachait ma fille.

Tu demande pourquoi !!! Toi qui a décidé de me traquer, comme tout les autres !!! Je suis la pour faire de toi un humain !!!

C'est alors que voyant que Jack ne portait pas d'armes, il tenta le geste fou de se jeter sur lui pour récupere sa fille, il fut reçut par une baffe qui rejeta Harvey loin et le décora le visage d'une belle estafilade. La mére se mit a crier et la fille hurla un "PAPA" plein de larme. Ce fut Harvey qui les calma.

Arrétait, c'est...c'est un mutant.

Il avait dit cela comme une insulte. Cet homme était vraiment un ennemis, a éliminer.

TAIT-TOI !!! Oui je suis le mutant, et toi et ta famille vous voulez ma perte comme les autres.

Il se maitrisa a grande peine, en menaçant la fillette il les fit descendre dans les salons et les ligota et les baillona sur des chaises. Cela fait il les regarda, il semblait si pathétique le grand patron et sa famille qui la veille cranait et se prenait pour des grands, il allait redescendre et prendre conscience de leur humanité.

Au début je n'aimais pas ce que je m'appréte a vous faire, mais maintenant j'y prends de plus en plus de plaisir. Je dois faire cela pour survivre, car je sais que vous tous !!! Vous voulez me voir disparaitre, je représentes un trop grand danger. Mais sachez que je ne me laisserait pas faire.

Sur ce il approcha de la femme, il voulait que l'homme souffre, qu'il voit ce qu'il cherissait tant, disparaitre. Avec une lenteur infinis il commença par lui faire son estafilade et son étoile. Le sang se mélanger au larmes, Harvey et sa fille hurlaient malgré leur baillont. Puis il s'éloigna.

Ne t'en fait pas c'est bientôt finis.

Et ce le fut vraiment, Jack fit un tour sur lui-même, sa main passa avec un leger feulement sur le coup de la mére, qui le regarda avec un air étonné, puis du sang se mit a couler au niveau de la gorge. Jack posa son doigt sur le front et poussa. La tête basucla en arriére retenu seulement pas un bout de peau, le sang se mit a jaillir en geyser, éclaboussant le pére et la fille qui se mirent a gigoter de plus belle, et a hurler encore plus fort a traver leur baillon. Jack lui était aux anges, il commença a s'esclaffer d'un rire dément. Puis il attrapa le pére par les cheveux.

Alors...heureux...et ce n'est que le début.

Il regarda la fillette, qui ouvrit des yeux exorbitée d'horreur, la peur lui fit perdre tout contrôle et une flaque malodorante se mit a grandir sous elle. Jack retira la bâillon du père.

Espèce de malade, je vous tuerais, je vous jure que je vous tuerais !!!

Le mutant eut un léger sourire, il renversa la chaise du Harvey et la positionna de façon a ce que sa tête se trouve sous les jambes de la fillette.

Tu sais Harvey, le corps humain et magnifique, tant que les dégâts ne sont pas important, il peut le réparer, mais il y a un endroit ou même une toute petite coupure peut entraîner la mort, il s'agit de l'artère fémorale. Personnellement je n'y crois pas trop...


Il s'approchât du visage de Harvey et avec un regard dément, lui dit.

...que dirais-tu de vérifier cela immédiatement avec ta précieuse fille.

NON !!! Pitié, laissez la !!! Je vous en prie, je ferais tout ce que vous voudrez !!!

Hmm. Harvey il est trop tard pour toi, tu t'es engagé dans un combat que tu ne pouvais pas gagner, a toi d'assumer les conséquences.

Il posa sa main sur la cuisse de la fillette. Et la regarda avec un regard presque paternel, elle était térrosisé, elle pleurait, gigotait, hurlait au travers de son baillons.

Ne t'en fais pas tu ne sentiras rien. Tu vas tout juste t'endormir.

Avec son index il fit une petite entaille a travers le tissus du pyjama, le sang se mit a couler a gros bouillon, le liquide rougeâtre se mit a dégouliner sur le visage du père qui hurlait son désespoir, sa peine et sa douleur et surtout son impuissance. Jack lui c'était assis et contempler le spectacle. Peu à peu la fillette arrêta de gigoter, de hurler, son visage prenait une teinte livide et ses yeux se mirent a rouler dans leur orbite, puis plus rien.

Jack se leva et s'approcha du petit cadavre, la aussi lui fit l'entaille et l'étoile. Puis il releva la chaise et contempla Harvey le haut du corps rouge du sang de sa fille. Il était hébété, visiblement en état de choc. Même s'il en rechapper maintenant, il resterait prostré tout sa vie.

Voila ce qui arrive a mes ennemis, tu as expérimenté la souffrance de tout perdre, pour toi maintenant les choses matérielle n'ont plus d'importance. Réjouis toi, te voila devenus humain.

Puis il planta sa main dans le ventre d'Harvey et lui ouvrit le ventre, toute les tripes de l'humain se répandirent au sol, mais il resta vivant, C'était amusant de voir l'interieur du corp s'activait à l'air libre. Il de la fillette qui était morte, sans émotion il lui trancha la tête, puis finit de détacher celle de la mére, il casa ensuite les deux tête dans l'abdomen béant tu pére qui éxalait ces derniers souffles de vie.

Toi qui veut tout surveiller et bien maintenant tu les auras toujours sur toi.

Jack lui fit ensuite sa marque.

Il sortit de la maison, puis du jardin. Au moment ou il refermait le portail, il entendit une sirène, une voiture de patrouille de la société de surveillance de la résidence. Le gros gardien sortit de sa voiture. Jack détestait ces mecs, il s'agissait la plupart du temps de recalé des concours de police qui était aigris. Il s'approchât de Jack en braquant sa lampe torche vers lui.

Qui êtes vous ? Et que faisiez vous dans la maison des McConing.

Jack s'approcha son tour, il était maintenant assez prés du gardien qui avait dégainé son arme.

Je suis un amis des McConing, je m'apprêtais juste...

Jack fit un bond en avant et écarta la lampe torche, déjà son bras était prêt a fondre sur la gorge du gardien, mais un coup de feu claqua et rejeta le bras de Jack en arrière, malgré la douleur il agrippa le col du gardien avec son autre main et le tira vers lui directement sur sa tête. Le pauvre gardien eut l'impression que son visage rentrait en contact avec une centaine de lame de rasoir. Puis le mutant envoya son genoux dans le ventre gras de son adversaire qui se pliât en deux. Jack le regarda un instant et abattit sa main sur le coup du gros gardien lui tranchant net la tête.

Puis tant bien que mal, il retourna a sa voiture et regarda sa blessure, la balle semblait être passé sans toucher les os, puis ressortit, il en était quitte pour un bon pansement et beaucoup d'alcool. La voiture bondit en avant direction les docks. Sur la route il croisa une voitures de police, mais n'y préta pas attention.

Quinze jours étaient passé depuis le meutre de McConing et de sa famille. Les médias en avait fait leur choux gras pendant une semaine, parlant tour à tour de la cruauté des meurtres et de leur violence, mais aussi de l'incapacité de la police a ressoudre cet affaire et a mettre la main sur le "Teure a l'Etoile". D'ailleur le chef de la police fut contraint par le maire de remettre sa démission.

Le FBI avait fait parlé de lui, insinuant qu'il était la seule strucuture apte a résoudre cette affaire. Mais le gouverneur était arrivé a la rescousse arguant que les meurtres étaient toujours sur le territoire de New-York et donc n'était pas sous la juridiction fédérale.

Jack se délectait de tout cela. Le monde prenait conscience de sa vulnérabilité, qu'ils étaient tous des cibles potentiels, que leurs ére touchait a sa fin. Certain tentérent bien de mettre en avait le probléme mutant, de la confrérie, mais le fait que certaine des victimes étaient elle aussi des mutants vivant parmis les hommes, cela fut vite écarté.

Cependant il y avait un probléme qu'il se devait resoudre, en effet il contempla son bras, il y avait encore la cicatrice de la balle. C'était quelque chose qu'il ne comprenait pas, quand il avait une balle posé face a lui, il pouvait la découper comme n'importe quoi, mais une fois qu'elle était lancé par un flingue, son pouvoir n'avait plus aucune utilité. Cela pouvait être un probléme a la longue.

Il fut tiré de ses reflexions par un générique tonitruant de sa nouvelle TV (trouvé elle aussi sur un trottoir, décidement les gens jettent n'importe quoi). Il s'approcha de l'écrant pour l'eteindre, c'était une émission sur les peoples, la vanité et l'inutilité dans toutes sa splendeur.

...et pour commencer la nouvelle égérie du cinéma, Sydney Dismore, vas nous parler de son rôle dans le film a venir "l'Etoile Rouge" qui reprend le sujet du "Tueure à l'etoile"

Jack s'arréta son geste, la Sydney Dismore apparut a l'écrant, blonde péroxidé a la palstic avantageuse sans être outranciére, elle portait des lunettes pour faire croire qu'elle savait réfléchir. Elle était assis sur une chaise de réalisateur avec en fond l'affiche du film.

Alors Sydney parlez nous de votre rôle.

J'interpréte le rôle d'une profileuse qui se trouve catapulté sur l'enquête d'un tueur en série qui donne beaucoup de fil a retordre a la police. C'est d'autant plus dure pour elle que son petit amis fait partie des victime.

Et qui interpréte le tueur ?

C'est la le tourne de force du film, il n'y a pas un seule tueur, en fait cela mes avant les volontés latentes de tout a chacun de tuer.

Pensez-vous que cela s'applique aussi au "Tueur à l'Etoile" qui fait les gros titres.

Je pense que le "Tueur à l'Etoile" est en fait un moyen qu'a trouvé la police pour se décharger de certainex affaires trop encombrante.

Donc pour vous il n'existe effectivement pas.

Jack éteignit la télé. Il serat les poings, jusqu'a ce que son sang coule. Il avait trouvé sa prochaine victime, Sydney Dismore.

Vouloir tuer cette actrice était une chose, y arriver en était une autre. Pour McConing il avait trouvé l'adresse du magnat de l'insdustrie sécuritaire en cherchant sur le site internet de l'entreprise, mais la c'était different, les stars du cinéma se donnait un male de chien pour conserver un minimum d'intimité et leur adresse personne le en faisait partie. Jack avait épluché la presse people qui parlait de Sydney Dismore, mais rien, Internet aussi même les sites de fan était vide de toutes informations personnel exploitable pour le mutant.

Il tourné dans son hangar, le film était en tournage, mais il ignoré ou. La aussi il y avait un black out total. Même si cette pimbêche affirmait que le "Tueur à l'etoile" n'éxistait pas, il semblait ne prendre aucun risque avec un filtrage maxi des information.

Jack donna un violent coup de poing dans un mur, le tranqperçant de part en part ne laissant qu'un trou parfaitement sphérique.

Il faut que je la trouve, sinon sa putain de propagande va finir par marcher.

C'était clair dans l'esprit de Jack que cette fille et ce film était un de LEUR produit, visant a le faire disparaitre tranquillement. Soudain un idée se mit germer dans son esprit, si il ne pouvait atteindre cette petite starlette, ce sera elle qui l'appelerait.

Jack sortit en trombe, il rançonna deux, trois péquins qui rendrait de soirée un peu trop arrosé et se précipita dans une épicerie, il acheta du papier et de la colle.

Il s'enferma et ressortit plus tard. Et prit le métro pour changer de quartier, en fait celui qui se trouvait a l'opposer des docks. Il posta la lettre. Quelque jours plus tard, le fan club de Sydney Dismore reçut ce curieux message, écrit avec des morceau de magazine.

"Mademoisel Dismore,

Faite attention, a ne pas croire au étoiles, on finit part ne pas voir celle qui fonce sur vous."

Puis la série commença, des dizaine de lettres se mirent a arriver toute avec des messages aussi bizarre. A tel point que l'impresario de Sydney lui en parla.

Jack envoyé inlassablement ses lettres. Jusqu'a ce qu'enfin ce qu'il attendait arriva, en allant a la boite postale qu'il avait loué pour l'occasion une lettre provenant du fan club de Sydney Dismore l'attendais. En substance le texte en lui-même n'avait que peu d'importance, il disait simplement que s'il continuait a envoyé les lettres le fan club en la personne de sa présidente le mençait de le poursuivre pour harcelement.

Non ce qu'il l'interessait c'était la signature en bas. La présidente du fan club restait annonyme, mais la lois l'obligeait a signer de son vrais nom pour les courriers institutionnel tel que celui-ci venant d'un cabinets d'avocat. Il avait le nom de la présidente : Shara Delano. Jack clotura la compte de sa boite postale.

Jack devait être des plus prudents dans cette histoire. Il s'agissait de retrouver quelqu'un, et chaque actions pouvait laisser des traces qui pouvaient le corrompre. Oui ILS attendaient qu'il fasse un faux mouvements et a ce moment ILS lui fonderaient dessus pour le tuer.

Dans son hangar, a la nuit tomber il faisait des tractions sur une barre possé sur deux morceau de béton qui étaient des pilier avant. En même temps il réfléchissait. Il devait trouver cette fille qui lui donnerait des infos. Le plus simple serait de l'appeler, mais ils fallait trouver son numéro, non il faudrait qu'il aille la chercher au siége, ce qui augmentait les risques, mais il n'avait pas le choix.

Le lendemain Jack se trouvait devant l'adresse du fan club en costume, habit trouvé sur un cadavre proprement décapité et en prime il avait gagné une voiture. L'endroit été en banlieue, une petite maison perdue parmis les autres, Jack sonna et attendie une voie plutôt agée se fit entendre.

Qui est la ?

Bonjour je m'appel Jack Slash, je suis envoyé par la compagnie d'éléctricité, il y a un probléme avec votre facture madame Delano.

Le mutant entendit le loquet souvrir et il eut la surprise de voir une petite veille, bien mise et qui ressemblait a la grand mére idéal. Elle le regarda de haut en bas, Jack c'était rasé de prêt, laver et parfumé, si bien qu'elle le laissa entrer. L'interieur semblait totalement dévolut a Sydney Dismore, photos, affiche, statue, coupure de presse encadrées. Jack joua les surprit.

Hé bien, vous semblez beaucoup aimer cette personne, c'est Sydney Dismore ?

Elle lui montra un fauteuil en souriant, puis se dirigea vers la cuisine.

Ouii je conçois que cela peut paraitre bizarre, mais je dirige le fan club de ma petite fille depuis le début pour eviter les ennnuies.

La nouvelle le frappa comme un coup de boutoir, il devait y avoir un dieu pour les gens comme lui, Shara Delano était la grand-mére de sa cible. Il dut se faire violence pour réprimer un sourire et garder un air neutre quand la petite vielle revint avec un plateau chargé de café et de petit gateau.

Alors quel est le problémes avec ma facture d'éléctricité.

Et bien pour être honnête j'ignore si votre facture d'éléctricité a un probléme...

Il renversa soudainement la petite table du salon, agrippa la veille et lui plaqua la main sur la bouche.

...non moi ce qui m'interesse tu vois, c'est de savoir ou se trouve ta salope de petite fille qui se permet de dire que je n'existe pas !!!

Elle écarquilla les yeux réalisant surement qui elle avait en face d'elle, le Tueur à l'Etoile. Il était la regardant avec ce regard fou et cette respiration bruyante. Jack s'apprétait a commencer de l'interroger quand la vieille dame fut pris de soubresaut, se cambra et retomba inerte. Jack surprit abandonna tout colére, il écouta la poitrine de Shara Delano, rien, elle était morte d'une crise cardiaque.

Ho la veille, ho la veille debout !!!!

Mais rien, le mutant réalisa alors qu'il avait perdu son dernier espoir de mettre la main sur Sydney Dismore. La rage pris le dessus et il commença a tout détruire les photos, les images de Sydney et a s'acharner sur le cadavre, l'éviscérant, le démanbrant, le décapitant, balançant les divert morceau a travers la piéce.

C'est alors qu'un homme entra en trombe dans la maison en hurlant.

C'est la merde Shara, le flics sont a la recherche de Sydney, je vais devoir leur dire qu'elle est dans la suite du Grand...

Il s'arréta, réalisant le carnage autour de lui. Jack et l'homme se regardérent, puis mut par une énergie simultané ils courirent, l'un vers la sortie, l'autre vers l'homme qui courait vers la sortie. Jack plongeat en avant et tendis la main, il sectionna l'arriére du talon de sa cible qui s'écroula en hurlant.

Jack se dépéchat de fermer la porte, et de s'assurer que personne ne l'avait vu. Puis il regarda son nouveau jouet. Avec un méchant sourire il s'en approcha. Une sonnerie retentit soudainement, un portable. Jack fouilla le bléssé jusqu'a trouver l'appareil, c'était la messagerie.

Je suis un privé, je vous envois ce message pour vous faire savoir que le "Tueur à l'Etoile" compte bien s'attaquer à votre protégée. Afin de m'assurer de son bien être, je vous demande donc de bien vouloir me rappeler au numéro suivant : 555-2641. Demandez Logan à l'accueil. J'enquête sur cet homme et votre actrice peut me permettre de le coincer.

Logan, le fameux Logan, quand il était à l'institut c'était le principal sujet des jeunes mutant, une sorte de héros pour tous, lui même en avait entendu pas mal sur son compte. Un gros morceau décidement ILS ne reculaient devant rien pour l'arreter, mais LEURS plans ne fonctionnerais pas. Il composa le numéro écrit et attendis la sonnerie.

Allô
Pourrais-je parler a Logan je vous prie ?
Un instant je vous prie.

Jack jeta le téléphone portable sur le siége passager de sa voiture. Il était couvert de sang, celui de la grand-mére et de l'agent de Sydney. Ce dernier avait été plus coriace qu'il ne l'avait pensé au début. Il lui avait sectionné le talon de façon a l'immobiliser, puis aprés il l'avait attaché sur une chaise avec une de ses chaussettes dans la bouche de façon a l'empécher de hurler trop fort.

Il se revoyait face a cet homme, lui lardent lentement la peau de façon a le faire souffrir pour qu'il parle. Il avait été un vrai idiot du point de vue de Jack, il lui suffisait de répondre a une seule question pour mettre fin a ses souffrances : Ou était cette petite peste de Sydney Dismore ? Il avait dut commencer a l'écorché lentement pour qu'il consente a laché des infos, tout d'abord des petit renseignement, ensuite c'est quand il avait attaqué la peau du dos en la retirant doucement que finalement il avait tout donné.

Ensuite il avait fait classique décapitation, démembrement et eviscération le tout trés, trés lentement et pour finir la petite étoile sur la joue de l'agent qu'il avait posé bien en evidence sur la cheminé. Maintenant il roulait vers sa cible, mais avant il retourna sur les docks, pour se débarasser du costume et de la voiture en la balançant dans la riviére.

Jack pénétra en debut de soirée dans le Grand Hotel Waldorf de New-York. C'était la que Sydney Dismore c'était cachée. Bien entendus il se doutait que le concierge ne lui donnerais pas le numéro de chambre, mais l'agent avait bien remplis son devoir, c'est limite s'il ne lui avait pas donné les mensurations de Sydney Dismore. Jack passa par derriére dans les entrées de service. La un loufiat était en train de fumée sa clope. Jack s'en approcha tranquillement.

Heu excusez-moi ?

L'homme se tourna, il était jeune, il devait faire ce job pour payer ses études.

Oui, c'est pour...

La main du mutant fila dans l'air si rapidement que le pauvre ne compris pas qu'il mourrait décapité silencieusement. Le corps s'affala mollement. Jack se dépécha, il prit les habits du cadavre du jeune et dissimulat le corps dans une benne à ordure. Il pénétra ensuite dans l'hotel. Toute les coulisses de l'endroit était en effervescence perpetuel pour répondre au moindre désirs de la clientéle fortuné de l'établissement. Jack attrapa un chariot et s'engouffra dans l'ascenceur de service.

Il sentait l'exitation monté en lui. Cett garce qu'il l'avait ridiculisé pour LEUR compte, elle avait été un bon agent de propagande pour LEUR compte, mais comme tout les soldats, il y avait un risque, et Jack était ce risque. L'ascenceur s'arréta et Jack commença a pousser son chariot sur l'épaisse moquette. Finalement il arriva devant la chambre de la suite grand luxe de l'actrisse. Il frappa et attendis qu'on lui réponde.

Oui
Room service, j'ai une bouteille de champagne pour Sydney Dismore.
Je n'ai rien commandé
Je sais mademoisel, mais c'est de la par de la direction de l'hotel.
C'est gentil mais je n'en veux pas.
S'il vous plait mademoisel, le directeur a dit qu'il me renverrait si je ne vous offrait pas cette bouteille.

Jack se retenait de découper cette porte et de faire taire cette petite peste. Finalement la porte s'entrebaillit, Jack offrit son plus beau sourrir, la chaine se défit et le passage fut libre. Jack pénétra dans la chambre, il le fit lentement comme pour prolonger se moment de plaisir ou sa proie était a sa merci sans quelle le sache encore. Ce dout instant ou la tranquilité apparente va s'eclipser pour laisser place a un apocalypse de souffrance et de douleur.

Laisse cela ici, je vais chercher mon sac.

Jack referma la porte, et détailla cette Sydney, elle était grande, blonde, un corps magnifique sculpté par la gym et un régime stricte que l'on devinait même dans le peignoire qu'elle portait. Elle revint vers lui avec un billet de 5$ Jack le prit et se dirigea vers la porte. Mais au dernier moment il se retourna et sortit un petit calpin.

Excusez moi vous pourriez me signier un petit autographie s'il vous plait ?

Elle souffla, visiblement elle n'aimait pas être déranger. En attrapant le carnet elle le gratifia d'un regard hautain, visiblement elle savait ce qu'elle était, une star de cinéma qui avait autre chose a faire que répondre au désir d'un petit loufia d'hotel.

Bon c'est a quel nom ?

Jack sentait sa main se contracter, a croire qu'elle allait s'élancer d'elle même vers cette peau de pêche. Il serra le poing de toute ses forces.

J'ai entendu ce que vous avez dit l'autre jour sur le "Tueur à l''étoile".
Et je le maintient, ce type n'est qu'une chimére des autorités pour camoufler leur incompétences. Bon a quel nom l'autographe ?

Il était temps de mettre fin a cette mascarade.

Pour...Jack...Storm...dit...le Tueur à l'Etoile.

Elle notait rapidement, mais s'arréta en entendant le sobriquer du mutant. Elle leva les yeux sur se serveur et remarqua l'estafilade, ce regard frois avec une lueur de folie dedans, elle compris instantenement que ce n'était pas une blague. Un grand sourire se dessina sur le visage du tueur en série en même temps qu'il se mit a marcher vers elle.

La pauvrette reculat, en titubant, trop abasourdit pour hurlé, trop appeuré pour se défendre. Elle buta contre un mur, et se plaqua comme si elle voulait se fondre dans le mur. Jack se posa juste en face d'elle, son sourir s'éffaça et lui balança une énorme baffe qui la fit tomber au sol, il se pencha vers elle et lui agrippa les cheveux.

Alors comme ça j'existe pas hein ?

Et BAM il lui écrasa la figure sur le sol, il y eut un craquement sourd. Son nez (refait venait de craquer). Elle commença a pleurer, elle tenta même de hurler, ma sa voie était étouffé par les sanglot et la douleur.

Quand je me serais occupé de petite gueule, même pour tourner un film d'horreur il voudront pas de toi.

Il la balança sur un fauteuil et la ligota avec une nappe et la baillona avec un serviette, puis se posa devant elle. Elle sangloté faisant tomber son peignoir un mélanfe de larmes, de sang et de morve.

Je vais te dire ce qui n'existe plus, c'est ton agent et ta mére-grand. Enfin si il existe toujours mais en petit morceaux, d'ailleur je t'ai ramené un cadeau.

Jack sortit deux oreilles d'une de ses poches et les posa sur les genoux de sa victime. Elle ferma les yeux et détourna la tête, Jack lui attrapa les cheveux et lui mit les oreilles sous le yeux.

REGARDE, regarde espéce de truie !!! Voila ce qui arrive quand on travaille pour EUX. On est toujours baisé quelque part. Toi tu a marché pour LEUR compte et maintenant tu va crever comme tout les autres !!! Parceque si c'est pas VOUS, se sera moi, et il hors de question que cela arrive, tu m'entends je serais le dernier !!!

Cela avait assez duré, cette fille serait un message, un message pour tous. Il passa une langue sur son doigt et s'attaqua au oreilles, lentement,doucement. Puis quand ce fut finit il lui coupa les cheveux, puis se fut les paupiéres, la fille se trémoussait sur son siége, le sang innondait son peignoir, sa figure. Un foix que cela fut fait, il regarda son travail, du bel ouvrage. En plus elle était toujour vivante.

Réjouis toi ma grande !!! Je vais te donner le rôle de ta vie !!! On parlera de toi pendant longtemps et tu fera même le tour du monde !!!

Il attrapa le fauteuil et le poussa contre la fénêtre. Il l'ouvrit, un puissant courant d'airs'engouffra dans la chambre. Il dénoua les liens de Sydney et la mit a la fenêtre. Il defit le peignoire.

Tu sera un message pour EUX !!

Il planta sa main dans le ventre de l'actrice et en tira un bout d'intestin. Elle hurla dans son baillon, Jack en sortie un bon morceau et l'attacha a pieds de table a côte de la fenêtre.

Et maintenant Sydney envole toi vers la célébrité.

Il fit rapidement sa marque sur la joue de l'actrice, et la poussa dans le vide. Les 9 métre d'intestins s'évidérent comme une longue corde organique, jusqu'au maximum. L'arrét fut brutal, mais les chair tenir bon, Sydney mourrut de douleur et d'un arrêt du coeur dut a la peur. L'actrice se balancer maintenant de gauche a droite tout en perdant son sang.

Jack ressortit vivement de la chambre et sortit de l'hotel par le garage. Il grimpa dans sa voiture et repris son portable. Il composa le numéro de Logan. On décrocha.

Grand Hotel Waldorf, 16éme étages.

Puis il raccrocha et repartit vers son repaire en éclatant de rire.

Les choses devenaient de pire en pire, ce dégénéré de Jack devenait de plus en plus sociopathe et psychotique. Logan devait aboslument arrêter ce malade avant que la liste de mort ne devienne trop longue pour la conscience du Professeur Xavier. Et bien oui, car plus Storm tuait, plus le Prof se sentait coupable de ses actes. C'est toujours comme avec les meneurs qui ont des idéologies plus grandes que le monde, il faut toujours qu'ils se sentent coupable de quelque chose dès que ça tourne mal. Logan venait tout juste de quitter son acolyte de fortune que le portable du mutant ce mit à sonner :

" Grand Hotel Waldorf, 16éme étages."

Logan raccrocha également le plus vite possible et composa le numéro de son acolyte :

" Décroche, décroche....Dan ! C'est Logan ! Grand Hotel Waldorf, 16éme étages. Envois vite deux patrouilles là-bas ! Toi, rejoind moi au poste ensuite.

- D'accord, j'arrive."

Logan couru le plus vite possible jusqu'au poste afin de pouvoir commencer ce qu'il avait en tête. Le centenaire n'y avait pas pensé tout de suite car la technologie et lui cela faisait deux, mais après avoir parlé durant quelques temps avec Hank, certaines choses étaient restées dans la tête du mutant. Logan conmptait bien retrouver Jack de cette manière et ce avant qu'il ne tue de nouveau...
Moins de dix minutes après avoir eu Storm au téléphone, Logan arriva au poste, et moins de trente secondes après lui, vint Dan :

" Les deux patrouilles sont partis, elles devraient arriver sur les lieux d'ici moins de deux minutes. Qu'est-ce que tu veux que je fasse ?

- Tu sembles être un bon en informatique toi ?

- Disons que je me débrouille, pourquoi ?

- Parce que tu vas jouer au traceur pour moi...

- Comment ça ?

- Tu sais que les numéros de portable s'affichent en régle général, mais Storm n'est pas idiot, il a mis son numéro en caché... seulement, il a bien fallu qu'il émette un signal pour me téléphoner, donc je voudrais que tu capte le dernier signal de mon portable et que tu me localise l'origine...

- Ca va pas être simple...mais je pense pouvoir le faire...

- Prend ton temps, je ne pense pas que Storm tue de nouveau cette nuit..."

Les heures défilées à une vitesse folle, comme si le temps lui même voulait se mettre du coté de Jack. Dan fasiait tout son possible pour retranscrire le signal du portable de Logan mais c'était effectivement pas simple visiblement. Cela faisait plus de trois heures que le jeune officier tentait en vain de trianguler le signal mais à chaque fois, il perdait le lien. Sauf cette fois...

" JE L'AI !!"

Logan sur-sauta lorsque le jeune humain cria, celui-ci était tellement heureux d'avoir réussi qu'il ne put contrôler sa joie. Fixant Logan, il reprit :

" Regarde, je l'ai !

- C'est super Dan, dit moi où il est...

- Apparemment, il s'agit d'un petit motel, près du centre ville...tiens, voilà l'adresse...

- Très bien, reste là, je te téléphone dès que j'ai des nouvelles, sois prêt à envoyer des patrouilles où je te le dirais, ok ?

- D'ac, je bouge pas de là !"

Sans tarder, Logan partit en courant du poste et siffla un taxi. Les choses avançaient enfin, Logan avait rattrapé le temps perdu face à Storm, maintenant, il le tenait et il ne compait pas le lacher...
Le taxi ariva bien vite à l'adresse su le bout de papier, Logan sortit, paya et couu à l'accueil afin de demander des renseignements :

" Bonjour Madame, excusez moi, auriez vous vue un homme assez grand, cheveux courts noir et avec un air assez sombre et un regard froid ?

- Oh, bah oui, vous décrivez le client de la chambre 217...

- Quel étage s'il vous plaît ? répliqua le mutant tout en sortant sa plaque de privé.

- Ah euh...deuxième étage, troisième porte à gauche...tenez, les clefs..."

Logan ne traina pas et monta trois par trois les marches des escaliers, puis couru dans le couloir mais s'arrêta net à moins de deux mètres de la porte de la chambre 217. Marchant lentement vers celle-ci, Wolverine s'approcha de la porte et écouta derrière cette dernières. Les sens hyperdéveloppés de Logan n'indiquaient aucune présence dans la chambre. Forcément, ce cinglé devait être sortit pour chercher une autre victime...
Le centenaire ouvrit la porte avec la clef et entra lentement afin de ne pas tomber dans un quelconque piège de ce tordu de la cafetière. Longeant le mûr de gauche qui donnait directement sur la chambre, Serval sortit, lentement, les trois griffes de sa main droite, tenant sa main face à lui, près de son torse. Le mutant était prêt à toutes éventualités...
Lorsque Logan entra dans la petite cuisine, ce dernier comprit rapidement que Jack était partit, depuis peu, mais il était bien partis. Rétractant ses griffes, le X-Men fit donc un peu le tour de la chambre afin de tenter de trouver le moindre indice sur la prochaine cible du psycho-mutant...
Rien ne restait, seules quelques petites punaises indiquant que des articles de presse avaient été disposés sur les mûrs montraient que quelqu'un avait été là durant un temps. Dans le soucis du détail, Logan fouilla tout de même la poubelle de la cuisine et par chance, la femme de ménage n'était pas encore passé, il restait donc deux bouts de papiers qui révéla en quelque sorte la future victime du tueur...


[ HRP : Vraiment désolé pour le temps lol En plus, tout ça pour un p'ti poste lol ]