secret confidentiel (sénateur Vanalla Jackson)

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Le soleil tapé fort cette après midi, j'étais rentrée dans le bureau du sénateur Jackson en me rendant invisible, j'étais accroupie à côté d'une table, sur cette table il y avait un vase chinois, comme à la maison, maman en avait un même avant ... de mourir . Je regardais le bureau du sénateur . Il y avait un bureau, sur ce bureau il y avait un ordinateur, des tonnes de dossiers, derrière et devant le bureau un siège noir imposant pour la sénatrice, et moins imposant pour les personnes qu'elle devait ressevoir, il y avait un grand écran devant le bureau . Peut-être pour les vidéos conférences, comme avec papa dans son bureau ! Je me souvenais quand il était en public, les autres l'appelaient sénateur Montaigus, maman était l'avocate qui gagnait toujours et moi ... je n'étais que leurs petite fille adorée qui n'arrivée pas bien à maîtriser ses pouvoirs, et qui faisait toujours des bêtises . Je me souvenais une heure après leurs mort, dans les journaux, en première page, écrit en gros : "ASSASSINAT DU SENATEUR SHENDO ET DE SA FEMME L'AVOCATE QUI GAGNAIT TOUJOURS !!!" ou "MEURTRE DU SENATEUR SHENDO ET DE L'AVOCATE QUI GAGNENT TOUJOUR" puis écrit en plus petit "on dirait qu'ils n'ont pas gagnaient cette fois-çi" . J'enragée encore écrire çà, c'était dégoutant, injuste . Mais la vie est injuste et il faut apprendre à vivre avec . Une femme arriva, çà devait-être çà secretaire :
_Madame le sénateur Wilson, aimerait avoir une vidéo conférence avec vous !
J'allais voir une vidéo conference ! Un homme apparut à l'écran, et la discussion s'engagea, puis peu de temps après la discussion devint orageuse . Alors la communication fut rompus . J'attendais un peu, puis je me décalais un peu et s'en le faire exprès je fis tomber le vase :
_M** !penssai je
Alors sortis de nul part un homme apparut devant moi, baraqué, en costume noir et blanc . Je sursauté, et devint visible . En un clin d'oeil, il était sur moi . Il m'avait plaqué par terre et maintenant il braqué un flingue blanc sur moi . J'avais pas envie de crever, ou de passer le restant de mes jours derrières les baraux :
_Attendez ! Attendez ! Je veux rien de mal au sénateur !, dis je je réfléchis vite à un moyen de leurs faire comprendre pourquoi j'étais ici mais je n'allais pas leur dire que j'étais ici parceque j'avais envie de revoir le bureau de mon père car la sénatrice était dans son bureau,Je ... je voulais juste voir comment c'était un bureau de sénateur !
Je me mordis la lèvres inférieur en attendant la réponse de la sénatrice, toujours avec le flingue braqué sur ma tête . Je devais avoir une drôle d'allure, avec mon jean déchiré, ma chemise turquoise et ma ceinture en cuir et mes converses militaire, pas vraiment les habits d'une fille de sénateur et d'avocate .

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Vanalla était assise à son bureau depuis plusieurs heures déjà. Le soleil qui traversait les vitres ne faiblissait pas malgré le temps qui s'écoulait.
La quantité de dossiers qui s'entassaient rendait le Sénateur Jackson complètement folle : elle ne comprenait pas comment il était possible d'accumuler autant de papier. Elle n'avait pas le temps de s'occuper d'un dossier que trois autres s'ajoutaient déjà au total ! Un vrai calvaire !
Dans leur grande majorité, toutes ces affaires ne présentaient qu'un intérêt réduit - voire aucun intérêt du tout - et ne faisait état que de querelles philosophiques de vieux politiciens sur le retour, plus préoccupés par leur propre sort que par les intérêts de la Nation et de leurs concitoyens. Vanalla n'était pas bien différente : elle voyait surtout son intérêt mais contrairement à tous ces débris, elle ne cherchait pas à rendre publiques ses querelles politiques.

Le dossier qu'elle venait de saisir et qu'elle avait ouvert devant elle était encore un exemple de cette dérive du Sénat : il s'agissait d'un rapport de 200 pages (à vue de nez) pondu par le Sénateur Wilson et qui n'était rempli que de lieux communs, d'a priori, et se contentait de soulever des problèmes (qui n'en étaient pas vraiment) sans même prendre la peine de proposer des solutions. Un ramassis de conneries !

Van fut interrompue : quelqu'un était venu frapper à sa porte. Elle était soulagé car cela lui donnait une bonne excuse de sortir la tête de sous ces piles de déchats ! Après qu'elle eut indiqué à ladite personne d'entrer, elle s'aperçut qu'il s'agissait de sa secrétaire qui venait lui annoncer une vidéo conférence avec... le Sénateur Wilson justement !

"Madame, le Sénateur Wilson aimerait avoir une vidéo conférence avec vous..."

Le Sénateur Jackson leva les yeux au ciel. Le calvaire recommençait...

"Ce vieux pervers n'arrêtera donc jamais ! Passez-moi l'appel Susan. Je vous remercie."

Si Van se permettait d'appeler le Sénateur Wilson un pervers, c'était qu'il avait, à maintes reprises, tenté de la séduire (de manière peu élégante) et chaque fois, elle l'avait aspergé de phéromones qui l'avaient sérieusement calmé !
Vanalla adressa un léger sourire à son assistante. Elle parlait devant cette dernière comme devant quelqu'un de confiance, n'hésitant pas à insulter les autres Sénateurs sans même s'inquiéter de Susan qui était totalement dévouée à sa cause...
Une fois que cette dernière eut quitté la pièce, Vanalla se tourna vers son écran. Le visage du Sénateur Wilson apparut. L'homme était âge de 72 ans, plutôt mal conservé, une longue mèche de cheveux blancs rabattus sur sa tête pour camoufler une calvitie plus qu'avancée et un regard de porc mal camouflé par des petites lunettes qui n'arrangeait rien à ce regard mais le rendait, au contraire, plus malsain...

"Sénateur Jackson... Content de vous voir enfin. Mes deux derniers appels ont été infructueux et je..."

"Mon assistante vous l'a dit je n'étais pas disponible ! Je travaille également. Contrairement à ce que vous semblez croire, l'oisiveté n'est pas une activité à laquelle j'aime m'adonner. Si nous en venions au fait !"

Malgré le ton sec et froid de Vanalla, le Sénateur Wilson ne semblait pas se calmer. La Sénatrice savait déjà où tout cela allait finir car il ne l'appelait finalement que pour s'exciter devant un écran de télévision, en regrettant de ne pouvoir la serrer contre lui.
A cette pensée, Vanalla détourna son regard de l'écran, dégoûtée.

"Vous me voyez au regret de ne pouvoir être là en personne Sénatrice..."

"...Teur ! Sénateur Jackson ! Dites-moi Wilson, vous m'avez appelé pour me faire la cour une fois de plus ou avez-vous cette fois ne serait-ce que l'once d'un sujet sérieux dont vous aimeriez vous entretenir avec moi ?"

"Avez-vous reçu le rapport que je vous ai fait parvenir ?"

"En effet oui, je m'apprêtais à le transmettre à mon assistante afin qu'elle s'occupe de le détruire."

Vanalla avait toujours su garder son franc-parler, en particulier face à des gens comme Wilson ! Elle ne supportait pas son regard et prenait un malin plaisir à écourter leurs entretiens (même téléphoniques). Elle savait comment jouer avec les gens et ce Wilson était une victime facile.
Lui annoncer qu'elle voulait se débarasser de son rapport fit sortir le Sénateur Wilson de ses gonds et ce dernier interrompit la communication après avoir adressé quelques mots d'au revoir à la Sénatrice.

Vanalla décrocha son téléphone et composa le numéro du poste de Susan.

"Susan, nouvelle politique du bureau : je ne prends les vidéo conférences que sur rendez-vous ! En particulier lorsqu'il s'agit du Sénateur Wilson... Merci Susan."

A partir de ce moment, les évènements s'enchainèrent très vite sans que Vanalla n'ai le temps de comprendre grand chose : le vase posé sur une table qui trônait au milieu du bureau tomba à terre. Bien entraîné, le garde du corps qui surveillait l'entrée du bureau entra en un quart de seconde.
A la surprise du Sénateur Jackson, une fille, très jeune apparemment, se trouvait dans le bureau et son chien de garde la mettait enjoue.
La femme sortit à son tour de ses gonds ! Elle comprenait l'intérêt de préserver sa sécurité mais ça allait peut-être un peu loin. Saisissant l'épaule de Gary, elle le tira vers l'arrière.

"Laissez-la ! Lâchez-la Gary ! Vous êtes cinglé ou quoi !? Non mais regardez-la, elle à peine 15 ans !"

Malgré l'ire de Vanalla, Gary ne lâchait pas Iris.

"Sauf votre respect Sénateur, on me paie pour vous protéger. Comment cette fille apparemment si innocente est-elle entrée ici sans qu'on la voit ? Moi je ne lui fais pas confiance, c'est peut-être une mutante au service de Magneto, ça ressemble assez à ses méthodes d'envoyer de gamins dévoués à la mort !"

Gary était lui-même un mutant, tout comme Susan d'ailleurs. Vanalla le savait et avait mis un point d'honneur à les avoir avec elle. Eux, par contre, n'étaient pas conscients de la condition du Sénateur.
Elle les avait choisi pour leurs dons spéciaux : Susan avait un don qui la rendait plus qu'intelligente, elle était capable de mémoriser n'importe quoi. Et Gary avait une force et des réflexes surhumains !

"Gary, je ne laisserai pas la paranoïa s'emparer de ces lieux. Allez ! Laissez-la. Et sortez, je m'occupe de ça."

A contre-coeur, le garde du corps quitta la pièce. Il ajouta qu'il était devant la porte en cas de problème. Vanalla le remercia et se tourna enfin vers Iris.

"Alors petite... Qui es-tu...?"

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(HRP : J'écris à partir de maintenant avec "elle" et plus "je")

Le garde du corps la relâcha à contre cœur et sans alla . La sénatrice la regarda et lui demanda qui elle était . Facile, elle était la fille du sénateur qui avait eu se bureau avant mais elle n'allait pas le dire . Enfin elle allait dire que l'essentiel :
_Je m'appelle Iris ! Iris Shendo !
Elle regretta d'avoir donné son nom, mais il était trop tard . Elle commença brusquement à avoir peur . Pourquoi ? Elle ne le savait pas pourquoi elle avait peur . Elle reprit avec difficulté son calme, on aurait dit que l'on lui avait imposé cette peur . Elle regarda dans les yeux de la sénatrice, et resta la, en silence à la regarder attendant une réponse du directeur .
Le téléphone sonna, il y avait écrit "Sénateur Wilson" . Encore ce type ! Mais qu'es qu'il voulait au sénateur ? C'était du harcellement ce qu'il faisait .

Spoiler:

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Vanalla imprima bien le nom de la fillette. Elle n'aimait pas la paranoïa de Gary mais cela ne l'empêchait pas d'assurer ses arrières. Elle s'appelait donc Iris Shendo... L'espace d'un instant le Sénateur eut l'impression que ce nom lui disait quelque chose mais c'était une idée stupide si l'on considérait l'âge de cette fille.
L'attention de Jackson se reporta sur Iris. Alors qu'elle allait ouvrir la bouche, son écran afficha une nouvelle demande de téléconférence. Marchant vers son bureau, elle dit à Iris :

"Pourquoi tu ne t'assieds pas dans le canapé Iris, je suis à toi dans une seconde..."

Vanalla se dirigea vers son bureau, décrocha le téléphone et appela le poste de Susan. Après un échange rapide, elle demanda à son assitante de faire changer le numéro d'appel vidéoconférence et refusa l'appel de Wilson. Elle raccrocha le combiné et rejoignit Iris dans le canapé du bureau.

"Alors Iris, dis-moi, je suis curieuse... Que fais-tu dans mon bureau...? Et plus important, comment y es-tu entrée ?"

Vanalla n'avait rien de naïf et elle se doutait bien que la fille n'était pas arrivée là aussi facilement... Elle cachait quelque chose et la Sénatrice allait découvrir ce dont il s'agissait. Elle emplit l'air de phéromones destinée à favoriser la confiance que lui accordait Iris...

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Iris eu soudainement confiance en le sénateur, alors elle décida de tout lui avouer :
_Je ... je suis arrivée par le passage secret derrière votre bureau...dit elle
Elle savait que cela éveillerait de la curiosité du sénateur, car se passage était connu de seulement des sénateurs qui avaient été en fonction ici, et du sénateur en fonction, donc le sénateur Jackson, et son père et d'elle car quand son père était encore là elle aimait arriver par là, pour faire une surprise à son père :
_Pour répondre à votre première question je suis venue voir l'ancien bureau de mon père que vous occupez maintenant !
Elle baissa la tête et attendit la réponse du sénateur, même si elle avait confiance en le sénateur, elle ne savait pas comment réagirait le sénateur après ses réponses. Elle avait évité de parler de son pouvoir d'invisibilité car elle ne savait pas si le sénateur aimait les mutants ou pas.

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