Un petit rouge pour la route [libre]

Trois semaines, trois longues et ennuyeuses semaines que Scott tournait en rond dans l'institut. Il avait beau essayé de s'occuper l'esprit en lisant en faisant du sport en essayant de suivre les cours, mais il avait abandonné cette derniére activité, car les cours étaient pour des personne sortant du lycée, lui c'était arrété au collége. Finalement en plein milieux d'un court sur la communication iconographique byzantine, il avait pété un cable et sortie en trombe.

En farfouillant dieu sait ou il avait déniché ce que les éléves appelés un camouflage holographique. Sa se porte comme une montre et sa donne l'impression que l'on a apparence humaine. Il appuyat sur le bouton et se regarda dans le miroir, c'était horrible il ressemblait a "La boule" dans Fort Boyard, mais en plus jeune. Bizarrement il se sentait plus mal à l'aise sous apparence humaine que sous sa véritable apparence.

Mais baste il enfila un moto et descendit en ville. Quelque minutes plus tard, aprés avoir échangé quelque rubis contre de l'argent, il pénétra dans un bar de NY, le "Maules Bar". Le nom qui voulait dire Taupe en anglais lui avait tapais snas l'oeil en tant qu'ancien mineur.

L'ambiance a l'interieur était plus tôt bonne, un brouahaha d'ambiance, des gens en costumes qui devait sortir du bureau, d'autre en habits de soirée qui se préparait a sortir et d'autre habillé détendus qui buvait un coup entre amis. Des jeunes, des vieux, tous mélangés.

Scott se posa sur une table libre, la chaise grinça, il avait beau avoir apparence humaine son poid lui ne changeait pas. Il resta a demis en suspencion pour eviter de péter la chaise. Une serveuse vint le voir, elle déposa une assiette de cacahuéte. Scott commanda un pichet de biére. Quelque minutes plus tard elle revint. Scott bu directement au pichet et savoura le liquide.

Haaaa putain sa faisait longtemps !!!

Il se détendis un peu et promena son regard sur la clientéle du bar. Se laissant lentement allez a la rêverie.

M’enfuir, foutre le camp, c’est tout ce que j’avais en tête. Cette école allait me faire exploser. Me contenir, moi, dans un environnement aussi exiguë alors que quelques jours auparavant je me promenais de New-York à Los Angeles, dans une chasse perpétuelle et excitante. Maintenant j’étais enfermé comme un enfant chez ses parents, comme un animal dans une cage, comme un homme que l’on torture comme l’on m’avait torturé. Non, je ne pouvais plus le vivre, cette école allait me démolir. Il y avait bien là quelques personnes de sympathique mais ça faisait déjà un moment que j’avais quitté Kaoru et Léna et je m’ennuyais d’eux. J’avais envie d’aller les retrouver. Je savais que je n’étais pas sensé parcourir ce genre de cartier, je risquais bien trop d’en revenir à mes anciennes habitudes, mais c’est le chemin le plus rapide pour l’endroit ou ils se cachaient il n’y a pas si longtemps.

Je sortis de la petite ruelle, suivis par quelques brigands de bas étages qui n’avaient pas eu la chance de me sauter dessus. Je traversai la grande rue et me dirigea vers le bar pas très loin. Ce n’était pas un bar de fond de ruelle, non, il était plutôt joli même. Pas la grande classe quand même mais bon. Je me fis remarquer quand même assez vite, les gens avec des habits blancs se font toujours regardés étrangement. Je me dirigeai sans attendre vers le barman qui souria en me voyant arrivé.

- Tiens tiens, il n’y avait que toi que je n’avais pas revu depuis la dernière fois. Quand Kaoru et Léna sont revenu seul je me suis posé des questions mais là tout vas mieux à ce que je vois.

- Ouais, sauf pour Jake.

- Il n’avait pas l’air si mal la semaine passé.

Je figeai, pas l’air si mal la semaine passé? Il n’était pas mort? Je fis ce que je peux pour réprimer mes émotions, pour cacher le mélange de terreur et de joie qui me courrait dans le cœur. Ce mec c’était littéralement fait exploser dans un bâtiment de plusieurs dizaines d’étage pour abattre l’enfant de chienne qui m’a coupé un bras, comment aurait-il put y survivre? Non, ça devait être une erreur ça ne pouvait être que lui qui c’était trompé, jamais Mayhem n’aurait survécu à cela, il était si faible. Enfin faible, il le semblait en tout cas. Je me retournai, le bar était bondé, il y avait bien une table ou il n’y avait qu’une personne mais ce que je vis me fit presque oublié mon ami qui revenait des morts. Il y avait assis là un mutant avec une aura étrange.

Comment un type aussi énorme pouvait passer inaperçu à travers une foule humaine? Je baissai mes lunettes un instant, pris d’une idée subite. Le corps rouge laissa place à un corps humain. Un hologramme. Voilà qui expliquait tout. Je remontai mes lunettes sur mon nez et le mutant fut à nouveau dévoilé. C’était un truc que j’avais développé alors que je chassais un autre mutant ayant le même pouvoir que moi et qui c’était justement fait un système holographique. Il a été plutôt, disons, surpris quand j’ai été le voir alors qu’il avait les traits d’une femme.

Comme je l’avais fait ce jour là, je m’approchai directement de la table du mutant caché et je m’y assis pour l’observer un instant. La dernière fois je lui avais juste demandé s’il connaissait Sword, aujourd’hui je sais que tout est beaucoup plus subtil. Une petite voix me fit remarquer que là je faisais des conneries car ce type était fait en pierre et que moi, la seule chose que je savais faire, c’était tiré sur les autres, mais cette petite voix était, ma foie, plutôt faible et j'avais vraiment besoin d'oublier Mayhem.

- Toi je ne sais pas qui tu es, mais je sais ce que tu es. Une question, la suprématie de l’Homo Superior ou l’égalité entre les espèces?

Il répondait l’égalité, je lui sourie et je lui tend la main. S’il dit autre chose je me barre à la course.

Scott buvait tranquillement son piché de biére, manger ses cahuétes et profitait de se moment de détente qu'il n'avait pas encore connue depuis son arrivé a l'institut. Il c'était placé en face de la fenêtre, il aimait bien regarder les gens passer dans la rue quand il était dans un bar ou un restaurant.

Avec son hologramme personne ne semblair faire attention a lui. La cloche fixé sur la porte de l'entrée tinta. Un type en blanc pénétra dans le bar. Fait notable il était entiérement habillé en blanc et semblait avoir un probléme avec un de ses bras. Mais Scott ne s'en occupa pas. Il avala une nouvelle gorgeé de biére et mangea un cahuétes.

Mais son point de vue fut gaché par le nouveau venu qui se posa en face de lui. Et lui parla doucement mais avec autorité.

Citation :: - Toi je ne sais pas qui tu es, mais je sais ce que tu es. Une question, la suprématie de l’Homo Superior ou l’égalité entre les espèces?

Une pensée traversa le cerveau du colosse de pierre :" Ô cruauté de l'existence qui est la mienne. Ô malveillence du destin qui n'empêche de trouver en ce monde froid un hospice de douceur ou ma condition malheureuse n'est pas jeté en pature aux chiens assoiffé de mal. Toi paladin de mauvaise augure que viens-tu faire ici, porter l'indigne discour de la vérités." Il synthétisa cette pensé profonde en un discour tout aussi beau.

Hé merde.

Il souffla puis avala une nouvelle gorgeé de biére, plus longue en fait il vida le reste du piché et le reposa sur la table.

Je viens de la grosse baraque tenus par un chauve sur les hauteurs de la ville. Mais je fait surtout partie de ce qui veulent boire un coup tranquillement sans se faire déranger par des types bizarres qui chercerais des noises.

Il lacha ensuite un rot tonitruant qui fit retourner quelque clients et recommanda un pichet de biére.

Et toi tu es qui?

Hé merde.

Héhé, j’adore. Je ne sais pas pourquoi mais j’ai toujours aimé lorsque ma présence avais ce genre de répercussion. Non pas que je sois un fauteur de trouble, non. En faites, à moins que je n’ai affaire à un des White Blood ou à un confrériste, je préfère me tenir à l’écart des batailles. C’est juste que j’adore lorsque ma présence apporte une certaine surprise. Non mais c’est vrai, c’est dans ce temps là qu’une bonne partie des menteurs se plantent et sont dévoilés. Lorsqu’il avala le reste du pichet, je me dis qu’il allait être rudement bourré après tout ça mais au fodn ,c’est vrai qu’il avait de la place pour entretenir toute cette alcool.

Je viens de la grosse baraque tenue par un chauve sur les hauteurs de la ville. Mais je fais surtout partie de ceux qui veulent boire un coup tranquillement sans se faire déranger par des types bizarres qui chercheraient des noises. Et toi tu es qui?

Je souris, il n’était pas l’un d’entre eux et c’était tant mieux, je n’avais pas envie de devoir m’expliquer avec Xavier, et puis comment peut-on s’expliquer avec un télépathe qui sait pertinemment que tu essais de lui mentir. Je déteste les télépathes qui se servent de leurs pouvoirs sur moi, mais au moins, lui, il était sympa. Lorsque le nouveau pichet de bière arriva, je proposai au serveur de le mettre sur ma note personnelle. Le serveur partis en demandant si Lucifel n’avais jamais eu une note tout en rigolant. Oui C’est vrai, il avait payé il y a bien longtemps sont dut au propriétaire.

- Si tu es de l’institut alors c’est tant mieux, je n’aime pas les confréristes et les autres membres de groupes extrémistes du genre et je n’accepte pas qu’ils viennent jouer à mes endroits préférés. Je suis Lucifel, je suis nouveau à l’institut. C’est ici que je vivais il n’y a pas si longtemps. Enfin au deuxième étage, mais tout l’immeuble appartient au patron du bar depuis que je lui ai offert. Si tu veux quoi que ce soit, sert toi, c’est gratuit. J’ai l’impression que je ne suis pas tout seul à en avoir ras-le-bol de l’institut. Non mais c’est vrai. C’est bien joli comme ça en apparence mais sa reste une école et je l’ai quitté il y a bien longtemps pour entrer dans une vie bien plus excitante. Si ce n’étais pas que j’ai fini par comprendre que le nombre faisait la force, je continuerais en solo. Surtout que ces derniers temps, j’ai pas l’impression que faire partie de l’institut n’est d’aucune utilité. Je ne vois pas comment on va pouvoir stopper la confrérie si eux s’entraînent continuellement alors que nous, nous étudions.

Je regardai par la fenêtre, au loin, il manquait un immense bâtiment qui avait explosé quelques semaines auparavant à cause d’ « une fuite de gaz » selon l’histoire officielle. C’était pourtant Mayhem qui avait fait cela. Il avait réussi à faire exploser un building entier et là, il serait encore en vie. Je me rappelai l’explosion et tout ce qui m’entourait à ce moment là, quelques secondes avant que je ne parte seul et quelques heures avant que je ne tombe sur une petite fille mauve. C’était étrange d’être ici en ce moment. Pourquoi étais-je rester à New-York alors que le plan était clair, nous devions nous rejoindre au New-Jersey, puis vers Seattle avant de choisir une nouvelle direction aléatoire pour semer les poursuivants. Je me retournai brusquement alors qu’un homme déjà saoul entrait dans le bâtiment, j’avais eu peur un instant, que ce soit un mutant qui voulait ma peau.

Si tu es de l’institut alors c’est tant mieux, je n’aime pas les confréristes et les autres membres de groupes extrémistes du genre et je n’accepte pas qu’ils viennent jouer à mes endroits préférés. Je suis Lucifel, je suis nouveau à l’institut. C’est ici que je vivais il n’y a pas si longtemps. Enfin au deuxième étage, mais tout l’immeuble appartient au patron du bar depuis que je lui ai offert. Si tu veux quoi que ce soit, sert toi, c’est gratuit. J’ai l’impression que je ne suis pas tout seul à en avoir ras-le-bol de l’institut. Non mais c’est vrai. C’est bien joli comme ça en apparence mais sa reste une école et je l’ai quitté il y a bien longtemps pour entrer dans une vie bien plus excitante. Si ce n’étais pas que j’ai fini par comprendre que le nombre faisait la force, je continuerais en solo. Surtout que ces derniers temps, j’ai pas l’impression que faire partie de l’institut n’est d’aucune utilité. Je ne vois pas comment on va pouvoir stopper la confrérie si eux s’entraînent continuellement alors que nous, nous étudions.

Scott écouta le discour de son interlocuteur forcé. Il se currait l'oreille en même temps et buvait sa biére. Il comprenait rien a cette histoire de confrériste, sa faisait a peine un moi qu'il était a l'institut en provenance directe de son Montana natale. Il se présenta sous le nom de Lucifel, c'était quoi se nom; on dirait celui d'un chanteur de métal ringard, pensa Scott. Son oreille fut plus attentive quand il lui offrit de boire a volontée dans ce bar. Scott eu un rictus au coin de la lévre.

Ha si tu me laisses faire, cet endroit sera a cour de liquide dans la prochaine demie-heure. Puis mon pére me disait toujours "Si on t'offre un verre, c'est qu'on en veut a ton amitié, si on t'en offre deux c'est qu'on en veut a ton portefeuille et si on t'offre autant d'alcool que tu veux, c'est a tes fesses qu'on en veut

Scott ne mentait qu'a moitié, il pouvait être bourré ( et alors gare a celui qui lui dirait un mot de travers), mais sa prenait du temps, beaucoup de temps et cela demander aussi beaucoup d'alcool.

Moi c'est Scott, Scott Hart, mais on m'appel Big Red, je viens du Montana. C'est vrai qu'elle est bien jolie leur école, mais bon si t'es pas éléve tu te fait chier comme un rat mort au milieu du desert, j'ai tellement visité ce truc que je connais même la place des grains de poussiére.

Il avala un nouvelle goulée de liquide. Puis tendis le pichet a Lucifel pour qu'il se serve.

J'ai été mineur de fond pendant 10 ans, dont 9 sous cette forme, c'est pas aprés cela que je vais me poser le derriére dans un chaise et écouter un vieux me parler des formes de conjugaison, mais a la fermeture de la mine, c'était ou suivre mes vieux en Californie et resté cloitré dans la maison pour eviter de faire peur au gens, ou l'institut.

Il attrapa une poigné de cahuétes et les engoufra dans sa bouche.

Je me suis dit que faute de Grives on mange des Merles etm e voila ici. Pour ce qui est de tes confréristes, je ne sais pas qui ils sont, mais s'ils veulent venir foutre le bordel, c'est avec plaisir que je les prendrais....Au moins sa trompéra l'ennuie.

Scott regarda aussi l'ivrogne entrer. Il devait en tenir un sacrée couche, parceque c'est a peine s'il arrivait a tenir debout.

En voila un qu'en tiens une sévére.

À tes fesses? Non non, je te les laisse. N’empêche, il me fait bien marrer ce type. Scott donc. Oh c’est génial, enfin quelqu’un qui me donne son prénom sans rechigner. N’empêche que moi je lui ai donné que mon second nom. Je devrais le lui dire, c’est déjà assez rare que je le fait à qui que ce sois mais habituellement on ne me l’offre pas non plus alors. Peut-être que ca serait irrespectueux de ne pas le dire. Du Montana? Jamais aller. Je m’en suis tenu à des grandes villes durant ma carrière. Enfin, excluant les banlieues les environnants. Comme ça, il n’était pas élève en plus. J’ignorais même que l’on pouvait éviter les cours. Faudrait que j’en parle avec le prof. Ça m’emmerde les cours de mécanique quand tout ce dont j’ai besoin c’est de lire un livre une fois.

- Faute de Grives on mange des Merles? Je ne l’avais jamais entendue celle-là. Comme ça tu as travaillé dans les mines? Je paris que tes patrons devaient bien t’aimer. Un mec de ta carrure ça doit pouvoir faire le travail de plusieurs personnes en même temps. Des fois que tu voudrais le savoir, mon nom de naissance est Alex, Alex Harvey pour être précis. Et oui, la confrérie va venir chercher le bordel. J’ai déjà hâte de voir ça moi. Les éliminer a été mon travail suffisamment longtemps pour m’ennuyer de toute cette action.

Il y avait quand même un défaut à ce genre de travail. Après tout, on apprenait vite à devenir tout particulièrement paranoïaque pour éviter de ce faire prendre par derrière alors qu’on ne s’y attend pas. J’avais déjà fait le tour des miroirs visibles de là ou j’étais et j’arrivais à voir n’importe quel coin du bar. En ce moment d’ailleurs, il y en a un qui m’intéressait particulièrement. Il y avait 3 personnes assises à une table dans un coin sombre et l’un d’entre eux ne semblait pas avoir d’iris mais me fixait quand même. Je n’aimais vraiment pas ça. Peut-être que ce n’était qu’un aveugle mais je préférais rester prudent

- Ouais, par ici on en voit souvent. Le patron va le virer assez vite. Il n’aime pas ceux qui arrivent ici complètement bourré, prennent une ou deux bières puis disparaissent une heure dans les toilettes. Si tu vois ce que je veux dire. Alors dis-moi, tu as des plans pour l’avenir ou tu as juste l’intention de traîner à l’institut en attendant de voir ce qui va se passer? Parce que si là tu t’ennuie, je n’oserais pas imaginer ce que ce sera dans 2 ou trois ans. Quoiqu’avec ce genre d’hologramme, tu devrais pouvoir tromper tout le monde et reprendre un travail normal. Tu l’as trouvé ou d’ailleurs? À moins que tu ne l’aie construit. Vois-tu, j’ai un don avec la mécanique mais je n’ai jamais observé un véritable système holographique et je dois admettre qu’il me tente vraiment beaucoup. Peut-être qu’un fois à l’institut…

HJ : J’ai ouvert la voie à une petite bataille mais c’est à toi de voir ce que tu as envie de faire ^^

Citation :: - Ouais, par ici on en voit souvent. Le patron va le virer assez vite. Il n’aime pas ceux qui arrivent ici complètement bourré, prennent une ou deux bières puis disparaissent une heure dans les toilettes. Si tu vois ce que je veux dire. Alors dis-moi, tu as des plans pour l’avenir ou tu as juste l’intention de traîner à l’institut en attendant de voir ce qui va se passer? Parce que si là tu t’ennuie, je n’oserais pas imaginer ce que ce sera dans 2 ou trois ans. Quoiqu’avec ce genre d’hologramme, tu devrais pouvoir tromper tout le monde et reprendre un travail normal. Tu l’as trouvé ou d’ailleurs? À moins que tu ne l’aie construit. Vois-tu, j’ai un don avec la mécanique mais je n’ai jamais observé un véritable système holographique et je dois admettre qu’il me tente vraiment beaucoup. Peut-être qu’un fois à l’institut…

Scott regarda son projecteur holographique qui ressemblait a une montre. C'est vrai que ce truc pouvait faire des miracle, mais le mutant n'avait aucun qualification qui lui permettait de postuler pour un quelconque boulot. Il avait était mineur et ne connaissait que cela. Ha si déménageur a la limite ou docker, mais sa lui disait rien, du moins pour le moment. Lucifel qui maintenant se présenter sous le nom de Harvey regardait vers une autre table avec insistance, Scott se retourna aussi pour voir le groupe avec un mec qui n'avait pas d'yeux.

Faut pas être parano, non plus. Pour ce qui est de trouver du boulot, je sais pas. J'ai pas mal d'argent de côté, si j'en ai besoin je peux toujours revendre un ou deux rubis. Pour ce qui est du machin chouette holographique je te le passerais volontier en rentrant. Pour être honnête je me sens bizarre comme ça, j'ai pas l'impression d'être moi.

Il s'apprétait a dire autre chose quand des éclats de voie se fire entendre. L'ivrogne de tout a l'heure devait avoir fait une crasse au bar, car un client le poussa violement et il s'étala au pieds de la table du groupe au gars sans pupilles. Un des membres du groupes l'empoigna durement.

Fait attention espéce d'éponge !!

Et vlan il le rebalançat en plein sur le dos de Scott, le choc lui fit percuter son pichet et renversé le contenut sur lui. Il se leva promptement pour apprécier les dégat sur ses vêtements.

Et merde !!! Mais c'est pas vrai d'être aussi con !!!

Il empoigna l'ivrogne, bien décidé a lui foutre une tanné, tout le monde dans le bar c'était retourné vers lui. Quelque rires guoguenard, Scott laissa tomber l'éponge a alcool et marcha jusqu'a la table sur laquel il abattit sa grosse main, dans un bruit d'enfer.

J'peux savoir ce qui fait autant rire la bande de buveurs lait que vous êtes ? Vous venez de vous vous voir dans une glasse c'est ça ?

Ha une bonne bagarre, voila qui le distrairer, en plus ici personne ne le connaissait, il pourrait donc taper sans retenus, dans son village minier, a chaque bagarre tout le monde se mettait de son côté a chaque fois, de peur de s'en prendre plein la gueule et du coup il y avait jamais de bagarre.

Quand je vis le buveur frapper Scott je bondis de ma chaise rapidement alors qu’il s’affalait dessus, incapable de se retenir à quoi que ce soit. Je levé les yeux vers Scott pour le voir se diriger vers la table des emmerdeurs qui nous avaient envoyé ce paquet cadeau pas trop utile. Je décidai d’observer de loin, la main dans mon veston, les doigts touchants la poignée de mon arme. Si besoin était, je serais prêt à agir à toute vitesse. L’homme aux yeux vides fixait bêtement Scott. Je n’aimais pas ça car il n’ouvraient pas la bouche et semblait avoir besoin de ce contact. Comme un télépathe de bas niveaux. Un télépathe. Je compris alors ou j’avais rencontrer auparavant ce petit trio.

Trois ans auparavant, le gars de droite m’avais foutu une lance d’os juste un peu plus loin que mon bras mécanique commençait. Lui, c’était le Porc-épic que je l’appelais. Celui de gauche contrôlait l’électricité. Ce qui n’avais pas à inquiété Scott plus que l’autre minable. Le troisième avait un don un peu plus étrange que la télépathie. Il transférait les pensées mais ne les lisaient pas. Il ne pouvait que les transmettre à d’autre. Il était doué dans son genre. Il ne fixait pas Scott, il était simplement concentré. Il devait échanger les pensées de ses mais en plus, leurs permettant d’être parfaitement coordonné. Ces types étaient des malades. Ils allaient vouloir se battre. Je me dirigeai vers la table à mon tour.

- Le porc-épic, la prise électrique et le pseudo-télépathe. Ça fait bien trois ans que je ne vous aie pas vu. Vous auriez mieux fait de rester cacher dans votre trou. La dernières fois vous m’aviez bien eu, mais la je doute que ça se passe de la même façon. Je vais quand même être sympathique avec vous ou Xavier vas me piquer une colère infernale. Foutez le camp maintenant et ne revenez plus jamais. Ne chercher pas la bataille, ou vous n’en sortirez pas indemne.

- Tu as de jolis noms pour nous, Lucifel, dis le télépathe. Tu étais aussi bavard à l’époque. Mais je doute que tu ne puisses nous avoir maintenant avec l’aide de ce pauvre type, même si je n’arrive pas à manier ses pensées.

L’hologramme? Est-ce que ça pouvait être le truc qui l’empêchait d’arriver à ses fins. Peut-être!

- Oh allez mon choux, viens voir papa si tu tiens à avoir un bisou.

Le porc-épic déploya alors quelques jolis bouts de lances sur ses épaules et ses avant-bras. La prise électrique pouffa de rire et déploya des arcs-en-ciel électrique autour de ses points. Les humains disparurent en vitesse de la place. Le patron sortis aussi, sachant qu’il ne voulais pas être là quand ça allais péter, mais espérait profondément que son bar allait rester en état.

HJ: Tu peux les déplacer et les tapper comme tu veux, j'ai pas l'intention de jouer au modérateur de ces trois là Razz

, gardes les simplement en vie ^^

Pauvre type, ce mec avec les yeux de fromage blanc, le traiter de pauvre type. Et en plus les deux autres la pile electrique et le porc épique semblait trouvait cela trés drôle. Lucifel semblait les connaitre, et ne pas les porter dans son coeur, et en plus tout le monde a part eux avait dégageé vite fait du bar. Tout était parfait. Scott recula et marcha calmement jusqu'a une chaise, il enlevat sa veste, puis sa chemise il se dirigeat ensuite deux nouveaux vers les trois rigolos. La pile electrique le regarda.

Tu nous fais quoi la, un strip-tease gros tas.

Scott afficha un grand sourire et montra le projecteur holographique au trois personne.

Ceci messieur est un gadget trés amusant, regardait ce qui se passe quand j'appuie sur le petit bouton.

Scott désactiva le projecteur holographique, et sous les regard médusé il apparut sous sa véritable apparence, un énorme colosse de couleur rouge fait entiérement de rubis, capable de soulver 3 tonnes et passablement enervé. Il tapa violement ses deux poings l'un contre l'autre.

Surpris bande de bouffons

Sans autre répartit il attrapa le porc-épique et le souleva comme un fétu de paille et le balançat par-dessus le bar. Il percuta les bouteille avant de s'écraser au sol dans un fracas de verre brisée. La pile electrique se ressaisit et fonça vers Scott, son poing chargé au maximum, Scott se retourna au même moment et le pong de la pile electrique percuta l'abdomen de Scott et libéra son éléctricité. Il afficha alors un large sourrir certain d'avoir mis le colosse au tapis. Mais il leva les yeux et vis que Scott soupirait en agitant la tête.

Electocuté de la pierre. Tu devais être fort en physique toi.

Sa main de roche rouge partit violement du haut vers le bas en mettant un maximum de poussée, ce fut surement l'une des baffes les plus puissante de l'histoire. La pile décolla percuta le plafond et passa au travers d'une table en bois. Scott était un peu déçue qu'ils ne soient pas plus énergique. Il se retourna pour s'occuper du dernier qui tentait d'atteindre la porte du bar a quatre pattes. Scott tendis la main, il mit ses doigts comme si c'était un pistolet, une rafale de bille de rubis partit comme des balles pour se ficher juste devant le télépathe.

Ou tu vas toi ?

Il se tourna ensuite vers Lucifel qui n'avait pas bougé.

Tu veux le finir ?

Bon d’accord, vous savez, voir quelqu’un massacrer du monde ça peut-être très drôle. Surtout quand celui qui massacre est seul contre trois. Mais là ce n’étais pas drôle. Non, il n’y a pas de mots suffisamment forts pour dire à quel point c’était comique. Ni a quel point je me tordais de rire. Non mais vraiment. Dès le moment où il a enlevé son hologramme je me suis mis à sourire. Mais quand il a appris à voler au porc-épic, c’était un rire franc qui c’était élevé. Quand à la baffe sur la pauvre prise électrique, elle me fit littéralement courbée en deux. Vraiment, comment dire à quel point je pouvais m’amuser de voir ces trois idiots qui m’avait causé de grave problème quelques années plus tôt être royalement terrassé par le colosse de rubis? Sincèrement, je ne vois pas.

Quand au dernier coup du colosse, il m’effraya un peu. Il pouvait même propulser une partie de son corps comme ça? C’est génial pour ses alliés, mais un problème assez incroyable pour ses ennemis. Le pauvre homme c’était alors arrêté net et retourné d’un air suppliant vers moi. Je ne sais même pas pourquoi je n’ai pas sortis mon arme pour le flinguer, là, maintenant. Ça a toujours été ce que j’ai fais. Ils étaient 5 à la base et j’avais tué deux de leurs amis sans le moindre remord. Mais voilà que je me surprenais à me dire que ce n’était pas nécessaire. Mes souvenirs de Niana ou l’idéologie de Xavier qui m’influençaient? Je n’en sais rien et, à vrai dire, je n’en ai pas grand-chose à faire.

- Non Scott, je ne crois pas que j’ai envie de lui faire quoi que ce soit. Nous sommes aussi bien de le laisser partir. Un être aussi pathétique que lui ne m’intéresse plus. Je dois admettre que c’est grâce à toi toutefois. Quoi que l’électrifié m’aurait pas fait grand-chose non plus. Laissons les partir plutôt. Qu’ils aient le temps de repenser à leurs actes. Avec un peu de chance, peut-être trouveront-ils le moyen de trouver le chemin de la gentillesse et de la bonté. Oui bon, pas nécessaire de rire hein. Ont peu toujours espéré que tes coups aient replacé leur cerveau déficient.

C’est là que j’ai entendu un rire. Mais non sans blague. Un rire. Le type que je protégeais c’était mis à rire. Je ne la comprenais pas parce que là, j’avais vraiment envie de le descendre. Jusqu’à ce que je comprenne pourquoi est-ce qu’il riait. Je regardai par la fenêtre du bar. Vous savez, à New-York, il y a pas mal de policier. Eh ben il y en avait pas mal juste devant l’endroit ou nous étions. Je dirais 7 voitures donc environs une quinzaine de policier armées qui pointaient leurs armes vers nous. Je ne doute pas un instant que Scott n’y voyait pas trop d’inconvénient en soit parce que les balles ne le blesseraient pas mais moi, je pourrais en mourir.

- Bon, et on fait quoi là?

Invité

Ça ne faisait pas super longtemps que Ray était arrivé à l’institue, à New-York ou même sur le continent d’Amérique. Depuis sa plus jeune enfance, il avait vécu sur l’autre continent, mais il faisait bon de revenir sur ses terres d’origines. Depuis un peu plus qu’une semaine, il était à l’institut à ne rien faire, il décida de se rendre en ville pour visiter. Il s’y rendit, puis il vit que les villes de Chien et les villes des Etats-Unis étaient totalement différentes, avec quelques petites ressemblances.

Il se promena dans la grande ville de New-York, vit quelque boutique de linge, avec plein de nouveaux vêtements qui sortait tout juste des nouvelles collections. Il tourna le coin d’une rue, et vit plusieurs voitures de polices, avec deux hommes, deux hommes qu’il avait déjà vus à l’institut. Il s’approcha vers les lieux du crime, et bien vite, il se fit intercepter par un policier.

-Vous ne pouvez pas passer ici monsieur.

-Mais monsieur, je les connais.

Biensur, ce n’était pas tout à fait vrai, il ne les connaissait pas, mais il savait qu’ils étaient de l’institut, et Ray voulait absolument aider ses confrères. Le policier continua de barrer la route à Ray, ce qui lui fit perdre patience. Il poussa violement le policier, se faufila entre les autres et se posta avec ces deux confrères de l’institut.

-Bonsoir les potes, vous vous êtes dans un sal pétrin hein. Alors je voulais vous aider, je sais que vous êtes de l’institut.

Il savait qu’une entrée comme celle-là se faisait remarquer mais Ray avait toujours la même aire, une aire de bœuf qui ne laissait jamais paraître ses peurs. Il se prépara à attaquer pour faire sortir ses amis de là. Il ferma les yeux pour mieux se concentrer, leva le bras, puis d’un coup, la terre se mit à trembler, les gens autour de lui commençaient à perdre pied et tombaient les uns après les autres. Puis après avoir fait cette vague pour déconcentrer l’ennemi, il se concentra et d’un autre coup, les autos de policier furent projeté dans toutes les directions. Ray rouvrit ses yeux et regarda les autres personnes qui étaient avec lui…

-Alors, on décampe avant qu’il se relève ?

Puis Ray commença à courir puis se prépara au cas ou les policiers rétorqueraient.

» Changement de route et prise de force (libre)
» Station de Car, Route 80, Des Moines, Iowa. [Libre]