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| Lore duval [terminé] | |
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Invité Invité
| Sujet: Lore duval [terminé] Sam 6 Juin 2009 - 15:08 | |
| [à terminer] Nom : Duval Prénoms : Lore Alias et Surnoms : Lorie (petit ajout qu’elle n’aime pas beaucoup) ou Libellule. Age ; Date de Naissance : 18 ans 15/07/1990 Genre : Féminin Clan : Neutre Pouvoirs (identifiez : passif/défensif/offensif) : Immixtion des songes type: Majoritairement passif puisque qu'il ne s'agit pas d'un pouvoir servant à attaquer ou à se défendre tel le ferait un bouclier psychique. L'immixtion des songes ou plus clairement projection dans les rêves peut se manifester tant dans un état conscience ou inconscient chez l'hôte dans le sommeil paradoxal. Contrôle des songesDans la zone de sommeil paradoxal, elle peut altérer le cours des choses, puisque la vic...L'hôte n'a aucun contrôle sur les images qui se succèdent, il ne peut donc pas les changer ou les interrompre. C'est dans ces moments-là qu'elle s'impose, dans le rêve paradoxal où elle devient alors le maître, puisque l'hôte n'est de ce fait pas en contrôle des évènements. Ainsi, elle agit sur le subconscient de la vic... de l'hôte en la guidant dans ses faits et gestes lors de cette phase de sommeil. Niveau de maitrise du pouvoir :Étant un pouvoir pratiquement que passif, elle ne peut pas toujours exercer celui-ci à volonté. Le champ d'action du pouvoir sera restreint à une seule personne à la fois et ne sera pas modifiable avant à moins d'avoir un élément externe altérant ses capacités à la hausse [cérébro ou une personne ayant les capacités d'augmenter la puissance durant un temps donné]. Évidemment, lorsqu'elle revient d'un moment d'absence (appelons les moments où elle est dans un songe ainsi), elle est affaiblie selon la durée de son absence. Elle est donc de retour de son "voyage" ramenant la fatigue qu'aurait éprouvé quelqu'un suite à une journée exigeante. Lorsqu'elle entre dans un rêve paradoxal, elle ne peut qu’exécuter des altérations mineures pour le moment, mais plus tard elle pourra diriger des faits plus grands et altérer complètement le rêve. Par contre, pour l'instant, elle n'arrive qu'à s'imposer dans le rêve d'autrui et se faire voir d'eux, mais aussi interagir avec le subconscient de ceux-ci, mais en aucun cas elle ne peut modifier l'univers spatio-temporel du rêve. Elle peut ainsi changer un objet ou en faire apparaître d'autres, ce dans l'univers généré par le subconscient de la personne, mais elle n'arrive pas encore à créer un univers complet, car ceci la fatiguerait beaucoup trop. Tout dépendant de la victime, elle aura une capacité de contrôle plus élevée, c'est-à-dire que si le rêve appartient à un taré de premier ordre, elle aura un contrôle plus complet que sur un mutant. Disons que son pouvoir sur le subconscient d'un mutant n'est pas total, à moins de connaître celui-ci depuis un certain temps. Pour pouvoir envahir le rêve de « X », elle doit tout d’abord se trouver dans un rayon de cinquante mètres carrés de celui-ci, mais aussi savoir son nom et l’avoir déjà rencontré. Elle ne doit pas nécessairement le connaître comme l’on connaît un ami ou une fréquentation de longue datte, mais plutôt l’avoir déjà croisée quelque part. Le champ d’action de son pouvoir est surtout de rendre un rêve plus réel en quelque sorte. Bien qu’elle blesse « X » dans son rêve, celui-ci ne seras pas blessé lorsqu’il se réveillera. Pour faire usage de son pouvoir, elle doit se focalisé sur la personne en question, cela uniquement si elle désire interférer avec quelqu'un. La plupart du temps, son pouvoir se manifeste durant son propre sommeil, avant le stade paradoxal.
Dû à son pouvoir, il lui arrive de pouvoir contrôler ses propres rêves et ce sans s'épuiser. Elle le fait souvent lorsqu'elle ressent le besoin de s'évader de ce monde. Liens entre les deux pouvoirs: Le monde des rêves! {je ne vois pas comment expliquer plus clairement}Description physique : Elle mesure environ 1m53 et fait près de 58 Kg, un poids plutôt santé, mais elle a un complexe sur celui-ci tout de même. Pourquoi tant de complexe, car elle aimerait bien être un peu plus…Mince? Disons qu’elle voudrait un ventre plus ferme, des cuisses fermes et tout le reste modelé comme une photo bien modifiée comme on en voit dans les revues. Bien que son visage ne soit pas si rondelet que cela, il n’est pas à son goût un point c’est tout. Elle a pour ainsi dire un petit problème d’anorexie, mais pas énorme, car elle n’est pas du genre à se priver de manger longtemps. Au milieu de son visage trônent deux yeux d’un bleu-gris plus ou moins foncé selon ce qu’elle porte puisqu’ils sont pers. Fait intéressant, plus on regarde vers le centre de ses yeux, plus la teinte dégrade vers un bleu-vert pâle. Ses cheveux sont d’un brun-châtain clair et légèrement ondulé et selon la source de lumière, ils détiennent de multiples reflets aux teintes différentes, tel le roux, auburn et blonds. Ils ne sont pas si longs, car ils lui vont qu’un peu en bas des épaules, soit une dizaine de centimètres en dessous. Il lui arrive souvent d’avoir quelques boutons au niveau du visage, plus précisément dans la région du menton, mais cela n’arrive qu’une ou deux fois par mois et ne dure jamais bien longtemps. Pour sa tenue vestimentaire, il n’y a rien de bien exceptionnel, quoiqu’elle aime bien sortir de la masse parfois. Elle porte souvent des hauts d’un rouge soit carmin ou écarlate, sinon des hauts de couleur neutre tel le noir, brun, blanc et rarement le gris. Pour ce qui est des pantalons, elle tient à un certain confort et porte soit des pantalons cargo noir ou des jeans bleu foncé paré de plusieurs poches. Question bijoux, elle porte constamment une bague simple parée d’un rubis (sa pierre de naissance) qui lui fut offert par un ami cher à son cœur, mais plus de ce monde ainsi qu’un vieux pendentif qui déteint vers le bronze. Signe(s) particulier(s) : Libellule, pourquoi ce surnom? En voilà la cause aussi simple et évidente à comprendre qu'à voir si elle revête une camisole en col en v. Au-dessus de son sein gauche, tout juste avant la naissance de la poitrine tient lieu une jolie tâche de naissance en forme prononcée de libellule comme si on l'y avait tatoué couleur marron.
Caractère, tempérament : Lore est une femme spontanée, mais tout de même prévisible. Elle a ses moments où elle agit purement par caprice (envie du moment) et d’autre où elle se contrôle d’avantage. Malgré ses élans où elle agit spontanément, lorsqu’on la connaît bien, ou même que depuis un certains temps, on sait anticiper comment ou si elle a une idée derrière la tête car on peut lire dans ses yeux comme dans un livre ouvert. Le dicton le dit bien avec elle, « les yeux son le miroir de l’âme »! Elle est avant tout une personne curieuse et fascinée de nature. Toujours prête à s’embarquer, il lui faut constamment avoir quelque chose à faire. Elle se passionne pour tout ce qui sort de l’ordinaire. L’insolite l’attire aussi, et c’est pourquoi elle adore partir à l’aventure. Avec ce tempérament fougueux, on voit très bien qu’elle n’est pas la perfection incarnée! Parfois, ou même souvent, elle a tendance à passer la démesure. Les excès ne lui donnent pas froid dans le dos. Bien qu’elle soit une conseillère hors pair, elle a du mal à les suivre elle-même ou à suivre les conseils qu’on lui donne, même avec les meilleures intentions du monde. Passionnée par ceux qui l’entoure, elle a le souci de comprendre et d’apprécié d’autres comportements, d’autres cultures, ce qui l’amène souvent dans un élan chevaleresque à prendre la défense des marginaux. Ainsi, elle conteste l’ordre établi et n’aime pas l’autorité, sur n’importe quel forme qu’elle soit, mais ce n’est pas pour autant qu’elle fait une criminelle d’elle, car elle a un sens de la justice assez poussé. Justice, mais laquelle? La sienne, celle du respect d’autrui, celle du respect de soi et enfin celui des choses qui nous entourent. Depuis sa tendre enfance, bien qu’elle n’ait jamais comprit l’origine, Lore est une émotive profonde. Son hyperémotivité trouble parfois le faible équilibre qu’elle aurait pu trouver. Elle est émotionnellement instable, soit elle se montre un peu versatile. Il est souvent dur de la saisir au vol, car elle n’est jamais tout à fait pareille. Tantôt enjouée et bavarde, ensuite replié sur elle-même, il est compliqué de saisir sa véritable personnalité. D'esprit vif, elle est critique, cynique et sensible à l'humour. Bien qu’elle se fasse parfois discrète, elle aime bien se faire remarquer. Originalité est un de ses dictons, car la mode peu parfois la laisser indifférente et alors, elle s’habille de façon à provoquer les gens. Elle aime se faire voir comme une personne différente des autres, elle aime se détacher de la masse soit par une position morale distincte ou par ses réactions qui sont quelques fois théâtrale pour un rien. Côté cœur, Elle aime plaire avant tout et tente de paraitre le plus souvent possible sous son meilleur jour. Lorsqu’elle n’a pas le moral, elle répugne les sorties et n’ose pas se montrer dans un état où elle n’est pas très sociable. Pourtant, elle n’est pas une extravertie dans l’âme et lorsqu’elle se sent vexé, elle se réfugie dans son imagination, dans son petit jardin secret. Lore à découvert son pouvoir il y a maintenant 3 ans de cela, avant elle ne se doutait pas de celui-ci même si cela arrivait qu’elle se retrouve dans le rêve d’un membre de sa famille ou d’un ami. Lorsqu’elle l’a découvert, elle n’en fut pas vexée ni même troublé, car elle s’était alors trouvée un don qui lui procurait un certain bonheur à se détacher de la masse. Maintenant qu’elle connaît les effets de son pouvoir sur elle, elle en est un peu moins fière et ne l’utilise que rarement sur les autres. Elle sait bien que les gens normaux la montreraient du doigt s’il savait qu’elle est mutante et alors, ne la jamais dit à personne, pas même à son meilleur ami qu’elle sait pourtant être mutant. Elle s’adapte facilement aux situations et donc, n’a pas eut à surmonter de crainte à l’égard de ce qu’elle considère être un don d’évasion de la réalité. En ce qui concerne Magnéto ou le Professeur Xavier, elle ne sait pas si elle devrait s’engager d’un côté ou de l’autre. Pour certaines raisons, elle préfèrerait Magnéto car cela va dans la même direction que son dédains de l’autorité et qu’elle a sa propre justice, mais d’un autre point de vue, son choix balance vers L’institut car elle a un profond sens de l’honneur et du respect. Talents et Compétences particulières :Elle dessine très bien et je crois que c'est tout. Elle venait d'entrer en Terminal au lycée lorsque Célar fut transféré ici, elle doit donc terminer le tout à New-York.Histoire du personnage : Voir poste ci-dessous Joueur Personne sur l'avatar : Josie Maran Age dans la vraie vie : 17 ans, bientôt 18 Expérience en RP : Je fais du Rp depuis environs 3-4 ans Où avez-vous entendu parler de notre forum : Par un ami Double comptes : non Votre personnage provient-il des Comics ou des Films X-Men : non Je certifie avoir lu le règlement et m’engage à en respecter les clauses. Je m'engage à toujours écrire au moins 5 lignes pleines dans chacun de mes messages en Role-Play. [Solange] [Vu par Maya]
Dernière édition par Lore Duval le Jeu 11 Juin 2009 - 1:06, édité 24 fois |
| | | Kurkaru Elève X-Men Expérimenté(e) Gamma
Nombre de messages : 5428 Age : 35 Autre(s) identité(s) : John Heston, le gnome, le farfadet, le nain vert, ce Truc, cette Plaie...
Pouvoirs : Zone N, capable de grimper au paroi présentant des aspérités, Frangin symbiotique, Pictsies.
Age du perso : 18 Date d'inscription : 22/11/2007
| Sujet: Re: Lore duval [terminé] Sam 6 Juin 2009 - 22:03 | |
| Bienvenue parmi nous ! N'hésite pas à aller lire le règlement et signale nous quand ta fiche sera terminé qu'on puisse la modérer ^^ | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Lore duval [terminé] Lun 8 Juin 2009 - 21:16 | |
| Chroniques d’une passionnée (Travail de création littéraire) Préface Au départ, fort peu interessée de vous exposer ma vie, je ne tenais pas particulièrement à vous narrer de quelle façon j'ai vécu et ce que durant ma vie j'ai bien pu subir jusqu'à présent. Je n'aime pas parler de mon passé car, si je replonge dans mes souvenirs, une souffrance trop récente et très forte refait surface et m'arrache alors quelques larmes. Mais je n'ai pas toujours été comme ça. Avant ma première, j'étais plutôt du type à toujours parler du passé et à constamment me noyer dans mes souvenirs, oubliant l'instant présent et en niant qu'il y avait un futur. C'était mon refuge à moi en quelque sorte. [Or, si vous parler de mes expériences antérieures peut donner du courage à certains ou même simplement alléger le fardeau que je porte, alors je le ferai.] Ne sachant pas comment vous exposer les faits et donc, plongeant dans mes anciens travaux du lycée, je suis tombée sur celui-ci. Chapitre Un : Le commencement Chaque jour était un jour nouveau et plus le temps avançait, plus la jeune femme avait peur pour son poste à la compagnie d’assurance, car bientôt son poste serait informatisé et il n’aurait plus besoin d’elle. Elle était au terme du huitième mois de sa grossesse et le stress n’aidait pas. Elle avait préalablement parlé à son médecin de famille et lui avait juré qu’elle accoucherait lorsqu’il serait parti en vacances et comme de fait, les contractions commencèrent le jour où la semaine de congés de celui-ci débutait.
Cette jeune femme, c’était ma mère. Elle perdit ses eaux au bureau et pourtant, elle n’avait pas réalisé ce que c’était, du coup persuadée que les crampes qu’elle éprouvait étaient ses crampes habituelles lorsqu’elle avait besoin d’aller aux toilettes. Quelle comédie s’en suivit! Elle me conta qu’elle avait eu l’impression d’avoir une envie à n’en plus finir et que ce fut ses collègues de bureau qui lui firent prendre connaissance que ce n’était pas une envie, mais bien qu’elle perdait ses eaux.
Ma mère, elle est une vraie tête de mule! Ensuite, persistante, elle voulait se rendre chez elle et prendre une douche, ce qu’elle fit sans encombre. Le tout, sans jamais que je ne la dérange.
Je naquis en une soirée chaude d’été, le 15 Juillet 1990. Je fus accueillie par des hommes vêtus de turquoise, couleur qui à ce jour me répugne encore, qui lorsque l’expulsion fut terminée et donc où je fus délivrée de ce nid pourtant si douillet, on m’arracha au confort du contact chaud de ma mère pour me passer un linge sur tout le corps. La fessée me fit expulser les sécrétions et ô combien me fut pénible ma première respiration. On me compta à quel point j’étais une brave petite, à quel point j’étais un bébé calme et sage. Or, ces doux moments de petit bébé qui ne chialait jamais finiraient par s’évaporer, car lorsque vint la petite enfance, je devins un tant soit peu capricieuse. Le complexe de l’enfant unique! Chapitre Deux : Le départ Je n’eus pas une enfance qualifiable d’enfance trouble, mais je n’eus pas non plus une enfance idéale. J’entrais comme la convenance à l’école vers mes cinq ans, car à ce moment là, je demeurais au Canada. J’étais soi-disant turbulente, car tout ce qu'on nous apprenait, je l’avais déjà appris à la garderie, alors on me mettait dans le corridor à faire le piquet. On en avertit mes parents trois mois avant la fin de cette année scolaire-là et depuis ce jour, l’école est mon fardeau. J’aime, mais je préfèrerais apprendre autrement. À l’école primaire, jusqu’à ma troisième année, je vécus au Canada et durant l’été, mon père sur un coup de tête annonça à ma mère que nous déménagerions en France, plus précisément à Strasbourg où il y avait de la famille. Enfin, j’allais rencontrer la famille de mon père.
Je complétais mes études à Strasbourg où je tentais de me démarquer du mieux que ma motivation pouvait me le permettre, car je n’appréciais pas fortement mes collègues de classe, qui eux, ne m’aimaient pas non plus. Je devais avoir au maximum un ou deux amis. J’occupais la majorité de mon temps à m’inventer des histoires et à lire, car je ne trouvais pas meilleur moyen de m’évader de ce monde qui me paraissait alors si cruel, moi qui aspirais à la popularité à cet âge. J’avais tout un caractère et je n’aimais pas que l’on me refuse quelque chose, mais j’appris bien rapidement à mériter ce que je voulais obtenir.
Lorsque je commençai le collège, ce ne fut pas de tout repos, mais tout de même un nouveau départ pour moi. Je rencontrai des tonnes de gens, je me sentais alors moins marginale, même si finalement je m’étais adaptée à cette situation. Depuis peu, j’allais dans des cours d’art avancé et j’adorais autant le dessin que l’écriture. Je m’étais fait un ami, Justin et je passais mes pauses avec lui et des heures entières à bavarder. Lorsque les vacances avant ma deuxième année de collège arrivèrent, on se promit de ne jamais s’abandonner, quoiqu’il vaille. Le 15 juillet arrivait à grand pas et plus le temps avançait, plus je ressentais l’effet du temps de façon plus intense. Je me disais que cela était dû à l’excitation de devenir officiellement une adolescente, que c’était tout bête. J’avais des rêves bien singuliers où je voyais mon meilleur ami et du même coup, le lendemain mon meilleur ami me contait le même rêve que celui que j’avais eu la veille. Je découvrais alors mon pouvoir, mais à cet instant là, je croyais que ce n’était qu’une simple coïncidence. Chapitre Trois : La découverte Dès mes treize ans, ce genre d’évènements se répéta à maintes reprises sans que j’en aie le contrôle et souvent, ce fut dans les rêves de Justin que j’effectuais de courts séjours. C’est au bout de deux mois de rêves identiques que je pris conscience de mon don que je ne révélais à personne, soit par peur de me faire traiter de frimeuse ou de monstre. Je le dévoilai un jour à Justin qui ne parut pas me croire, mais lorsque je lui racontai mon dernier rêve, celui-ci en resta muet. Plutôt que de me fuir, celui-ci avait le même intérêt que moi à vouloir comprendre le fond des choses, le souci de comprendre ce qui l’entoure. Alors, nous avions décidé de tenir un journal suivant ces évènements. Cette idée nous rapprocha et nous sommes devenus des confidents inséparables.
« Nous sommes dans un environnement qui m’est inconnu, mais pourtant, Justin semble reconnaître cet endroit et est fort anxieux à la vue du bâtiment qui surplombe la colline. Je lui demande où nous sommes, mais il n’arrive pas à articuler le moindre mot. Il est aussi silencieux qu’une carpe. Alors qu’il se met à trembler, je m’en approche et le sert contre moi. Je ferme les yeux. Un bruit, le bâtiment s’effondre.
Je sens une goutte d’eau me tomber sur l’épaule, puis une autre. Ce n’est pas de l’eau, mes les larmes de mon meilleur copain. Alors, je souhaite que tout soit comme avant l’écroulement. Souhait réalisé. Fin. »
Je découvrais peu à peu l’ampleur de mon don qui ne se limitait pas seulement à l’immixtion des rêves, mais aussi à interférer avec celui-ci. J’appris aussi par la suite que ce rêve lui venait d’un souvenir longtemps enfoui lorsqu’il avait perdu sa grand-mère maternelle et qu’il en avait été très proche.
Dernière édition par Lore Duval le Lun 8 Juin 2009 - 22:46, édité 4 fois |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Lore duval [terminé] Lun 8 Juin 2009 - 21:17 | |
| Chapitre Quatre : La seconde ]Ce jour-là, le soleil réchauffait à plein régime Strasbourg et peignait le ciel d’un bleu clair chaleureux. J’entrais enfin au lycée, à moi l’avenir! Je n’étais pas au comble du bonheur, car Justin m’apprit qu’il n’allait pas à la même école que moi. J’allais devoir affronter ce nouvel univers par mes propres moyens et je détestais être seule entourée de gens que je ne connaissais pas. Il me promit qu’il viendrait me voir chaque fois que possible.
J'avais rencontré au préalable une fille qui était rapidement devenue une bonne amie. Elle s’occupait de moi chaque matin et me présenta à son cercle d’amis, bien qu’ils soient tous en première y comprit elle. Je rencontrai celui qui changea ma vison du monde depuis le lycée et qui à ce jour est mon seul support aux États-Unis.
Cette fille, c’était Éloïse, ma cousine, et elle me présenta à son confident de toujours, celui que vous connaissez sous le nom de Célar. Je passais mes journées avec ce groupe-là à les écouter déconner, à les dessiner et les prendre en photo. C’est en seconde que je découvris ma passion pour la photographie et le portrait et j’excellais dans ce domaine. Justin venait me voir deux fois par semaine à la fin des cours. Chapitre Cinq : …Tragédie Un jour, j'étais plus excitée que d'ordinaire que les cours se terminent, parce quelque chose m'attendait à l'extérieur, ou plutôt, je devais marcher un peu en dehors de mon chemin mais je voulais y aller quand même, et l'attente fut longue, je peux vous l'assurer. Et quand la dernière sonnerie retentit, je ne perdis pas un seul instant et je fonçai chez lui. Non il ne s'agit pas de Célar, mais de Justin, dont mon attachement pour lui avait encore crû depuis lors. Nous avions souvent été dans la même classe, d'où notre incommensurable entente, et la dernière fois que nous nous étions vus, il m'a demandé de passer ce jour-là, parce qu'il avait quelque chose à me confier, mais il avait refusé de me donner le moindre détail supplémentaire, si ce n'est que cela n'était destiné qu'à moi. Je me hâtais presque, tant la curiosité me piquait, et je commençais à sourire en dépassant l'angle, que ce sourire disparut instantanément, et je restai bouche-bée. Des flammes s'emparaient de la maison, et je constatai avec horreur que les seules personnes à l'extérieur étaient les deux parents. J'accourus vers eux, tous deux en larmes et au bord de l'évanouissement. Je voulus obtenir quelques mots, mais c'était les pompiers qui m'en donnèrent des plus logiques après avoir maîtrisé l'incendie : « Je crains que votre ami n'ait été happé par les flammes ou asphyxié par la fumée. » Je fondis en larmes également, étreignant la mère de mon défunt ami. Je m'enfermai à la maison pour le reste de la semaine, manquant les cours tant ma détresse était profonde. Quelques jours après l'incident, sa mère vint me voir, et elle me donna un objet dont il lui était toutefois pénible de s'en séparer. Il s'agissait d'une bague en argent, ou plutôt de couleur argent fait d’acier inoxydable ornée d’une pierre rouge, qu’il portait en permanence et qu'il voulait me confier, en signe de son éternelle amitié. Cela m'arracha encore d'autres larmes, et toutes deux nous pleurâmes encore un moment. Cette bague est aujourd'hui le bien matériel le plus précieux que je puisse porter dans mon cœur, et pour rien au monde je ne souhaiterais la remplacer. J’étais si affectée par cette perte que je manquai plus d’une semaine de cours et le plus pénible dans mes études fut que nous étions à un mois de la fin des cours. Je cessai complètement toute sortie me réfugiant ainsi dans mon monde, dans mes rêves et dans ceux d’autrui. Je me mis à abuser de ce pouvoir que je n’avais fait usage qu’avec le consentement de Justin dans le passé. Plus je m’en servais, plus il me semblait aisé de le maîtriser, mais pourtant, plus cela changeait, plus c’était pareil. Le seul plus, c’est que durant cette phase de ma vie, je partais pendant de longues périodes comme si j’étais dans le coma. Je visitais les rêves de mes parents, ceux de mes voisins et puis je me créais un univers où Justin était encore de ce monde. Inquiète à mon sujet après trois jours sans le moindre signe de ma part, Éloïse appela chez moi, ce qu’elle me raconta lorsque je sortis de mon syndrome post-traumatique, à maintes reprises. Elle ne réussit pas à me joindre le troisième soir et donc, elle prit la décision de venir me voir le lendemain. J’étais dans un état lamentable, car je n’avais pas bougé de mon lit depuis le soir de l’atroce nouvelle et donc, par conséquent, je n’avais pris aucune douche depuis. … Le dernier jour de la semaine, Éloïse entraina Célar avec elle et ils sont venus me sortir de l’isolement volontaire que j’avais créé autour de moi depuis la mort de mon meilleur ami. Depuis ce jour, je me mis à trainer avec eux de plus belle. Ajout au Travail de création Chapitre six : … J’entamai avec une certaine amertume ma première ayant comme seule motivation des sources externes. J’étais encore affectée de ma dernière perte et très peu motivée à poursuivre ma vie, mais je ne voulais pas décevoir mon cercle d’amis, car eux ils étaient encore là. Je me devais d’oublier ma douleur et de ne songer qu’au meilleur. Oublier ce mal qui me pesait fut ardu, mais au bout de cinq mois, je cessai peu à peu de me sentir comme un zombie et je retrouvai ma vitalité d’antan. Je me réfugiai alors dans l’écriture qui s’accordait plutôt bien avec l’orientation que j’avais choisie. Célar me fut d’un grand secours lorsque j’avais des difficultés dans mes travaux, mais celui-ci ne fit que me donner des pistes, car il croyait en moi et il désirait me voir voler de mes propres ailes. Après tout, c’était mes notes et pas les siennes, il fallait les mériter!
La fin de ma première approchait et j’avais retrouvé une partie de mon entrain et de ma joie, je m’étais rapprochée de ma cousine et de son ami d’enfance, car ceux-ci m’avaient beaucoup supportée durant l’année. Autrement, rien de très passionnant n’arriva avant juillet 2008.
Nous avions attendu ce jour avec tant d’excitation, ce jour de fête nationale, mais aussi mes 18 ans. Nous étions tous là sans faute, moi, Éloïse, Célar et trois autres personnes de notre groupe d’amis commun. Nous avions décidé d’un accord commun que ma maison était le meilleur endroit où célébrer, vu la situation géographique de ma maison, qui était en campagne, et aussi car mes parents n’y étaient pas ce soir-là, car ils étaient partis pour quelques jours chez des amis de longue date.
Nous profitions à fond de notre liberté provisoire, la musique dans le tapis et tout. Je déconnais avec ma cousine qui ne se ménageait pas malgré sa faiblesse au niveau du cœur. Étant sans la moindre présence de parents, nous avions en notre possession maintes sortes d’alcool que nous consommions sans retenue…Nous bûmes d’ailleurs tous beaucoup, on se réjouissait de la fête national et moi, de mes futur dix-huit ans…. Erreur qui nous fut fatale.
J’étais tout bêtement enchantée de pouvoir m’amuser ainsi pour la première fois depuis si longtemps, quand soudain d’une seule voix on s’écria :
« Ouha, c’est KYO!!!!!!! » Le choc était immense, car qui s’attendrait à les voir entrer dans son salon? Pas nous, cela était certain. De plus, c’était le groupe favori d’Éloïse, ses idoles! Pour elle, ce fut une joie si grande, un choc si profond que son pauvre cœur ne put supporter l’épreuve et elle tomba au sol.
« Éloïse? » J’étais pratiquement saoule, mais certes pas débile, mon angoisse se fit présente assez tôt. Je me précipitai sur elle, puis dans une douleur immense, un flot de larmes déferla lorsque je constatai sa mort. Je relevai ma tête puis fixai mes yeux inondés de larmes sur les autres. La douleur était si poignante que je lâchai un cri aussi strident qu’un cri d’aigle, un cri portant toute ma souffrance.
J’agrippai ma chère amie de toutes mes forces, je lui fis un massage cardiaque frénétique, mais rien n’y faisait. Puis soudain, Célar arriva et se jeta radicalement sur nous, ou plutôt celle qui aimait plus que sa propre vie. Avec une détresse immense, il la secoua pour la réveiller, il me demanda d’aller chercher de l’eau, ce que je fis, mais rien n’y faisait. Elle était morte. Je cru voir dans son regard la fin de sa flamme vitale, le monde s’était consumé en même temps que la vie d’Éloïse et mon monde se déchirait pour la deuxième fois. Je n’allais pas m’enfoncer une seconde fois, il n’en était pas question pour moi, car je devais garder la tête haute et être forte pour Célar.
Dernière édition par Lore Duval le Lun 8 Juin 2009 - 23:22, édité 5 fois |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Lore duval [terminé] Lun 8 Juin 2009 - 21:18 | |
| Chapitre Sept : La déchéance Il m’arrivait quelques fois de craquer et dans ces moments, je fuyais la présence de mon cher ami. Je ne pouvais supporter la présence de personne sauf lui, mais cette période où la compagnie des autres m’insupportait fut brève. Reconnaissante de tout ce qu’il avait pu faire pour moi avec Éloïse, je décidai de le prendre sous mon aile, mais tout ne fut pas comme je l’avais envisagé…
Après un bref moment d’isolement, j’entendu dire qu’il avait recommencé à sortir, mais je n’arrivais plus à lui parler comme s’il avait coupé le contact et qu’il en avait perdu la clé pour le remettre. Je le perdais de vue et tout ce que j’arrivais à savoir, c’est qu’il fréquentait des types peu recommandables. Cela me peinais terriblement, mais je ne savais pas que faire pour l’en empêcher.
J’eus peur pour lui à maintes reprises car, il tombait dans une déchéance qui le tiendrait dans ses griffes avec force bien longtemps s’il ne faisait pas attention. J’étais morte d’inquiétude chaque fois que ses parents me disait qu’il n’était pas à la maison, mais que pouvais faire une jeune fille telle que moi? Sans le moindre courage pour en parler à qui que ce soit, je décidai de tenter ma chance et de voir ce qu’il pouvait bien tramer lors de ses virées et j’en fus complètement estomaqué. Mon ami se droguait!! Bien que j’y avais aussi songé, car bien des fois certaines connaissances me le proposait pour soulager ma douleur, j’avais formellement refusé, c’est trucs n’étaient pas faits pour moi.
Puis un jour, on m’apprit une nouvelle pour le moins peu réconfortante, Célar était à l’hôpital, quelque chose de grave lui était arrivé. M’imaginant le pire, je croyais qu’à bout de force il avait tenté de se tuer et alors, dès que j’avais été mise au courant de son entrée aux urgences, je m’y étais précipitée.
Question de volonté, je ne vous conterez pas dans les moindres détails le mois entier que j’ai passé à veiller sur lui au chevet de son lit d’hôpital, mais sachez que ce mois fut le plus pénible à supporter, car la peur qu’il commette une erreur irréparable me taraudait constamment l’esprit. Nuit et jour, jour et nui, nuit…Vous avez compris le principe? J’étais là à m’assurer qu’il ne sombre pas d’avantage dans les chemins tortueux de la dépression, car comme j’avais connu cet état, je ne tenais pas à ce qu’il fasse de même.
Voyant mon intérêt pour la santé de leur fils, lorsqu’ils parlèrent de transfert dans un hôpital plus sophistiqué aux États-Unis, ils me proposèrent d’accompagner Célar, puisqu’eux ne pouvaient pas ce le permettre. Ce fut avec un plaisir immense que j’acceptai leur offre sans même penser aux conséquences de mon choix. J’irais là-bas quelque soit le prix à en payer. La Grosse Pomme Pour faire court, je veillai une année entière au chevet du lit de Célar lors de notre arrivée à New-York. J’étais si préoccupé de sa personne que je fis installer un second lit dans sa chambre d’hôpital afin de pouvoir dormir confortablement sans avoir à le quitter. J’étais d’avantage préoccupé par lui que pour ma propre santé, même si ce fait finit par être addictif pour moi. J’étais devenue si habituée d’être avec lui qu’à la fin j’avais du mal à me voir seule. D’un comportement un peu égoïste, je ne voulais plus me séparé de lui de peur d’avoir à souffrir d’une troisième perte.
Quelle ne fut pas ma joie lorsque les docteurs internes m’apprirent qu’il pouvait enfin sortir et vivre sa vie. J’étais heureuse pour lui certes, mais je pris peur. Allais-t-il pouvoir ce débrouiller seul au début? Alors, par instinct, j’avais déjà entamé des recherche de logis afin qu’il ne se retrouve pas immédiatement seul. En fait, cet idée de vivre en collocation avec lui ne me venais pas que pour cette unique raison, mais bien aussi parce que durant ce séjour, j’avais développé en quelque sorte une dépendance à sa présence. Puis finalement, sans doute à mon insu, j’avais aussi développé une phobie de me retrouver seul sans personne sur qui compter. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Lore duval [terminé] Mar 9 Juin 2009 - 12:28 | |
| D’abord (re)bienvenue !
Ensuite voici ma modération.
Nom : Ok
Prénoms : Ok
Alias et Surnoms : Ok
Age ; Date de Naissance : OK
Genre : Ok
Clan : Ok
Pouvoirs (identifiez : passif/défensif/offensif) : Ok.
Niveau de maitrise du pouvoir : Ok. Juste une toute petite chose peut-être. Tu dis que la plupart du temps son pouvoir se manifeste pendant qu’elle dort, est-ce qu’il peut se manifester quand elle est éveillée ? (ou est-ce qu’elle le pourra un jour) ?
Description physique : Ok
Signe(s) particulier(s) : Ok
Caractère, tempérament : Ok
Talents et Compétences particulières : Précise son niveau d’étude aussi.
Histoire : C’est ok, aussi.
Voilà, précise ces deux petites choses, mais sinon, la fiche est validable pour moi. |
| | | Mewen Hatan Apprenti(e) de la Confrérie Delta
Nombre de messages : 671 Age : 46 Autre(s) identité(s) : Tazer
Pouvoirs : Eletrokinesie, Voyage Matriciel
Age du perso : 20 Date d'inscription : 18/12/2008
| Sujet: Re: Lore duval [terminé] Mar 9 Juin 2009 - 16:03 | |
| Salutations et bienvenue parmi nous. | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Lore duval [terminé] Mar 9 Juin 2009 - 22:30 | |
| Pouvoirs (identifiez : passif/défensif/offensif) : Ok. - Maya a écrit:
- Niveau de maitrise du pouvoir : Ok. Juste une toute petite chose peut-être. Tu dis que la plupart du temps son pouvoir se manifeste pendant qu’elle dort, est-ce qu’il peut se manifester quand elle est éveillée ? (ou est-ce qu’elle le pourra un jour) ?
Lorsqu'elle ne dort pas, elle ne peut présentement pas s'immiscer dans un rêve, mais elle le pourra sous peu ( dès 100 messages) Niveau d'étude: Elle a complèté le lycée avant d'arriver à New-York. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Lore duval [terminé] Mer 10 Juin 2009 - 5:45 | |
| Bienvenue, clone femelle de Célar ^^
Que la modération modère!
Nom : Ok
Prénoms : Ok
Alias et Surnoms : Ok
Age & Date de Naissance : Ok
Genre : Ok
Clan : Ok
Pouvoirs : L'immixtion et le contrôle des rêves sont pour moi deux pouvoirs. Tu peux manipuler les songes sans y pénétrer comme tu peux y pénétrer sans les manipuler... Le rêve-éveillé étant une méthode thérapeutique, hors d'un cabinet de professionnel tu n'en trouveras pas. Quand tu parles de manipuler le subconscient, tu entends quoi par là?
Niveau de maitrise du pouvoir : Ok
Description physique : Ok
Caractère, tempérament : Ok
Talents et Compétences particulières : Ok
Histoire du personnage : Ok, proche de celle de Célar, même schéma mais bon rien à redire.
Fiche valable en attente de modifications des pouvoirs. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Lore duval [terminé] Mer 10 Juin 2009 - 11:18 | |
|
[pour faire rapide avant de partir en cours....]
- Carmine a écrit:
- 'immixtion et le contrôle des rêves sont pour moi deux pouvoirs.
Voilà qui est changé
- Citation :
- Le rêve-éveillé étant une méthode thérapeutique, hors d'un cabinet de professionnel tu n'en trouveras pas.
J'avais tenter de l'inclure, mais je crois que tu as bien raison. Alors, je corrigerais ça. [corrigé]
- Citation :
- Quand tu parles de manipuler le subconscient, tu entends quoi par là?
Pour faire rapide, chaque rêve est un interprêtation de ce que l'on a vécu dans une journée fait par le subconsicient.
Afin de pouvoir s'en souvenir,il faut qu'il soit suffisament intense afin que l'on puisse s'en souvenir,
- Hervey de Saint-Denys a écrit:
- le rêve (les visions que nous avons en songe) est la représentation aux yeux de notre esprit des objets qui occupent notre pensée[1].
[size=10][1]Les Rêves et les moyens de les diriger Ce qui occupe notre pensée est souvent un élément qui viendra nous troubler tout au long de la journée.... - Citation :
- Quand tu parles de manipuler le subconscient, tu entends quoi par là?
Seulement que ça risque de le troubler au moins un peu durant la journée... Par "agir sur le subconscient" je veux dire que ce que je provoque dans le rêve peut avoir des répercussions (minîmes pour le moment) sur la personne. Car le subsonscient influence à sa manière les gens, par exemple vivre dans un milieu intolérant conditionnera la personne et son subsonscient fera qu'il a quelques pensées intolérantes par exemple. Ainsi si je modifie un peu le rêve pour qu'un thème devienne récurrent (admettons la nourriture chez une personne au régime), il se peut que celle-ci finisse par céder aux pulsions qui proviennent du rêve en question, et mange plus que d'ordinaire au matin. De plus, pour les effets, cela ne dure pour l'instant que trois heures au maximum après le réveil de la personne. Ce qu'elle a vu dans son rêve par mes soins lui restera en mémoire durant ce temps-là, mais ce temps dépend de la volonté de la personne qui subit. Une volonté trop forte et je ne peux pas les influencer. Ensuite, cela pourra créer une inquiétude et une méfiance des gens à mon égard, ou alors un attachement, volontaire ou non, à cause de mes apparitions dans ces rêves. Car rêver d'une personne inconnue peut arriver, mais plusieurs fois à la suite de la même personne deviendrait suspect. De surcroît, tout le monde ne se souvient pas des rêves, et il se peut très bien que mon entreprise échoue.
Dernière édition par Lore Duval le Ven 12 Juin 2009 - 13:31, édité 1 fois |
| | | Kurkaru Elève X-Men Expérimenté(e) Gamma
Nombre de messages : 5428 Age : 35 Autre(s) identité(s) : John Heston, le gnome, le farfadet, le nain vert, ce Truc, cette Plaie...
Pouvoirs : Zone N, capable de grimper au paroi présentant des aspérités, Frangin symbiotique, Pictsies.
Age du perso : 18 Date d'inscription : 22/11/2007
| Sujet: Re: Lore duval [terminé] Ven 12 Juin 2009 - 6:36 | |
| A tu apporté les modifications demandées par Carmine ? Quoi qu'il en soit j'ai une ou deux question à poser, quand tu y auras à nos question je validerais :
quand elle contrôle les rêves, peut elle faire apparaitre des situations de mort de la personne qui rêve ? Peut elle générer des situations suffisamment effrayantes pour causer des dommages psychiques ? Si oui, pour les deux cas, peut elle entrainer la mort réelle ? (part arrêt cardiaque ? )
Voila | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Lore duval [terminé] Ven 12 Juin 2009 - 13:46 | |
| - Citation :
- quand elle contrôle les rêves, peut elle faire apparaitre des situations de mort de la personne qui rêve ?
Je dirais qu'elle ne le peut pas vraiment, car elle ne peut que changer l'environement spatio-temporel du rêve. Elle pourrait le faire apparaitre dans le vide d'un ravin, mais il pourra toujours se réveiller avant qu'il entre en contact avec le sol. à ce stade, il ne meurt pas. Elel ne peut pas l'empêcher de ce réveiller. - Citation :
- Peut elle générer des situations suffisamment effrayantes pour causer des dommages psychiques ? Si oui, pour les deux cas, peut elle entrainer la mort réelle ? (par arrêt cardiaque ? )
Euuuuh...Je vais devoir y réfléchir pour les dommages psychiques... Tu veux dire quoi par là? Elle pourra entrainer la mort du sujet ultérieurement, soit losque j'aurais plus de 1000 messages postés. Lorsque l'on meurt en rêve, il est prouvé que l'on meurt réellement. En effet, comme un cauchemars augmente la tension cardiaque, pour quelqu'un qui aurait un coeur fragile, les risques au niveau cardiaque est plus élevés. Faites des recherche sur le cauchemars et les terreurs nocturnes, cela explique apeuprès tout sur les reactions qu'entrainerait un rêve suffisament effrrayant. Le cauchemars:"Cette phase du sommeil revient environ 5 fois par nuit ou toutes les 90 minutes." "La frayeur peut être très intense, mais contrairement aux terreurs nocturnes, il y a peu de manifestations physiques." "Au petit matin, le souvenir d'une peur intense associée à un rêve est présent. es cauchemars sont généralement accompagnés des manifestations suivantes : * sueurs ; * augmentation du rythme cardiaque ; * paroles, gestes et cris (à l'occasion)." |
| | | Kurkaru Elève X-Men Expérimenté(e) Gamma
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| Sujet: Re: Lore duval [terminé] Sam 13 Juin 2009 - 15:45 | |
| Dans ce cas, c'est tout bon ^^ Fiche validée, neutre beta ! ^^
N'oublie pas de te signaler dans les topics requis, bon rp parmi nous ^^ | |
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