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| Dans les rues des quartiers défavorisés [Sujet Libre] | |
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| Sujet: Dans les rues des quartiers défavorisés [Sujet Libre] Dim 26 Juil 2009 - 10:54 | |
| La rue était calme. Morose comme à son habitude. Ici, il n'y a pas de riche. Il n'y a pas des gens aisés non plus. Dans les rues sales, ce promènent des gens au marché habituel avec les quelques sous qui peuvent laisser dans trois pauvres légumes. Histoire de manger de la soupe pour une personne au moins cette journée. Il n'y a pas que des gens pauvres. Cette dame avec son chien, au stand du vieux poissonnier, cheveux blond, grande grâce à ces talons de 10 centimètres, à certainement un travail honnête et de quoi se payer deux paires de chaussures aux soldes. Mais c'était bien un quartier de bas étage, ici. Le poissonnier vends des sardines et des truites. Quelques saumons...
Le boulanger à fait des croissants...
Et derrière les gens qui regardent de tout côtés, inquiets, qui cours comme une demeurée, rapide, trois chiens aux baskets : c'est Gabi Feline.
* Ils ne me lâcheront jamais ! On ne peut plus voler un morceau de pain sans avoir deux polices à ses trousses. Bon sang, que fait la société ! * Les chiens gagnaient sans cesse du terrain. En passant devant le marché, en un regard sur elle les personnes hurlaient et se sauvaient. Mais où ? Les rues si étroites ne leur donnaient aucunes sorties face à elle. Les mères cachaient les enfants sous les stands et d'autres les collaient devant elles, des vieillards clopinaient hors du passage, les hommes sautaient les uns sur les autres ou se cachaient dans les bars.
Gabi Feline, 15 ans, fille des rues et, depuis quelques, mutante. Elle sauta sur le stand du vieux poissonnier. Un pain sous le bras, elle piqua une sardine et le coinça entre ses crocs. Elle bondit sur le stand voisin et attrapa une courgette. Les chiens bondirent. Gabi entendit leurs haleines de croquettes. Du coin de l'œil elle calcula les crocs - médiocres à côté des siens - à plus que 50 centimètres de sa jambe. L'aboiement de l'un deux frappa son tympan avec la force du métier : chien de flic. Elle bondit et s'accrocha de sa main libre au toit d'une maisonnette. Les tuiles pourrîtes grincèrent de mécontentement sous le poids de celle-ci. * Sans commentaire ! * Elle se hissa de la force de son bras sur le toit et courut de toits en toits sans s'arrêter. Elle ne s'arrêta que lorsqu'elle avait parcouru deux fois la ville et que les aboiements incessants tournaient en ronds. Elle gagna alors la rue de Martin Luther King, délabrée. Et se faufila entre deux murs. Elle y retrouva sa caisse en bois, sa casserole, sa plaque chauffante qui marchait au gaz. Elle déposa ses trophées dans une assiette aux couleurs délavées. Elle se précipita devant son miroir cassée. Son cœur battait fort. Elle avait eu peur. Maintenant, elle était effrayée, d'elle. Sur sa silhouette habituelle des poils orangés et tigrés de noirs avaient poussé sur ses membres. Sur ses paumes, il y avait des coussinets, sur ses doigts rétrécis et solides, des griffes. Sa dentition blessait ses lèvres par deux énormes crocs d'une dizaine de centimètres. Rien ne lui échappait. Toute sa transformation, tous les changements, ses yeux les repéraient malgré elle. Elle soupira, souffla, inspira et expira longuement en faisant cuir la courgette, coupée en rondelles. Elle pensa aux fleurs et se concentra sur le goût du pain. Après avoir engloutit son maigre festin, elle revint au pauvre miroir sale. Cette fois ci, le reflet représentait une fille normale, habillée d'un short et d'un polo normal. mais malgré ça, ses pupilles étaient vraiment trop petites, ses lèvres étaient gercées et à sang, ses cheveux orange, pas naturel. Gabi s'installa dans la caisse où se trouvait un vieux matelas à ressors. Elle se réchauffa dans une couverture de laine et pleura. Depuis un mois elle vivait là. Tout les jours c'étaient pareil. Elle ne pouvait pas rester humaine longtemps dans ce lieux stressant, anti-mutants, assassin et affamé... Les même cauchemars bercèrent son sommeil. Sommeil nécessaire pour récupérer mais blessant moralement.
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| Sujet: Re: Dans les rues des quartiers défavorisés [Sujet Libre] Mar 28 Juil 2009 - 5:23 | |
| NE trouvant devant lui qu'une bouche d'égout fermé,malgré le fait qu'il l'ait ouverte avant d'entrer dans la bijouterie.Mais tant pis,il devait réfléchir vite avant que la police n'arrive et ne l'attrape pour le mettre en prison.Donc il se mit à courir vers le bout de la ruelle.Il courut comme rarement il a couru dans sa vie.Pour échapper au police de New-york.Tombant et se relavant mainte et mainte fois pour mettre le plus de distance entre lui et les sirènes qui se rapprochaient dangereusement.S'engageant dans une deuxième ruelle,il la parcourue en un instant,pour tomber nez à pare-choc avec une voiture de police qui manqua de peu lui rentrer dedans.Il usa de son pouvoir pour geler un peu le moteur avant que la police ne reparte après lui.Sur ce il se remit à courir le plus vite qu'Il le put vers la rue,qui était assez achalandé,ne regardant que quand il était sure d'être un peu à l'avance sur les deux policiers qui le suivait.Regardant autour de lui tout en courant il constata qu'il était maintenant dans les bas quartiers et qu'aù deux policiers qui le poursuivait c'était rajouté deux autres policiers.ME*** Il n'avait aucune chance d'en sortir,il devait trouver un échaptoire et vite,parce qu'il commencait à peiner de continuer à courir.Ayant distancé légèrement les policiers,assez pour entrer dans une ruelle avec assez d'avance pour ce cacher.Il apercu tout de suite une grosse caisse de bois qu'Il approcha à la course et s'y cacha.
-Me*** y'a quelqu'un là-dedans.
Attrapant la personne,lui mettant une main sur la bouche pour pas qu'elle ne crît,il lui glissa à l'oreille.
-Ne crit pas ou se suis mort,s'il-te-plait aide-moi,sinon je vais en tôle,s'il-te-plaît ne dit rien. |
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| Sujet: Re: Dans les rues des quartiers défavorisés [Sujet Libre] Mar 28 Juil 2009 - 10:26 | |
| Gabi Feline rêvait du sang. Soudain un bruit de course et de halètements lui parvinrent avec netteté. Elle entendit l'alerte des voitures des Poulets se percuter dans les murs et attaquer son oreille. Grognant, elle se redressa doucement. Elle ne put faire plus car un solide gaillard prit place dans son lit. La voyant : il grogna et plaqua sa bouche contre la sienne. Ne crie pas ou je suis mort, s'il-te-plait aide-moi, sinon je vais en tôle, s'il-te-plaît ne dit rien. Gabi leva la tête vers le visage de son "agresseur", il avait de long cheveux en dreadlock qui lui chatouillait son nez sensible. Dans le noir le plus total, Gabi voyait tout. Elle découvrit alors les yeux suppliant et brillant de l'homme. Il était coloré d'un vert émeuraude et Gabi y lut la sinsérité. La peur lui avait fait poussé ongles et crocs de quelques centimètres et elle pria pour qu'il ne le voit pas. Elle ouvrit la bouche et mordit sa main - elle pria que cela ne fut pas trop fort et que ces crocs de deux centimètres, suportables - pour qu'il la lâcha. Non, murmura t-elle, laisse moi les foutre dehors sinon il nous trouverons ! Gabi se faufila au dehors précipitament avec sa couverture et se jeta près de sa plaque qu'elle alluma. Elle s'habilla de sa couverture et rondit son dos. Les flics ne se firent pas attendre. Où est-il ? Toi la vieille, as-tu vu un jeune homme courir par ici ? Gabi tourna lentement la tête de droite à gauche tourjours en fixant son pauvre feu. Elle ne pouvait pas répondre sans montrer son visage où deux crocs brilleraient dans le noir. D'abors ils seront que c'est pas normal, ensuite ils devineront que c'était elle. Et ! Répond quand je te parle ! Laisse, l'arrêta l'un d'eux, ici c'est des rats d'égout. Tu t'approches d'eux et ils t'assomment avec leur haleine ! De toute façon c'est une impasse, il ne peut être que plus loin. Alors dépêchons-nous ! On va le perdre ! Ils se précipitèrent à la poursuite de la nuit... * C'est ça, partez ! * Elle se rappela qu'elle n'était pas seule et se cacha encore plus, se plaqua contre le mur. Je t'ai aidé. Si ta faim mange le reste de mon pain et de ma courgette mais je n'ai rien d'autreà t'offrir. Gabi n'avait pas beaucoup de visite et elle pria d'abors pour qu'il reste, et ensuite qu'il ne voit rien de ses griffes. Si il devinait que c'était une mutante, il partirait...
Dernière édition par Gabi Feline le Sam 1 Aoû 2009 - 10:51, édité 1 fois |
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| Sujet: Re: Dans les rues des quartiers défavorisés [Sujet Libre] Mer 29 Juil 2009 - 15:54 | |
| Priant pour qu'elle le comprenne et qu'elle ne crie pas à tue tête pour alerter la police,parce que dans ce cas la il était foutu.Voyant qu'elle restait calme et qu'elle l'observais,elle ne peut pas vraiment me voir dans ces conditions.Sentant une légère morsure qui ne perça pas sa peau de peu. Elle dit dans un murmure.
-Non,laisse moi les foutre dehors sinon il nous trouverons-
La voyant sortir enfiler une couverture sur ses épaules et courber le dos afin d'avoir l'air d'une vielle.Allumant une plaque chauffant,qui devait être la sienne.Un bruit de pas,me*** la police.
-où est-il?toi la vieille,as-tu vu un jeune homme courir par ici?
Un silence de quelque seconde qui n'augurait rien de très bon pour lui,car elle montrait peut-être sa cachette au flic.
-Eh!Répond quand je te parle!
Une autre voie enchaine,ce doit être l'autre policier qui n'avait pas prononcer un seul mot jusqu'à maintenant.
-Laisse,ici ces des rats d'égouts.Tu t'approches et il t'assomme avec leur haleine!De toute façon c'est une impasse,il ne peut être que plus loin.
Après coup il partir sans un regard en arrière et enfin il put respirer et se calmer.Voyant la femme qui l'avait aider se cacher plus dans l'ombre et lui dire.
-Je t'ai aidé.Si ta faim mange le reste de mon pain et de ma courgette,mais je n'ai rien d'autre à t'offrir.
Un peu craintif quand même,elle demeurait la seule personne qui l'avait aider depuis qu'il était arrivé en Amérique pour y refaire sa vie après l'incident dans sa ville natale.Sentant enfin son cœur qui battait légèrement moins fort,une libération d'être libre à nouveau.S'avisant qu'il n'avait pas parlé depuis environ deux minutes,il s'élança d'une voix pleine de gratitude non dissimulé.
-Merci beaucoup,tu ma sauver d'un paquet d'ennui qui m'aurait vraiment mit à mal.Je me présente.Je suis Mikael Mignola,tu peux m'appeler Mike toi c'est quoi ton nom que je puisse mettre un nom sur la personne qui ma sauvé de la tôle et de plein d'autre ennuie...Ah et si moi je peux faire quelque chose pour toi tu le dit,je peux t'aider de bien des manières,de l'argent,un logement des vêtements ou même une douche.N'importe quoi pour la femme qui vient de me sauver la vie. |
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| Sujet: Re: Dans les rues des quartiers défavorisés [Sujet Libre] Sam 1 Aoû 2009 - 11:13 | |
| Le garçon, ou plutôt l'adolescent, sortie de sa caisse. Il la fixait trop d'après elle et elle priait que l'obscurité soit total pour lui. Merci beaucoup, tu m'as sauver d'un paquet d'ennui qui m'aurait vraiment mit à mal. Je me présente. Je suis Mikael Mignola, tu peux m'appeler Mike toi c'est quoi ton nom que je puisse mettre un nom sur la personne qui ma sauvé de la tôle et de plein d'autre ennuie... Ah et si moi je peux faire quelque chose pour toi tu le dit,je peux t'aider de bien des manières,de l'argent,un logement des vêtements ou même une douche.N'importe quoi pour la femme qui vient de me sauver la vie. Gabi se sentit aspirer par ses mots. Cela faisait combien de temps que quelqu'un ne lui avait pas dit ses mots simples ? Elle pensa immédiatement à John. Où était-il son frère. Elle secoua la tête et chassa ses pensées. On m'appelle Gabi Feline et... de rien. Gabi réfléchit rapidement. Nourritures, logement... Douche ! Tout ça elle n'en n'avait pas facilement. Mais comment lui demander rien que de la faire quitter la ville ? Et pour quoi d'ailleurs ? Pour qu'elle recommence à chercher à coin de rue et de voler seule trois nouvelles polices sur le dos qui demanderais des informations aux deux du moment ! Euh... Toi... Mike, tu vis où, toi ? |
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| Sujet: Re: Dans les rues des quartiers défavorisés [Sujet Libre] Lun 31 Aoû 2009 - 9:27 | |
| A force d'errer, Dalmentus avait fini par tomber dans un des quartier défavorisé de la ville. Il fut surpris de voir une communauté de personnes sans domicile dans une ville aussi développée que New York. Dans son village, il n'y avait jamais eut de SDF, car chacun des trois cents habitants avait une maison construite à la sueur de son front. Voir tant de personnes à la rue avait de quoi lui miner le moral. Des aboiements vinrent le troubler dans ses réflexions. Il eut d'abords un vieux reflex, celui de se cacher derrière un mur. Lorsqu'il y regarda de plus près, les chiens et leurs maîtres poursuivaient une jeune femme aux cheveux orange. Elle réussi à se hisser sur un toit en faisant tomber quelque tuiles, laissant ses poursuivants sur leur fin. Intrigué, Dalmentus commença à se rapprocher discrètement de l'immeuble où les policiers faisaient les cents pas. - Ques-ce que vous regardez? Grogna l'un des hommes quand Dalmentus eut enfin été repéré pas l'un des chiens. Il y avait longtemps que les Chiens n'effrayaient plus Dalmentus, et bien qu'il fit un pas en arrière lorsque le molosse vint sur lui, il savait que l'animal ne mordrait pas, pas sans l'ordre de son maître. - Mes excuses monsieur, mais je me dirigeais vers cette rue. Déclara Dalmentus en désignant la passe adjacente à l'immeuble où s'était enfuie leur proie. Une fois qu'il eut pénétré la rue, Dalmentus vérifia qu'il n'y avait personne. Ces précautions prises, il put reprendre là où les forces de l'ordre avaient été semées. Le fait d'avoir perdu son T-shirt quelque jours auparavant rendait la transformation moins ridicule. Ses yeux devinrent une fois de plus bleu azur tandis que des poils blancs recouvraient sa peau et que ses ongles devenaient des griffes. Une fois la transformation achevée, se qui ne dura pas plus d'une seconde, il sauta sur les prises d'escalades qu'étaient les fenêtres et autres balcons pour finir par arriver sur le toit. Son flaire n'eut aucuns mal à pister la fugitive et il s'élança à sa poursuite. Au bout d'un moment, la piste redescendait sur la rue, dans un carton plus précisément. Il descendit en quelques secondes pour reprendre forme humaine juste avant d'atterrir. L'odeur conduisait bien dans ce carton. Il abritait une femme vêtue comme la plupart des personnes âgées, ainsi qu'un homme à la coiffure étrange et à la peau bronzée. Dalmentus resta là, à les observer en silence. |
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| Sujet: Re: Dans les rues des quartiers défavorisés [Sujet Libre] Jeu 3 Sep 2009 - 8:24 | |
| Gabi Feline était dans une vraie crise de panique. Elle décida de quitter cet homme, après tout un voleur comme elle et allait s'élançer dans la rue, quand elle tomba nez à nez avec...un loup. Un crit lui échappa, celui ci se transforma en rugissement de panique. Des poils orangés, clairs, apparurent sur ses bras et ses jambes, ses ongles grandirent et eurent deux fois plus de longueur, ses chevux se redressèrent un peu sur sa tête, ses yeux claircirent tandis que ces minuscules pupilles devenaient noicissaient, un noir de trou noir, ses incisives prirent trois centimètres de plus et devinrent crocs, crocs qui coupèrent ses lèvres et le sang y coula, une queue orange tigré de noir jallit du bas de sa colonne vertébrale. Elle gémit. Elle était devenue mi homme mi tigre. Sa rencontre boulversante ne s'arrêter pas à un loup. Il était immense, énorme, gigantesque, imposant...plus grand qu'elle en tigre ! Il était blanc comme neige avec des yeux perçant, tant qu'elle crut un instant qu'il pouvaient lire dans ses pensées. Son souffle se fit de plus en plus rauque. Elle bondit en arrière et s'agrippa au mur avec ses griffes (pieds y compris). Elle siffla pour prévenir qu'elle se défendrait au moindre mouvement d'agression. - Que fait un loup de cette taille...? Elle comprit qu'il ne pouvait s'agir d'un loup ordinaire. - Qui es-tu ? Tu es un mutant ? Tu connais...Mike ? Vous vous êtes donné rendez-vous ici ou quoi ? |
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| Sujet: Re: Dans les rues des quartiers défavorisés [Sujet Libre] Jeu 3 Sep 2009 - 14:28 | |
| Dalmentus n'avait visiblement pas reprit sa forme humaine assez vite. C'était la première fois que cela lui arrivait. La femme-tigre l'avait vue avant même qu'il ait pris la seconde pour se retransformer. Sa vivacité était impressionnante. De même que son pouvoir. Il était apparut presque instantanément, mais s'était souvent le cas pour les polymorphes. Il la regarda être accrochée au mur dont il venait de descendre, avant de répondre.- Excusez moi si je vous ai effrayée, se n'est pas mon intention. Je m'appelle Dalmentus, et oui, je suis un mutant. Quand à l'homme là-bas, Mike, je ne le connais pas. S'est vous que j'ai suivit, votre odeur. Je l'ai captée quand vous avez fuit les policiers. Dalmentus se retint de poser la question qui vint alors dans son esprit, conscient qu'elle ne pourrait que dégrader l'échange verbal.- Je vois que vous ne maitrisez pas bien votre pouvoir. Le fait que vos crocs vous blessent, que la peur qui se lit dans vos yeux prouvent, entre autre, que vous n'êtes ni habituée, ni expérimentée à utiliser votre capacité. J'ai moi même mit quelques temps avant de maitriser ma transformation, et encore plus pour régresser à la forme humaine.Comme pour faire une démonstration, il se transforma et, en quelques sauts d'une vélocité exemplaire, il atteignit le toit où il se trouvait précédemment.- Si vous voulez apprendre, je peux vous aider. Déclara-t-il après avoir reprit forme humaine. Bien qu'il fit conscient que croire un homme d'1m78 avec des cheveux court et barbe courte gris, de longs bras et des yeux maintenant marron qui se baladait torse nu soit assez difficile, il pensait que la mutante aurait suffisamment peur de ses propre pouvoir pour ne pas le craindre lui. Il n'était pas si différent des étrangers qu'elle devait avoir rencontrées jusqu'à présent, hors sa capacité de lycanthrope bien sur.-------------------Hors Jeu------------------- J'étais censé m'être retransformé avant d'avoir touché le sol, mais c'est pas grave. |
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| Sujet: Re: Dans les rues des quartiers défavorisés [Sujet Libre] Sam 5 Sep 2009 - 13:20 | |
| Le loup se changea en homme. L'homme s'excusa et parti dans un bon monologue. Gabi, elle restait coi et bouche bée. Dalmentus qu'il se nommait. Il lui fit une démonstration de ses capacités mutante et les yeux de Gabi se remplir d'envie. Elle aussi aimerait être aussi...douée. Il avait certainement des sens aussi développés qu'elle puisqu'il l'avait retrouvé rien qu'aves son flair. Gabi était restée sur le qui vive.- Si vous voulez apprendre, je peux vous aider. Déclara-t-il après avoir reprit forme humaine. Gabi écarquilla les yeux.- Vous... vous m'apprendrez à faire de même ? S'exclama t-elle. Elle revint tout de même sur la défencive. Pourquoi proposerait-il des leçons à une mutante parfaitement inconnue qui ne sait métriser qu'un dizième de ses pouvoirs ? D'un autre côté, s'il n'y avait pas de mauvaises pensées en lui, il pourrait l'aider. Beaucoup.- Pourquoi feriez-vous ça pour moi ? D'où venez-vous ? Pourquoi m'avez-vous suivit ? Qu'est ce que vous attendez de moi en échange ? Ou irons-nous ? Me proposez-vous un peu d'aide ? Ou des leçons réguliers ? Ou que je vous suive comme une élève avec son maître ?Que lui voulez ce "Wolf-old-man" ?- - - - - Hors jeu - - - - - Désolée. Imaginons que l'instinc félin de Gabi est sentit un canidé tout près... |
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| Sujet: Re: Dans les rues des quartiers défavorisés [Sujet Libre] Sam 5 Sep 2009 - 13:53 | |
| Dalmentus s'était attendu aux questions posées par la jeune mutante. Il savait bien que son apparence n'inspirait pas confiance. De plus, son instinct de canidé l'alarmait, alors il devait en être ainsi pour son interlocutrice. Cependant, il avait apprit que les humains étaient les seuls créature qu'il ne fallait pas juger à l'instinct.- Je suis Dalmentus Médivh, je viens des Alpes, en Europe, et je me propose de vous aider par esprit de pénitence. Dieu n'enseigne-t-il pas d'aider son prochain? Je vous ai suivit après vous avoir vu fuir des policiers, mais vous m'expliquerez pourquoi en tant voulut. Je peux vous apprendre les bases du contrôle de votre transformation et de vos instincts; mais il faudra vous exercer souvent. Et je préférerai éviter les termes de "maître" ou "d'élève": vous me suivrez selon votre gré et serez libre de faire comme bon vous semble. Il n'y a aucune oblation en se qui vous concerne. Il lui tendis sa main droite pour l'aider à grimper sur le toit, avant de poursuivre: Quelles émotions ressentez vous avant de vous transformer? La peur, la colère? Y a t-il une envie de sang lors de la-dite transformation? Y a t-il plusieurs "niveaux" de transformation?Il s'arrêta brusquement, sachant que son flot de question ne tarirait jamais. Il valait mieux attendre qu'elle ait répondu pour en poser d'autre; cependant une pouvait difficilement attendre. Cédant à sa curiosité, Dalmentus demanda:- Quel est votre nom?--------------------Hors Jeu-------------------- J'avais aussi eut l'idée de l'instinct, mais mon personnage (comme dit plus haut), a réussi à le dominer. |
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| Sujet: Re: Dans les rues des quartiers défavorisés [Sujet Libre] Dim 6 Sep 2009 - 9:55 | |
| Gabi salua une dernière fois Mike et attrapa la main du veil homme. Celui-ci la hissa avec une facilité déconcertante pour l'âge que lui donnait Gabrielle. Elle écouta non sans grand étonnement sur les connaisssances du pouvoir de métamorphose de Delmentus. Son instinct lui priait de se méfier, mais pour une fois Gabi venait d'être charmé complètement par un autre mutant. Elle voulut répondre à ses questions en lui témoignant tout ce qu'elle avait découvert sur les règles de son pouvoir. Elle réfléchissait comment être la plus claire possible dans ses réponses. Delmentus la pris de cour : - Quel est votre nom?Gabi soupira. Elle hésitait toujours à redevenir Gabrielle Redflower ou continuer à se cacher sous Gabi Feline. Comme à son habitude elle opta pour le second choix. Si ami ils deviennent, elle le divulgerait paut-être... Chaque chose en son temps. - Je m'appelle Feline. Gabi Feline et vous pouvez me tutoyer.- - - - - - Hors jeu - - - - - - Tant mieux. ( Pour ton perso comme pour notre idée commune.) |
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| Sujet: Re: Dans les rues des quartiers défavorisés [Sujet Libre] Dim 6 Sep 2009 - 12:02 | |
| Gabi Feline; le nom convenait parfaitement à la jeune mutante. Dalmentus resta un instant à se demander si s'était le véritable nom de son interlocutrice, puis décida qu'il n'importait nullement de poser la question. - Tu n'as pas répondu aux questions les plus urgentes, mais je pense avoir déjà une petite idée sur le fonctionnement de ton pouvoir. Comme la plupart des polymorphes, la peur motive la transformation, et je crois t'avoir fait peur la première fois que nous nous sommes vu. Je me trompe? Tiens toi prête, on va commencer. Sur ces mots, il se transforma avec une lenteur qui n'était pas naturelle. Il mobilisait toute sa volonté à ralentir la métamorphose. Ses ongles poussèrent pour devenir des griffes noires, son visage s'allongea pour prendre la morphologie d'un crane de loup, ses dents devinrent des crocs et ses yeux changèrent une fois de plus de couleur. Même les poils blancs poussèrent au ralentit. Une fois la forme hybride adoptée, Dalmentus mit un genou à terre pour reprendre son souffle. Ce qu'il avait l'habitude de faire en moins d'une seconde et qui ne lui demandait pas plus d'effort qu'une pensée, il l'avait fait en une dizaine de seconde, et cela l'avait plus fatigué que de courir un marathon. D'un signe de tête, il annonça qu'il allait bien. Puis il se mit en position d'attaque; les quatre pattes au sol pour lui donner de bon appuis. Il cligna des yeux pour prévenir qu'il aller entamer un premier passage. D'un bon, il passa au-dessus de Gabi et se plaça dans son dos, pour ensuite sauter dans sa dirrection et passer à seulement quelques centimètre d'elle. Même si elle n'avait pas réagis à ses approche, son instinct devait déjà l'avoir bien alarmée. Il reprit forme humaine aussi rapidement qu'à son habitude, pour ne pas se fatiguer d'avantage. Il se tourna ensuite vers Gabi pour lui demander si sa allait et constater l'évolution de sa transformation. |
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| Sujet: Re: Dans les rues des quartiers défavorisés [Sujet Libre] Jeu 10 Sep 2009 - 16:54 | |
| Gabi écouta attentivement Delmentus. Il lui fit une démonstration...magnifique. Son pouvoir était exaltant. Mais aussi très alarmant. Il se transforma avec une lenteur contrôlé surhumaine. Normal mais surprenant. Transformé il fit mine de l'attaquer avec une précision effrayante. Les crocs près de ses cheveux, le vent ne sifflait plus, il vibrait avec le même silence que la vitesse de Delmentus. Mais le vent reflétait aussi son aura imposante. Il lui fit signe. Elle n'avait pas bougé. Etrangement elle ne s'était pas non plus transformé. Elle était si calme. Son instinct, lui, était toujours aussi alarmiste mais se contenait. Attendant le moment propice pour exploser, certainement. Gabi secoua la tête pour se réveiller. Ah, je fais ? Elle se concentra mais rien ne vint. Elle fronça les sourcils. Oui, sa transformation survenait avec certaines émotions. Elle soupira et fit signe à Delmentus qu'elle y arriverait. Elle soupira, souffla à la suite. Elle repensa aux policiers, à son oncle, aux injustices de sa famille. Mais elle controla sa haine. Ses crocs apparurent lentement, ses lèvres se coupèrent malgrès elle, doucement son pelage vint, ses oreilles changèrent... Elle devint tigre. Elle sauta au dessus de Delmentus toutes griffes dehors, dans un silence de mort elle atterit derrière lui et bondit à quelques centimètres de son visage. Elle retomba sur ses pattes face à lui et elle redevint Gabi d'un coup en abandonnant sa haine pour du triomphe. Elle s'écroula à genoux. Cela ne lui avait pas fait mal, sauf ses lèvres qui coulaient de sang. Mais phsycologiquement... Elle ressentit la fatigue du pouvoir. Elle fixa gravement Delmentus. Quand je me transformais... C'était accidentellement. Mon corps de tigre venait tout seul. Je ne le voyais pas venir... Je le devinais juste avec l'habitude. Mais là... Elle soupira... C'est moi qui l'ai appelé. L'instinct se fait encore plus fort transformé. Il veut prendre le contrôle en permanance. Il n'est certaiment pas habitué à ce que je veuille le contrôler. |
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| Sujet: Re: Dans les rues des quartiers défavorisés [Sujet Libre] Ven 11 Sep 2009 - 18:59 | |
| Dalmentus était impressionné par le contrôle dont faisait preuve Gabi Féline. Il l'écouta parler avant de lui répondre.- Félicitation, j'ai mis beaucoup plus de temps avant de pouvoir me transformer à volonté. quand l'instinct, il est ton plus grand ennemi quand tu te transformes: il peut à tout moment prendre le contrôle, et je ne te souhaite pas se qui arrive ensuite. Il resta un instant songeur, avant de poursuivre: Il faudra recommencer la transformation beaucoup de fois. Je suis sur que tu y arriveras, surtout vu au niveau auquel tu es déjà. Je pense que tes crocs ne te blesseront plus lorsque tu te transformeras assez vite. Alors, veux-tu continuer l'entrainement ou aller manger; les transformations me donnaient fin quand je ne les maitrisaient pas encore. J'ai trouvé un restaurent où, après avoir chasser les rats de leur établissement, ils m'ont promit de me nourrir en remerciement. Comme je n'ai pas encore prit ma récompense, on peut y aller si tu le décides.Le fait qu'il n'eut pas arrêté de sourire depuis la démonstration des talents de Gabi lui donna l'impression d'être bête, mais il s'en fichait. Il avait trouver quelqu'un qui lui ressemblait, et à qui il pouvait éviter les problèmes que lui avait causé son pouvoir dans le passé.-Si tu veux y aller, c'est à un vingt minutes en direction de l'ouest, où cinq minutes si l'on est transformé.Il attendit la réponse de la jeune femme, avec le même sourire qui ne l'avait pas quitté depuis la transformation de Gabi. Il s'approcha pour l'aider à se relever. -------------------Hors Jeu--------------------
Désoler pour avoir mit tant de temps à répondre, car avec le lycée, je peux me connecter moins souvent. |
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| Sujet: Re: Dans les rues des quartiers défavorisés [Sujet Libre] Lun 14 Sep 2009 - 17:46 | |
| Gabi Feline écarquilla les yeux. Elle... Félicité ? Pourtant Delmentus avait fait preuve d'une telle expérience à côté d'elle. Mais ses pensées arrêtèrent de se tourmenter et son attention resta fixé sur le ton doux et sûr de Delmentus. Gabi fut absorbé par son sourire. Il n'y manqait aucune dents. Elles étaient blanche. Il semblait... heureux. Après tout, peut-être que ce veillard avait eu beaucoup de difficultés à battre seul. Avait-il vécu la solitude aussi mal qu'elle à ses débuts ? Là aussi les pensées de Gabi s'arrêtèrent précipitament pour ne murmurer qu'une chose : Elle avait trouvé quelqu'un comme elle. Elle aimait l'entrendre. Elle fut soudain inviter à manger. Manger dans un restaurant ! Gratuit ! Elle pensait rêver. Bien qu'elle ne soit pas maigre, tout le fond de son être s'élança dans un même élan à cette nouvelle : un retentissement sonore de son estomac. Sans même sans soucier, Gabi répondit avec empressement : Oh oui ! Enfin je veux dire... Vraiment je peux ? On va manger au retaurant ? On va manger ? Je pourrais manger, moi ? De la vraie nourriture ? Celle qui sort du frigo ?Elle ferma les yeux et se concentra sur un plat chaud. Elle saliva et commença sa transformation. Elle faillit devoir s'y prendre deux fois tant l'exitation la faisait chavirer. Elle se gronda mentalement et se concentra pour ne pas se faire prendre par l'instinct encore très puissant. Transformé, elle dû s'obliger méchament à attendre Delmentus et à ne pas se laisser guider par son estomac, aussi puissant que son instinct. - - - - - - Hors jeu - - - - - - Je suis dans un cas similaire. Il n'y a pas de mal. |
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| Sujet: Re: Dans les rues des quartiers défavorisés [Sujet Libre] Mer 16 Sep 2009 - 9:15 | |
| Gabi était ravie de pouvoir manger dans un restaurent, plus que Dalmentus ne l'aurait crut en tout cas. Il se tourna vers l'ouest et se transforma, avec la rapidité habituelle. Après un un bref signe de tête vers l'autre hybride, qui ne l'était plus vraiment, il s'élança. Son saut l'emmena sur l'immeuble d'à côté, puis il poursuivit son chemin en sautant à toutes les prises qu'il trouvait. D'un salto, il passa d'un balcon à un lampadaire, puis d'un autre, et il se retrouva sur le toit d'un camoin. Sans que le contucteur ne s'apperçoive de sa présence, il sauta une fois de plus pour atteindre encore un autre toit. Et se fut ainsi pendant cinq minutes, même un peu moins si Gabi arrivait à suivre. Il fini par atterrir dansune ruelle sombre, et il s'y arréta pour reprendre forme humain. Là, il attendit que Gabi l'aie rejoint, puis il entra. C'était la porte de dérrière, qui passait par les cuisines. Arrivé à la table de cuisson, il appella le chef. - Fredhrik? Comment allez vous? Un homme bien portant, un peu potelé sur les bors, vint lui rendre son salut. - Alors, vous en avez marre de bouffer des piafs? - Vous aviez dit que je pouvais manger ici, après que je vous ai débarassé des rats, sa tient toujours? - Bien sur, j'avais même dit que vous pourriez ramener du monde si m'envie vous en prennez! A ces mots, Dalmentus se tourna pour présenter Gabi au Chef cuisto: - Fredhrik, voici mademoiselle Feline, elle profitera aussi de votre nourriture. - Bien entendu, les amis de mes amis sont mes amis. Je suis Freggor Fredhrik, le cuisto et accessoirement patron de ce restaurent. Annoça l'homme roux en s'inclinant, avant de reprendre: Si mademoiselle veut bien choisir un plat, je serais heureux de le lui préparer. Continuez tout droit pour arriver dans la salle du restaurent. Dal, je vous prépare un poulet? Plaisanta Fredhrik. C'est ainsi que dans un petit restaurent des quartier de New York, deux mutants allaient manger à leur faim pour être ce qu'ils sont, ni des monstres ni des animaux, juste des être différent. |
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| Sujet: Re: Dans les rues des quartiers défavorisés [Sujet Libre] Sam 19 Sep 2009 - 14:39 | |
| Gabi feline déployait ses muscles, sautait sur les toits, bondissait sur les lumières de la ville, frôlait les voitures, tout ça dans un silence cassé par le vent sifflant dans son oreille développé. Malgré ses efforts, sa vitesse, sa volonté... Elle paraissait médiocre, lente, complétement ridicule à côté de Delmentus. Tout en se promettant de s'entraîner dur, elle rejoint Delmentus dans une rue sombre éclairé d'un unique lampadaire. Il retrouva forme humaine et Gabi fit de même, elle prit plus de temps et le joignit à la hâte. Il discuta avec un homme rond, boudinet. Il paraissait aimable. En tout cas il l'est avec les humains normaux. Gabi fut présenté. Surprise elle baissa la tête avec respect et murmura une salutation du bout des lèvres. Elle était plus du tout habitué à ce qu'on lui adresse la parole de cette façon... Invitante. Le petit homme lui proposa un menu. Elle le prit délicatement. Ses yeux lirent les lignes. De plus en plus vite. Une lueur grandissait dans ses yeux. Elle s'arrêta sur "Côte à l'os". - J'aimerais une Côte à l'os s'il vous plaît. Dit-elle en un éclair. - Mais oui, mais oui. Fit-il amusé. Que veux-tu avec ? Des frites ? Des haricots ? - Des frites s'il vous plaît. Elle se rapella de ses fameuses patates en rondelles cuites dans l'huile. Ca remplissait l'estomac, de bon féculent. Elle devait se régénérer. Bientôt elle fut installé avec Delmantus. Ses jambes tambourinnèrent le sol avec impatience pendant toute l'attente. Quand le dêner vint, elle laissa de côté les couverts, attrapa la viande et y planta ses dents. Ceux ci rencontrèrent l'os et délicatement, sans que quiquonque ne s'en aperçoivent - ormis Delmentus certainement - elle fit appraître ses crocs pour l'aider à mâcher la moelle. Ses yeux mis clos, son nez sentant la sauce (avec plus de goùt grâce à son odorat développé), de petits gémissement de bonheur, c'était la caricature parfaite du "bienheureux", l'affamé qui attrape enfin son rêve dans sa bouche. |
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| Sujet: Re: Dans les rues des quartiers défavorisés [Sujet Libre] Dim 20 Sep 2009 - 13:27 | |
| Fredhrik avait cuisiné avec rapidité. Il était un exélent cuisinier, et cela se voyait à sa silhouette. Le caractère collait parfaitement avec l'homme, jovial et bienportant. Dalmentus avait eut le temps d'observer toute la salle. Quatre tables étaient prises, trois autres étaient en attentes. Il y avait deux amoureux qui festoyaient, quatre hommes qui jouaient aux cartes, un homme vétu de noir qui observait aussi ses compatriotes, et puis eux. Un homme à la cinquantaine et une jeune adolescente. Dalmentus avait desuite détourné son regard, et s'était rabatut sur sa propre table. Gabi avait l'air d'aimer la nourriture préparée par Fredhrik, mais elle faisait fi des convenance: elle s'était litéralement attaquée à son plat. Elle avait même utilisé ses pouvoirs pour faciliter l'ingestion. Elle progréssait plus vite qu'il ne l'aurait jamais pu. Il commença alors à dissequer son poulet, avant de le manger avec plus de magnière qu'il n'en fallait. Fredhrik intervint à ce moment. - Alors, Dal ne vous nourrit pas assez? J'lui ai toujours dit que bouffé des piafs sa remplit pas le ventre. Plaisanta-t-il. Puis il se figea, regardant Gabi avec insistante. Joli dents, alors vous aussi z'êtes un mutant? Voyant Dalmentus le foudroyer du regard, il se tut. Si Fredhrik n'aivait jamais eut la moindre apréantion à l'égard des mutants, se n'était surement pas le cas de l'homme assit dans le coins de la salle. Celui les regardaient maintenant directement, jetant de temps à autre des regards sur ses genoux. Dalmentus put l'osberver mieux qu'au premier regard. Il portait un long manteau de cuire noir aux bordures rouge, ainsi qu'un képis noir orné d'un crâne aillé en fer. Dalmentus n'aimait pas cet homme sans même le connaitre, car il flottait autour de lui comme une aura de malveillance. -Fini ton repas, mais on devra partir après. annonça t-il à Gabi, la mine grave. |
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| Sujet: Re: Dans les rues des quartiers défavorisés [Sujet Libre] Dim 20 Sep 2009 - 13:54 | |
| Delmentus observa scrupuleusement la salle puis commença à manger. Gabi, elle, ne se faisait pas prier. Elle était tellement absorbée par son plat qu'elle fut surprise de l'arrivée de Fredhrik. Alors, Dal ne vous nourrit pas assez? J'lui ai toujours dit que bouffé des piafs sa remplit pas le ventre. Plaisanta leur hôte. Gabi allait sourire quand il se figea, regardant Gabi avec insistante. Joli dents, alors vous aussi z'êtes un mutant? Gabi faillit s'étouffer. Ses cheveux se dressèrent et elle regardant d'un oeil interrogateur et méfiant l'humain. Delmentus fit taire Fredhrik par un simple regard qui en disait long. Il regarda derrière Gabi. Celle ci se concentra alors sur la pièce. Aussitôt, sans se retourner, elle sentit quelque chose de désagréable dans son dos. Elle frissonna tout en essayant de comprendre cette gêne. Quelqu'un les scrutait. Quelqu'un la poignardait du regard. Elle donna un regard vif et paniquant à Delmentus. Fini ton repas, mais on devra partir après. Dit-il gravement. Gabi s'empressa de finir son repas. |
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| Sujet: Re: Dans les rues des quartiers défavorisés [Sujet Libre] Dim 20 Sep 2009 - 14:29 | |
| Dalmentus avait attendu que Gabi ait finie son repas pour partir. Fredhrik était déssidement bien utile, car il était aller distraire l'homme en noir pendant que les deux mutants partaient par l'arrière. - Il va falloir faire vite. Avait déclaré Fredhrik comme signe d'adieu. Dalmentus avait laissé passer Gabi devant, et avait surveillé les arrières jusqu'à se qu'ils fussent sortis du restaurent. - J'espère que c'était bon, car il risque d'y avoir du sport. Avait-il annoncé en désignant des policiers qui patrouillaient. - Suis moi, et il faut aller plus vite que tout à l'heure, en restant discrés. Sur ce, Dalmentus se transforma et parti vers les toits avec plus de célérités qu'il n'en avait fait preuve jusque là. Il retomba d'un seul coup, étivant de justesse la vision d'un hélico. La seconde fois, il escalada la paroit pour surveiller l'arrivée évantuelle d'autre engins de police, mais fini par faire signe à Gabi de le rejoindre. Une fois qu'elle l'eut fait, il parti à toute vitesse, vers l'est. Il sautait de toit en toit, se retournant entre quelques sauts pour vérifier que Gabi le suivait. Une dizaine de minutes plus tard, il s'arrêta, reprit forme humaine et demanda: - Qui qu'il est été, cet homme va nous causser des problèmes. Sinon, j'espère que tu tiens le coup. On devrait c'être suffisament éloigné pour qu'ils ne nous rattrappent pas avant deux jours, s'ils sont capable de suivre notre piste. Assura-t-il en se retournant vers Gabi. |
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| Sujet: Re: Dans les rues des quartiers défavorisés [Sujet Libre] Dim 20 Sep 2009 - 15:03 | |
| Gabi suivit Delmentus en dehors du restaurant, Fredhrik parlait à "l'homme vêtu de noir". Il devait être en train de détourner l'intention. Elle pria pour que "l'homme de noir" ne remarque pas le stratagème et ne se venge sur le si bon Fradhrik. Delmentus la laissa passer, l'oeil aux aguets. Ce type fait vraiment peur à voir la tête de Delmentus. Pourvu qu'on fuit assez vite pour ne pas avoir à faire face à lui. Delmentus se transforma, il bondissa, escalda, sauta, fuya le regard d'un hélico, vérifia la police et demanda à Gabi de le rejoindre. Elle se transforma en deux courtes minutes. Son instinct était plus contrôlable maintenant qu'elle avait le ventre plein. Elle bondit sur un escalier extérieur de fer, sauta sur un mur à l'autre bout et grimpa sur un toit. Elle courut jusqu'au loup blanc. Delmentus et elle s'enfuir dans la nuit, un silence de mort dans leur course, le vent cinglant dans leur saut. Delmentus la distancé régulièrement et celui ci devait toujours ralentir quand elle n'était plus en vu. Gabi grogna. Quel fardeau je fais ! Enfin il s'arrêta. Qui qu'il est été, cet homme va nous causser des problèmes. Sinon, j'espère que tu tiens le coup. On devrait c'être suffisament éloigné pour qu'ils ne nous rattrappent pas avant deux jours, s'ils sont capables de suivre notre piste. Dit-il quand il reprirent forme humaine. Gabi resta songeuse. Et maintenant, que fait-on ? On va devoir fuir ? De qui ? Cet homme, vous avez une petite idée de qui c'est, Delmentus ? Vous rapelle t-il quelqu'un ? Vous rapelle t-il certaines personnes qui aurait raison de nous poursuivre ? |
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| Sujet: Re: Dans les rues des quartiers défavorisés [Sujet Libre] Lun 21 Sep 2009 - 17:24 | |
| Dalmentus était plus qu'inquiet. mais il n'allait pas ignorer les questions de Gabi pour autant. - Je ne suis pas sur, mais j'ai déjà connut un homme qui lui ressemblait. La même tenue, le képis en moins, et surtout, la même odeur. Surement un proche parent, un frère ou quelque chose du genre. A mon arrivé à Marseille, il avait assassiné un mutant, un voleur, je crois. Le dit mutant avait dévalisé une banque et avait blessé plusieur personne à l'aide de son pouvoir. Il était juste devant moi à l'aéroport, quand il a reçut une balle en pleine tête. Par réflexe, j'avais commencé une transformation, arrêtée immédiatement lorsque je m'étais rendu compte de l'érreur que j'allais commettre. Bisarement, les policiers n'ont fait que rammaçer le corps et lui rendre la balle. Jusque là, je croyait qu'il ne m'avait pas retrouvé, mais il semble que je me soit tromper. A moins qu'il ne soit là pour toi. Dans les deux cas, il faudra qu'il me tue pour arriver à ses fins. Je ne te demande pas de me dire ce que tu a fait, car je ne laisserai pas mon oppinion te concernant changer pour se que tu à fait. Je t'ai assez cotoyée pour juger que tu étais du bon côté, et je pense que se que tu as fait, tu y a été contrainte. Mais il faut partir d'ici, car s'il m'a suivit depuis l'Europe, il nous retrouvera facilement. Y a t-il quelqu'un chez qui on peut se cacher, j'ai peur que se soit raté pour Fredhrik. Il se retourna dans la dirrection d'où ils venaient, et regarda l'horrizon. Un orage n'allait pas tarder à tomber, et celà ne rendrait que plus facile leur poursuite. Dans tous les cas, il ne laisserait pas la jeune fille se faire tuer. Elle avait encore toute la vie à découvrir. |
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| Sujet: Re: Dans les rues des quartiers défavorisés [Sujet Libre] Sam 26 Sep 2009 - 11:20 | |
| Gabi comprit qu'il la défenderait coûte que coûte. Son coeur se serra. Elle devait bien pouvoir faire quelque chose non ? Puis elle se rapella qu'elle était à New York. Elle eut une idée pour trouver un toit. Mais était-il encore possible d'y aller ? D'après les dernières nouvelles, il y a cela de plusieurs mois, cet appartement avait été laissé à l'abandon. Personne ne voulait de cet endroit maudit. Si il était encore fermé, il était possible qu'ils puissent avoir un lieux couvert pour dormir. Delmentus, près d'ici il y a un appartement où... Mais était-elle à revoir son ancien logis ? Elle dévisagea Delmentus, maintenant lancé elle devait bien finir, pour lui. Il y a un appartement abandonné. Je pense qu'il l'est touours. Si on ne fait pas de bruit pour les voisins on pourra y s'héberger ? Mais était-elle prête à revoir le lieux de son crime ? |
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| Sujet: Re: Dans les rues des quartiers défavorisés [Sujet Libre] Dim 27 Sep 2009 - 16:54 | |
| Un appartement. Ce mot n'avait jamais eut de sens pour Dalmentus. D'où il venait, il n'y avait que des chalets, et le fait que plus d'une famille puisse vivre sous le même toit il échappait encore. Comment les gens pouvaient ils s'entasser dans des batiments? - Comment as-tu pris connaissance de cet endroit? Nous pourrons nous y abriter, mais s'est risqué si c'est déjà habité. Je pense selement qu'il faut partir d'ici au plus vite: les policiers finiront par nous trouver si on reste. Dalmentus commençait à s'inquièter, combien de temps leur restaient-ils avant qu'ils ne soient trouvés? Qui était leur poursuivant, cet "homme en noir"? A force d'y penser, les images de la mort de son père lui revirent. Une fois de plus, il revit la forêt, les chasseur, et le loup noir. Il revit la mort du grand loup, et réentendit son dernier mot: Alysa. Il ne parvenait pas à l'idée qu'il eut assisté à la mort de ce père qu'il n'avait jamais connut. Puis une autre image apparue. Un homme de plus de deux mêtres, celui qui avait porté le coup fatal à Dalmentus Sénior. Même si son apparence était floue, Dalmentus Jr parvint à voir un collier, un collier frappé d'un sceaux: Aegis. Dalmentus sorti brutalement de sa rêverie, son instinct était devenu plus présent que jamais. Il cligna ddes yeux plusieurs fois, mais quelque chose clochait. Et ce quelque chose devait avoir un rapport avec le fait que ses yeux eussent viré au rouge. - Il va fallir partir au plus vite. Parvint-il à formuler, plus inquiet de l'arrivée potentielle des humains que de son état. |
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| Sujet: Re: Dans les rues des quartiers défavorisés [Sujet Libre] Mar 29 Sep 2009 - 19:52 | |
| Le visage de Delmentus devint vague. Il était partit dans ses rêveries. Gabi se demanda à quoi il pouvait bien penser. Il semblait si...perdu. Elle commenca à s'affoler : Delmentus restait là, coincé dans sa nostalgie. Son visage était blême et son esprit hors de porté. Elle allait le secoué lorsqu'il revint à lui. Il va falloir partir au plus vite. Gabi comprit qu'ils leur fallaient surtout d'une pause. Les émotions et l'activités n'avaient pas cessés depuis leur rencontre, il y a cela maintenant presque deux heures. Deux heures à aller de droite à gauche. Elle réfléhit rapidement pour trouver une bonne excuse de rester ici. Elle devait faire avec vitesse, précision et déision. Sa détermination devrait suffire à ce qu'il la suive. Il fallait essayer le repos plutôt que la précipitation ! Delmentus, il serait plus sage d'aller à cet appartement. Il n'est sûrment habité... Il le faut ! Cet homme doit certainement avoir deviné que Fredhrik le gardait pendant qu'on filait. les mutants ayant affaire à lui ont dû faire comme nous : fuir rapidement. Nous ne avons pas comment est sa stratégie. Allons réfléchir la tête posée, dans un endroit connu de peu de personne ! Sur ce, elle attrapa sa main et l'emmena à travers les rues. Elle s'arrêta plusieurs fois à la vue de passant l'ayant déjà vu, outre-aperçu et ils finirent de tourner dans une ruelle sombre en cul de sac, sans lumière. Tout était comme avant. Elle sauta sur les poubelles et grimpa sur le mûr qui coupait la ruelle. Il y avait plusieurs morceau de bois qui refermé une ouverture. C'était une fenêtre jadis. Gabi respira un bon coup : autant pour se préparer mentalment qu'à sa transformation. Elle fit sortir ses griffes avec difficultés. Coupa et arracha san bruit le bois. Elle jeta un coup d'oeil rapide. Rien n'avait bougé. Une tablette à l'envers, rongée par les mites, une télé cassée, des bouteilles éparpiées, une cuisine abandonnée. Il y avait une porte fermée de sortes à ce que personne ne rentre : la porte d'entrée. Un autre conduisant au deux chambres. Sur le sol du salon, il y restait beaucoup de sang. mais il avait séché. Son père y était mort. Le dessin de sa carcasse, dessiné par les flics. Il y restait encore quelques lignes. ainsi que la où les jumeaux avaient été étouffé. Elle ravala son malaise, ses larmes et sa culpabilité. Venez. Dit-elle à l'intention de delmentus, blanche comme un linge. |
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