Dans les rues des quartiers défavorisés [Sujet Libre]

Invité

Dalmentus n'avait pas resisté quand Gabi l'avait entrainé à sa suite. Il faisait entièrement confiance à son amie pour lui laisser la tête. Son esprit trop embrouillé par le malaise qu'il ressantait pour qu'il se rappella du chemin emprinter. Si tout lui avait semblé flou au début, il y avait des phases où la préssision de son regard s'accentuait trop pour son propre cerveau, lui causant un mal de crâne douloureux. Ils finirent par monter par une échelle pour entré dans un appartement. Dans celui ci, les yeux de Dalmentus redevinrent lui envoyèrent une image de massacre, avec du sans séché et des traces de corps.
- Que s'est il passé? Est-il arrivé avant nous? Non, ce sang, il est séché...
Les images parfaitement détaillées que ses yeux lui transmettaient à présent révélèrent bien plus que le carnage de l'appartement, elles révélèrent le visage de Gabi.
- Ainsi donc, tu a déjà connut la torture qu'impose l'instinct lorsqu'il domine? J'aurais souhété que celà ne t'arrive jamais. Dit-il avant de s'assoir sur le rebort de la fenêtre.
- Comment ça s'est passé?

Invité

Gabi était hypnotisée part les lieux. Elle regarda le petit coin de cuisine. Le peu de vaisselle y était cassée, oubliée. La table n'avait pas survécue à ce jour là. Elle redressa une chaise, enleva la poussière et, sans s'assurer si elle était silide, s'assit dessus. Elle baissa a tête, dos droit, l'air obéïssante, prête à faire le rapport de sa journée. Comme ci cette vie là ne s'était jamais arrêté.
Delmentus regardait autour de lui. Comme ci il voyait des fantômes. Gabi ne fit pas attention à lui. Elle sortit de ses pensées seulement lorsqu'il s'adresse à elle pour de bon.
Ainsi donc, tu a déjà connut la torture qu'impose l'instinct lorsqu'il domine? J'aurais souhaité que cela ne t'arrive jamais.
Gakira ouvrit de grands yeux et leva vivement la tête vers lui. Il était installé sur la fenêtre et la dévisageait.
- Comment ça s'est passé?
Une sueur froide coula dans le dos de Gabi, lentement. Mais intense. Elle ouvrit la bouche, la referma. Après tout, maintenant qu'on y étais...
Je...je n'étais plus moi même. John...il avait failli tuer John... Il était le seul à comprendre avec moi que nore famille était cruelle. Nos parents ne nous aimaient pas... Notre oncle n'était rien qu'un coureur de jupons. Pourtant nous n'étions pas très soudé. Nous c'est à dire les enfants. La hiérarchie de la famille était très dure...
Des larmes silencieuses coualient sur sess joues.

Invité

Dalmentus savait qu'il n'aurait jamais du poser la question, il savait que revivre une scéne d'impuissance était dur. Il se leva à la vut des larmes de l'autre hybride, arracha l'un des rideaux pour le mettre sur les épaules de Gabi.
- Voir mourrir ses proche est la plus dure des épreuves, surtout si s'est de notre main... S'est pour cela qu'il ne faut jamais sucomber à l'instinct. Je sais se que sa fait, et si tu veux rester seule, je te laisserai. Sache que je suis là si tu veux parler; mais n'y repense plus...
Son discours était confut, plus parce qu'il ne savait pas s'y prendre avec les humains que par son mal de tête. Il s'assis devant elle, sur le sol, et la regarda de ses grands yeux rouges.
- Si selà peut t'aider à te sentir mieux, je peux nétoyer. Il faudrait que tu te repose, la journée a été rude et la nuit porte conseil.
Il resta assis tant que Gabi n'eut rien déssidé, mais était pret à faire se qu'elle lui accorderai, car après tout, c'était surementson ancienne maison et elle avait le droit de décider ce qui se passerai ici.

-------------------Hors Jeu-------------------

Désoler d'avoir mit du temps répondre, j'espèrai pouvoir inclure mon autre perso avant que l'histoire n'ait trop avancée, mais ça a l'aire compromit.

Invité

Faites ce que vous voulez.
Dit-elle enfin, touché par l'attention de l'hybride.
Mais s'il te plaît, écoutez moi... Je n'ai jamais eu l'occasion de parler de ça avec personne. Juste une fois et je te laisserais tranquille...
Elle prit une grande respiration.
Mon frère John était l'aîné, c'était le chef après les parents. Il était malin, beau et mature. Il aurait pu s'échapper facilement. Mais cette vie de veiller sur ses cadets...et, j'avoue, aussi d'avoir le pouvoir lui convenait. Après lui c'était moi. Dès ma sortie du collège nous avons fait les 400 coups, la famille vivait de métiers mauvais. John et moi nous volions. Nous trompions. Puis nous revenions avec nos butins. Papa nous donnait nos quartiers où l'on faisait nos vilaines farces.
Elle soupira, essuya d'un rapide mouvement ses larmes et sa sueur froide.
Bref on était méchant, on humiliait nos petits frères, on trompait tout nos copains d'écoles que nous étions des petits anges. Magnifique la famille...

hors jeu : on n'a cas rester un moment dans le secteur en attendant.

Invité

Puisqu'ils en étaient au confidence, Dalmentus s'appréta à racontrer sa vie.
- Ne t'en fait pas, aucune famille n'est parfaite. J'ai toujours vécu seul avec ma mère, mon père étant "mort" -Il insista sur ce mot, comme pour s'en convaincre- avant ma naissance. Je n'ai jamais vraiment eut d'amis. J'ai fini par perdre ma mère à cause de mon pouvoir. Durant mon exil, j'ai découvert la nature, j'ai mené une meute de loup pendant quelques années. Les hivers étaient froid, il n'y avait pas toujours de nourriture assez de nourriture pour que nous ayons tous à manger. Morsque je les ai quittés, j'ai connue une diète de deux semaines. La chasse était plsu dure mais les repas rapportaient plus de viande pourmon estomac. Quand je me suis finalement décidé de rentrer, je n'ai retrouvé qu'une personne que je connaissais. Il m'a conseillé de venir ici, et je ne l'ai regrété qu'une fois, à l'arrivée. J'ai été blessé par balle. J'ai été suaver par une mutante. Je n'ai sauté que de péripécies en péripécies depuis mon arrivé. T'avoir rencontré est comme une pause. Le seul moment ou je n'ai eut ni à fuire, ni à me battre.
Bon, pour résumer, tu n'est pas la seule à avoir traversée des épreuves, et je peut te comprendre. Si je puis faire quoi que se soit pour t'aider, dis le.

Invité

Delmentus se confiait ! Gabi l'avait cru refermé, mais il n'en était rien. Il venait de lui avouer des épisodes de sa vie. Alors elle, elle se plaignait d'avoir une famille malseine mais lui n'en avait jamais eu. Pas de père, une mère morte à cause de lui. Qui devait certainement être bonne.
La culpabilité et le manque d'amour... Gabi se sentit toute piteuse.
Oui, je sais que je ne suis pas seule dans de telles conditions. Je suis bête de me plaindre. Mais... C'est moi qui ait tué. Mon Oncle, les jumeaux et ma mère peu après... Tout est de ma faute. Et le pire c'est que John est parti sans moi. Papa est sûrement dans le coup. J'aimerai le retrouver mais... Non il me déteste maintenant.
Gabi râla. Elle cassa la table dans un violent coup de pieds sans transformation, alluma un feu avec. gabi fut précautionneause pour que personne ne devine qu'il y avait un barbecue dans l'appartement abandonné.Je parie qu'ils n'ont pas trouver notre garde manger.
Dit-elle en ouvrant une trappe secrète sous l'évier. Elle s'engouffra dans un tout petit espace où s'entassaient les vols. Elle attrapa des haricots, referma l'entrée en sortant et se mit à les cuir.
Il va falloir sortir d'un quelques jours, il vaut mieux garder l'estomac plein.

Invité

- Ce n'est pas toi qui l'as tué; Tu étais sous l'emprise de ton instinct. la rassura Dalmentus. Je ne pense pas que ton frère te deteste, en tant que ton ainé, je pense qu'il doit être plus inquiet pour toi qu'en colère contre toi.
Sur ce, il se leva. Il fit le tour de la pièce, regarda par la fenêtre et revint se planter devant Gabi.
- Non merci. Déclina Dalmentus lorsqu'elle lui proposa des haricots. Dans la nature, je mangeai tout les deux jours aux minimum. Je me suis habitué à ce régime, alors je te laisse ma part. Mais merci quand même.
Il se leva une fois de plus. Il alla regarder à la fenêtre. Il resta à contempler la ville. Tant de personnes qui menaient leurs vies sans y penser, qui avaient leurs problèmes. Leurs problèmes, ils en avaient tous. Combien en avaient-ils qui concernaient les mutants?
- Où penses-tu que ton frère aurait pu aller se réfugier? Si on doit aller le chercher, il faudra bien commencer par quelque part.

Invité

Gabi fit la moue quand Delmentus lui refusa sa préparation. Elle ne mengea pas la part du vieil homme mais finit la sienne en temps records.
Où penses-tu que ton frère aurait pu aller se réfugier? Si on doit aller le chercher, il faudra bien commencer par quelque part.
Gabi s'étrangla avec sa dernière bouché. Elle toussa un moment puis réussit à prononcer :
Le...le chercher !? Non mais ça va pas ! Tu...
Elle rougit, hinteuse de sa réaction. Il voulait juste l'aider. Et elle, elle lui criait dessus !
Je ne suis pas... prête. Tu comprends... J'irai le retrouver quand je me serai accepté comme je suis. Mais... j'ai honte. Honte d'être honteuse d'être une mutante. C'est stupide, les mutants sont comme les hommes au fond. Ce sont des hommes !
Elle réfléchit un instant à ce qu'elle pouvait bien dire.
En gros, je le retrouvrai quand je serai capable de me contrôler, d'avoir confiance en moi et d'être sûr que je soit une mutante bien dans sa peau.

Invité

Gabi paraissait embrouillée, confuse, a tel point que Dalmentus regréta ses paroles.
- Excuse moi, je n'ai pas à me meler de cela. Je t'aiderai, j'ai déjà promis te t'apprendre à controler ton pouvoir. Tu es plutôt douée d'ailleur. Mais il faut que je reste à ma place. Je n'ai pas été beaucoup en compagnie d'humain ces trente dernières années, bien que cela est changé quand je suis arrivé aux Etats-Unis, et je dois encore m'améliorer en relations sociales. Mais si tu as besoin de mon aide, n'ésites pas.
Dalmentus sombra alors dans ses souvenirs. Son arrivée, Ashlee -qu'il connaissait sous le nom d'Anna- qui lui avait sauvée la vie; sa visite à l'institut, qui s'était limité à une bagare dans les cuisines; sa rencontre avec Logan lorsqu'il s'était enfuis; et ses péripécies avec Gabi qui l'avaient conduit ici. Il fallait vraiment qu'il s'améliore dans les relations sociales, vu le monde qu'il croisait.
Il reporta son attention à Gabi, elle avait vraiment l'air d'avoir besoin de soutien. Il remarqua aussi qu'il l'avait froicée en refusant sa nourriture, et il s'excusa d'un geste de la main, attendant les réactions de Gabi.

-------------------Hors Jeu-------------------

Désoler de mettre du temps à répondre, mais j'ai chopé un virus qui s'encleche quand je vais sur le net. Je serai donc moins souvent sur ce Fofo. Désoler

Invité

Gabi regarda son assiette vide comme en attente qu'elle se remplisse une nouvelle fois toute seule. Delmentus attrapa sa part et commença à manger. Il avait dû se sentir mal. Son instinct traduisait autours de lui une aura meurtri. Gabi fit mine de vouloir attraper l'assiette de Delmentus.
Ça va, ça va. Je n'ai rien contre le régime que s'imposent les gens, moi !
Elle lui sourit.
Dans la société, on fait à manger pour tout le monde : tout le monde à faim au même moment. La communauté est réglé ainsi. C'est pour ça que je me devais de faire à manger pour deux ! Disons cas partir de maintenant, nous ferons le contraire : tu me préviens quand à faim.
Retrouvant un peu de gaité, Gabi posa son assiette et se balada dans la maison. Elle souriait en se remémorant des souvenirs. La plupart du temps elle grimaçait.
Je peux te poser une question indiscrète ?
Sans plus attendre, elle demanda avant de perdre courage :
D'où viens-tu exactement ?

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