l'enfant espion ( tarzan & ampère )

Bon d’accord, en général l’enfant des ténèbres n’aimait pas trop qu’on le mène par le bout de nez. Oui, même s’il était assez généreux et gentil avec les autres, en restant distant, il ne se laissait jamais manipulé par qui que ce soit. ’’je suis mon propre maître’’, cette phrase était résumée a elle seule toute la mentalité du jeune homme. Pendant toute sa vie, c est lui seul qui décider de ce qu’il devait faire ou non, et il n’aimait pas du tout qu’on s’interpose dans ses choix. De plus que ce fonctionnement se montrait parfaitement au niveau de son extravagance. Cela se traduisait bien a son style d’habillement, simple sans marque, avec quelques fois des trous ou des taches. De plus qu’il traînait souvent dehors pieds nus, sans faire attention aux critiques des autres. De toute façon, il s’était toujours foutu de savoir ce qu’on pense de lui, mis a part ses parents et ses proches. Cependant et de temps en temps, l’enfant des ténèbres se laissait aller au commandement d’une personne. A ce concept, il était quand même amusé de voir qu’une jeune fille comme elle, avait le courage d’être aussi autoritaire devant un homme tel que tristan. Et ben, on peut bien dire qu’elle en avait du bol, qu’il soit si gentil et patient. Parce qu’il ne saurait pas étonnant qu’une autre personne, n’aurait pas hésité un instant de la renvoyer chier. Mais bon, il se rendait rapidement compte que cette situation de jouer le mouton, ne lui convenait pas du tout. En voulant reprendre les choses en main et en ayant peut confiance en cette jeune femme, il lui avait demandé ou elle l’attirait.

Même si ce n’était qu’une simple question, il espérait qu’elle comprendrait, qu’il en avait marre de la suivre comme un toutou! C est sur que ça faisait un peu trop, homme soumis, surtout qu’il ne sortait pas du tout avec elle. Malheureusement et a son énervement, l’enfant des ténèbres vit qu’elle ne prit même pas la peine de répondre a sa question. Elle continuait encore a l’emmener dans un endroit, totalement inconsciente de son état de santé. Ce genre de trucs avait le don de le mettre a cran, tellement qu’il sentait comme un élément du décors. Quelques temps plus tard et alors qu’il était a deux doigts de la rejoindre, il entendit un bruit de coup de courant. A première vu, il s’agissait des panneaux qui déconnaient secs, ce qui provoquait une héstérie général. Et bien sur avec la mal chance qu’il avait eut pendant toute la journée, il vit que tous ces gens se ruaient vers lui. Sans faire attention a ce que pouvait faire Ampère, Tristan essayait en vain de se faire un passage dans toute cette foule pour sortir dans la rue. Quelques temps plus tard , il réussit a voir la lumière du soleil, qui cette fois ci était la bienvenu dans son esprit. Un esprit qui était encore dans le chaos total, entre cette jeune femme qui l’avait trahi, entre cette foule qui l’avait totalement écrasé comme une merde, sans parler de ses malsaises qui lui faisaient encore des mauvais coup. Quand même rassuré qu’il pourrait enfin rentrer dar dar a l’institut des mutants, une chose qu’il allait de suite faire.

Cependant, il fut encore interrompu dans sa course, par deux facteurs. Le premier était qu’il avait revu la jeune femme du magazin ! Hey oui, comme le monde est tout petit ici, meme avec cette foule, je la retrouve, et sans mes pouvoirs ! Voila ce que pensait tristan, en ricanant sombrement dans son esprit. Cette jeune femme qui s'était joué de lui, allait sans doute avoir les repressailles de l'ange. Le second facteur c’était qu’elle avait percuté un autre homme. Ce dernier était étrangement bizarre, ce qui exita la curiosité de l’ange noir qui s’était discrètement caché, pour admirer la situation. Il avait reussit a trouvé une bonne cachette non loin de la, grace a ses pouvoirs bien sur. autrement il avait fait pour voir si elle causerait encore des problèmes a l’individu, sur quoi il interviendrait rapidement. Ben quoi ? Autant prevenir l'inconnu du danger, plutot qu'il tombe dans le meme paneau que lui. Enfin, reste a voir si cet homme le meritait vraiment, une chose que tristan en doutait fortement.

Après avoir évité habilement la déferlante des badauds paniqués, Louise avait savouré pendant un bref instant sa victoire en admirant le fruit de ses efforts. Elle avait bien eu raison de tenir bon et de ne pas désespérer avec ce type. Sa patience avait été récompensée et pas qu’un peu...Oubliés le fiasco de l’ascenseur, les discussions inintéressantes et totalement vides d’intérêt qu’elle venait de se coltiner. Sans aucun doute, elle avait trouvé là la proie idéale. Un pauvre petit humain plutôt paumé et dont la naïveté frôlait des niveaux insoupçonnables...Le pigeon parfait pour qu’elle puisse jouer avec lui...Cet après-midi de tourisme, qui s’annonçait passablement ennuyeux, avait fait un incroyable revirement, et à présent, après le coup de la cafetière capricieuse et l’attaque menée contre le cachet d’aspirine, la jeune femme avait retrouvé le sourire. Pas un sourire bienveillant et amical, qu’elle ne réservait qu’à un petit groupe de personnes en qui elle avait totalement confiance et qu’elle appréciait...Non, là, il s’agissait plutôt d’un rictus rempli de cynisme et de sarcasme. Quand il s’agissait d’humains, le bon fond de Louise et sa nature tranquille disparaissaient aux oubliettes. L’abandon de sa famille et de ses amis, le rejet de l’humanité face à sa personne et à sa condition de mutante avaient laissé des traces indélébiles, et quand elle se frottait à ses êtres inférieurs, elle ne ressentait rien d’autre que de la haine. Une colère sournoise, accompagnée d’un profond désir de vengeance qui ne demandait qu’à être éteint. Au fond, Visage Pâle avait eu de la chance...Après tout, elle s’était juste amusée avec lui. Les policiers qu’elle avait envoyé ad patres sur le pont n’avaient pas eu droit à ce traitement de faveur...Elle les avait grillés, tout simplement, sans aucune arrière pensée ni aucun regret. Cette guerre et ce massacre ne lui ôtaient pas le sommeil, c’était le moins qu’on pouvait dire...

Quand à ce qui s’était passé aujourd’hui, ce n’était qu’un jeu. Un bref moment d’amusement, censé la distraire. Et il fallait avouer, sans s’envoyer trop de fleurs évidemment, que cette petite virée au centre commercial avait été un succès complet...De là où elle était, elle voyait le jeune homme peiner et redoubler d’efforts pour se sortir de ce pétrin dans lequel elle venait de le fourrer. Et ça la faisait rire à gorge déployée. Les gens le bousculaient sans douceur aucune, sans même le voir, effrayés par l’idée de finir grillés comme de vulgaire toasts du petit déjeuner. Le pauvre type, qui déjà ne se sentait pas bien, se frayait tant bien que mal un chemin et tentait de ne pas tomber à terre, vaincu par la masse...Et le spectacle, aux yeux de la mécanicienne, valait largement le détour. L’homme devait vraiment passer un sale quart d’heure...Sans compter que quelques secondes auparavant, il ne se sentait déjà pas très bien...

Au bout de quelques instants, jugeant que ses petites manigances diaboliques avaient fait leurs effets, elle se lassa. D’accord, c’était amusant de le voir se dépêtrer du mieux qu’elle pouvait, mais elle n’allait pas passer toute la journée sur cette affaire. Pour elle, le cachet d’aspirine, ses malheurs, ses phobies et ses fichus livres, c’était déjà de l’histoire ancienne. Elle avait d’autres chats à fouetter à présent, comme rentrer à la Confrérie. Et se remettre au boulot...Ses chères machines l’attendaient et elle avait hâte de replonger ses mains dans le cambouis....Enfin une activité digne de ce nom...Et puis elle n’avait pas envie de trainer dans le coin quand on chercherait le responsable de toute cette folie soudaine. Heureusement Louise était du genre discrète et malgré sa grande taille, elle passait facilement inaperçue.

Elle sortit de sa cachette, sans se soucier d’où pouvait être le type et de s’il l’avait vue ou pas. Puis en frôlant le mur, pour éviter l’hystérie des gens, elle se faufila le long du couloir. Sortir du centre commercial ne lui prit que quelques instants. S’engouffrant dans l’escalier, elle rejoignit le rez-de-chaussée en quatrième vitesse et passa rapidement les portes du centre commercial.

Maintenant, elle se retrouvait de nouveau dans les rues de New-York, profitant une nouvelle fois des températures clémentes, de l’air frais...Évidemment, l’atmosphère polluée de la grande Pomme ne pouvait se comparer aux plaines vierges d’Argentine mais c’était déjà mieux que l’air conditionné et vicié du centre commercial.

Son esprit dériva vers la ville dans laquelle elle avait passé son adolescence, Buenos Aires...Là où pour la toute première fois, elle avait eu conscience de ses pouvoirs...Là où toute son aventure avait commencé. Elle savait qu’un jour, elle devrait y retourner, pour voir ses anciens camarades. Elle ne pouvait pas dire qu’ils lui manquaient vraiment. Après tout, elle était venue à New-York dans le but de commencer une nouvelle existence et c’était précisément ce qu’elle était en train de faire. Elle avait réussi sa reconversion et ne tenait pas à récupérer son ancienne vie...Trop calme, trop ennuyante...Même si parfois les souvenirs lui revenaient avec une petite pointe de nostalgie...

Et puis il y avait ses parents...Et sa famille...Ces lâches qui l’avaient abandonné, tout cela parce qu’elle était différente d’eux. Un jour, elle le retrouverait...Mais avec eux, les retrouvailles seraient d’une toute autre nature... Sous l’effet de la colère et de la rancœur qui bouillaient en elle, Louise serra le poing...Si elle les tenait là, ces monstres, sous ses mains, nul doute qu’ils n’auraient pas le temps de dire ouf avant qu’elle ne mette fin à leurs jours. Elle n’avait aucune pitié pour ceux qui lui avaient fait du mal...

Perdues dans ses pensées, la jeune mutante avançait dans la rue sans se soucier des gens et ignorante du regard de son ancien adversaire qui pesait sur elle. Le regard rivé vers le sol et l’esprit à des années-lumière, elle ne vit pas l’homme apparaître devant elle. Apparemment, il ne faisait pas plus attention qu’elle, et il la bouscula sans ménagement. D’une voix agacée, plus molestée que réellement en colère, elle lâcha d’un ton sec :

« Eh toi, tu peux pas faire attention où tu marches ?! »

Elle leva les yeux. Devant elle se tenait un homme à peine plus grand qu’elle mais plutôt du genre costaud. Une longue chevelure brune et un air sauvage...Un peu comme le cachet d’aspirine, mais la ressemblance s’arrêtait là. Lui avait un teint bronzé, un peu comme s’il avait passé toute sa vie sous les tropiques. Il était vêtu d’un simple jean...Et de rien d’autre. Il se promenait torse nu, dévoilant tous ses muscles...en plein centre de New York, au milieu des gens habillés de pied en cap...En observant attentivement, Louise remarqua le poignard attaché à sa ceinture...

Décidément, le monde était rempli d’êtres étranges. Après le garçon bizarre du centre commercial, voilà qu’elle se topait avec un type encore plus insolite...Décidément, c’était l’après-midi des rencontres...

Elle le dévisagea lentement...L’homme ne semblait pas vouloir bouger...

« Eh ben, tu vas rester planté là, mon vieux ? Qu’est-ce que tu regardes au juste ? »

Semaine de merde, temps de merde, journée de merde ! J’ai vraiment pas de chance moi, depuis que je suis dans cette fichu ville. C’est vrai quoi ? Il m’est arrivait que des problèmes, alors je n‘avait voulu que la paix. Oui, pour une fois que je provoque pas rien pour tuer l’ennuie, ou pour montrer mes valeurs. Pour commencer, j ai eut le droit a quatre jours d’enfermement dans une petite grange, a cause de cette fichu pluie ! Elle n’avait fait que de me pourrir la vie, sans compter qu’il fait vachement froid dans ce pays. Voila la plainte du jour du seigneur de la jungle, qui s’était lever du mauvais pied ce matin la. Bon d’accord, il fallait bien dire que le soleil n’avait pas été généreux avec lui, qui avait beaucoup de mal a s‘habituer a ce climat. Un peu logique, imaginez vous qu’une personne qui avait toujours vecu dans une jungle tropical, être dans une région ou il avait des moins O. Il était évidant que le temps d’adaptation devrait être long, et lui-même en était totalement concient. Bon s’il n’avait que ce point, et même s’il était très important pour lui, il n’aurait jamais cette humeur la. Non, en plus du temps, il y avait aussi le problème des hommes, qui lui tapaient sérieusement sur les nerfs. Leur caractère l’irritait bien, lorsqu’il les voyait tous si indifférents les uns aux autres; voir se faire de la méchanceté gratuite. A croire que c’était vraiment un jeu sadique entre eux, pensait il a chaque fois qu’il voyait un conflit se déclancher pour une merde. Enfin bref et en cette heure, l’homme singe avait un peu de chance, vu qu’il y avait un ou deux rayons de soleil.

Heureux de pouvoir enfin mettre ses peids dehors, il s’empressait de prendre son poignard, avant de quitter ce lieu maudit. La et a la vue d’une rue aussi calme que celle qu’il avait vu en venant, un petit sourire malicieux se dessinait sur ses lèvres. Il était content de respirer l’air frais, même s’il avait une partie qui était complètement pollué par la pollution de la ville. Sur quoi et pendant la moitié de la journée, l’enfant de la nature était parvenu temps bien que mal a circuler dans le centre ville. Ne sachant pas du tout s’orienter et ne cherchant pas a apprendre, il marchait sans savoir ou aller. Pendant qu’il avait du temps devant lui, il observait les autres pour essayer de s’habituer a ce monde.. Une chose qui lui était difficile, a cause de la complexité et du mode de vie très différente a la sienne. Malheureusement et au fond de lui, il savait très bien qu’il devait faire cet effort, s’il tenait a s’intégrer parmi es siens. Le plus dur pour lui, ne pouvait d’être de se dire que la jungle faisait parti de son passé et que son futur était cette ville. Autrement et pour passer a des choses amusantes mais pitoyables, il remarquait que les gens étaient toujours aussi aimables entre eux. Sans compter qu’ils ne regardaient pas ou ils marchaient, exemple avec cette jeune femme qu’il l’avait bousculer. Elle était pas si grande que lui, et rien qu’a voir son visage, elle lui paraissait bien jeune. Apparemment, elle faisait partie de ceux qui râlaient pour rien, et elle n’était pas du tout tolérante face a lui. Ne voulant pas se créer plus d’ennuie, tarzan lui répondit calmement
:
« désolé, mais c est toi qui m’est rentré dedans ! regardes pas le sol »

Quelques temps après et alors que l’enfant de la nature attendait une éventuelle réponse de cette jeune femme, celle-ci lui demandait ce qu’il avait a la regarder comme ça. Bon question conne vaut a une réponse conne, même tarzan l’avait parfaitement compris. En voyant très bien les airs antipathique de cette femme , il lui répondit, sur un ton moins sympatique que tout a l’heure.

« ben en principe quand on te parle… tu réponds non ? Je suis tarzan, seigneur de la jungle !! et toi t es qui ? »

Dans l’ombre de sa merveilleuse cachette, l’enfant des ténèbres se savait parfaitement au paradis. Même s’il était la depuis peu de temps, il se sentait apaisé par cet air frais. Comme il pouvait l’aimer ce petit vent froid, qui venait caresser sa magnifique peau marbrée. Ses malaises avaient totalement disparues, ainsi que ses maux de tête, une très bonne chose pour que ses idées se remettent en place. Pus un humain, plus un regard sur lui, plus une remarque, plus d’étouffement, plus de petite conne,ricana son esprit vif, alors qu‘il s‘était remit a repenser au mauvais coup de la jeune femme. Et oui, le coup de l’électricité venait bien d’elle, voyons ! Il fallait vraiment être con pour pas le voir, avec sa main en l’air et surtout la phrase qu’il l’avait totalement trahit. Une mutante dont Tristan avait la quasi certitude, qu’elle faisait partie de la bande a magneto. Même s’il n’avait jamais aimé de se mêler de cette querelle, il avait quand même peur de ses réels intentions. De plus que bon, si ça se trouve elle était pas toute seule, et bon il connaissait un peu les boss des mauvais mutants. Ne sachant pas du tout leur plan, il préférait de la surveiller un peu, pour la sécurité de l’homme.


Ce dernier intriguer beaucoup l’ange noir, qui regardait la scène attentivement de ses yeux. Ce dernier était totalement torse nu, en dévoilant une masse musculaire assez impressionnante. Tristan était bien amusé de voir qu’il n’avait pas de chaussures, un peu comme lui dans ses moments de folies passagère. Cependant, son regard fut arrêter par un poignard, qui était accroché a son jean. Oula ce personnage étrange ressemblait beaucoup a l’enfant des ténèbres, mais X 5, en retirant son coté pudique bien sur. Attendez un peu, Tristan avait l’impression d’avoir déjà, ce style de personnage.. Mais ou ? Non, ce n’était pas l’un de ses très aimés vampires d’anne rice, qui étaient dix fois plus éfiminer que lui, et dont la peau était identique a celle de tristan. ( dont on pouvait dire qu’il ressemblait beaucoup au vampire Lestat ). Contrairement a lui, cet homme avait une peau super bronzé, comme s’il avait passé la moitié de sa vie dans une jungle. Pourquoi troy avait eut cette pensée ?

Nul le savait sur l’instant, même pas lui, qui se disait que son esprit était encore détraquer. Cependant, on pouvait bien dire qu’il prenait un bon plaisir a regarder la scène de dispute, car bien sur la fille avait accusé le pauvre homme. Dommage pour elle, qu’elle t es fait un sale coup Tristan, tu vas pouvoir prendre ta revanche. Voila ce que sa conscience lui ricanait dans l’esprit, alors qu’il n’avait aucune envie de se venger de quoi que ce soit.Non, l’enfant des ténèbres n’était pas une personne rancunière, mais il interviendrait si les choses tournent mal. Tendis qu’il se battait avec sa propre conscience, il ne pu s’empêché de faire de gros yeux quand l’homme se présenter. Tarzan s’appelait il ? Un nom que l’ange Noir avait beaucoup vu dans sa vie, et qui signifiait beaucoup pour lui.. Tarzan le seigneur de la jungle ? N’était il pas le héros de tes romans ? Bien sur que si, c’était son deuxième préférait, après son chèr vampire Louis dont il en était fou d‘amour. Troy avait du mal a croire que cette légende était bien réel, car pour lui le fait que tarzan existait été tout aussi impossible que ses vampires. Pourtant, il était bien la, et il avait toutes les preuves que ça soit le vrai, rien qu’a son langage.. Bon tarzan ou pas tarzan, il sentait bien que les choses allaient se gater entre ces deux personnes ! ayant pas tellement envie de voir les boss de la conferie, il décidait de prendre les choses. Visage inexpressif et telle qu’une ombre légère, l’enfant des ténèbres s’avança vers eux, en murmurant ces mots assez durs et provocateurs a la jeune femme.

« Certaines personnes feraient mieux d’apprendre la tolérance.. Et de ne pas oublier que les mutants, sont en aucun point, surperieur aux humains. »

A la fin de sa phrase, il levait les yeux sur tarzan, en reprennent la parole

« Même si j'ai l'impression que vous aviez la meme vision de ce monde que moi, tachez quand meme de respecter vos semblables.».

Cette histoire de pont, avait eu certe le mérite de lui permettre de se défouler, mais malheureusement cela lui avait aussi couté son attirail pour passer inaperçue, il devait maintenant razer les murs ( et quand on mesure plus de 2 métres et qu'on a le gabarits d'une armoire normandes c'est pas simples), il avait trouvé une espéce de grande bache verte malodorante, dont il c'était totalement recouvert. En passant devant une vitrine de magazin il avait l'impression d'être un intriguant du moyen age avec sa cape qui cachait même son visage.

Enfin, il se faufillait dans ls rues en essayant d'être le plus discret possible, evitant les grandes artére, les places et les transport en commun. Il était pas loin du centre commercial, il s'apprétait a passer dans une rue, quand des voies se firent entendre, il se cacha au coin et observa. Il y avait une fille qu'il avait déjà croisé sur le pont, une espéce de type qui semblait sortir d'un salon de bronzage, se balladant a moitié a poil et finalement...Scott eu envie de pleurer pas lui :Tristan.

Il se souvenait de son entrevue avec ce machin a l'apparence vaguement masculine qui passait son temps a chialer. Lui aussi n'avait pas de chaussure, autant sur l'autre sa passer, mais la avec Tristan on avait plus l'impression de voir un gosse de bonne famille qui c'était fait piquer ses chaussures par les brutes du coin.

Le colosse les écouta parler, quand le bronzé se présenta, Scott eut du mal a se retenir de rire, et quand ce fut Tristan il commença a donner des coup de tête dans le mur tellement c'était hilarant. Il tentait d'être virile. N'y tenant plus il sortie de sa cachette.

Excusez moi je ne fais que passer.

Il marcha tranquillement entre les protagonistes, s'arrétant devant "Tarzan" il prit une voie comme celle du heros du film des année soixante, c'est a dire ridicule.

Toi Tarzan, toi beaucoup faire rire moi

Puis en passant devant Tristan, il ne dit rien mais on pouvait voir la cape qui était parcouru de spasm, signe qu'il se marrait en essayant de rester en sourdine. Pour la derniére il ne décochat pas un regard, cette fille était dangereuse et en plus c'était une ennemis, alors pourquoi il lui aurait montrer de la sympathie. Finalement Scott se posa un peu plus loin de façon a avoir une vue d'ensemble de la scéne entre les trois.

C'est bon vous pouvez reprendre !!! Et n'ayez pas peur d'y allé a fond j'adore les comédies.

Le type à l’allure de playboy bodybuildé qui avait visiblement abusé des séances d’UV tentait de faire vainement dans l’humour et le cynisme, sans être malheureusement très convainquant. A vrai dire, dans cette tenue, il passait difficilement pour quelqu’un de sérieux et aux yeux de Louise, il n’était qu’un rigolo qui ne méritait même pas qu’elle daigne lui répondre. Les humains étaient vraiment de curieuses personnes...Et à New York, plus qu’ailleurs...Visiblement le mot « normal » était loin de correspondre à la majorité des gens ici...

Peu intéressé par l’individu, elle caressa momentanément l’idée de passer outre sa remarque puis finalement décida de lui répondre. Elle adopta un ton blasé, accompagnant sa remarque d'un petit geste ridicule de la main.

« Oh oh, mais c’est qu’on essaie presque de faire de l’humour...Très drôle, d’ailleurs, je suis pliée, comme tu vois...Tarzan, tu dis ? Comme l’autre? »

Elle éclata de rire, soudain tordue à l’image du héros d’Edgar Rice Burroughs qui venait d’apparaître dans son esprit. L’homme de la jungle qui se promenait seul dans les rues de New York, c’était tout simplement hilarant. A dire vrai, il fallait avouer que le type ressemblait étrangement à celui des bandes dessinées qu’elle avait pu lire pendant son enfance.

« Tarzan ? Ca tombe bien, moi c’est Jane. Ou Chita, comme tu préfères...Dis moi, tes lianes et ton string léopard, tu les as laissés où ? »

Alors qu’elle continuait à rire, une personne fit soudain irruption dans la conversation. La présence du nouveau venu lui arracha un demi-sourire. Devant elle se tenait à présent le cachet d’aspirine, qui avait apparemment réussi à se sortir indemne de la foule hystérique dans laquelle elle l’avait littéralement plongée. Elle ne s’étonnait que vaguement de sa présence ici...Il avait repris du poil de la bête, apparemment. Et non content de ça, voilà qu’il se mettait à parler, s’immisçant dans la conversation et s’adressant successivement à elle puis au nouveau venu...Pour dire un ramassis d’inepties bien évidemment, à propos de grandes valeurs comme la tolérance...La quoi ? Ça, ça ne faisait pas partie de son vocabulaire depuis bien longtemps. Sauf que cette fois-ci, il y a avait une nouveauté, tout de même. Ses paroles trahissaient ses origines...Les mutants supérieurs aux humains ? Vos semblables ? Elle ne put s’empêcher de sourire...

Alors qu’elle s’apprêtait à lui en répliquer une bonne, une énorme masse passa devant eux et s’interposa entre eux. Ainsi qu’une forte odeur qui lui fit froncer le nez. Qu’est-ce que c’était encore que ce bordel ?

Un bref coup d’œil lui apprit que l’inconnu ne l’était pas vraiment. Même dissimulé, elle ne pouvait ne pas le reconnaître. C’était le pauvre mutant qui avait tenté de se battre contre le Fléau...Aucun commentaire n’était à faire sur ça...Enfin bref...Le tas avait tenté de se dissimuler sous une bâche verte informe...Tenter était le mot juste...Avec un physique pareil, il était bien en peine de dissimuler quoi que ce soit. Le type se contenta de passer juste entre eux, s’adressant seulement à l’homme de la jungle par un commentaire des plus spirituels et ignorant le reste, alla s’installer un peu plus loin.

Ampère resta un moment silencieuse. L’arrivée de ce type n’était pas vraiment prévue au programme. Bah, elle s’en fichait elle aussi. D’accord, l’homme était autrement plus dangereux que les deux autres –ou du moins elle l’espérait- mais ce n'était pas ça qui allait l'arrêter. S’adressant d’abord à sa récente victime, elle le toisa des pieds à la tête. Si l’autre voulait de la comédie, comme il disait, il allait être servi...A la réflexion, s'amuser un peu plus avec le cachet d'aspirine, ça lui allait tout à fait. Et même s'il était mutant, cela ne changeait pas grand chose. Il lui avait suffisamment pris la tête pour qu'elle se permettre outrepasser ce petit détail.

« Tiens donc...Mais qui voilà...Alors comme ça, t’es mutant si je comprends bien...Laisse moi deviner...Vue ta peau...Ton pouvoir, c’est de devenir transparent, peut-être ? Alors raconte, c'était comment le bain de foule? »


Elle éclata de rire, se souvenant encore du pauvre type en train d'essayer de ne pas se faire massacrer par les gens hystériques.

« J'avoue que là, je tombe de haut. Tu m'avais l'air bizarre mais de là à être mutant...Enfin bref, même moi je peux me tromper apparemment. »

Puis sans attendre de réponse, elle fit face au pseudo X-men qui s'était un peu éloigné. Pas la peine de le laisser hors des festivités celui-là. Après tout, il avait de la répartie à revendre, alors pourquoi la laisser de côté?

« Eh bien, eh bien on passe par ici et on dit même pas bonjour à ses connaissance? Pas très poli tout ça...Au fait, le Fléau t'envoie ses amitiés, tu veux que je lui rapporte un message, peut-être? »

Son ton était on ne peut plus sarcastique et un sourire mauvais se dessinait lentement sur son visage. Elle prit son temps pour continuer, trainant sur chaque mot, d'une voix horripilante.

« Dis moi, ça fait combien de temps que t'as pas pris de douche? Depuis le pont? Non parce que là, tu dois mettre KO tout être vivant à trente mètres à la ronde avec une telle odeur. »

A sa grande surprise, l’enfant de la nature vit cette jeune femme, se pliait en deux au même moment qu’il est dit son nom. A cette étrange réaction, il se reculait légèrement en laissant ses bras le long du corps. Il la regardait avec de gros yeux, comme pour de dire: tu te sens bien toi ? Soit elle était complètement folle,ou soit elle se payait royalement de sa tête. Dans les deux cas, il était un peu gêné de son caractère Oforique, et il ne savait que faire. Il regardait autour de lui, si les gens ne les regardaient pas d’un drôle d’air. Une action un peu conne de sa part, vu que c’était déjà le cas, mais pour une autre raison. En effet, si les gens les observaient curieusement, parce que c’était tarzan qui les interpellait autant. Il faut bien dire que ce n’est pas tous les jours, qu’on voit un homme aussi baraqué que lui avec un simple jean et pied nu, traîner dans les rues de new York. Sans compter qu’il avait dit son nom, ce qui devrait sans doute en faire rire plus d’un. Que voulez vous, depuis pas mal de temps, on s’était fait des films sur tarzan, que lui-même ignorait totalement. Une personne normal aurait tout de suite compris qu’ampère se payait de sa tête, et n’aurait pas hésité a la renvoyer chier.

Enfin la première pensait qu’il avait eut d’elle, était celle qu’il prenait cette fille pour une grande déjanté. Enfin et en connaissant pas bien les habitudes des hommes civilisés, pendant un moment: Il s’était dit que c’était peut être une façon pour dire qu’elle était contente de le raconter. Hurm vu ses paroles un peu ridicule et ses manières a s’en étrangler, tellement elle faisait bien pitié: l’homme singe finissait pas conclure qu’elle était en train de se payer de sa tête. Alors qu’il allait lui répondre sur un ton peu sympathique, il fut interrompu par une autre phrase de cette jeune femme. Selon ce qu’il avait compris lui, elle se présenta sous le nom de jane, avant de lui poser des questions assez étranges aux yeux de tarzan. Tout d’abord, il faut savoir que le seigneur de la jungle ne connaissait rien de chez rien dans le monde des humains, que ça soit dans leur mode de vie ou dans leur coutume. Sur quoi, il se demandait comment elle savait la moitiée de son histoire, une question qui ne tarda pas a lui poser:

« comment sait tu ? Pourquoi, Tu me connais déjà? »

Ensuite, l’enfant de la nature tournait le regard vers le nouvel arrivant, qui apparemment, les avait bien espionné depuis pas mal de temps. L’homme n’inspirait peut la confiance de tarzan, avec sa peau extrêmement blanche et sa mystérieuse présence. Sans compter son visage sans expression, et son regard bien vide. Cet homme pris la parole dans un murmure, qui glacer le dos a tarzan. Étrange que cet être le terrifiait, alors qu’il avait connu pire dans la jungle ! Sans doute parce que tarzan avait l’impression qu’il était maléfique, et possédant le contrôle de la vie des autres. En gros, il jugeait qu’il incarnait la mort elle-même, ce qui n’était pas du tout rassurant. Cependant, il avait quand même remarqué, qu’il était très respectueux avec lui et qu’il n’était pas n’avait pas envie de rire. A l’inverse de l’autre géant vert sous une bache, qui se moquait aussi de lui. Des moqueries, encore des moqueries, l’homme singe en avait plus que marre !!! Pourquoi était il respecté dans sa jungle et pas dans le monde des humains ? C’était impossible a croire a ses yeux !! Malheureusement, il se voyait mal dédaigner son poignard devant tous ces personnes, sous peine d avoir encore plus de problèmes. Sur quoi il oubliait totalement les bonnes paroles de cet homme blanc comme le marbre, et s’attaquer aux deux autres mutants:

« comment osez vous, vous moquez de moi? Pour qui vous prenez ? »

N’aimant pas du tout les rayons du soleil, l’enfant des ténèbres s’était un peu éloigné du duo d’enfer. Aux yeux d’ampère, il devrait sérieusement se faire passer pour un autre homme. Il s’était tranquillement collé au mur, en croissant les bras sur son torse. Comme souvent quand il était avec un groupe de personnes, il ne les regardait jamais dans les yeux. Non, il préférait de loin la monotonie du sol, que des yeux de personne sans importance. De plus et en sachant que c’était dans son regard qu’on pouvait voir ses sentiments, il était clair pour lui, qu’ils avaient pas du tout besoin de les connaître. Quoi que Tristan serait content de savoir qu’ampère, apprenne qu’il allait superbement mieux ! Finalement l’enfant des ténèbres se rendit compte, que son petit coup dans le centre commercial ne l avait pas trop affaiblie. Une chance, et sûrement la seule qu’il avait eut de la journée ! Lorsqu’ il repensait qu’il n’avait même pas pu aller a sa boutique de livre, a cause de cette fille. Bon ok, le jeune homme s’était perdu bien avant, mais il n’en pêche que c’était ampère qui lui avait mis le plus de difficultés que lui-même. De nature plutôt méfiant, il était assez surpris de s’être facilement fait embobiné. La prochaine fois, il se jura de plus se laisser faire, tellement qu’il avait eut honte de lui ! Du gentil garçon tout timide et patient, il était passé du type froid, et peux sympathique. Il faut dire qu’avec le mauvais coup qu’elle lui avait fait, il ne fallait pas s’attendre a autre chose de sa part. Bon d’accord que pour un mutant, on demandait plutôt un combat de pouvoir et autres..

Mais faut le dire, Tristan ne savait pas du tout se battre, et de toute facon il ne le faisait jamais par pur moral. Et oui, il vivait avec beaucoup de morales et de règles de vie, depuis son plus jeune age. Il le devait a ses deux parents, même si en ce moment c’était plutôt lui le plus sage. Tarzan, le roi de la jungle ici ? Ce fait encore un choc pour lui, qui pensait être dans un rêve en se demandant s‘il ne s‘était pas évanouit dans la foule. Peu probable vu qu’il ressentait toujours la douleur. Une seule question demeurait dans le chaos de son esprit, pourquoi tarzan était la ? Et comment ça se fait qu’il existait alors qu’on lui avait dit que ce n’était qu’une légende ? L’ange noir n’en savait rien, mais il se promit d’aller faire un petit tour aux sources. Raisonnable comme pas deux, il avait préféré de ne pas se mêler de la petite guerre guerre, en la trouvant très gamine par rapport a leur age. Elle s’était moqué de lui en reprenant la veille blague de tarzan et jane.. Ou tarzan la banane ? Découragé par ces grands enfants, l’enfant des ténèbres soupirait doucement, avant de se rendre compte que la jeune femme lui parlait. Pour faire très court, elle était bien surpris qu’il était un mutant, et essayait maintenant de deviner ses pouvoirs. Le coup de la transparence faisait bien rire le jeune Tristan, qui ne manquait pas la magnifique occasion de la remettre a sa place, bien comme il le faut.

« Hey ben, je vois qu’on n’a pas tellement de juggotte ici ! Perdu, mes pouvoirs sont pas liés a mon physique.. Sinon, je me suis jamais aussi bien sentit ! Dommage pour vous, mais bien tenté! »

Après ses mots, l’enfant des ténèbres remarquait qu’il y avait une drôle d’odeur qui trainnaillait. Ça sentait le diamant, mais qui était très mal lavé. Tiens encore un voleur qui ne savait pas bien cacher son butin, se disait il d’un air rêveur. Ouai enfin il semblait plutôt assez grand pour être un voleur. Alors qu’il pensait tout bêtement a scott, ce mutant qui lui en avait fait voir de toutes les couleurs, quand il avait revu sa sœur: Il devinait facilement que c’était lui, a la remarque d’ampère, qui en même temps se dévoilait. Et ben, ils sont pas du tout discrets ces deux la, avec ça on allait bientôt se faire remarquer par les anti mutants. Cette idée lui fait assez sourire, pour qu’il en mette aussi une couche. Hey oui, l’enfant des ténèbres était suicidaire durant dans ses vieux jours.

« Apprenez a être un peu plus discrets ! Sinon, vous risquez de ne pas durez longtemps ! »

Bon visiblement son déguisement en bache puante n'était pas une réussite, car tout le monde le reconnaissaient. Scott l'enleva dévoilant son apparence de colosse de rubis. L'avantage c'est que maintenant il n'avait plus subir cette horrible odeur. Mais l'inconvenient c'est que maintenant il aurait encore plus de mal a passer innaperçue.

Il écouta avec attention les remarques de la piles electriques, cette fille ce permettait de faire la maline, alors qu'elle c'était fait sévérement rosser. Il prit une attitude relacher faisant autre chose pendant qu'elle causer, s'étirant, faisant craquer ses articulations, ce currer le nez.

T'as finis ? J'ai rien a dire au Fléau a part que le verrais bien en robe, vu comment il se bat.

Alors qu'il s'apprétait a répliquer a Ampére vis à vis de son odeur, et du fait que si elle continuer a lui courrir sur le haricot, il s'occuperait de lui faire découvrir la face caché de la lune en l'envoyant sur orbite avec un coup de tatane dans le fondement. Le bronzé a moitié a poil commença a s'enerver comme une gamine a qui on a tiré les couettes a propos des moqueries sur son nom. Scott en tant que personne sensible, et spécialisé dans la négaciation, surtout si les négociation impliquait de se servir de ses poings pris la paroles.

Je sais pas pourquoi, on se moque de toi. Peut-être parceque tu portes le même nom qu'un abrutis qui aime se balader d'arbre en arbre, qui préférent trainer avec un singe plutôt qu'avec sa femme et qui s'habille avec juste un pagne.

C'est alors que Tristan ramena sa fraise, il se mit a faire la leçon, Scott fut surpris, mon dieu était-il possible que ce machin aie encore un dernier relicat de testosterone ? Ou alors c'était le fait que d'autre personnes le regardaient qui le poussait a faire preuve d'un semblant, de supossition, de vrilités ?

Pour être honnête je me demande aussi a quoi peuvent tenir tes pouvoirs ? A part peut-être chialer sans t'arrêter. Et ecoute moi petit machin transparent et rachitique, je n'ai besoin de personne qui me dise comment me comporter, surtout un mec qui est incapable de faire face a ses problémes sans entamé sa reserve de mouchoir.

Cette brusque monté de violence verbale, pouvait choquer, mais Scott était comme cela, il n'avait pas sa langue dans sa poche. Il se retourna finalement vers Ampére et se mit bien en face d'elle, la dominant de toute sa masse.

Quand toi, la pile electrique. Reparle moi comme cela et je te fait faire un tour complet sur toi-même dans tes chaussures sans que tes besoins de les délasser, compris ?! Bon maintenant la grande questions a 100 000 $ qu'est-ce que vous foutez la ?!

Maiwenn s'était tenue non loin du lieu où se tenait Ampère et les autres zigotos -qu'est ce qu'elle fichait là, mystère. Elle avait en effet accouru en détectant la fréquence cardiaque et la voix de la Confrériste, du moins, dés qu'elle en avait entendu assez pour se rendre compte qu'elle risquait fort de se faire lapider si ses adversaires se liguaient contre elle. La pile électrique pouvait s'occuper de deux adversaires en même temps selon la Syrène. Et elle veillait sur les recrues, ce depuis quelques semaines. Bref, elle s'était dirigée vers la ruelle, tout en écoutant l'échange qu'avait la mécanicienne avec les autres. Alors la pierre vivante était là, un petit crétin prétentieux du genre bourgeois qui s’imaginait omniprésent et un... Truc. Donc, un X men, un mutant étouffé par son ego (seul un mutant aurait osé resté dans une querelle pareille) et un fou échappé d'un asile psychiatrique. Mais un humain dérangé pouvait tout de même constituer une menace.

C'est là, juste après l'identification des opposants que Maiwenn réalisa que les trois gars avaient l'air prêt à se cogner dessus sans toucher à Ampère. Ce qui al fit grogner. Ca valait bien le déplacement ! Humpf... Enfin, puisqu'elle était là... Le temps d'entendre la dernière réplique de la pierre parlante et... :

- J'allais poser la même question.

Fit-elle, glaciale. Il faut dire qu'elle avait soigné son effet, personne n'avait pu l'entendre avant qu'elle n'arrive et prononce sa phrase d'ouverture. Elle avait attaché ses cheveux blonds en une couette haute, libérant au passage sa frange/mèche histoire de masqué au maximum les cernes qui avait il y avait des mois fleuris sur son visages et qui ensuite ne l'avait plus quitté. Elle était vêtue d'un jean simple et d'un pull noir, dégageant sa gorge, blanche comme neige à cause du contraste. Elle avait l'air de très mauvaise humeur mais elle adressa néanmoins un clin d'oeil à Ampère. Elle espérait que celle ci n'était pas comme el Fléau, à confondre une aide avec un sous entendu à la "t'es plus faible que moi, Muhahaha !".

Si en venant se promener en ville, Louise avait cherché un peu de divertissement, elle avait été bien servie. Entre les trois mutants qui l'entouraient à présent, la situation devenait folklorique. Le soi disant roi de la jungle, comme il s’était autoproclamé, la regardait avec des yeux ronds et semblait ne pas comprendre ce qu’elle disait. C’était hilarant et La jeune mutante devait se faire réellement violence pour ne pas éclater de rire. D’ailleurs, elle commençait à avoir mal à côtes à force de se retenir...Le cachet d’aspirine n’était pas en reste, il essayait –vainement- de faire de l’humour lui aussi. Ignorant délibérément Tarzan, elle se retourna vers l’homme qu’elle avait rencontré dans le centre commercial.

« J’ai peut-être plus de jugeote que tu ne penses, ne t’inquiète pas pour mes fesses...inquiète toi plutôt pour les tiennes. Et au passage si on se fait repérer, ce sera pas à cause de moi mais à cause de vous trois. Entre le Mon Chéri ambulant et vous deux, vous assurez le spectacle, y’a pas à dire. »

Ampère n’avait pas totalement tort, il fallait l’avouer. Des quatre, c’était elle qui passait aisément inaperçue au milieu d’une foule. Mais à la réflexion, ce n’était peut-être pas très malin de continuer les remarques sarcastiques, parce que là, elle était clairement en infériorité numérique. Des deux types aux cheveux longs, elle ne savait pas grand-chose de leurs pouvoirs mais ils ne semblaient pas résistants à la foudre....Encore que, elle ne pouvait pas être absolument sûre. L’idée de griller Visage Pâle lui traversa brièvement l’esprit...Et elle tenta de se représenter le cachet d’aspirine tout noir...L’image lui arrache un autre bref fou rire vite étouffé. N’empêche, c’était peut-être à tester...

Enfin...Les deux zigotos, nul doute qu’elle avait une chance contre eux. En revanche, pour le tas de rubis, c’était une tout autre paire de manches. Alors d’accord, il était sûrement tout aussi arriéré que le cachet d’aspirine mais il semblait un tout peu plus enclin à se battre. Déjà vu comment il incendiait les deux autres, et pas de la manière la plus délicate qui soit...Louise, quant à elle, n’avait certainement pas la force du Fléau et son pouvoir ne servait à rien face à un adversaire de cet acabit. Tout au plus, elle pouvait l’aveugler un bref instant, le temps de fuit et de se cacher. Une attitude peu vaillante, certes, mais Louise sortait d’un petit séjour à l’infirmerie de la confrérie et franchement, elle ne tenait pas recommencer de sitôt.

Le souci maintenant, c’est que le X-men en pierre brute adoptait une attitude plutôt menaçante et arrogante. Et ça, ce n’était pas forcément très bon pour elle. Parce qu’après tout si l’apprenti X-men avait été assez stupide pour s’attaquer à un adversaire tel que le Fléau, nul doute qu’il n’hésiterait pas à faire de même avec elle...Avec un résultat différent à la clef. Seulement elle était un peu trop tête brûlée...

A cet instant précis, l’intervention de Maiwenn arriva à point nommé. Alors qu’elle s’appliquait à répliquer, Louise vit soudain apparaître la Syrène, discrète, comme à son habitude, mais terriblement cynique. La mécanicienne avait déjà eu l’occasion de la voir à l'œuvre, autant dans ses paroles que dans ses actions, et franchement ça valait le détour. La mécanicienne ne s’étonnait que moyennement de sa présence sur les lieux. Après tout sa supérieure ne vivait pas recluse dans la Confrérie et le fait qu’elle se trouvait précisément ici n’était pas tellement étrange. De toute façon, ce n’était pas vraiment important. Ce qui comptait là, c’est qu’Ampère ne risquait plus de se prendre une volée et que le tas allait peut-être réfléchir à deux fois avant de faire le malin. Même si elle n’en laissait rien paraître, la mécanicienne était intérieurement soulagée de voir apparaître sa collègue confrériste. Avec la Syrène à ses côtés, elle ne craignait plus rien, ni des deux types étranges, ni même du tas de rubis ambulant. La puissance de Maiwenn à elle seule était plus que suffisante pour tenir en respect les trois loustics. Et leurs pouvoirs combinés pouvaient faire des ravages. L’expérience de leur lutte sur le pont face aux collègues de la roche en témoignait grandement.

Le clin d’œil de la Syrène finit de dissiper tous ses doutes. Elle ne savait pas vraiment si Maiwenn apprécierait qu’elle en rajoute une couche mais la situation était vraiment trop tentante. Se dirigeant vers le colosse rouge, elle lui cracha d’un ton cynique :

« Ahem, on dirait que la donne vient de changer...Alors, la pierre bas de gamme, évite de me chercher, ok ? »

A l’instant même, tarzan ne souhaitait qu’une chose, c’était de savoir pourquoi tout le monde connaissait sa vie. Une chose qui semblait peu banal aux yeux de tous, mais qui avait une grande importance. Remarque que vous ne seriez pas troublés vous, si vous apprenez que des inconnues savent qui vous êtes et toute votre vie. Admettez que ça pouvait devenir génant, et que pour un homme comme tarzan, c’était embarrassant de ne plus avoir une part de mystère. Il avait eut le courage de demander aux personnes, même si la réponse était incompressible. Ce fut le géant qu’il lui avait donné, en disant qu’il avait le même nom d’une type qui se promener d’arbre en arbre avec une femme. Bien qu‘il y avait pas mal de point communs , l’enfant de la nature n’avait jamais vu une femme dans la jungle. Non, les seules personnes étaient des chasseurs, qui n’étaient pas resté longtemps en ces lieux. Sur quoi, c est pas lui qui avait risqué de tomber amoureuse de quelque un , surtout qu’il ne savait pas du tout ce que pouvait être l’amour. Sur quoi, c’était normal pour lui, qu’il pensait que le grand rouge s’était sans doute trompé de personne. Encore un qui se gourait, pensait il en rigolant et en repensant a lucifiel. Cet expece de type dans la rue qui chassait un Dunkey, et qu’il avait pris tarzan pour ce dernier. A croire que les humains étaient tous miro ou, simplement pas doués. Enfin et vu qu’ il voyait que tous étaient en train de s’amuser a se foutrent des vents, il décidait de ne pas se laisser marcher sur les pieds. Sur quoi, il se gêna pas du tout de couper la parole au blond, pour se payer un peu de la tête des deux autres.

« tu t es fait quoi? T es tombé dans un pot de peinture ou quoi? T es rouge comme une fraise ! Quand a toi,je te conseil de te calmer, sinon tu risques gros »

Bien que c’était un peu provocateur de sa part, il s’avouait en avoir marre de ses deux la ! Car en ce qui concernait l’enfant de la nature, il trouvait ampère et scott bien rigolos. Oui, ils étaient si gamins entre eux, quand ils avaient commencé de se disputer sur des trucs a la con. Car apparemment, ce beau monde avait l’air de se connaître, sans doute des mutants a en voir la conversation. celle-ci tournait sur les thèmes de pouvoirs et de combats; ce qui n’était pas dur a deviner. Mais bon, Ils avaient beau se foutre de sa gueule mais ils lui faisaient bien pitiés, et ne trouvait aucunes raisons d’avoir peur d’eux. Non sérieusement, rien qu’a voir la tenue rouge du gas, c’était a en rire ! Comment espérait il a se planquer sous cette bache, il pouvait se mettre le doigt dans l’œil. Et encore moins avec la puanteur qu’il dégageait ! Le seigneur de la jungle lui-même, devait être moins voyant que celui la. Néanmoins, il se demandait quand même, le pourquoi était il fait en pierre. Hum enfin, il se rendit rapidement compte que cette question était un peu con con, vu que c’était tous des mutants. Cependant et alors qu’il était a deux doigts de la bagarre, il craignait les réactions de l’homme qui s’était mis a l’écart. Ce dernier avait totalement l’air différant des deux autres, moins expressifs qu‘eux. En tout cas, lui ne s’était pas moqué de tarzan, et il semblait avoir un certain respect pour les trois personnes. Bon, on ne pouvait pas non plus dire que c’était un saint, vu qu’il s’était quand même pris aux jeux des deux autres. Tendis que l’homme singe était en train de se dire, qu’il était peut être temps de partir, voila qu’une autre femme qui débarquait. celle-ci était aussi jeune que ceux du groupe, et ne fit que poser une question banal: que faites vous la? Bonne question se demandait tarzan, qui avait tout de suite compris qu’ils se connaissaient tous. Pour sa part, il se demandait bien ce qu’il faisait, vu qu’il ne s’était fait bousculer la jeune femme. Sur quoi et sur un ton arrogant, il ne pu s’empêcher de lancer une magnifique vanne.

« Je me suis fait bousculer part cette jeune femme, qui ne sait pas ou elle met les pieds quand elle marche »

Comme il aurait pu s’en doutait, scott se faisait un plaisir de raconter a tout le monde ses faiblesses. Oui, l’énorme colosse était en train de sous entendre, que l’enfant des ténèbres n’était qu’un gros pleurnichard de service. Comme ça pouvait l’irrité de voir des gens qui jugent sans connaître les gens, ça le mettait toujours a cran. C est vrai , qu’il avait vu en train de pleurer dans la salle de bain, mais c’était pas pour cette raison qu’il devait le traiter de chialeur. En étant une personne très réservée sur sa vie personnel, il n’aimait pas du tout qu’on parle de lui, et encore moins pour ce genre de réflexions a la noix de coco. Il ne le connaissait même pas et il le jugeait ! L’ange noir était bien le seul a se connaître lui-même, et c’était de loin le plus grand pleurnichard du monde. La preuve, dans toute sa vie, il n’avait pleuré que trois fois devant quelque un, et toujours pour des très bonnes raisons. Ben quoi ? L’enfant des ténèbres était du genre a tout gardez en lui, donc c’était bien normal qu’un moment, il craquer. Bien qu’il avait du mal a se l’avouer lui-même, le jeune troy restait un homme, avec ses faiblesses et ses sensibilités. Et cela, on n’avait pas a lui reprocher ! Sur quoi, c’était bien une chose qui ne pouvait que détestait, vu que c’était pas du tout le cas ! Les hommes étaient tous les mêmes, ils se permettaient toujours a faire des jugements ! Ça lui faisait encore une bonne raison pour les éviter. Énervé qu’on puisse s’autorisé a salir ce qu’il était, l’enfant des ténèbres ne pu s’empêcher de répliquer sèchement:

« Vous jugez sans connaître ? Et ben, si je rentre dans votre jeux, qu’Est-ce que je pourrais en dire sur vous.. Rien qu’a voir votre tenue ! Des rubis ? Je me demande comment ça se fait que tu sois encore en vie avec sa sur la peau.»

Bon, ok, l’enfant des ténèbres n’y était pas allé de main morte, et qu’il s’était lamentablement rabaissé a son niveau. Un véritable gamin quand il s’y mettait, et impossible de l’arrêter. Remarque que la, il avait une bonne raison de le faire; il voulait donner une bonne leçon au colosse. C est vrai quoi? Scott se basait sur un truc tout con, donc on pouvait dire beaucoup sur celui la. Du genre, combien il coûte ? Ou comment étaient ses perles quand il avait des besoins naturelles? Sans penser aux nombreuses questions connes qu’un larbin de 6 ans pourrait poser. Sans compter qu’il voulait lui montrer qu’il n’était pas aussi chochotte qu’ il le disait, mais plutôt quelque un de solide. L’honneur était quand même resté dans les meurs du jeune troy.

Non sérieusement, le comportement de scott faisait pitié a ses yeux, et il n’arrivait pas a comprendre pourquoi il était aussi immature que ça. Pour éviter de se prendre la tête pour rien et pour ne pas faire des jugements a la con, l’ange noir laissait cette idée dans un recoin de son esprit. De temps en temps, il jetait un regard sur Tarzan, qui n’avait pas l’air de vouloir le chercher. En sachant que le héro de Tristan était beaucoup plus expressif que lui, il n’eut pas de mal a lire de la crainte dans ses yeux. Pourquoi ? Il eut même pas le temps de se poser cette question, vu qu’il fut de suite interrompu par une nouvelle arrivante. Pour faire court et simple, c’était une mutante qui apparemment, connaissait déjà la seule fille du groupe. celle-ci n’attendit pas longtemps pour poser une question, qui faisait rire l’enfant des ténèbres. En voyant l’inutilité de la question, il ne prit même pas la peine d’y répondre, en laissant les autres faire le boulot a sa place. Un mauvais sourire s’affichait sur son visage.

La pile de 12 volts crachait son venin quand soudain une autre personne arriva, une autre jeune fille qui semblait de paire avec le voltométre ambulant, ce qui lui fit soudainement penser qu'elle était devenus soudainement plus forte. Scott leva un sourcil d'interogation devant un tel regain de confiance en soi. Il s'apprétait a répondre quand le singe sortie une phrase qui se voulait être une vanne, mais qui était aussi blessente qu'une éponge mouillé lancée par un enfant de deux ans. Scott le regarda, se pinça les yeux en secouant la tête, se type était vraiment desespérant.

S'il te plait Cheetha, tait toi par pitié et conserve le peu de crédibilité qu'il te reste.

Puis se fut au tour de Tristan de la ramener, Scott le regarda avec étonnement, il n'en revenait pas il avait parlé presque mechement, avec un peu d'entrainement il pourrait presque paraitre agressif, du moins si on le mettait face a un nouveau né. Parceque la sa réplique tomba a plat, d'abord parceque Scott ne portait pas un "vêtement" de rubis, il était en rubis, et ensuite comment faisait-il pour vivre ainsi ? He ben il se levait tout le matins, buvait un café et se demandait qu'est-ce que la vie allait lui reserver.

Tristaaan tu n'en a pas marre de louper des occasions de te taire. Franchement tu crois vraiment que je me ballade avec un vêtement de rubis sur la peau ? Ou alors t'es encore plus con que je l'imaginais. Tu comprends pas, tes vannes son pourris, ton attitude que tu crois si "mystérieuse" te fait surtout passé pour un autiste et t'as autant de repartie qu'une betrave, en bref tu es un bouffons. Je t'avais dit que si te je recroisait je te ferais avaler tes dents, mais en fin de compte je n'ai même pas envie de me salir le poing en te frappant.

Il c'était approché de lui en parlant le dominant de toute sa hauteur. Ce type l'enervait par sa seule présence, et ce n'est pas parcequ'ils étaient tout les deux a l'institut qu'ils étaient obligé de s'apprecier. Sur ceux il tourna les talons et repartie vers Ampére, s'arrétant au passage devant l'homme geunon, le gratifiant d'un regard qui voulait bien dire qu'il ne le considerer pas au-dessus de l'autre tafiole.

Bien maintenant a nous deux, la pile pour vibro. Je sais pas ce que t'as petite copine t'as fait dans le passé pour te faire mouiller au point que tu crois pouvoir faire quelque-chose contre moi, mais...

Soudainement le poing de Scott partie directement dans le bide la jeune fille, certain pourrait y voir un manque de galanterie flagrant, mais de un Scott n'avait pas était élevé ainsi, il était un type de la basse classe sociale, un mineur, un prolo enfin bref le genre de gars qui frappe si on l'enerve trop que se soit homme, femme ou enfant, et de deux il en avait marre de parlote avec cette bande d'abrutis. Il avait frappait aussi fort qu'il avait put.

...j'ai le regret de te dire que c'est un rêve.

Apparemment, Ampère avait percuté l'homme singe et celui ci, en parfait abruti n'avait pas eu suffisamment d'instinct de survie pour dégager. Comprenait-il seulement ce qu'était Ampère ? Ce que Scott était ? Ce qu'elle était ? Sans doute pas. Bref, le cachet d'aspirine lui se contenta d'une mimique désagréable en guise de réponse à sa question. Maiwenn caressa pendant l'idée de lui renfoncer son silence dans la gorge mais n'en eut même pas le temps, déjà Mister Rubis répondait sur un petit ton furieux. Maiwenn analysa sans perdre de temps la situation : l'homme singe pouvait causer des dommages à cause de ses réactions imprévisibles, le p'tit bourgeois était trop sur de lui, c'était un enfant et il aurait sans doute déjà fait quelque chose si c'était un mutant. Et Scott... Elle semblait être la seule à pourvoir le maîtriser, le rubis n'étant pas spécialement sensible à l'électricité. Apparemment Scott ne se souvenait pas très bien de l'affrontement sur le pont car il n'avait pas tilté en la voyant...

En parlant de la montagne rouge, il engagea directement les hostilités, et rein qu'à sont on lorsqu'il lança sa diatribe à Tristan, Maiwenn su qu'il allait attaquer. Plus rapide qu'elle ne l'en aurait soupçonné, il frappa vers le nombril Ampère. Mais dés qu'il avait amorcé son coup, la Syrène aussi était passée à l'action. Vive comme la foudre, elle rentra en osmose et elle cria. Sa première action constituait à faire exploser le rubis ambulant. Elle y mit énormément de puissance, sachant pertinemment que le rubis était à peine moins dur que le diamant, mais se sachant aussi parfaitement capable de le faire exploser, puis de régler leur compte au deux autres. Elle devenait de plus en plus puissante au fur et à mesure qu'elle s'entraînait. Ils n'avaient que très peu de chance de s'en sortir. Et elle allait tout faire pour mettre le rubis hors jeu pour longtemps. Profitant des décibels qu'elle avait accumulés, Maiwenn s'éleva dans les airs pour se poser sur une sorte de balcon à deux mètres au dessus du sol. Les affrontements physiques, très peu pour elle. De là où elle était elle pouvait veiller sur le bon déroulement des choses. Elle espérait juste que Ampère avait réussi à a faire quelque chose pour éviter le coup, elle n'avait pas vu la fin de l'action, trop occupée à envoyer les ondes soniques pour faire péter le rubis.

La situation commençait vraiment à tourner au grand n'importe quoi et Louise en avait sa claque de ses minables sans prétention qui lui pompaient l'air. D'accord, elle s'était bien amusée avec le cachet d'aspirine dans le centre commercial mais là, ça devenait vraiment ridicule. A présent, l'heure semblait venue aux vannes...Toutes plus médiocres et lamentables les unes que les autres...La mécanicienne ne parvenait même pas en rire, sauf peut-être par pure moquerie. De son côté, la jeune mutante commençait à trouver le temps long...Elle n'allait quand même pas rester ici à écouter de telles inepties et à regarder ces types à s'envoyer des vents? Elle était sortie pour se changer les idées et elle avait bien ri, mais maintenant c'était suffisant. A présent, elle avait des choses plus importantes à faire et rester dans cette rue avec ces imbéciles n'en faisait partie.

De l'homme singe, elle se fichait pas mal et ses menaces ne lui faisaient pas peur. Au pire, s'il osait les mettre à exécution, elle se chargerait de les lui faire regretter. Le cachet d'aspirine avait eu lui aussi son compte, piétiné par la foule hystérique qu'elle lui avait lancé dessus. Apparemment, l'homme avait un nom...Tristan...Et il connaissait le type à la bâche puante. Cela aurait pu être un handicap mais il était clair que les deux ne se portaient pas dans leur cœur. De l'avis personnel d'Ampère, question humour et cynisme, les trois lascars se valaient. Enfin...La montagne de rubis était aussi pathétique que son collègue et en plus, il flirtait admirablement avec la vulgarité. Ignorant les deux autres, elle s'apprêta à le rembarrer dans les règles mais elle n'en eut pas le temps. Sans prévenir, le type fonça droit sur elle, son énorme poing en avant.

Malheureusement pour elle, Louise ne put rien faire pour éviter le coup de massue qui s'abattit sur son estomac. Le coup la plia en deux, remballant tous les mots fleuris qu'elle s'apprêtait à dire, et elle porta instantanément sa main à hauteur de son ventre. Malgré la force, ce n'était rien comparé au coup qu'elle avait reçu de Malicia sur le pont, qui lui avait fait faire un large vol plané. Là le choc la projeta en arrière, contre le mur et elle y resta un instant plaquée, le souffle coupé et maudissant l'apprenti X-men de pacotille.

L'inconvénient, c'est qu'elle ne pouvait rien faire pour lui rendre le pareille. L'électricité contre sa peau ou son corps de rubis...Quelque soit la réponse, elle s'en fichait éperdument, mais il était clair qu'elle ne pouvait rien faire pour se défendre. Son pouvoir pouvait être destructeur mais pas face à un tel adversaire. Mais la Syrène rentrait déjà dans la bataille. Pas de grande surprise de ce côté là, Maiwenn aimait la bagarre et la pierre géante n'était pas un souci pour elle...Elle avait la puissance pour le faire exploser, ou du moins le faire flancher. Profitant que Scott soit sous l'emprise de Maiwenn, elle retrouva difficilement son équilibre, les doigts toujours accrochés au niveau de son ventre et le visage déformé par une grimace douloureuse.

La respiration saccadée, elle avisa un générateur sur le mur et s'emparant du courant, elle jeta toutes ses foudres à la figure de son opposant. Pas pour l'électrocuter, bien évidemment, mais pour l'aveugler le temps de se mettre à couvert et l'empêcher de s'approcher de la Syrène. Elle laissait ensuite à Maiwenn le soin de s'occuper de cette chose, la puissance de ses cris serait suffisante, au moins pour le déstabiliser. Elle ne voyait plus sa collègue confrériste mais nul doute que celle-ci ne l'avait pas abandonnée. Quant à elle, elle s'occuperait des deux autres si l'envie leur en prenait de se mêler à la bataille.

Il fallait vraiment être complètement a l’ouest, pour ne pas sentir une éminente confrontation entres ces personnes. L’ambiance qui y régnait, était plutôt tendu et c’était sûrement pas de l’amitié. Généralement peut provocateur de bagarre, L’homme singe avouait qu’il n’y allait pas de main morte. Certes ce n’était pas lui le principale Troubleur de fête, mais il ne se laissait pas faire par eux. Sur quoi, il avait quand même essayait de se défendre, et on ne pouvait pas dire qu‘il se débrouillait comme un pied. Du moins pour le moment, il parvenait a leur tenir tête, a voir s’il allait durer longtemps. Si le grand colosse rouge pensait qu’il lui faisait peur, il se trompait lourdement et royalement ! A se rappeler ses répliques, il était bien sur de lui et semblait se croire supérieur aux trois autres mutants. Un comportement qui commençait a largement a énerver les nerfs de tarzan, qui mourrait d’envie de lui donner une bonne leçon. Malheureusement pour lui et ne trouvant rien pour le déstabiliser, il devrait encore attendre avant de s’offrir ce petit plaisir. Rien qu’a l’idée qu’il devait encore le supporter plus longtemps, brimait sa bonne humeur de la journée. Vu que le combat paraissait plus qu’évidant, Tarzan s’y préparait, même si ça se voyait peut. Et ou, bien qu’il restait le plus expressif des 4 mutants, il parvenait a cacher ses convictions peut pacifique. Pourtant de se battre contre eux ne lui posait aucun problème, bien au contraire, il était plus que ravis.

C est vrai quoi ? Ça ferait un peu d’action, parce que la, il s’ennuyait fermement a parler de tout et de rien. Surtout que bon, s’ils continuaient comme ça, il était quasi sur qu’ils allaient encore tourner en rond. Le seule petit problème dans l’histoire, c’était de se battre contre des personnes ayant des pouvoirs, était totalement nouveau pour lui. Il ne pouvait pas savoir leur potentiel au combat, vu qu’il ne savait strictement rien sur les dons des mutants. Du genre, il ne savait même pas que des personnes, étaient capables de lire dans les pensés des autres ou de faire bouger des objets. Ce pourquoi il s’admettait a avoir un peu peur, de ce qu’il allait se passer pendant le combat.Au fond de lui, il se demandait bien ce qu’il avait fait pour mériter cette situation sans en faire une tare, sous le risque de perdre totalement le contrôle de la situation. Remarque que la, peut de gens faisaient attention a lui, vu qu’il n’avait que le grand qui avait pris la peine de lui répondre. Bon maintenant, on l appelait Cheeta ? Ok, bon a force de lui donner tous ces surnoms en n’expliquant peut les raisons, ne pouvait que le contrarier au plus hait point. Le fait de rien comprendre au fait, qu’on le connaissait déjà et pas lui, le poussait a poursuivre sa conversation.

« tu vas finir par m’expliquer correctement pourquoi tu me donnes tous ces surnoms ? »

A la fin de sa phrase, l’enfant de la nature le vit rapidement s’approcher vers la jeune femme. Sans que personne ne puisse faire quelque chose, il lui foutu un coup de poing dans le ventre. Et c est la que le combat commence, pensait il en ricanant malicieusement. Tendis que son esprit vif s’agitait pour préparer un plan d’attaque, il le trouva rapidement lorsque l’autre fille se mire a hurler. Trop content de voir que les deux autres étaient occupés en bas, le seigneur des singes allaient pouvoirs s’occuper d’elle en toute tranquilité. Malin comme pas deux, il s’était bouché les oreilles avec ses doigts, avant de grimper sur le même bacon qu’elle. Une fois a deux pas d’elle, il n’hésita pas a la bousculer violemment pour qu’elle se taie. Une fois chose faite, il l’attrapa en lui collant sa main sur sa bouche, en surveillant le reste de son corps.. Ravis que son plan est fonctionné, il se fit un merveilleux plaisir de lui dire.

« bon, ton compte est reglé... tiens toi trenquil maintenant ! »

Mon dieux quel abrutis ce Tristan quand il s’y met, incapable de se tenir ! Qu Est-ce qu’il lui avait prit d’ouvrir sa bouche ? Cette fois ci, il aurait du se taire, plutôt de sortir cette connerie. A croire qu’il était devenu complètement suicidaire, en cherchant la merde. lui-même admettait qu’il y allait pas de main morte, et qu’il n’avait pas réfléchis aux conséquences que ça pouvait entraîner. Pour une fois qu’il avait agit au tac au tac, il espérait que ça n’allait pas mal finir pour lui. Du moins, au fond de son esprit chaotique, lui aussi, sentait l’affrontement venir a grand galop. Cependant et sûrement a l’inverse des autres mutants, il était mal a l’aise face a ce combat. Durant toute sa vie, il avait réussit a éviter les pires ennuies, avant son arrivé a l’institut. Étant devenu un mutant, il avait du se faire a de s’éventuel combat avec d‘autres mutants. Généralement c’était des personnes de la conferie, comme maintenant avec les deux personnes. Par chance et par on ne savait quel miracle, a chaque fois il s’en était sortit inteme. Malheureusement cette fois ci, il avait un mauvais pressentiment et n’était pas du tout rassurer. Non, rien qu’a voir les muscles saillants de tarzan, le faisait rougir de honte. C est sur que si c’était le même tarzan que dans ses vieux roman, son physique n’était pas étonnant. Il semblait si rikiki, et si menue comparer a lui, qu’il laissait paraître deux petits ronds rouges sur ses joues.

De plus que bon, entre nous l’enfant des ténèbres faisait un peu androgynbe, contrairement a ces deux hommes. Enfin, c est pas une raison pour qu’il se ramasse une trempe, on sait jamais hein? Mais oui, l’espoir fait vivre, hein Tristan ? En gros, le jeune troy était dans le pétrin, face a ce combat, dont il allait devoir faire preuve de beaucoup d’adresse. Dans un premier temps, l’ange noir avait décidé de se faire tout petit, histoire qu’il en prenne le moins possible. Une chose complètement loupé, comme il fut de nouveau la cible de scott. Après avoir relancer une vanne a Tarzan, il s’en était encore pris a tristan. Pour faire cours, il lui disait que ses vannes étaient pourrites et que c’était un bouffon, super la repartie du gas. Ce qui faisait bien rire l’enfant des ténèbres, s’était que lui-même n’avait pas du tout compris le sens de la blague. Scott faisait son malin, alors qu’il était pas plus intelligent que les autres. Un type qui se la jouait bourrin, qui semblait avoir tout compris de la vie, et avoir tout fait. Voila le jugement que lui portait Tristan , qui désespérait de cette situation. Tendis qu’il avait une magnifique occasion de le faire taire a jamais, il décidait de rien dire. Non, lasse de ces jeux d enfants stupides et sans intérêts, il laissait tombé cette histoire en achevant la conversation sur un ton désabusé.

« Je commence a me lasser de ces enfantillages. Aprennez a
faire la part des choses, après on en reparlera »

Alors qu’il s’attendait a qu’il reçoive un pain de la part du colosse, il vit qu’il se défoula sur Ampère. Au même moment, il entendit une hurlement pénible parvenir a ses oreilles fragiles, du a son déréglage de pouvoirs. Tellement que le bruit lui été insupportable, il avait essayer de se boucher les oreilles mais en vain. Maudit soit son pouvoir de ses accrus ,dans ce moment la, impossible de contre attaquer. Tendis qu’il s’était fait des films sur ce qu’il allait lui arrivé, il eut la bonne surprise de ne plus entendre se bruit affreux. Curieux de savoir ce qu’il s’était passé, il levait les yeux en l air, en découvrant avec amusement que Tarzan avait attraper la fille. Il se débrouille pas mal pour un petit gas de la jungle, pensait l’enfant des ténèbres avant de se concentrer a la scène du combat. Alors que scott était dans une fâcheuse position a cause d’ampère, qui voulait le griller, le jeune troy se demandait s’il allait l’aidé. Ben quoi ? Après ce qu’il lui avait fait, il pouvait très bien se demerder tout seul, ce qui laisserait Tristan le plaisir de partir en douce. Cependant, ce n’était pas du tout son style, ce pourquoi il prit un malin plaisir de couper le genéteur, au moment ou elle avait le dos tourné. Satisfait d avoir déjouer le coup d’ampère, il se retourna vite fait vers soctt, pour lui hurler.

« surveillez un peu vos arrières, je ne serais pas toujours la pour vous surveiller ! »

Scott regarda avec un certain plaisir Ampére s'éclater comme une grosse bouse contre un mur, puis ensuite vomir tripe et boyaux a cause du coup de poing qu'elle avait reçut. Il serait alors tranquille pendant un moment pensat-il finir de l'entendre déblaterer ses monçeaux d'idiotie. Mais a propos d'entendre, un son puissant vint lui vriller les tympans, il mit ses mains sur ses oreilles, enfin les deux troux dans sa caboche qui lui faisaient office d'oreille, mais cela fut peine perdue, le bruit était de plus en plus fort. Il vit alors son corps commencer a se fendiller, des morceaux de roche tomber petit a petit. Puis soudain il sentit une pulsation venir du plus profond de lui, un peu comme s'il se situé juste au-dessus d'un point de dynamitage d'une mine au moment ou la charge explose.

De grandes fissure apparirent sur son torse, il ne sentait pas la douleur. Mais il savait ce qui allait se passer. Il regarda son corps, soupirat.

Et merde

Le haut du corps de Scott explosa, litteralement, faisant voler des éclats de rubis partout, une véritable pluie de pierre précieuse. Les jambes du colosse réstérent debout, comme les vestiges d'un statue grecque au milieu des ruines.

Pour le géant c'était un impression assez bizarre, il ne voyais plus rien, entendais tout mais étouffé, c'était comme être bloqué sous la terre, ou plutôt du sable, voila c'était comme si lors d'une journée a la plage on l'avait entéré sous du sable. Dans son esprit Scott s'imaginait se dégageant du sable, jusqu'a ce que la lumiére du jour réaparaissent.

Sur le champs de bataille, les protagonistes pouvait voir les innombrales morceaux de pierres précieuse revenir vers les jambes de Scott, comme attiré par des aimants, puis s'envoler pour retomber a l'endroit ou le corps du colosse avait disparut. Petit a petit tout réaparaissaient, son ventre, ses pectoraux, ses bras, son cou, et finalement sa tête.

Le mutant fit un mouvement circulaire avec son cou, faisant entendre un bruit de friction de roche, puis rouvrit les yeux, avant d'afficher un grand sourire.

Me revoilaaaa !!!!

Il s'emblait avoir raté quelque chose puisque la crieuse était maintenant par terre surement a cause de Cheetha vu qu'il était a la place qu'elle occupé en hauteur. Mais l'Ampére elle semblait avoir récupérer, et comme prévut Tristan lui ne semblait avoir rien fait bien qu'il lui dise d'une façon ironique que c'est a lui qu'il devait d'être encore en vie.

La ferme, si tu était vraiment efficace t'aurais déjà étalé la pile. Alors maintenant tu laisses faire les grandes personnes ou tu commence vraiment la castagne, compris, un truc dans ce genre la.

Scott fit comme si c'est deux mains était des revolvers, il les pointas vers Ampére et la hurleuse. Soudain une grêle de petite bille de rubis partie en direction de ses cibles, un feu nourrit comme des mitraillettes.

Spoiler:

Maiwenn s'était concentrée sur son attaque. C'était costaud du rubis, mais pas indestructible. Et elle voulait être sur de pouvoir continuer à se battre après et devait donc gérer son effort. Elle avait donc commis l'erreur de "débrancher" son ouïe. Enfin, façon de parler. Elle percevait toujours ce qu'elle maîtrisait mais y mettait moins d'attention, elle laissa donc passer le signal d'alarme d'une gouttière qui grince, sous le poids d'un homme singe en plein dessus. Maiwenn regarda avec une certaine jouissance le rubis être réduits en des centaines de petits morceaux. Plus jamais Scott Hart n'aurait l'occasion de se mettre dans les pattes de la Confrérie. C'était toujours ça de fait.

Maiwenn fut alors violement poussée. Elle allait réussir à se rétablir grâce à la rambarde quand sa jambe droite crocheta sa jambe gauche. Sans commentaire, de toute façon tout le monde croirait que c'était de la faute de l'homme singe. Personne ne pouvait avoir vu que Maiwenn Short venait de se faire un croche pied, toute seule, comme une grande et a son énorme humiliation. Bref, je disais, Maiwenn venait mystérieusement de tombé sur le sol du balcon, de surprise, elle cessa l'attaque, et l'instant d'après la main de ce répugnant singe échappé de l'asile se trouvait sur sa bouche pour l'empêcher de crier. Et une vague de fureur compulsive la traversa, ses yeux s'étrécirent d'une colère foudroyante et elle décocha sans un instant d'hésitation un coup du pied là où aucun homme, sauvage ou pas, n'aime être frappé. Profitant de son répit, elle réussit à se redresser. Elle y perdit du temps mais au moins gagnait en apparence. Un vainqueur couché par terre ça le fait pas trop.

Ampère ne foutait vraiment rien de sa vie >< Elle avait laissé passé l’autre crétin de Tarzan et de plus elle se tenait quais immobile face a Mister Tippex et... Bon dieu pourquoi il était debout ?!? Maiwenn perdit encore cinq seconde tant elle était choquée de voir un Scott recomposé. Tarzan avait l'air parfaitement remit de sa castration par procuration. Maiwenn ne s’embarrassa pas de détails, son osmose était prête, sa voix aussi, elle lança une déferlante d'ondes droit sur lui.

Spoiler:

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Pliée en deux et occupée à tenir le colosse en respect tant bien que mal, Ampère avait raté pas mal de choses. Déjà l'homme de la jungle qui était parti s'occuper de Maiwenn...Encore un inconscient...Enfin bon, elle, elle venait de se prendre le coup du poing du siècle, alors elle avait un peu de mal à se concentrer sur tout à la fois, on ne pouvait pas vraiment le lui reprocher, non?...

Dans la rue, de tout le capharnaüm qui s'installa soudain, la seule chose dont Ampère fut réellement consciente - et d'ailleurs, ça aurait été dur de le rater- ce fut l'explosion, littéralement, de son adversaire principal. Sous la voix de sa collègue confrériste, le rubis rouge vibra sous les puissantes ondes avant de se fendre et de se désintégrer aussi sec, en une jolie pluie de milliers de petits morceaux...

Mais les débris éparpillés sur le sol ne le restèrent pas très longtemps. Sous les yeux éberlués d'Ampère, le colosse rouge se reconstitua, reprenant son horrible forme initiale. Le spectacle était de taille. Quelques seconde après sa résurrection soudaine et avoir lâché une autre de ses plaisanteries foireuses, le mutant se mit en tête de riposter...Il leva les bras...La seconde d'après, une puissante rafale de grêlons de rubis s'abattait sur elle avec force et Louise ne pouvait rien faire pour les éviter. Se couvrant le visage, elle ne put que courir pour se mettre à l'abri afin d'éviter ces balles improvisées qui lui écorchaient déjà la peau, avant de se jeter à l'abri derrière une voiture...Attendant la fin de l'averse ou l'intervention de Maiwenn. Cette fois-ci, Ampère avait du mal, vraiment...Et vu comme elle était partie, elle risquait de finir en aussi piteux état qu'après le combat du pont.

Touchée, la respiration courte, la jeune mutante commençait à regretter de se trouver à cet endroit. Elle aurait voulu se venger de ces pauvres types. Surtout du cachet d'aspirine...Ce petit imbécile venait de se pavaner devant son copain rougeâtre en croyant qu'éteindre sa source d'électricité, ça allait la stopper? Dommage pour lui, Ampère pouvait réveiller les machines...Enfin, il était normal qu'il ne le sache pas et de toute façon, il allait s'en rendre compte bien vite. Furieuse de l'audace soudaine de cet homme et frustrée de ne pouvoir régler son compte à la pierre, elle avait une envie furieuse d'agir et griller quelqu'un serait un excellent moyen de passer ses nerfs...Ah oui tiens, ça s'était une idée. Le cachet d'aspirine allait regretter de s'être mis en travers de son chemin...

Sans attendre, elle leva la main vers le blanc bec et fit voler une belle décharge du générateur directement jusqu'à sa cible. Adieu le cachet d'aspirine. Il allait faire un beau vol plané et au moins il leur lâcherait les basques pendant un moment.

*Vas-y, prend ça pauvre type.*

En espérant que Maiwenn décide de s'occuper du colosse de rubis, sinon elle risquait d'avoir de gros soucis...Elle leva les yeux et aperçut sa collègue en mauvaise position...Mouais, certains n'allaient pas tarder à avoir mal aux tympans dans le coin. D'un coup, Ampère ressentit l'extrême certitude de se trouver dans le on camp...

Tendis que l’enfant de la nature tenait fermement la jeune femme dans ses puissants bras, il jetait un petit coup d’œil en bas. Curieux et quelque peu inquiet d’avoir un retour de bâton par ses autres adversaires, il fut de suite rassuré de remarquer que tous étaient bien occupés. L’homme blond avec la jeune brune, semblaient se battre autour d’une boite. Alors que le gros colosse avait littéralement explosé, et commençait a se reformer petit à petit. Une action fort étonnante pour Tarzan, qui se demandait bien comment c’était possible, avec une petite pointe d‘amusement. Une question qui avait beau exister son esprit, il arrivait quand même a calmer sa vaine curiosité. Normal, le moment de se poser des questions existentiel était vraiment mal choisit, vu qu’il était dans un combat. Un affrontement dont il devrait être très prudent, pour ressortir vivant a la fin. Parce que peut être que cette femme semblait fragile, mais elle avait su lui montrer sa véritable force, qui n’était pas si mal que ça. Sans doute a ce moment la, qu’il se jurait de ne plus se fier au apparence, cela lui avait valu quelques problèmes auditifs. Cependant et commencent a sentir l’ennui envahir son corps, ben quoi? De rester planter ici a faire les gardes nounous sous le risque qu’elle se remette a crier, n’était pas du tout son fort. En tout cas, il avait l’impression de servir de poteau, auquel on aurait attaché la mutante. Sur quoi, il espérait que le combat ne durait pas longtemps, en espérant que quelque un viendrait l’aider. Dans cette pensée la, il avait particulièrement pensé au soutient du blond, qui semblait plus serviable que les deux autres. Cependant et ayant quand même le défaut d’être trop sur de lui, le seigneur de la jungle se fit facilement prendre aux pièges. Maiween l’avait violement frappé dans les couilles, ce qui lui fit un drôle d’effet.

Mal, horriblement mal, tellement mal qu’il ne pu se résigner a la lâcher sa prise, en se courbant sur lui-même. Il ne s’était jamais rendu compte a quelle point, ça pouvait faire mal quand on tapait dans cette partie. Ouch, voila qu’il avait l’impression de vouloir aller pisser. Quelle petite garce, pensait il interieusement en essayant de vite récupérer, avant qu’elle ne se remette a hurler de plus belle. Il manquerait plus que ça, en sachant qu’il aurait vraiment du mal a la contrer en étant si près d’elle. Par mal chance, elle ne mit pas longtemps a lui gueler aux tympans, ce qui le fit defallihir. Immobile et incapable de faire quoi que se soit, il regardait désespérément autour de lui en cherchant quelque chose pour l’aider. Il était clair dans son esprit, que s’il la laissait faire, il était certain qui perdais l’un de ses sens. Cette idée lui fit tellement peur, qu’il réagissait en fonction de son puissant instinct, sauvage et combattant. Sur quoi et par on ne savait quel miracle , il parvenu a lui faire un croche patte. Une fois fait, il se relevait lentement, encore sous le coup du cris. En ayant plus qu’assez d’elle et déterminer d’en finir une bonne fois pour toute, Tarzan décidait de passer au chose sérieuse. Sans prendre conscience du mal qu’il pouvait lui faire, il se ruait sur elle avant de lui donner un bon coup de poing au visage. Comme ça faisait bien de se défouler, pensait il en lui lancent d’un air narquois.

« La, je pense que la, tu peux plus rien faire ! Ça t apprendras !»

Tarzan la laissait de coté, pour se pencher sur le cas des autres personnes, dont il vit que le blond avait été grillé par la jeune femme brune. Ayant de la sympathie pour cet homme, il décidait de s’interposer entre les deux personnes. De dos au blond mais Face a la brune, il la regarda dans les yeux pour la provoquer. La , c est sur qu’il la cherchait la baston, et il en était content ! Ben quoi ? N’oublions pas qu’il avait du se battre plus d’une centaine de fois dans la jungle, ce qui avait forgé cette amour pour les affrontements.


ps: avec maiween, on a deja une fin =)

Du plaisir a se battre ? L’enfant des ténèbres éprouverait il une certaine joie dans ce combat ? Une grande nouvelle, pour une personne comme lui, qui se disait très pacifique. En effet, pendant toute sa vie, il avait préféré de régler les choses par des mots, que par la violence. La raison première était sans doute, qu’il trouvait que se battre ne menait a rien, qu’apart de se faire du mal. Mais la et a première vu, il avait l’air de s’amuser avec cette bande de rigolos. Remarque qu’après sa magnifique idée d’arrêter le générateur, il pouvait qu’en être fière. Non seulement il était parvenu a contre carré les plans d’Ampère,ce qui le vengait largement de son sal coup au centre commercial. Mais aussi de montrer a scott qu’il n’était pas de la merde, qui avait osé de salir son honneur ! En clair, c’était très avantageux d’avoir fait ce petit coup a la pile électrique ! Non, mais franchement, on devrait écrire un livre dessus, tellement c est hilarant a ses yeux. Divertissent d’observer qu’un homme prétentieux et méchant, se prendre une magnifique leçon par une jeune femme. Troy espérait en vain, qu’il se sentait tout honteux face a cet action. Grande gueule mais peut efficace sur le terrain ? Que c est attendrissant, tout dans les bras mais rien dans la tete. Cette idée la amusait beaucoup l’ange noir, qui avait déjà eut a faire a ce genre de type. Pendant toute ses études, c’était des garçons qui se prenaient pour des rois, qui avaient tendance a faire les lois dans les cours.

Ce genre de personne n’inspirait pas du tout la confiance de Tristan, qui faisait tout pour les éviter au mieux qu’il le pouvait. Seules les fois, ou il avait du eut a faire a eut, ça se finissait toujours bien pour lui. En gros, il arrivait toujours a les rendre ridicule devant leurs amis, et cela sans passer par la violence. Non, il se contentait de les perdre dans une conversation, ça suffisait largement. La il ne pu s’empêcher de lever les yeux en l’air avec un air désabusé, quand scott avait totalement explosé. Tout son corps de rubis, était tombé en miette quand la blonde s’était mise a hurler de plus belle. En parlant d’elle, les magnifiques yeux sombres de l’ange noir s’étaient décaler pour voir ce que ça donnait en haut. Apparement les deux mutants étaient encore en train de se battre, et la c’était encore Tarzan qui avait la main. L’homme singe intriguait beaucoup l’esprit sombre du mutant, tellement qu’il espérait lui parler quand les choses seront calmés. S’il était vraiment le hero de sa tendre enfance, celui qui avait porté un impacte important sur sa personnalité, il aimerait le connaître réellement. Pour une fois qu’il voulait se la jouer social, on allait quand même pas lui reprocher ? Tendis qu’il était encore repartit dans ses pensées, il se fut violemment extirpé par une remarque de scott. Ce colosse était arrogant et gonflé pour pas admettre que sans Tristan, il était Hors de service ! Prit pas une vague de colère contre ce mutant, il ne pu s’empêcher de lancer une violente réplique assez froide, au moment ou il vit qu‘il s amusait avec des balles de rubis.

« la prochaine fois que t as un problème, je ne me generais pas de te laisser mordre la poussière »

Malheureusement, ce fut l’enfant des ténèbres qui se retrouva nez a nez avec le sol, quand il fut propulser dans les airs par une décharge électrique. Non, c’était pas une façon de parler, il s’était bel et bien pris un coup de courrant dans les narines de la part d’ampère. celle-ci avait trouvé un moyen de retrouver un générateur, ce qui était cuissant pour tristan. Le pauvre jeune homme allait se relevé  tant bien que mal, quand il vit une silhouette devant lui. Étonnait de voir que c’était tarzan, il était pas très sur de ses inttentions, ce pourquoi il ne fit rien qu attendre.

Scott interompis ses rafales pour entendre Tristan lui assener une parole qui se voulait assassine mais qui comme d'habitude avait l'impact d'un moustique sur un mur de brique.

Honnêtement que tu sois la ou pas, sa ne change absolument rien alors pour la derniere fois FERME TA GUEULE !!!

Et comme pour illustrer ses propos, Ampére l'envoya balader loin grace a une bonne décharge, si le colosse ne la detestait pas autant il l'aurait serrer bien fort dans ses bras. Mais au lieu de cela il lui fonça dessus pour une deuxiéme fournée, une magistrale charge d'épaule dans la confrériste qui la renvoya percuté le mur une fois de plus. Il ne s'arrêta pas la car dés qu'elle fut contre la parois il lui remis cela dans les dents et agrémenta le tout d'une grêle de coup de poing dans la face et dans le ventre. Pour finir il s'empara de la pile éléctrique, la souleva comme si elle ne pesait rien.

Vas donc voir la-bas si j'y suis espéce de tamagodchi

Il la lança aussi fort qu'il put dans la direction des arbres. Scott était calmé maintenant, il se sentait serein, il aurait préférer passé ses nerfs sur Tristan mais il aurait eut des problême en rentrant a l'institut. Quand a la honte de la jungle, la hurleuse semblait déjà s'en occuper. Mais de toute façon il devait lui faire payer son explosion de tout à l'heure, il se mit a courir dans sa direction, ses pas lourd faisant legerement trembler le sol comme la charge d'un troupeau de taureaux furieux. Il allait y mettre tout sa force dans ce coup de poing et il priait qu'elle reste focalisé entierement sur son ennemis et qu'elle ne se retourne pas. Quand soudain de puissant spot éclairérent la scéne, une voie a travers des haut-parleur se fit entendre.

POLICE RESTEZ OU VOUS ÊTES !!!

Hé merde il manquait plus que cela, Scott stopa son mouvement. Et regarda un instant vers les nombreux girophare qui clignotait, vu son apparence il ne valait mieux pas qu'il se fasse arrêter s'il ne voulait pas finir en piéce détaché revendu dans tout les boutiques de préteur sur gages par les flics ripoux de cette ville.

Hé merde.

Il tendis les bras devant lui et lacha une grêle de bille sur les policer, pas fort pour ne pas les blesser mais assez pour les obliger a s'abriter ainsi lui donner le temps de filer par une petite ruelle adjacente. En partant il passant devant Tristan, le regarda puis finalement le laissa la, non sans lui donner un dernier conseil.

Un petit conseil, je ne t'ai pas dérouillé cette fois, mais la prochaine fois qu'on se rencontre t'as interêt a avoir pris une assurance vie.

Puis il fila sans demander son reste.

Elle aurait du mettre la dose... Ca lui aurait évité tout ces tracas songea Maiwenn. Elle commettait décidément beaucoup d'erreur aujourd'hui. Elle avait perdu conscience pendant quelques minutes, puis elle s'était de nouveau immergé dans c'est univers, cette rue, cette odeur de diesel omniprésente, ce sentiment de malaise, cette mèche de cheveux blonds obstruant sa vision, une douleur lancinant à la hanche. Maiwenn ouvrit les yeux sur la lumière et le reste. Ses sens lui vrillaient le crâne mais elle allait dans l'ensemble plutôt bien. Prudent, elle agita ses orteils, puis ses doigts avant d'essayer d'amorcer des mouvements qui auraient pu être qualifiés de courageux après s'être fait proprement tabasser par l'homme de la jungle. Elle allait bien.

Scott... Se barrait ! L'immonde lâche ! Ce pourceau pas foutu d'attendre tranquillement que l'abattoir ouvre ses portes et qui fuyait !

Ampère, sa respiration à quelques mètres, mal en point.

Tristan, sans doute électrocuté vu les horribles ratés qu'avaient son coeur.

Ce ****** d'homme singe lui se tenait immobile face à....

La police. Hum. Voilà qui brusquement inspira la Syrène. Maiwenn Short se releva prudemment et avisa les flics qui se relevaient eux aussi, après une attaque de Scott sans doute. Elle lança sa voix, inaudible pour les deux zouaves d'en bas, incapables de l'entendre, ni même de savoir qu'elle s'était relevée, et qu'elle était furax. Au lieu de neutraliser les forces de l'ordres, Maiwenn leur inculqua le besoin de frapper à mort ces deux hommes blonds. Faibles, les policiers n'eurent aucune chance. Maiwenn ordonna à deux d’entre eux cependant d'aller chercher Ampère dans les fourrés, de la ramener à la Confrérie, puis de tout oublier.

Maiwenn avait finit sa besogne d'hypnose. Déjà les flics s'activaient. Elle sourit, carnassière. Puis elle saute du balcon et s'envola. Droit vers la rue où elle entendait les pas lourds de la course de Scott... Il pourrait aujourd'hui, elle se l'était jurée.

Spoiler: