Une longue soirée [PV : Rémy et Véga]

Invité

Sortir de l'Institut devenait primordiale, elle n'en pouvait plus de l'ambiance. Non, Lisbeth n'était définitivement pas fait pour ça, elle n'allait à aucun cours, ne parlait à personne, et fusillait du regard le moindre élève qui lui adressait la parole, à quoi bon vivre en communauté ? Elle avait décidé de reprendre les affaires depuis quelques jours, la passivité ne lui allait pas. Elle vérifia que la clé usb qu'elle devait livrer était bien dans sa poche et sortie. Son contact ne devait pas arriver avec au moins deux heures, elle avait largement le temps, mais de nature paranoïaque elle préférait aller vérifier le lieu de rendez-vous. Elle même.

Un bar, c'était un lieu neutre, il y avait assez de témoin pour éviter de tenter un coup d'esbroufe. Il était 22 heures, l'échange devait se faire à minuit, cette clé usb, contre une belle somme. En cash. Vêtue, pour changer de noir, elle fuma environ trois cigarettes sur le chemin, vérifia plusieurs fois son téléphone, palpa à de nombreuses reprises l'intérieur de sa veste, son revolver était là. Chargé, au moindre problème, elle n'hésiterait pas. Même si sa nouvelle faculté lui permettait d'éviter les carnages, on était jamais trop prudent. Elle écrasa la cigarette qui se consumait entre ses doigts avant d'entrer. La rue était passante, et en ce vendredi soir il y avait pas mal de monde, elle poussa la porte du bar.

L'ambiance était enfumé, elle distinguait un billard au fond. Lisbeth posa sa main sur le bar et commanda une bière. Le serveur lui demanda sa carte d'identité, ce qui eut pour effet de l'agacer. Elle sortie la fausse, Anna Caroll, 24 ans, avec un sourire crispé, et un regard meurtrier, l'homme marmonna une vague excuse en baissant les yeux, il lui sortie une bière bien fraiche. Lisbeth l'attrapa sans un mot de plus et alla s'assoir à une table. Le bois était collant, sans doute les bières renversés n'étaient pas nettoyées ici. Enfin, elle n'était pas genre à relever ce genre de détail, elle jeta un coup d'œil à la télé qui diffusait en sourdine les infos, sur le coin de l'écran il y avait l'heure. Elle avait le temps encore, elle but une gorgée de sa bière, directement au goulot.

Elle s'alluma une nouvelle cigarette et jeta le briquet sur la table. Le temps s'égrainait lentement, mais elle prit le temps d'observer le lieu, d'en apprendre les moindre recoins, en cas de pépins elle saurait fuir, en limitant les dégâts. Elle n'avait aucune envie de retourner à l'infirmerie. Un homme l'air passablement éméché s'avança vers sa table, elle recracha la fumée en le fixant d'un air mauvais. Les hommes et l'alcool. Il tâtonna un instant avant de trouver le dossier de la chaine de la tirer maladroitement et de s'y avachir. Il ouvrit la bouche pour parler, mais la jeune femme l'arrêta d'un geste.

« Non. Je n'ai pas envie de causer. Non. Je ne veux pas une autre bière. Non. Je ne montrais pas dans ta caisse pourri. Oui. Tu ferai mieux de dégager avant que je m'énerve »

L'expression du soulard trahissait un ébahissement certains, il marmonna dans un langage incompréhensible et se se releva avec encore plus de difficulté qu'il avait mis pour s'assoir et reparti se commander un nouveau whisky. La soirée promettait d'être longue.

Sujet: Re: Une longue soirée [PV : Rémy et Véga] Sam 7 Nov 2009 - 4:11

Jean-Paul Beaubier n'était pas habitué à souvent à sortir dans les bars depuis presque vingt ans, la dernière fois qu'il a été dans un bar. C'était un bar gay à Montréal avec son ancien copain. Il avait eu beaucoup de plaisir, mais sa jeunesse était dépassé depuis très longtemps. Pour une fois, il était habillé comme un civil habituel, laissant son manteau à l'entré. Il avait la barbe de trois jours avec ces cheveux longs qui arrivent jusqu'à son coups avec un énorme chandail avec un logo du parti démocrate. Il avait seulement des jeans noirs. Il était arrivé assez tôt pour s'amuser avec deux ou trois personnes comme à l'habitude. C'était deux humains, assez ouvert d'esprit. Ils étaient membres du Parti Démocrate et il faisait parti selon les médias de la gauche radicale du parti. Alors, ceux-ci acceptaient beaucoup plus facilement l'homosexualité et la mutation de Beaubier. De puis, Beaubier était totalement différent de l'américain habituel. Il est né au Québec et plusieurs de ses valeurs viennent du Québec et de la social-démocratie. Il faisait toujours une partie de billard dans le coin. C'était seulement une discussion politique qui durait entre deux à trois heures sur presque tout les sujets.

Il frôlait le sujet de l'homosexualité, de Stryker, de l'Islam, du socialisme, de la vie en société, en tout cas pleins de sujet. Parfois, le sujet devenait un peu absurde. Les deux hommes étaient âgés d'environ 40 et 48 ans. Alors, le sujet des enfants étaient aussi importants. Les deux hommes étaient mariés et ceux-ci avaient des enfants. Mais, le sujet arrêta quelques secondes, dans son coin. Il était seulement 22:00, il semblait l'avoir déjà vu à l'Institut. Elle semblait beaucoup trop jeune pour être légale dans les bars des États-Unis et du Canada anglais. Il prit doucement sa bière pour se diriger vers la femme. L'homme qui avait essayé plutôt était un échec. Beaubier ne laissa même pas le temps de répondre à la femme de répondre qu'il était déjà à coté d'elle. Il avait prévenu ces amis, alors il avait assez de temps.

-Oh, que le monde est petit. Une élève de l'Institut avec le professeur le plus chiant de l'Institut, dans le même bar, pas beaucoup de chance. Je peux comprendre, voir mes professeurs au CÉGEP ou à l'Université, prendre une bière avec moi. C'était étrange et je vous l'avoue. Mais, je ne veux pas vous déranger, je voulais seulement savoir quelques renseignements. Vous n'avez pas de travail ou d'école demain? Ce n'est pas très sage de prendre quelques bières avant des cours, j'ai connu. Sinon, je vais vous lâcher si vous attendez un petit copain ou une petite copine pour votre soirée.

Dit-t-il doucement avec un ton beaucoup plus humoristique que son habitude. Beaubier était un homme très sérieux et neutre devant ses élèves, et la pauvre Lisbeth n'avait pas vu que Beaubier avait consommé un peu d'alcool avant de venir la parler. Mais, il gardait toujours sa responsabilité de professeur, même quand il n'était pas dans l'Institut. Il avait bien le droit à une vie quand même. Plusieurs personnes voulaient même qu'il se trouve un copain pour être moins seul. En tout cas, peut-être il dérangeait un peu la femme, mais c'était trop tard, il était déjà un peu saoul. C'était vendredi soir, il faut bien s'amuser pendant un jour de la semaine.

Sujet: Re: Une longue soirée [PV : Rémy et Véga] Sam 7 Nov 2009 - 13:15

Rémy ce baladait accompagné de deux jolies filles qui semblaient avoir au moins 10 ans de moins que lui ou alors c'était du à leurs anorexies et leur mini jupe fluo, a New-York, on pouvait prendre une fille de 50 ans pour une jeune femme, la magie du botox bon, certaine semblait même carrément figer dans le temps mais certain chirurgien faisait des miracles. A dire vraie, Rémy ne se souvenait même plus du prénom des deux jeunes femmes ce qui lui valut d'ailleurs de se prendre deux magistral baffe en plaine rue juste devant un bistro et de les voir désertées aussi vite qu'il les avait trouvées ... Heureusement une Bière n'était jamais loin, il passa la porte du pub et ce dirigea comme il se devait verre le bistro,

« Chef !! Une Pinte !! »

le barman se retourna surpris d'entendre un t-elle beuglement servi la Bière regarda Rémy dans les yeux ce qui lui valut une bonne surprise

« Ho mon gars dit moi ça va ? T'as comme les yeux rouges !! »

Rémy en avait vraiment mare de subir des réflexions constantes sur ses yeux, il mit ses lunettes de soleil, pour cacher ses yeux et se retourna en saisissant sa bière ne relevant même pas la réflexion de ce petit barman prétentieux, il regarda autour de lui pour trouver quelqu'un de plus joviale pour boire en bonne compagnie, des hommes joués au billard dans le font, bof bof des mec qui tiennent des queux ça par toujours en sucette, oui, des fois il avait honte de ses propres pensés... il avança quand même dans le doute en direction des tables pour voir s'il ne croiserait pas une jolie fille à l'air triste. Quand il entendue une bride de conversation

- ... le professeur le plus chiant de l'Institut ...

ha ? L'institut bah dit donc ou que l'on aillent, on finit toujours par tomber sur un collègue il essaya de passer discrètement en se cachant derrière sa bière tout en regardant avec qui il parlait au passage et la surprise ! Jean Paul en compagnie de Lisbeth, non, mais personne ne le croiraient jamais s'il racontait ce qu'il voyait la fille la plus solitaire avec le professeur le plus étonnant, il ne put s'empêchait de se manifester à cet étonnant duo,

« Et bien, si on m'avait dit un jour que je vous trouverais tous les deux dans un bar en train de boire gaiment je n'y aurais vu que la démonstration du principe d'improbabilité ... »

Oui certes quand Rémy buvait il lui arrivait d'avoir quelque phrase que lui-même ne comprenait pas, ce qui le fit buguer sur place son verre à la main, t-elle une statue à la gloire de la dépravation il resta environ cinq secondes la bouche entre ouverte avec un air béa sur le visage avant de secouer la tête comme pour se réveiller

« Oulala, désolés, l'alcool me donne des neurones, bon sinon vous allez bien ? Jean-Paul ça fait une paye que l'on ne s'est pas vue !! tu deviens quoi ? Et vous? Miss Salanders, si je vous le demande vue que nous sommes dans un bar avec tout trois un verre de bière à la main vous allez encore trouver que je suis le pire pédagogue de l'institut ? Ou bien, vous laissez a deux vieux professeur le plaisir de s'asseoir à votre table !! »

dit-il avec un ton disant venaient on picole toutes la nuit comme des trous et rentrera bras dessus bras dessous!! tout en posant son bras sur l'épaule de Jean-Paul pour l'invité de force

Invité

A nouveau quelqu'un approchait, Lisbeth retint un soupir, mais en levant le regard vers l'homme, elle s'aperçut qu'il lui était familier. Elle ne dit pas un mot et le laissa parler, un professeur de l'institut, c'était bien sa vaine ! Elle se fit la réflexion que c'était incroyable qu'il l'ait reconnu, elle n'avait que très rarement mis les pieds dans une salle de cours. N'y voyant pas grand intérêt au final. Elle éprouvait une certaine répugnance à s'assoir à écouter bavasser sur un sujet qu'elle avait soit déjà étudier par elle même, si elle lui avait trouvé un quelconque intérêt, soit auquel elle ne prêtait pas la moindre utilité.

« Je ne savais pas que j'avais des comptes à rendre»

Elle but une nouvelle gorgée de sa bière. En dehors de l'école, en dehors des cours, elle n'acceptait aucune remarque. Et elle n'allait certainement pas lui dire qu'elle attendait un contact. D'un autre côté ne pas lui dire signifiait avoir à supporter un discours sur l'importance de l'école, et du travail, sur le fait que l'alcool n'était pas sain pour une jeune fille de son âge. Elle allait rétorquer une nouvelle chose, mais une voix bien connue la coupa. Lisbeth jeta un coup d'oeil vers l'entrée du bar. Deux professeurs, et merveilleux, c'était Gambit, il ne manquait plus que lui.

Elle se tassa sur sa chaise, se maudissant de ne pas savoir mieux contrôler son pouvoir. Au vue de la démarche du professeur, il n'en n'était pas à sa première bière. Elle écarquilla les yeux, essayait-il vraiment de se cacher derrière sa pinte ? Elle le toisa d'un regard blasé. Le principe d'improbabilité ? Elle se mordit l'intérieur des joues pour ne pas répondre, cela ne servirait à rien. Lui même parut étonné de sa phrase. L'unique point positif que Lisbeth voyait à son arrivé, c'est qu'il entrainerait surement l'autre professeur avec lui, et qu'ils la laisseraient tranquille. Mais c'était sans compté le caractère imprévisible du X-men, il lui rappela en quelques mot leur dernière entrevue. Elle ne pensait pas qu'il était le pire pédagogue de l'institut, elle pensait qu'il était le pire pédagogue du monde.

« Je n'ai rien besoin de "trouver", vous le prouvez tout seule comme un grand. »

La situation devenait carrément surréaliste. Elle n'avait certes pas prévu dans toutes les données pour que le rendez-vous se passe dans un lieu discret et sure, qu'elle tomberait sur deux professeurs, dont un à moitié ivre et qui venait apparemment de se faire gifler si elle se fiait à la trace rouge qui marquait encore sa joue.

Il y avait encore du temps avait que son contact n'arrive, elle posa ses deux mains à plat sur la table, le regrettant presque dans l'instant. Elle était collante et elle ne voulait certainement pas apprendre ce qu'il y avait eu dessus. Elle en vint même à douter de la couleur d'origine. Elle les observa chacun à leur tour. Elle n'avait rien contre le professeur Beaubier, elle n'avait même pas d'avis à son sujet, il avait voulu jouer le professeur sympa, venir lui dire qu'elle n'avait sans doute rien à faire là, c'était plutôt noble même si elle n'en avait rien à faire. Mais d'un autre côté, l'autre professeur était du genre à se mêler de ce qu'il ne le regardait absolument pas. La plupart de la population féminine voyait en lui le grand séducteur, pas mal d'étudiante lui faisait les yeux doux et il alimentait une bonne centaine de rumeur. Un professeur normal, aurait fait taire cela, mais non pas lui. Elle avait déjà des a priori sur lui avait de le rencontrer la première fois, et ce qu'elle vit ne démenti en rien ce qu'elle pensait.

« Trouvez-vous vraiment raisonnable que deux professeurs boivent une bière avec une élève ? »

Elle se cala un peu plus dans sa chaise. Le concept de raison ne devait tout de même pas être complètement étranger à Rémy. Lisbeth n'allait pas expliquer qu'ils dérangeaient. Cela entrainerait tout un tas de questions auxquels elle n'avait pas envie de répondre. Elle croisa les bras et tourna la tête pour jeter un coup d'œil à l'heure. Elle espérait sincèrement qu'ils soient partis avant que son contact n'arrive.

Sujet: Re: Une longue soirée [PV : Rémy et Véga] Sam 7 Nov 2009 - 23:15

Jean-Paul Beaubier n'avait même pas eu le temps d'attendre, qu'une autre voix. La voix de la femme semblait un peu désagréable, mais ce n'était pas très étonnant, elle semblait pas désirée un professeur autour d'elle. C'était assez compréhensif de sa part, les jeunes n'aimaient pas beaucoup de se promener avec les plus vieux. Il faut l'avouer, Véga ne fait plus jeune. C'était rendu un vieux hyppie, toujours prit avec des chansons des Cowboys Fringants et des Rolling Stones. Il ne montra pas une grande déception, il avait seulement apprit à contrôler beaucoup ses sentiments depuis son rentré dans l'Institut.

-Je suis désolé, je ne voulais pas vous déranger, mais j'aime seulement me soucier des élèves, peut-être que vous attendez une personne. Je vais aller continuer mes discussions incroyables avec mes deux petits politiciens dans mon coin. Peut-être que je fais trop vieux pour sortir dans les bars, ma sœur avait bien raison.

Dit-t-il doucement encore avec un peu d'humour. C'était très rare, même presque inexistant pour plusieurs personnes. Cela briser une loi de la physique quantique, voir Véga heureux ou pratiquant un peu d'humour. Il était beaucoup trop politisé selon plusieurs, mais il pouvait bien s'amuser une journée. Puis, c'était au tour de Gambit d'intervenir. Mais, ce n'était pas très étonnant de le voir ici. C'était un coureur de jupon et il devrait être un grand amateur d'alcool et de fiesta. Le mutant semblait avoir assez bu, étonnant, qu'il ne l'a pas vu avant.

-Tu sais, l'habitude Gambit. Je travaille, travaille et travaille. Je continue à défendre vos gestes, en donnant des cours d'économie et de vol. Je recrute, je travaille et toi, qu'est-ce que tu fais de bon? Encore en train de charmer des jeunes femmes?

Rira Beaubier en le voyant. Il était assez cruel envers Gambit, mais c'était à cause de l'alcool. Habituellement, il est beaucoup plus virulent contre les X-men avec des relations qui touchaient beaucoup trop leur vie personnel. Donc, Rémy était assez chanceux de ne pas tomber sur le professeur très stricte.

-Cela dépends de la situation, quand un professeur prends une bière avec son élève après une semaine assez difficile, c'est accepté dans l'éthique. Mais, si l'élève n'a pas l'âge légal pour boire, cela pose problème. Mais, je pense que vous l'avez sauf si le barman fait un mauvais travail. Pendant mes études à l'université, plusieurs professeurs ont prit une bière avec moi. Mais, je ne veux pas vous déranger. C'est vrai en voyant Lebeau, on se demande même si celui-ci est professeur.

Dit Beaubier en riant encore une fois de Gambit. C'était trop facile pour lui, mais il ne pouvait pas s'empêcher. Il était professeur en quoi encore? En sport de combat? Avec les femmes? Cette remarque lui fit rire de nouveau. En tout cas, il montait une autre image de sa vie professionnelle aux membres de l'Institut.

Sujet: Rémy s'enfonce Dim 8 Nov 2009 - 1:45

Et bien, il n'était pas tombé sur les plus joyeux lurons de l'institue, au moins avec Logan on pouvait boire sans se prendre des remarque à la figure tout les cinq secondes, lui qui était venu pleins de bonne attention auprès de ces tristes luron on lui reprochait son attitude, certes il n'animait pas de grand débat philosophique sur la condition du mutant et n'était certainement pas capable de tenir tête à des politiciens comme le ferai vega, mais lui n'avait pas eu la chance de pouvoir étudier dans une grande université, il ne connaissait peut-être rien en économie et n'était assurément pas le meilleur des professeurs, mais il faisait son possible, certes les baffons ne santé pas le savons, loin de la et effectivement, il lui arrivait de boire un coup de trop, mais même si une loi venait à nous protéger ça changerait quelque chose pour la prochaine génération, mais la sienne était déjà trop impliquée dans les conflits et la plupart des mutants qui avaient fait bouger les choses en profondeurs avait trop de sang sur les mains pour s'intégrer dans la société,

« Que veux tu, tu vol, je vole nous volons tout au final, on ce bat tous les deux pour la même chose tout n'est qu'une question de point de vue, mais fait attention a force de traîné avec ces politiciens tu prend trop l'habitude des piques et des attaque verbal, »

Rémy comprenait l'utilité de la politique, mais il trouvait cela trop institutionnalisé, vous commencez par faire voté une loi elle met quatre ans a être appliquée ensuite les organisme commence lentement à se metre en marche il suffisait de voir les acquit poste ségrégation, vous voyez beaucoup d'afro-américain à la tête des grande entreprise ? Je n'ai pas fait le compte, mais ça doit être entre un et cinq pour-cent et les rares qui sont appréciés son ceux stigmatisés par leurs origines et qui en font leurs fonds de commerce. De plus histoire de l'achever Lisbeth y allait aussi de ses petites pique toujours aussi cinglante et remarquablement placé, cette fille pourrais sois devenire la meilleur de politicienne ou bien la pire des voleuses, en tout cas elle savait cultivé se coter insaisissable qui allait tellement avec son look

« Effectivement, j'ai une mentalité différente de celle des autres professeur de l'institue c'est sûr que je ne suis pas un vieux beau qui se complait de ses petits privilège et je n'ai effectivement pas eu d'éducation digne de ce nom, mais je sais quand même par expérience que le pire est devant nous et je tente de profiter du répit qui m'est offert, je suis sortie de cette phase morose ou l'on en veux à la terre entière, mais tu ne m'as pas répondu on s'installe ou notre odeur de vieux t'es trop insupportable ? Ho mais suis-je bêtes tu attend peut être ton petit ami ? C'est vrai que s'il te trouvait accompagner de deux beaux gosses comme nous tu serais surement dans une situation délicate hé hé !! »

Rémy s'amusait de la situation, plus que des petites attaque qu'il subissait, lui profitait d'une discution légère avec des collègues et cela lui suffisait mais diable ce que la bière s'évaporer vite dans se bar, il avait déjà pratiquement exterminé la moitié de sa pinte

Invité

Tenant sa bière maintenant vide, elle observa tour à tour les deux hommes, et ne empêcher une expression amusée de traverser fugitivement son visage. Décidément tout n'était pas rose entre le personnel de l'institut, les piques fusaient plus ou moins discrètement. Lorsque Véga embraya sur sa propre expérience à l'université, elle se retint de signaler qu'elle ne fréquentait déjà pas les élèves, que lier des amitiés ne l'intéressaient pas, qu'elle avait tendance à rejeter toute forme d'autorité et que boire une verre avec deux professeurs n'étaient pas dans ses projets directs. Néanmoins elle s'abstint. Lorsque le plus âgé parla de Gambit, elle leva un sourcil, une moue ironique imprimé sur le visage. Si même ses collègues ne trouvaient pas qu'il faisait professeur, comment pouvait-il conserver une autorité sur ses élèves.

La réponse de celui-ci était amer, il semblait éprouver une vive méfiance envers les politiques, ce qu'elle ne pouvait qu'approuver. Les politiciens, même s'il partait d'une intention honorable, s'avéraient être tous les même, songer que seul leur opinion était la bonne, débattant sur des nuances qui n'avaient d'intérêt seulement dans le monde qui était le leur. Le reste de la population s'en moquait la plupart du temps. Il fallait dire que la masse se referait aux opinions pré-mâchés qu'on leur servait. La question de gambit la ramena à la réalité, il n'était pas temps de réfléchir à un sujet sur lequel elle avait déjà une opinion arrêté.

« J'attends une connaissance »

Cela ne les regardait absolument pas, et connaissance était un bien grand mot. Mais elle ne pouvait décemment expliquer la situation à deux représentants du corps professorale. Elle préféra ne pas relever la remarque de Rémy, elle ne se laissait pas facilement affecter, et même si la pique lui était directement adressé. Contrairement à ce qu'il semblait pensé, elle n'en voulait pas à la terre entière. Lisbeth n'allait pas les chasser, mais cela lui arracherait la bouche de leur dire de s'installer, surtout qu'elle ne le voulait pas particulièrement, elle se contenta de hausser les épaules, consentir lui coûtait trop d'effort et au final elle s'en moquait.

« On est dans un pays libre »

Se sentant observée, Lisbeth tourna la tête vers le bar au même instant ou le barman détourna le regard, faisant mine de s'affairer à essuyer un verre. Elle reprit sa bière en main, la termina, elle posa la bouteille vide sur la table. La jeune fille tourna à nouveau le regard vers les deux professeurs.

De nature peu loquace, elle était toujours très concise et direct dans ses propos. Bien entendu, au cours de pérégrinations, pour diverses contrats, elle avait du parfois jouer quelques rôles, si elle pouvait s'en passer, elle le faisait, mais ce n'était pas toujours possible. Mais elle avait dut apprendre à ne paraître de ce qu'elle était, une mutante asociale à tendance cynique. Jouer l'opposer n'était pas simple, mais à force d'apprentissage cela lui permettait de pas se montrer trop acide, elle devait jouer la carte de la discrétion. Elle avait face à elle un expert des cartes, et un professeur un peu trop consciencieux, si elle parvenait à faire la transaction sans qu'ils ne remarquent en rien, elle pourrait se féliciter.

« Je vais chercher un pichet. »

Sa chaise racla contre le sol, et elle se dirigea vers le bar sans même attendre de réponse, elle savait de toute façon que sur les deux, un verrait l'initiative d'un bon œil. Lisbeth sortie un billet de la poche de son jean sombre et le posa sur le bar. Elle commanda un grand pichet, elle coinça les hanses des pintes dans une main et de l'autre attrapa adroitement le pichet. Quelques secondes plus tard, le tout était déposé sur ta table de bois, face aux deux hommes. Elle leur laissa l'honneur de se servir, et repris la parole de son le moins froid et dans lequel elle fit l'effort de ne laisser filtrer nulle ironie.

« Et vous, que faites vous dans ce bar ? Pas de cours à préparer ? De copies à corriger ? »

Sujet: Re: Une longue soirée [PV : Rémy et Véga] Mar 10 Nov 2009 - 22:44

La frustration de Gambit semblait assez grande quand Beaubier commença à faire des blagues sur ces compétences. C'est vrai qu'il n'était pas très gentil, mais il était beaucoup plus tendre que d'habitude. Il resta quelques secondes assez silencieux, mais il ne voulait pas créer de nouvelle confrontation, en tout cas, pas dans l'immédiat. Beaubier ne se considérait pas comme un politicien, seulement un foutu universitaire qui avait eu un méritas à Montréal au Canada. Il n'allait pas quand même déclaré la guerre, seulement à cause de la montée de lait du jeune mutant. Il décida de reprendre le discours un peu plus diplomatique, malgré un discours un peu plus touché par l'alcool.

-Relaxe Rémy, je faisais des blagues. Tu sais très bien que je respecte n'importe quel mutant ou humains, malgré leurs études ou leur travail. C'était seulement des blagues, je ne voulais pas toucher un point sensible. Mais, tu dois me connaître beaucoup mieux, avant de voir des politiciens, je vois des pères de famille. Le vendredi soir, on ne parle pas de politique, on parle de famille. Je n'ai pas eu une éducation rayonnante ou des grandes expériences dans ma vie, j'ai seulement eu la notoriété d'économiste et de politicien à cause que ces thèmes m'attiraient. Mais, je me considère notre très loin d'être le plus grand économiste ou politicien de l'Institut, il doit avoir quelques membres beaucoup plus complet que moi au plan politique comme Charles Xavier...

Dit-t-il tranquillement, restant pour une rare fois assez souriant devant Rémy. Peut-être, il le jugeait beaucoup trop rapidement, mais il était habitué de juger selon le comportement primaire de la personne. Il essaya toujours d'être neutre pour éviter d'être qualifier d'impulsif et de borné. Il regarda ensuite la jeune étudiante, qui resta assez silencieuse. Elle attendait une connaissance, bien normal. Mais, elle ne connaissait pas beaucoup la femme, selon les dires de Gambit, elle était plus solitaire. Mais, Beaubier la trouvait sympathique, elle n'était pas comme les autres boules d'énergie dans l'Institut.

Puis, elle est partie pour aller chercher un pichet, un grand pichet, mais Beaubier n'avait pas l'habitude de trop boire. C'était une habitude depuis la fin de sa jeunesse, il y a très longtemps, des années et des années. Peut-être avant Jésus Christ, avant l'empire perse, des années et des années. Peut-être c'était un bon moment pour changer un peu d'idée, il accepta, mais en versant quelques dollars américains près de Lisbeth. Voyons, elle ne va pas certainement payer seule pour deux professeurs vieux et grincheux. Il répondit à sa question seulement après.

-Vous savez, les professeurs ont bien besoin de se reposer au moins une soirée sur six. C'est cool de corriger des copies d'examen et de faire voler des moineaux, mais après une bonne semaine, il a tellement de chose dans l'actualité qu'il faut bien en discuté. Alors, je viens avec deux démocrates un peu plus socialistes pour parler de l'actualité international. Mes cours sont toujours préparés trois semaines d'avance, j'essaie d'éviter les retards comme quand j'étais professeur en économie au Cégep du Québec.

Dit Beaubier en se servant doucement un petit verre du grand pichet pour le glisser seulement à Rémy peu après.

Sujet: Re: Une longue soirée [PV : Rémy et Véga] Jeu 12 Nov 2009 - 18:55

Ha enfin il pouvait poser ses fesses fatiguer de professeur dévoué à ses élèves de 8h30 à 8h31, oui il fallait se lever tôt pour profiter de ses qualités d'enseignant d'ailleurs il fallait se lever plutôt que lui ha moins que vous tombiez dans les quelque rare jours ou Rémy préparer ses petits déjeuner qui était très apprécié par les rares qui l'avaient déjà goutés, c'était à base de chocolat chaud maison avec des Rice Crispis, d'ailleurs vue l'heure il en préparerait surement demain en rentrant à l'institut, ha mince il recommençait à partir dans ses idées en dehors du sujet et du lieu, en tout cas la petite jeune était bien sympa elle payait sa tournée, c'était vraiment très appréciable on ne voyait plus ça de nos jours, il lui fit une acclamation à l'entente de cette bonne nouvelle, il en profita pour finir sa bière avant son retour et posa son verre et le fit glisser contre le rebord de la table, la jeune revins et se réinstalla en se servant puis se fut le tour de Jean-Paule et enfin le sien !! il remplit donc son bon vieux verre avant de répondre à ses deux acolyte,

«Des copies à corriger ? Heu moi je suis prof de corps a corps, pas vraiment de copie la bonne planque en gros et en plus je ne donne plus vraiment de cours ... je suis plus vraiment un titulaire à l'institut, à la différence de beaucoup d'X-Men j'ai une famille à m'occuper du coup je passe mon temps à faire des allés retour entre la Nouvelle Orléand et ici, donc je profite du coin et de la chaleur de ses bars quand j'ai le temps, en plus ... »

Rémy repensa à ces deux filles qui venaient de le jeter devant le bar, bon raconter cela ici ne ferais encore que baisser l'estime de Lisbeth pour lui et il ne voulait pas mettre l'honneur des X-men en péril davantage, il tendit alors son verre en avant pour inviter ses deux compère a passé un bon moment avec lui en trinquant tout d'abord, bon a trois le poker était moins marrants, mais peut-être qu'une petite partie direct a ces mecs

« bon allé, à la vôtre et que votre soirée vous soie aussi profitable qu'elle la déjà était pour moi !!! »

Invité

Lisbeth ne toucha pas à l'argent posé sur la table, ni jetant pas même un coup d'œil, et retenant un pique acerbe. Elle avait bien assez d'argent pour offrir une tournée, même plusieurs. Au niveau financier elle était plus qu'à l'aise. Son argent ne tombait pas du ciel, son compte en banque n'était pas fournis par des parents attentionnés, et son petit job n'était pas celui de tout le monde, mais il payait certainement plus que de servir des big macs coiffé d'une casquette ridicule. La politique semblait une part importante de la vie de Véga, une part qu'elle n'aurait pu occuper dans sa propre vie. Même pendant ses moments de repos il trouvait le temps d'en parler, se retrouver autour d'un billard pour échanger des avis sur le système actuel n'était pas l'idée que Lisbeth se faisait d'un moment de détente, mais après tout chacun occupait son temps comme il le voulait.

Rémy quand à lui semblait beaucoup moins se soucier de ses finances, il montrait un visage qu'elle ne soupçonnait pas. Il pouvait donc prendre ses responsabilités. Etonnant. Elle venait elle aussi de la Nouvelle Orléans et n'y avait que peu de bon souvenir, elle y avait commencé sa vie, plutôt normalement, avant que tout ne bascule. Elle se demanda vaguement ce que devenait sa famille, ou ce qui en restait. Sa mère, son beau-père, et son abruti demi frère. Cela faisait un certains temps qu'elle n'y avait plus pensé, et pour lui avoir rappelé l'existence de sa famille elle en voulut à Rémy. Elle éprouvait toujours une certaine rancœur, et n'avait certainement pas le même attachement que le cajun vouait à la sienne. Pour elle l'affection pour sa famille était un sentiment totalement arbitraire, qui avait décidé que l'ont devait aimer sa mère, ou bien son père ? En quoi était ce inscrit dans le patrimoine génétique ?

Lisbeth attrapa le pichet et se servis un verre, qu'elle leva comme pour trinquer avant d'en boire une partie. Elle n'était pas une grande fana de bière, mais c'était la boisson universelle à commander dans n'importe quelle bar, et sans doute n'importe où sur terre.

« Elle le sera sans doute. »

La jeune fille ne put s'empêcher de trouver la situation particulièrement ironique. Alors qu'elle ne mettait pas les pieds en cours, elle se retrouvait à siroter une bière avec deux de ses professeurs. Dont un à qui elle avait laissé une forte impression. L'autre ne devait pas la connaître particulièrement, il savait qu'elle était élève, mais apparemment il ne connaissait pas son taux record d'absentéisme.

« Donc nous avons un professeur d'une organisation scrupuleuse, et un enfant prodigue. Et si je peux me permettre la chaleur des bars de la Nouvelle Orléans sont bien plus chaleureux que les troquets de New York, je ne sais rien du Quebec mais je n'apporterais donc pas de comparaison de ce coté là. »

Elle n'était que peu sortie lorsqu'elle était jeune, mais elle se rappelait que les gens paraissaient un peu plus détendus, et que dans certains bar typiques, les clubs de jazz c'était bien plus joyeux qu'une télé en sourdine, un barman austère et de discussions sur la politique extérieur. Un jour elle retournerait dans la ville ou elle était née. Elle évitait la Louisiane, elle avait dut se rendre une fois à Bâton Rouge, et elle avait été très nerveuse tout au long du contrat. Renouer avec son passé ne lui disait rien, cela la mettait mal à l'aise rien que de l'évoquer. Et lorsqu'elle était mal à l'aise, elle était d'autant plus désagréable. Oui, c'était possible.

Sujet: Re: Une longue soirée [PV : Rémy et Véga] Mar 24 Nov 2009 - 1:54

Jean-Paul Beaubier écouta la jeune femme, pour une fois qu'un élève de l'Institut connaissait son lieux de naissance, un peu de culture général pour une fois. Il resta assez silencieux devant ses deux collègues de travail. Il parlait un peu de leur famille, dire que sa fille aurait au moins la même âge que Lisbeth. Il ne lui restait pas beaucoup de membre dans sa famille, il restait sa sœur et... euh.. sa sœur... Leurs parents sont morts dans un accident de voiture, la famille adoptive est amical, mais sans plus et finalement, les grands-parents Beaubiers ne sont plus de ce monde. Beaubier en profita pour parler du Québec, c'était trop tard pour y résister.

-Le Québec, c'est rare que les personnes indiquent le Québec, mais ils indiquent de général: Le Canada ou le Canada français. En tout cas, les bars à Québec sont sympathiques, mais toujours rempli de petits adolescentes en manque d'activité forte ou même sexuelle. C'est un peu dommage, mais on est capable de supporter. De plus, les bars québécois sont plutôt ouverts et chaleureux. Je n'ai jamais été à la Nouvelle-Orléans, peut-être un jour.

Dit-t-il en cognant avec les deux autres membres, mais il voulait faire un peu changement de son attitude à l'Institut, un professeur cruel et monstrueux. Stricte, autoritaire et presque inhumain, mais c'était dans sa nature, dans son coté humain. C'est vrai que parfois, il était assez sadique et même il faisait exprès, mais c'était pour faire dépasser les limites des élèves. En tout cas, il commença sur un autre sujet.

-Vous avez vu mon débat contre Stryker à la télévision? C'était comment? Je ne sais pas, si j'étais trop agressif ou trop neutre pendant les discussions. Mais, c'était assez étrange, il essayait de jouer avec les émotions des gens, oubliant un débat rationnel et réaliste. Le débat ne peut pas être possible devant les autres. En tout cas, je me demandais. Est-ce que vous avez voté? Parce que je me demandais, si c'était seulement une mascarade, en tout cas, je me demandais...

Demanda-t-il tranquillement avant de prendre quelques gorgés de sa fameuse bière. Le débat n'était peut-être pas son meilleur, mais c'était une foutue mascarade pour lui. Peut-être que ceux-ci n'ont pas regardé le débat, mais ce n'était pas très important, il voulait seulement savoir. Peut-être que Lisbeth avait vu, mais pour Rémy, il doutait beaucoup. Le débat était quand même le jeudi soir.

Sujet: Re: Une longue soirée [PV : Rémy et Véga] Lun 30 Nov 2009 - 9:10

Il ne savait pas que Lisbethe était aussi Originaire de Louisiane et qui en plus connaissait les bars de la Nouvelle-Orléans, c'est vrai que la vie n'est pas la même a New-York que la bah, déjà la mixité social existant depuis les fondations de la ville y influât une tolérance pour les mutants très agréables, Cressent City comme l'appeler encore quelque ancien, avait été pendant longtemps dépourvue de système social, politique et religieux et autant vous dire que pendant le XVII ème ça choquait dans le paysage hétéroclite chrétien. Effectivement les péripatéticiennes étaient arrivées profitant de l'absence de règle stricte, mais au final elle regroupait la plus grande mixité de tous les USA, bon manque de chance un ouragan avait récemment fait beaucoup de dégâts, mais sinon c'était vraiment bien la bah. Bon il n'avait pas vraiment connu les bars dans sa jeunesse, c'est vrai qu'à l'époque il traînait entre les hôtels priver de sa Guilde où il pouvait être en sécurité et les planque de mission dans des endroits pommé, c'était plus tard quand il était parti que son goût pour les troquet lui était venu,

« ha oui c'est vrai que quand on a goûté à nos soirées on ne peut plus s'en passer hé hé!! Si tu veux Jean Paul, je te ferais visiter lors de mon prochain voyage de courtoisie, on mangera de la bonne nourriture française !!! On boira du bourbon !!! »

Ca le rendait nostalgique de parlait de son chez-soit il n'y avait pas vécu que de bon moment, mais il y avait grandi et même s'il lui arrivait toujours des problèmes quand il y retournait, ça restait tout de même sa maison après tout ce temps même si l'institut était devenu très important pour lui, car il y trouvait ses amis et collègues ainsi qu'un refuge, mais à la Nouvelle-Orléans il avait un passé fort et des personnes qui avaient partagé beaucoup avec lui ...

Véga aborda alors son débat télévisuel avec Stryker ... personnellement il n'aurait pas accepté d'être dans la même pièce que lui ... il n'avait pas vue le débat et entendu très peut parler autour de lui, bon aussi il n'était pas dans le coin quand il fut diffusé et il était plutôt en mauvaise posture, alors regardait un débat télévisuel avec un radical fasciste en opposant non merci très peu pour lui.

« Euu non je n'ai pas regardé ton débat, mais j'espère que tu as retourné cette tête de con »

Rémy était quand même rappelons le passablement fait, ses propos sortait donc pour la plupart à chaud et sans vrai travail sur la mise en forme, du coup ça donnait un langage disons le plutôt crue et basique, mais toujours empreins à de la sympathie c'est pour ça qu'il enchaîna sur

« Désoler Lisbeth, en fait on t'as pas dit !! C'est une nouvelle méthode d'anciennement, les profs viennent à toi, si si je te jure on te voyait tellement rarement en cours qu'ils nous on demandait de venir te faire un briefing de culture générale sur l'actualité mutante. »

Rémy charria quelque peut la jeune élève on ne pouvait pas la laisser tranquille vraiment après tout on était des profs c'est chiant les profs ça parle que de leurs matières pas d'ouverture d'esprits sur les autres sujet, mais bon que voulait vous, quand on a trouvé sa voix on s'enferme un peu dedans, Lisbeth chercher à son age surement encore son chemin a moins qu'elle l'ait trouvée ouai ça devait surement être l'ésotérisme, pas trop d'expression sinon la colère ou plutôt l'énervement, bon le style plutôt simple ce n'était pas trop ça, mais bon il fallait être moderne et apporter du neuf,

Mode Anim

L’homme se trouvait depuis un bon moment dans le bar, assis tranquillement à sa place. Du coin sombre et isolé où il se trouvait, personne ne pouvait le voir. C’était l’observatoire parfait, alliant discrétion et commodité. Une table pour lui tout seul, un bon verre devant lui, une banquette capitonnée et confortable...Et surtout une bonne vue sur le reste du bar. L’individu, d’une trentaine d’années, de stature moyenne et de traits peu distinctifs, avait sans doute un nom, Harry en réalité, mais il l’utilisait relativement peu, préférant les surnoms et les noms de code. Brun aux cheveux courts, yeux petits et marrons, un peu trop rapprochés, peau pâle et vaguement tapissée d’imperfection et de petites cicatrices, barbe de trois jours, vêtu de sombres vêtements confortables et passe partout, il passait facilement inaperçu. Un très grand avantage dans son boulot...Enfin, si on considérait que les trafics illicites et les affaires criminelles étaient un véritable travail...

Harry donc, clope au bec et bière fraiche à la main, la troisième de la soirée, surveillait d’un œil intéressé les allées et venues dans le bar. Lorsque la jeune fille entra, il ne la reconnut pas tout de suite. Ou du moins, il eut juste un semblant de déjà vu...Comme s’il l’avait déjà croisée...Mais il ne savait pas où, il n’arrivait pas à mettre le doigt dessus. Bref...tout ce qu’il voyait, c’était une demoiselle charmante qui semblait attirer les hommes autour d’elle. Le premier se fit rembarrer dans les règles, les deux autres qui venaient de s’asseoir eurent plus de chance ? C’était d’ailleurs un spectacle assez étrange que de voir ensemble ces trois individus aux antipodes l’un de l’autre. Néanmoins, ils semblaient parler avec entrain, indiquant clairement qu’ils se connaissaient. Tranquillement, intrigué par ce curieux trio, l’homme détaillait avec attention le groupe, s'attardant sur chaque visage, surtout sur celui de la jeune femme. Quand soudain, le déclic se fit dans sa tête...Cette fille, il la connaissait...Et maintenant qu’il la regardait, il se demandait comment il n’avait pas pu la reconnaître partout. Une petite merdeuse, qui les avait trompés quelques mois plus tôt, lui et le reste de son groupe, et qui s’était enfuie avant même qu’ils eut le temps de s’en apercevoir...Un mauvais souvenir...S’être fait avoir par une gamine...Il en connaissait certains qui seraient ravis de lui mettre une raclée à celle-là. Personnellement, il serait enchanté de s’en occuper lui-même mais la gamine était loin d’être une demoiselle sans défense...Sans compter le fait qu’elle était bien entourée...

Sans plus attendre, il se saisit de son téléphone portable et composa tranquillement le numéro...

Quelques minutes plus tard, trois types franchissaient la porte. Guettant depuis son poste stratégique, Harry se leva aussitôt et rejoignit ses collègues, saluant au passage son supérieur, un type baraqué, chef de la petite troupe. Sur le visage de celui-ci, la colère et l’envie de revanche, ainsi que celle d’en finir au plus vite. Celui-ci jugea rapidement la situation avant de se diriger alors vers une table où deux femmes, des connaissances du groupe, deux filles de joie aux tenues plus qu’affriolantes, et leur murmura quelque chose à voix basse. Aussitôt, les deux femmes se levèrent et s’en plus attendre, se dirigèrent vers les deux hommes qui accompagnaient la fille.

La première, une blonde échevelée au décolleté plus que plongeant, s’installa aussitôt sur les genoux de celui qui paraissait le plus vieux, et laissa aussitôt sa main trainer un peu partout sur lui...

"Chériiiiiiii, et si tu m'offrais à buuuaaarreee!!!!"

La deuxième, la rousse aux courbes impossibles s’approcha de l’autre par derrière et lui passa ses bras autour du cou avant de l’obliger à tourner la tête dans sa direction dans un geste enflammé.

"Regarde par ici beau gosse et tu ne seras pas déçuuuuu!!!! Tu vas m'offrir à boiiiire à moi aussi???"

Les filles n'étaient pas là pour grand chose...Juste pour détourner l'attention des deux hommes en leur crevant les tympans de leur voix aiguës le temps d'intervenir auprès de la fille. Et si jamais ils se décidaient à mettre leur grain de sel, Harry et les autres étaient là pour s'occuper d'eux. Quatre gars balèzes contre un vieux et un pauvre type....Bref, tout était prévu...C’était au tour de leur boss d’agir. D’un simple signe, il entraina le reste de ses sbires...Harry lui emboita le pas sans poser de questions. Quelques secondes après, leur chef arrivait près de la jeune fille et sans attendre, ni prendre le temps de s'annoncer, il lui saisit le bras sans douceur.

« Allez gamine, on va faire un petit tour, toi et moi. »

Invité

Jamais elle ne s'était intéressé à la politique, elle préférait les laisser se débrouiller entre eux. De toute façon l'avis de gens comme elle n'intéressait personne. C'était se leurrer que de songer que les grandes décisions prises par leur bel nation était le résultat d'un vote. Tout était décidé, puis présenter de façon à ce que le résultat obtenu soit celui voulu. Pourtant elle n'ignorait pas le nom de Stryker, comment aurait-elle put ? Ce sombre idiot ne se laissait pas oublier, chaque renforcement des lois anti-mutants il était là. Pour monter la population contre eux, il était là. Pour les enfermer en cage, leur faire des tests, il était encore là. Et bien qu'elle se sente peu concerner par les affaires mutantes, après tout elle passait relativement inaperçu, si elle tenait ce salaud elle lui monterait sa façon de penser. Elle fit un signe de tête négatif auquel Rémy fit échos. Elle n'avait pas non plus voté, Lisbeth Salander n'était pas un nom répertorié sur les listes, et sa seconde identité était actuellement censé se trouvé en Espagne.

La jeune fille termina son verre alors que Rémy reprenait la parole. La plaisanterie lui arracha un faux sourire teinté d'ironie. Non elle n'allait pas en cours, et alors ? Personne ne s'était plains jusque là. Aucun professeur ne lui avait courus après pour un devoir et il était certains que ses parents ne recevraient jamais de lettre pour son absentéisme. Les cours ne lui avaient jamais plus, elle s'était toujours ennuyés, ce qu'ils apprenaient dans les écoles ne l'intéressaient pas, elle préférait apprendre par elle même, se faire des propres en cours en fonction de ses besoins. Et puis elle voulait bien voir Gambit lui faire un test de culture générale, elle était fin prête pour cela, et allait lui faire remarquer dans une phrase pleine de cynisme, mais une scène étrange attira son regard en arrière plan. Il y avait un groupe d'homme, et malheureusement ils lui étaient familier, mais ce n'était certes pas des amis.

Deux filles, plus vulgaire l'une que l'autre, après s'être approché des mafieux, vinrent à leur table. Leurs voix étaient criardes, et la tentative de diversion était pathétique, en tout cas pour Vega cela ne marcherait, pour Rémy... ils étaient sans doute bien tombé. Une main enserra violemment sont bras, trop occupé à observer le manège des deux prostituées, elle n'avait pas vu l'autre arriver. Son regard passa de la main au visage de l'homme.

D'un mouvement sec d'épaule elle tenta de dégager son bras, sans succès. Elle n'avait aucune envie de faire un petit tour. Lisbeth jeta au mafieux un regard peu amène, elle ne se souvenait qu'il avait été très simple de récupérer ce qu'elle avait eut à prendre, qu'ils étaient négligent, trop imbu de leur petite organisation pour se méfier d'une fille chétive. Bande d'abrutis. Elle jeta un coup d'œil aux professeurs, puis se leva puisqu'il ne lui laissait pas le choix. La main sur le dossier de sa chaise, au moment il commença à marcher, elle souleva la chaise renversant au passage le pichet de bière.

« Ne me touche pas sale porc ! »

Elle abattis sur le mafieux la chaise, certes elle n'avait pas une super force et elle ne se brisa pas sur l'homme, mais elle put profiter de la surprise pour se dégager et plonger la main dans sa veste à la recherche du revolver qu'elle gardait toujours sur elle. Son regard alternait rapidement entre les hommes de main et le boss, son arme braqué sur le chef. Cela ne servait à rien de menacer les laquais, sans le chef ils n'étaient la plupart du temps capable de rien. D'un geste précis elle ôta la sécurité, le doigt sur la détente, au moindre mouvement brusque elle tirait. Ce qui la retenait pour le moment était le fait qu'ils étaient dans un lieu publique. Elle se rendit compte trop tard que sortir une arme de sa veste devant deux professeurs n'étaient peut être pas la meilleure chose à faire. Les deux xmen auraient sans doute pu s'occuper sans problème du petit gang, mais elle avait pour habitude de faire cavalier seul.

Spoiler:

Jean-Paul Beaubier était en train de prendre doucement de la boisson alcoolisée encore une fois, seulement un peu après la réponse de Lebeau. Stryker était peut-être la plus grande menace en tant que parole, mais en vérité, il était seulement un chrétien anti-mutant comme plusieurs autres. Un vieux petit raciste, toujours important dans la communauté chrétienne et avec un peu d'importance dans la politique américaine, mais ce n'était pas vraiment important. Les démocrates au pouvoir étaient beaucoup plus facile pour les mutants que des républicains. En tout cas, ce n'était plus vraiment important, il a eu un moment de silence, puis c'était un peu étrange.

Une jeune prostituée arrivée de nulle part, s'était placée sur les jambes de Beaubier en criant comme une maudite folle. Il avait seulement envie de la prendre et de la jeter par une fenêtre. Mais, ce n'était pas une bonne idée pour son image devant les médias et devant les X-Men du bar. Alors, il décida seulement de l'écarter avec quand même avec une petite puissance.

-Si, tu crois vraiment que je suis un homme facile, tu t'es trompée de cible, va voir des vrais clients...

Puis, c'était le saut, Lisbeth avait frappé la tête d'une personne sur une chaise pour finalement sortir une arme. Une arme, qu'est-ce qu'elle faisait avec une arme? Elle ne doit même pas avoir l'âge de rentrer dans un bar, alors avoir une arme à feu, elle n'était pas si gentille que cela. C'était un peu étonnant, mais Beaubier ne la connaissait pas du tout quand même. Il quitta rapidement sa chaise pour finalement arrivé devant la jeune mutante, seulement pour enlever son arme et se mettre devant elle.

-Qu'est-ce qu'il se passe ici? Comment as-tu eu cette arme? Pourquoi ceux-ci essaient de t'avoir et finalement, Rémy vient ici...

Demanda doucement Véga en regardant les trois autres membres de la mafia, Lisbeth et en essayant de voir Gambit. Il espérait uniquement que le jeune professeur ne soit pas piéger par la même astuce que la femme a essayé de pratiquer sur lui. Il ne voulait pas vraiment se battre, mais c'était quand même assez dangereux. Le combat pourrait être très rapide, mais c'était seulement amusant. Cela faisait quand même assez longtemps, qu'il ne s'était pas battu, mais il avait beaucoup trop de monde. Peut-être qu'il va laissé Gambit. En tout cas, il attendait seulement l'intervention de Gambit pour continuer.

La soirée était plutôt sympa, au fond c'est ce qu'il aimait dansl'institut la diversité de ces membres, les trois apparaissaient de façon hétéroclite dans le bar, il faut dire que chacun abordait un look qui lui était propre, des opinions qui lui sont propres et à dire vrai des cercles d'amis qui leur sont propres, ils symbolisaient assez bien les trois générations présentes dans l'institut, il se trouvait dos à la porte et ne voyait en conséquence pas qui rentrait ou sortait du bar, bien sûr il avait un certain entrainement et de façon inconsciente il gardait en tête les bruis de porte qui claque ainsi, il dénombrait les venus, histoire de surveiller un débarquement impromptue ... bien sûr, avec cette technique il ne savait pas si ceux qui entraient étés bien attentionné, mais cela lui permettait de se prémunir de désagréable surprise.

Trois hommes firent leurs entrés... Ils ne commandent pas... Une autre
vient les rejoindre... typiquement le style de comportement louche, mieux valait faire profile bah, Rémy n'avait pas envie de se faire remarquer. Se faire ficher par les malfrats de New-York lui poserait quelque problème, en plus avec beaucoup de chance ils n'étaient pas là pour eux, oui vraiment beaucoup de chance, les trois seuls mutants du bar étaient assis à la même table, ça leurs faisait un taux de 99 % de chances en plus d'avoir des ennuis que n'importe quel groupe d'humain
assis tranquillement à boire de la bière.

Rémy sentit alors deux sublime petit bras blanc lui enlaçait le coup, ce n'était pas pour le plus désagréable, mais au vus de celle qui prit position sur les genoux de Jean-Paul, laissant la pauvre Lisebeth sans compagnon de jeu, il regarda les deux autres tout en reposant son verre sur la table doucement,

«Ma chère, c'est très gentil à toi de venir me tenir compagnie, mais vois-tu, c'est particulièrement déplaçait de votre part d'avoir oubliées un compagnon de jeu pour notre jeune amie ... »

Rémy indiqua Lisbeth du doigt en regardant la jolie rousse qui l'enlaçait, c'est alors qu'un buldog fit son apparition, 1m90 de haut sur 1m50 de large, il n'était pas sûr que ce soit le type de Lisbeth, il l'attrapa par le bras et l'obligea à se lever ... mauvaise idée ... Rémy resta assis regardant la scène attentivement profitant de la fraicheur de la femme qui l'enlaçait, de toutes façons Véga au moindre problème réagirait surement beaucoup plus rapidement que lui. A l'aide de toute la délicatesse dont pouvait faire preuve Lisbeth, elle attrapa sa chaise et l'éclata sur la tête du mec, le pauvre homme étourdit sur le sol, vu bientôt une arme pointée sur sa tête, Véga profond éducateur réagit en lui enlevant des mains, ha oui c'est vrai c'est pas bien les armes à feu, Véga toujours plus intéressait par la cause que les conséquences ne put se retenir de questionner Salanders.

Appelé par Véga, Rémy dut bien quitter sa confortable position, il attrapa le bras droit de la jeune fille, pour pouvoir desserrer l'étreinte de la belle et se leva en prenant soin de poser une main sur une des hanches de la prostituer, il marcha en direction des deux autres regardant d'une façon pathétique le pauvre truc joncher sur le sol telle un poisson se rendant compte qu'il aurait mieux fait de rester tranquillement dans son bocal.

« Ouai c'était pas une raison pour lui envoyer ça, regarde c'est flasque, sen forme et sa sent vraiment une odeur écoeurante, bon je vois au moins qu'il y a du rechange. Ho ? C'est t'es Mac ??? Aaahh c'est fou comme le monde est bien fait tu vois tes mac sont nos putes ! »

Il regarda alors Véga qui avait toujours l'arme de Lisbeth à la main et qui surement devait maintenant être choquait pas les propos déplaçait de Rémy, oh mon dieu il connait le langage technique des péripatéticiennes, oui il y avait aussi son manque de questionnement sur les agissements de Lisbeth, à dire vrai il se moquait bien elle pouvait bien faire ce qu'elle voulait, temps qu'elle était membres de l'institut elle aurait toujours Rémy comme allié, bon certes, il ne faisait guerre d'effort pour calmer la situation, mais quand on attaque quelqu'un il faut s'attendre à ce qu'il réagisse

« Beaubier rend lui ça, tu crois qu'une crevette comme elle peut jouer les gros bras ? Aller on n'a pas le temps de jouer aux questions réponses ... tu pourras disserté tout le temps que tu voudras sur le bien ou le mal des armes à feu une fois que l'on sera rentrés ... »

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C'est bien connu, l'homme est le seul animal qui trébuche deux fois sur la même pierre. Certains hommes n'apprenaient pas...Et le gang de mafieux stupides n'était pas en reste. Ils n'en restaient pas moins dangereux, endoctrinés comme de pauvres diables dans la violence, peu enclins aux négociations. Ils étaient armés et ne se mouvaient qu'au son de deux musiques: l'argent et la vengeance. Mais tout aussi remontés qu'ils étaient contre celle qui les avaient trompés, ils auraient dû être encore plus méfiants. La demoiselle, frêle femme sans défense à l'allure de midinette, se saisit soudain de sa chaise et l'abattit sur le boss, avant de sortir son flingue aussi facilement que certaines filles auraient sorti leur rouge à lèvres, certainement prête à refaire la décoration du bar de la couleur écarlate du sang. L'intervention de son compagnon, le papi aux longs cheveux qui s'interposa entre la belle et ses attaquants ne les dissuada pas non plus. Dans leur tête, tout simplement, leurs neurones s'étaient enrayées, le mot d'ordre de la soirée était "taper". Il fallait venger leur patron, le reste n'était que futilités.

Autour d'eux, le silence s'était fait et les gens commençaient à les fixer, certains déjà levés, prêts à s'écarter pour éviter de prendre un mauvais coup ou une balle perdue, d'autres encore les fixaient fascinés dans l'attente d'une bagarre bien sanglante...Mais le patron du bar ne l'entendait pas de cette oreille et il avait accouru dès qu'il avait senti la bagarre et décidé à préserver la tranquillité de son gagne pain et à sauver ses meubles. D'une bonne taille mais plutôt maigrelet, loin du stéréotype du barman ventripotent, il ne faisait décemment pas le poids contre les deux clans qui se faisaient face. Néanmoins, il tenta de s'interposer, courageux ou insensé qu'il était pour calmer le jeu et expulser les gêneurs de son établissement.

Le chef du gang, encore à moitié assommé par le coup que venait de lui porter Lisbeth, eut tout juste la force et la présence d'esprit de faire un signe à ses hommes. Ce fut le signal qu'attendait Harry qui réagit au quart de tour. Le pauvre bougre ne payait peut-être pas de mine mais il était vif, rapide, plutôt costaud et perspicace. Il choppa le propriétaire par le col et l'envoya aussitôt sur Véga, se servant de ce projectile humain comme diversion et bouclier, avant de se lancer sur le mutant pour tenter de prendre l'arme qu'il tenait à la main. Les deux autres types ne furent pas en reste. Pendant l'attaque de leur chef, ils avaient déjà plongé leurs armes dans leurs poches. L'instant d'après, deux pistolets apparaissaient, l'un pointé sur Rémy, l'autre sur Lisbeth. L'un d'entre eux cria:

"Premier c** qui bouge, il est mort!!"

Autour d'eux, la folie s'emparait peu à peu des clients...

HJ:dites moi si cela vous convient.

Invité

Comment Véga pouvait trouver le moyen de poser des questions ? Lisbeth était tellement sur les nerfs qu'elle faillit lui sauter à la gorge lorsqu'il prit son arme. Elle lui jeta un regard furieux, la jeune mutante tourna son regard vers Rémy qui s'était débarrassé de sa prostitué et qui prenait sa défense. La crevette lui aurait dit bien des choses si elle avait eut le temps. Il régnait dans le bar un silence de mort, qui ne laissait présager rien de bon. Lisbeth guettait chaque mouvement, la scène paraissait figé. Lorsque le boss fit un geste, elle se jeta pour arracher des mains l'arme que Jean-Paul lui avait confisqué. Évitant a quelques millième de seconde que se soit le mafieux qui s'en empare.

Vive et nerveuse, elle avait déjà son revolver pointé vers le mafieux qui la visait également. Elle haussa un sourcil, cela pouvait durer longtemps comme ça. Personne ne visait Beaubier, c'était sans doute une erreur de le sous-estimer, même s'il devait actuellement se dépêtrer du propriétaire du bar. Lisbeth n'avait pas le temps d'élaborer un plan. Il fallait parler le langage de ses brutes. Elle doutait qu'il la tue d'un seul coup, tout être abjecte qu'ils étaient, ils devaient vouloir s'amuser avec elle. Lisbeth, relâcha la pression sur la gâchette et ne tint que légèrement l'arme.

« C'est bon, laissez mes amis partir je me rends. »

Qui la connaissait, savait qu'elle n'avait jamais fait preuve d'altruisme. De plus qualifier ses deux professeurs d'amis étaient très largement enjoliver leur relation. Elle perçut l'éclat victorieux dans le regard du mafieux, l'abrutis marchait, non courrait. Le revolver posé dans le plat de la main il s'avança d'une démarche assurée pour récupérer l'arme. Comment pouvait-on être aussi stupide ? Certaines personnes n'apprenaient jamais de leurs erreurs. Lorsqu'il attrapa son revolver. D'un geste vif elle se saisit de son poignet, usant de surprise elle lui fit baisser son arme et envoya son genou directement dans ses parties. Il tira, la balle perfora le plancher, et se fut le signale d'une débandade dans le bar. L'homme s'était plié en deux, elle lui envoya un second coup de genoux dans le menton, et se pencha pour ramasser les deux armes.

Une arme dans chaque main, elle se sentait plus à l'aise. C'était un sale coup pour son dossier scolaire, et sa semi discrétion à l'Institut, bien entendu elle ne pouvait rien cacher au professeur Xavier. Mais le reste du personnel enseignant n'allait pas tarder à savoir qu'elle n'était pas seulement une introvertis très bizarre. Tant pis, pour sa couverture, cela faisait longtemps qu'elle ne se présentait plus en tant que Anna Carroll, à l'école tout le monde connaissait sa véritable identité, peu son vrai visage.

« Dégagez maintenant, vous ne faites absolument pas le poids. »

Lisbeth avait haussé le ton, un ton autoritaire et sans appel. Pour l'instant elle n'avait pas fait feu, mais tuer ce genre de pourriture ne lui laissait aucun remord. De de toute façon qui l'en blâmerait ? Elle jeta un coup d'oeil à ses professeurs. Après tout, c'était eux les X-men, elle n'aimait pas l'idée que les super héros se mêlent de ses affaires. Mais en l'occurrence c'était devenu la leur aussi. Ils étaient directement mêlé, et sans doute allait elle devoir pour la première fois de sa vie se livrer à une activité qu'elle n'aurait jamais imaginer. Rendre des comptes. Pour la peine elle était vraiment énervée contre ses foutus mafieux trop idiots, orgueilleux et pressés pour tenter de la coincer comme des brutes civilisés dans une ruelle déserte. A l'abri des regards et de toute autorité.

Véga avait presque sorti une vulgarité devant Rémy, surtout devant les remarques de Rémy. Il était vrai que ce n'était pas vraiment le temps de faire l'éducation, mais Beaubier avait beaucoup trop à tête au respect de l'Institut qu'une jeune élève se promène avec des armes comme protection. C'était absurde, mais il s'est retenu à dire à Rémy avec une grande influence de l'alcool de dire: Va te faire fout***! Mais, il n'avait pas eu le temps de dire qu'il avait reçu le petit maigrichon de patron sur lui.

Que les gens sont stupides parfois, peut-être une petite gang de rue de quartier qui a décidé de faire de ces lois stupides sur des mutants. Il écarta doucement le patron qui était seulement une pauvre victime de la petite gang de mafia. Beaubier avait beaucoup de difficulté à dire que ceux-ci sont de la mafia. Selon la criminologie, il a deux sortes de crime. Le crime organisé de masse était beaucoup plus vers les gangs de rues, voulant rejoindre le plus de jeune possible comme les Crips ou les Bloods. Le crime organisé d'élite était le mafia italienne, albanaise, russe et autres. Mais, le crime organisé d'élite n'attaquait jamais leur victime dans un bar, c'était au gang de rue de faire cela.

Alors, il hésitait beaucoup de voir cette petite gang de les voir comme dans la mafia. Il prenait son temps pour réagir, le mafieux a essayé de prendre le fusil de Lisbeth, mais c'était trop tard. Il écarta le patron, il prit la tête du mafieux pour le frapper directement sur le comptoir. Un nez cassé, quelques bleus et autres étaient en compagnie avec le chef de la gang. La vitesse était considérable, mais la vitesse ne pourrait pas tué l'homme.

Il laissa le chef s'écraser au sol, assommé. La jeune étudiante avait réussit à prendre l'arme des deux hommes, elle était quand même très rusée, mais elle ne doit pas faire de connerie. Une élève qui bute deux mafieux dans un bar rempli de témoin pourrait donné un très mauvais image à l'Institut, peut-être même une foutue enquête publique sur l'Institut.

Il prit le patron par le collet avant de l'envoyer glisser à ces deux employeurs. Il décida pour une rare fois de ne pas intervenir, si les deux mafieux étaient vraiment rationalistes, ils vont s'en aller. Mais, il regarda toujours les doigts de Lisbeth, la gâchette pourrait être facile pour la femme.

Sujet: Re: Une longue soirée [PV : Rémy et Véga] Ven 5 Mar 2010 - 9:23

Quand un mec vous pointe d'une arme a feu en criant ne bouger plus, vous avez plusieurs possibilités, la première était la panique on court partout on crie on bouscule les gens on peut parfois provoquer des émeutes ça c'est drôle, deuxième choix supplier l'agresseur, ça fait dégonfler et si on sens sort on reste collé à l'image d'un trouillard pour le restant de ses jours et il y a le risque de subir une exécution sommaire quand on est à genoux devant le malfrat à l'implorait piteusement, troisième chois s'approcher d'une jolie fille lui dire« je crois que c'est la fin » l'embrasser et l'emportait dans la mort, vu que le tireurs à quand même de grandes chances de vous avoir tous les deux en même temps, quatrième, résigner, un verre de Whisky a la main, le regard vide et pour déstabiliser le tireur lui dire calmement « ça fait longtemps que j'attends quelqu'un vienne me soulager », Dragueur mètre une fleur dans le canon, patriote anglais, crier « God save the Queen », résolut, « va si tire tire je te dis !!! ».

C'est marrant certain quand il se retrouve dans une situation délicate et qu'ils sont faces à la mort voyaient toutes leur vie passée, Rémy lui au contraire voyait toutes les possibilités pour détourner l'attention de l'adversaire, son instinct de survit ? Le fait qu'il est l'âge mental d'un gamin de 14 ans ? Ou tout simplement le fait qu'il soit à jamais un grand rêveur, planeurs n'accordant jamais de crédit à quoi que ce soit. Rémy tenue en joue par ce brigand ne vu pas la scène qui se déroula dans son dot, bien heureusement le bruit des corps tombant sur le sol lui indiquait qu'il n'était plus vraiment en position de force.

« ho ! »

Rémy en un éclaire attrapa un verre de bière posé sur une table à coter de lui, lança le contenue prit le temps de reposer le verre, ce baissa légèrement pour éviter de se trouver sur la trajectoire d'une balle perdue, il fonça verre le jeune malfrat qui de la bière plein les yeux, avait machinalement portés ses mains au visage dans un cri de douleur épouvantable à écouter, il posa sa main sur le dessus de l'arme appuya sur le bouton pour faire tomber le barillet, fit glisser le cran de sureté faisant sortir la dernière balle du pistolet. Le malfrat ne remarqua rien du tout avant d'avoir fini put rouvrir les yeux, certes en vitesse Rémy n'avait rien d'un Véga, mais ses réflexes dépassaient de loin le temps de réaction d'un humain, le malfrat recula se prenant les pieds dans une chaise on aurait presque pu croire qu'il appelait sa maman, quand il tomba sur les fesses, Rémy le regardant de haut fit un hochement de tête de droite à gauche, il l'attrapa par le col de sa chemise trop grande et le traîna jusqu'à la porte où il l'envoya volait jusqu'à une flaque d'eau où il se vautra proprement.

« Et que je te reprenne plus à menacer des personnes, ALLER rentre chez ta mère !!! »

Le jeune homme ce releva apeurer et lança même un « pardon monsieur » en courant le plus loin possible d'ici, espérons que cette aventure le remette sur le droit chemin. Rémy rentra refermant les portes du bar derrière lui tous les regards du bar étaient tournés verre eux, c'était l'instant crucial où ils allaient, soient, être lynchés publiquement ou être considérés comme des héros protecteur du bar, dans ses moments là, il n'y avait qu'une solution ...

« Bon Aller, Tournées Généralles ! »

la toute l'assemblait se mit à crier de joie avant de reprendre leurs occupations, de toutes façons ils étaient tous trop blasés par la vie pour y voir un quelconque malaise, Rémy s'approcha du barman sortie son porte-feuille et donna quelque centaine de dollars pour compenser le grabuge et régler la tournée, Rémy était un habituer du coin, il avait déjà rendu ce genre de service au barman par le passé, le barman leva son doigt en direction de Rémy en l'agitant frénétiquement poussant un

« Gouhoha »

Rémy répliqua en levant les deux mains les pommes verre le ciel témoignant surement une gêne et répondant par un

« Meuuheuuu »

C'était du langage de pilier de bar, une habitude, un dialecte connu de ceux qui ont passé une grande partie de leurs vies dans les bars, c'était universelle pour les autres ça pouvaient sembler surprenant, mais il venait de tout naturellement dire « fait attention ce n'est pas la première fois que ça t'arrive, mais bon t'es un bon client donc je passe l'éponge pour cette fois, tu es bien aimable pour les dégâts, » Rémy lui avait répondu « oui excuse moi, en plus pour une fois j'y suis pour rien, encore pardons pour le grabuge ! », on pouvait appeler ça le stade basique de l'être humain.

Rémy se tourna alors verre Lisbeth et les pauvres malfrats toujours sonnés, il en attrapa deux et les traînas jusqu'à leurs tables il les assit dans les coins et attacha leurs bras, une fois finit, il s'appuyât contre la table et fixa Lisbeth pendant quelques secondes, Bon d'accord elle avait plutôt bien assurée, toujours très impulsive, mais le résultat était correct, le coup de feu aurait pu certes être évité.

« Lisbeth ... Viens ici, ça va plaire à Jean-Paul, c'est le moment des questions. »

Rémy s'assit à côté du chef de la bande attendant que la jeune femme vienne s'asseoir, oula elle n'allait pas aimer ça, Jean-Paul lui allait surement prendre son pied, à force de se fourrer dans les ennuis, elle allait avoir un jour de sérieux problème, ce soir il était là, mais quand on a quatre hommes armés qui vous poursuivent jusqu'à dans un bar, c'est bien souvent que l'on est allé trop loin et que l'on risque un jour de tomber sur quelqu'un de beaucoup plus fort que vous, quand on est jeune on se croie invincible, c'est dangereux.

Invité

Si Véga était efficace, on ne pouvait pas dire Gambit y allait avec des gants. Sa méthode était très personnel, homologué certainement nulle part. En tout cas, il évoquait une longue habitude des bagarres de bars, ce qui ne l'étonnait nullement. Lorsque les derniers mafieux en état quittèrent le bar, Lisbeth baissa ses armes, encore trop tendu pour envisager de les ranger. Il y a quelques temps elle aurait tiré sans plus réfléchir, mais là ça devenait trop compliqué, surtout avec deux professeurs de l'Institut, qu'elle n'avait de plus aucune envie d'affronter, et quand bien même se serait le cas, courir ne servait à rien face à Jean-Paul. Elle n'était pas dépourvu de morale, mais la sienne était sans doute particulière. Tuer un méchant n'était pas un crime; une pourriture de moins sur terre ça ne fait de mal à personne, et ça peut pourquoi pas en sauver d'autre, tuer pour s'échapper c'est simplement l'instinct de survis. Par contre, tuer pour tuer, ou tuer pour de l'argent reste pour elle moralement condamnable. Le meurtre n'est pas un business.

Pendant quelques instants, l'ambiance resta de plomb, chacun les observaient, hésitants sur la suite des événements. Sur le comportement à tenir. Puis Rémy rétablit la situation, Lisbeth leva les yeux au ciel, une bande d'ivrogne, voilà ce qu'ils étaient tous. Maintenant certaine que les mafieux ne reviendrait pas, ou ne se relèveraient pas et le bar étant redevenu ce qu'il était, elle rengaina les révolvers. En relevant les yeux, elle s'aperçut que Gambit le fixait. Elle le sentait mal, cette fois elle allait avoir du mal à partir tranquillement. Elle croisa les bras et attendit les remontrances.

Lorsqu'elle entendit son nom elle se raidit. Surtout accompagné de l'ordre « viens ici » Elle se retint de lui dire qu'elle n'était pas un chien et d'aller se faire voir. Lisbeth avança de quelques pas, et dédaigna la chaise pour rester debout. Ce qu'elle pouvait détester ce genre de conseil, toute forme d'autorité avait tendance à la rendre agressive. Elle resta donc parfaitement statique, son regard passant de l'un à l'autre de ses professeurs. Sa bouche était hermétiquement fermé et crispé en un rictus. Des questions ? Ils se croyaient dans un tribunal. Elle n'avait aucune envie de subir un interrogatoire, jusque là elle s'était toujours débrouillée pour n'avoir aucun compte à rendre à personne. Vivant à l'institut, ça c'était avéré plus compliqué, mais elle y était parvenu. Le professeur Xavier était tout à fait au fait de ses activités, il devait même savoir que bien qu'elle est promis de les mettre suspends, de temps à autre elle les reprenait, rompant sa promesse sans aucun état d'âme.

Elle décroisa les bras et glissa une main dans sa poche, elle sentait tout au fond son briquet, et elle eut terriblement envie d'une cigarette. Mais cela serait dans toute perçut comme une attitude plus que je m'en foutiste par ses professeurs, mois par Gambit que par Véga. Après tout au niveau de l'autorité elle avait plus à craindre à lui. Elle porta à sa bouche l'une de ses mains, mordillant nerveusement l'ongle de son pouce, foutu manie. Ce qu'elle pouvait détester répondre à des questions, surtout en sachant qu'elle devrait soit mentir, soit détourné la vérité. La vérité, de toute façon, ne leur plairait sans doute pas. Après quelques secondes de blanc, elle finit par lâcher d'une voix froide.

"Et si j'ai pas envie de répondre, vous allez faire quoi ? Me donner une heure de colle ?"

Sujet: Re: Une longue soirée [PV : Rémy et Véga] Sam 20 Mar 2010 - 19:13

Rémy Lebeau avait des moyens disons discutables pour régler le problème, il semblait beaucoup plus habitué au bagarre de rue et de bar que Beaubier. C'était compréhensif, surtout que Beaubier avait décidé de faire des études importantes contrairement à plusieurs autres membres de l'Institut, intellectuel, politisé et néo-existentialiste, il ne faut pas ajouté d'autres choses pour dire que c'est un élite pour le rang social. Peut-être que c'était pour cette raison qu'il semblait si supérieur devant certains professeurs. Mais, Beaubier ne se sentait pas si différent que certains professeurs, il réagissait selon une code morale qu'il avait décidé de faire. Il agissait de façon encore très impulsive pour certains cas comme pour des affaires d'agression.

Pour défendre une femme, il a bien tué quatre terroristes sans avoir de scurpurule. Il pensait un peu aux conséquences qu'il pourrait donné à Lisbeth de nouveau à la table, mais pourquoi donner une punition à une personne qui n'a pas fait le trois quart de ce que Beaubier a fait. Peut-être qu'elle allait cherché des embrouilles avec la mafia, mais elle ne doit jamais avoir tuer, sinon Charles Xavier aurait peut-être prévenu. Véga semblait ''clean'', mais en réalité, c'était un tueur. Il était même un peu psychopathe sur quelques cotés. Beaubier avait lu quelques dossiers sur la psychopathie : Acte de délinquance, de mensonge ou mépris du danger, Manifester des émotions est un signe de faiblesse, fait sa propre idée du bien et du mal et plusieurs facteurs anti-sociales.

Oh. C'était vrai. Beaubier avait quelques symptômes de la psychopathie, mais en vérité, Beaubier s'enfoutait un peu. L'important pour lui était le bien des autres, alors sa personnalité de fanatique égalitaire, il n'avait que rien à faire. Si Lisbeth avait des problèmes avec des pauvres gangs de rue ou de la mafia. Il va les éclater, leur donner une foutue leçon pour que ceux-ci s'en rappellent qu'ils ne touchent à aucun membre de l'Institut. La disputer pour des conneries? Nan, le problème n'était pas elle, le problème était la société. Elle faisait du crime organisé, elle reflétait une société en échec. Pour régler le problème de Lisbeth, il faut régler le problème du crime organisé. Les policiers étaient capables de faire quelque chose, mais faire quelque chose de concret? Non. Beaubier va régler le compte du patron ou des petits bras droits qu'il a autour de lui et le problème va être régler.

Il regarda la pauvre femme qui semblait beaucoup trop inquiète, peut-être des problèmes de stresse. Il prit le paquet de cigarette de la femme pour en prendre une.

-C'est simple. Je veux des noms. Tu as cherché qui? La mafia italienne? Les Crips? Les Bloods? La mafia russe? La mafia albanaise? Les Hells Angels? Je ne veux que les noms les plus importants et je te promets une chose. J'oublie tout ce qu'il s'est passé pendant cette soirée, si tu me donnes des noms. Je vais régler tes problèmes et ne t'oppose pas. Tu n'as pas le droit de t'opposer, sinon je vais t'offrir une punition.

Tu as peut-être des problèmes avec les gangs de rues ou des petits mafiosos minables qui pensent être capables de tuer. Je règle tes petits problèmes et je ne veux plus jamais en entendre parler. Est-ce que c'est comprit? Je m'enfoue du nombre, tu me donnes le nom des gens que tu as des problèmes et je règle ton petit problème avec l'implication du crime organisé. Après, je ne veux plus jamais entendre des choses du crime organisé autour de toi, sinon ce n'est plus les gangsters que je vais voir. C'est toi.

C'était très silencieux pour éviter que certaines personnes entendent, mais il voulait régler ce problème pour se défouler un peu. L'avantage de frapper le crime organisé, c'est que tu n'as pas de remord à la fin.

-As-tu quelque chose à rajouter, Rémy?

Sujet: Re: Une longue soirée [PV : Rémy et Véga] Mar 30 Mar 2010 - 18:45

Rémy fixait les deux malfrats il n’était pas question qu’ils arrivent à s’enfuir, ils étaient sonnées, mais après leurs coups d’éclats, ils iraient finir leur soirée derrière les barreaux de la prison du quartier, ce qui est bien avec les New-Yorkais c’est qu’ils sont de par leurs vies et de par leurs environnement, ils étaient tous complètements blasés, il pourrait ce produire une explosion dans la rue que 5 minute après ils seraient déjà tous retournés a leurs Café, et puis, finalement ils avaient tout trois réussis a gérer la situation sans grandes effusions de sang et sans utiliser leurs pouvoirs, pas de chances au sorciers ce soir s’il vous plait je suis complètements claqué.

Il restait la question de pourquoi, même si Jean-Paul et lui avaient réussis à faire profil bah, ils n’étaient pas pour autant dupe, ils l’avaient bien nommé toutes à l’heure, ça aurait put être Lui ou Véga, mais non ils avaient choisit d’attaquer dans un lieu publique une jeune femme accompagné de deux mecs comme eux, non ça ne collait pas, on attaque pas quelqu’un comme ça juste pour une histoire de quelques billets verts, elle avait fouinée trop loin et commençait à s’attirer de gros ennuis, bon on travail dans un bahut de mutants qui ont pour prof des supers héros , on sait a quoi s’attendre en général, mais quand on à la chance de pouvoir empêcher le pire on essaye, comme on dit, on apprend pas à un vieux singe à faire la grimace, ils n’étaient pas des enfants de cœurs, Rémy avait passé sa jeunesse, à vivre de telle affrontement quotidien, c’était marrants, mais seulement par ce qu’il avait un famille sur qui compter, Lisbeth aimait jouer les solitaires, grand bien lui fasse, mais tant qu’elle vivra à l’institut, elle nous aura toujours sur le dot.

La jeune femme s’avança avant de rester droite comme un piquet devant la table les deux mains dans les poches de sont allure hautaine, toujours aussi présomptueuse, de son éloquence légendaire, elles leurs assena une phrase mortel, Véga vin s’assoir c’est vrais qu’il était rapide celui la, il ne laissa même pas une seconde à Lisbeth, je savais que ça aller lui plaire il ne se priva pas et la questionna en long en large et en travers. Dans ces cas là, trois questions se posaient souvent. Qui ? Quoi ? Et pour Qui ?

« Oui Véga, juste une chose, je voudrais juste s’avoir tu bosse pour qui ? Non par ce que ce n’est pas pour nous on serait au courant et qu’est ce que tu as bien put leurs voler pour les mètres dans un état pareille ? Ne me dit pas que c’est la clef USB que tu cache dans ta poche ? »

Désoler, c’est un vieu réflexe, Rémy pouvait aussi dire qu’il y avait 47 dollars et 70 cent dans le porte feuille de Jean-Paul avant qu’il ne pays la tournée avec son argents, mais ça aurait facilement put lui attirer des ennuis avec monsieur moral, Rémy sortie son paquet de clope rien de telle qu’une bonne cigarette après s’être battu, il l’alluma et fixa Lisbeth, attendant impatiemment sa réponse.

Invité

Lisbeth avait un léger problème avec l'autorité. Très léger... Se laisser sermonner n'était pas dans ses habitudes, pas plus que de réclamer de l'aide. Un sourire crispé naquit sur ses lèvres. Jean Paul voulait des noms ? Il pensait vraiment pouvoir régler ses problèmes à lui tout seul ? Enfin comme il disait, son petit problème... Les quelques imbéciles de ce soir n'était même pas considéré comme un problème, juste un contre temps. Les petites frappes étaient rancunières mais pas dangereux, elle ne craignait pas grand chose d'eux. Il voulait une liste ? Par ordre alphabétique ou chronologique ? La situation l'aurait presque fait rire. Véga avait bon fond, il ne voulait que l'aider, mais c'était fort peu probable qu'il y parvienne, de toute façon elle était un aimant à ennui.

Il passa la parole à Rémy, et Lisbeth eut la politesse d'attendre qu'il parle pour répondre à Jean Paul. Elle était curieuse d'entendre une leçon de morale de la part de Monsieur Lebeau. Il parlait déjà un peu plus son langage. « Pour qui tu bosses ? », c'était une question intelligente à laquelle elle n'avait pas l'intention de répondre. Ce par contre à quoi elle ne s'attendait pas, fut qu'il est connaissance de la clé USB. Elle porta vivement la main à sa poche, et fut rassuré en s'apercevant qu'elle était toujours là. Si son regard avait le pouvoir de tuer, Gambit serait mort dans la seconde.

N'y tenant plus en voyant les deux professeurs fumer, elle s'alluma une cigarette. Elle fixa tour à tour les deux hommes.

« La clé USB c'est une autre histoire. »

Elle n'avait pas l'intention d'en parler, l'affaire était close. Les malfrats ne devaient même pas être au courant de l'affaire. S'ils avaient voulu se venger c'était uniquement pour une affaire de fric, de fric et d'armes. Et ça elle se moquait éperdument d'en parler, si ça les amusait.

« C'était des ukrainiens, ils font du trafic d'armes, je me suis simplement servis dans leur réserve et j'en ai profité pour vider le compte de leur boss. Ce seront des armes qui ne serviront pas à soutenir une dictature en Afrique. »

Elle avait eu vent de ce trafic par un contact. Des armes lourdes qu'elle entreposait dans son appartement. Personne n'avait l'adresse, et il était pourvu d'un solide système de sécurité. Lisbeth avait une légère tendance à la paranoïa, elle n'était jamais complètement tranquille. Pas même dans un bunker.

« Vous voulez tous les noms ? Vraiment ? »

Une expression parfaitement indéchiffrable se peignit sur ses traits. Elle coinça la cigarette entre ses lèvres et se dirigea vers le bar, demander au patron un stylo et du papier. L'homme la dévisagea d'un air mauvais, elle ne s'en offusqua pas, ni ne s'en agaça. Elle attendit simplement qu'il lui donne ce qu'elle avait demandé, il le fit, mais avec une mauvaise volonté flagrante. Elle retourna vers les deux professeurs, et cette fois s'assit. Elle décapuchonna son stylo. Elle avait quelques années de carrière derrière elle. Avec dextérité, elle se mit à noircir la feuille de nom. Son écriture était séche, et elle se fit même un devoir de les classer en divers parties. Mafia, crime organisé, réseaux criminels, organisations, société écran et même quelques gouvernements corrompus. Il y avait également quelques noms isolés, dont elle ne savait pas grand chose, si ce n'est qu'ils étaient impliqué de près ou de loin dans des affaires louches. Tous voulaient sa tête, mais tous ne savaient pas exactement qui elle était. Elle savait se faire très discrète. Elle les classa par ordre alphabétique avec une rigueur exemplaire. Au bout d'un petit moment, sa cigarette était déjà écrasé dans le cendrier depuis un moment, elle fit glisser la feuille vers Véga.

« Je vous souhaite bien du plaisir. »

C'était une large histoire pour Lisbeth, la question était plutôt bonne pour Rémy. Une preuve que Véga ne connaissait pas aussi des stratégies pour détecter des signes de stresse ou des objets beaucoup plus cachés que certaines personnes. Toutefois, il décida de laisser Rémy de gérer cette histoire de clé USB, il peut toujours très bien la prendre facilement. Il décida de rester très passif pendant la discussion sur la clé USB. Beaubier laissa un grand silence pour laisser Lisbeth finir sa fameuse liste. Avec le temps qu'elle prends, Beaubier va prendre plus qu'une soirée pour régler le problème, peut-être environ une semaine pour tout faire. Mais, peut-être qu'il va séparé la liste en deux pour faire un peu travailler Rémy Lebeau dans tout ça.

Quand, Beaubier avait la liste entre ces mains, il soupira, mais il laissa un petit rire. Elle avait touché presque à tout. Des noms qui semblaient beaucoup plus italiens, donc peut-être les cinq grandes familles de la mafia italienne. Il avait aussi nom d'origine russe, dont beaucoup plus dirigé vers la mafia albanaise, la mafia russe et la mafia ukrainienne. Finalement dans les mafias, il avait aussi des associations françaises, irlandaises et grecques, mais beaucoup moins importante que celle nommé plus tôt. Il avait aussi des noms qui sonnaient québécois et américains, donc des groupes criminels organisés comme des Hells Angels ou des Bandidos. Finalement, il avait aussi le crime organisé de masse, dont les gangs de rue comme le MS13, les Crips ou les Bloods. En tout cas, cela pourrait faire un grand plaisir pour n'importe quel criminologue.

-Tu sais que tu pourrais faire plaisir à n'importe quel sociologue ou criminologue avec cette liste. Mais, sinon je n'ai pas beaucoup de problème avec ta liste. Je me cherchais quelque chose à faire depuis quelques semaines, je vais bien m'amuser et je vais pouvoir côtoyer de nouvelle communauté. Sinon, Rémy, tu veux venir participer?

Demanda doucement à son collègue, au moins le travail se passer deux fois plus rapidement avec une personne qui l'aide que tout seul, même si c'est amusant de battre un peu la mafia et les divers groupes criminels.

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