TEST : Trouver un objet sans se faire repérer.

Cette fois ci c'était un test de furtivité qui attendait Sam. Après toutes ces épreuves qu'il avait déjà passé, il ne savait plus à quoi s'attendre. Pour lui il avait déjà fait ses preuves, ou du moins fait son maximum pour se montrer apte, dans les épreuves intellectuelles et physique. Apparemment il ignorait encore beaucoup d'aspects des obligations d'un X-men, et il allait bien falloir passer ces tests pour s'en rendre compte.
Il arriva devant une grande demeure, assez éloignée de l'institut, et déjà il commencait à scruter alentours pour essayer de se faire une première idée du test qu'il allait devoir passer. Il avait cette manie de tout regarder autour de lui, peut être par peur de passer a coté de choses qui pourraient le surprendre, ou tout simplement parce qu'il était de nature curieuse, toujours à fourrer son nez dans les moindres recoins, comme pour se donner une impression de controler la situation. Il se dirigea vers le X-men qui allait faire passer le test, et après de brèves présentations, il écouta avec attention les consignes qu'il allait devoir suivre.
Plus le X-men parlait plus Samuele se sentait assez peu capable de réussir le test, et c'est en se tournant vers la demeure qu'il se forca à penser le contraire. Il utilisait cette technique pour passer bien au dessus de ses angoisses et de ses questionnements souvent incessants, et depuis qu'il agissait ainsi, il remarquait une bonne progression dans son opinion de lui-même. Cela fait il récapitula: Entrer dans la demeure, sans se faire repérer, et chercher le cube sans qu'il ne subisse aucun dommage. C'était le but de ce test, examiner les capacités de furtivité.


Il s'avanca alors vers la demeure, petit à petit tout en reflechissant à ce qui pouvait bien lui servir dans cette épreuve. Il n'avait évidemment aucun pourvoir pouvant l'aider dans cette tache, sauf s'il y avait des gens à l'intérieur, mais selon lui, il était assez doué en calme et contrôle de soi. Il était souvent stressé à l'intérieur, mais avec le temps et en grandissant il avait appris à cacher ses émotions, pour les enfouir profondément en lui. Un "Sans coeur" comme certains lui disaient en Italie, mais lui même savait qu'il était normalement constitué, la seule différence étant qu'il savait se forcer à masquer ce genre de pensée.

Devant l'immense porte, en tous cas plus grande que la normale il continuait de réfléchir, mais cette fois ci aux éventuels pièges qui pouvaient le freiner dans sa recherche du Cube. Il s'arrêta environ une minute sur le pallier en croisant les bras, se frottant le menton, puis il mit sa main sur la poignée lourde. Il hésita quelques secondes de plus, et prêta attention à son pouvoir de detection. Aucun humain, ni mutant derrière la porte, c'était peut être trop facile. Il lacha la poignée et décida de s'aventurer autour de la maison pour trouver une autre issue. Il commenca sa ronde en longeant le mur extérieur, passant au dessus de quelques amas de rondins de bois, tout en scrutant les alentours. Il était en général assez indiscret, mais pour le coup, il se sentait étonnement concentré et à l'affût. Evidemment, il était confronté au premier piège de son test: une caméra de surveillance. Il en voyait pour la première fois dans ces conditions, car d'habitude c'était au super marché, alors il pensa à un moyen pour ne pas entrer dans le champ de vision de cette dernière. Scrutant à nouveau le paysage, il remarqua les arbres plantés autour de la maison. Il fit un détour et se dirigea vers le premier de la série qui longeait le coté de la maison. Il entrait parfaitement dans l'épaisseur de l'arbre, et il pouvait remercier au moins sa taille fine de lui être utile dans de pareilles conditions. Etudiant avec soin le mouvement de la caméra, il arriva à la conclusion qu'il y avait forcément un angle mort, qui laissait la possibilité de changer de place pour aller se réfugier derrière un autre arbre. C'est ce qu'il fit, attendant environ une dizaine de secondes derrière chaque arbre, jusqu'à arriver à l'arrière de la maison. Arrivé à destination probablement avec chance selon lui, il remarqua avec curiosité la fenêtre qui se présentait à lui. Pas de piège visible ici, il pouvait jeter un oeil a l'intérieur. Comprenant qu'il pouvait pénétrer dans la maison par ce biais, il essaya une première fois de soulever le battant de la fenêtre, sans rien obtenir. Il essaya une seconde fois, mais il se résigna a prendre un baton de fer, qui servait à l'origine à bloquer une trape qui s'apparentait à l'entrée d'une cave. Il coinca la barre de fer dans la fente qui laissait passer un filet d'air entre la fenetre et le rebord, et appuya pour défaire le mécanisme qui vérrouillait la fenêtre. Il réussit à faire craquer le système de verrou, remarquant que la fenêtre en bois était rongée par l'humidité, il prit donc cela comme une chance. Il tenta de grimper et de trouver un moyen pour vérifier s'il n'y avait pas d'autre caméra, puis chose faite, il se glissa de son corps léger et fin dans la pièce. C'était une cuisine, sombre, et carrelée. L'odeur n'était pas très accueillante, mais il s'y faisait tout en s'aprochant de la porte qui donnait vers le reste de la maison.

Ne detectant toujours pas de présence humaine, il ouvrit la porte avec précaution et continua son chemin, cette fois ci vers l'entrée de la maison, mais de l'intérieur. Il arriva dans un hall anciennement décoré, d'une taille assez impréssionante. Un lueur attirait cependant son attention. Sans bouger il appuya son regard sur la porte d'entrée par laquelle il était censé passer, et c'est avec sourire soulagé qu'il pensa qu'il avait bien fait de ne pas entrer par la porte d'entrée. Une sorte de Laser, ou rayon lumineux, tracait un trait au bas de la porte d'entrée, empêchant quiconque voulant ouvrir la porte d'entrée d'aller plus loin. Le seul mouvement de la porte aurait probablement fait sonner une alarme qui aurait mit fin directement au test... c'était ce qu'il pensait. Il avanca alors en contemplant du regard les meubles disposés de façon organisée au milieu du salon. Il y avait par exemple une immense table, comme dans les chateaux ou les palais dans les films, autour de laquelle se tenaient une quizaine de chaises. Il était tellement omnibulé par cette ambiance classe où tout semblait valoir une fortune qu'il fut surpris par l'apparition d'un rayon, identique à celui de la porte, parcourant le hall de toutes parts. Il sentit comme ce qui s'appelait le "sang froid" lui remonter à la tête, une angoisse bloquant tous ses mouvements. La tige lumineuse s'approcha dangereusement de lui, et il n'avait rien trouvé de mieux que de se lancer sans réfléchir sous l'imense table, lui laissant ainsi quelques instants de répis.

C'est à ce moment là qu'il ne se sentait plus en confiance. Il avait faillit échouer, et il était passé très près de l'échec... mais d'un autre coté, il se doutait bien qu'il partait pénalisé du fait de son pouvoir. Comme d'autres, qui n'avaient probablement pas de pouvoirs utiles dans ce cas là. Detection... et décuplement de pouvoirs... rien ne présageait sa réussite, c'était la chance, et peut être son calme et son coté méticuleux qui pouvaient lui servir d'aide. Il analysa quelques instants, du dessous de sa table, les mouvements du rayon, et se lança sur le mur qui montait vers l'escalier, là où le rayon lumineux ne semblait pas passer. Il respira un instant pour évacuer son stress, puis monta les marches deux par deux, au cas où le rayon lumineux changeait sa direction. Il arriva à l'étage et jeta un oeil en bas, puis au plafond, voyant le dispositif qui projetait le rayon... il n'était pas passé très loin. Il continua alors vers le fond de la maison, et arriva dans un couloir, où il pu remarquer quatre portes. Deux faces à faces, sur sa droite et sur sa gauche. Il avait le choix, mais d'autres rayons lumineux parcouraient le couloir dans la largeur. Il en comptait trois, mais chacun était à un niveau différent. Le premier était assez bas, il pouvait donc passer au dessus, sans le toucher grace à ses pantalons sérrés qu'il avait l'habitude de porter. le deuxième était au niveau de la taille, et il du ramper au sol, pareillement, en faisant confiance à sa silhouette. pour une fois qu'elle lui servait vraiment! Le troisieme était identique au premier, et il répéta le geste. Il arriva devant une fenetre qui bloquait le couloir, et qui était la seule source de lumière de cet endroit.

Il essaya d'ouvrir la porte du fond a droite, qui semblait être verrouillée. Il essaya ensuite celle de gauche, qui s'ouvrit, lui laissant libre passage dans ce qui semblait être une chambre. Il entra puis referma la porte aussi calmement qu'il l'avait ouverte. Il prêta attention au plafond, où il n'y avait rien d'anormal à part un lustre ancien, puis commenca a fouiller les tiroirs... les dessous du lit, puis il fouilla une sorte d'armoire/dressing, qui seblait donner sur la pièce d'a coté. Il cogna une ou deux fois, de façon discrete, et pu entendre un creux, comme si la paroi était fragile, facile à défaire. Il pensa alors à refaire le tour en sortant de la pièce pour entre dans la chambre d'à coté, mais c'est avec surprise qu'il remarqua qu'il était enfermé dans cette chambre. Il essaya plusieurs fois jusqu'à comprendre qu'il allait rester enfermé là sans pouvoir sortir. Il jeta un oeil à la fenêtre, et pu appercevoir une caméra qui pointait vers le sol, comme celle qu'il avait éviter en entrant. La zone qu'il présumait être l'angle mort était trop loin, il ne pouvait pas l'atteindre. Il se mit a réfléchir, puis pensa au creu qu'il avait sentit en fouillant l'armoire. Il ne voulait pas faire de dommages, mais il était bien obligé. Il prit un objet qui resemblait à un porte-bougie et fit un creux dans le mur fragile, qui semblait être en fait une planche en bois fin, clouée au fond de l'armoire. Une fois le trou creusé, il se faufila dans ce dernier, puis il ouvrit les portes.

Il hésita à bouger, car la pièce semblait être plus sécurisée, les meubles étaient plus récents. Quelque chose clochait, rien que dans l'esprit de cette pièce, et samuele était doué pour ressentir ce genre de choses. Il n'y avait pas de lit, rien que des armoires avec des objets, et c'est là qu'il pu remarquer le cube qu'il devait trouver. Il remarqua la présence d'une caméra et sentait la chose difficile. Une caméra qui balayait la salle en pivotant encore... il commencait à se dire qu'il avait eu de la chance d'en être arrivé jusqu'au cube, au moins. Cette fois ci il allait tenter l'ultime action de ce test... puisqu'il connaissait le moyen de ressortir. Il n'avait que très peu de temps pour prendre l'objet, et sortir par la porte, en esperant qu'elle soit ouverte, ou dans le cas contraire, par la fenêtre... Il prit donc sa respiration et se leva, pour arriver en trombe devant l'armoire. Il prit le cube, mais il n'était pas assez rapide. La caméra s'arrêta sur lui et l'épreuve était terminée. Entendant l'alarme sonner, il essaya tout de même d'ouvrir la porte, mais comme il le sentait à ce moment là, elle était fermée. Il cogna la porte de son poing... et c'était la première fois qu'il se voyait violent: il était entré corps et âme dans l'épreuve, il relâchait sa tension.


C'était une épreuve qui se terminait par un échec pour samuele... peut être n'était il pas prêt, ou avait il mal usé de ses capacités. C'est avec un certain regret qui changea doptique pour retourner voir le X-men... qui allait surement lui annoncer qu'il avait échouer lamentablement.

J'observai de loin le bâtiment. J'étais calme, je savais bien comment réagir dans ce genre de chose. Ce n'était pas la première fois que l'envahissait des lieux gardé sans la permission du gardien. Ça ne me faisait pas très peur comme épreuve. De plus loin, j'avais virevolté dans les airs et le zoom de mes lunettes au maximum, j'avais vu 2 gardes grillant une cigarette. Sur le balcon avant, un autre garde. Le jardin arrière était libre pour l'instant, probablement pas pour très longtemps. J'atterris dans le jardin en question. Du bout des doigts je mis mes lunettes sous un mode de vision bien utile dans ce genre de travail. Tous les éléments électroniques émettent un champ magnétique imperceptible à l'œil nue mais il y avait déjà un bon moment qu'il était possible de les apercevoir grâce à certains appareils dont un que j'avais incorporé à mes lunettes. Je remarquai une première caméra dans un grand rosier. Si ça pouvais leur faire plaisir.

Bien vite, j'arrivai à porté de la maison. Je passai sous forme thermique pour reconnaître les gardes les plus près. Je me rendis compte qu'il y en avait très peu. 7 en tout si j'extrapolais bien. Toutefois, sous vision électromagnétique je vis la véritable menace. L'équipement devais avoir coûter extrêmement chère. Je regardai autour de moi pour être certains de la position de chaque caméra et des limites de mouvements de chacune. Je me déplaçai en position accroupis jusqu'au mur de la maison. Je restai très près du mur en m'approchant d'une boîte électrique mixé au systèmes de sécurités, sensé être caché par un épais buisson. Je sortis alors mes instruments que j'utilisais habituellement pour réparer mon bras en cas de besoin. Je reconnus dans une section de celle-ci les alarmes silencieuse. Celle-là, je savais comment les coupés sans que ça ne paraisse. Les caméra devrait toutefois restée allumé car il était risqué qu'il y ait un garde observant les écrans.

En deux temps trois mouvements, les alarmes furent hors services sans avoir été déclenché. Comme je l'avais fait tant de fois dans tant de maison de riche qui croyaient avoir bien sécuriser leurs maisons. On ne joue pas à ce jeux avec un mutant de mon genre, je gagne toujours. Je réactivai ma vue magnétique et regarda en l'air. La caméra finit son voyage sur la droite et repartis vers la gauche. Une seconde ne vue thermique fut suffisante pour savoir que j'étais libre. Libre d'entré. Une fenêtre juste à côté de moi fut rapidement ouverte et je traversai vers l'intérieur puis referma mon point d'entré une seconde avant que la caméra ne se pose sur moi. J'entendis alors le grincement régulier d'une caméra au dessus de ma tête.

Pas un seul mouvement, le corps collé au mur. La caméra faisait son voyage habituel. Pas d'accident. Tout c'était bien passé. La maison était calme. Je tendis les bras vers le haut et déplaçai légèrement le fil de la caméra. Dans quelques secondes, lorsque cette petite machine finirait son tour dans l'autre sens. Elle se débrancherait d'elle même. Je me déplaçai lentement alors que la caméra repartait dans l'autre sens. Je me dirigeai derrière un grand canapé à l'autre bout de la pièce et près d'une porte. Je jetai un oeil à la caméra juste à temps pour la voir se désactiver. Je lançai alors le chronomètre incorporé à mon bras. Y avait-il un garde qui observait les caméras et si oui, à quel distance se trouvait-il? Je me penchai derrière ma cachette. 7 secondes après, un homme entra dans la pièce et se tourna tout de suite vers la caméra. Il ne considérait pas cela comme une menace. Ce genre de caméra pouvait se débrancher d'elle même de temps en temps alors ce n'était pas un signe de présence étrangère. Pendant qu'il faisait cela, moi, comme une ombre, je me glissai dans le couloirs suivant. Un coup d'oeil, pas le temps de plus. 2 autres personnes dans les pièces adjacentes en vue thermique. Je savais donc qu'à cet étage il y avait 3 gardes. Peu de caméra et aucun système de sécurité, la marchandise ne devait pas se trouver ici. Par contre, système d'alarme par pression dans les escaliers et une caméra au dessus en mouvement fixe. La poisse.

J'entrai dans la première pièce à ma droite, le centre de contrôle des gardes. Je me plongeai dans une armoire ou se trouvait quelques petits trucs à manger pour les gardes. 2 heure, ils n'auraient pas faim j'espère. Le garde qui était venu jeter un œil à la caméra repris du service dans la petite salle obscure. Je l'entendis ronchonner un peu. Je ne fais pas attention aux mots. Par le minuscule entrebâillement que j'aie garder, je le vois ce mettre les mains sur la tête. Je pousse un peu une des portes de ma main gauche. J'entends un grognement interrogatif. Je pose ma main sur lui, tout son corps se redresse et il perd connaissance. Le choc de mon taser l'avait fait perdre ses moyens pour quelques minutes. Je sortis donc de ma cachette. De cette même main gauche métallique, je fis sortir les DVD vidéo d'enregistrement. Je les mets dans une de mes poches. Aucune empreinte digitale ne pourrait évidemment être trouvé.

Je donnai l'ordre à la caméra du couloir de se retourner vers chaque couloir. Il n'y avait rien là de suspects. Je la mis en fixe sur le couloir à sa droite en tentant ma chance. Je devais bien commencer quelque part. Je sortis de la pièce en mode de vision thermique. Je reconnus qu'un des gardes dormaient aux vue de sa position l'autre. L'autre semblait regarder quelque chose de légèrement chaud, probablement une télévision, assis sur ce qui devait être un canapé. Je me présenter au pied de l'escalier et m'envolai jusqu'à l'étage suivant. Je fis bien attention pour qu'aucune de mes ailes ne frôlent l'escalier malgre les alarmes désactivés et qu'elles ne passent pas devant la caméra même si les images n'étaient plus enregistrer. Il fallait tout de même ce méfier.

Retour à ma vision électromagnétique. À ma gauche, 3 salles, une caméra par salle. À ma droite, 2 salles, 1 caméra dans la première et une orgie de défense dans la seconde. Comment ne pas savoir ou était le paquet? J'avais donc tourner la caméra dans le bon sens. Coup de bolle. Je me dirigeai donc vers la dernière salle, la porte se trouvant à ma droite. J'y appuyai mon oreille. Excluant le bourdonnement électronique des systèmes de sécurité, aucun son. Cette fois, j'allais faire vite et prendre des risques. Je devais sortir dans les deux minutes. 2 autres minutes pour partir, puis le garde commençait à pouvoir se réveiller alors se serais risqué. Je sortis un de mes Anges, Zaquafaël, et y mis un silencieux. Chante juste mon petit, mais ne chante pas trop fort. Je poussai la portes et détruisis la caméra à l'autre bout de la pièce avant qu'elle ne se tourne vers moi. Je levai la main métallique vers l'autre caméra et la désactivai aussi. Et de 1.

Un grillage laser sur quatre niveau. C'était une bonne idée. Très difficile à éviter lorsqu'ils sont aussi bien positionné, c'est à dire au niveau du sol à environs 20 centimètre, à 50 centimètres 80 centimètres et a 1mètre 10. Au centre de se grillage, une plateforme ou se trouvait le cube, avec un détecteur de pression. Chaque chose en son temps. Il y avait quand même un détail qui clochait dans la façon dont ils avaient disposés la pièce. J'avais presque deux mètres de large avant les rayons devant moi. J'attrapai la lourdes tête de cerfs au dessus de moi avec mes ailes et j'élevai mon corps jusqu'à m'asseoir sur son museau. Du bout des doigts, je décrochai des coupes noir incrusté dans le plafond ou se trouvait les lumières, me dévoilant des trous, et donc des prises, très précieux. Me soutenant à la seule force de mes bras, j'avançai un peu sur le plafond. J'étais maintenant à la hauteur des rayons, mais quelques 2 mètres plus haut. Je décrochai d'autres coupoles pour faire d'autre prises et je franchis la première épreuve. Je fis bien attention en redescendant pour ne pas faire trop de bruit et ne pas toucher aux rayons. Me retournant, je mis les yeux sur ce que je voulais.

Le petit clavier de contrôle pouvait stopper tous les systèmes d'alarme de la pièce, pour peux que l'on avait le code. Ou qu'on avait mon niveau de connaissance en électronique. Je dévissai le clavier pour exposer les fils et y fit un branchement sommaire avec mon bras. J'activai alors mon système de décryptage qui était l'un des meilleurs jamais fait. Toutefois, cela prenait quand même un peu de temps. Je jetai un œil à ma montre. Déjà une minute 30 de passer. J'étais en retard sur mon temps. Je devais me presser. La barre de progression sur mon écran passa du rouge au vert. Les alarmes se désactivèrent et les lasers de la pièces devinrent inefficace. Un passage sur mon autre vision me le confirma. Je pris alors le cube et partis rapidement à l'extérieur de la pièce. Je stoppai subitement en attendant un bas de l'escalier un homme qui demanda dans le vide pourquoi la caméra était déplacée. Je retournai dans la pièce et referma la porte. Je collai alors mon oreille à celle-ci et je l'entendis appeler à voix basse un de ses collègues, ils devaient avoir un système de communication. Il pesta une dernières fois et j'entendis ses pas s'éloigner. Je me donnais 15 secondes au maximum. Ce n'était pas suffisant.

Je partis à la course dans le couloir, au passage, je décrochai le fil de la caméra et je stoppai juste devant la fenêtre du couloir. Je l'ouvris à la volée et me tint sur le rebord le temps de la refermée. Je me laissai alors tomber lentement vers le sol. J'activai ma vue électromagnétique une seconde pour voir que j'avais évité de justesse la caméra extérieur. Je me lançai dans le buisson d'où j'avais fermer les systèmes d'alarmes quelques minutes avant et les remis en marche. Alors que la caméra au dessus de moi rechangea de côté, je pris la fuite vers les sous-bois. Évitant, à nouveau de justesse, une autre caméra. Si j'avais pleinement réussi? Je n'en étais pas tout à fait sur mais les chances que je me soient fait voir étaient assez faible. Qui plus est, ils n'avaient pas les images des caméra. Disons que j'avais sûrement l'avantage.