Un dîner un peu étrange [PV Tarzan]

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Nate venait de finir un rendez vous très important pour son travail. Avec le directeur d’une banque pour lui demander un prêt qui lui permettrait de faire le projet qui a germé dans son esprit il y a un mois environ. Pas n’importe quel prix, il s’agirait d’un prêt de 6 milliards de dollars. Cela était nécessaire. Comme à chaque fois que Nate voulait quelque chose, tout s’était fait très vite. Le plan était colossal, risqué. Quasiment impossible. Une idée que même son père n’avait jamais eu. Il possédait déjà tous les hôtels Gimmet, mais ce projet allait être l’apothéose. Un hôtel 5 étoiles avec spa, tennis, terrain de sport etc…. Golf 18 trous dessiné par un cabinet de designer anglais et pour couronner le tout, un lot de 50 villas hauts standings dans les alentours de l’hôtel. Il y aurait bien sûr dans l’hôtel un grand casino, une boîte de nuit et plusieurs restaurants auxquels auront accès les touristes comme les habitants des villas. Un projet risqué, mais si cela marchait, cela pouvait bien doubler sa fortune. En plus il avait trouvé l’endroit parfait. Un terrain de 30 hectares à seulement deux heures de New-York. Ce sera une aubaine car toutes les riches familles New-Yorkaise se battront pour avoir une villa là bas.

Le problème c’était de convaincre un banquier. Et pour un prêt pareil, il fallait convaincre le directeur de la banque, qui était en général souvent très riche mais pas milliardaire. C’était là tout le problème. Les vieux self made-man détestaient voir un petit jeune dix fois plus riche qu’eux alors qu’il n’avait rien fait pour obtenir ceci. Nate avait bien envie de leurs dire que cela faisait un an, depuis la mort de son père qu’il bossait comme un malade, mais il s’en abstenait. Ils avaient tendance à mal le prendre. Mais après un rendez-vous de deux heure, Nate avait l’impression d’avoir à peu près réussi à convaincre le directeur, même si celui-ci lui avait dit que Nate n’obtiendrait pas de réponse avant deux semaines. La chose qui pouvait étonner, c’était que ce rendez-vous avait eu lieu à…. Los Angeles, l’endroit ou se trouvait le siège de la banque. Nate avait dû se téléporter là bas, n’ayant aucune envie de faire le voyage, puis une fois le rendez vous terminé, il était rentré à New-York.

Pour fêter sa victoire, Nate avait envie de manger dans un bon restaurant. Le restaurant Odémir était parfait. C’était un restaurant luxueux, car il n’était pas question d’aller dans ces petits restaurants pour pauvres. Et surtout, il fallait signaler que ce restaurant était extraordinairement bon, ça valait presque le fait que cela devait être le seul endroit au monde ou l’on pouvait manger des pates pour 120$. Le problème, c’est que étant un restaurant ou les gens allaient surtout en couple, à chaque fois qu’il venait, il fallait que tout le monde lui fasse les yeux ronds car il était seul. Normalement, les gens réservaient pour venir, mais pas lui, il connaissait le patron, de plus, c’était un assez bon client. Il aurait pu se téléporter, mais il arriva avec sa limousine, histoire de se faire remarquer sans doute. Il portait un smoking Hugo Boss, car tous les gens qui venaient en général étaient assez bien habillé. Il entra dans le restaurant, il était rempli mais pas trop, et un orchestre jouait une douce symphonie en fond sonore. Il se présenta aux serveurs qui lui donnèrent un table et lui proposèrent le menu, mais Nate savait déjà ce qu’il allait demander :

-Servez moi un filet de saint-pierre accompagné par des légumes et un peu de riz s’il vous plaît.

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Lorsqu’on y repensait de plus près, on serait facilement tenter a dire que le seigneur de la jungle avait une vie facile. C est vrai quoi ? Il n’avait pas de famille a s’occuper, ni de problèmes de cours, et il devait encore moins de se soucier des problèmes de travail. De plus qu’il était arrivé a se trouver un toit pour dormir, ou la plupart des gens étaient près a l’aider a n’importe quel moment. Ce qu’il pouvait faire des ses journées ? Absolument tout ce qu’il voulait, et a n’importe quelle heure ! Et oui, quasiment la même vie que dans la jungle, sauf qu ’il y manqué la nature et les dangers. Le seul petit problème dans l’histoire, c’était que bientôt il devra ce ranger dans les rangs de la civilisation. Du style qu’il devra faire l’effort de porter des vêtements plus propre que ce vieux jeans troué. Ou bien d’apprendre a travailler pour gagnez de l’argent, et tous les habitudes des personnes civilisés. Mais pour l’heure, tout cela était de loin les principaux préoccupation, de tarzan seigneur de la jungle. Encore prit part sa grande curiosité, ce dernier s’était encore rendu en ville pour faire des recherches. En sachant parfaitement qu’on ne pratiquait pas les mêmes loisirs que dans la jungle, Tarzan mourrait d’envie de découvrir les diverses activités citadins. Ce pourquoi, il passa toute sa journée ensoleillé dans les petites rues pavilloné, qui ce situaient non loin du central park.

Il avait prit pour habitude de se référencier au central park, de façon a ne pas se perdre a chaque fois qu’il allait en ville. Parce que c’est bien de demander son chemin a tout le monde, mais a la longue ça devenait lassant: aussi bien pour lui, que pour ces pauvres passants. En ce qui concernait les découvertes de notre homme sauvage, il s’était plongé dans l’univers des boutiques. Alors que la plupart des hommes ne supportaient cette activité, Tarzan semblait s’y plaire. Enfin, on ne pouvait pas dire qu’il faisait réellement les boutiques, vu qu’il n’achetait rien. A vrai dire qu’avec la tenue peu convenable, il avait eut l’intelligence de s’abstenir a rentrer dans les magasins. Quelle aurait été les têtes des personnes, en voyant une armoire a glace sur patte ?De drôles de grimaces et sans doute de mauvaises réflexions, donc il avait bien fait d’éviter de s’aventurer dans ces lieux. quoi que la, il a fait des efforts de mettre un malliot avec un nouveau jean. Cependant ce simple léchage de vitrines suffisait pour passer le temps, et de le divertir. Sans compter qu’il apprit que contrairement a lui-même, ses semblables utilisaient beaucoup d’objets. Bien qu’il ne savait mettre des noms ou des définitions sur les articles, il se doutait un peu que ça devait leur servir dans leur vie quotidienne. En soirée, il n’avait pas voulu rentré de suite a l’institut des mutants, il préférait de traîner encore quelque temps dans les rues. Ce petit écart lui avait été très profitable, a la découverte qu’il venait de faire. Apparemment, il avait trouvé un endroit semblable a un bar, sauf que la, les gens étaient tous en train de manger. Pour éviter de se faire remarquer, Tarzan se mit dans un petit coin de la salle, ou il pouvait regarder les gens sans ce faire repérer. L ‘ambiance était beaucoup plus chaleureuse que dans l’autre lieux publique, du moins qu’il n’avait pas cette certaine atmosphère de méfiance . Par chance, les restaurateurs étaient bien occupé a manger ou a discuter entre eux, pour faire attention au seigneur de la jungle. Tout a coup, ce dernier reperait un homme tout seul, ce qui devait pas être amusant pour lui. A ce concept, l’homme sauvage s’approchait doucement de lui, sans ce faire trop repérer, avant d’avoir le courage a entamer la conversation.

« bonjour; je te derrange pas ? Que fais tu tout seul ? »

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Soudain rentra dans le restaurant un homme étrange. Très étrange. Les gens, très occupés ne semblèrent pas le remarquer. Tous les couples n’avaient d’yeux que pour eux et leurs amour. Bah, qu’ils en profitent. Bien qu’il ait toujours eu beaucoup de succès avec les filles, cela faisait longtemps qu’il n’avait pas eu de relations sérieuses. Et puis, tous ses amis s’en était allés à l’université, tandis que lui avait eu un empire hôtelier et financier à gérer alors qu’il n’avait que 18 ans. Il était devenu par là même occasion milliardaire du jour au lendemain. Il était à ce jour l’a 28ième fortune du monde, et il comptait bien bientôt rentrer dans le top 25.

Mais revenons-en à ce gars qui semblait plus qu’étrange. Nate sembla l’intéresser si bien que celui-ci l’aborda. Il lui dit la phrase à laquelle il s’attendait. Mais qu’avaient donc les gens avec le fait qu’il soit seul. Tout le monde pensait qu’il était triste, mais ils se trompaient, il était riche, puissant, que voulait-il de plus. Si pour ça il fallait passer quelques dîners seuls, il n’en avait qu’a faire. Mais néanmoins cette étrange personne intriguait Nate. Qui était-il ? Que faisait il dans ce restaurant luxueux avec cet accoutrement ridicule ? Il avait fini par se faire remarquer et les directeurs du restaurants vinrent lui parler :

-Désolé du dérangement Monsieur. Voulez-vous que l’on mette cet homme dehors ?

-Non, ça va aller, merci.

Nate leurs jeta un regard méprisant qui leurs montrait clairement qu’il désirait qu’ils s’en aillent. Ils s’exécutèrent. Il se retourna vers l’homme en question et pour le rassurer il lui fit un sourire. Puis avec bienveillance teinté de curiosité et sûrement aussi d’arrogance, il lui dit :

-En effet je suis seul. Mais je ne pense pas que ce soit un problème. Pourquoi le suis-je ? Disons que mes amis sont partis et que je n’ai pas suivi le mouvement. Mais je m’en ferais de nouveaux. Mais toi, que fais tu dans ce restaurant luxueux ? Puisque tu ne semble pas avoir les moyens de le payer, accepte-tu que je t’invite, car je l’avoue tout de même, un peu de compagnie ne serait pas de refus ! Comment t’appelles-tu ?

Il avait dit cela d’une traite. Il se fichait assez des regards des invités tous intrigués et qui semblaient légèrement contre le fait qu’il reste avec eux, mais ils n’avaient pas le choix, si il le désirait, il pouvait user de ses influences.

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L’individu que l’enfant de la nature avait osé de côtoyait, ressemblait fortement a la plupart des personnes dans la salle. D’une taille moyenne, les cheveux noirs et courts sur la tête, le visage assez fin et le corps quelques peu maigre comparer a son physique. Tarzan trouvait ses vêtements forts banals, tous lisses et d’une couleur unique: le noir, couleur qu’il jugeait fade et inexpressif. Étrange mais il songeait que l’homme pouvait facilement être smiller a une sorte de piaf dans la jungle, que nous on pourrait comparé a un pingouin. Enfin cette vision fut très amusant, même si ça tirer un peu du domaine de la moquerie. Autrement, le seigneur de la jungle admettait une certaine crainte de rejet de l’homme, puise qu’il ne le connaissait pas du tout. Tout à coup et sans qu‘il pu s‘étendre sur ce sujet , il vit apparaître de drôles de personnes venir a leur table, et sans faire attention a lui, s’adressaient directement a l’homme assis. Au moment qu’il comprit qu’on désirait le mettre dehors, une vague de colère monta en lui, qui aurait très bien pu se transformer en bagarre sans l’intervention de l’homme.

Sans trop faire de scandale ce qui n’aurait pas été le cas de tarzan, il s’était seulement contenté de leur répondre d’une seule phrase en lançant un regard noir. A la grande stupéfaction de l’intru, cette méthode était plutôt efficace, lorsqu’on les vit repartir la queue entre les jambes. L’enfant de la nature les regardait encore avec cette rage, avant de se retourner vers l’homme en se calmant. Il se disait que l’affaire était réglée, et qu’il en valait pas la peine d’en faire tout un plat ! Et bon, entre nous c’était pas tellement le moment de se bagarrer, les lieux publiques n’étaient jamais sur ! Bien qu’il était lasse de se battre contre tout le monde , son esprit brûlait d’envie de connaître les raisons de l’intervention de ces types ! Ben quoi ? Il n avait rien fait appart qu’accoster bien gentiment cet homme, que pouvait on lui reprochait ? Allez encore savoir ! La mentalité des hommes fut si compliqué pour lui, mais il se doutait que les réponses devaient sûrement être en rapport avec leurs coutumes. En vu de la sympathie de l’homme a le protégé, l’enfant de la nature du se consentir de lui demander ses réponses en espérant d’obtenir d’éventuelles réponses.

« pourquoi voulaient ils pas de moi ? Qu Est-ce que j ai fait de mal ? »

En dépit de l‘événement , l’homme singe avait sentit quelques regards indiscrets se poser sur lui ! Sans compter que bon, il n’avait pas de mal a entendre toutes ces petites réflexions a voies basses. Un concept assez courant dans ce monde, avait il remarquait depuis son arrivé en ville. Sur quoi, il avait bien finit par laisser ces conneries courir , par grande lassitude. Cependant, il ne resta pas longtemps sur cette pensée la, extirpé par les mots du jeune homme qui répondait a ses toutes premières questions. Tout d’abord, il s’était montrer un peu froid lors de son explication de sa solitude , ce qui mettait tarzan en perplexité. Enfin bon, il avait finit par lui demandait ce qu’il faisait la et qu’il était. Plus facile a répondre que le questionnaire précédant, il s’en y tenait avec un petit sourire aux lèvres.

« Je suis tarzan, je suis venu parce que j ai trouvé cet endroit ! Et toi tu es qui ? Et que fais tu la ? »

Agréablement surpris que sa présence était finalement désiré, a l’invitation imprévue, le cœur sauvage s’en réjouissait . Un peu trop vite a notre goût, vu qu’il avait bien du mal a manger correctement, c est a dire avec des couverts sans en mettre partout. Ignorant totalement ce détail, il accepta l’invitation sans aucune sensations de honte. Ce qui fit bien sur, d’un ton joyeux et fort amicale.

« oui je veux bien !!! Merci beaucoup !!! »

» Un massacre ?! Non, un diner... [PV qui veut ?]
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