Alors c'est là ( pv Hank)

Diana, avait fait son choix, elle ira à l'institut, même si elle trouvait, les méthodes de Xavier pas assez efficaces, pour permettre à l'humanité, d'évoluer. Mais elle était en total désaccord, avec les méthoses de Magneto, certes il &tait plus éfficace, mais ce n'est rien d'autre qu'un dictateur et il ne voit pas le mal qu'il fait aux mutants.

Alors en cette matinée de fèvrier, Diana arriva devant la porte de l'immence institut, rien que le portail, faisait paraitre la jeune mutante pour une naine, tellement il était imposant.

* J'espere faire le bon choix et ne pas me tromper *. ce dit elle.

La jeune mutante, portait une tenue des plus classique, un top vert lui arrivant à mi-ventre et un jean taille basse laissant ainsi son tatouge au creux de ses reins bien vivible.

Par chance il ne pleuvait pas, mais il faisait froid. Si on ce rapprochait de Diana on pouvait remarquer qu'elle avait la chair de poule, sa peau n'était pas lisse comme d'habitude.
Elle avait un léger maquillage et ses cheveux étaient détachés.

Elle approcha sa main, de l'interphone. comme ci cela était necessaire, Le professeur xavier devait savoir, qu'elle était là.

elle attendait, ses valises à ses pieds, que l'on vienne, la chercher.

5 minutes plus tard, une masse volumineuse, marchait dans sa direction.

Diana, tenta de bien l'observait pour voir à qui elle avait à faire.
elle eu un bref sursaut en voyant le mutant devant elle.
Il était grand, poilu et bleu.

Bonjour, je suis Diana Hunter et je voudrais m'inscrire comme élève dans votre institut.[b]

La nuit avait été courte, trop courte pour cette masse de cent soixante kilos recouverte de poils bleus. Il avait passé une bonne partie de cette dernière à mettre sur papier des formules et des définitions : il espérait que ces bases seraient suffisantes à ses élèves pour pouvoir passer à quelque chose de plus poussée en biologie, et plus particulièrement en génétique. Ce n'est que lorsque l'astre lumineux répandit ses pâles rayons sur l'institut que la dernière lumière de la nuit s'éteignit. Ne prenant pas la peine de se coucher, il s'endormit quelques instants sur sa chaise avant de partir prendre une douche et un copieux petit déjeuner : rien de mieux que pour commencer une journée...

En parlant de journée, cette dernière n'était pas l'une des meilleures de l'année. Des beaux moutons noirs s'étaient ammassés autour de l'institut. Les cieux étaient imprévisibles : passant de la colère, à la bonne humeur, des larmes à la joie, ils pouvaient être dans tous leurs états en moins de vingt quatre heures. Les bras croisés sur son torse, il regardait impassible les mouvements des nuages à travers une des innombrables baies vitrées de l'institut : son regard levé vers les hauteurs, il admirait en silence les formes qui se dessinaient lentement. Alors qu'il se tenait là, il entendit la sonnerie qui indiquait qu'une personne attendait à la grille du bâtiment. Il eut une pensée pour son vieil ami, le professeur Xavier : il devait savoir depuis fort longtemps déjà qu'un ou une nouvel(le) arrivant(e) allait sonné.

Quittant son poste d'observation, il se dirigea vers le hall d'entrée. Chemin faisant, il croisa quelqu'un de ses élèves qu'il salua poliment après avoir échangés quelques banalités. Lorsqu'il poussa la grande porte pour sortir, un vent frais l'accueillit. Jouant avec son épaisse fourrure, il remercia son évolution d'avoir eu la bonne idée de lui fournir une pareille couverture contre le froid. Il sourit : le chauffage ayant été lancé dans toute l'institut, et que ce dernier dépendait de la température ambiante extèrieure, il faisait souvent trop chaud à l'intèrieur lorsque cette température en question descendait.

Il aimait sortir souvent seul dans le parc pour entendre le vent souffler dans la chevelure des arbres, sentir l'odeur de la mousse, de la résine qui coule le long des troncs, écouter le bruit de ses pas sur le tapis vert, le chuchotement des animaux cachés, bref, il aimait ses moments de solitude où il pouvait libérer son esprit. Néanmoins, il avait en ce moment même une autre priorité et il se doutait que celui ou celle qui attendait à l'entrée n'aimerait pas rester plus longtemps dans la fraîcheur de ce jour.

Arrivant à grands pas vers le portail, il put apercevoir une demoiselle aux cheveux châtains et aux yeux bleus se tenir là, habillée simplement d'un jean taille basse et d'un tee shirt lui arrivant au milieu du ventre : quelle idée que de se vêtir si peu par un temps pareil ? Après tout, pourquoi pas ? Si ça lui faisait plaisir de porter ses vêtements là, Hank n'était pas du tout contre. Il posa sa main sur le portail et l'ouvrit tout en faisant attention à ne pas le faire sortir de ses gonds. Le sursaut de la jeune fille n'échappa au fauve qui demeura impassible. Il plongea son regard bleu dans le sien et répondit avec un petit sourire et une voix chaleureuse :

« Bonjour Diana. Bienvenue à l'institut pour jeunes surdoués. »

Il attrapa la majorité de ses valises et l'invita d'un signe de tête à le suivre. Sans dire un mot, il referma le portail après avoir mis tous les sacs dans le parc : avant de les réprendre, il lui tendit sa veste. Il lui dit en rigolant :

« Elle risque d'être un peu grande mais ça évitera que tu attrapes froid dés ton arrivée ! »

Il lui fit un clin d'oeil et reprit toutes ces affaires : le X Man avança à grands pas vers le hall d'entrée. Il ne dit pas un mot durant tout le voyage : le bâtiment fut bientôt en vue. Une violente bourrasque de vent vint accueillir les deux personnages. Plissant légèrement les yeux, son visage redevint impassible la seconde suivante. Plongeait dans ses pensées, il stoppa devant les portes, un sourire au coin des lèvres, semblant satisfait. Il se tourna vers Diana :

« Bienvenue parmi nous, Diana. » Avec un grand sourire : « Rentrons à l'intèrieur, nous aurons plus chaud pour parler tranquillement. » Il faudra qu'il pense à ne pas se mettre près du chauffage s'il ne voulait pas se retrouver tel un poulet rôti. « Tu pourras me poser toutes les questions que tu veux. » Ouvrant la marche, il pénétra dans le bâtiment. Posant les valises dans un coin du grand hall d'entrée, il proposa à la demoiselle d'aller à la cuisine boire quelque chose de chaud avant qu'il ne lui fasse visiter le bâtiment, qu'il lui montre sa chambre, lui présente ses camarades et lui parle du fonctionnement de l'institut.

* Mais pourquoi tu as eu peur, si tu crois que c'est comme ça que tu va devenir la futur gardienne du savoir.*

Le mutant était impressionant de par sa taille et aussi par le charisme qu'il dégageait .
Le portail qui pour Diana, était immence venait de perdre de sa superbe, face à cet imposant mutant.

En moins de temps qu'il ne faut pour le dire, le mutant attrapa la majorité des valises.

Diana ouvrit grand les yeux, elle qui avait prit un taxi pour pouvoir tout transporter, venait de voir sa garde robe, ce faire emporter en moins de deux.

Et pour ne rien gâcher,l'homme en bleu, venait de lui tendre une veste, dans laquelle, elle pouvait s'enrouler.

*wahou, ça c'est de la veste,j'espère qu'ils ne sont pas touts comme ça ici*

ne sachant pas pourquoi Diana voulait toucher l'épaisse fourrure, du mutant.

Mais il avançait vite, trop vite pour la jeune femme. Là ou il faisait un pas, elle devait en faire 5.
Essouflée, elle arriva devant le hall, de l'institut. Elle n'avait pas eu le temps d'admirer, le décor de ce lieu.

De plus la pluie venait de commencer à tomber.elle était heureuse d'être arrivée à l'abri.

* Prendre froid, il plaisante, je viens de faire un sprint et il pense que j'ai froid*

Heu,merci monsieur. Des questions j'en ai plein, mais je ne vous inonderais pas de questions en une seule fois, j'apprendrais au fur et a mesure.


Les questions, elle en a, mais pour le moment, ce qu'elle veux c'est vite commencer cette formation, pour pouvoir, finir sa formation de gardienne du savoir.

Elle enleva la veste,qui lui tenait trop chaud, elle n'avait plus la chair de poule, sa peau bronzée, était de nouveau toute lisse.

elle vit de jeune mutant l'épier, sort réserver à tous nouveaux ou toute nouvelle ce dit-elle.

Des élèves commencèrent à s'ammasser par petits groupes pour dévisager la nouvelle arrivée. Il demanda poliment à deux jeunes demoiselles de porter les effets de Diana au dortoir réservée aux filles et présenta l'adolescente :

« Bonjour jeunes gens... » Il les couvrit d'un regard paternel : « Laissez-moi vous présenter Diana qui suivra pendant quelques temps les cours à l'institut. Je vous laisserais faire connaissance avec elle plus tard... Il est temps pour vous de retourner à vos études. » À ces mots, la sonnerie du début de la deuxième heure retentit. Se retournant vers son interlocutrice : « Quand à toi, tu les rejoindra seulement après le repas du midi. » Récupérant sa veste, il continua : « Ne restons pas là ! » Il fit quelques pas en direction des cuisines, puis se décida à ajouter gentiment : « Beau bronzage ! Quelque chose me dit que tu vas faire tourner la tête à de nombreux garçons ! » Et il éclata d'un rire joyeux après lui avoir fait un clin d'oeil. Pour sur que les coureurs de jupons l'avaient déjà remarqué.« Allez, viens ! »

Reprenant sa marche, il ne se retourna pas pour voir si Diana la suivait : elle comprendrait bien assez vite qu'il vallait mieux pour elle de passer les deux prochaines heures avec lui pour qu'il lui explique plusieurs petites choses plutôt que de se lancer à l'aveuglette dans un bâtiment aussi étrange que celui de l'institut. Il pénétra dans la cuisine et sans se retourner demanda : « Café, thé, chocolat chaud, ou tu préfères une boisson fraîches ? » Il prit la bouilloire et la remplit d'eau. Une fois que l'eau fut chaude, il sortit deux tasses et les aromates pour les boissons : il disposa le tout sur la table. Il fit rouler un gros roudin de bois jusqu'au bureau, poussa une chaise, et s'assit dessus : sa masse corporelle ne lui permettait pas de s'assoir sur les chaises que la plupart des gens de l'institut avaient l'habitude de prendre. Après tout, on pouvait pas tout avoir de son côté !

« Mets toi à ton aise ! Assieds toi, reste debout, peu importe ! Du moment que tu te sentes bien ! » Il prit l'une des tasses et mit un sachet de thé à l'intérieur : il y versa de l'eau et laissa infuser. Reportant son attention sur sa compagne, il reprit : « Tu dois être impatiente d'aller en cours, non ? Par déduction et avec ce que je sais, tu as hâte de finir cette formation. Je ne te demande pas pourquoi. Chacun à ses propres convictions et ses propres problèmes. Saches juste que brûler des étapes ne serait ni bon pour toi ni pour tes camarades. » Ses mains vinrent se poser autour de la tasse qui tenait plus d'un bol que d'une tasse : néanmoins, dans les pattes du fauve, cette fameuse tasse avait bien la taille d'une tasse. Question de proportionnalité...

Il porta cette dernière à ses lèvres et but une longue gorgée. « Prends le temps de te poser, demoiselle. Tu as le temps d'apprendre. La question qu'il faudrait plutôt se poser est la suivante : jusqu'à quel prix es tu prête à brûler des étapes pour arriver à tes fins ? » Ses yeux bleus plongèrent dans ceux de Diana et continua : « Tout à l'heure tu avais des questions, c'est le moment de les poser. » Il posa sa veste sur l'un des dossiers d'une chaise qui se trouvait juste à côté et vint croiser les doigts de ses mains sur la table. Il ne dit plus rien, laissant le silence s'abbatre pendant quelques .

Au loin, un grondement se fit entendre et un éclair vint frapper tout prêt : les cieux se mirent alors à décharger toute sa colère. Les goutellettes de tout à l'heure se transformèrent en déluge, les ruisseaux devinrent des torrents : ils s'exprimaient. Certains sont comme eux : prévisibles ! Comme les nuages annoncent la pluie, on peut lire sur leurs visages ce qu'ils pensaient tout bas. D'autres, au contraire, étaient imprévisibles et il ne vaut mieux pas réveiller le lion qui dort car leur humeur pouvait être telles les grandes ombres des objets s'étirant au coucher du soleil ou tels les rayons lumineux d'un astre distribuant sa lumière a qui la voulait ! Se cacher dans les ombres ou dans la lumière, elles ne sont pas visibles pour celui qui ne c'est pas chercher !

Diana eu à peine le temps de faire un signe de la main aux autres élèves que la voix rassurante, mais puissante de mutant, leurs signaler, d'aller en cours. Ses paroles furent appyuées par la sonnerie, ce qui devait signifier c'est l'heure finit la pose et les bavardage.
Repas, le mot magique, il ne faut pas croire, mais Diana sous sais air de frêle jeune femme est très gourmande.

Justement...

Diana devint toute rouge. son bronzage, était naturel et il n'était pas fait pour faire tourner les têtes. Elle n'avait jamais penser au garçons enfin pas sous cet angle là.

J'arrive.

* Des grand pas ,fait des grand pas*

Elle ne voulait pas ce faire distancer par le mutant, alors elle courrait.

Heu un thé au citron si possible.

* Ca c'est du siege, mais bon il lui faut ça au moins*

En effet en guise de siege Hank avait une souche d'arbre, seul moyen pour lui de s'asseoir.

Ho je suis à l'aise, mais je vais m'asseoir, ça me reposera.


* oui je suis impatiente, comme ça je pourrais finir ma formation de gardienne du savoir.*

Je le sais et même si je suis impatiente je dois prendre le temps qu'il faut pour le bien de l'humanité.

elle but donc un thé au citron qui était fort excellent à vrai dire.
Tandis que Diana buvait dans une tasse, Hank lui avait pour tasse un grand bol.

*Trop impressionnant celui là.*

J'ai mes limites et pour arriver à mes fins je ne veux rien griller comme étapes l'enjeu est trop important pour moi.

J'ai une question .
Diana baissat les yeux toute peunaude.

Comment vous appelez vous ?

Il faut dire que le mutant ne lui avait pas dit son nom.

Thé au citron. Très bon choix. Quand à lui, il préféra le thé aux agrumes. L'odeur des épices emplit doucement la pièce. Il écouta attentivement les réponses de la jeune fille et lorsqu'elle lui demanda son prénom, il lui sourit. Il mit de côté cette question et apèrs avoir porter une nouvelle fois la tasse à ses lèvres et but une longue gorgée de ce breuvage revigorant, il déclara :

« L'impatience est une bonne chose mais ne la laisse jamais guider tes choix, cela pourrait t'être fatale. Laisse donc le temps t'apprendre ce qu'il a à t'apprendre, et laisse ta curiosité faire le reste : elle seule te permettra de combler ton impatience. » Et avec un petit sourire : « Et puis, nos limites, elles sont faites pour être dépassées, non ? »

Regardant dans le fond de sa tasse, il laissa éclater un nouveau grondement : décidément, les cieux avaient une graine contre les hommes ce matin. Le fracassement des goutellettes contre les vitres reposé Hank : chose étrange, cela le détendait plus qu'autre chose. Pour tout dire, le chant de la pluie était d'un naturel reposant et le silence qu'il rencontrait trop souvent dans les laboratoires de l'institut lui avait fait oublié combien il était bon d'être en contact avec l'extèrieur.

*Ne replonge pas dans tes pensées mon petit Hank. Tu n'es pas tout seul et cela ne serait pas convenable de laisser ta nouvelle élève seule au milieu de nul part, quoi qu'elle soit assez intelligente pour se débrouiller toute seule.*

Son regard qui était parti durant quelques instants dans un monde que lui seul pouvait atteindre revint à la réalité, et il plongea son regard dans celui de son intelocutrice. Il reprit : « Henry, je m'appelle Henry McCoy. Les X Men ont tendance à m'appeler Hank, quoi que, les élèves, le personnel et toutes les personnes que je croisent m'appellent de la même façon. Toutefois, durant les cours, tout le monde sait que l'on me nomme professeur McCoy. J'assure les cours de physique, de chimie, de biologie et de mathématiques. Outre cela, je suis aussi biochimiste et fais beaucoup de recherches dans les laboratoires de l'institut. » Il lui offrit son plus beau sourire : « Ais je répondu à ta question, demoiselle ? »

Son ventre se mit à émettre de drôles de son : le petit déjeuner de ce matin, assez copieux, n'aurait il pas suffit à nourrir un estomac affamé ? Il se leva et commença à fouiller dans les placards tout en demandant : « Est ce que tu veux manger quelque chose ? » Il revint quelques instants plus tard avec des croissants, du chocolat noir, du café et ce que Diana avait voulu manger. Se servant du café, il en proposa à la nouvelle arrivante : « Café ? » Tout en mettant des carrés de chocolat dans ses pâtisseries, il demanda à sa compagne : « Est ce que tu as des questions avant que j'entame mes explications ? » Tout en engloutissant un nombre incroyable de croissants, il répondait aux questions de la jeune fille et lui expliqua le fonctionnement de l'institut : « Je t'expliquerais plus en détails lorsque nous visiterons les lieux mais sache que les élèves choisissent les matières qu'ils travailleront tout au long de l'année sachant que, si je ne me trompe pas, les mathématiques et l'anglais sont obligatoires, jusqu'en terminal. Pour les études supèrieurs, le choix des matières se fait un peu en fonction de ce que tu recherches à faire comme études supérieures bien qu'il y ai presque la même base pour toutes les études proposées ici. En plus de cela, nous demandons aux élèves de participer aux sessions d'entrainements, sessions qui consistent à augmenter ses capacités physiques et intelectuelles. Je t'expliquerais cela plus en détails lorsque je te ménerais au gymnase. Des questions jusque là ? »

« Bien, bien, on va bientôt pouvoir explorer le bâtiment. » Il se leva, fit la vaisselle, rangea ce qui restait de croissants et de chocolat dans le placard : il invita sa partenaire à le suivre à travers les étages. «  Avant toutes choses, saches que tu as accés à toutes les pièces de l'institut plus le parc, la terrasse, la piscine et les bois. Néanmoins, les sous sols sont l'exception qui confirme la règle : tu n'as pas le droit d'y pénétrer sans avoir une dérogation d'un X Man, d'un professeur ou du directeur, ou sans être accompagné d'un X Man, d'un professeur ou du directeur. Allez, en avant ! » Il revint à l'entrée principale et se posta dos à la porte : « Es tu bonne en orientation ? » Avec un petit sourire en coin, il attendit sa réponse.

Bon, maintenant, elle savait comment il s’appelait Hank Mc Coy. Mais pour elle ce serait professeur Mc coy, au moins savoir son nom, permettait à Diana d’être moins intimidée.
Il lui proposa à manger, mais elle était trop stressée pour avaler quoi que ce soit.

Non merci, je n’ai pas faim. Je préfère plutôt en savoir plus sur ce que je devrais faire ici.

En réalité, elle était ici pour ce perfectionner et réussir a accomplir son destin. Être une Gardienne du savoir, elle avait accès à toutes les connaissances, mais elle ne pouvait pas encore, les donner à l’humanité, d’une part Diana n’était pas prête et d’autre part l’humanité l’était encore moins.

J’ai quand même une question à vous poser, si vous auriez accès à une connaissance qui dépasse tout ce qui est connu, qu’en feriez-vous ?
Personnellement, j’ai beaucoup de mal, à me faire à l’idée de posséder une telle connaissance. Pour être franche, si je suis ici ce n’est pas tant pour mon statut de mutant mais plutôt pour ce que je suis ,ce que je dois être, je sais cela peut paraitre étrange, mais je vous l’expliquerais un jours, vous pouvez en être sûr. Chacun de nous à un héritage et je ne parles pas de mon patrimoine génétique et cet héritage est plus ou moins lourd à porter.

Diana restait assez énigmatique sur son passé, mais pouvait elle avoir confiance en ce professeur.

Sinon mon pouvoir me permet de n’avoir aucun problèmes quelque soit la matière à apprendre, tant que ce n’est pas trop physique.
En ce qui concerne l’orientation comment dire, nulle ça ira comme résumé, j’arrive même à me perdre chez moi.

La jeune mutante sourit au professeur.

Bon qu’elles sont les réjouissances, de cette journée Professeur Mc Coy ?

Réfléchissant à la question qu'avait posé la demoiselle, il prit un temps de réflexion. Son regard revenait continuellement sur les goutellettes de pluie qui s'écrasaient contre la fenêtre : non pas qu'il se sentait géné par la présence de la jeune fille mais se fixer sur quelque chose qui provenait de la nature lui permettait de poser sa réfléxion mieux qu'à l'accoutumer. Joignant ses mains l'une contre l'autre, ses yeux bleus reflétérent les zébrures du ciel : l'orage arrivait à son apogée et il sera bientôt plus qu'une ombre parmi tant d'autres.

Que répondre face à une telle question ? Il est vrai qu'avoir accés à une connaissance infinie serait d'une grande utilité pour certains mais tous ne sont pas près à l'accepter. Quand à mon opinion sur le sujet, elle ne le sera jamais : si elle me pose cette question, c'est qu'il y a une raison. Ne la connaissant pas encore très bien, il serait préférable que je garde pour moi ce que je pense et que je ne lui impose pas mon point de vue.

Il revint à la réalité bien assez vite et d'un air qui se voulait impassible, il lui répondit : « Si j'avais accés à ces connaissances, j'essayerais de les comprendre avant de les dévoiler au monde. Du moins, je les révèlerais lorsque les hommes seront près à les entendre : que se soit demain, après demain, dans un mois ou dans dix ans, il faut que celui qui est accés aux connaissances et le monde soient en harmonie. Pourquoi ? Tout simplement parce que le monde deviendrait un endroit pire que l'enfer si ses connaissances tombaient entre des mains ayant de noirs desseins, surtout actuellement ou ton propre frère pourrait te tuer dans ton sommeil. Est ce que je réponds à ta question ? » Se levant, il rejoint à grands pas le hall d'entrée après avoir fait ce qu'il avait à faire.

Il sourit lorsqu'il entendit la réponse de la jeune fille : « Les réjouissances ? Quelles réjouissances, jeune fille ? Veux tu parler de ton apprentissage ? Sache que se sera tout ce que tu voudras, sauf des réjouissances. Et il faudra bien t'y faire à l'orientation. » Son regard se plongea dans le sien et un dernier coup de tonnerre se fit entendre au dessus de leur tête : « Et bien, on dirait que nous arrivons au bon moment. À partir de maintenant, tu peux considérer que ton apprentissage débute... » Et après un instant de silence, il continua : « Et je serais intraitable, comme avec tous les élèves qui sont passés avant toi dans cet institut. N'attend aucune clémence de ma part, jamais tu ne la trouveras. Dur ? Sans doute que je le suis, mais tu apprendras avec le temps à m'apprécier... ou à me détester. Je te laisserais choisir les sentiments que tu auras à mon égard. Pour le moment, ne me juge pas et apprends. »

Il se dirigea sans rien dire vers une salle qui se trouvait juste à côté. Au centre de celle ci se trouvait une table basse entourée de canapés et de fauteuils. Il ne lui dit pas un « Viens » ni un « Suis moi » : durant les deux heures et demi qui les séparaient du repas, il allait la mettre à l'épreuve. Sa déduction sera mise à rude épreuve durant cet apprentissage : tous des élèves qu'il avait accueilli étaient passés par cette étape et tous avaient réussi à passer le cap. Plusieurs objets permettant de se repèrer dans l'espace se trouvaient là. Il se mit face à eux et à la porte, et commença à donner des explications : « Tu as devant toi plusieurs objets qui représentent les lieux. La plupart fonctionne avec des piles. Pour aujourd'hui, comme pour les autres jours, tu te serviras d'une carte donc inutile de s'attarder sur les autres ustensiles pour le moment. Ne me demande pas pourquoi je ne te fais pas tout simplement visiter les lieux. Je te réponds tout de suite : je n'ai pas envie de parler pendant deux heures et demi et tu ne retiendrais pas les trois quart de ce que je te dirais. Alors, autant mettre à profit le précieux temps que nous avons. » Il déplia la carte et prit un marqueur rouge. Il inscrivit en haut à droite le prénom de la jeune fille en lettres capitales : « A partir d'aujourd'hui, cette carte t'appartient. Si un jour tu partais faire un entrainement ou une mission avec moi, je veux que tu es cette carte avec toi. Le reste du temps, arrange toi pour qu'elle ne tombe pas entre les mains d'individus indésirables. Compris ? » La carte se composait de plusieurs morceaux : un pour chaque étage. Néanmoins, celle des sous sols avait été enlevée intentionnellement. Il lui sourit : « Peut être qu'un jour tu auras accés à ce morceau, qui sait ? »

Il mit une croix rouge sur une pièce : la bibliothèque. Il sortit un marqueur bleu et mit plusieurs croix sur la carte : ces crois indiquaient les positions du dortoir des filles, de la salle à manger, de l'infirmerie et du gymnase. Il relia tous ces points par des pointillés verts. Partant de la salle ou il se trouvait, l'ordre des pièces était le suivant : gymnase, infirmerie, dortoir des filles, salle à manger, bibliothèque. « Je viens d'indiquer ton itinéraire sur ta carte. Respecte le à la lettre. Crois en mon expèrience, il vaut mieux pour toi que tu ne fasses aucun faux pas lorsque tu te déplaceras entre les pièces... Visite les pièces dans l'ordre indiqué. Dans chacune de ces pièces, tu trouveras cinq enveloppes de couleurs différentes. Fais bien attention, dans chacune de ces pièces tu ne devras récupérer qu'UNE seule enveloppe. Prends bien soin de ne pas te tromper car tu ne pourras pas connaître la solution au problème que je vais te poser. Tu me suis jusque là ? Bien, bien, bien. Note le bien dans un coin de ton esprit. Au gymnase tu récupères l'enveloppe jaune, à l'infirmerie la rouge, au dortoir des filles la verte, à la salle à manger la bleue et à la bibliothèque tu me ramènes le problème. Le problème se trouve dans un livre dont les connaissances te seront très utiles pour connaître l'histoire du gène X. » Il fit une pause et reprit : « Pourquoi je te fais faire ça ? Avoue qu'écouter pendant deux heures et demi, ce n'est pas très hilarant. Encore moins si tu ne retiens pas la moitié de ce qui te seras dit. Grâce à cette exercice, tu pourras te repérer dans l'institut sans problème et tu auras appris beaucoup plus de choses en cherchant les réponses par toi même plutôt que je te les donne toutes prêtes sur une plat d'argent. Ah, une dernière chose. N'ouvre pas les enveloppes et le livre avant d'être revenu me voir. Des questions ? »

« Et bien, tu peux y aller ! » Avant qu'elle ne sorte, il crut bon d'apporter une dernière précision : « Ah, encore un truc : ne pense pas rejoindre tes camarades pour le repas si tu n'as pas fini tout ce que j'ai à te faire faire. Il ne faut pas réver non plus. Et n'oublie pas ce que je t'ai dit tout à l'heure : ta curiosité comble ton impatience. Néanmoins, ne l'utilise pas à mauvais escien en bravant les consignes de l'exercice. Tu n'ouvres ni les enveloppes ni le livre que tu dois ramener... »

Heu, oui vous avez à peu près répondu )à ma question, vous avez surtout repris ce que je vous ai dit , mais bon .

Elle regardait son professeur avec un sourire. Elle l'aimait bien et derrière son apparence impressionnante, il était gentil.
Puis il commença, à changer de ton, il devint plus dur.
*Tiens qu'est ce qu'il lui prend de me parler comme ça et c'est quoi ces réflexions *
Pourquoi vous me juger sans même me connaitre, vous ne savez même pas qui je suis et vous vous permettez de me juger. Si je pense que pour moi ce sera une réjouissance, c'est que j'ai mes raisons et qui vous dit que je ne retiendrais presque rien d'un cours que de 2 heures, on à tous un passé et de ce fait on à tous vécu des choses différente. Je veux bien vous respecter en temps que professeur, mais vous aussi vous devez me respecter.
Certes je ne suis pas forte en orientation, mais j'ai d'autre qualités.
Diana était énervée, comment pouvait il lui parlais comme ça,elle serrait son point si fort que ses ongles entrèrent dans sa peau et la firent saigner. Elle avait fait tout ce chemin pensant trouver un endroit ou son savoir serait utile, ou elle pourrais rencontrer Xavier, pour le lui transmettre.

Je ne vous ai jamais demandé d'être clément ou quoi que ce soit, mais seulement juste.

Elle voulait lui dire, si tu connaissais 1% de ce que je connais tu serais heureux, mais Diana, n'était pas comme ça.

Elle écoutait avec attention, la petite leçon et les explications de son professeur.

* le gêne X c'est... non, tu serais trop surpris si je te racontais ce qu'est le gêne X, alors je vais faire semblant.*
Les petites croix de toutes les couleurs, la faisait rire
intérieurement.
*Super et maintenant je relis les points pour faire un joli dessin, ok tu es mon professeur et je ne pense pas que ce sera plus que ça.*

Tres bien professeur, je ferais de mon mieux et ne vous inquiétez pas, je sais ce que ça veux dire, de respecter un règlements, de suivre des directives.

Elle n'entendit pas la dernière phrase, de McCoy et s'en alla en direction du gymnase.

Mais Diana ce trompait, McCoy deviendrait bien plus qu'un simple professeur pour elle.