Silent Sewer [Pv. Inscrits]

Il était 15 heures, lorsque quelqu'un frappa à la porte de la chambre. N’ayant pas la moindre idée de la personne que cela pouvait être, ou de ce que l’on me voulait, j’allai ouvrir. Rien d'alarment, ce n'était qu'une personne du service de l'hôtel, costume, petit nœud, la main gauche dans le dos, l'autre tenant un plateau en argent sur lequel était posé une lettre... « Lady Gallio, vous avez du courrier. » Je pris donc la lettre, et déposai à la place l’un de ces jolis petits billets verts, avant que le jeune homme se retire alors et je fermai la porte. Je me posai sur l’un des canapés et j’ouvris cette lettre, lettre qui m’intriguait quelque peu, car je n’avais pas la moindre idée de sa provenance, et j’en commençai la lecture :

« Je vous donne rendez vous à 20h30 au bar « Brotherhood » au centre ville de New York. Ne soyez pas en retard, ma confiance est assez susceptible. »

Au moins, cela avait le mérite d’être clair, mais le fait qu’il n’y ait pas de signature était assez intriguant. Peu importe, cela ne m’intéressait guère, quoi qu’il puisse me proposer, cela ne risquait pas de m’apporter quelque chose. Encore mieux, cela pouvait très bien être un piège. Les ennemis n’étaient absolument pas une chose dont je manquais, et je suis sur qu’un certain nombre d’entre eux serait prêt à me tuer, aller savoir pourquoi… De toute manière, c’était tout réfléchi, il était hors de question que je me rende à cet endroit. Mais une autre idée me vint alors à l’esprit. Pourquoi ne pas profiter de ceci pour tester ce cher monsieur Maximillien Fray ? En effet, il serait idiot de ne pas profiter de ce moment pour voir à quel point il était capable de me suivre. Je me levai alors brusquement, me dirigeant vers un meuble sur lequel reposait un petit morceau de papier où figurait le numéro de téléphone du jeune homme. Il n’avait pas tenu à ce que je sois en possession de son adresse, pour une raison que j’ignorais pour le moment, mais il m’avait laissé son numéro de téléphone portable. Je composai de suite le numéro, et je lui transmis un message écrit, un sms… je crois que l’on appelle ça ainsi à l’heure d’aujourd’hui. Bref, le message était encore plus simple que celui que je venais de recevoir : Retrouvez-moi ce soir à 20h 30 précise au bar Brotherhood, j’ai reçu une lettre anonyme, me priant de bien vouloir me rendre à cet endroit et je souhaite vous avoir à mes côtés.

Le reste de la journée passa bien rapidement, et lorsque le moment de partir fut venu, je quittai les quartiers du Club pour me rendre dans ce bar. Je ne savais pas à qui j’allais avoir à faire, ni ce qui m’attendais, mais je n’avais pas changé mes habitudes pour autant. Toujours dans une tenue bien plus qu’aguichante… Bien entendu, avant de me rendre là-bas, un petit tour dans les ruelles ne me ferait aucun mal. Je fis donc un petit détour et je mis la main sur un charmant jeune homme rempli d’énergie. Je fis quelques pas à ses côtés puis nous tournâmes au coin d’une rue et nous nous retrouvâmes dans une petite ruelle, seuls. Je fis alors glisser ma main contre sa joue et en quelque instant, je le transformai en un tas de poussière, absorbant toute son énergie vitale… Ceci fait, je repris le chemin du bar et environ quinze minutes plus tard, j’étais arrivée.

Je jetai un rapide coup d’œil de chaque côté, puis je traversai la rue pour accéder à l’entrée du bar. C’est fou comment les gens pouvaient me dévisager j’avais quelque chose qui n’allait pas ?? Enfin bon, je poussai la porte et j’entrai… Comme si la Mort venait alors d’entrer, plusieurs visages se tournèrent vers moi et les discussions firent d’une pause l’espace d’un instant. Je ne prêtai alors aucune attention, à l’attention que eux pouvait me prêter. Je visualisai la salle de gauche à droite à la recherche d’une quelconque écharpe blanche… Mon regard s’arrêta sur un homme, ayant les cheveux grisonnant, fumant le cigare, et buvant une bière. Voyant qu’un jeune homme se trouvait en face de lui, j’hésitai un instant me demandant si c’était bien avec lui que j’avais rendez-vous. Visiblement oui, car il n’y avait pas d’autre écharpe blanche où que ce soit. Je m’avançai donc vers cette table, et une fois à côté je lançai :

-20h 30, c’est bien cela ?

C’était une façon de m’annoncer, de cette manière je lui prouvais que j’étais bien celle qu’il avait contacté. Je m’installai donc et regardant les deux hommes l’un après l’autre, puis mon regard se tourna vers la porte où un autre jeune homme fit son apparition.

[Désolé, je n’étais pas très inspirée ce soir, et je ne suis pas vraiment satisfaite de ce rp, mais bon je me rattraperai par la suite…]

~ Dimitry n'était pas chez lui lorqu'il reçut le message anonyme et pour le moins non mystérieux qui lui était adressé. Il avait son attention focalisée sur sa cible, qui ne l'avait pas encore vu. Il s'en approchait à pas feutrés de loup, une lame fine et tranchante à la main, avant de se décider à lui bondir dessus dans le dos comme un sauvage pour lui plaquer une main devant la bouche et lui trancher la gorge dans une gerbe écarlate qui tâcha sa belle cape blanche. Le jeune homme laissa retomber le cadavre au sol et se faufila dans l'ombre d'une ruelle avant de tenter de se défaire des quelques taches qui le désignaient comme coupable. Le corps n'allait pas tarder à être découvert mais il serait alors loin à ce moment là. Il n'avait même pas fouillé le corps de sa victime, il ne savait, à vrai dire, même pas qui elle était. Un simple passant voilà tout. Au mauvais moment, au mauvais endroit. Dimitry s'amusait comme un petit fou et était plutôt fier de voir avec quelle dextérité il maniait une arme blanche. Telle la mort, silencieuse et froide, il s'abattait sur les gorges nues et vulnérables sans aucune autre forme de procès. C'était déjà sa troisième victime en moins de cinq minutes et il parcourait ainsi les nuits de la ville, comme un spectre, laissant derrière lui un chemin de sang, de mort et de désespoir.

La porte du salon s'ouvrit alors et son petit cousin, Aleksander, pénétra dans la pièce avec toute l'énergie et la fougue d'un gamin innocent de sept ans. Il criait son prénom de plaisir en faisant de grand gestes pour venir vers lui, un sourire radieux sur le visage. Dimitry tourna la tête et lui rendit son sourire, le visage éclairé de le voir ainsi arriver. Il posa la manette de la XBox 360 sur la petite table devant lui et se leva pour l'attraper par dessous les bras et le soulever dans les airs. Il rit de bon cœur avec lui avant de le reposer au sol. Il aimait beaucoup son petit cousin, toujours tout sourire, plein de vivacité et d'insouciance. C'est alors qu'il remarqua la lettre que lui tendait son petit cousin et il lui demanda ce que c'était. Il lui répondit en russe avec ses mots d'enfants.

_ C'est le monsieur qui m'a dit de te donner ça. Il m'a dit que c'était important pour toi. »

Dimitry jeta un coup d'œil à la lettre en fronçant les sourcils. Il la retourna et vit qu'elle lui était destinée. « Lémure ». Le jeune homme perdit son sourire et demanda a Aleksander qui était ce monsieur. Il lui renvoya un regard plein de légèreté et d'insouciance.

_ Ben, le monsieur là dans rue. »

Dimitry se redressa et refourgua la manette de la X Box dans les mains du petit en lui disant distraitement de jouer avec ça le temps qu'il revienne. Il se dirigea vers la fenêtre, y jeta un œil mais ne vis rien ni personne dans la rue, pourtant déserte. Il n'était pas chez lui à ce moment là, et le fait qu'on ai su où lui remettre ceci alors qu'il n'était pas à son appartement lui déplaisait au plus haut point. D'habitude, Il rangea l'enveloppe dans la poche intérieure droite de sa veste. Il attendrai la nuit pour rentrer, par des moyens non conventionnels.




Après lecture de la lettre, le message transmis était alléchant, certes, mais on ne peut plus avare de détails. Enfin, il avait l'habitude, ce n'était ni la première ni la dernière fois qu'il recevait ce genre de "demande". Il était mercenaire après tout, et lui, tant qu'on le payait, il se moquait bien de savoir le pourquoi du comment. Cependant, quand Dimitry avait vu la promesse du montant avancée, il n'avait pu s'empêcher de sentir un frisson parcourir son dos tout le long de son échine. Cinq zéro. Cinq zéro. Cela paraissait presque trop beau pour être vrai et, à vrai dire, Dimity avait de quoi se méfier. Une telle somme d'argent pour récupérer un objet dans les égouts, cela pouvait signifier plusieurs choses. Ou bien c'était un piège à la con, auquel cas il était mal barré, ou bien c'était vraiment vrai et quelqu'un qui avait les moyens avait vraiment besoin de récupérer son truc. Car pour autant d'argent, il n'imaginait pas ce qu'on allait lui demander. Enfin, il verrait bien. De toutes manières il était confiant dans ses capacités pour se tirer de là si ça tournait mal. Peut-être un peut trop même. L'appât du gain le tuerai un jour.

Il était 20h26 et il arrivait dans la rue où se situait le bar, à califourchon sur sa moto - toute neuve, l'autre ayant eu quelques, Hm, légers problèmes suite à une altercation avec une mutante électrique - et il se gara un peu plus loin. Pas trop cependant, au cas où il en aurait besoin rapidement. Il éteignit le moteur, retira son casque à la vitre fumé et descendit du véhicule. Il était habillé avec des vêtements sombres et confortables, ses Ray Ban miroir sur le nez. Ne sachant pas combien de temps durerait la mission et s'il lui faudrait partir tout de suite, il avait déjà préparé l'attirail habituel qu'il sortait d'habitude. A l'avant bras droit, il portait une pièce de cuir dissimulée par sa manche où était fixée quelques lames. A l'avant bras gauche, une espèce de bracelet de force métallique qu'il avait acheté à un certain Med', contenant diverses aiguilles. Celui-ci vendait divers produits chimiques, et ce serait la première fois qu'il aurait l'occasion de les tester, si besoin était. Il avait encore deux ou trois accessoires sur lui, mais rien d'autre de plus dangereux qu'une bombe lacrymogène.

20h30 et trente secondes. Pile poil à l'heure. Comme d'habitude, ni plus, ni moins. Il pousse la porte d'entrée du bar. Il connaît déjà les lieux, il est venu la veille comme une ombre pour repérer la place. Il s'avance jusqu'au bar et jette un regard circulaire dans la pièce, derrière ses verres fumés. La première chose qu'il aperçoit parmi les clients desquels il a momentanément attiré l'attention, ce n'est pas l'homme à l'écharpe blanche, mais Ace Bradford, le mutant qu'il a embrigadé chez les maraudeurs il y a peu, et qui est assis à la même table. Il hausse légèrement un sourcil et un sourire en coin apparaît sur son visage, voilà qui risque d'être intéressant. La lettre laissée pouvait tout aussi bien faire croire à une mission en solo, comme avec des équipiers. Et bien, il avait sa réponse. Il commanda un verre d'une quelconque boisson alcoolisée au bar avant de se diriger vers la table d'un air tranquille. Outre Vortex, une femme aux courbes absolument sensuelles et délicates était installée à la table. Heureusement que Dimitry avait ses lunettes, sinon tout le monde aurait pu voir comment ses yeux furent attirés par le peu de vêtements qu'elle portait. Hm, scandaleusement délicieux. Non pas qu'il passe son temps à mater les nénèttes, mais bon, dans le cas présent, elle était difficilement ignorable. Il reporta son attention sur l'homme à l'écharpe blanche. D'un âge assez avancé, ses vêtements étaient apprêtés et de bonne qualité. Un chapeau sur la tête, un cigare en bouche, Dimitry espérait qu'il s'agisse bien d'un milliardaire en manque d'argent à dépenser. Le jeune homme prit place aux côtés de Vortex auquel il adressa un sourire complice et discret. Et bien, à défaut d'être encore très actifs chez les maraudeurs, ils allaient pouvoir s'amuser sur ce contrat. Il salua les deux autres personnes à table d'un signe de tête après avoir ôté ses lunettes et parla d'une voix au ton plutôt grave et appuyé.

_ Bonsoir. Il est 20h30. »

Juste une affirmation, comme pour dire qu'il était prêt. Pas la peine d'en dire plus, moins ils en savent chacun l'un sur l'autre, mieux c'est. Bien, il ne dit rien de plus. C'était à l'homme à l'écharpe blanche de commencer.

Quant à l'Autre, il était là, comme en veille. Il était toujours là. Espérons juste qu'il ne décide pas de mettre son grain de sel dans l'affaire de ce soir. »

La personne suivante n’était pas inconnue de Séléné, il s’agissait de Maximillien Fray. Elle l’avait contacté un peu plus tôt dans la journée, et il était venu. C’était la seule chose qui l’intéressait vraiment en réalité… Elle ne faisait pas ça pour l’argent, car cela ne l’intéressait pas franchement, elle voulait plutôt voir jusqu’où était capable d’aller ce jeune homme, afin de voir si oui ou non elle pouvait faire de lui son disciple… Il avait le caractère qui allait, il n’avait pas froid aux yeux, il lui avait déjà prouvé le soir de leur petite promenade au Walhala, c’était donc sa dernière mission en quelque sorte. Elle lui fit signe de les rejoindre, il devait être au courant de ce que l’on allait devoir faire, rester au bar n’allait pas lui servir à quoi que cela soit. Il vint donc s’installer à la table avec un autre jeune homme qui venait également d’arriver. Ce dernier était le genre de petit con à la mode, avec ses lunettes de soleil sur le bout du nez, cela fit même sourire Séléné. Ce cher Monsieur n’avait pas embauché les personnes les plus aptes pour ce genre de travail, mais bon, dans tous les cas ce n’était pas son problème…

La Reine Noire fut alors prise de la délicieuse envie de parcourir rapidement leurs esprits, juste histoire de voir à quoi il pensait en cet instant, et de savoir qui ils étaient. Elle commença avec le dernier venu… Il était concentré sur le vieux milliardaire, mais ce n’était pas vraiment par envie, mais plus pour éviter de regarder la créature qui se tenait à côté d’elle. Apparemment la tenue de Séléné ne l’avait pas laissé indifférent, mais dans un sens, c’était son but, donc elle n’avait rien à dire, au contraire, elle aimait ça… Son nom, Dimitry Lyov, un mafieux russe, mais pas seulement, il était aussi allié de ce cher Essex, dit aussi Sinistre… Ce jeune homme ne devait donc pas être un abruti, loin de là, quoi que pour être allié avec Sinistre… Enfin bref, là n’était pas le problème, il fallait juste faire attention, pour ne pas mettre Sinistre au courant de mes actions. Le style obscur de ce petit russe s’expliquait en partie avec son pouvoir, l’obténébration, au moins, notre Reine Noire n’avait rien à craindre de lui…

Il avait l’air de connaître l’autre homme qui était lui aussi inconnu de Séléné, un certain Ace Bradford. Elle se tourna donc vers son esprit et fit la même chose qu’avec Lyov, à la seule différence qu’il y eut cette fois une légère contrainte à sa télépathie… Ce jeune homme devait être en mesure de contrer les télépathes, mais seulement les télépathes de faible niveau, il n’avait aucune chance d’empêcher Séléné de lire dans son esprit. Néanmoins, il était possible qu’il l’ait senti, car la Lady n’avait pas pris soin de faire cela sans qu’il puisse réagir. Ce n’était pas la peine de chercher plus d’informations que nécessaire, la sombre mutante en avait déjà assez, elle n’avait pas besoin de connaître toute sa vie. Il était à peine plus vieux que l’autre, maîtrisait l’air et il était également un allié de Sinistre… Décidément, Séléné n’avait pas de chance, elle ne pourrait même pas essayer de recruter l’un d’entre eux, mais bon peu importe, elle n’était pas là pour ça.

Le vieil homme prit alors la parole pour expliquer un peu pourquoi ils étaient ici. Il se présenta, et il fallait admettre que son nom sonnait très russe… Peut-être était ce pour cela que l’autre jeunot était ici, il se connaissait peut-être. Il sortit ensuite un dossier qui contenait des photos et autres documents en rapport avec l’objectif du jour. Il fallait admettre qu’il n’avait pas de mauvais goût question peinture, de plus s’il s’agissait réellement de l’originale, sa crainte et son envie de revoir cette toile était compréhensible. D’après lui, il y avait un réseau de trafiquant dans les égouts, et il avait effectivement raisons, car Séléné les avait croisé il y a environ une semaine. Elle s’était d’ailleurs fait un véritable plaisir en absorbant l’énergie de deux d’entre eux… Elle allait pouvoir finir ce qu’elle avait commencé. Il replia ensuite tous ses petits documents et les rangea bien précieusement avant de finir sa bière, et de nous inviter à sortir. Séléné jeta un rapide coup d’œil à Maximillien qui avait l’air très détendu pour le moment.

Il mena ses quatre recrus dans une petite ruelle sombre un peu plus loin du bar, et il s’arrêta devant une bouche d’égout. Il reprit la parole et tendit des micros à chacun pour garder contact avec lui… Séléné commençait à le trouver légèrement lourd, l’autorité, très peu pour elle, être aux services des autres était une chose qu’elle ne connaissait pas et qu’elle n’était pas prête de connaître. Elle prit tout de même le micro d’un geste quelque peu impoli, histoire de bien lui montrer qu’elle n’aimait pas son ton autoritaire. Il tendit ensuite une carte des égouts au jeune homme à sa droite, le jeune Lyov. Séléné commençait vraiment à se demander s’ils ne se connaissaient pas… Elle se demandait de plus en plus si ce n’était pas un piège, elle était donc sur ses gardes. La bouche d’égout fut ouverte et il fit signe de s’engouffrer dedans, avant de se retirer et de disparaître au bout de la rue. Il allait sûrement rejoindre ses ordinateurs pour nous pister et nous écouter…

Tout le monde sauta l’un après l’autre, et ils se retrouvèrent dans le noir le plus total. Encore heureux, ils n’étaient pas tombés directement dans l’eau infecte des égouts… Et des lampes, ils avaient pas prévu ça cet idiot, ils fallaient donc que nos chers mutants se débrouillent seuls. L’un prit la parole demandant si tout le monde était là et si l’on pouvait y aller…

-Oui nous sommes tous là puisque je suis la dernière à être descendue… L’un d’entre vous à de quoi nous éclairer ou vous comptez avancer à dans le noir ??

[j'hésite entre écrire à la première ou troisième personne, donc désolé si ça change d'un rp à l'autre, et si jamais ça vous gêne dites le moi]