possible recrutement (louis stormer)

Max attendait patiemment que sa secrétaire fasse entrer ses invités. C'était encore lui qui allait faire du recrutement. Il n'y avait donc personne d'autres dans cette boîte qui pouvait s'en charger ? A force il allait finir par se croire l'homme à tout faire appartenant pourtant à la haute sphère de l'entreprise. Était ce pour l'humilier, pour le faire chier, ou parce qu'il était bon à ce jeu là, il n'aurait su dire. Enfin peut être aussi parce que c'était des personnes qui œuvreraient dans la partie plus ou moins criminel de l'OC et qu'il en était un des pontes. En tout cas, c'est deux là ne serait apparemment pas dans son département. En fait il faisait patienter ses deux énergumènes pour le principe. En les faisant poireauter un temps savamment étudier pour être juste assez long, il se plaçait dans une bonne position.
Enfin, il se décida à les faire entrer. Il était assis derrière un bureau assez neutre, sans décoration ou objet personnels. Pas le sien en somme, juste un bureau assez grand et larges dans une pièce imposante. Il se leva et leur serra la main.

Bonjour Messieurs, ravis que vous ayez pu venir. J'espère que vous avez trouvez facilement ?

Il leur indiqua deux fauteuils sur lesquels s'asseoir.

Un rafraichissement peut être ? Ou un café si vous voulez ? Il faut pardonner à mes employés la façon un peu cavalière avec laquelle ils ont du vous téléphoner.

Max se rassit derrière le bureau et regarda intensément ses deux invités.

En fait on vous a contacté car on vous a remarqué lors d'un certain épisode à la banque, et nous pensons que vos divers talents pourraient profiter à l'OC et que l'OC à beaucoup à vous offrir, pour des personnes aussi talentueuse que vous dans leur domaine respectif.

En effet, un aussi bon chimiste ne se trouvait pas sous le sabot d'un cheval, et quelqu'un comme Stormer pouvait toujours servir à l'OC pour ses différentes opération

Cette salle d'attente, je l'avais regardé de fond en comble, il n'y avait personne. Personne, un silence de mort. C'était la police qui voulait me coffré facilement ? Non ils n'auraient jamais pu savoir ou c'est que je me cachais. Je me souviens qu'hier soir j'ai reçu un coup de téléphone de la part d'un homme qui voulait que je passe ici. N'ayant rien d'autre a faire, je suis passé. De plus, si ce qu'il avait a me dire était pas important je le grillerais purement et simplement. Cela faisait trop longtemps que j'attendais, je commençais a me lever pour aller frapper a la porte quand la porte de l'accueil s'ouvrit et laissa entrevoir Med. Je le salua

"Salut, sa faisait un bail, prés d'un mois depuis la banque !"

Je ne risquais rien, il n'y avait personne au alentour, la salle d'attente c'était comme une plage de normandie un soir d'hiver... ou un sahara en été. Aprés avoir patienté un bon moment, je levais les yeux vers Med et je soupire

"J'espére que c'est pas le nouveau locaux de la police ..."

Je commençais vraiment a m'énerver. Enfin une femme s'approcha et nous demanda de la suivre nous emmenant finalement dans un bureau plus que sobre. A noté qu'il n'y avait rien sur la table, ni photo, ni stylo ni rien. Cela me faisait pensé au table d'interrogatoire. Je commençais un peu à m'inquiété, j'avais comme on dit, le doigt sur la gachette. Puis l'homme commença son bref discours puis il aborda la banque. Comment était il au courant, aprés un regard bref vers Med je pris la parole

"Trois petites question si sa ne vous dérange pas, premiére en quoi on peut être utile ? Deuxiémement, qu'est ce qu'on y gagne ? Et Troisiémement, Qu'est ce qui prouve que vous n'êtes pas de la police ?"

J'avais dis la derniére question avec une certaine froideur. Cela pouvait même paraitre un peu intimidant vu ma carrure. Mais bon tout le monde ne panique pas quand un rottweiler montre les dents. En effet, il semblait plutôt calme, cela me rassurait un peu. Et puis au pire Med arrange toujours la situation. Je me tournais vers lui, il semblais prêt a parler ou bien allait il faire comme a son habitude, rien faire et attendre que je fasse tout ...

Le métro de Manhattan est bruyant et populeux mais il a au moins l'avantage d'être très rapide. Depuis une des sorties de ce dernier, un homme de stature moyenne s'élance dans la pomme survoltée: le jour est plein et ses habitants diurnes se bousculent chaque m². L'homme porte un pantalon de toile gris foncé, une chemise noire sous un pull débardeur gris clair près du corps. Un long manteau bleu marine encore ouvert contraste avec son teint cadavérique et ses yeux blancs cachés derrière des lunettes aux verres fumés.
Margareth: On est un peu à l'avance.
Louis: Boosters!
Margareth: Ah, ok. Euh tu as aussi des produits chimiques?
Louis: Capsules anesthésiantes, vomitifs et gaz opaques comme d'habitude.
Margareth: Bon... Mais ça me semble disproportionné pour un entretien...

Hier soir, Louis avait reçu un coup de téléphone à son domicile - chose plutôt rare - demandant à "Louis Mac Cavaugh" de se présenter aux headquarters de l'OC. Le ton franchement sec et péremptoire avait étonné le chimiste lorsqu'il avait appris que c'était pour un recrutement. Le téléphoniste ou le secrétaire avait laissé sous-entendre que l'OC avait de quoi le forcer à accepter.

A la haute tour de verre, Med se dirige vers les réceptionnistes qui lui indiquent le premier étage. Arrivée dans la salle d'attente, il tombe sur un homme de carrure impressionnante.
Margareth: Stormer!
Stormer: Salut, ça faisait un bail, prés d'un mois depuis la banque!
Louis (Med): Oui, ça me manquait... Heureux de voir que vous allez bien. Et étonné de constater que nous sommes tous deux convoqués.

Stormer est pétant de santé. Stormer, la pile électrique, l'exploseur de têtes et... Stormer, un type recherché par l'armée selon l'inspectrice de police Sonia Mironov.
L'envie de demander à Stormer pourquoi il est recherché par l'armée démange Louis. Mais étant donné les circonstances, il préfère se taire. En conclusion, à part compter les irrégularités du mur, il ne peut pas faire grand chose.

Les minutes s'écoulent de fort impolie façon et apparemment elles énervent autant le chimiste que son voisin qui se décide à parler.
Stormer: J'espére que c'est pas le nouveau locaux de la police ...

Med n'a pas le temps de répondre qu'une dame fait irruption et les introduit dans un vaste bureau: recouvrements en merisier et acier, mobilier imposant et absence totale de tout effet personnel.
L'OC veut et peut en imposer.
L'homme qui les reçoit est de taille moyenne lui aussi mais un peu plus volumineux que Louis. Les muscles très "secs" de ce dernier le font souvent passer pour beaucoup plus chétif qu'il ne l'est. Par contre, celui qui parlera au nom de l'OC a un aspect assez juvénile, contrastant avec l'importance de la réunion donnée par le coup de fil et la décoration du bureau.
Margareth: C'est un gamin!
Louis (Med): J'ai 28 ans et j'en parais maximum 22... alors on ne va pas juger tout de suite.

Le soi-disant gamin se lève et leur serre la main, ce que le macchabée - gentil surnom donné par Margareth à son double - accepte poliment.
Le représentant de l'OC: Bonjour Messieurs, ravi que vous ayez pu venir. J'espère que vous avez trouvez facilement ?
Il leur indique deux fauteuils
Louis (Med): Oui, merci. Manhattan est facile d'accès.
Stormer se tait, visiblement pas très content... Quant au chimiste et bien... il attend...
Le représentant de l'OC: Un rafraichissement peut être ? Ou un café si vous voulez ? Il faut pardonner à mes employés la façon un peu cavalière avec laquelle ils ont du vous téléphoner.
Louis (Med): Non merci, rien pour moi et euh... votre secrétaire avait une charmante voix de baryton de prison, je dois le reconnaître.

Le jeune homme s'assied derrière le bureau et dévisage les deux hommes. Enfin, l'homme qu'est Stormer et le jeune adulte au teint cadavérique qui l'accompagne.
Le représentant de l'OC: En fait on vous a contacté car on vous a remarqué lors d'un certain épisode à la banque, et nous pensons que vos divers talents pourraient profiter à l'OC et que l'OC à beaucoup à vous offrir, pour des personnes aussi talentueuse que vous dans leur domaine respectif.
Les paroles font leur effet: Stormer et Med échangent un bref regard.

Margareth: Mais à la banque, tu as juste mis un voleur en joue, non?
Louis: Oui, je n'ai utilisé aucun produit chimique ni fait l'amour avec qui que ce soit. C'est absurde. On doit avoir raté un épisode.

La réaction de l'électricien ne se fait pas attendre.
Stormer: Trois petites question si sa ne vous dérange pas, premiére en quoi on peut être utile ? Deuxiémement, qu'est ce qu'on y gagne ? Et Troisiémement, Qu'est ce qui prouve que vous n'êtes pas de la police ?

Margareth: Il est bien calme aujourd'hui.
Louis: Il est surtout prêt à exploser. Au sens littéral du terme.

Louis: Je me pose également les deux premières questions énoncées par Monsieur, merci.
Au cas où votre secrétaire ne vous aurait pas prévenu, je m'appelle Louis Mac Cavaugh. Il m' a dit que je devais rencontrer Maximilien Fray. Je suppose que vous êtes cette personne?
Et puis-je connaître le nom de mon compagnon de prise d'otages de banque?

Le chimiste a posé sa voix dans les basses, le débit et les inflexions sont moyens. Le ton se veut neutre et poli, comme il le choisit dans les situations qui échappent à sa compréhension.

Margareth: Qu'est-ce que tu fais?
Louis: Je ne suis pas supposé connaître Stormer - dont je ne connais pas le nom après tout et j'aimerais quand même savoir à qui j'ai affaire à l'OC.

"Trois petites question si sa ne vous dérange pas, premiére en quoi on peut être utile ? Deuxiémement, qu'est ce qu'on y gagne ? Et Troisiémement, Qu'est ce qui prouve que vous n'êtes pas de la police ?"

Je me pose également les deux premières questions énoncées par Monsieur, merci.
Au cas où votre secrétaire ne vous aurait pas prévenu, je m'appelle Louis Mac Cavaugh. Il m' a dit que je devais rencontrer Maximilien Fray. Je suppose que vous êtes cette personne?
Et puis-je connaître le nom de mon compagnon de prise d'otages de banque?

Excusez moi, je suis effectivement Maximillien Fray, et je travaille au département import export de cette société. Cette société n'a aucun lien avec la police, à part peut être quelques contrats d'armement et d'équipement, mais ça s'arrête la. Nous sommes une multinationale qui travaillons dans beaucoup de domaine, et nous sommes constamment à la recherche de nouveaux marchés et de nouveaux talents. On vous a remarqué à la banque. En premier lieu votre camarade Alex Sheppard qui n'a pas fait dans la dentelle, puis de fil en aiguille on a trouvé certaines informations sur vous, et vous avez tout deux le profil recherché par l'OC. Monsieur Cavaugh, nous avons découvert que vous êtes un imminent chimiste très talentueux et que vous faites des recherches un peu comme vous voulez. Les gens aussi doués que vous devraient avoir l'opportunité de travailler dans les meilleurs conditions qui existent pour pouvoir déployer tout leur potentiel. Avec l'OC, ses ressources, son influence, son matériel, ses techniques, vous pourriez pousser vos talents à leur paroxysme. Quand à vous Monsieur Sheppard, enfin peut être préférez vous Monsieur Stormer, et vous Monsieur Med ? Bref, une personne de votre envergure serait tout à fait à sa place à l'OC. Nous nous contenterons pour le moment de dire que l'OC ne se cantonne pas au sentier battu et s'écarte parfois de la ligne droite, et vos capacités et votre expérience serait un atout précieux pour l'Olymp Corp. Donc outre la possibilité de briller encore plus dans vos domaines d'excellence, l'OC sait prendre grand soin de ses collaborateurs et employés et leurs offrir un certain nombre d'avantage financier et en nature.

Max espérait avoir réussi à appater le poisson. Pas forcément les avoir convaincu, pas encore, mais au moins avoir réussi à les intéresser et avoir toute leur attention pour la suite.

"Excusez moi, je suis effectivement Maximillien Fray, et je travaille au département import export de cette société. Cette société n'a aucun lien avec la police, à part peut être quelques contrats d'armement et d'équipement, mais ça s'arrête la. Nous sommes une multinationale qui travaillons dans beaucoup de domaine, et nous sommes constamment à la recherche de nouveaux marchés et de nouveaux talents. On vous a remarqué à la banque. En premier lieu votre camarade Alex Sheppard qui n'a pas fait dans la dentelle, puis de fil en aiguille on a trouvé certaines informations sur vous, et vous avez tout deux le profil recherché par l'OC. Monsieur Cavaugh, nous avons découvert que vous êtes un imminent chimiste très talentueux et que vous faites des recherches un peu comme vous voulez. Les gens aussi doués que vous devraient avoir l'opportunité de travailler dans les meilleurs conditions qui existent pour pouvoir déployer tout leur potentiel. Avec l'OC, ses ressources, son influence, son matériel, ses techniques, vous pourriez pousser vos talents à leur paroxysme. Quand à vous Monsieur Sheppard, enfin peut être préférez vous Monsieur Stormer, et vous Monsieur Med ? Bref, une personne de votre envergure serait tout à fait à sa place à l'OC. Nous nous contenterons pour le moment de dire que l'OC ne se cantonne pas au sentier battu et s'écarte parfois de la ligne droite, et vos capacités et votre expérience serait un atout précieux pour l'Olymp Corp. Donc outre la possibilité de briller encore plus dans vos domaines d'excellence, l'OC sait prendre grand soin de ses collaborateurs et employés et leurs offrir un certain nombre d'avantage financier et en nature."

Ce n'est pas fait qu'il m'ait appellé par mon prénom qui me géne mais le fait qu'il le connaisse. Personne ne m'avait appellé comme sa depuis mes 12 ans... j'avais presque commencé a l'avoir oublié ... et oui mais ce n'est aps tout. Ils offraient des avantages financier et d'autres avantages. Bon au moins ils étaient franc que ce n'est pas tout a fait légal, légal ? Ah oui mais moi je m'en fou ... légal ou pas ... mais bon a mon tour d'être franc

"Bon, vous semblez bien me connaitre, vous savez que l'illégal je m'en fiche, et que ce n'est pas sa qui va me géné. Mais vous devez aussi savoir que je n'aime pas accepter un contract sans savoir exactement ce que je dois faire. Si vous m'embaucher pour vendre de la drogue, je refuse direct, moi ce que je veux c'est de l'action bien payé."

Je fus d'abord étonné quand j'apprit le vrai nom de med, Louis Mac Cavaught mais bon de toute façon on s'était tous deux donné des pseudonymes. De toutes façon, un nom n'est pas important et surtout je regardais Max avec un regard assez noire

"Par contre rappellez moi ne serait ce qu'une seule fois par mon prénom ou par mon nom et je vous promet la mort..."

Il y avait bien quelque chose qu'il ne supportait pas c'était être appeller par son prénom. Depuis le temps qu'il essaye de l'oublier ...

Stormer: Bon, vous semblez bien me connaitre, vous savez que l'illégal je m'en fiche, et que ce n'est pas sa qui va me géné. Mais vous devez aussi savoir que je n'aime pas accepter un contrat sans savoir exactement ce que je dois faire. Si vous m'embaucher pour vendre de la drogue, je refuse direct, moi ce que je veux c'est de l'action bien payé.
Margareth: Et paf! Il l'a vexé!
Louis (Med): Je dirais qu'il a aussi attisé sa curiosité, sinon il l'aurait tué.
Margareth: Pas faux... Hu hu hu!
Louis (Med): Mais enfin, Margareth!
Margareth: Pardon, mais je trouve ça drôle.
Louis (Med): Moi pas. Je sais que ma double identité était facile à percer, mais le problème est qu"il semble avoir fait le lien entre Stormer et moi assez facilement.

Stormer: Par contre rappellez moi ne serait ce qu'une seule fois par mon prénom ou par mon nom et je vous promet la mort...
Margareth: C'est peut-être bien la police, finalement?
Louis (Med): Ca me semble improbable. Si la police nous avait trouvés elle nous aurait arrêtés, simplement. Si elle avait besoin de preuves vidéos ou d'aveux au cours de cet entretien, elle n'aurait pas pris le risque de le faire en plein Manhattan.

Etant donné la tournure des événements, Louis retire ses lunettes - à quoi bon! - se lève et retire son manteau pour le déposer sur son siège: ça risque d'être long...
Margareth: Au fait, il mentionne une ligne droite écartée, une jolie courbe dans l'illégalité?
Louis (Med): Mouais, ça m'étonnerait qu'il fasse allusion à la gentille innovation.
Margareth: Tu as raison, il n'a pas une tête à ça... Hu hu hu!
Louis (Med): Donc il mentionne bien des trucs pas nets. Mes contacts pour mes hallucinogènes et mes relaxants avaient déjà mentionné le Marteau, une drogue pour mutants. On dit que l'OC est directement impliquée. Ca confirmerait ses dires.

Au vu des informations données par Fray, la comédie du civil innocent ne sert à rien. Au diable le vouvoiement de Stormer et l'air de sainte nitouche.

Louis (Med) à Stormer: A mon avis, il ne travaille pas pour un organisme étatique. Tu pourrais en profiter pour évaluer la possibilité d'une chirurgie esthétique et un arrangement pour les dossiers tenus au sein de l'armée et de la police. Ce serait un bon moyen pour nous d'évaluer l'étendue de leurs influences.
Louis (Med) à Fray: Bon, vous connaissez déjà pas mal de choses sur nous. Démarrons par quelques questions et remarques pour nous échauffer dans ce cas.

Med sourit ouvertement et continue sur le ton neutre choisi au début.
Louis (Med) à Fray: Première question, la plus évidente: quels seraient nos rôles exacts au sein de l'OC? Quelles seraient mes implications au sein de ce que vous appelez une déviation de la ligne droite? Si Stormer préfère l'action, je préfère la tranquillité discrète et la recherche.
Louis (Med) d'un air entendu à Stormer: si, si.
Louis (Med) à Fray: Deuxième question: en cas de service "underground", comment se passerait une éventuelle démission pour Stormer et moi?
Louis (Med) à Fray: Troisième question: jusqu'à quel point pourrions-nous utiliser les méthodes probablement non orthodoxes que vous avez utilisées pour nous analyser?
Louis (Med) à Fray: Quatrième question. Veuillez excusez cette salve de questions, j'ai l'impression de vous étouffer...
Vous avez déjà un laboratoire de bio-chimie très actif pour avoir sorti le Marteau. Vous savez que je vends ce même type de produits. Dans ce cas, quelques problèmes se poseront pour les produits que j'ai déjà créés: je me vois mal laisser l'OC prendre les mêmes marges sur ces produits.

Et bien, Monsieur Stormer ; il ne s'agit pas de drogue. Il s'agit parfois de forcer un peu les choses de façons musclés pour faire avancer les choses à notre avantage. Que se soit assurer la sécurité du complexe ou de notre propriété intellectuelle. Sans compter que dans le monde de la finance et de l'industrie, il y a beaucoup de requins et de parasites dont il convient de se débarrasser. Je ne doute pas que faire déguerpir la vermine se soit dans vos cordes. Il s'agit essentiellement d'intimider et le cas échéant, donner de bonne raison de vous craindre, afin de protéger ses intérêts et faire prospérer l'OC. Vous pourriez être appelé à voyager. Comme évidemment, chaque partie à la même philosophie que nous et engage des personnes pour s'effrayer mutuellement, y a de l'action, mais rare sont les mutants dans cette branche. Quand à la rémunération, on parle d'un salaire mensuel à cinq chiffres, plus les prime, frais de voyages, intéressement divers. Tout les avantages d'un poste de cadre, et le côté amusant d'un poste de terrain.

Il ne pouvait pas aller trop loin avec ce Med à côté. S'il avait eu son mot à dire, il les aurait reçu en même temps, mais leur aurait parlé séparément. Il ne faudrait pas que Cavaugh prenne la mouche à cause de se qu'il pourrait dire sur forcer certaines personnes par la force à agir contre leur gré ni l'effrayer.

Quand à vous Monsieur Med, nous ne pensions pas à vous autrement que pour la recherche. Un presque prix nobel, on ne prend pas le risque de le perdre. Votre travail se déroulerait dans les laboratoires pour fabriquer de nouvelles molécules, de nouveaux procédés. En fait, vous seriez assez libre de développer se que vous vous voudrez. On pourrait vous souffler des projets de recherche et s'il vous intéresse tant mieux, mais si vous avez une meilleur idée, ils sont assez ouvert et à l'écoute dans ce département. En somme, en cas de découverte, la paternité serait attribuée à vous et à l'OC. Quand à vos produits, l'OC a déjà ses équivalents sur le marché, puis si vous tenez, l'OC peut vous acheter la licence pour vos découvertes précédentes. Ca se fait qu'un scientifique arrive avec ses découvertes que l'entreprise lui achète puis l'engage. Je ne doute pas qu'avec vos diverses capacités, vous grimpiez rapidement les échelons. Comprenez que si vous acceptiez, il y aurait quand même quelqu'un par dessus votre épaule pour surveiller l'usage que vous feriez des fonds qui vous serez attribués et vos découvertes, puis rapidement, vous pourriez être le maitre du navire.

Il espérait vraiment qu'il défendait bien sa cause et qu'ils accepteraient. L'OC avait beaucoup à gagner à les recruter, et ils seraient très bien à l'OC.

Quand à une démission, et bien je suppose que si ça se passe sans heurt et que vous ne faites pas du tort à l'OC une fois dehors, il n'y a pas de raison de vous envoyer des gens comme Monsieur Stormer. Nous sommes tout à fait courtois malgré certaines méthodes, et il n'est pas question de vous obliger à quoi que se soit, que se soit de venir ou à rester. Tant que tout se fait en bonne entente et entre gens de bonnes intelligences. Quand aux méthodes de l'OC, vous avez en avez eu un avant goût avec monsieur Stormer. Pour se qui est de la recherche, on prend certaines liberté. Disons que la "Drug and Food Administration" ne passe pas tout les jours, et qu'on attend pas forcément d'avoir son aval pour certaines choses. Les chercheurs ont les mains libres tant qu'ils ne reproduise pas le comportement du docteur Mengele. On teste les produits mais toujours sur des volontaires mais sans l'aval des autorités, et on mène des recherches qu'elles n'auraient sans doute pas permis. Quand au Marteau, vous êtes sur que c'est nous ? Il y a des rumeurs évidemment.

En voila un curieux ! L'air de rien il voulait savoir si l'OC avait créé le marteau. Enfin, au moins il ne niait pas, libre à lui d'y entendre se qu'il voulait.

Au moment ou il parlait des salaires, je souris. C'était plus que ce que louis m'avait fait gagner en une nuit. Sans compter les primes, les voyages et tout. En effet, je ne serais pas contre un voyage d'affaire au seychelles. Bon j'arréte de révé et je me reconcentre sur la discution. Cela me donnait l'occasion d'être assez riche pour tenter de racheter ma dette envers un général que je ne connais que trop bien... il me faudrait pour sa l'équivalent de 10 mois de salaire pour cela. Mais bon je devais faire gaffe

Louis (Med) à Stormer: A mon avis, il ne travaille pas pour un organisme étatique. Tu pourrais en profiter pour évaluer la possibilité d'une chirurgie esthétique et un arrangement pour les dossiers tenus au sein de l'armée et de la police. Ce serait un bon moyen pour nous d'évaluer l'étendue de leurs influences.

Je regarde louis et je ris un peu, alors comme sa il était au courant sur le fait que j'étais recherché par l'armée. Il avait aussi dévoilais pas mal de chose a Max. Beaucoup trop de chose a mon gout mais bon je lui dis

"Ne t'en fais pas, pour l'armée , il faut juste que je les dédommage mais comme tu le sais si je suis recherché c'est pas pour 20 $ c'est pour des chiffres bien plus grands prés de 200 000$ ... et pour la police ce n'est pas le probléme, j'ai encore des contacts haut placé qui peuvent faire disparaitre mon casier judiciaire ..."

En effet, des vieilles connaissance de l'armée qui s'était reconvertit dans la police. Je regardais Fray, peut être que son offre me permettais d'avoir du fric facilement mais peut être aussi que je récupérerais plus par moi même en travaillant plus. Mais d'un autre côté, je serais en collaboration avec Louis, un des rares gars avec qui je m'entends bien. Je reste indécis puis j'entend parler d'un sujet bizarre

Louis (Med) à Fray: Quatrième question. Veuillez excusez cette salve de questions, j'ai l'impression de vous étouffer...
Vous avez déjà un laboratoire de bio-chimie très actif pour avoir sorti le Marteau. Vous savez que je vends ce même type de produits. Dans ce cas, quelques problèmes se poseront pour les produits que j'ai déjà créés: je me vois mal laisser l'OC prendre les mêmes marges sur ces produits.

...Quand au Marteau, vous êtes sur que c'est nous ? Il y a des rumeurs évidemment.

"Euh c'est quoi ce fameux marteau ?"

En effet, je n'étais certainement pas le mieux placé pour savoir sa. Si sa avait était l'arme initial au sens propre je peux vous citez toutes son histoire, niveau arme je suis incollable. Mais la d'aprés ce que j'ai comprit il doit être spécial pour qu'un laboratoire trés avancé en créer un...

Stormer : Ne t'en fais pas, pour l'armée, il faut juste que je les dédommage mais comme tu le sais si je suis recherché c'est pas pour 20 $ c'est pour des chiffres bien plus grands prés de 200 000$ ... et pour la police ce n'est pas le probléme, j'ai encore des contacts haut placé qui peuvent faire disparaitre mon casier judiciaire ...

Louis opine du bonnet : si le problème est solvable pour Stormer, le sujet est presque clos pour lui aussi alors. Mais tout de même, cette question d’influence sur les organisations de l’Etat continue de lui trotter en tête.
Margareth : Ah il a le bras long ?
Louis (Med): On dirait, c’est bon à savoir… Et l’OC aussi, je suppose…

Max : […] Il s'agit essentiellement d'intimider et le cas échéant, donner de bonne raison de vous craindre, afin de protéger ses intérêts et faire prospérer l'OC.
Margareth : Euphémisme ?
Louis (Med): J’en ai bien l’impression… Ils sont aussi dans l’armement lourd, après tout.

Max : […] Quand à la rémunération, on parle d'un salaire mensuel à cinq chiffres, plus les prime, frais de voyages, intéressement divers. Tout les avantages d'un poste de cadre, et le côté amusant d'un poste de terrain.
Margareth : C’est bien ça non ?
Louis (Med): Mon travail chez Lady M me rapport environ 15.000$ net par mois… On verra…
Margareth : Ca rapporte bien, les fesses.
Louis (Med): …

Max : […]En somme, en cas de découverte, la paternité serait attribuée à vous et à l'OC. Quand à vos produits, l'OC a déjà ses équivalents sur le marché, puis si vous tenez, l'OC peut vous acheter la licence pour vos découvertes précédentes. Ca se fait qu'un scientifique arrive avec ses découvertes que l'entreprise lui achète puis l'engage.
Margareth : Ah c’est bien ça !
Louis (Med): C’est bien engagé, mais pas au point.

Max :[…] Je ne doute pas qu'avec vos diverses capacités, vous grimpiez rapidement les échelons. Comprenez que si vous acceptiez, il y aurait quand même quelqu'un par dessus votre épaule pour surveiller l'usage que vous feriez des fonds qui vous serez attribués et vos découvertes, puis rapidement, vous pourriez être le maitre du navire.
Margareth : Tu veux « monter » ?
Louis (Med): Non, je veux me faciliter la vie.

Max :Quand à une démission, et bien je suppose que si ça se passe sans heurt et que vous ne faites pas du tort à l'OC une fois dehors, il n'y a pas de raison de vous envoyer des gens comme Monsieur Stormer. Nous sommes tout à fait courtois malgré certaines méthodes, et il n'est pas question de vous obliger à quoi que se soit, que se soit de venir ou à rester. Tant que tout se fait en bonne entente et entre gens de bonnes intelligences. Quand aux méthodes de l'OC, vous avez en avez eu un avant goût avec monsieur Stormer.
Margareth : Encore un euphémisme…
Louis (Med): Il va envoyer Stormer nous nettoyer, oui.

Max :Pour se qui est de la recherche, on prend certaines liberté. Disons que la "Drug and Food Administration" ne passe pas tout les jours, et qu'on attend pas forcément d'avoir son aval pour certaines choses. Les chercheurs ont les mains libres tant qu'ils ne reproduise pas le comportement du docteur Mengele. On teste les produits mais toujours sur des volontaires mais sans l'aval des autorités, et on mène des recherches qu'elles n'auraient sans doute pas permis. Quand au Marteau, vous êtes sur que c'est nous ? Il y a des rumeurs évidemment.
Margareth : S’il reconnaît avoir les mêmes produits que toi…
Louis (Med): Il reconnaît produire des produits illégaux, oui.
Margareth : Tu luis fais remarquer ? Hu hu hu !
Louis (Med): Non, les combats de coqs où on s’impose comme celui qui a la plus grosse crête ne m’intéressent pas.

Stormer : Euh c'est quoi ce fameux marteau ?

Louis (Med) : Il paraît que le Marteau accroît les pouvoirs mutants de 30% en contrepartie d’une augmentation de l’agressivité et d’une accoutumance rapide.

Après un bref silence marquant une observation interne subite, le chimiste se tourne vers le grand blond d’un air fataliste.
Louis (Med) : S’il-te-plaît, n’en prends pas. Tu es parfait comme tu es.

Louis (Med) à Maximilien Fray : Je travaille publiquement comme escort, je me suis fait débouter du prix Nobel pour avoir volontairement modifié une molécule de guérison devenue alors excitant sexuel en même temps. D’un point de vue marketing, la seule présence de mon nom dans les fichiers de vos ressources humaines est une catastrophe. Vous travaillez dans le secteur de l’armement, le secteur qui connaît le plus l’espionnage industriel : mon nom pourrait être retourné contre vous par n’importe qui n’importe quand.

Louis se pince la lèvre inférieure : le pavé qui va venir risque d’être confus, mais tant pis…
Louis (Med) : Je propose plutôt de créer deux sociétés écrans qui vous permettront de mettre une distance entre vous et moi au travers d’une joint venture.
Dans cette proposition, vous partagerez donc les brevets avec Bioware pour tous les nouveaux produits que je trouverai durant cette joint venture.
En ce qui concerne les produits déjà existants, vous fournirez la logistique telle que la fourniture des matières premières et Bioware partagera ses bénéfices avec vous selon une marge à déterminer. Les produits existants continueront d’être écoulés de la même façon qu’aujourd’hui.
Vous êtes bien placé pour le savoir, mais la recherche inclut aussi des actions de terrain pouvant requérir la présence d’un scientifique. L’OC et bioware se partageront donc aussi la recherche bio-chimique plus ou moins secrète : l’OC en apportant le matériel et les armes et peut-être certains de ses employés, Bioware via… le consultant qu’elle enverra : donc moi.
Pour toute recherche plus ou moins discrète et qui n’ont pas une finalité directe avec vos produits, Bioware louera votre matériel – j’espère à un prix raisonnable. J’espère que Bioware pourra aussi bénéficier de fausses identités fournies par l’OC.

Bioware appartiendra à BioChem fin dont je serai l’unique actionnaire non public. Bioware emploiera un consultant envoyé par BioChem fin : ce sera moi.
En tant que consultant d’une de vos joint ventures, j’aurai un badge anonyme, délaissant mon nom de tous vos fichiers.
Si quelqu’un me voit travailler dans vos bureaux, vous pourrez toujours crier au scandale sur l’un de vos employés pour avoir demandé l’avis d’un chimiste escort.

Que pensez-vous de cette proposition?

Max ne releva pas sur le point de vu de l'accoutumance, et de l'injonction à Stormer de ne pas en prendre. Med avait une idée bien arrêtée sur se qu'il envisageait comme collaboration avec l'OC, un chouia compliqué, et peu satisfaisant

Il faudrait que je me renseigne auprès des juristes et comptables, c'est un petit peu technique tout ça. L'OC gère très bien ses relations publiques avec des gens très diplomate, et d'autres moins comme Monsieur Stormer, et il y a les fausses identité, cela ne nous arrête pas. Nous gérons nos employés et si nous engageons des personnes aux passés sombres et criminels, on peut aussi engager des personnes qui ont fait des erreurs de carrières. Mais ma foi, si je pense qu'il serait mieux que vous travaillez dans l'OC, on peut toujours vous créer une société dont vous aurez le contrôle, mais le but est quand même que vous travailleriez pour nous. Comme vous le formulez, on dirait que vous prenez se que l'OC a à vous offrir, et que vous lui donniez une compensation. Comprenez que ça soit un peu difficile à concevoir de notre point de vue. Vous êtes peut être le grand chimiste, mais le grand patron aime bien avoir le contrôle sur un petit peu tout.

Ca allez être compliqué avec Phobos qui aimait tout dirigeait et pouvoir commander à tous. Il préférerait sans doute plus tôt l'avoir directement sous ses ordres, quitte peut être à le bombarder dionysos si il avait confiance.

[court, désolé]

Le marteau pouvait me boosté ? Mais s'il devait s'agir d'une drogue, il n'en vaut même pas la peine. C'est simple, je n'ai aucune addiction ... il n'empéche que s'ils peuvent augmentés mes pouvoirs c'est déjà pas trop mal. Louis partit ensuite sur son explication de créer deux sociétés différentes, il semblait bien maitrisé son sujet mais bon je me perdais rapidement dans l'explication et je ne cherchais pas à comprendre. Je faisais déjà un calcul pour savoir s'il sa vallait la peine ou pas d'être recruté quelque part. Il n'empéche que ce n'est pas tellement net leurs histoires, mais bon moi et les coups fourrés sa revient toujours ensemble... Je me devais de remboursé le général, allait il me pardonner d'avoir tuer le général ? Tout dépend qui a prit sa succession. Peu de gens était qualifié pour ce poste. Je devais beaucoup d'argent a cette faction de l'armée, normalement je devais même pas avoir une chance de me racheter à cause de mon homicide envers une personne haut placé. Mais bon ils allaient me pardonner car il était vrai que ce général la était une vrai ordure. Je fus tiré de ma rêverie quand j'entendis mon nom dans la réponse de max

"Il faudrait que je me renseigne auprès des juristes et comptables, c'est un petit peu technique tout ça. L'OC gère très bien ses relations publiques avec des gens très diplomate, et d'autres moins comme Monsieur Stormer, et il y a les fausses identité, cela ne nous arrête pas. Nous gérons nos employés et si nous engageons des personnes aux passés sombres et criminels, on peut aussi engager des personnes qui ont fait des erreurs de carrières. Mais ma foi, si je pense qu'il serait mieux que vous travaillez dans l'OC, on peut toujours vous créer une société dont vous aurez le contrôle, mais le but est quand même que vous travailleriez pour nous. Comme vous le formulez, on dirait que vous prenez se que l'OC a à vous offrir, et que vous lui donniez une compensation. Comprenez que ça soit un peu difficile à concevoir de notre point de vue. Vous êtes peut être le grand chimiste, mais le grand patron aime bien avoir le contrôle sur un petit peu tout."

Je ferme mon poingt, et s'il avait tout sur eux ? Je n'aurai qu'a tous les tuer un par un comme j'ai l'habitude de faire ? Ne serait il pas plus simple de partir directement avec le fric et de laisser de côté tout sentiment ? Non je ne vais pas réitéré mes délits ici. En plus le boulot qu'il propose semble assez divertissant, payé a ne rien faire. Il n'empéche que mon "crédit" serait plus rapidement remboursé si je faisais un massacre... aprés tout pourquoi me privé ? Mais d'un autre côté j'avais presque confiance en eux. Tout dépend de ce qu'ils peuvent m'offrir ...

"Juste une petite question, serait il possible d'avoir une avance sur le salaire, avoir mes 200 000 $ directement et travaillé sans salaire pour la suite. Il faudrait que je régle une dette dont j'aurai du m'acquité il y a de cela bien longtemps..."

HS: Moi aussi c'est cours je sais mais j'ai plus rien a dire ><

La réponse mitigée était à prévoir et Louis n’en est pas surpris. Peut-être déçu de ne pas avoir de délai concernant la réponse finale, mais sans plus. Il se prépare à partir quand Stormer prend la parole.

Juste une petite question, serait il possible d'avoir une avance sur le salaire, avoir mes 200 000 $ directement et travaillé sans salaire pour la suite. Il faudrait que je régle une dette dont j'aurai du m'acquité il y a de cela bien longtemps...

Margareth : Mais s’il demande à l’OC d’intervenir auprès de l’armée, il garde ses 200.000$ et il nettoie sa dette, non ?
Louis (Med) : Oui, mais je ne suis pas son tuteur, il gère sa vie comme il l’entend. Etant donné que je le lui ai déjà conseillé, il a peut-être autre chose en tête.
Margareth : Ah oui, possible.

Le ton risque de monter, avec Stormer ce serait même logique. Med reprend la parole une dernière fois.

Ce serait à moi de prendre en charge la création de ces sociétés, pas l'OC.
Je vous remercie du temps que vous m’avez consacré, Monsieur Fray. Je reconnais pleinement les avantages à travailler au sein de l’OC mais la force et l’ostentation suintent par toutes vos fenêtres vitrées. Publiquement, je suis une poupée gonflable qui a gâché sa vie et je tiens à cette image : je préfère rester dans l’ombre, n’y voyez aucun reproche à votre égard.

Louis se lève et sourit au plus jeune de ses interlocuteurs :
Quand vous aurez une réponse concernant ma proposition, recontactez-moi si elle est positive. Sinon, je ne m’attends pas à avoir de vos nouvelles. Au revoir.

Le chimiste se tourne vers le troisième homme.
Stormer, à bientôt peut-être.

Juste une petite question, serait il possible d'avoir une avance sur le salaire, avoir mes 200 000 $ directement et travaillé sans salaire pour la suite. Il faudrait que je règle une dette dont j'aurai du m'acquitter il y a de cela bien longtemps...

Tout de même ! Deux cents mille dollars, ça fait une sacré somme ! Il ne se mouchait pas du coude en matière d'avance sur salaire. Pouvait il vraiment lui donner là comme ça autant d'argent et s'attendre a se qu'il revienne après. Il pouvait l'encaisser et disparaître. Il allait devoir trouver une pirouette pour ne pas lui donner la clé de la caisse dés le début de son activité ici, sans le débouter et l'envoyer ailleurs

Comprenez que ça fait beaucoup d'argent. Notre société doit respecter un certains nombres de règles. L'enfer même à ses lois il parait. Voila se qui serait possible. Commencez à travailler pour nous durant un mois, et si au bout de ce mois, tout s'est bien passé, nous vous donnerons ces deux cents milles dollars qui seront retenus sur votre salaire des mois d'après, en vous laissant encore largement de quoi vivre. Ça me semble correct. Vous ne repoussez votre dettes que d'un mois, se qui est raisonnable, et vous n'êtes pas à un mois prés, et nous, nous sommes rassurés à l'idée que vous comptez bien travailler pour nous et que ce n'est pas pour nous doubler. Certes, vous pouvez encore faire ça après, mais c'est déjà une première assurance. Ça me semble acceptable pour tout le monde, qu'en dites vous ? Sinon j'ai peur que nos trésoriers ne demandent certaines garanties déplaisantes . C'est la solution la plus simple, elle vous convient ?

Pour Med, c'était un peu problématique. L'OC avait vraiment d'un chimiste d'un tel talent, et il avait presque le droit d'imposer un peu se qu'il voulait. Phobos le voulait à tout prix. Que se soit pour son talent de chimiste, son pouvoir mutant, ou son talent pour son autre activité. La dernière option avaient beaucoup fait sourire Max. Après tout, il ne savait rien des orientations de son patron. Enfin bref, il ne devait pas non plus lui laisser dicter la suite, mais il savait que Phobos s'arrangerait pour que ses exigences soient réalisées.

En somme travailler pour nous mais à distance. Ça doit être possible. L'oc pourrait elle être actionnaire de vos sociétés ? En tout cas, je me renseigne, on étudie le dossier, et je vous appellerais pour vous dire si cela se fait ou pas. J'ai votre parole que si nous acceptons, vous travaillerez pour nous à travers ces sociétés ?

Max se leva et serra la main à Med et le raccompagna à la porte. Quand il l'eut refermé, il se tourna vers Stormer.

Alors Monsieur, votre réponse. Avons nous un accord ou pas ?

Je soupirais, je savais que c'était une somme considérable, et je ne pouvais pas faire autrement que de le rembourser rapidement. Je regarde max et lui fais

"Accord déplaisant ? Bon alors il est temps de mettre les choses au clair car on dirait que vous ne comprennez pas tout a fait ce que je veux ..."

Je me faisais craquer les doigts, signe d'un certain énervement

"Vous parlez d'enfer ? Ben sache que j'en sors tout droit de l'enfer, ce qui est déplaisant je m'en moque carrément, ce que je veux c'est être payé un point c'est tout. Maintenant a savoir si je vais ou non bossé avec vous je n'en sais rien, j'ai un contact qui pourrait me les fournir ces 200 000 $ mais simplement je ne sais pas s'il a été arrété ou tuer. Je sais juste que les flics sont allés chez lui donc maintenant je vais enquêté pour voir s'il est encore en vie ou non, s'il n'est plus de ce monde je reviendrais vers vous..."

Je me levais d'un coup et fis juste un signe d'au revoir

"Sur ce, j'ai encore a faire... au plaisir de vous revoir !"

Je disparais dans une cable éléctrique direction la prison.

Et bien les deux étaient partis, restait à connaitre leur décision. De toute façon, dans son rapport de Marie Bennet, il avait eu une assez bonne idée de la fin des fins de cette histoire. Il avait essayer de la gérer au mieux.





Quelques jours plus tard...

Max venait de mettre le point final aux deux lettres qu'il avait écrite à la main pour recruter deux individus. Normalement, il l'aurait fait faire par une secrétaire, mais comme le patron était vraiment intéressé par le potentiel de ces deux personnes. Alors Max, le patron de l'Hades, au salaire mirifique, avait du se taper l'écriture de lettres manuscrites de sa plus belles plumes. Sur celle de Stormer on pouvait lire :

Monsieur Stormer,

Suite à notre rencontre au siège de l'Olymp Corporation ce jeudi, je me suis renseigné sur les possibilités pour vous obtenir ces 200 000 $ U.S que vous nous demandiez, et il s'avère qu'en fait, vous pouvez bénéficier d'une prime d'embauche d'une valeur de 250 000 $ dés votre entré dans notre société. J'ignore si vous avez pu contacter votre ami pour régler cette note, mais notre proposition d'embauche tient toujours dans le cas où vous seriez intéressé. Dans le cas où vous voudriez nous contacter pour accepter ou refuser cette offre, veuillez le faire +333 044 078 012.

En espérant avoir la joie de travailler à vos côtés, veuillez agréer Monsieur, mes sincères salutations.

FRAY Maximillien


Un rien ampoulé peut être, mais ça devrait faire l'affaire, et de toute façon, pour une lettre professionnel, aussi particulier que soit le poste, il y avait un certain genre à respecter. Quand à Cavaugh :


Monsieur Cavaugh



Suite à notre rencontre au siège de l'Olymp Corporation ce jeudi, j'ai pris la liberté d'exposer votre proposition à d'autres responsables, et nous nous sommes finalement accordés pour la trouver acceptable. En effet, si votre proposition tient toujours, l'OC sera fière de compter parmis ses partenaires privilégiés vos sociétés ainsi que vous même. Pour plus de renseignements, pour confirmer ou infirmer votre proposition, veuillez téléphoner au +333 044 078 012 pour que nous puissions nous accorder sur la suite.

En espérant avoir la joie de travailler à vos côtés, veuillez agréer Monsieur, mes sincères salutations.

FRAY Maximillien

Max les fit expédier par sa secrétaire en recommandé avec accusé de réception au domicile de leur destinataires.

J'étais au snake's rings, encore une fois désoeuvré, sa y est un homme se présente devant moi et m'affirme avoir l'argent qu'il me donnera plus tard dans une valise, il me tend une lettre

Suite à notre rencontre au siège de l'Olymp Corporation ce jeudi, je me suis renseigné sur les possibilités pour vous obtenir ces 200 000 $ U.S que vous nous demandiez, et il s'avère qu'en fait, vous pouvez bénéficier d'une prime d'embauche d'une valeur de 250 000 $ dés votre entré dans notre société. J'ignore si vous avez pu contacter votre ami pour régler cette note, mais notre proposition d'embauche tient toujours dans le cas où vous seriez intéressé. Dans le cas où vous voudriez nous contacter pour accepter ou refuser cette offre, veuillez le faire +333 044 078 012.

En espérant avoir la joie de travailler à vos côtés, veuillez agréer Monsieur, mes sincères salutations.

FRAY Maximillien

Je venais de recevoir mon premier salaire, sa y est j'avais donc récupéré assez pour comblé mes dettes ! Parfait ! Je récupérais l'argent directement dans mes bras. Je me chargais de l'appellé rapidement et j'allais récupéré au plus vite le fric. Je disparu ensuite avec et je me dirigeais vers le centre de l'armée. J'atterissait en pleine réunion. Le général ne m'était pas inconnu, lieutenant (et oui il était général au temps ou je le connaissais) Edward Carter. J'en avais gardé un souvenir mémorable, un homme loyal mais trés borné quand il s'agit des régles de procédure. J'attendais patiament a fin de la réunion. Bizarre que je paciente autant mais bon c'était pour la bonne cause. Une fois le général seul, je sortis de ma cachette et je lui enlevais tout arme pouvant être a proximité. Je levais les bras et les baissé lui faisant signe de se calmer, ce n'était que moi ... pas besoin d'ameuté tous les militaires à côté. Il me regarda un moment sans rien dire puis il me reconnut, on entra dans son bureau seul a seul.

"Lieutenant Stormer, quel plaisir de vous revoir, mais ne savez vous pas que vous êtes recherché comme un déserteur ? Vous devez une dette de 200 000 $ à l'armée, 100 000 $ pour l'assurance vie du général que vous avez tuer, et 100 000 $ de plus pour les 10 ans que vous n'avez pas passer parmi nous ... et pourtant vous avez le culot de vous pointez ici ..."

"J'ai de quoi payer !"

Je sors ma malette et le général les regardes abasourdi, il les comptent, vérifie s'ils sont vrais et finalement se rend compte qu'ils sont tous la. Il s'éclaircit la gorge et fait finalement

"Euh oui en effet ce sont des vrais, donc vous n'etes plus déserteur a compté de ce jour..."

"Oh au fait, je ne sais pas si c'est vous ou le général d'avant mais j'ai la police au trousse donc si vous pouviez y faire quelque chose ..."

Il sort son téléphone et passe divers coup de fil puis finalement se retourne vers moi et me dit que c'est réglé, je souriais, en fait il a juste enlever les charges qui pesait sur moi pour meurtre. Il n'y a jamais eu de recherche sur moi spécialement pour la désertion de l'armée. Et oui pour une fois j'avais agit avec ma tête plutot qu'avec mes bras. Je retournais ensuite rapidement au bureau de l'OC et je réattendis dans la salle d'attente de cette organisation

Contractual description of PharmaTech, Joint Venture (JV) between Olymp Corp and BioChem Fin

Oymp Corp et BioChem Fin sont propriétaires à hauteur de 50% chacun des actifs de PharmaTech, en contribuant à hauteur de 50% aux investissements nécessaires à la création de PharmaTech.
Les actifs susmentionnés reprennent les actifs intellectuels, physiques et financiers.

Cette JV concerne toute nouvelle activité chimique au sein de l’Olymp Corp and BioChem Fin, en ce comprenant les produits et services chimiques utilisés à d’autres finalités que celle de la chimie, signifiant une totale transparence des deux parties concernant tout projet de R&D et de lancement de nouveaux produits ou services.
Tout manquement à ce chapitre remet en cause la JV.

L’Olymp Corp et BioChem Fin se réservent le droit de faire appel à un ou des consultants de leur choix pour tout projet tombant sous l’effet de cette JV. Ces consultants bénéficient des accès standards réservés aux chercheurs de leur société cliente. Les badges sont anonymes.

L’Olymp Corp et BioChem Fin se partagent les frais de recherche et développement selon un accord préétabli au lancement de chaque projet.

L’Olymp Corp et BioChem Fin se réservent le droit de choisir leur canal de distribution pour les produits existant avant la création de la JV.

L’Olymp Corp et BioChem Fin se réservent le droit de choisir leur canal de production pour les produits existant avant la création de la JV.[/font]