Louis C. Fouras [ U.C]

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NOM : Fouras PRENOM : Louis Charles ALIAS ET SURNOM : Certaines légendes se réfèrent à lui sous le nom de Merlin. Les Livres de Théologie eux, le connaissent sous le nom de Théodore Ier, Souverain Pontife du VIIe Siècle. AGE : 1599 Ans DATE DE NAISSANCE : 18 Novembre 412 M ETIER: Résident d'une Maison de retraite NATIONALITE : Franco-Américaine GENRE : Masculin CLAN : Neutre

Pouvoirs :

• Description :
  
  
  La capacité principale de Louis réside dans sa capacité passive de régénération poussée à l'Extrême. Concrètement, son organisme réagit extrêmement vite à toute menace autant interne ou externe, réparant les dommages subis à une vitesse pharamineuse. Cette capacité a permis à son organisme de résister aux effets du temps de telle manière qu'il est temporellement immortel, d'être immunisé à la plupart des maladies connues ainsi qu'aux poisons d'origine naturelle. Néanmoins, son corps a gardé les séquelles du temps et les caprices du vieillissement: il a le physique d'un homme ayant passé le cap du centenaire bien que ses capacités physiques restent celles d'un jeune homme d'une vingtaine d'années au top de sa forme. Toutefois, sa mutation souffre d'une tare immuable: elle ne lui permets pas de régénérer des membres perdus, bien que la plaie se sera cicatrisée en quelques secondes. En revanche, il sera capable de le ressouder s'il dispose du membre perdu.
  
  
  La version active de son pouvoir est bien plus impressionnante: le vieil homme est capable de produire des hormones spécifiques à son organisme. En effet, en restant à proximité d'entités organiques, il est capable d'accroître leur capacité de régénération naturelle jusqu'à pouvoir leur faire bénéficier d'un facteur de guérison. Ainsi, un humain normal verra ses blessures cicatriser de quelques secondes en quelques minutes, selon le degré de gravité de celles ci, mais bénéficiera également d'un système immunitaire grandement renforcé. Un mutant disposant déjà d'un facteur régénérant le verra croitre jusqu'à pouvoir frôler celui du vieillard.
  
  
  
  Notez toutefois que l'effet de ses hormones se prolongent tant que ceux qui souhaitent bénéficier de son pouvoir restant dans une zone d'une dizaine de mètres autour de lui.
  
  
• Niveaux de maitrise:
  
  Pouvoir de Guérison: Passif incontrôlable.
  Production d'hormones accélérant les soins: Actif parfaitement contrôlé.
  
  
• Lien entre les Pouvoirs:
  
  J'offre au monde ce que je peux offrir. J'aide ceux dans le besoin, mais serais seul juge de leur mérite. Les soins sont une richesse incommensurable dans ce monde, je peux vous en faire bénéficier.
  
  

Description Physique :

• Apparence :
  
  
  Merlin est un vieil homme. Il est l'image même que l'on se fait du fameux précepteur du Roi Arthur. Haut d'un mètre quatre vingt, l'homme arbore une longue chevelure d'un blanc nacré, lui descendant jusqu'aux reins. Sa barbe n'a rien à envier à sa propension capillaire car cette elle descends elle aussi jusqu'au niveau de sa ceinture, en un seul flot. L'ancien pontife observe le monde d'aujourd'hui avec des yeux gris emplis de nostalgie et d'amertume. Les rides se sont néanmoins définitivement installées sur son visage, constellant son épiderme de nombreux creux, bosses et autres tâches que l'âge n'arrange pas. Un nez crochu, une moustache fournie du plus bel effet complètent le visage de l'individu très facilement remarquable , cela va sans dire.
  
  Comme une réminiscence des temps passés, Merlin arbore souvent une toge de couleur indéterminée. Grise à ces débuts, elle est maintenant d'une couleur crême délavée, aux manches excessivement longues, et passant parfois pour une robe de femme. L'habit semble d'ailleurs avoir été tiré d'un film traitant du passé. En vérité, il s'agit de sa bure de moine, qu'il a reçu lors de son passage prolongé dans les rangs de l'église, à côtoyer durant des siècles les hommes les plus influents du monde. Néanmoins; la rudesse du temps a fait son effet et son corps, flétri par l'âge, semble fait de papier de verre.
  
  Lors de ses rares sorties mondaines, l'ancien Pontife tente toutefois de passer plus ou moins inaperçu. En effet, il attache ses cheveux en un chignon caché sous un bérêt porté avec la plus grande coquetterie. Sa barbe, impeccablement lissée est tressée sous son menton tandis qu'un ensemble costard cravate de couleur sombre ainsi que des chaussures de cuir remplacent la bure délavée et les chaussons.
  
  
  
• Signes Particuliers :
  
  - Le dos de Merlin est constellé de cicatrices diverses: fouets, matraques etc... souvenir de son passage dans les ordres. Passage durant lequel il s'adonnait à la rémission des pêchés par la souffrance de la chair.
  
  - Une barbe et une chevelure d'un blanc immaculé.
  
  - Malgré son apparence de vieillard, Louis est toujours aussi en forme qu'un jeune homme humain bien entraîné.
  
  

Caractère :

• Mental :
  
  
  Louis est une personne profondément gentille. Comme tous les papys gâteaux - ou gateux - il affiche un caractère facile à vivre, voire plutôt sympathique. Vous pourriez d'ailleurs le surprendre de temps à autres tentant de glisser une blague ici ou là sans grand succès. La bonne volonté c'est bien, mais avec un sens de l'humour pas très fin, il ne vole jamais très haut. Empathique et doux, Merlin n'a pas réellement de préjugés ou autres pensées agressives de prime à bord. C'est avant tout une personne qui privilégie l'analyse de ses interlocuteurs: leur façon de s'exprimer, leurs gestes, leur intonation. Il aime observer son entourage en affichant un sourire mystérieux qui pourtant n'augure ni bon ni mauvais. Calme et posé, l'ancien pontife est en général plus pacifique que guerrier. Mais certaines situations exigent des sacrifices qui malheureusement sont inévitables. Et si l'un ou l'autre doit être sacrifié pour le bien d'une population, il n'y a pas lieu de tergiverser.
  
  Au cours de son millénaire et des poussières de vie, Fouras a su observer chaque parcelle de l'être humain. Au cours de ses voyages, il a su affiner son analyse. Le monde n'est ni blanc ni noir. Il n'est pas non plus gris. Le monde est un festival de couleurs, de la plus éclatante à la plus sombre. Il n'y a pas de juste milieu prédéfini, chaque acte a une répercussion et il appartient à chacun d'en jauger et d'en assumer les conséquences. C'est ainsi que va le piment de la vie. Une vie pourtant bien longue que l'homme a du mal à assumer.
  
  L'ivresse du bonheur, les joies de la famille, la fatigue du travail accompli. Tant de choses qu'il a déjà accomplies pour des dizaines de vies. Tant de souvenirs et pourtant tant de poids sur ses épaules pour un pauvre vieillard. Merlin est, depuis plusieurs siècles, fatigué de ce cadeau empoisonné. La vie éternelle n'est qu'une succession de pertes diverses et variées, loin de l'image de bonheur statique que l'on ressent. Privé du droit de mourir, le vieil homme montre de temps à autres un côté profondément sombre, morose. Un côté qui révèle en quelque sorte son âge. Et cette nostalgie le prends aussi soudainement qu'une gifle en pleine face. Tant de moments d'absence libérés grâce à des petites choses insignifiantes telles qu'un parfum, un son, des ressemblances à certaines personnes qu'il a connues dans sa longue existence...

Histoire :

• Talents Particuliers :
  
  Merlin est passé maître dans le maniement de l'épée, du bâton.
  
  
• Possessions :
  
  Rien de transcendant. Il conserve en permanence sur lui un bâton un peu plus long que sa personne. Toutefois, l'individu dispose d'une épée nommée "Excalibur", soigneusement rangée et cachée dans ses affaires.

Avatar :
Saruman by SilentDeath007

Personnage Marvel ? : Non

Double/Triple Compte? : Non

Pseudo
Joe's


Votre Age :
20 Ans

Comment avez vous connu le Forum ? :
Par Google

Mot Magique : Vu par Juby

• Biographie :
  
  
  Appellez moi Myrrdin ...
  
  

  Né en 412 d'une mère et d'un père Gaulois, Myrrdin voit le jour dans une misérable chaumière sur les falaises bordant le côtes de la Bretagne. Rien n'augure, à sa naissance, que sa vie irait bien au delà de toute espérance. Ses parents, de simples villageois non lettrés et vivotant de cultures et de pêche, sont des ermites traités en pariats par les autres villageois. En effet, sa mère fut ce que l'on appellerait de nos jours une mutante, mais qui à cette époque détenait le sobriquet de sorcière. Elle semblait capable d'empathie envers les animaux. Son père quand à lui, était un humain normal, absorbé par la beauté naturelle d'une femme disposant de dons précieux. Mais cet attrait pour une personne différente l'avait catalogué lui aussi comme étant une " chose " non humaine. Un univers bien glacial pour un jeune enfant promis à un grand avenir.
  
  Chose rarissime à cette époque, la mère de Myrrdin ne mourut pas en couche, sans doute grâce à ses prédispositions mutantes qui lui conféraient une résistance et une endurance surhumaines. Néanmoins, malgré le climat de tension régnant à l'encontre de sa famille, l'enfant grandi bien. Chéri par ses parents, il apprenait les rudiments de la chasse et de la pêche avec son père, tandis que l'herboristerie ainsi que l'étude des animaux et de l'environnement se faisait avec sa mère. La femme se plaisait à se nommer druidesse, en accord avec la religion celtique qu'ils pratiquaient encore en famille.
  
  La vie en autarcie présentait ses avantages et ses inconvénients. Myrrdin appréciait passer plusieurs heures en compagnie de sa mère, a arpenter de long en large et en travers les forêts de la Bretagne, apprenant de sa génitrice les secrets des différentes plantes, leurs senteurs, leurs usages en tant qu'onguent et autres condiments. Il leur arrivait de partir pendant quelques jours juste tous les deux, pour s'enfoncer à l'intérieur des terres et étudier des spécimens qui n'arrivaient pas jusqu'à la côte.
  
  Ainsi, avant l'âge de seize ans, Myrrdin était un guérisseur accompli ainsi qu'un chasseur hors pair. D'autre part, il connaissait tous les sentiers comme le dos de sa main, les empruntant parfois seul sans jamais se perdre. Peu après la consécration de ses seize ans, la famille dut faire face à une montée de colère de la part des villageois des environs. La montée en flèche du christianisme dans leur région reculée mena les ecclésiastiques recherchant à éliminer " une créature des enfers " à élaborer un stratagème finement pensé. En effet, ils accusaient sa mère d'avoir dévoré plusieurs bêtes d'élevage différents lors de crises de rage lycanthrope. N'ignorant pas ses folies passagères, Myrrdin et son père tentèrent de fuir la cohorte, mais ne purent aller bien loin. Le lendemain, ses géniteurs gisaient en plein milieu d'un brasier tandis qu'il assisstait, impuissant, à la scène depuis une cage." Incube et Sorcère ", scandaient la foule devant les cadavres calcinés des deux amants. Le jeune Myrddin fut quand à lui vendu en tant qu'esclave à une famille romaine après plusieurs mois de sévices divers et variés.
  
  Le jeune homme erra de maison en maison. Vendu, racheté nombre et nombre de fois. Jusqu'à ce qu'il atterrisse au service d'un évêque à l'aube de sa trentaine. Déjà bien au courant des effets de sa présence sur la santé d'autrui, Myrrdin , renommé " Merlin " par ses anciens maîtres, s'est vu attribué - grâce à ses connaissances en herboristeries - la tâche du bien être des gens de la maisonnée. L'évêque, du nom de Théodore, était un homme bien portant, disposant même d'une petite bedaine. L'individu se démarquait des autres par sa gentillesse envers ses esclaves. Une gentillesse qui découlait de sa foi. Une première pour Merlin qui, pour une fois, avait un maître qui suivait scrupuleusement les règles de la religion.
  
  Pendant plusieurs décennies, Merlin fut au service de Monseigneur Théodore, gagnant jusqu'à sa sympathie. En effet, le fils de la mutante montrait un intérêt tout particulier pour la foi, tout en gardant les influences celtiques de ses origines. Un mariage qui, bien que peu orthodoxe, amusait Msgr Théodore. A l'aube de la soixantaine, l'homme d'église expia son dernier souffle, rendant ainsi son âme à son Dieu, et sa vie à Myrrdin.
  

  
  

• Biographie :

La mort de Msgr Théodore plongea Myrrdin dans une certaine tristesse toutefois allégée par le fait d'avoir retrouvé sa liberté. Une liberté qu'il s'employait à perpétuer l'oeuvre de sa mère. Cette dernière, de son vivant, avait révélé à son fils qu'elle avait la certitude de ne pas être la seule " différente " sur le Royaume. Elle avait le rêve retrouver ceux qui étaient comme elle, afin de fonder une véritable communauté basée sur la compréhension des " autres " qui entre eux devenaient "normaux". Un rêve qui se vit toutefois partir en fumée. Littéralement. Ainsi, les paroles de sa mère dans la tête et le coeur léger, Merlin entreprit un voyage aux quatre coins de la Bretagne, arpentant le pays de long en large et en travers et ce, durant plus de vingt longues années. Il rencontra nombre "d'autres" mais tous refusaient de sortir de leur cachettes, craignant de finir sur le bûcher en tant que sorcières et autres créatures du malin.

Bien que ces refus étaient parfois totalement injustifiés - certains avaient des apparences totalement humaines - Myrddin comprenait leur peur, et il revoyait encore régulièrement les corps de ses parents brûlés en cauchemar. Et ce malgré le temps. Le temps, que tous nous cherchons à rattraper sans jamais parvenir à frôler. Tous sauf lui. Merlin, bien qu'atteignant la centaine d'années, n'en avait que l'apparence, un vieil homme creusé par la course de celui qui, ironiquement, n'avait aucune prise sur lui: le temps. Son apparence de jeune homme fringuant s'était très vite défraîchie. En l'espace de quelques années, il avait troqué sa chevelure cendrée contre une longue traine de cheveux blancs nacrés. Et son menton sombre avait laissé la place à une barbe impressionnante. Son assurance des débuts quand à elle, sombrait peu à peu vers la reflexion plus posée d'un homme d'expérience. Car si lui, Myrrdin, possédait la connaissance, il n'était nullement un meneur d'homme. Loin de là. Le leader, il le trouva au détour de l'un de ses voyages.

Arthur. Un jeune mutant doté visiblement d'un pouvoir agissant sur l'esprit humain. Le jeune homme était visiblement capable d'inspirer son courage à ceux qui le suivaient. Lors de leur première rencontre, il était un petit seigneur plein d'ambitions. Arthur souhaitait fédérer les "autres" et revendiquait leurs droits auprès des humains et principalement auprès de l'Eglise. De tels idéaux séduisaient la soif d'égalité du centenaire, d'autant qu'ils se mariaient aux rêves de sa défunte mère. Prenant la décision d'accompagner Arthur dans ses croisades, Merlin ne se doutait pas qu'il venait d'ouvrir un nouveau chapitre de l'histoire bien malgré lui.

Au fur et à mesure des années, la relation entre Arthur et Merlin évolua. D'abord une relation de chef de guerre à stratège, ils évoluèrent très vite en un lien unissant un mentor et un pupille. En effet, Arthur était un individu extrêmement sympathique mais illettré, une erreur que Myrddin c'était empressé de corriger. Quand au jeune homme, il apprit au vieillard à manier l'épée, tout en l'époustouflant de toute la fougue dont la jeunesse était capable. PLus le temps avancait, plus les forces fidèles à Arthur grandissaient. Et très vite, il parvint à fédérer un nombre impressionnant de mutants. Mais, le contexte aidant, il étendit facilement son pouvoir aux humains normaux. Ces derniers, craignant une invasion saxonne, se tournèrent vers le seul homme qui avait jamais pu réunir tant de monde. Saisissant cette opportunité, et sous les conseils avisés de son bien aimé conseiller, Arthur mena les croisades sous la bannière Britannique.

Des croisades qui lui valurent un nom dans l'histoire et le folklore. Partout, bardes et troubadours chantaient les louanges d'Arthur, le chevalier entouré de son conseil de guerre - ses chevaliers - et d'un vieux druide du nom de Merlin. Sa renommée dépassa les frontières, comme celle de l'eden qu'ils fondirent pour les "autres" : Avalon. Un endroit idyllique où cohabitaient les mutants et les humains, hors de toute considération raciale ou théologique. Le paradis sur Terre.

Mais l'Homme est ambitieux et borné. Plus il aura de pouvoir plus celui ci lui montera à la tête. Arthur, bien que sage et courageux, était une tête brûlée. Il voulait toujours aller plus avant , il souhaitait atteindre le continent et fédérer les mutants venus d'ailleurs. Il souhaitait faire du monde entier son Avalon. Et, dans son sillage, Mordred, son fils, né durant les croisades, nourrissait des désirs bien plus sombres que son père.

Les origines de Mordred étaient douteuses et mal définies. Toujours était il que ce jeune homme était le portrait craché de son père. IL était lui aussi télépathe, mais nourrissait des rêves bien plus grands que le créateur d'Avalon. Le père et le fils étaient de grands guerriers, au coude à coude dans les affrontements, mais ils étaient comme le jour et la nuit. Mordred profitait allègrement de sa position pour asseoir son joug perfide sur les sujets d'Arthur et se comportait comme un passager clandestin du rêve de son père. Malgré les mises en gardes de Merlin, Mordred intégra l'ordre des chevaliers de son père. Pour marquer son désaccord, le vieil homme quitta Avalon pour le continent, laissant Arthur et son conseil régir le royaume de Bretagne qui allait sans doute devenir une Avalon à part entière. Une nation de paix.

Plusieurs années après, il apprit la mort de son protégé; lors d'un siège. Frappé par l'épée de son fils. Arthur était tombé lors d'une bataille, transpercé par Mordred. Le père, après quelques temps d'absence, avait laissé Avalon sous la régence de son fils. ET à son retour, les Saxons et autres peuples avaient investi les lieux.

La nouvelle dévasta Merlin qui se trouvait à Rome au moment où les troubadours chantaient la mélopée funèbre d'un seigneur à l'apanage d'un Roi. Trouverait il un jour tel meneur .... ?