Eric Danniels

© Choupi

NOM : Daniels PRENOM : Eric ALIAS ET SURNOM : Aucun AGE : 30 ans DATE DE NAISSANCE : Le 1er février 1980 M ETIER: Agent d’infiltrations NATIONALITE : Américaine GENRE : Un mâle mes chers ! CLAN : Humain

Description Physique :

• Apparence :
  
  
  Du haut de son mètre soixante-quinze et de sa soixantaine de kilos, Eric est tout à fait le type d’homme banal qu’on ne repère pas dans une foule. Et c’est bien une chance pour lui d’être banal. Mais pour plus de détails, zoomons un peu sur son visage légèrement carré et allongé. Un teint plutôt pâle à la normal, un peu plus bronzé en été mais vraiment un peu. Ses yeux sont d’un bleu très clair et profond. Son regard est plutôt neutre, si je puis dire. Même si l’on dit que nos yeux nous trahissent, il est difficile de trouver des sentiments dans ceux d’Eric quand il se retrouve dehors, en compagnie de personnes inconnues. Une coupe de cheveux en l’honneur de sa simplicité. Une tête rasée. En plus de la simplicité, c’est d’un pratique, un coup de tondeuse tout les mois et on en parle plus. Sa corpulence est un simple juste milieu. Pas énorme, pas anorexique, musclé, mais pas trop. Proportionné à sa taille dirons-nous
  Question vestimentaire, Eric, à une garde robe assez large. Vu le nombre de personnes qu’il peut être, il a un nombre de look indéfinissable. Du plouc au PDG, en passant par un style de matheux ou de Ken, Eric a tout. Mais, en temps que personne, seul, en oubliant tout les rôles qu’il joue, son style se résume à un jean, un chemise ou un polo, une veste généralement en cuir, une paire de boots. Ne cherchons pas le compliqué quand on ne veut pas se faire remarquer.
  Je ne cesse de le répéter puisque c’est la vérité d’ailleurs, mais le mot qui caractérise vraiment le physique d’Eric, est bien le terme banal !
• Signes Particuliers :
  Si vous voulez trouvez quelque chose de particulier, physiquement parlant, chez Eric, c’est sous le t-shirt que cela se passe, voir aussi sous le jean… La chose la plus abondante sur son corps son bien des cicatrices causées à causes de la guerre qu’il a vécu en Irak. Traces des balles qu’il a pu recevoir, pas énormément, heureusement, il n’en n’a que trois qui l’ont traversé, deux dans le torse, une dans la cuisse. Sa vie fut en suspension au dessus du vide sur la table d’opérations. Sinon, la plus part des cicatrices restes des coupures… Sinon, aucun piercing, tatouages, ou autres. Que des blessures de guerre.

Caractère :

• Mental :
  Si nous partons du point de vue de sa profession, Éric a des caractères plus ou moins différents. Non, il n'a pas plusieurs personnalités, enfin si mais contrairement à ceux qui sont malades psychologiquement, le jeune homme s'en rend compte, il le fait exprès, tout dépend de la situation, tout dépend de ce qu'on lui demande. Il peut tout vous jouer, tout vous faire croire, être un vrai salop ou être l'homme parfait, Éric est tout ce que vous voulez et pour être ainsi, il faut être calculateur, manipulateur, bon comédien, même parfait comédien. Et des fois, il lui arrive de jouer un rôle sans qu'on l'on lui demande pour se protéger peut-être. Il a une carapace, une carapace plutôt difficile à briser, voir impossible lorsqu’on ne le connait pas par cœur.
  Donc, il peut tout être, et au bout de temps d’années à faire le comédien, le jeune homme, à vrai dire, ne sait plus vraiment qu’il est. Alors partons au moment de sa vie où il ne connaissait pas l'illuminé qui ne jure que par Dieu. Eric était un gars sympathique, accueillant, social, discret, fidèle en ceux qu’il aime. C’était un bon type. Maintenant, il l’est toujours, mais je parlais de carapace, et cette carapace, c’est son ancien lui. C’est ce gars sympathique. Alors qui est-il vraiment ? Bonne question ! Depuis l’événement qui marqua un tournant dans sa vie, Eric, a quelque peu changé. Surtout envers les mutants, son comportement face aux humains n’a pas changé elle, mais les mutants, c’est une autre histoire ! Il n’est pas fier de ce qu’il est devenu, mais pour lui les mutants… C’est ni des monstres, ni des choses à abattre, ceux sont des êtres comme les humains. Et comme dans la population humaine, il y a une partie de mutants qu’on voudrait bien voir disparaître. Laissons les bons, exterminons les mauvais. . Ce qui rendrait Eric dans le camp de ceux qui veulent stopper les méchants, les X-mens. A vrai dire s’il avait été mutant, il se serait sans doute retrouver dans ce camp, ceci reviendrait à dire qu’il est contre les agissements de Magnéto, le fou qui rêve d’un génocide humain. L’avantage a être dans un camp mutant est que l’on peut connaitre facilement ses ennemis, sauf qu’Eric est un humain alors qui sont les mauvais dans le tas de mutants qui traînent dehors… Un simple humain, ne peut le savoir… Ceci a rendu Eric méfiant. Vous parlez à un inconnu à un comptoir d’un bar. Avez-vous la certitude, qu’il s’agit d’un humain ? Je ne crois pas ! Ne pas connaître l’autre, c’est ce qui dérange le plus le jeune homme. Et pourtant, même si il aimerait connaître un inconnu, pour être rassuré en quelques sortes, il évite de le faire. Ne pas s’attacher aux gens qu’il entoure, considérant que l’attachement, est une faiblesse. Tout comme les sentiments, les émotions. Il est insensible à tout se qui se passe autour de lui. Il prend sur lui, il oublie, il efface tout éléments traumatisants de sa vie pour mieux vivre. Du moins, il se sent mieux ainsi. Eric est devenu une sorte de robot, il en a les caractéristiques, mais sans s’en rendre compte, tout ce qu’il accumule depuis ces dernières années est une bombe, qui n’attend qu’une chose… Explosée.

Histoire :

• Talents Particuliers :
  
  Ce qui distingue Eric des autres humains est bien sa capacité à être n’importe qui sans que personne ne s’en s’aperçoive. Jouer des rôles, duper, manipuler... Dans tous ces domaines, il est un as en la matière. C’est un atout quand on est un agent d’infiltrations. Ce n’est pas James Bond loin de là, il ne fait pas l’espion comme dans les films de l’agent 007, il endosse tout simple un rôle pour intégrer un milieu, il s’accapare la confiance des cibles et récupère des informations en temps record. Ses missions ne se déroulent que sur quelques mois, il ne faut pas rester trop longtemps pour vite se faire oublier.
  Agent d’infiltrations signifie aussi qu’Eric à plusieurs identités, et de nombreux faux papiers, il vit dans l’illégalité la plus part du temps, heureusement personne n’est au courant, à par son patron actuel. Avoir un métier comme celui-ci veut dire aussi qu’il faut être particulièrement minutieux, calculateur et patient. Il n’est pas mutant, mais être un humain est déjà un bien grand pouvoir.
  En temps qu’agent, il faut bien aussi savoir se protéger si la situation tournait male. Par conséquent, avec l’expérience de l’armée qu’Eric à acquise pendant son cursus à New York, mais aussi en Irak, il sait se servir d’une arme à feu, n’importe laquelle, du pistolet au bazooka, mais heureusement, le bazooka, n’est jamais utiliser. Un, parce que dans une ville, ce n’est pas vraiment discret, et puis le transport n’est pas simple. Donc, les armes à feu de petits gabarits, sont préférables dans le cas d’Eric. Il maitrise aussi quelques peu les armes blanches, mais ces ustensiles ne sont pas très pratique dans leur utilisation, trop de sang, trop de traces. Alors vive les petites armes qu’on planque dans le pantalon !
• Possessions :
  
  Le patrimoine du jeune homme n’est pas très important. Sachant que ses parents ne le lui l’ont rien laissé question héritage, et que par la suite c’est la base militaire qui lui offrait gite, nourriture et que son salaire n’était pas si extraordinaire que ça. Sauf qu’il a fallut qu’il revienne en blessé de guerre pour gagner le pactole. La guerre peut avoir ses bénéfices quand on ne roule pas sur l’or. Mais passons. Grâce à sa prime, il a put trouver un confort qu’il ne connaissait pas avant. Ne faisant plus partis de l’armée, il quitta la base, alors autant utiliser l’argent durement gagné dans un bel appartement à Manhattan. N’aimant pas les taxis, ou les transports en commun, le jeune homme s’est procuré une moto. Une Yamaha V-Max 2009.
  

  Spoiler:

  Pour le travail, une voiture. Une Porsche 911 Targa de 2009 également. Utilisée essentiellement pour l'intégration d'entreprises connues ou autres milieux bourgeois.
  

  Spoiler:

  
  Ces deux véhicules possèdent différentes plaques d'immatriculations, surtout la voiture. Elles changent selon les êvenements.
  
  Je vais vous raconter maintenant le dernier bien qu’Eric ne peut pas se séparer pour le moment, même si des fois, un tour de machine à laver ne lui ferai pas de mal. Cette chose, est un quadrupède poilu avec des oreilles et moustaches. Deux yeux marron perçants se trouve sur sa tête, une truffe qui renifle tout, et un corps tigré roux, au bout du quel se trouve une longue queue. Ce truc à la particularité de se frotter partout, de virer tout objet susceptibles de le gêner lorsqu’il marche sur les meubles, et il s’agit d’un fier adorateur des canapés en cuir sur lequel ce machin adore faire ses griffes. Le bidule est Melchior le Chat. Non, Eric ne l’a pas trouvé dans la rue, non il n’est pas allé le chercher je ne sais où, c’est juste une nana qu’il la ramener chez Eric. Une histoire bien longue et farfelue que le jeune homme à connue… Pourtant, l’histoire d’une nuit ne devait pas se finir en garderie pour bête inutile qui fait « Miaou » toute la nuit parce la porte du couloir n’est pas ouverte. Enfaite, la charmante jeune femme qu’Eric a rencontrée un soir et qui a fini chez lui dans son lit, a mal compris que le jeune homme n’était point du type à s’engager. C’est en rentrant chez lui le soir qu’il vit la fille dont le prénom est oubliée depuis des lustres, des valises roses ou prunes, couleurs de filles, et sur le canapé en cuir fraichement neuf, un chat. Il aurait pu crier, hurler, la foutre dehors, mais cette femme était infernale. Heureusement pour Eric, elle n’est resté que trois jours, l’appartement d’Eric n’a du servir que d’hôtel et il faisait tout pour dormir ailleurs. La nana est partit, il ne sait plus où, mais elle avait laissé un mot vite brûlé. Le petit cadeau fut Melchior. Cela fait deux moi qu’Eric a cette bestiole dans son chez lui, il a tenté de le foutre dehors, mais bizarrement, il se sentait mal après, alors Melchior revenait. Et il ne bouge plus du canapé, ce con.
  
  Au fond d’un tiroir bien caché, Eric entrepose ses armes, pistolets, revolvers...Toujours utiles pour faire peur à ce Melchior.
  
• Biographie :
  
  J'ai discuté avec Stryker afin de se mettre d'accord sur le lien de nos persos et le reste, afin voilà, ce que j'ai mis à propos de lui est approuvé par cet illuminé.
  
  
  Ce fut au bord des côtes californiennes qu'Éric vint au monde, dans la ville de San Diego plus précisément. Dans une famille des plus agréables qui soit. Pourtant, même si Éric eut une enfance joyeuse, son adolescence en fut des plus terribles. Terrible dans le sens que le jeune homme était un vrai comment dire... « Branleur ?» Pardonnez la grossièreté, mais c'est ce qu'il était, toujours un moyen pour faire une connerie, allez jusqu'aux braquages, mais pourquoi agissait-il ainsi ? Pour dire qu'il existait, auprès de son père. Je disais qu'il avait vécu une enfance joyeuse, mais quand on est gamin on ne se rend pas encore compte que son paternel ne veut pas de nous, ce n'est que quand on commence à comprendre la vie, qu'on voit à quel point, que notre géniteur joue la comédie depuis le début. Alors le faire souffrir, en faisant des conneries, pour montrer qu'on existe, pour montrer comment nous sommes devenus suite au comportement d'un père indifférent à la souffrance de son fils. Mais tout ce qu'as gagné Éric, c'était d'être viré de chez lui à sa majorité. Un gamin de dix-huit ans, avec vingt dollars, dehors, plus de toit, plus de famille. Oui, il regrette, il a fait le con, mais c'était trop tard. Sa mère est morte peu de temps après, ne supportant pas l'absence de son fils, elle en tomba malade, son père quand à lui, continuait sa vie, d'après... Éric n'avait pas de sœur, ni de frère, ses oncles et tantes habitaient à l'autre bout du pays et il se doutait qu'il accepterait la présence d'un délinquant chez eux.
  
  C'est l'armée qu'il le sauva. Un gars en uniforme vint le voir, un soir, au bord de la plage, lui proposant d'intégrer l'armée américaine. Un recruteur. Après des mois dans la rue, Éric accepta sans hésiter, peut-être ça allait être rude, peut-être qu'il défiera l'autorité, peut-être quand faites ça ne lui plaira pas et qu'il retourna dans la rue, mais il devait essayer, il devait se sortir de ce merdier. Et c'est ainsi qu'il atterrît à New York, dans une école militaire. Les débuts étaient difficiles, mais, Éric venait de trouver une nouvelle famille, derrière la sévérité des sergents, colonels et tout ceux qui enseignait l'art de se défendre, de se battre, se trouvaient être des types qui se préoccupaient de la santé de leurs recrues, Éric avait ses potes, ses patrons, sa vie se faisait dans cette base. Mais il fallut un délire du président pour que tout ce petit monde connaisse la terreur de la guerre. 2003, lancement de la guerre éclaire en Irak. Cela devait se faire le plus rapidement possible, rendre à l’Irak sa liberté… Exterminer les terroristes, mais foutaises. Les soldats américains considéraient cette escapade en Orient comme un jeu. Ils tiraient sur tout ce qui bouge sans se poser de questions. Tuer pour le plaisir. La devise cachée du soldat américain. Heureusement, au début, il n’y en avait que très peu, un par bataillon était déjà énorme. Les humains sont des idiots. Tous. Eric regrettait sa petite vie dans sa base, mais il savait qu’en temps que jeune soldat, il y avait ses chances de se retrouver sur un champ de bataille. Mais, parmi les nombreuses choses qu’il a pu voir durant ses trois ans de services, le jeune homme se rappellera d’un moment des plus ravageurs. Un gamin d’une vingtaine d’années, un peu plus jeune qu’Eric, avait caché sa mutation au reste du bataillon, et ce type était un fou. A vrai dire, Eric, avait connu quelques mutants lorsqu’il était dans la rue, et n’avait rien contre eux, mais là, quand il voyait ce mutant enflammer toute une famille irakienne dans son coin. Il se fichait que les humains le déteste, il était venu pour tuer… Eric ne s’était alors jamais poser la question, mais dans le groupe mutant, il y a des fous. Chez les humains aussi, le problème, c’est que les fous ayant une mutation, sont plus dangereux. Le jeune homme aurait bien voulu l’arrêter, mais que voulez-vous qu’un simple humain face à un monstre pareil sans risquer sa peau. Même si tout un groupe s’y serait mis, tous aurait finis rôtis. Une différence qu’il faut connaître entre mutants psychopathes et humains fous. Il ne détesta pas plus les mutants, il avait la même pensé que pour l’humanité… Mais sa méfiance devint plus grande. Ce mutant a disparu dans les terres arides, sans laisser de traces, mais personnes ne chercha plus loin. On l’oublia, les soldats avaient assez de soucis avec la guerre, mais tout le monde se posait la même question. Y ‘a-t-il d’autres mutants dans l’US Army ? Sans réponses…
  
  En 2006, au moi de mai, une embuscade sur une route normalement sécurisée. Un petite groupe de résistant irakien à mis le feu sur le bataillon dans lequel Eric se trouvait, ce n’était pas la première qu’il connaissait, mais ce fut celle qui a surpris le plus de monde. Mais aussi ce qui coûta le retour aux USA à Eric. En effet, trois balles dans le corps dont deux qui allait lui retirer la vie s’il n’avait pas été soigné à temps. Blessé de Guerre, vétéran, il était revenu en héros dans son pays natal. Après quelques mois de convalescences, il apprit qu’il n’allait plus rejoindre la guerre, mais que c’était l’heure de sa retraite. Il reçu par la même occasion son premier salaire mensuel de rescapé de guerre, et sa première réaction en fut qu’un joli « Ils nous prennent vraiment pour des cons » Il n’a pas apprécié son séjour, comme certain, son retour était sa libération, aujourd’hui, il est heureux d’avoir frôlé la mort et de se dire qu’il ne sera pas rappeler pour allez tuer d’autres innocents dans un pays remplis de pétroles. Il recommençait petit à petit à réintégrer le milieu citadin de New York, il reprenait une vie normale, en somme. Sauf qu’il se méfiait de tout le monde, on est mieux servit que par soi-même, et une envie héroïque au fond de lui se mit comme sonnette d’alarme. Il se rappela de ce mutant, et il voulait que la partie des mutants réellement dangereux disparaissent. Seul il ne pouvait rien faire, sauf si Eric voulait se suicider, mais ça c’est une autre affaire. C’est un an après son retour, qu’il le croisa, dans une église. Eric venait y faire un tour de temps à autre pour se recueillir, mais ce n’est pas le parfait religieux, il croit sans ne jurer que par Dieu comme celui qui lui a promis certaines choses… La simple discussion avec un révérend sur le monde qui les entouraient avait laissé place à la question Voulez-vous exterminer les mauvais mutants avec moi ? Un espoir que ce but se réalise. Peut-être… Qui ne tente rien n’a rien. Le problème c’est que le jeune homme refuse de retirer des vies humaines, il a assez joué la faucheuse à la guerre, il veut juste se rendre utile au génocide des mutants se prenant pour Dieu… Mais croire un type qui lui se croit pour le messie de Dieu est sans doute quelque chose de risquer. Mais ses paroles fut tellement convaincante, Eric ne pouvait pas laisser échapper cette chance. A l’armée, le jeune homme a appris à interroger des prisonniers, à les piéger, à devenir un civil parfois pour mieux capturer les suspects, il avait une formation d’espions. Alors, c’est grâce à ceci, qu’il devint un agent spécialisé dans les infiltrations. Il ne fait que bosser pour cet homme, il vit dans l’ignorance de ses actes, croyant faire le bien, il fait avancer le mécanisme du mal. Réunir des informations sur les mutants, sur les moyens de les exterminer, en échange de promesses. Il garde sa liberté, celle d’un humain, mais ses habitudes ont changé. Il fait attention à ses rencontres, à comment il agit.. La moindre erreur est fatale.

Spoiler: