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 Du fric, des flics et un Floc [PV Eric Daniels]

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MessageSujet: Du fric, des flics et un Floc [PV Eric Daniels]   Du fric, des flics et un Floc [PV Eric Daniels] Icon_minitimeVen 30 Avr 2010 - 20:55

Ace était d'une humeur massacrante aujourd'hui sans doute à cause de ces pu*** d'information qui le présentait comme l'un des ennemis publique numéro 1... Non mais sans blague, juste pour avoir tué des flics, on croyait rêver... OK c'était de sa faute, mais ce petit con d'Orion avait tout provoqué... Si Vortex ne l'avait pas croisé il n'aurait rien fait et ces flics seraient tranquillement chez eux a boire un verre à côté de leurs femmes. Mais ce droit, Ace leur en avait privé en les tuant froidement. C'était de la légitime défense il le savait mais un poids énorme remplissait son cœur et contribuait à l'irriter grandement... Il n'en avait pas parlé à Dimitry mais il se doutait que ce dernier était au courant, sa prime n'était pas apparu par hasard et son chef avait du le voir aux infos...

Le jeune homme se sentait affreusement gêné mais respira un bon coup pour se détendre. Il pourrait peut-être passer une après midi tranquille et aller au centre commercial ? Il repensa à la Mercedes qu'il avait volé il n'y a pas très longtemps mais se ravisa... Il l'avait abandonné dans le fleuve afin d'effacer chaque trace de son passage. Il avait aussi été obligé de brûler le corps de l'homme a qui il l'avait volé car il avait commit l'imprudence de laisser l'une de ses flèches dans son corps... Or il ne devait pas rompre son anonymat... Il revoyait encore les cendres calcinés du malheureux mais il n'y pouvait rien... C'était juste de la malchance s'il avait du le tuer... La prochaine fois il ne ferait pas la même erreur...

Vortex enfila sa combinaison verte en dessous de ses autres vêtements, il le faisait toujours depuis qu'il l'avait, car au moindre problème il pouvait cacher sa véritable identité... C'est ainsi qu'un jean bleu serré et un débardeur rouge recouvrit sa tenue, qui demeurait invisible... Il décrocha la canne de son arc rapidement et entreprit de la dissimulée accroché a sa ceinture, c'était comme s'il possédait une canne pour l'aider à marcher, tout le monde n'y verrait que du feu...Il disposa toute une série de fléchettes de différentes natures à sa ceinture et son débardeur s'occupa de les rendre invisibles.

Ainsi préparé il sortit de chez lui en claquant la porte de son appart' et dévala les escaliers de son immeuble d'un air maussade. Tout ce qu'il voulait c'était seulement un peu de calme... Il huma l'air extérieur magnifiquement ensoleillé et piqua un petit sprint pour se mettre un peu en forme. Il s'arrêta bien vite à un arrêt de car, n'en pouvant plus. C'était ça le problème avec la clope, on a beaucoup plus de mal à courir... Il s'alluma en effet une cigarette et la porta à sa bouche d'un air négligeant. Il paraissait un peu superficiel comme cela mais il aimait montrer a quel point il se trouvait classe et charmant. Il détailla d'ailleurs un homme qui marchait vers lui et lui adressa un petit clin d'œil insolent. L'inconnu s'empourpra de suite sous le regard amusé d'Ace et continua sa route de plus belle...

Le jeune homme adorait mettre son monde mal à l'aise... Oubliant un détail d'extrême importance, il plongea la main dans l'une de ses poches et en sortit une paire de lunette noire afin d'être le moins possible reconnu... C'était la loose de devoir se cacher mais il n'avait pas le choix... Et puis autant se l'avouer, les lunettes c'est la classe pour emballer les mecs ! Son bus arriva peu de temps après et le garçon y grimpa avec souplesse et acheta un ticket au chauffeur qui avait une tête affreuse soit dit en passant... Vortex se dirigea vers le fond du bus puis se ravisa, il serait mieux au centre. Il s'allongea a demi sur la banquette et posa ses pieds non loin d'un petit voyou qui le regardait. Ace le fixa dans les yeux un moment et se concentra. L'air se modifia de suite tandis qu'il regardait avec satisfaction le petit con perdre connaissance sous la quantité extrême d'oxygène... Il dormirait pour au moins 30 minutes et Ace lui lança un sourire ironique bien que l'inconnu ne pouvait pas le voir...

***

Non loin de la, à quelques rues, un fourgon blindé se dirigeait avec une grande vitesse en direction de la banque principale de NY. Le chauffeur posait sans arrêt des coups d'œil angoissé au rétroviseur tandis qu'il voyait se dessiner au loin la silhouette d'une voiture qui les pourchassait depuis déjà dix bonnes minutes... Son collègue le regardait avec un air moqueur et braqua son flingue sur le pauvre homme qui conduisait.


On arrête la tout le monde descend ! Et ouais c'est un braquage mon gros, alors tu va gentiment te garer et m'ouvrir la porte OK ?

Mais mais je n'ai pas les clé, tout est fait pour que je ne puisse pas ouvrir... C'est le protocole...


Tandis qu'il s'expliquait, il tira vivement un revolver de sa poche et tira en direction de son passager. Ce dernier avait du remplacer l'un de ses collègue et embarquer au bord d'un fourgon pour aider ses amis à mieux le braquer... la balle atteignit l'homme au torse et il poussa un gémissement de douleur. Le chauffeur perdit quelques instants le contrôle de son véhicule mais parvint à le remettre sur le droit chemin. C'est alors qu'un pan sonore fit son apparition. L'homme baissa le regard et aperçut une tache rouge sombre s'éparpillant joyeusement sur son t-shirt. Son passager eut un petit ricanement mauvais et ils fermèrent tout deux leurs yeux...

Le fourgon blindé echapa alors a tout contrôle et fut propulsé a grande vitesse en direction d'un bus qui participait à sa tournée générale... Il y eut un grand boum tandis que le fourgon s'encastra avec grande violence dans le véhicule. Le bus fut projeté sur le côté par la violence du choc et continua sa route sur quelques mètres avant d'accomplir trois ou quatre tonneau. Il percuta alors un mur et dévia sa trajectoire pour se mettre entre le fourgon et la rue principale, auquel il bloquait l'accès. Un écoulement sortit du bus, qui n'était autre que de l'essence et se répandit tout autour... Des petites étincelles voletèrent par le moteur et se rapprochaient dangereusement de la nappe de pétrole. Dans moins de dix minutes, tout exploserait...

***

La voiture qui poursuivait le fourgon n'eut même pas le temps de freiner tellement la soudaineté de l'accident l'avait prit de court... Le véhicule freina et tourna sur lui même dans un grincement sonore. Les criminel s'engagèrent rapidement dans une rue alentours et émergèrent non loin du fourgon. Un véhicule de pompier venait déjà et assourdissait le calme sonore avec sa sirène. L'un des bandits descendit de voiture et lança un projectile en direction du camion. C'était une grenade qui ne tarda pas à exploser au contact des pompiers. Le camion se souleva de terre dans un bruit assourdissant et s'interposa entre les deux immeubles qu'il avait longé, rendant l'accès impossible.

Du ciel la scène ressemblait a un champs de bataille. Il y avait le fourgon, au centre, et tout autour le bus et le camion de pompier rendait impossible son accès. La voiture des truands se trouvait entre le camion de pompier et le fourgon. Les policiers arrivèrent bien vite mais l'évidence était la... Ils ne pourraient avoir accès au fourgon si facilement... De plus le risque que le bus explose était réel et tant de monde s'y trouvait...


Le lieutenant de police, Monsieur Ramirez, s'empara d'un interphone afin d'interpeller les bandits. De plus il devait organiser la sortie des rescapés de l'accident... malheureusement les vitres se trouvaient de l'autre côté, et il y avait fort à parier que les criminels utiliserait les gens comme otage.

Je suis l'inspecteur de police Ramirez ! Levez tous les mains en l'air et venez vous rendre, aucun mal ne vous sera fait... Dans le cas contraire nous sommes dans l'obligation de tirer...

Une voix se fit entendre de l'autre côté du bus. Une voix méprisante et glaciale...

Vous oseriez tirer dans de pauvres gens pour nous tuer ? La police est devenue aussi pathétique que cela ?

Ramirez soupira et abdiqua. Ils avaient raison... Cet échange de tir pouvait provoquer la mort de nombreux innocents...

***

Ace ferma les yeux et s'aprétait à dormir lorsque qu'un grand bruit attira son attention. Il se retourna et aperçut un fourgon blindé fonçant dans sa direction, et vite en plus ! Il remarqua aussi un homme assoupi pile la ou le fourgon allait s'échouer, il en était certain ! Il se précipita vite sur l'homme et sans gène de le réveiller se jeta avec lui dans les marches du bus... Un grand fracas salua l'arrivé du fourgon qui propulsa le bus violemment. Ace se cogna douloureusement dans une vitres et un morceau de verre entailla son bras, rien de grave cependant...

La suite fut moins drôle. Le bus accompli quelques mètres en faisant des tonneaux et Vortex se concentra rapidement pour limiter les dégâts en créant un effet d'apesanteur dans le bus pour permettre d'y flotter sans s'y faire grand mal. Il avait cependant un peu tardé et de nombreuse personnes se tapèrent sans retenue contre les parois. La combinaison d'Ace absorba le maximum des dégâts mais il ne put empêcher une dame le frapper involontairement au visage en tombant... Le véhicule stoppa son ascension et tout redevint calme. Puis un hurlement s'echapa des lèvres d'une femme, vite rejoint par ceux des autres passagers... Vortex hurla mais non pas pour montrer sa peur mais pour demander le calme.


VOS GUEULES !

Les cris se turent de suite mais des gémissements étouffés firent leur apparition.

Du calme, on va s'en sortir... On passe par le pare brise et logiquement on sort...

Il porta son attention vers le pare brise en question et aperçut qu'il se trouvait contre un mur...

Et merde ! Bon éloignez vous des parois et mettez vous de mon côté !

Ace dégaina une fléchette explosive de sa ceinture et l'envoya contre le côté opposé du bus. Dans une explosion assourdissante un trou se forma, permettant le passage d'une personne. Le souffle de l'explosion projeta Ace en arrière mais il se redressa très vite.

Allez-y un par un et pas de violence ! Les femmes et les enfants d'abord !

Un à un une dizaine de personnes sortirent, il n'était maintenant plus que 3 dans le bus. Un homme plutôt âgé et un autre homme beaucoup plus jeune a l'apparence musclé. Le vieillard sortit et poussa un gémissement de stupeur. Au dehors les survivant étaient alignés en file indienne et mit en joue par des hommes cagoulés...

Ramirez, cassez vous de la ou on les shoot un par un !

Une voix se fit aussitôt entendre, amplifié par l'appareil que tenait le policier.

Ne faites pas les imbéciles vous ne vous en tirerez pas comme cela !

Une slave de balles lui répondit alors. Une femme qui tenait son enfant dans les bras s'écroula sur le sol, une marre de sang s'élargissait déjà sous elle et son fils... Les gens hurlèrent ce qui déclencha une crise de démence chez l'un des hommes. Il tira dans 2 autres personnes avant d'être interrompu par l'un de ses coéquipiers.

T'es malade, ils ont notre sortie de secours ! Laisse les vivres ! Et vous vos gueule !

Ace se retourna vers le dernier homme présent dans le bus et écarquilla les yeux de colère... Comment avaient-ils oser faire ça ? Et pourquoi fallait-il que cela lui tombe dessus, il était recherché... Vortex haussa les épaules et retira ses vêtements d'un geste désinvolte, révélant sa combinaison.

T'en fait pas je me désape pas en entier, on se connais pas encore assez !

Cette tentative d'humour se voulait être la pour détendre l'atmosphère même si elle était ridicule il sourit. Ace rabattit sa capuche sur son visage et s'empara de sa canne.

Alors, tu as une idée ? On leur saute dessus en hurlant banzaiiii ou on fait dans la discrétion ?
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MessageSujet: Re: Du fric, des flics et un Floc [PV Eric Daniels]   Du fric, des flics et un Floc [PV Eric Daniels] Icon_minitimeSam 1 Mai 2010 - 14:54

  • Ce qui est énervant avec les véhicules d'aujourd'hui, c'est qu'on soit obligé de passer par un garagiste pour réparer.

    Onze heures.
    Des miaous sonnaient dans le creux de l'oreille, des ronrons vibraient dans la tête, et des poils chatouillaient le nez. Au bout d'une quinzaine de minutes, il ouvrit les yeux, et vit comme tout le matin, à toute heures de levés, ce foutu chat qui réclamait son manger. A vrai dire, pour une fois, ce machin avait attendu plus longtemps que d'habitudes, mais cela n'empêchait pas Éric de râler. Il n'avait pas dormit de la nuit, ou très peu. Pourquoi ? Aucune idée, des fois, il ne trouve le sommeil qu'à huit heures du matin et d'autres à vingt heures. Ce sont certaines choses de la vie que l'on ne peut expliquer. Peut-être était-ce son inconscient qui faisait une crise existentielle. Mais ce n'était pas le moment de savoir pourquoi, Melchior avait faim, et sa présence sur le lit devenait insupportable. Melchior est ce fameux chat qu'Éric a hérité sans aucune envie après une rencontre avec une fille d'un soir qui a bien cru que le jeune homme était son âme sœur. Une chose qui n'était pas réciproque. Le résultat est que ce chat était toujours là.

    Après s'être légèrement éveiller dans son lit, Éric se leva tels un zombie. Éveiller, ne veut pas dire réveiller. Il déambula torse nu dans sa chambre, puis dans le couloir, dans la salon, et finit dans la cuisine avec une gamelle dans une main, et un paquet de croquettes dans l'autre. Le repas du matou fut déposé sur le plan de travail, et sans grand étonnement, le chat ne voulut aucunement des croquettes. Mais, il n'aura que ça, les courses de sont pas faites. Il attendra, si il a faim, il mange sinon tans pis pour lui. Éric avait faim, à son tour, l'estomac était réveillé avant lui. Un café, des tartines et le tout emmener sur la table de la cuisine, télé de la pièce allumée, et comme un bon robot de la société, il mit la chaine des informations sans rien écouter, les images passaient en quelques secondes dans son crâne et s'effaçaient aussi rapidement. Ce qui le réveilla, c'est quand le gars des news, lança un appel à témoin. Si vous voyez ce mutant, appelez à ce numéro La seule chose qu'il nota dans sa mémoire ce matin. Un gars blond. C'est ça qu'ils veulent que les humains trouvent. Il n'eut aucune autres explications, du pourquoi au comment. Fallait qu'ils le retrouvent. Bien, si Éric tombe dessus, il appellera, peut-être ou non. Sinon, il ne s'embêtera pas à chercher ce type. Peut-être que ceci pourrait lui servir, de le trouver, mais c'est en cherchant tout le temps qu'on ne trouve rien. Petit dèj' finit, le chat touchait enfin à sa gamelle, Éric rangea ses affaires dans le lave vaisselle. Il était midi, l'après midi s'offrait à lui. Mais prenons une douche avant de sortir, histoire d'être parfaitement réveiller. Le jeune resta une bonne demi-heure dans la salle de bain, ressortit serviette autour des hanches et alla s'habiller dans sa chambre se trouvant à l'autre bout du couloir. Qu'est ce qu'il était grand cet appartement. Le temps dehors ? Il faisait beau, grand soleil, la pluie n'allait pas arrivé de si tôt. Un polo léger foncé, un jean, et des boots, feront l'affaire. Le jeune homme n'allait pas sortir tout de suite, il devait faire le tris dans les informations qu'il avait pu récolter cette semaine sur les mutants, faire un rapport, et envoyé celui-ci à Stryker. Travaillant pour lui, il le faut bien, et ce n'est pas la partie du job qu'il préfère. Armé d'un crayon, de papiers, son carnet de notes et sa mémoire, Éric partit dans le parcours de l'employé dans le salon, au fond de son canapé. Le chat s'y trouvait déjà, et en profitât pour emmerder le jeune homme comme il faut. Un magnifique Dégage se fit entendre dans tout l'appartement afin que le truc animalier aille pioncer ailleurs que sur les genoux de l'agent. Une bonne heure après le début du rapport, le téléphone portable du jeune homme se mit à sonner. Numéro inconnu, il répondit quand même. On ne sait jamais, c'est peut-être important. Une voix assez grave se fit entendre au bout du fil, avec cet accent de paysan qui avale pratiquement toutes les syllabes.

    M'sieur, pour vous dire qu'on a réparé vot' moto. Vous pouvez v'nir la cherche dès que vous v'lez.
    Très bien, je passerai dans l'après midi sûrement.
    Ok, m'sieur. A bientôt.
    Au revoir.

    Sa moto a eu en effet un problème. Une panne, comme tout le monde peut avoir. Et comme toutes les personnes qui connaissent une panne, ça les fait chier. Heureusement pour Éric sa panne s'est passé en pleine ville. Le garage ne fut alors pas très loin. Mais c'est sacrément chiant. En plus de lui coûté de l'argent, même si c'est pas ça qu'il le dérange le plus, il faut qu'il se bouge pour allez la chercher, tout ça parce que c'est une moto neuve. Du moins, une moto qui date de l'année dernière. Et les motos des années 2000 mais aussi les voitures, ne sont plus réparables par nous-même, et ça même quand on s'y connait. Alors qu'un véhicule d'avant 2000, on peut toujours mettre des mains dedans et tout régler. Dans ce cas là, Éric aurait put prendre une vieille Vespa, ou une ancienne Harley, mais on va dire que pour son boulot venir en Yamaha de 2009 est plus crédible qu'une Vespa. Malgré le faite que ces scooters sont tout de même bien fun. Enfin bref, Éric devait finir son rapport avant de partir allez chercher sa moto. C'est quelques temps plus tard que son atelier employé fut fini. Les deux, trois feuilles rangées dans une enveloppe bien fermé, il faudra qui passe donner ça au patron ou plutôt à la boite au lettres du patron. Vous savez, l'illuminé. Bref, il attrapa son porte feuille rangé dans sa poche de jean arrière, et non personne peut l'attraper, même un pickpocket. Éric sentira bien quand on lui pelotera l'arrière train. Donc de ce côté là, pas vraiment de soucis. Et comme d'habitudes, pour se défendre, ou pour quelconques situations qui mettrait Éric en danger, celui-ci prit son cher et tendre 9 mm qu'il planqua sous son polo à l'arrière de son jean. Ce qui est bien avec cette arme, c'est que tant que tu as le permis sur toi, les flics ne te chercheront pas des noises.

    Il sortit de l'appartement, ferma sa porte à clé, croisa les voisins, un bonjour de courtoisie. Éric était pour eux, le voisin parfait. Jamais de fêtes, jamais de bruits, jamais de foutoir, jamais d'histoires. Un voisin qui rend service, qu'est sympathique, qui aime tout le monde, enfin ça c'est à voir. Les autres habitants de l'immeuble ne se plaignaient pas vraiment de lui, sauf qui sait sacrément bien ce qui dérange vraiment les voisins, c'est quand il ramène une nana différente plusieurs fois dans la semaine. Mais Éric est un homme il a des besoins et c'est pas ça qui va rendre détestable le jeune homme auprès de l'immeuble. En tous cas, il dupe tout le monde, puisqu'aucun n'est au courant de ses activités, passés et présente. Personne le connait. C'est un mystère pour tout l'habitat. Il n'a jamais rien dit sur lui, par contre, il connait tout sur les autres. C'est fabuleux, la naïveté humaine. Sortant de l'immeuble, il se dirigea vers l'arrêt de bus.

  • Ce qui est énervant quand tu es tout seul pour allez chercher ta moto chez le garagiste c'est de prendre les transports en commun.

    Ce bus arriva quelques minutes après l'arrivée d'Éric. Le jeune homme monta dedans, se fraya un chemin dans le couloir du bus après avoir payer un ticket. Il s'installa au fond et s'assit à côté d'une personne qui n'attira en aucunement son attention. Éric était entrain de tapoter sur son téléphone. Il répondait, à des gens qu'il a oublié leur noms, rencontrer dans les journées et soirées précédentes. M'enfin, rien d'intéressants. Il lui resta sans doute une vingtaine de minutes à l'arrêt où le jeune homme devra descendre. En rangeant son téléphone, Éric tourna la tête vers l'extérieur, et eut la grande surprise de voir un fourgon blindé se diriger à grande vitesse vers le bus. Oh putain. Première réaction dans la tête de l'ex soldat. Il attrapa la personne à côté de lui en la forçant de se mettre en boule tout en lui hurlant de se baisser. Enfin cette demande concernait tout le monde. Le fourgon, ils allaient se le prendre, beaucoup trop rapide et la distance qui séparait le transport en commun de l'autre véhicule était beaucoup trop courte. Le bus fut violemment projeté, le véhicule était devenu ce cadeau qu'on offre à un gamin et qui le secoue pour savoir ce qu'il y a dedans. Une fois que le bus avait stopper sa course, Éric c'était retrouvé à l'autre bout du couloir, sonné par le choc. Tout le monde hurlait, et un sacré mal de crâne venait l'envahir. Il se toucha la tête et repéra, en regardant sa main, une blessure au niveau du front. Il regarda par la suite autour de lui, tout le monde était sous le choc, les personnes se tenaient la tête, le torse. Tout le monde était blessé. Éric tenta de voir ce qui se passait vers l'extérieur pendant qu'un gars parlait pour rassurer tout le monde. D'ailleurs, celui-ci avait proposé de sortir par le pare-brise, mais par grande chance, un mur s'offrait à la vue de tous. Le bus allait finir par exploser si personne sortait, on voyait la fumée qui s'échappait du moteur, une odeur d'essences avait envahit tout le véhicule et comme toutes voitures ayant subit un accident, il était fortement conseiller de se barrer vite fait et loin de celui-ci car les risques d'explosions sont énormes. Il y avait le fourgon, les criminels sans doutes, les flics, les pompiers, tout ça à l'extérieur, tous tendus. Éric l'était aussi, mais au fond de lui. C'était bien l'un des plus calmes dans tout le bus. A vrai dire, c'est l'expérience d'Irak qu'il le rendait ainsi, paniquer et s'énerver ne servirait à rien. Une explosion retentit dans le bus, c'était le type qui calmait la population qui venait de balancer je ne sais quoi contre une paroi du bus afin que tout le monde sorte. Éric s'avança un peu pour aider un papi à avancer. Une douleur le lança sur le côté de son torse. Une côté fêlée peut-être, mais il fallait qu'il oublie ça. C'était pas l'heure d'avoir mal. Le vieillard sortit, mais le jeune homme pu remarquer que les criminels avaient pris les survivants en otage. Quel merdier ! L'un des bandits, sûrement le chef menaçait la police de tuer les hommes, femmes et enfants venant juste de sortir du bus. Le flic dit la phrase de trop, et le type en cagoule ne se gêna pas pour tirer sur une femme et son gamin. Les coups de feus retentirent dans la scène de crime jusqu'à ce qu'un pote du fou furieux le stop.

    Cette scène, lui rappelait étrangement ce qu'il avait vécu en Irak. On peut voir ce qui se passe aujourd'hui comme une sorte d'embuscade. Les méchants, si on peut dire ça comme ça, était les irakiens terroristes qui menaçaient de faire exploser un village entier, en tirant sur un ou deux gosses au passage. Retour aux sources pour Éric. Le problème, c'est qu'en Irak, il était un bataillon entier, là, ils sont deux. Il ne comptait pas les flics incompétents. Fallait trouver une solution pour sortir d'ici vivant, et sauver le reste des otages. Jouer les super-héros en somme. L'agent n'était pas indifférent à ce qu'il se passait loin de là, mais il rangeait sa colère dans un coin de son âme pour mieux trouver comment se sortir d'ici. L'autre type était aussi remonté, compréhensible. Il retira ses vêtements, moment intriguant qui ne dura quelques secondes. Une combinaison verte se montra alors. Il prit en même temps la parole. Un sourire en coin de la part d'Éric suite à la tentative d'humour du type. Celui-ci demanda par la suite si l'agent avait une idée, sortir comme des fous ou dans la discrétion. Pour ne pas faire totalement les suicidaires autant chercher une solution discrète. Une seconde ou deux de réflexions, regardant à l'extérieur.

    J'ai une idée, mais je suis pas sûre que ça marche totalement. Faudra être rapide, très rapide. Je peux facilement gagner du temps en causant avec ses fous.

    Sur le moment, on peut pas comprendre, mais Éric ne voyait pas d'autres solutions.

    Je vais sortir et parler avec eux, il ne me tireront pas dessus tout de suite, avec ce que je vais leur dire, ils vont chercher à en savoir plus. Un temps. Quand je dirais ceci : Alors, vous choisissez quoi ? , t'auras qu'à lancer rapidement l'une de tes fléchettes explosives sur le fourgon. L'explosion détournera l'attention de ces types, et on pourra faire évacuer les otages et nous-même par la suite. En tout cas faut quitter ce bus rapidement.

    Parler aux criminels, c'est complètement fou. Mais Éric avait une idée bien précise dans la tête, enfin, juste l'idée, ce qu'il allait sortir aux fous furieux n'allait être que de la pure improvisation. Mais ça c'est son domaine. Acteur, comédien , c'était l'heure d'utiliser le mensonge pour réussir à se sortir d'une situation tels que celle-ci. Le pire qui pourrait arriver, serait qu'il se fasse tirer dessus. Bien évidemment, ce n'est pas chose impossible. Si la discussion devenait trop longue, Éric risquerait d'y passer. Il jeta un dernier coup d'œil à l'extérieur et vit parmi les cambrioleurs, un gringalet qui n'avait pas l'air d'être fière de ce qu'il faisait. Ça devait être un gamin qui voulait faire le grand auprès de son gang. Bien, ce type pouvait être une arme pour Éric, mais fallait-il que le gars qui était resté dans le bus avec lui accepte la proposition.

    T'es ok pour ça ? Je ne vois pas d'autres solutions, et je suppose que tu me prends pour un fou, mais autant utiliser ce que l'on voit dans les films pour s'en sortir.Moins rassurant.On est obligé de se faire confiance de toutes façons.

    Il le dit sincèrement, faut être souder, être confiant. Sinon, rien ne marchera, si l'autre hésite tout fout le camp.


Dernière édition par Eric Daniels le Mer 5 Mai 2010 - 16:32, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Du fric, des flics et un Floc [PV Eric Daniels]   Du fric, des flics et un Floc [PV Eric Daniels] Icon_minitimeMer 5 Mai 2010 - 13:36

Ace eut un air de franche rigolade quand le jeune homme lui fit part de ses remarques et propositions. Parlementer avec eux ? Mais il était taré ce type ! Un vrai dégénéré … A peine il ferait un pas qu’il serait prit en otage et que ces enfoirés de brigands lui auraient collés une balle dans la tronche. Alors oui c’était un plan, une bonne diversion pour permettre à Ace de s’enfuir mais il ne voulait en aucun cas le faire. Pas que la vie de l’homme avec qui il se trouvait lui importait, non, juste parce qu’il s’ennuyait ferme et que de jouer au super héros c’était plutôt cool… Ouais y’avait des risques et il le savait mais lui faisait partie des Maraudeurs, alors qu’eux ne restait que de simples petits humains sans défense. Y’avait les armes bien entendu mais rien de bien méchant. Pour tout dire c’était de véritable psychopathe mais on pouvait pas changer les gens comme cela et Ace ne s’y emploierait guère. Le jeune homme observa rapidement la scène et jura entre ses dents. Bien sûr le terrain était dégagé et aucun endroit pour se cacher ou se replier… Le garçon se retourna vers l’inconnu afin de lui chuchoter quelques mots.

Hey mec ! Euuuh disons faucon des neiges. Petit chaton appelle Faucon des neiges… Ouais ça sonne plutôt bien ! Bon ton plan est pourri on va se faire massacrer, ils sont 4 je te signale nous juste deux. Ouais j’ai mes petits joujoux mais pas mon arc donc pas une très grande portée… Donc on va faire comme je dis. T’es pas obligé heiin, sinon tu t’allonge et tu pique un somme…

Ace était loin d’être diplomate et cet homme allait jouer au boulet avec lui il le savait… Il fallait donc le porter sur ses épaules tel un fardeau ou l’évincer. Vortex choisit justement de ne pas lui laisser le choix… Au pire si cela tournait mal Ace ne pourrait s’en prendre qu’à lui-même sans craindre pour la vie de l’inconnu. Et puis même si accident il devait avoir, c’était pas non plus le sauveur de l’humanité, comment les gens auraient fait s’il n’était pas la ? Le jeune homme ruminait ses pensées et pesa le pour et le contre entre une arrivée fracassante ou discrète. Et puis merde, il s’en foutait au pire il crèverait, que demander de plus ? Ace s’arma d’une fléchette brouillard et explosa sur le sol non loin de la scène. De suite une nappe de fumée grise fit son apparition et s’étendit sur une zone de 20 mètres. Le mutant sauta du bus et courut en direction de la voiture des criminels afin de se retrouver derrière eux. La fumée se dégagea tandis qu’il roula boula au sol pour se cacher. Il releva un tant soit peu la tête et fixa l’inconnu resté dans le bus. Il fallait les prendre à revers, et tandis qu’Ace s’occupait des méchants, oui des méchants il était gentil et combattait les méchants tout vilain et moche, et alors ? Donc tandis qu’Ace leur amochait la tronche, l’homme pourrait en profiter pour faire sortir les otages. Ouais sauf qu’y’avait un souci… Comment lui faire part de cette idée de génie ? Vortex relança donc un fumigène et retourna dans le bus.

Bon je m’occupe d’eux et tu libères les otages ok ? Il faut les mettre en sécurité dans le bus compris ?

Sans autre explications, Vortex se dirigea d’un pas rapide vers la voiture mais il fut stoppé par une voix dédaigneuse. Il se retourna brusquement et aperçut qu’il était mit en joue par l’un des type, le rideau qui lui assurait l’invisibilité s’était évanoui… Et flute encore un problème ! Il s’avançât près de l’homme qui lui colla le canon sur la tempe.

T’es flic toi ? Et c’est quoi c’te tenue ?

Non je ne suis pas flic et ma tenue est super jolie guignol !

Ace se reçut un coup de flingue dans la mâchoire et il gémit sous la violence de l’impact. Il s’écroula au sol tandis que l’homme le ruait de coup de pieds. Vortex qui avait déjà les cotes un peu cassées gémit mais fut prit d’une grande colère. Il frappa l’homme a la rotule et déclencha son pouvoir. Aussitôt le brigand cessa de respirer et suffoqua, privé d’air.

Espèce… Vortex lui donna un coup de poing. De… Un autre. Petit… Encore un. Connard !!!

Et vlan le mec s’écroula sur le sol tandis qu’Ace libéra une fléchette explosive avant de se protéger derrière la voiture tandis que les collègues du pauvre type mort lui tiraient dessus. Super, comment allait t-il s’en sortir sans dommage ? Déjà les hommes s’avançaient tel la mort dans sa direction, répandant le signal de sa mort…
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MessageSujet: Re: Du fric, des flics et un Floc [PV Eric Daniels]   Du fric, des flics et un Floc [PV Eric Daniels] Icon_minitimeMer 5 Mai 2010 - 17:13

  • La connerie du plus con arriverait même à le tuer.

    Oui, son plan avait l'air suicidaire, oui il y avait des risques, mais foncer dans le tas était autant plus fou. La confiance qu'on doit normalement avoir dans une situation comme celle-ci n'avait pas eu le temps de commencer, et n'était pas prête de prendre forme. Le type en combinaison verte avait décider de se la jouer solo apparemment, enfin à vrai dire, ce type n'avait pas l'air d'avoir toute sa tête, même pour un mutant. Ce n'est pas parce qu'on a des pouvoirs qu'on est forcément apte à jouer les justiciers. Bref, après un allé tour des plus rapides pour préciser à Éric, qu'il fallait remettre les otages dans le bus... Il est drôle ce gars, le bus va explosé. Il veut se la jouer solo, alors qu'il le fasse, Éric va s'occuper de ses fesses en premier, avec celles des otages évidemment. Le taré, il verra après.

    Bien, les criminels étaient de dos, il n'y en avait qu'un qui surveillait les otages. C'était le gringalet qui débutait dans le métier. Bon, Éric va pouvoir sortir discrètement au bon moment évidemment. Le petit eut le dos tourné, l'agent sortit son pistolet qu'il avait caché dans son dos. Heureusement qu'il l'avait sur lui celui là. Il sortit du bus en vérifiant bien que les criminels étaient occupé avec le fou en combinaison verte, Éric ne se préoccupa pas plus de son sort, il remarquait tout juste que le mutant avait pris le dessus, tant mieux. En quelques secondes, le jeune homme posa son pistolet entre les deux omoplates du criminels, qui en fut plus que surpris.

    Pas un geste mon gars.Dit-il en chuchotant.

    Le môme ne moufta pas, et il tremblait de peur, des petites vibrations se sentaient avec le 9 mm qu'Éric tenait.

    Donne moi ton arme.Ajouta l'agent.

    Le gringalet s'exécuta en suppliant Éric de ne pas le tuer, avec une voix basse et à la limite des larmes. Tout en prenant l'arme du gamin, l'ex-soldat fit signe aux otages de partir illico presto et sans faire de bruit. Pour ce qui concerne du criminel, Éric n'avait aucunement l'attention de le tuer, mais il ne se gêna pas pour lui ordonné de suivre les otages, qui se dirigeait vers le flics. Un dernier coup d'œil vers les autres méchants, ils tiraient sur le type en combinaison verte qui est planqué derrière une voiture. Il s'était foutue dans un sacré pétrin.

    Bref, Éric et son otage à lui se dépêchèrent de rejoindre les policiers se trouvant derrière le bus mais assez loin tout de même, évitant ainsi de trop gros projectiles que pourraient balancer le bus. Bien entendue, les flics en voyant Éric, deux armes à la main non pu s'empêcher de lui sauter dessus, et qui plus est, l'un des agents de police s'empressa de mettre les menottes aux gamins.

    Calmez vous.. Lança Éric histoire de pas se faire embarquer lui aussi, il passa l'arme du môme à un des policiers en même temps mais garda la sienne qu'il rangea à l'endroit habituel.

    Le chef d'équipe, qui se présenta au nom de Ramirez, poussa tout ses collègues afin d'être en face de l'ex-soldat. Celui ne laissa pas le temps à ce flic de poser des questions, il fallait arrêter ce grabuge au plus vite. Pas qu'il voulait sauver la vie du mutant, d'ailleurs, il se demandait d'un coup si tout allait bien de son côté. Enfin, Éric pris la parole.

    Vous avez appelé des renforts ? Demanda t-il. Un peu essoufflé à vrai dire, il avait tout de même une côte cassée, et un sacrée mal de crâne.
    Oui.
    Dans combien de temps ils arrivent ?
    Dans vingt minutes, même trente, la circulation est dense à cette heure ci !

    Non pas possible. Trop long c'est évident. Un instant de réflexion. La plus part des otages étaient sous le choc, dans des ambulances, et la moitié des flics présents s'occupaient d'eux. Ramirez ne bougeait pas d'un pouce attendant l'apparition du Bon Dieu pour se sortir de son malheur.

    Éric poussa soudainement le chef afin de choper la radio se trouvant dans une voiture de l'ordre. L'homme se trouvant derrière l'ex-soldat à présent râla en jurant tout ce qu'il pouvait ne comprenant pas ce que faisait Éric. Celui-ci avait mis sur la fréquence de l'école militaire de New York se trouvant à deux ou trois rues du lieu où des fous de la gâchette s'amusaient.

    Ici le lieutenant Jenkins, quel est le problème.
    Ici l'Agent Crowley, on a besoin de renforts, les notre sont trop loin, vous êtes les plus proche. Trois hommes armés tire sur un civil. Un quatrième criminel est au sol blessé grièvement. Un cinquième a été arrêté, il est maintenant conduit au commissariat.

    Autant faire le rapide et ne pas dire son vrai nom. Le langage militaire, il connaît.

    Très bien attendez une minute.Une minute plus tard très précisément.Une équipe de vingts arrive immédiatement, gardez la situation stable jusqu'à leur arrivée.
    Message reçu.

    Éric raccrocha la radio, se retourna et expliqua ce qu'il venait de se passer à Ramirez. Sur le cul, directement après la nouvelle. Il bougonna encore, peu fière d'avoir des militaires débarquer.

    Évacuez les lieux, faites de la place, écartez-vous le plus possible, le bus va explosé..

    Un gros boom. Il ne tarda pas à le faire, le bus venait de montrer sa fin avec une explosion des plus...explosive. Comme si un kilo de dynamites venait de crier Banzaï. Quelques minutes après les militaires arrivait avec leur trois fourgons blindés. Armés jusqu'aux dents, tels de bon défenseurs. Les pompiers s'occupaient d'éteindre l'incendie, pendant que les militaires visaient de leurs mitraillettes les criminels. Ils avaient l'air moins fins à présent. Un peu soulagé le Éric. Certes, ça allait coûté sûrement un peu d'argents au commissariat mais au moins, les fous de la gâchette allaient se calmer un temps soit peu. Du moins, normalement.

    Plus décontracté, Éric venait se sentir sa douleur un peu plus fortement qu'il y a cinq minutes. Il s'appuya sur la voiture de flic, et jeta un regard sur Ramirez qui alla certainement bombarder l'humain de questions après que ça soit réglé.
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MessageSujet: Re: Du fric, des flics et un Floc [PV Eric Daniels]   Du fric, des flics et un Floc [PV Eric Daniels] Icon_minitimeMer 16 Juin 2010 - 15:14

Vortex était à présent allongé au sol, dans une posture ridicule, a la limite de la bienséance... Il n'en pouvait plus. Ces connards de criminels lui tiraient dessus sans discontinuer et il devait rester caché pour ne pas se faire plomber le cul avec leur grosse balles de malade. Le pire c'est qu'ils avaient l'air d'aimer ça, le canarder... Ils allaient pas tarder a le fourrer et a le faire cuire au four comme une grosse dinde. Mais Ace n'était pas un gallinacé et il n'allait pas se faire plumer ! Ah ça non ! En plus il devait pas être comestible, a part sa connerie peut être... mais revenons en a nos moutons... A nos canards plutôt... Vortex n'allait pas tenir comme ça encore 3 heures... Il déclencha son pouvoir et l'utilisa pour diriger un nuage d'air mortel en direction de ces abrutis... Il entoura rapidement leur visage, mort invisible et cruelle qui ne tarderait pas a les achever... Cependant il n'avait en aucun cas envie de les tuer. Il avait eut, en se faisant tirer dessus, une idée géante... C'est ainsi qu'il en épargna deux tandis que les autres s'écroulèrent au sol, leurs cadavres complétant joyeusement la macabre de la scène. Il se saisit d'une flèche quelconque et l'appuya sur le cou d'un des survivants. Malheureusement pour ce dernier, Ace eut tout a coup l'envie d'éternuer ce qui enfonça sans qu'il le veuille la pointe dans la gorge du pauvre type.. Et merde, un de moins... Il se précipita sur l'autre et refis le même geste, avec plus de précautions toutefois...

Bon les ennuis commencent pour toi. Tu a bien vu je suis maladroit. Si tu veux pas crever comme un con t'a intérêt a me raconter tout ce que je veux ok ?

Ace bloquait le corps de l'homme contre lui dans une position des plus tendancieuse. Mais l'heure n'était pas la meilleure pour cartonner cet homme et lui montré qu'il n'y a pas que les balles qui fassent mal et que son flingue n'était pas le plus gros calibre qu'il est vu... Ace avait l'habitude de comparé son objet avec un fusil à pompe. On le décharge, on le recharge... Tout en pompant... Le garçon se ressaisit et approcha sa bouche, de l'oreille du mec, pas de son fusil heiiin...

Comment alliez vous ouvrir le fourgon blindé ? C'était quoi votre plan ?

L'homme , complètement apeuré, expliqua leur plan tellement ridicule a Ace... Ils pensaient que si le fourgon avait un accident, la porte allait s'ouvrir... HAHAHA se disait Ace. Les brigands sont vraiment con des fois. Ils pensent a tout sauf a réfléchir... Alors qu'il pensait une explosion assourdissante se produisit. Le bus explosa dans un vacarme a vous imploser les tympans... Les débris du véhicule s'envolèrent de partout, Ace se jeta au sol, derrière la carcasse de la voiture afin de se protéger un minimum... De la poussière s'éleva rapidement tandis que des morceaux de métal s'abattirent avec fracas sur le sol. Un énorme morceau se dirigea vers Vortex qui n'eut pas le temps de l'esquiver. Tout ce que l'on voyait de lui à présent, c'était l'une de ses mains qui dépassait sinistrement de l'objet en métal qui l'écrasait...
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