une interminable journée (Pv : Jane )

Il était 3 heures de l’après midi, les rues de New-York étaient complètement bondées, Rémy devait passer a la banque pour déposer son dernier chèque de salaire, il ne faisait pas confiance au banque mais les sociétés de change prenaient 20% de commission, comme il aurait préférer se faire raser la tête que de perdre le moindre centime de son argent gagner a la sueur de son front et saigné impitoyablement pas Charles qui prétexte quelques dégâts mineurs qu’il eu causé un soir, Rémy n’avait aucun souvenir de cette soirée, il doutait de la véracité des informations, bon d’accord ils avaient retrouvés des cartes planter dans le digicode du portail de l’institut, d’accord la porte du garage avait bizarrement explosé, mais ça ne prouvait rien du tout !! N’importe qui avait put laisser des trace de moto dans l’allée de fleurs, c’était complètement abusif comme traitement …

Rémy se dirigeait donc verre sa banque en plein centre, il avait garé sa moto au coin de la rue et passait le tourniqué d’entrer, un garde armée contrôlait toutes les venus, il fixa Rémy du regard qui lui rendit de derrière ses lunettes de soleil, il tourna alors sont regard en direction des fils d’attentes, pouf, il en avait pour plusieurs heures, relevant ses mèches de cheveux il prit la première fils et se mit à patienter, tapant du pied sur le sol, et jetant des regards par-dessus ses lunettes aux jolies filles apprêtées qui passaient à proximités, pour passer inaperçu dans ce lieu hautement surveillé, Rémy avait laissé son traditionnelle uniforme pour un look plus habituel, Rémy portait un jean et une chemise bleu, il n’avait pas réussi a prendre un autre manteau, mais avait fait l’effort de mètre une paire de chaussure en cuirs qui faisait de lui malgré tout un homme tout à fait présentable, Rémy avança d’une place dans la fil.

« Pouf à ce rythme la on n’est pas sortie de l’auberge »

C’est vrais que ces administratif n’étaient pas des plus rapides de paperasse en paperasse de coup de fil au directeur en coup de fil au créancier et de refus de crédit perpétuelle, chacun tentaient simplement d’accéder au service de la banque mais tombaient devant les réalités économique, qui sont ce qu’elles sont, bien sur Rémy aurait put remplir un bordereau de dépôt, bien sur il aurait put trier ses papiers et ne pas perdre ce petit bout de papier dans un coin de sa chambre et gagner ainsi beaucoup de temps … mais quelques part c’était beaucoup moins drôle que de passer son après midi dans un bâtiment non climatisé … la jeune fille au guichet finit enfin de discuter avec la banquière, elle enfourna une grosse lias de billet dans son porte feuille et partie tout sourire au lèvres, Rémy suivit son trajet du regard sous le rythme de ses talons sur le sol et des mouvement de sa jupe, manquant de percuter la personne derrière lui, à défaut d’être intéressant c’était fort divertissant, et c’était enfin son tour, Rémy fit de grand pat jusqu’au bureau ou il s’abaissa pour être a la auteur du micro fixé sur le plexiglas du guichet. Ha coup de chance il était tombé sur une jolie jeune femme, ça changer des vielles mégères.

« Bonjour ! »

La jeune femme se leva et parti, en mince fallait qu’il tombe pile sur le changement d’équipe, Rémy se retourna et s’appuya dot au guichet, le pire dans tout ça, c’est qu’il allait encore poireauter une dizaine de minutes, et il ne pouvait même pas se griller un clope en attendant, si la torture était interdites qu’il teste les administrations et ont en reparlera …

Invité

Pourquoi n'avait elle pas pensé à cela avant? pourquoi n'y avait elle donc pas pensé!? cela aurait été beaucoup plus facile, cela lui aurait permis de vivre un peu mieux qu'elle ne vivait...
Et c'est ce matin en se réveillant, qu'elle y avait pensé, alors qu'elle allait bientôt quitter la ville. Mais au moins elle était encore là, et elle devait essayer. Peut-être qu'avec un peu de chance, elle arriverait à toucher une somme d'argent assez conséquente afin de pouvoir au moins s'acheter quelques meubles pour son appartement miteux.
Oui, Jane s'était soudainement rappelée que ses parents avaient un coffre à la banque, un coffre dit "en cas d'urgence". Ils lui avaient toujours dit que si un jour ils n'étaient plus là, et qu'elle et son frère avait un problème, elle pourrait y trouver tous ce dont elle avait besoin. Que renfermait ce coffre? de l'argent? des bijoux? des actions?
Elle n'en savait strictement rien, mais elle ne tarderait pas à le savoir. Du moins elle l'espérait...
De toute manière, il n' avait qu'une solution pour le savoir, se rendre à la banque.

Quand elle franchit enfin le seuil de la grande porte dorée, elle fut désespérée du monde qu'il pouvait bien y avoir. Elle qui espérait en finir le plus vite possible, elle était grandement déçue.
Elle allait poireauter pendant plus d'une heure ici à ne rien faire alors qu'elle aurait pu fureter un peu dans les rues afin de quitter cette ville le cœur léger.
La jeune femme soupira alors que la file avançait de manière très lente. Pourquoi fallait il qu'ils prennent autant de temps? Elle regarda sa montre, se passa une main dans les cheveux, et soupira de nouveau. Non, décidément, elle allait devoir prendre son mal en patiente.
Les gens circulaient, arrivaient, repartaient, certains les sourires aux lèvres, d'autres un peu moins heureux. Les aiguilles de sa montre tournaient et enfin, ce fut son tour.
Elle se rapprocha du guichet, et expliqua à la jeune femme qui était là ce qu'elle voulait. Elle lui exposa son problème, et lui demanda si c'était possible d'accéder au coffre. Évidemment, elle avait le numéro et le mot de passe du coffre...

Encore une fois, on lui dit d'attendre, elle ne gérait pas ce genre de chose, il fallait qu'elle en parle à une supérieur. Dix minutes plus tard, on homme bien habillait, en costume, la reçu dans son bureau. Il lui demanda de nouveau d'exposer sa requête, ce que Jane s'empressa de faire. Il avait l'air de comprendre, il se leva, et lui demanda de la suivre, mais en ouvrant la porte des coffres, il s'arrêta un moment, et se retourna vers la jeune femme.

"Excusez moi mademoiselle, mais j'ai oublié de vous demander votre nom?

- Je m'appelle Standford, Jane Standford. "

Elle ne savait pas si elle avait dit une bêtise, mais le visage de l'homme changea un moment de couleur, puis il lui dit de rester là quelques instants, qu'il revenait.
Le coeur de Jane se mit à battre, et avant qu'elle n'ait pu demander pourquoi, il était déjà partit, téléphone à l'oreille. Elle posa un oeil sur la porte. Elle était resté ouverte?
La jeune femme ne perdit pas de temps, elle s'engouffra par l'ouverture, se précipita vers le coffre, fit le coffre, et quel soulagement quand le petit "clic" d'ouverture se fit entendre. Ses parents ne l'avaient pas changé.
Dans le coffre, il y avait une multitude de choses, des liasses de billets, mais aussi des coffres, et des papiers.
Jane n'eut pas le temps de s'émerveiller, elle prit quelques liasses de billets qu'elle cacha dans son jean, et une pochette qui lui avait tapé dans l'oeil qu'elle glissa dans son chemisier.
Elle referma le coffre, et se précipita à l'extérieur, de justesse, car le jeune homme revenait.

"Je suis désolé mademoiselle, mais je ne peux pas vous laisser entrer. En faite, il va falloir que vous me suiviez. "

Le coeur de Jane s'emballa...

"Mais, mais pourquoi? "

Il lui somma de la suivre et Jane désemparé ne pu que lui obéir, mais quand elle arriva dans le couloir, et qu'elle vit des policiers qui attendait les mains dans les poches, les larmes lui montèrent aux yeux. Mais quelle idiote elle était... elle était certainement encore recherché, elle venait de se mettre en danger pour rien!

"Finalement, ça ira, je reviendrai plus tard... "

Et avant d'attendre qu'il ne lui réponde, elle s'enfuit et se faufila entre les personnes qui faisaient encore la queue. Heureusement, ils faisaient le changement de service. Elle tourna la tête et se rendit compte que les policiers s'étaient mit à sa poursuite.
Courant la tête tournée, elle n'aperçut pas le jeune homme qui attendait devant un guichet, et lui rentra dedans de plein fouet, tombant par terre par la même occasion.
Effarée, elle marmonna:

"Désolé... mais je suis pressée... "

La jeune femme jeta un coup d'oeil derrière elle, les policiers continuaient à se rapprocher alors qu'elle était encore par terre... Les larmes lui montèrent aux yeux. Elle était perdue.

Et paf !!! Voila qu’une nana lui fonce dedans, Rémy ce retrouve sur les fesses contre le carrelage du hall, apparemment la mystérieuse jeune femme, avait quelque ennui, elle avait a ses trousses un petit groupe de garde, Rémy hésitât à l’arrêter, après tout si c’était une dangereuse criminel, qui venait de braquer le coffre, il ne devait pas se laisser piéger par son jolie sourire, ha mais en même temps comment une si jolie fille peut bien avoir commis quelque chose de mal.

Se relevant, Rémy aida la jolie inconnue à se remettre sur ses gambes, elle repartie aussitôt sans laisser son numéro, mince pas de bol, la tête toujours tournée verre elle, il sentit les garde arriver, presque par maladresse, il fit un croche pate au l’un d’entre eux, entrainant la chute de ses poursuivant, d’un geste de la main il saluât la jeune femme et se retourna verre le guichet, le remplaçant de la standardiste restait bouche bée, il était figé debout à son poste ne disant pas un mot, Rémy agita sa main devant lui pour le sortir de sa torpeur.

« Hé ho !! Hé ho !! Bon je voudrais déposer se chèque sur mon compte ! Voila mon numéro de compte et fin vous savez comment on fait. »

Le jeune homme s’exécuta pianotant sur son clavier et imprimant le reçut qu’il demanda à Rémy de signer, d’un sourire crispé il remercia le banquier et agrippa le bout de papier le chiffonnant puis le rangeant dans sa poche, faisant volte face et regarda les gardiens qui avaient semble t’il encore besoin de repo pour reprendre leurs poursuite, il faut dire que le régime donuts n’est pas adapté à leurs corps d’athlètes, Rémy passa par-dessus eux et se dirigea verre la sortie tournant la tête en direction de l’emplacement de la jeune fille espérant peut être la voir une dernière fois avant de partir de cet endroit de folie ! Ne la trouvant pas, Rémy prit la direction de la porte, c’est la qu’un homme passa la porte furieusement, marchant droit devant lui le regard fixé sur Rémy, environs au milieu de la salle il s’arrêta et sortie de sous son manteau un fusil a pompe, le braquant directement sur Rémy et Criant cette petite phrase connus de tous !

« QUE PERSONNE NE BOUGE !!!! »

Rémy passa la main dans ses cheveux avant de les écartées bien obligé sous la menace de l’arme à feu, c’était presque drôle, un mec seule qui rentre dans une banque braquant son arme sur un client aux heures de pointes, quand toutes les patrouilles de polices sont de sortie quand il y a le plus de personne pouvant appuyer sur les alarmes silencieuse, bon d’accord les vigiles étaient un peu dans les choux et il n’avait surement pas prévus ça tout à l’heure, mais voyons c’est ridicule, il vas pas obtenir 1$ de la banque, les brigades d’interventions sont surement déjà en route …

« Nan mais tu pense prendre une banque de cette taille tout seul avec ton gros pétard ? Bonne chance mon grand mais faudrait pas oublier de prendre ses pilules … »

Oui oui, on sait ce n’est pas malin de critiquer un mec qui vous tien en joue, mais on savait bien que Rémy n’avait jamais été des plus fin stratèges, même en le souhaitant il n’aurait pas put tenir sa langue et s’empêcher de sortir cette raillerie tellement la situation lui paraissait comique. Surtout quand le gugusse ne c’est finalement pas pointer seul, un groupe d’une dizaine d’homme passa la porte et s’approcha de lui pointant leurs armes sur les clients et les faisant se regrouper contre un mur d’enceinte, l’un d’entre eux s’approcha de son ravisseur et l’informa qu’il avait coupé le système de sécurité du bâtiment, et il repartie droit sur une console, le malfrat se mit a rigoler en regardant Rémy et de sa grosse voix il s’approcha plaquant le canon contre le ventre de Rémy.

« Alors toi grand rigolo, toi aimer jouer les héros … MAIS moi pas aimer héros !! »

Le voyou envoya le manche du fusil dans la mâchoire de Rémy le faisant tombé sur le sol dans les crie d’effroi des clients qui étaient maintenant prisonnier des truands qui attaquaient cette banque d’une façons presque trop bien organisée, se tenant la mâchoire Rémy regarda le bandit en se relevant doucement.

« Maintenant tu vas avec les autres et tu pris pour sortir vivant d’ici. »

A la fin de ses mots les grilles de protection de la banque descendirent empêchant tout intrus de pénétrer dans la banque, c’était le système de protection de la banque, personne ne pouvait rentrer ici, mais personnes ne pouvaient sortir non plus, Calmement Rémy se dirigea verre le groupe de prisonnier, il chercha la jeune fille de toutes a l’heure, pensant qu’elle avait peut être un moyen de sortir d’ici, les gens qui ont des choses à se reprocher on souvent des moyens des plus surprenant, la voyant au loin Rémy marcha jusqu’elle et s’assit juste à coter essayant de se faire le plus discret des quelques gardes qui surveiller les captifs à l’aide de leurs armes à feu.

« Salut ! Tu te souviens de moi on c’est percuté toutes à l’heure ? On peut faire quelques choses pour améliorer la situation, mais j’ai besoin de quelqu’un qui à vue les couloirs pour que l’on puisse s’éclipser discrètement, tu peux m’aider ? »

Même si ce n’était pas une personne sur, Rémy lui faisait plus confiance cas ces employer de banque qui semblait presque indifférent a la situation, si elle pouvait se souvenir des couloirs de la banque ils pourraient se faufiler et essayer d’appeler des secours, bien sur ça risquerait de mètre en danger les hottages, mais ils n’avaient pas vraiment le choix rien ne leurs disaient qu’ils n’allaient pas tous les tuer une fois qu’ils auraient ce pour quoi ils sont venus ici en mettant en place un telle plan.

Invité

Ouf, elle avait pu se faufiler au milieu des innombrables files d'attentes sans trop de problèmes. Elle avait eut peur qu'après sa chute, les policiers la rattrapes plus vite, mais pour elle ne savait quelle raison, ils étaient encore bloqués non loin de là ou elle même avait percuté une beau jeune homme.
Jane d'où elle se tenait pouvait voir la sortie. Son coeur se mit à battre très vite. Si elle pouvait sortir de la banque, elle allait pouvoir se cacher sans problèmes, prendre le train et retourner chez elle comme si de rien n'était, et on l'oublierait vite, vu que personne ne savait qu'elle avait dérobé quelques petites choses dans le coffre. Et puis c'était son coffre à elle, du moins celui de ses parents, alors pourquoi, oui pourquoi est ce qu'on la poursuivait? elle ne comprenait pas, et c'est avec le coeur gros qu'elle se frayait un chemin vers la grande porte. Elle s'apprêtait à sortir, quand quelque chose d'étrange, et inattendue, et d'ailleurs pas très bien venu se produisit.
Un homme qui venait d'entrer dans la banque venait de sortir une arme immense, qu'il braqua sur l'un des clients. Et pas n'importe lequel, celui là même qui l'avait aidé à se relever afin qu'elle puisse s'échapper.

La jeune femme fit des yeux ronds. Non mais c'était vraiment pas son jour. Elle aurait bien aimé faire quelque chose pour lui, mais à bien y réfléchir, qu'est ce qu'elle pouvait bien faire?
La jeune femme décida donc de se précipiter vers la sortie pendant qu'il en était encore temps, mais trop tard! elle avait hésité, et d'autres hommes venaient de rentrer, et un d'eux la repérant l'attrapa par le bras et l'envoya valdinguer par terre en lui sommant de s'asseoir. Ce que Jane fit docilement. C'était pas le moment de se faire tirer dessus. Mais les larmes lui montèrent aux yeux. Pourquoi? pourquoi fallait il que ça lui arrive?
La jeune femme se fit toute petite dans un coin et observa ce qui se passait. Les grilles se fermèrent, empêchant tous le monde d'entrer, mais surtout de sortir. Ces brigands étaient organisés, ils savaient ce qu'ils faisaient, ils connaissaient la banque.
Jane se dit que si elle avait sut, elle aurait prit plus de choses dans le coffre. Elle soupira et colla son dos contre le mur. Le jeune homme de tout à l'heure n'avait pas froid aux yeux, il s'était mis à provoquer les brigands sans retenue. Jane se dit qu'en fait il était certainement complètement fou.

D'ailleurs il ne tarda pas à se faire frapper, et Jane fit la grimace, imaginant très bien qu'un coup de cette violence dans la mâchoire devait faire très, très mal! en tout cas, elle, elle se serait évanouit. Mais cela lui aura au moins servit de leçon, car il s'éloigna pour aller s'asseoir, comme tous les clients de la banque d'ailleurs, qui s'étaient tous mis dans un coin, certains fermant fort les yeux espérant que quand ils les ouvriraient, tout serait terminé. Mais Jane comprit très vite que les choses seraient loin d'être aussi simples...
Jane était perdu dans ses pensées, quand elle vit le jeune homme couvert de sang arrivé près d'elle, et s'asseoir. Jane lui fit un triste sourire. Il devait avoir mal...
Il lui adressa un sourire, et lui parla, pendant que Jane fouillait quelque chose discrètement dans son sac. Elle y sortit un mouchoir et le tendit à l'homme avant de chuchoter.

"J'espère que ça ne fait pas trop mal... et oui je me rappelle très bien, c'est gentil de m'avoir aidé, mais vous vous trompez de personne. Je suis allée jusqu'à la salle des coffres seulement, et je n'ai vu aucune issue! d'ailleurs si ces gens sont là, c'est certainement pour dévaliser les coffres, alors passer par là serait idiot. On se jetterait dans la gueule du loup. En plus vous êtes blessé... "

Jane soupira, et vit les hommes qui commençaient à passer et à dire aux gens de vider leur sac dans un grand sac de toile. Ils allaient cambrioler une banque et ils prenaient encore les affaires de ces pauvres gens?
Un excès de colère monta en elle, en même temps qu'elle balançait carrément tout le sac quand un mec armé se présenta devant elle. Il éclata de rire et continua son chemin.
Jane lui aurait bien brûlé les fesses, mais pour le moment son pouvoir ne s'était pas encore déclenché. D'habitude il arrivait quand on en avait strictement pas besoin, et maintenant qu'elle aurait pu s'en servir, il refusait de pointer le bout de son nez! quelle ironie!
La jeune femme réfléchissait, comme se sortir d'ici? elle ne voyait aucune solution à part...

"La seule solution aurait été de se battre, encore fallait il des personnes capables de le faire. Qu'est ce qu'ils font ces policiers idiots qui me couraient après?
Courir après les innocents ils savent faire, mais quand ya de vrais criminels c'est bon ya plus personne! quelle bande de gland! "

Jane était vraiment énervée. C'est vrai après tout, ou est ce qu'ils étaient cachés? qu'est ce qu'ils faisaient? si cela avait été elle, cela faisait longtemps qu'ils l'auraient plombée...
Jane ramena ses genoux contre elle, et les serra. Elle aurait tellement aimé pouvoir faire quelque chose, mais quoi? et comment?
Son esprit en ébullition, elle remarqua à peine que son corps tout entier était en train de se réchauffer dangereusement.
Bientôt, ses mains deviendraient aussi brûlantes qu'un fer chauffé à blanc...

Rémy assis avec la foule étudiait toujours les mouvements des gardes pour essayer de trouver un moyen facile de se subtiliser à leurs surveillances, malheureusement ils étaient venus en grand nombre et il serait difficile de tromper leurs attentions. En temps normal Rémy aurait déjà sauté aux coups des ravisseurs, mais les otages l’empêchait de tenter tout attaque au risque de voire des innocents se faire toucher par une balle perdu, c’est pour cela qu’il voulait s’éloigner des captif pour pouvoir agir sans risquer d’impliquer d’autre personnes, malheureusement la plus part des captifs était des humains en plus des humains New-Yorkais autant dire de très grand sportif du Big mac. Donc des personnes sur qui il est impossible de se reposer pour mener une action surprise pour reprendre le contrôle, de plus du fait des captifs, les forces de l’ordres prendraient toutes les précautions possible pour éviter les pertes, ce qui pouvait donc faire durer les choses pendants plusieurs jours. Bah oui que voulait vous, ce son eux aussi des administratifs, ils ne seront pas efficaces vous pouvez parier la dessus.

Rémy attrapa le mouchoir que la jeune femme lui tendait gentiment, essuyant le sang qui lui coulait du visage, il avait frappé fort, mais ce n’était rien en comparaison d’un coup de poing à l’adamantium de Logan, et puis il avait l’habitude de subir des interrogatoires musclés, ce n’était pas ça qui allait l’arrêter. Quand l’homme passa pour prendre les affaires personnelles des captifs, Rémy jeta son portefeuille dans le sac, il ne souhaitait pas vraiment se reprendre un coup de crosse, mais ça lui faisait quelques choses de plus a récupérer, il était hors de questions de laisser ses papiers à des ravisseurs. Rémy se retourna verre la jeune femme.

« Merci pour le mouchoir, je suis un peu sonné, mais ça va passer. Ne t’inquiète pas il y à beaucoup de sortis, c’est juste qu’elles ne sont pas encore ouvertes … »

Cette jeune femme avait presque réussit à échapper aux policiers, elle serait surement plus utile que les autres captifs, et dans une banque le nombre de sécurités ne permet pas de se déplacer seule, il faut toujours quelqu’un pour s’assurer de ne pas déclencher les alarmes, car il risquait d’avoir des problèmes avec les autorités si on les prenait à se balader dans la banque pendant la prise d’otage.

« Hum je pense que les policiers sont malheureusement indisponible pour le moment, on s’occupe toujours des personnes sachant utiliser une armes dans ce genre d’affaire. »

Par s’occuper il entendait bien sur mettre hors courses, ce qui n’était pas pour les arranger, ces hommes semblaient vraiment prêts à tout pour obtenir l’objet de leur convoitise, mais c’était quand même louche, car même dans le monde du crime il existait certaine règles de calculs pour ce genre d’attaque, et une troupe aussi bien organisée devait parfaitement les connaitre. L’une d’entre elle était le seuil de rentabilité d’une telle attaque, les systèmes de sécurité n’était pas calculé en fonction de leurs efficacités, mais du cout du système qui permet de le contourner. Pour faire simple les banques s’équipes de suffisamment de systèmes pour que le couts de l’attaques soit supérieur a celui du gains, ce qui rend ce genre d’attaque stupide suicidaire et complètement inutile. On ne braque pas une banque de cette taille pour se faire de l’argents, mais pour quelque chose de bien particulier, une cible qui vous rapportera beaucoup plus … Le fait de ramasser les portefeuilles des otages, était surement une diversion pour faire passer le vole comme un simple casse, c’était une technique très efficace. Avec un peu de chances, les otages n’étaient donc pas leurs premières préoccupations, avec une bonne diversion, ils réussiraient à détourner leurs attentions et pourraient s’occuper de faire sortir les captifs, mais avec quoi …

Rémy senti alors la chaleur provenant des mains de la jeune femme regardant en souriant la jeune femme il venait de trouver une personne forte intéressante, mutante a n’en pas doutée, elle serait surement capable de faire ce qui pour le moment lui était impossible.

« Hum tu te sous-estime regarde toi ! Tu vas beaucoup m’aider, et aider tout ces gens, le tout est d’utiliser les dont que tu as pour profiter a tout le monde, peut tu créer une petite diversion ? Faire sauter les plombs serait parfaire et une surchauffe ferait parfaitement l’affaire ! »

Content sur sa nouvelle amie pour faire le travail Rémy se préparait a faire au plus vite une fois les choses misent en mouvements, ils leurs faillaient être rapide ! Mais ça, ce n’était pas le plus important.

» Des serpents dans l'avion... [PV Jane]
» Quand t'as pas d'amis, prends un Curly ! [Jane Standford]